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19 janvier 2018 5 19 /01 /janvier /2018 21:37
MWANGOU NOUS REVELE QUE LES EROSIONS SONT LEGIONS DANS NOTRE PAYS

COMMENTAIRE : C'est avec plaisir que je publie en article le commentaire de mon grand-frère Mwangou qui complète mon propos sur les érosions qui sévissent à Brazzaville et ailleurs - afin que plus de personnes en prennent connaissance. En 2008, j'ai observé des zones de très forte érosion à Pointe-Noire.

J'en profite pour présenter mes meilleurs voeux à la famille Mwangou pour l'année 2018. Santé en premier lieu car il n'y a pas d'hôpitaux dignes de ce nom dans notre pays, espoir pour ne pas sombrer dans le pessimisme et bonheur dans l'adversité. L'amour de notre pays vous aide certainement à supporter tous les obstacles que vous devez affronter au quotidien. On doit aussi vous souhaiter du courage, beaucoup de courage car il en faut tous les jours que Dieu fait pour continuer à vivre dans notre pays - surtout pour un retraité comme vous...

Le Congo est un pays tropical où il pleut souvent et en abondance quand il n'est pasbrûlé par les rayons du soleil. Le lotissement exige qu'on conjugue le travail des topographes (les vrais), des géographes, des pétrographes et des géologues. Hélas, les mfumus ntoto et le régime n'ont que faire de ces scientifiques. Les affaires foncières sont un business et rien d'autre. C'est ce qui explique l'occupation sauvage de l'espace dans notre pays où l'aménagement du territoire ne joue aucun rôle. Tout terrain n'est pas forcément viable et à lotir. Il faut respecter la nature ou viabiliser les terrains avant de les lotir. Dans un pays où il pleut souvent, il ne faut pas entraver l'écoulement des eaux vers les rivières, les fleuves ou l'océan. L'étude topographique permet de comprendre l'écoulement des eaux pour le contrôler ou l'accompagner. au Congo, les caniveaux sont des retenues d'eau car ils ne débouchent pas dans les cours d'eau. Les routes deviennent facilement des rivières. On le constate à chaque saison des pluies.

En France, pour éviter des inondations à Paris, la ville a construit de grands bassins de retenue d'eau. Le Congo peut s'en inspirer pour éviter des inondations. En cas de grosse pluie, le surplus d'eau est facilement contenu pour éviter l'inondation de la ville car la Seine pourrait facilement déborder. Au Congo, les éléments ne sont pas pris en compte. Les caniveaux sont plus des élevages de moustiques qu'autre chose. Tous les caniveaux devraient conduire ou à des collecteurs d'eau de pluie ou à des cours d'eau mais il est souhaitable de construire des bassin de retenue d'eau à cause de la pluviométrie abondante de la zone tropicale. Le fleuve Congo est un grand collecteur d'eau de pluie mais avant que les eaux ne lui parviennent, elles peuvent prendre du temps. Une partie de cette eau pourrait même être traitée pour servir à des usages plus bénéfiques aux populations. Quoi qu'il en soit, on construit une ville en respectant la nature et non en l'ignorant ou en agissant contre elle en la contrariant. La nature finit toujours par avoir le dernier mot quand on ne la prend pas en compte.

Le déboisement est sérieux problème qui accentue la friabilité des sols et par conséquent, l'érosion. Il serait opportun de reboiser certains endroits pour renforcer et fortifier les sols avant d'envisager la moindre initiative. Hélas, nous n'avons pas un Etat digne de ce nom. Il n'y a ni prospective, ni perspective, ni anticipation, ni prévision. On subit les éléments comme on subit la banqueroute. Tout ceci nous amène à nous interroger sur l'ambition qui anime un monsieur comme Denis Sassou Nguesso. C'est bien de vouloir le pouvoir. Hélas, pourquoi faire ? Rien dans la pratique ne traduit dans l'action de la Bête de l'Alima l'envie d'apporter un bien-être ou un mieux-être au peuple dont il s'est proclamé roi. Le pouvoir ne lui sert qu'à satisfaire sa propre cupidité et rien de plus. En effet, que vaut un Etat sans des hommes vertueux et désintéressés à sa tête ? Rien du tout. Ailleurs, on sent la présence de l'Etat à chaque mètre carré du territoire ; au Congo, c'est plutôt son absence qui se fait remarquer à chaque centimètre carré de notre pays. En 2008, j'ai ressenti ce sentiment de populations totalment délaissées par leur Etat qui ne leur appartient plus, par ailleurs.

L'Etat a été ethnisé puis privatisé. C'est un Etat privé qui ne prend en compte que la satisfaction de la cupidité des nantis du régime. Rien de plus. Aussi, nous estimons qu'il nous faut reconquérir l'Etat qui se trouve entre les mains des gangsters barbares qui n'ont aucune épaisseur.  Ces barbares au contraire s'en prennent au peuple dès qu'il ose manifester le moindre mécontentement. Avec les barbares de l'ethnie-Etat, la cupidité, la violence, l'incompétence ont pris le pouvoir dans notre pays pendant qu'ailleurs, on envisage déjà le futur sans pétrole avec des voitures volantes ou sans conducteur.... Il faut reconnaître qu'au XXI ième siècle le Congo se trouve encore au Moyen-Age. Nous avons plus d'un demi-siècle à rattraper. Ce qui ne sera pas une mince affaire car nous ne parvenons même pas à franchir le pas de la construction d'une république démocratique.

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

" Bonjour, LDM ! Il y a bien longtemps que je n'ai eu le temps de commenter... Sur le sujet d'actualité, vous avez bien raison d'attirer l'attention sur ces manœuvres de diversion made in club Sassou Nguesso...


Quant aux dégâts dans Brazzaville, je voudrais enrichir cette vidéo en informant que les érosions ne touchent pas que la fameuse partie nord... A Mfilou et à Makélékélé, il y a aussi des dégâts très sérieux... La raison générique de tout cela, c'est la démission de l'Etat/municipalité qui n'a pas de lois sur les occupations des sols... Les services de cadastre ne font pas leur boulot, donnant la priorité à l'enrichissement individuel des topographes qui vont lotir ( à défaut d'un autre mot, car celui-ci n'est pas vraiment approprié) sur proposition des propriétaires fonciers avec une bonne rétribution. C'est ainsi que des terrains à vue d’œil trop exposés à l'érosion, ont été lotis, alors qu'il s'agit d'un sol semi-sablonneux qui ne résiste pas aux grosses pluies, surtout lorsque ces terrains sont sur des pentes...


Concernant le cas de Kintélé, là on peut tout dire... Mais la mégalomanie de ce pouvoir est telle qu'il a fermé les yeux sur un terrain très risqué pour y ériger un monument à la gloire de sassou nguesso, monument baptisé "université Denis Sassou Nguesso"...

J'ajoute ceci que de toutes les façons, les érosions se produisent partout et la route de Kinkala risque fort d'être coupée car une érosion s'est déjà déclenchée à hauteur du village Siassia, et pour une fois, les militaires qui y sont stationnés, ont planté une pancarte assez marrante, faisant parler la route qui se plaint de cette érosion qui la menace. "

 

MWANGOU

MWANGOU NOUS REVELE QUE LES EROSIONS SONT LEGIONS DANS NOTRE PAYS
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14 janvier 2018 7 14 /01 /janvier /2018 13:55

Quand les lions se battent, cela ne ramène pas l'herbe qui manque aux gazelles - surtout si elle a été piétinée et fauchée par les félins qui se battent pour contrôler la la faune et la forêt. Que Denis Sassou Nguesso arrête et emprisonne à tort ou à raison les Généraux qu'ils a nommés parce qu'ils l'ont porté au pouvoir, cela n'a aucun intérêt pour nous. De toute façon, même si la milice ethnique renversait la Bête de l'Alima, cela ne restaurerait pas la démocratie ou ne ramènerait pas dans les caisses de l'Etat les deniers publics détournés ou planqués en Chine et ailleurs. Le pouvoir resterait bien accroché au nord, au sein de l'ethnie-Etat. Ce qui doit nous préoccuper, c'est le sort du Congo, le destin de notre peuple. Rien de plus.

Si un coup d'Etat survenait au Congo - ce que j'en doute, le système est paré pour conserver le pouvoir au nord et au sein de la même ethnie-Etat. Sauf à distraire les Congolais de leurs vraies préoccupations, l'arrestation des Généraux égarés du système n'est pas notre problème. Ce n'est pas à Sassou de nous dicter nos préoccupations. On gagnerait à résoudre les problèmes d'érosion qui menacent les infrastructures publiques surfacturées et les habitations du quartier Ngamakosso et ses alentours.

Pourquoi avoir construit une deuxième université à Brazzaville au lieu de Pointe-Noire ? Une ville de plus d'un million d'habitants ne mérite-t-elle pas au moins une université ? N'eût été le tribalisme éhonté de Denis Sassou Nguesso, la nouvelle université aurait été construite à Pointe-Noire avec son million d'habitants. Hélas, le choix a été faussé car il fallait construire cet édifice au nord de Brazzaville dans la zone des populations ethniquement proches du roi Sassou - sans tenir compte de la topographie, de la géographie, des éléments, etc. Et à voir les sommes folles investies pour un stade qui ne servira pas à grand' chose ou à une université qui aurait pu être construite ailleurs, c'est un gâchis que même la nature réprouve. De toute façon, Denis Sassou Nguesso ne réussit rien car il ne fait rien pour le bien du peuple mais juste pour la satisfaction de son ego. Or quand un projet est au service de l'ego au lieu que l'ego soit au service du projet, cela appelle toujours l'échec.

