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12 janvier 2017 4 12 /01 /janvier /2017 18:48
COMMUNIQUE NECROLOGIQUE : MR STEPHEN NZOULOU ALIAS CLIFF ANNONCE LE DECES DE SA MERE AUX USA

Ceci est un avis nécrologique à l'attention de la famille, des amis et connaissances de monsieur Stephen Nzoulou, originaire du Congo-Brazzaville, connu par les intimes sous le pseudo de Cliff qui réside depuis des années aux Etats-Unis. Il nous annonce avec regret le décès de sa mère qui vivait auprès de lui aux USA depuis une dizaine d'années. Cliff est un frère, un ami de longue date dont nous partageons en ce moment même la douleur. L'homme a vécu en Europe de l'Est avant de se retrouver aux Etats-Unis en passant par la France, notamment  à Lyon. Nous attendons de nouvelles informations (photos, nom et prénom de la défunte, date du décès, etc) pour compléter cet article. J'ai pu avoir vent de cette triste nouvelle par un ami commun qui habite Paris.

Mon cher Cliff, mes sincères condoléances. Je m'associe à ta douleur. Tu ne manqueras certainement pas de m'apporter de plus amples informations, à savoir si la défunte maman va être enterrée au Congo ou pas. Tu peux me contacter par le menu Contact du blog, par Facebook ou par mail. Pour l'instant, nous souhaitons que  l'âme de notre mère repose en paix. 

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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28 août 2009 5 28 /08 /août /2009 21:20

 

43 chambres et 42 000 € par jour pour les vacances de Paul Biya - sans compter la nourriture, les amplettes et le reste  !

 

Après les biens mal acquis, voici les vacances hors de prix ! France Inter et Radio Fidélité Nantes ont révélé vendredi matin que le président du Cameroun, monsieur Paul Biya, se repose dans un palace de La Baule. Paul Biya est venu avec sa suite : soit 43 chambres occupées pour un montant journalier de 42 000 euros. Mieux que les vacances de Sarkozy, Bush et Obama réunis.

La chic clientèle des habitués de La Baule connaît bien les deux palaces. L'Hermitage, un cinq étoiles en bord de mer avec ses colombages normands et le Royal, juste quatre étoiles, mais une thalassothérapie à vous déstresser n'importe quel chef d'Etat surmené. En fait, Paul Biya a découvert La Baule grâce à une amie qui y possède un appartement et il y revient pour la qualité des soins thalassos…

Comme en 2006, Paul Biya et sa suite ont donc pris le chemin de la station balnéaire, le 15 août, pour prendre leur quartier dans ces deux hôtels du groupe Lucien Barrière, dont le PDG, Dominique Desseigne, est un ami de Nicolas Sarkozy.

Honoré par la médaille de la ville

Paul Biya n'est pas venu seul : d'après France Inter, sa suite occupe 43 chambres dans les deux établissements, pour un montant global estimé à 42 000 euros par jour. Soit une facture totale qui devrait approcher le million d'euros, puisque la délégation présidentielle reste trois semaines sur place.

A 13h, le président Biya, son épouse Chantal et quinze personnes de la délégation ont fait leur apparition à l'hôtel de ville. Discours, échange de cadeaux (une statue africaine contre un livre illustré sur le partrimoine architectural et arboré de la ville). Devant quelques journalistes de la presse locale, Paul Biya a assuré :

« Votre ville est très confortable. Je reviendrais sans doute. » Et il a tenu sa promesse ! Il est revenu !

Pourquoi Paul Biya aurait-il hésité ? Il a reçu le meilleur accueil des autorités locales. A commencer par le maire UMP de La Baule, Yves Metaireau, qui ce vendredi a décoré en personne son présidentiel touriste de la médaille d'honneur de la ville en tant que « nouveau résident secondaire ».