Ne nous laissons pas distraire. Ce qui nous importe, c'est le sort du Congo, le destin de ses populations. Ce qui peut être amélioré si nous restaurions la démocratie en y mettant une dose de justice et d'égalité dans les droits et les devoirs. Le reste n'est que statu quo. Des Généraux mbochis ou du nord, Sassou en nommera d'autres. La situation actuelle ne va pas faciliter l'audit d'ailleurs sous la conduite d'un proche du régime au lieu d'être confié à un indépendant. Nous ne gagnerons ni en transparence, ni en démocratie. Au contraire ! 

Après avoir fait croire à du terrorisme fictif, le roi de l'intrigue imagine un complot de Sassou contre Denis. C'est très habile et ça marche puisque les Congolais ne parlent plus que de ça au lieu de maintenir la pression sur l'audit de la mal gouvernance et de la corruption. S'il existait quelqu'un capable de perpétrer un coup d'Etat au Congo, il n'attendrait certainement pas vingt ans ! Non, ils sont tous d'accord pour que le mastodonte de l'Alima meurt au pouvoir. Ensuite, ils aviseront. Pas avant.

La situation du pays est grave : la banqueroute est désormais connue de tous. Il était urgent de détourner l'attention sur quelque chose. Un coup d'Etat imaginaire était le bienvenu. On ne parle plus des salaires impayés, des frasques du régime, des emprisonnements arbitraires, du génocide du Pool - surtout avec les accords signés avec un soi-disant terroriste. Le régime nous désoriente. Il nous rester vigilants. Ne perdons pas le cap de l'essentiel : le sort de notre pays, le destin de notre peuple...

 

NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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12 janvier 2018 5 12 /01 /janvier /2018 16:47
CONGO/RUMEURS DE COUP D'ETAT : ET SI TOUT ÇA NE SERVAIT QU'A DÉPLACER L'ATTENTION ?

Nous avons suivi sur les Réseaux Sociaux ce qui de rumeur est devenu fait et information. Même la presse internationale a confirmé la séquestration à la DGST (Direction Générale de la Surveillance du Territoire) du Général Norbert Dabira depuis le 10 janvier 2018 - pour une raison qui n'a pas par contre été officiellement exposée : on ne prive pas un homme de sa liberté de circuler ou de sa liberté tout court sans raison. On lui imputerait l'organisation avec quelques Généraux d'un coup d'Etat qui visait à faire exploser en l'air l'avion officiel de Denis Sassou Nguesso. Ensuite, nous avons appris que le Général Nianga Mbouala Ngatse avait été relevé de ses fonctions de commandant de la Garde Républicaine pour se faire remplacer par son adjoint. Nous avons appris que la résidence du Général Nianga Mbouala Ngatsé serait cernée et que sa garde lui serait retirée d'ici un à deux jours. Dans le lot des suspects dans la panade, on cite le Général Mouagny, Ossere, Garcia et d'autres. Le ministre Pierre Oba risque aussi d'être interpellé. Ceci ressemble à la conspiration des Titans à l'égard de leur père Zeus.

Mon défunt père me disait : "un singe ne casse jamais volontairement la branche sur laquelle il est accroché". On peut en effet assimiler une telle imprudence à une chute volontaire. Au départ de cette affaire, nous avions déjà émis des réserves. Le Général Norbert Dabira est un proche de Denis Sassou Nguesso qui a prospéré sous sa protection dans plusieurs domaines comme le remarquent de nombreux observateurs. L'homme est plus businessman que soldat. Quelle mouche l'aurait piqué à vouloir jouer les héros ? Quant à Nianga Mbouala, ne se savait-il pas très surveillé ? Nombreux sont les Généraux qui dans l'armée doivent leurs carrières au grand Ndzokou himself. Mondjo et Okoï ne sont-ils pas passés directement de colonels à Généraux de division - sans passer par le grade de Général de brigade ? Cette affaire ressemble à une diversion pour détourner l'attention de la communauté internationale afin qu'elle accélère l'aide financière au régime pour le sortir de la zone de banqueroute dans laquelle il se trouve. En effet, comment peut-on encore concevoir la poursuite d'un audit serein dans le contexte d'un coup d'Etat supposé ? Même l'opinion nationale vient de lâcher prise car elle ne s'intéresse plus aux frasques de nos cupides "politichiens" pour ne plus parler que du coup de force hypothétique. Toto Ngakala aurait gagné à communiquer mais comme le coup de filet n'est pas encore total, il ne dira rien. C'est que la pêche est maigre !

 Nous demandons aux compatriotes de faire très attention à ce qui se passe au Congo afin de ne pas perdre de vue que nonobstant le fait que ceux qu'on arrête ou qu'on s'apprête à arrêter sont nos frères, l'attention doit rester concentrée sur la question de la banqueroute, de l'audit et du retour de l'argent caché en Chine par Sassou et ses neveux - dans les caisses de l'Etat. NOUS AVONS UN PEUPLE ET UN PAYS A SAUVER D'UNE DICTATURE SANGUINAIRE ET SANS PITIE. Ce n'est pas que nous ne considérons pas l'arrestation arbitraire ou fondée de compatriotes comme importante mais posons-nous quelques questions :

- Qui est le fomenteur professionnel de coups d'Etat de toutes sortes dans notre pays depuis l'assassinat du président Marien Ngouabi ? N'est-ce pas Denis Sassou Nguesso ? N'a-t-il pas commencé à intriguer depuis quarante ans ? N'est-il pas le cerveau penseur de l'assassinat du président Marien Ngouabi qui estimait qu'il déjouait un coup d'Etat par mois ?

- Comment des Généraux - notamment de son ethnie, de sa région voire de son village, des officiers qu'il a faits et qu'il a enrichis peuvent-ils se retourner imprudemment contre la main qui les nourrissait au lait et au miel ? Ne sont-ils pas tous devenus des hommes d'affaires milliardaires en pétro-cfas ? N'ont-ils pas tous promis de ne jamais le laisser tomber comme nous l'avons découvert quand la Bête de l'Alima s'adressait aux kanis de la Cuvette ?

- Comment ceux qui ont contribué à ramener Denis Sassou Nguesso au pouvoir en mettant pour certains leurs vies dans la balance peuvent aujourd'hui oser se braquer pour rompre un équilibre qui leur était largement profitable ?

- Comme le dit si bien  l'Evangile : " Si Satan détruit ses démons, comment son royaume subsisterait-il  "  ? 

- Pour faire exploser un avion en plein vol, a-t-on besoin d'une conspiration aussi large ? Le problème n'est-il pas si tel était le cas - de se débarrasser du monstre de l'Alima ? Comment des vaches grasses de l'Alima ont-elles pu se transformer en Titans pour attaquer Zeus - alors que leurs existences étaient paradisiaques ?

Denis Sassou Nguesso n'est pas une intrigue près. Qu'on se souvienne de feu le colonel Ntsourou sacrifié comme holocauste dans l'affaire du petit Hiroshima du 4 mars 2012 !  Il fallait en effet un bouc émissaire pour calmer la vindicte populaire des ressortissants des quartiers nord de Brazzaville. Marcel Ntsourou fut le bouc téké offert à Azazel pour obtenir l'effacement des péchés du régime dictatorial instauré par le gangster en chef de l'Etat congolais, Denis Sassou Nguesso.

Et si ayant constaté qu'il ne suffirait pas pour détourner l'attention du FMI d'offrir en holocauste Jean Jacques Bouya ? Et si tout ceci n'était qu'une comédie grotesque - en vue d'accélérer l'assistance du FMI ? Dans un pays où on vous arrête pour un rien, tout est possible. Nous avons écrit il y a des lustres que Denis Sassou Nguesso n'hésiterait pas à déstabiliser le Congo - si cela s'avérait nécessaire pour conserver le pouvoir. Or, sa propre cupidité menace désormais d'emporter et de dévorer son pouvoir... 

Certains estiment que désormais Denis Sassou Nguesso voit le diable en culotte courte partout - surtout lorsqu'il porte des bottes (sinon pourquoi Paul Morossa secrétaire adjoint au Conseil National de Sécurité) mais nous nous souvenons d'un homme qui a dit qu'il avait le coeur chaud et l'esprit froid. C'est donc un calculateur. C'est bien d'un saurien de l'Alima au sang froid qu'il s'agit.

Non, revenons au sujet du moment : l'audit qui doit faire la lumière sur la mal gouvernance et sur la corruption. L'arrestation de quelques Généraux qui continueront à manger leur ngoki en prison ne nous intéresse pas - d'autant que nous n'avons rien de sérieux au sujet du coup d'Etat supposé. Il ne manquerait plus que Denis Sassou Nguesso de nous jouer un mauvais film : " Denis Sassou attaque Nguesso " ! Que les affaires de famille se résolvent à Oyo sous le manguier. Nous avons à nous préoccuper des affaires de tout un peuple qui souffre. Que le FMI ne tombe pas dans le piège de Denis Sassou Nguesso qui a déjà fait croire à une menace terroriste imaginaire contre les ambassades de France et des Etats-Unis. On connaît la tendance à la Bête d'Edou de se victimiser chaque fois qu'il est dos au mur. Ne nous a-t-il pas inventé des troubles le 4 avril pour détourner l'attention de son coup d'Etat sur le pasteur Ntumi et ses Ninjas-Nsiloulous ?