Le maire, comme tous les commerçants du coin, apprécient ces généreux touristes qui ne lésinent pas à la dépense. Pas négligeable en temps de crise. En effet, comment cracher sur un million d'euros ?

Evidemment, pas question à la Baule de rapprocher cette information de la crise sociale et économique qui ravage le Cameroun ces dernières années. Inutile de rappeler que les émeutes de Douala, en février 2008, avaient démarré suite à la baisse jugée trop faible (un centime d'euro) du litre d'essence…

D'autres présidents africains ont senti le vent tourner et boudent désormais la France

Paul Biya serait-il devenu une exception parmi les dictateurs africains ? Ces deux dernières années, le défunt président gabonais Omar Bongo comme le président congolais Denis Sassou N'guesso et l'équato-guinéen Téodoro Obiang boycottent la France où des associations et des citoyens leur intentent des procès.

En effet, tout trois ont pour point commun d'avoir été la cible de l'enquête sur les biens mal acquis, réalisée par les limiers de l'Office central de lutte contre la grande délinquance financière. Hôtels particuliers, châteaux, appartements et belles voitures : tout le patrimoine de ces chefs d'Etat et de leurs proches a été répertorié.

Résultat : ils s'arrêtent désormais au Maroc, où le soleil est plus chaud et les palaces tout aussi confortables ou vont se faire soigner en Espagne pour le cas de monsieur Denis Sassou Nguesso dont on ne parle plus à la télévision congolaise - comme si on essayait de nous dissimuler quelque chose de grave...


Photo : la terrasse de l'hôtel L'Hermitage, à La Baule (DR)



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14 septembre 2008 7 14 /09 /septembre /2008 10:10
Edith Lucie Bongo Ondimba aurait été vue à l'Ambassade du Congo à Paris dans un piteux état. Elle aurait déclaré avoir été volée et l'objet dérobé n'est autre qu'une voiture diplomatique ! Ceux qui l'ont vu ont décrit qu'elle portait les stigmates de la drogue et avait perdu tout son éclat. On dira que nous nous acharnons sur cette femme ; ce qui est faux ! Nous ne sommes pour rien dans le fait qu'elle consomme la drogue, ce n'est pas nous qui lui avons demandé de dérober les fétiches de son mari Omar Bongo Ondimba afin que son père ait la même longévité politique - raison pour laquelle les sages mbochis disaient à Sassou qu'il savait pourquoi sa fille était passée de la lumière à l'ombre. Nous vous informons tout simplement afin que vous vous rendiez compte que ceux-là mêmes qui nous martyrisent n'échapperont pas à un certain sort - même s'il tarde à venir. Edith avait tout pour une vie heureuse mais elle a voulu plus et s'est lancée simultanément dans la voie occulte et dans la drogue. Certainement n'était-elle pas aussi aguerrie en sorcellerie que son père et son époux. En tant qu'être humain, nous nous émouvons du sort de cette jeune femme mais IL Y A UN PRIX A PAYER - MEME SI CERTAINS NE LE PAYERONT PAS DANS CETTE VIE. Nous tenons un journal et notre mission est de vous informer. Vous pouvez bien sûr vérifier l'information.
Comment peut-on se faire voler une voiture diplomatique ? S'agit-il d'un délire ou d'une réalité ? Pourquoi ne s'est-elle pas rendue à l'Ambassade du Gabon car n'est-il pas normal de penser qu'il s'agirait d'une voiture de l'Etat gabonais ? Or, elle est venue demander visiblement assistance à l'Ambassade du Congo - donc à son père ! Elle aurait pu téléphoner au lieu de se déplacer à papa, à son mari. Que se passe-t-il entre Edith, son père et son mari Bongo Ondimba pour qu'une femme de président en même temps fille de président puisse être réduite à venir se plaindre auprès de l'ambassade de son pays ? Cette information que nous avons reçue serait-elle fallacieuse ? On avait dénoncé la gabégie faite par Omar Bongo à travers la paierie du Gabon pour l'achat de certaines voitures de luxe à Edith Sassou Bongo. Omar essaie-t-il de camoufler les preuves de celle-ci - à l'heure d'une campagne contre le détournement au Gabon ? Car qui en dehors du président omar Bongo peut agir de la sorte ? Il y a forcément un chauffeur qui s'occupe d'une telle voiture puisque madame la première dame du Gabon et deuxième dame du Congo (après Tchibota épouse papa) ne peut conduire dans son état et même dans un état supposé normal, son rang ne le permettrait pas ! Normalement, elle aurait dû porter plainte auprès de la police parisienne - pour plus d'efficacité. La seule hypothèse plausible que nous nous faisons dans cette histoire, c'est que Bongo a dû récupérer ce véhicule pour conduite inacceptable de la part de sa chère épouse et celle-ci serait venue voir les serviteurs de papa pour qu'on lui trouve une autre voiture de fonction - non pas qu'elle manque de voitures mais la voiture diplomatique a le  chic de ne pas être dérangée car comment transporterait-elle sa drogue autrement ? En tout cas, j'active mes informateurs car cette affaire incroyable m'intrigue. 
Vous aurez compris qu'Edith n'est plus au Maroc mais en France. On m'a appris qu'elle navigue entre la France et le Maroc au gré de sa santé. Le Maroc, fournisseur mondial de cannabis et plaque tournante d'autres drogues.... 
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11 juin 2008 3 11 /06 /juin /2008 11:32

Les 14 et 15 juin prochains, le ministre des Affaires étrangères de la République de France est annoncé en terre ivoirienne. Après avoir boudé notre pays, SEM. Bernard Kouchner vient « vendre son pays » comme quoi les occidentaux n’ont que leur intérêt à défendre. Dans ce tourbillon, il nous revient de mettre les projecteurs sur cette visite. Au regard de la position ambiguë de la France tout au long de cette sale guerre, ce serait anormal que la section ivoirienne du Mouvement de Libération de l’Afrique Noire (MLAN) se taise face à cette visite stratégique.

 

En effet, depuis septembre 2002, la Côte d’Ivoire connaît les moments les plus tristes de son histoire. Les événements de novembre 2004 ont fini par faire douter les Ivoiriens sur les accointances entre la France et les bourreaux d’alors. D’ailleurs, l’observateur très attentif ne peine point à reconnaître la trace certes superficielle mais pas artificielle de ce pays dans les affaires africaines. Il suffit de vouloir choisir ses amis, ses partenaires que l’ancienne colonie aux idées napoléoniennes  se ligue contre vous. Aujourd’hui le cri contre la France s’est accru et elle s’est révélée à l’Afrique toute entière sans énigmes.  

Jadis la Côte d’Ivoire, la vache à lait de la France lui procurait un grand profit même encore aujourd’hui. Pourtant, les soldats français ont tué en Côte d’Ivoire. Et justement c’est pour cette raison que le MLAN-CI ne trouve pas convenable que l’on reçoive le chef de la diplomatie française sans le pardon de la France. Pour faire oublier leurs malheurs dans notre pays, c’est un simulacre de jugement contre le sergent-chef Ibrahim Coulibaly, dit « IB », qu’on brandit comme un trophée. L'ancien chef rebelle ivoirien, actuellement en Belgique, a été condamné le mercredi 4 juin à quatre ans de réclusion par la 16e chambre du Tribunal correctionnel de Paris, pour un projet de coup d'État en Côte d'Ivoire en 2003 qui visait à renverser le président Laurent Gbagbo. Pourquoi c’est la France qui juge un ivoirien ? N’y a t-il pas de juges en Côte d’Ivoire ? Juste faire plaisir aux autorités ivoiriennes.

Au nom de notre indépendance et du combat que nous menons pour notre survie, cette scène de théâtre ne nous fait pas du tout rire.