Nous exigeons que tous, corrompus, corrupteurs et voleurs du royaume, soient arrêtés afin qu'ils restituent les deniers publics dérobés au peuple congolais. Tout le reste ne nous concerne pas. Pour une fois, Toto Ngakala doit mériter son gros salaire...

 

NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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10 janvier 2018 3 10 /01 /janvier /2018 22:10

Il est énervant d'apprendre que Denis Sassou alias Nguesso a dissimulé une partie de l'argent du Congo non déclaré au budget de l'Etat en Chine, de l'argent qui nous aurait permis de ne pas nous endetter ou de réduire la portée de l'endettement. Un article du journal l'Opinion confirme ce que nous avions appris depuis longtemps : le Congo a planqué de l'argent noir en Chine et peut-être pas qu'en Chine - puisqu'on évoque aussi la possibilité que le Congo ait de l'argent dissimulé au Maroc. Le FMI est aussi au courant de cette dissimulation. Dans ces conditions, on se demande comment cette institution peut se permettre de prêter de l'argent à un pays dont le gangster en chef de l'Etat a dissimulé une partie du Trésor du pays à l'étranger. Nous accusons la Chine de complicité de détournement de denier public. C'est un incident si grave qu'il mériterait qu'on rompe demain nos relations diplomatiques avec les yeux bridés chinois.

Le FMI doit faire en sorte que cet argent qui appartient au Congo, ces milliards de dollars dissimulés en Chine, revienne dans les caisses de l'Etat congolais avant d'envisager le moindre prêt au gangster en chef de l'Etat privatisé du Congo, Denis Sassou alias Nguesso.

Nous ne lâcherons pas cette affaire. Que le régime arrête le Général Dabira pour nous distraire ne changera rien. Il faut que TOUT le pognon dérobé au Congo revienne  dans les caisses de l'Etat. On ne prête pas à un pays dont l'argent est caché quelque part en Chine et dans le monde. Il faut que toute la lumière soit faite avant le moindre prêt de la part du FMI. Si Christine Lagarde, en connaissance de cause, prêtait de l'argent à l'Etat illégal et illégitime du Congo, dans ses conditions, il n'est pas exclu que nous saisissions la justice internationale. Prêter au Congo - alors qu'il possède de quoi faire face à ses obligations, en le sachant, est une complicité, un crime que même la soif de profits ne justifierait pas.

Madame Christine Lagarde est avertie : si l'audit n'inclut pas la restitution de l'argent caché en Chine, alors on peut dire qu'il y a collusion entre le FMI et le régime illégitime, illégal et criminel de Denis Sassou Nguesso. Une institution internationale n'est pas à l'abri de poursuites judiciaires à l'échelle internationale. C'est assez que le FMI et la Banque Mondiale aient pu concéder le statut de Pays Pauvre Très Endetté (PPTE) au Congo dans des conditions litigieuses. Nous n'accepterons pas une seconde forfaiture. Peu importe la durée de cet audit : il doit aller jusqu'au bout des choses. Que cela soit compris. MBONGO EZONGA MBOKA !

 

NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

FMI/AUDIT : UNE PARTIE DE L'ARGENT DU CONGO NON DECLARE AU BUDGET EST CACHE EN CHINE !
FMI/AUDIT : UNE PARTIE DE L'ARGENT DU CONGO NON DECLARE AU BUDGET EST CACHE EN CHINE !
FMI/AUDIT : UNE PARTIE DE L'ARGENT DU CONGO NON DECLARE AU BUDGET EST CACHE EN CHINE !
FMI/AUDIT : UNE PARTIE DE L'ARGENT DU CONGO NON DECLARE AU BUDGET EST CACHE EN CHINE !
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8 janvier 2018 1 08 /01 /janvier /2018 20:51
DETTE DU CONGO : DENIS SASSOU ALIAS  NGUESSO DOIT REMBOURSER TOUT SEUL LA DETTE DU CONGO

Une fois encore, asphyxié par la dette qui pourtant a été réduite de 70% lors de l'admission du Congo à l'initiative PPTE, notre roi national, Denis Sassou alias Nguesso, a dû se résoudre à faire la manche auprès du FMI qui a demandé au Congo un audit sur la corruption et sur la bonne gouvernance avant d'envisager de lui prêter les milliards de dollars de la communauté internationale, en fait, des pays actionnaires du FMI. Qui va s'en charger ? Un serviteur nommé par le régime - alors qu'il eût fallu pour une question de pertinence et d'indépendance que le FMI lui-même s'en chargeât. L'auditeur aura toutes les peines du monde à faire son travail car il se heurtera à l'impunité de certains caciques du régime, le gang en chef, en premier...

La bonne gouvernance suppose d'établir comment les intérêts du Congo ont été défendus (ou trahis) pendant vingt ans par le régime dictatorial qui ruine le Congo. Il s'agit :

- d'examiner les contrats signés par le Congo pour voir s'ils étaient réguliers ou non en examinant s'il y a eu par rapport aux normes internationales des irrégularités volontaires car ceux-ci peuvent être des bons indicateurs de lecture de la corruption. Comment certains pays ont-ils pu construire des infrastructures supérieures à celles du Congo à moindre coût ? Voilà une piste intéressante à explorer. Si un contrat a été lésé au détriment du Congo selon ce qui est convenu ou s'il a été exagérément gonflé, cela peut aussi montrer qu'il y a eu corruption. Il y a donc bel et bien un lien entre mauvaise gouvernance et corruption ;

- d'étudier l'attribution des appels d'offre en établissant comment ils ont été concédés. On peut par exemple facilement montrer la collusion entre certaines sociétés et le clan Sassou & Nguesso au pouvoir depuis vingt ans. En effet, si des contrats échoient à des sociétés dont les présidents sont les  proches de Sassou ou dans lesquels les membres du régime sont actionnaires, on peut facilement établir des irrégularités et montrer que les appels d'offre ont été faits au détriment du Congo ;

- de comparer les biens et ressources des membres du gouvernement, du clan et de Denis Sassou Nguesso lui-même sur la base de leurs revenus réels. Denis Sassou Nguesso doit justifier de l'achat de ses trente mille têtes de bétail, de la façon dont il s'est doté de telle ou telle société, etc. La mauvaise ou mal gouvernance doit aussi établir les détournements du denier public. Cela aurait été facilité par la déclaration des ressources à l'entrée au sein du gouvernement et à la sortie. Denis Sassou et certains de ses proches n'étaient pas aussi riches en 1997 - même si la fortune du premier gangster d'Etat était estimé en 19932 entre 5 et 7 milliards de dollars. On est à peu certain aujourd'hui que Denis Sassou alias Nguesso est aujourd'hui l'un des hommes les plus riches du Congo pour avoir fait main basse sur toutes les ressources et richesses du pays. L'audit le concerne donc à plus d'un titre. Il en est de même pour ses proches et pour ses ministres dont certains cumulent près de vingt ans au gouvernement. Certaines acquisitions ne peuvent être justifiées par les salaires ;

- d'enquêter sur les prêts consentis au Congo à des pays comme la Côte d'Ivoire, pourtant plus riche que le Congo afin de savoir s'il existe des documents attestant des prêts et des modalités de remboursement. Rien n'autorise constitutionnellement Denis Sassou Nguesso à prêter l'argent du Congo à un pays tiers à titre personnel car il s'agit de l'argent d'un Etat. L'auditeur a donc du travail devant lui. Nous souhaiterions par ailleurs qu'il communique de temps en temps sur l'avancement de ses travaux.

Bref, le travail sur la corruption et la bonne gouvernance peut prendre du temps si on prend exemple sur l'affaire des Biens Mal Acquis qui n'a pas encore connu de jugement jusqu'à aujourd'hui, une affaire qui date du temps de la présidence de Nicolas Sarkozy. Nous avons affaire à une comptabilité d'Etat des plus désastreuses voire une double comptabilité avec des dissimulations. Rien ne garantit que le régime va donner pleine et entière coopération dans cet audit.

On peut faire plus simple : si Denis Sassou Nguesso est le seul responsable dans le choix des hommes qui l'entourent, dans la signature des contrats et dans l'attribution des marchés, vu sa détonante richesse faite de détournements de deniers publics et, vu qu'il a peut-être dix ou vingt fois plus d'argent que le montant de la dette du Congo, il pourrait faire en sorte de l'éponger tout seul. Au moins de la sorte, il permettrait au Congo de repartir à zéro. Notre dette est d'environ 8 milliards de dollars. C'est quoi 8 milliards de dollars pour un homme qui en pèse peut-être cent ? Rien du tout. Libre à lui ensuite de se faire rembourser auprès de son gang des barbares d'Etat assurés de l'impunité absolue - à cause de lui. Ils ont tous suivi son exemple en puisant dans les caisses de l'Etat et les malversations sont légions.

Cependant, depuis l'instauration du ministère des Grands et des Petits Travaux, tout l'argent du pays est passé entre ses mains, celles d'Ondongo et celles de Bouya, la Lettre du Continent allant jusqu'à indiquer que sept Mbochis, tous originaires d'Oyo, s'occupaient de toute la gestion de l'argent du Congo - Brazzaville.

Il n'y a aucun domaine de l'économie où Denis Sassou Nguesso n'a pas eu sa part d'enrichissement illicite. Nous estimons qu'il lui faut assumer mais pas juste par les mots cette fois-ci : il s'agit de restituer au Congo une partie de l'argent volé, au moins l'équivalent de la dette nationale. Cela ne suffit pas d'en puiser de temps en temps à la Banque personnelle de Sassou à Oyo - pour payer les salaires des serviteurs du régime. Il faut faire plus : payer toute la dette du Congo. Après cela, il sera plus facile de relancer notre économie. Denis Sassou n'est pas obligé de l'annoncer ; il peut le faire en douce. Nous savons que certains de ses proches ont même prêté de l'argent au Congo, de l'argent pourtant volé au Trésor Public !

Tous les observateurs sont unanimes pour dire que le FMI finira par aider Denis Sassou Nguesso, bon serviteur de la Françafrique. Seulement, le FMI va certainement attendre la fin de l'audit sur la mal gouvernance et sur la corruption. Nous préférons parler de mal que que de bonne gouvernance car la ruine d'un tout petit pays de 4 millions d'habitants, même pas, penche plutôt pour un audit de la mal que de la bonne gouvernance. Nous nous demandons juste ce que fera le FMI des résultats de l'audit. Si l'audit démontrait de la corruption et de la mal gouvernance - ce qui est le cas selon les dires récents de l'ancien ministre Alain Akouala Atipault, que fera le FMI ? Va-t-il se désister ? Va-t-il se contenter d'un remaniement ministériel ou exiger que l'argent volé aux Congolaises et aux Congolais leur soit restitué ? C'est bien de commander un audit. Mais pour quoi faire ensuite ? Pour quelles décisions ? Cet audit épargnerait-il le chef d'Etat ou est-il aussi sujet à examen ? Si oui, pourquoi ? Nous avons le droit de savoir.

Il faut qu'on examine tous les comptes du Congo et qu'on nous dise par quels canaux transite désormais l'argent du Congo. Nous avons aussi le droit de savoir ce que l'on a fait de l'argent de notre endettement national, notamment auprès de qui le Congo s'est endetté et pourquoi - alors que nous avions les moyens de ne pas nous endetter pour entreprendre certains travaux.

Que fera-t-on des corrompus et des corrupteurs ? Il s'agit tout de même de problèmes qui relèvent de la Haute Trahison. Si nous avions une vraie justice, c'est elle qui allait se charger de l'audit. Hélas, depuis vingt ans, notre ministère de l'injustice s'est chargé de protéger les prédateurs et les malfrats de la république royale bananière. Tous les gredins cupides du monde ont pu tranquillement prospérer en toute impunité dans notre pays. Tout cela, par la faute d'un seul homme qui a autorisé l'immoralité la plus inadmissible : Denis Sassou alias Nguesso. Aussi, nous lui exigeons des réparations à titre personnel : il lui revient de payer toute la dette du Congo pour permettre à notre pays de respirer.

 

NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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8 janvier 2018 1 08 /01 /janvier /2018 10:51
Le pape Nicolas V qui autorisa l'esclavage...

Le pape Nicolas V qui autorisa l'esclavage...

Le 8 janvier 1454, le pape Nicolas V, de son vrai nom Tommaso Parentucceli [1398-1455], rédigea pour le souverain du Portugal Alphonse V une bulle pontificale l’autorisant à réduire et à soumettre en esclavage les Noirs, les païens, et autres ennemis du Christ. Remarquez qu'il s'agit ici d'une dictature religieuse qui impose à des peuples de cultures religieuses différentes d'abandonner les leurs pour le christianisme qui n'est qu'une invention politique dénuée de spiritualité, juste dans le but de dominer autrui par le biais de l'aveuglement de la pensée. Vu du côté de l'Occident, le christianisme n'est pas à notre égard, une salvation mais un instrument de soumission et de damnation des autres peuples non chrétiens à qui il a été présenté comme une libération au travers d'une salvation imaginaire alors que dans la réalité, les christianisés de force étaient perdus, en devenant des esclaves - qui ont même été achetés par l'église catholique qui les exploitait.

Le pape Léon X eut raison de se féliciter de tout ce qui a été possible grâce à la fable de Jésus Christ copiée sur l'histoire d'Horou ou Horus qui est le deuxième des 330 rois qui régnèrent avant Ménès, le premier étant son père Assar ou Osiris - ce qui permet de déduire que l'histoire de KMT TA MERY a bien plus de douze mille ans avant la naissance du Christ. Hérodote pense qu'elle est même bien plus vieille que cela. Sachez que le divin HORUS IESSU KRST est celui dont la vie inspira celle du Jésus Christ de l'évangile. Le mot KRISTOS dérive du mot égyptien KRST qui devient en grec CHRISTOS. Et le KRST des millénaires avant Jésus Christ fut HOROU IESSU KRST. HOROU IESSU KRST DEVINT JESUS CHRIST. Si vous remplacez le J par par un I, vous retrouvez le IESUS égyptien, le KRST qui naquit de la vierge perpétuelle ASSET ISIS, lui qui eut douze disciples et qui marcha sur les eaux du Nil, qui guérit les aveugles, les sourds et les boiteux. Les historiens et égyptologues connaissent cette histoire. L'égyptologue Gerald Massey révèle que l'histoire de KRST IESSU HORUS se trouve sur le saint des saint des murs du temple de Louxor dont les scènes servirent à confectionner l'histoire du petit Jésus.

 

ESCLAVAGE : LE  8 JANVIER 1454, LE PAPE NICOLAS V SIGNE LA BULLE PONTIFICALE QUI AUTORISA L'ESCLAVAGE

On a relégué HOROU IESSU KRST, l'Egyptien, à un mythe - alors qu'il est le premier pharaon d'Egypte. Il fallait bien en faire un être imaginaire pour que la légende de Jésus Christ ait un sens. En effet, il ne pouvait y avoir deux sauveurs de l'humanité. Il y a plus de 4100 ans avant notre ère, un homme a écrit ceci sur les murs d'un temple et sur un papyrus : " JE SUIS LE CHEMIN, LA VERITE ET LA VIE ", une phrase prononcée par HOROU IESSU KRST OU CHRIST des millénaires avant Jésus Christ.

C'est cette fausse religion appelée catholique - alors qu'elle n'a rien d'universel - qui fut utilisée par les Occidentaux pour nous faire perdre notre identité, notre culture, notre âme, notre nature première. Nous avons oublié que nous avons apporté la lumière spirituelle au monde à des barbares qui passaient leur temps à se faire la guerre. Pour nous asservir, il leur fallait nous détruire avant. Et ils ont utilisé une arme qui avait déjà fait ses preuves dans l'histoire : le christianisme, cette religion qui vous réduit en esclavage en vous disant que c'est pour votre salut. Avec cette religion mensongère, les fils des Ténèbres peuvent vous affamer, vous empoisonner, vous torturer, vous décapiter et oser vous dire que c'est pour votre bien, pour votre salut !  Attendez, c'est de nous qu'ils ont appris l'existence de la vie après la vie, de la résurrection ! Tous les temples d'Egypte en témoignent ! Alors, comment ceux qui nous volent, nous détruisent, nous tuent, nous damnent, peuvent-ils nous sauver ? Ces mensonges ont vécu. Il est temps que l'on découvre la vérité historique et que l'on redevienne nous-mêmes.

 

Si vous ôtez au lion, au serpent ou à n'importe quel animal CE QUI FAIT sa véritable nature en le corrompant de quelque manière que ce soit, il est perdu car il devient vulnérable face à des prédateurs. LE SALUT DE TOUT ÊTRE SE TROUVE DANS LA CONSERVATION DE SA NATURE ORIGINELLE. LES NOIRS SONT PERDUS POUR NE PLUS ÊTRE EUX-MÊMES. IL S'AGIT D'ÊTRE SOI-MÊME SELON SA PROPRE NATURE. AUTREMENT, C'EST UNE CORRUPTION ET CE QUI EST CORROMPU FINIT PAR DISPARAITRE. SI, NOUS, AFRICAINS NE SE CHANGEONS RIEN AU COURS DE L'HISTOIRE, NOUS SOMMES VOUES A DISPARAITRE...

 

Le travail des intellectuels africains doit consister à ramener les fils de la lumière à leur véritable nature. Sans cela, aucun progrès notoire de la race primordiale n'est possible. Réfléchissons : que vaut un serpent sans son venin ? Un serpent mort car il ne peut plus chasser. Celui qui nous enlève notre nature non seulement pèche contre le Créateur mais nous condamne à la damnation éternelle. Le christianisme ou l'islam n'est pas pour les Khamites un salut mais son contraire : une condamnation. Pour preuve, l'Afrique, mère de l'humanité est dernière de tous les continents, loin derrière les autres.

Notre nature nous vient de nos ancêtres. Toute vraie culture consiste à ressembler à ses ancêtres et non à des étrangers. Celui qui travaille à ressembler à quelqu'un d'autre a perdu sa nature. Ayant perdu sa nature, il n'est plus libre. La liberté perdue, c'est un esclave, qu'il le sache ou pas. Rompu à imiter ce qu'il ne deviendra jamais, il perd toute sa créativité, toute sa sève. Un arbre sans racine tombe et finit dans le feu.