C’est pourquoi, nous condamnons le manque de respect des autorités ivoiriennes à l’endroit de nos martyrs, ceux qui sont morts sous les balles françaises , sur la route de la liberté. Le MLAN-CI voudrait saisir l’occasion pour saluer l’intégrité et la fidélité d’un peuple en quête d’identité et de dignité. Peuple ivoirien, garde toi d’oublier ces choses abominables que tu as connu par la volonté d’un seul pays, voulant s’approprier ton sous-sol. Ne vous mettez point en réunion avec cette infidélité à la nation car quel rapport y a-t-il  entre l’opprimé et l’oppresseur, entre le dominé et le dominant ?

Il est superflu que nous répétions sans cesse la malice des pays occidentaux. Si ce n’est la manipulation politique, ce sont les guerres qu’ils font naitre pour pêcher en eaux troubles. Nous n’oublions pas le génocide Rwandais de 1994 et la guerre en Côte d’Ivoire. Après avoir colonisé nos grands parents, c’est à nous de payer maintenant l’impôt colonial. Mais c’est peine perdue. Nos devanciers nous ont arrosés  par leur combat de la pluie de la première saison, il nous revient maintenant d’envoyer sur nos peuples la pluie de l’arrière- saison, pour briser les barrières afin que l’Afrique retrouve sa position initiale.

Nous ne ferons rien avec précipitation, mais guidé par le suprême, nous irons certainement de victoire en victoire jusqu’à libérer nos économies des griffes des « pays vautours ».

Biens- aimés frères Ivoiriens, n’ajoutez pas foi à tout esprit mais éprouvez les pour connaître leur nature.

 

Aux héros d’hier et aux espoirs de demain, l’Afrique est notre ABSOLU.

Dieu bénisse la Côte d’Ivoire et l’Afrique

 



Le délégué MLAN-CI

Konan Yao Alexis
1er vice-délégué
Koffi Jean Martial
2e vice-délégué
Loukou Kouamé Theodore
Le secrétaire général du MLAN-CI
Obou Serge Eric

www.mlan.fr

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19 février 2008 2 19 /02 /février /2008 11:27
undefinedVoici un article publié par le journal "La Semaine Africaine" qui explique pourquoi Sassou, le cobra royal, avait besoin d'une Assemblée Nationale totalement sous influence : il peut en toute illégalité violer sa propre Constitution sans risque de courir la moindre protestation. Vous comprenez que les lois ne sont là que pour donner l'illusion d'un pays constitutionnellement établi - alors que tout ce qui s'y passe est le fait du prince qui décide seul. Le budget voté par l'Assemblée Nationale ne correspond qu'à la moitié des richesses produites par le pays et ce fameux budget est le lieu de lecture de tous les détournements, vols, dilapidations de la richesse nationale par un petit clan venu du nord du pays. Quand le budget de l'année suivante est voté sans que le budget précédent ait été avalisée, le détournement est tout simplement cautionné et on recommence lors de la mandature suivante : on ne sait donc pas ce que Sassou a fait des milliards du budget 2006 et du budget 2007. ET CETTE IGNORANCE DE CE QU'ON A FAIT DU BUDGET PRECEDENT EST LA PREUVE SILENCIEUSE DU VOL DE L'ARGENT PUBLIC PAR UN SASSOU TOUT-PUISSANT, DOCTEUR ES DETOURNEMENTS ! VOILA UN PAYS OU L'ON IGNORE COMPLETEMENT CE QU'IL ADVIENT DU DENIER PUBLIC. GRAVISSIMEMENT INIMAGINABLE !
Kignoumbi Kia Mboungou est un ami du président Sassou qui lui laisse le loisir de le traiter de menteur pour donner l'illusion d'une liberté d'expression et par extension d'une démocratie tout court. En fait, Sassou se fiche royalement des critiques qui ne l'atteignent pas car à ses yeux, le peuple congolais est un peuple vaincu par les armes, un peuple qui a accepté de voir sa démocratie zigouillée par un malade mental qui ne sait faire que voler, voler, voler l'argent et les richesses du Congo-Brazzaville. 
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undefinedJoseph Kignoumbi Kia Mboungou, député U.pa.d.s
«Le budget 2008 est faux comme l’exécution du budget 2007»
 