Bien que la tâche soit difficile à cause de la fascination du monde moderne avec tous ses produits sur nos esprits et surtout du poids de l'acculturation, tout intellectuel africain doit désormais travailler à nous ramener à la noblesse de nos ancêtres qui ont civilisé ce monde qui nous voue désormais une haine féroce.

Nous ne sommes pas Noirs. La couleur de la peau n'est pas une nature en soi et ne peut suffire à nous définir. La peau n'est qu'une extériorité. La définition d'une nature est toujours une intériorité. LA PEAU INDIQUE JUSTE VOTRE RELATION À LA LUMIÈRE, MÈRE DE TOUTE CRÉATION MATÉRIELLE. Nous sommes les fils de la lumière divine. Notre peau est totale lumière absorbée. Nous sommes la race de lumière. NOS PREMIERS ANCÊTRES FURENT DES ÉMANATIONS DE LA LUMIÈRE ORIGINELLE, CRÉATRICE SORTIE DIRECTEMENT DE DIEU. Sachez que ce qui absorbe totalement la lumière est noir tandis que ce qui ne  l'absorbe pas est ... blanc. Imaginez donc la couleur de ceux qui vécurent dans les grottes loin de la lumière solaire pendant des millénaires lors de la grande glaciation en Europe.

A-T-ON BESOIN D'ÉCLAIRER LA LUMIÈRE ? LE SOLEIL A-T-IL BESOIN DE LUMIÈRE, LUI QUI ÉCLAIRE LA TERRE ? IL NOUS FAUT REDEVENIR CE QUE NOUS SOMMES : LA LUMIÈRE DU MONDE. À DÉFAUT, CE MONDE PLONGERA DANS LES TÉNÈBRES DE LA NUIT ÉTERNELLE ET LE CRÉATEUR QUI NOUS CONFIA LA GARDE DE LA TERRE DE L'ÉLÉVATION - NOUS DEMANDERA DES COMPTES.

La fonction de la lumière n'est pas seulement d'éclairer mais d'apporter la vérité qui consiste à voir les choses comme elles sont exactement car la vraie lumière est VÉRITÉ. Et, celui qui demeure dans la vérité, dans la lumière, doit rester dans la vérité. La lumière ne doit pas se souiller en se voilant de ténèbres. Ils savent que le Créateur a créé ce monde pour nous car nous sommes la seule race héritière de la la terre.

 

NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

ESCLAVAGE : LE  8 JANVIER 1454, LE PAPE NICOLAS V SIGNE LA BULLE PONTIFICALE QUI AUTORISA L'ESCLAVAGE
ESCLAVAGE : LE  8 JANVIER 1454, LE PAPE NICOLAS V SIGNE LA BULLE PONTIFICALE QUI AUTORISA L'ESCLAVAGE
ESCLAVAGE : LE  8 JANVIER 1454, LE PAPE NICOLAS V SIGNE LA BULLE PONTIFICALE QUI AUTORISA L'ESCLAVAGE
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6 janvier 2018 6 06 /01 /janvier /2018 17:12
Feu Jean De Dieu MASSAMBA MANDOUKI

Feu Jean De Dieu MASSAMBA MANDOUKI

Nous portons à la connaissance de tous les Congolais, membres et sympathisants du Mouvement Républicain pour La libération du Congo,

 

Le décès  de :  Jean De Dieu MASSAMBA MANDOUKI, dans sa cinquante huitième année, survenu le 29/12/2017 à 7h55 à l’HOPITAL Henri MONDOR,

 

Il était Membre adhérent du MRLC, et restera toujours dans nos pensées.

 

A cet instant, toutes nos prières vont vers la famille du défunt dans l’espérance et la résurrection. 

  

L’ensemble des membres du mouvement, le Bureau Exécutif National se joignent à son Président  Mr  HENRI PEMOT, dans la douleur et la tristesse  pour souhaiter à la famille du défunt,  toutes ses condoléances.  

 

Nous vous prions de trouver ci-joint le le calendrier des obsèques, ainsi que les modalités de notre participation et de notre accompagnement  dans cette épreuve difficile. 

 

Vous remerciant de le diffuser largement autour de vous, 

 

Sincères salutations. 

 

Pour le MRLC,

La Secrétaire Général Adjointe,

Gertrude Bienvenue Malalou Koumba

 

 

 

 

 

Programme relatif aux obsèques de notre regretté frère :

 

 

Samedi 06.01.18. à partir de 20 h 

Veillée à la salle de l’hôtel de Valenton : 1 rue de la Sablonnière  94460 Valenton

Bus J1, J2 

Arrêt les graviers.

 

Mardi 09.01.18

11h00 à 12h, levée de corps à l'hôpital Henri  Mondor

51, avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny 

94000 Créteil

Ligne 8 station Créteil l'Echât 

 

13h30 : messe à l'Eglise sainte Madeleine de Limeil-Brévannes

20 ter avenue de Verdun

94450 Limeil-Brévanne

Bus J1, J2 ou K

Arrêt Mairie de Limeil-Brévannes

 

15h00 : départ pour l'aéroport de Roissy

 

Une petite collation vous sera servie dans la salle de  l'église. 

 

 

 

ACCOMPAGNEMENT ET PARTICIPATION VOLONTAIRES DES MEMBRES DU MRLC

 

 

Merci pour votre présence

 

Contacts : 06.70.47.62.63 // 07.78.84.09.90 //06.46.77.96.44

MRLC : COMMUNIQUE NECROLOGIQUE
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1 janvier 2018 1 01 /01 /janvier /2018 16:27
LION DE MAKANDA : ENTRETIEN AVEC LE DOCTEUR MUNTU MOSSI SUR LES RESEAUX SOCIAUX
Chers compatriotes et chers lecteurs, je vous renouvelle mes meilleurs voeux pour l'année 2018 - bien que l'année sera difficile au Congo pour nos compatriotes mais il faut garder espoir.
 
Voici un entretien que je viens d'avoir avec le docteur en médecine MUNTU MOSSI, un compatriote, sur la question du tribalisme. Estimant la discussion importante, je la mets en ligne. Il est évident que le docteur  MUNTU MOSSI ne s'appelle pas ainsi dans la vraie vie. Ayant toujours pris le soin de protéger mes sources, je l'ai affublé du pseudonyme de MUNTU MOSSI (quelqu'un d'anonyme)...
 
La complexité de la situation congolaise appelle l'examen sur deux dimensions : intérieure et extérieure. Autrement, l'histoire politique de notre pays n'est pas totalement compréhensible. D'ores et déjà, il peut s'affirmer sans ambages que le tribalisme est la contradiction dialectique la plus importante qui mine notre pays de l'intérieur, occasionnant des conflits, des discriminations, un raté dans le choix des personnes et un retard de développement manifeste. Et il n'est pas possible de s'attaquer à un ennemi extérieur si on n'a pas vaincu ses démons intérieurs. 
Lors de mon passage à l'assemblée nationale français, j'avais évoqué l'existence de deux dictatures : l'une du dedans et l'autre du dehors à laquelle celle du dedans est assujettie. Qu'on se souvienne de ce que disait un Cobra lors du coup d'Etat de 1997 quand un journaliste français lui demanda comment Denis Sassou alias Nguesso allait faire pour reconstruire le pays ravagé par un conflit de plusieurs mois. Ce dernier répondit : " Il fera appel à la France. Tout le monde sait que Sassou sans la France n'est rien"... Une réponse pleine de lucidité de ce jeune homme en plein conflit. Une fois son coup d'Etat accompli, la première phrase de Denis Sassou alias Nguesso devant la presse française fut : "IL FAUT RÉCONCILIER LE CONGO AVEC LA FRANCE", comme si le Congo et la France étaient fâchés sous le règne du président Pascal Lissouba. Cette "réconciliation" était en fait une soumission totale du Congo devant la France - ce qui n'était plus le cas avec le professeur Pascal Lissouba, raison pour laquelle il fut par ailleurs renversé...
 
Il faut qu'on s'empare tous de la question du tribalisme si nous ne voulons pas répéter indéfiniment l'histoire. C'est la contradiction principale qui mine le Congo au niveau intérieur et empêche à notre pays de devenir pleinement un Etat de droit. Vous avez tous remarqué que sous le règne de l'idéologie tribalisme, il est difficile d'appliquer la justice car les proches du dictateur en chef jouissent tous au nom de la tribu-ethnie de l'impunité absolue. La justice se transmute en injustice pour des motifs idéologiques. Vous avez  vu comment une courageuse directrice du CHTue a été révoquée pour avoir dénoncé des malversations au sein de cet hôpital. Qui peut croire Toto Ngakala quand il prétend sévir contre ceux qui privent les Congolais de rétroviraux aujourd'hui ? Personne !
 
[1/1 15:06] DOCTEUR MUNTU MOSSI : Avec un homme comme toi, que j’ai toujours considéré comme un savant pour tout le travail que tu fais, le Congo se libérera. Le problème du Congo, ce n'est pas un problème congolo-congolais,  ce n’est pas forcément un problème du tribalisme comme tu as su le développer dans une de tes publications comme tu sais le faire. Le problème du Congo, c’est la France. Sassou bombarde le Pool, donc tue les Congolais, la France ne dis rien, même Macron qui venait d’être élu, n’a jamais parlé du Congo. J’ai donc compris que Sassou a un lobbying tellement fort, que notre salut viendra à 80 pour cent de la France. Tant que Total donc la France ne lâcheront pas Sassou, nous allons continuer à souffrir Qu’est-ce que tu en penses ?
 
[1/1 15:20] LION DE MAKANDA : Docteur, imagine le spectre du tribalisme vaincu, tous les Congolais unis comme un seul homme. Si la tyrannie intérieure disparaît, on peut affronter la tyrannie extérieure française. C'est une guerre à deux fronts : le tribalisme ou rivalité politique intérieure et le colonialisme français qui se poursuit tandis que nous ne regardons qu'à l'intérieur. Unis, nous pouvons en imposer à la France. C'est pour cela, qu'elle a entretenu le tribalisme. Essaie de voir la chose sur les deux facettes et tu me comprendras. 
 
[1/1 15:24] LION DE MAKANDA : Le tribalisme est une idéologie néfaste qui pousse une ethnie-Etat à ne se préoccuper que de conservation du pouvoir, négligeant ipso facto le développement économique. C'est un gâchis de temps. On peut parier que nous ne réussirons jamais la voie démocratique sans vaincre le tribalisme. Sans le soutien idéologique et physique des nordistes, que vaudrait la dictature de Sassou ? Rien ! D'où l'intérêt de casser le tribalisme. Nous devons passer des privilèges ethno-tribaux aux droits de tous.
 
[1/1 15:27] LION DE MAKANDA : Il faut prendre le temps symbolique de l'unité de toutes les ethnies que l'on pourrait matérialiser dans une espèce de Sénat des Sages gardiens de la tradition. Quand j'ai émis cette idée, Sassou l'a récupérée mais sans l'esprit qui va avec, il s'est contenté de corrompre les chefs traditionnels.
 
[1/1 15:29] LION DE MAKANDA :  Avec de l'argent et des 4x4... Dans une forme de corruption constitutionnalisée. 
 
[1/1 15:30] LION DE MAKANDA : Le Ghana avance pour avoir concilié tradition et modernité.
 
[1/1 15:30] LION DE MAKANDA : Ce pays est en paix. Plus aucun coup d'Etat !
 
[1/1 15:31] LION DE MAKANDA : Or, personne ne veut entendre parler de tribalisme. Et c'est là, la preuve qu'il est agissant...
 
[1/1 15:31] DOCTEUR MUNTU MOSSI : Je ne mets pas en doute le lion, ta réflexion sur le tribalisme, il faut en effet combattre le tribalisme pour éviter un régime clanique. Je disais simplement que pour faire partir Sassou du pouvoir, il faut qu’il soit lâché par les multinationales françaises, donc la France. Le problème du tribalisme n’est qu’une question subsidiaire.  N’oublie pas que lors des élections de 2016, la partie méridionale de notre pays a plus voté JMM alors que c’est un ressortissant de la partie septentrionale. Une fois le "dégagisme" de Sassou-Nguesso constaté, oui, on peut pendant la période transitoire régler au plus vite le  fléau qui est le tribalisme. Ce n’est qu'un avis d’un observateur.
 
[1/1 15:36] LION DE MAKANDA : Dégager Sassou ne suffira pas. Le tribalisme est une idéologie et une idéologie est toujours COLLECTIVE. La fin du règne de Sassou ne mettra pas fin pour autant à l'idéologie tribaliste.  Quant aux multinationales, pour qu'elles lâchent Sassou, il faut que leurs intérêts soient sur la balance. Je ne peux en dire plus ici. Nos vies valent moins que leurs intérêts. Or, si on traite la question du tribalisme, on affaiblit le monstre de l'Alima en le dépouillant de son bouclier. Est-il donc aussi difficile d'accorder les mêmes droits et les mêmes devoirs à tous nos concitoyens ?
 
[1/1 15:38] LION DE MAKANDA : En France, ils ont triomphé en mettant en branle le principe de l'égalité - qui a stoppé les velléités divisionnistes des Corses et des Bretons, etc.
 
[1/1 15:38] LION DE MAKANDA : Souviens-toi de l'échec du référendum corse quand les Corses ont choisi de rester dans la république que de céder à l'aventure nationaliste, lui préférant une autonomie...
 
[1/1 15:40] LION DE MAKANDA : Même en Europe, une espèce de tribalisme existe. Sociologiquement, je peux évoquer le cas catalan. La Catalogne veut quitter l'Espagne ; ce qui montre que les conflits identitaires n'ont pas disparu même au sein de la vieille Europe...
 
[1/1 15:41] LION DE MAKANDA : Mais c'est la force de la loi qui sauve l'Europe de la pression des différences identitaires. L'Union Soviétique a bel et bien explosé en plusieurs Etats...
 
[1/1 15:41] LION DE MAKANDA : Et qu'est donc la loi sans l'égalité des droits et des devoirs ? Rien du tout sinon UNE DICTATURE !
 
[1/1 15:42] LION DE MAKANDA : Nous avons une justice faible. Pourquoi ? À CAUSE DU TRIBALISME !
 
[1/1 15:43] LION DE MAKANDA : Donc on en revient algorithmiquement à ce facteur...
 
[1/1 15:44] LION DE MAKANDA : Dépouillée du tribalisme, une justice implacable est possible et avec elle, les droits et devoirs reprennent du sens.
 
[1/1 15:45] DOCTEUR MUNTU MOSSI : L’homme du nord en général et le Mbochi en particulier a été convaincu par des rhétoriques utilisées par Sassou comme quoi, il est le seul rempart pour protéger l’homme du nord, que si, il n’est pas là, le nord du pays disparaîtra de la carte du Congo.
Aujourd’hui, on le constate bien, nos compatriotes du nord sont très complaisants envers Sassou et son pouvoir. Ils sont prêts à se sacrifier pour lui, tant qu’il a la bénédiction des Français. Si par malheur, il tombe, les choses pourraient changer progressivement .
 
[1/1 15:50] LION DE MAKANDA : On peut parier : si Sassou tombe, le Nord gardera la main sur le pouvoir. Ton hypothèse reste valable mais le vrai soutien que les Mbochis et le Nord accordent à Sassou vient à mon humble avis des privilèges qu'ils leur accorde et de l'impunité Tribale dont ils jouissent. Si on réussit à garantir des droits à tous, ce soutien saute. Pourquoi paye-t-il d'abord les soldats ? Parce que autrement, ils le lâcheraient !
 
[1/1 15:51]LION DE MAKANDA : Et si l'armée Tribale le lâche, il saute.
 
[1/1 15:53] LION DE MAKANDA : Docteur, nous devons avoir de la rigueur dans un esprit de vérité, autrement, on tournera en rond, vu que tout Congolais par son père a une ethnie de référence. Ce qui fait que l'idéologie du tribalisme sera toujours agissante...
 
[1/1 15:55] LION DE MAKANDA : Nous avons vécu la même chose sous Lissouba bien qu'élu démocratiquement.
 
[1/1 15:56] LION DE MAKANDA : Le défunt Moungounga Kombo Nguila n'a pas hésité à dire : " c'est notre tour, c'est notre pouvoir" !
 
[1/1 15:57] LION DE MAKANDA : Comment tu veux résoudre ce mal si le diagnostic médical est erroné ?
 
[1/1 15:58] LION DE MAKANDA : Ensuite, unis on peut affronter les multinationales et la France.
 
[1/1 15:59] LION DE MAKANDA : Même avec la démocratie, le mal a persisté.
 
[1/1 16:02] LION DE MAKANDA : Et ce mal n'a qu'un remède : remplacer une idéologie par une autre en faisant vivre des concepts politiques sur le terreau du droit en leur donnant corps dans la vie réelle des populations.
 
[1/1 16:03] LION DE MAKANDA : Cette idéologie vient de la résistance de nos traditions à la modernité.
 
[1/1 16:04] LION DE MAKANDA : On doit donc associer les traditions au système politique à venir de façon à neutraliser l'idéologie du tribalisme.
 
[1/1 16:05] DOCTEUR MUNTU MOSSI  : Justement à l’heure actuelle, cette armée clanique n’est pas prête à le faire tomber, qu’est-ce qu’on fait ? Le lion, et très cher frère, les problèmes du Congo sont un véritable casse tête, Sassou nous fait du mal, il nous épuise physiquement et moralement, c’est dramatique, mais le plus dur reste à venir. Après la chute de Sassou, les chantiers et les défis à relever seront pittoresques. L’éducation, la santé, le social, la politique. Il n’y a plus dans notre pays, les vrais cadres. Aujourd’hui, je me permets de te demander avec tout le respect que je te dois, de commencer à préparer nos enfants qui sont ici en Europe, États-Unis Canada et ailleurs de se préparer pour prendre les commandes du pays car il n’y a plus de vrais cadres  là-bas. Tu dois réfléchir sur un éventuel article là dessus car tu trouveras des mots dans cette orientation. Ça été un plaisir de discuter avec toi, j’espère que cette nouvelle année qui commence, nous permettra de nous voir  et aussi de faire la fête car on en a besoin. Salut mon grand.
 
[1/1 16:15] LION DE MAKANDA : Je compte faire avec ta permission de cette discussion un article. Bien sûr, je ne mettrai pas ton nom. Mon rêve est de créer une université libre à XXX. Oui, on sait que la tâche est immense mais on peut y arriver. L'idée c'est de ramener les membres de la diaspora au pays en leur appliquant un principe d'intéressement. Tu n'accepteras pas d'aller travailler si le pays n'accorde pas de valeur à ton travail, même toi, docteur. Il faut que ton travail soit valorisé. Je rêve d'une ville moderne où vous serez logés avec tout le confort. J'ai discuté de cette idée avec Madame Itoua lors de son passage à Lyon qui a répondu que les Congolais de la diaspora ne sont pas des super-Congolais. Tu vois ? Nous qui n'avons même pas le droit de vote ! Ces gens peuvent pourtant construire de telles demeures car nous avons tout pour ça. En tout cas, il faudra des idéalistes pour abandonner leurs salaires européens. On pourrait compter sur les retraités. Mais sociologiquement, il faudra une vraie stratégie d'intéressement.
 
[1/1 16:18] LION DE MAKANDA : Il faut une valorisation salariale car pourquoi payer si cher des Généraux dont le métier consiste à ordonner des massacres et mal payer ceux qui sauvent des vies ? Ensuite, il faut un environnement viable et moderne pour qu'ils n'aient pas envie de retourner en Europe car ils sont Français, Anglais, Américains, etc. Il faut prendre le temps de créer une nouvelle génération compétente par un transfert intelligent des compétences. Il y a des ingénieurs, des professionnels dans tous les corps de métiers. Il faut créer des centres de formation et des écoles d'ingénieurs - en embauchant si nécessaire des ingénieurs occidentaux, le temps d'avoir des compétences congolaises propres.
 
[1/1 16:19] LION DE MAKANDA : On doit réfléchir. Moi, il y a longtemps que j'y ai pensé.
 
[1/1 16:21] LION DE MAKANDA : J'hésite de mettre mes idées en ligne car Sassou les galvaude.
 
[1/1 16:21] DOCTEUR MUNTU MOSSI : Ok, le lion, tu peux faire un article, je pourrai que le lire avec la même passion. Je te laisse passer ce premier janvier en famille, je t’appelle demain soir après le boulot. Bien évidemment, tu trouveras un autre nom à la place du mien, je profite de cette occasion pour te dire que, XXXXXX , je pars à Pointe-Noire pour 8 jours.
 
[1/1 16:21] LION DE MAKANDA : Ok. Bonne soirée.
 
 
LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU
 
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1 janvier 2018 1 01 /01 /janvier /2018 16:00
DUMISS' KIFUMB' : POURQUOI TSATY MABIALA NE MERITE PAS LE TITRE DE CHEF DE L'OPPOSITION
Pour arriver à ses fins après avoir vendu l'UPADS, voici le chemin démoniaque parcouru par Tsaty MABIALA.
 
Après l'élimination physique et politique de certains cadres de l'UPADS qui lui faisaient de l'ombre, il a infiltré le Frocad qui est alors dirigé par Mpouelet et passe toute sa campagne présidentielle à critiquer Mokoko et Okombi qui faisaient bien partie du Frocad comme lui mais peine perdue pour le petit Pascal, les militants de l'UPADS vont choisir Mokoko pour certains et Okombi pour d'autres, résultat : Tsaty Mabiala, qui croit avoir le plus grand parti, n'obtiendra que 4% loin derrière Mokoko qu'il critiquait de n'avoir aucun appareil politique. 
 
Pour espérer être mieux entendu des autres membres de l'opposition, Tsaty Mabiala récupère la tête du Frocad  et écarte Mpouelet qui pour lui n'a aucun parti politique.
 
Profitant de ses nouvelles responsabilités de président du Frocad, il participe au complot pour l'arrestation de ceux qui lui faisaient de l'ombre. C'est ainsi que Mokoko sera arrêté,  pendant que Kolélas et Okombi sont sous surveillance.
 
Tsaty Mabiala, après la reconnaissance de la victoire de Sassou, reçoit la mission d'affaiblir le Frocad et, voyant Kolélas créer un autre Mouvement YUKI, tout le monde se souviendra que Tsaty fera intégrer l'UPADS dans le mouvement YUKI ; les images en témoignent. Tsaty MABIALA s'organise avec le pouvoir pour affaiblir le YUKI mais il n'y parvient pas et trouve une stratégie avec son ami Mboulou, ministre de l'intérieur,  pour disqualifier Kolélas des élections législatives et locales. Analysant la situation sur le terrain et craignant le soulèvement des militants de Kolélas, Tsaty Mabiala réussira à disqualifier le mouvement YUKI qui avait déjà participé à l'élection présidentielle mais interdit aux élections législatives et locales pour éviter qu'il ne gagne plus de députés que l'UPADS à qui le PCT ne cédait que 8 sièges.
 
Le mouvement YUKI bien qu'étant interdit a pu présenter des candidats comme indépendants et il a, malheureusement pour Tsaty Mabiala, obtenu 8 députés comme l'UPADS, le grand parti géré par le petit Pascal. On peut donc dire que les vrais députés élus sont ceux de YUKI.
 
Aujourd'hui Tsaty Mabiala est nommé chef de l'opposition par le ministre de l'intérieur en conseil de Ministres pour services rendus. Aucun dirigeant de l'opposition n'a présenté des félicitations à cet assoiffé de pouvoir.
 
Tout le monde se rappelle de la radiation de Mouamba Clément pour avoir participé au dialogue qui se tenait chez lui à Sibiti alors que lui, Tsaty, pouvait aller à Ewo participer au dialogue par Jet privé affrété par le pouvoir.
 
L'UPADS est devenue tout au moins de ce qui reste du parti, son paillasson pour s'enrichir. Il suffit de voir sur la toile comment sa fille Tessia se mêle des affaires du parti pour défendre les intérêts familiaux avec son vieux blanc de mari chargé de blanchir les pétros-cfa qu'il va récupérer à Brazzaville...
 
DUMISS' KIFUMB'
 
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31 décembre 2017 7 31 /12 /décembre /2017 14:07
MESSAGE DE FIN D'ANNEE 2017 DU LION DE MAKANDA AU PEUPLE CONGOLAIS

Chers compatriotes,

Chers lecteurs,

Chers abonnés à ma NewsLetter,

depuis que la libération de la parole est une opération réussie, nous n'écrivons plus beaucoup car nous passons notre temps plus à lire, à organiser des manuscrits très anciens et très importants pour des usages ultérieurs. BrazzaNews pour les faits divers, Zenga-Mambu, Congo-Liberty, Ziana Tv, BrazzaParisInfos et tant d'autres informent les Congolais sur ce qu'il se passe au Congo. Nous pouvons donc nous contenter d'écrire lorsque nous en ressentons la nécessité.

Cette année 2017 s'achève sur un accord sur le génocide du Pool transmuté en guerre du Pool puisque Sassou et le pasteur Ntumi signent des accords controversés par des personnes interposées. ETRANGE : LE POUVOIR VIENT DE NEGOCIER AVEC UN HOMME TAXE DE TERRORISTE ! Il y a forcément anguille sous roche. Les populations du Pool ne sont pas encore revenues chez elles, elles dont les villages ont été complètement détruits par pur tribalisme et par pur haine des Bakongos. Et il y a toujours dans nos prisons des hommes arrêtés juste au motif politique. La faillite du pays tourne à la banqueroute et la banqueroute nous conduit doucement au déclin du peuple congolais...

Nous croyons que notre problème est la dictature instaurée par Denis Sassou Nguesso - alors que celle-ci n'existerait pas sans le tribalisme qui la soutient depuis trent-trois ans. Tant que rien ne sera dit ou fait à ce propos, rien ne changera au Congo et peu importe que le pays regorge de richesses ; la majorité de la population sera toujours marginalisée.

Il y a des vérités inavouables : Denis Sassou Nguesso et les siens ne peuvent pas avouer qu'ils veulent garder le pouvoir au nord, de sorte qu'il ne tombe pas entre les mains des sudistes, leurs ennemis ataviques. Ils ne vous le disent pas mais les faits vous le montrent. La force publique, l'administration, la politique, bref tous les postes de décisions, vous pouvez voir quels sont ceux qui les occupent et à quel titre. Il ne pourra être question de démocratie que lorsque nous aurons vaincu le tribalisme. Or, personne n'y prend garde. A la mort de Denis Sassou alias Nguesso, si vous ne faites rien contre le triibalisme, vous verrez un autre Mbochi à la tête de l'Etat. A ce moment-là, vous comprendrez ce que je vous dis.

La crise congolaise n'est pas d'abord une crise économique mais une crise politique car l'Etat est devenu ce que j'appelle ETHNIE-ETAT, un pouvoir idéologiquement détenu par une ethnie et par delà elle, par toute une région qui en dépit de tout, refuse la chute du monarque à l'impunité absolue avec droit de tuer Denis Sassou alias Nguesso. Avec l'impunité des membres de l'ethnie-Etat s'expliquent tous les vices comme les détournements, la corruption, la mal-gestion des affaires publiques, les assassinats, le génocide des Bakongos, etc. La baisse du prix du baril du pétrole n'est qu'un prétexte : il y a des pays qui n'ont pas de pétrole et qui se portent mieux que nous. Le baril de pétrole a caracolé à des prix dépassant les cent dollars ; l'ethnie-Etat n'a pas du tout industrialisé ou diversifié l'économie congolaise. Des centaines voire des milliers de milliards de pétros-cfa ont été détournés, le moindre petit projet étant financé par la dette. Il est évident que l'ethnie-Etat ne va pas afficher la politique du tribalisme sans l'édulcorer par des complices de toutes les ethnies. Des personnalités comme Tsaty Mabiala Pascal, le petit, nous ne le prouvent en jouant le rôle d'une opposition molle et de façade, tant qu'elles tirent leur épingle des miettes des miettes car il il y a les miettes que Total et les multinationales laissent au Congo, et les miettes de ces miettes que l'ethnie-Etat donne aux complices - collabos de toutes ethnies pour masquer le triabalisme ambiant qui est la logique qui entraîne le pays vers la décadence, le déclin et la mort de tout un peuple.

 

Chers compatriotes,

sans l'appui de son ethnie Mbochi qui compose l'essentiel de la milice de l'ethnie-Etat et sans le soutien des cadres de son ethnie, Denis Sassou Nguesso ne serait plus au pouvoir. Aujourd'hui, tous ceux qui vivent du tribalisme, instrument de conservation politique et garantie de l'impunité, savent que perdre le pouvoir, c'est s'exposer à rendre des comptes pour des crimes de sang et des crimes économiques qui relèvent pour certains de la Haute Trahison d'un peuple tout entier. Et lorsqu'on évoque la question du tribalisme qui est le cœur de nos problèmes, de faux intellectuels se lèvent, font des vidéos et s'arrachent des cheveux. Si au sud, nous croyons à la démocratie, il est clair qu'au nord du pays, tel n'est pas le cas. Et dans ces circonstances, nous sommes condamnés à voir un homme du nord diriger notre pays pour le malheur de tout un pays. A moins que l'on prenne conscience de ce mal et qu'on le combatte sans merci.

Il n'y a pas eu un seul mot sur le tribalisme dans le discours de Sassou. Et pour cause ! C'est ce qui explique son maintien au sommet de l'Etat en dépit de tous les échecs répétés depuis trente-trois ans !

Il est évident que dès qu'on parle de "Mbochis", de "nord", certains esprits se révulsent. Ils s'opposent à la vérité car ils nient l'idéologie du tribalisme. Oui, tous les Mbochis ne sont pas concernés par le pouvoir, oui, les nordistes aussi souffrent mais pourquoi les Mbochis et les nordistes ne se lèvent-ils pas en masse pour réclamer la démocratie comme les autres ? Doit-on comprendre que ladite démocratie ne profitera qu'aux Sudistes, de leur point de vue ? Certes, quelques intellectuels du nord se lèvent contre les frasques de Sassou mais question alternance, on les a tous vus soutenir le Général Mokoko pour que le pouvoir reste au nord. Donc, pour eux, alternance, oui, pour eux mais tant que l'alternance se joue au nord. C'est cet esprit qui tue le pays et, tant qu'on ne posera pas le problème du tribalisme sur la table, tant que le fanatisme ethnique prévaudra, le Congo ne sera jamais un pays de paix et de démocratie.

Oui, je l'entends bien, et je l'ai dit et répété, le tribalisme est une idéologie politique qui n'a pas commencé avec Sassou mais qui a été exacerbé par lui au point où le plus incompétent des  Mbochis se voyait nommé à des postes de décision - sans le mériter. Et comme le dit Max Weber :  " Ceux qui vivent d'un système, défendent le système" , tant pis s'il est le pire de tous et tant pis pour ceux qui n'en profitent pas.

Nous sommes exposés au tribalisme car quel que soit celui qui accédera au pouvoir au Congo, il sortira par son père ou par sa mère d'une ethnie. Et ses proches ethniques voudront toujours transformer les droits de tous en privilèges de quelques-uns. Dire cela, c'est dire la vérité car, dans ce contexte, même dans la meilleure des élections démocratiques, élire un président de la république reviendrait à porter une ethnie entière ou une région au sommet de l'Etat. Et cela a toujours été vécu ainsi depuis 1960.

 

Alors, comment vaincre le tribalisme ? Il s'agit d'abord d'en prendre conscience et de le mettre hors-jeu par la loi. Or, jusqu'à présent, cet aspect est négligé. Nous ne nions pas nos affinités ataviques mais nous devons faire en sorte qu'elles ne viennent pas brouiller notre vie républicaine, notre vivre ensemble avec mise en commun des richesses de tous le pays. Le tribalisme doit être combattu légalement. Il faut un équilibre qui fasse qu'aucune ethnie ne prédomine au sein des institutions nationales. Comment expliquer par exemple la  pléthore des Mbochis au sein de la SNPC qui gère notre pétrole ? Les Mbochis ont-ils fait la preuve d'être les seuls compétents en la matière ?

Certains refusent de parler de tribalisme de peur d'être indexés et souvent celui qui dénonce ce mal est accusé de tribaliste. Le tribalisme est un fait. Et il explique qu'on ne cherche plus à développer un pays mais juste à conserver le pouvoir dans un camp. 

Il faut commencer par distribuer les mêmes droits et à exiger les mêmes devoirs à tous. L'extrémiste mbochi Okombi "Salissant" a eu des propos très équivoques quand il s'agissait de mettre en cause les siens. Il s'est caché derrière une fixation - alors qu'il sait bien que ce ne sont que des faits : LES MBOCHIS QUI ONT RUINE LE PAYS, JE NE PARLE PAS DE TOUS LES MBOCHIS, ONT TOUJOURS BENEFICIE DE LIMPUNITE ABSOLUE DANS NOTRE PAYS. Et d'ailleurs, Okombi a eu des propos très salissants à l'égard de Ntumi quant aux miliciens de l'ethnie-Etat tombés dans le Pool - comme si les milliers de vies Kongos et les centaines de villages détruits ne comptaient pas.

L'accord signé entre Ntumi et Sassou n'empêchera pas le massacre des populations Kongos car le génocide n'est pas terminé : les troupes de Denis Sassou alias Nguesso vont entrer dans le Pool par la RDC pour prendre le pasteur Ntumi et ses hommes en étau. Sassou est un soldat et cette fois-ci, il veut une victoire militaire. L'accord lui permettra de gagner du temps. Si cet accord avait un sens, il aurait permis que les organisations internationales aillent visiter ce qu'il se passe dans le Pool. Le second indicateur sera le retour des populations. Ce qui ne change rien au cas Ntumi toujours poursuivi par l'injustice de notre pays - alors que de nombreux criminels de l'ethnie-Etat courent fièrement les rues.

 

Mes chers compatriotes,

il faut crever l'abcès du tribalisme si nous ne voulons pas sombrer demain dans une somalisation et une rwandisation du Congo. Au nord, ils sont prêts à conserver le pouvoir par la force, par les armes. Je l'écris ici. Vous le verrez à la mort de Sassou si les choses n'ont pas changé avant.

En votant massivement le Général Mokoko à la dernière élection présidentielle, alors que dans les régions nord, on a exclusivement voté pour les candidats originaires du nord, nos compatriotes du sud ont démontré qu'ils n'ont pas la même vision de la démocratie que nos frères du nord. Demain, quand éclatera une guerre pour la conquête du pouvoir, vous comprendrez ce que je dis ici.

 

Mes chers compatriotes,

je vous dois la vérité. Et cette vérité est dure mais c'est la vérité. Tant qu'il y aura du tribalisme, le Congo, notre pays, demeurera un pays sous dictature, un pays sous-développé car l'idéologie tribaliste vend le pays aux étrangers, ce qui compte pour elle étant juste la conservation du pouvoir dans un camp.

 

Mes chers compatriotes,

l'année qui va commencer demain ne changera rien si nous ne changeons pas nous-mêmes. La crise, c'est le résultat du tribalisme et non juste une simple question de baisse du baril du pétrole. Si notre pays avait bien géré les surplus que nous avons accumulés pendant des années, on ne subirait pas de plein fouet la chute drastique des cours du pétrole.

 

En 2018, les mêmes personnes coupables des mêmes causes produiront les mêmes effets.

 

En 2018, je vous invite tous à combattre le tribalisme, cette idéologie néfaste qui conduit inexorablement à la guerre comme on l'a vu tout le long de l'histoire. Avec une injustice mbochisée jusqu'à l'os, les criminels et les gangsters d'Etat n'ont rien à redouter et vous verrez que la lutte contre la corruption sera vaine.

 

QUE 2018 DEVIENNE POUR TOUS LES CONGOLAIS LA PREMIERE ANNEE DE LUTTE GENERALE CONTRE LE TRIBALISME. Le tribalisme conduit à la dictature, le dictateur se sachant soutenu par une ethnie et par une région. Nous ne pouvons parler de démocratie sans résoudre la question du tribalisme qui est en soi la première de toutes les injustices dans notre pays.

 

En dépit de tout, je vous souhaite une courageuse année 2018 placée sous le sceau de la lutte contre le tribalisme jamais nommé et jamais combattu.

 

VIVE, LE CONGO LIBRE DE TOUT TRIBALISME !

BONNE ET COURAGEUSE ANNEE 2018 !

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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