 
Député U.pa.d.s (Union panafricaine pour la démocratiesociale), Joseph Kignoumbi Kia Mboungou a tenu à réagir, après l’adoption du budget de l’Etat exercice 2008, par le parlement. Dans l’entretien qu’il nous a accordé, le bouillant député de l’opposition démontre que la Constitution n’est pas respectée en matière d’adoption de la loi des finances de l’Etat et s’attaque à la politique du président Denis Sassou Nguesso qui, pour lui, ne tient pas ses promesses.
 
 
 
*Monsieur le député, le budget de l’Etat, exercice 2008, a été revu à la hausse par l’assemblée nationale, qu’en pensez-vous?
** D’abord, il faut vous dire que le parlement a été saisi en violation de la Constitution, en ses articles 126, 127 et notamment 128 et 129 et surtout de l’article 58 alinéa 2 de la loi portant régime financier de l’Etat qui dispose que: si au terme de la fin de l’année qui suit l’année d’exécution du budget, le projet de loi de règlement n’est pas déposé, les projets de loi de finances initial à venir ne peuvent être soumis au parlement, tant que le projet de loi de règlement dont il s’agit n’a pas été déposé. Il fallait, donc, que le projet de loi de règlement de l’année 2006 nous soit déposé avec le projet de budget 2008. Comme vous devez le savoir, la loi de règlement permet à la cour des comptes et de discipline budgétaire et au parlement, de contrôler l’exécution du budget et les dépenses publiques qui sont mauvaises, comme nous le savons tous et comme le disent le Fonds monétaire et la Banque mondiale, en l’occurrence à chaque revue. Au sujet du dépôt de la loi de finances, j’ai écrit au président Sassou, au ministre Issoïbeka, au parlement et à la cour constitutionnelle, pour rappeler les dispositions de la loi, mais comme vous vous en doutez, toutes ces institutions ont fait fi de la Constitution et de la loi. Qu’à cela ne tienne, passons à votre sujet de préoccupation. Vous devez, d’abord, savoir que c’est grâce à la perspicacité et la vigilance de la Commission économie et finances que les recettes du budget de l’Etat ont été recalculées, pour s’élever, maintenant, à 1.922 milliards, avec 1.571 milliards de recettes pétrolières, au lieu de 1.321 milliards. On voulait dissimuler aux Congolais 250 milliards, comme si les Congolais étaient aussi devenus des «fonds vautour». Les Congolais se posent, donc, la question de savoir ce qu’on fait avec tout cet argent, puisque leurs grands problèmes
undefinedne sont par réglés (relèvement des salaires des fonctionnaires, pensions de retraite de la C.n.s.s, construction des salles de classes et des dispensaires, recrutement des maîtres et du personnel de santé, dotation en tables-bancs, l’eau, l’électricité et les routes). Pourtant, tout ceci fait l’objet, semble t-il, des préoccupations du président Sassou (voire programme électoral et divers discours sur l’état de la nation). Ce qui est absurde, c’est le transport des malades à dos de personne, au C.h.u, moyennant 1000 francs par étage, par défaut d’ascenseurs, alors qu’il y a l’embellie.
* Vous ne voyez, donc, pas les réalisations de la municipalisation accélérée?
** La différence entre vous, journalistes, et nous Congolais, c’est que vous écoutez les discours endormeurs et mensongers de Denis Sassou Nguesso, alors que nous nous préoccupons de la vie de chaque jour et de l’avenir de nos enfants. Sur près de 2.000 milliards, 885 sont consacrés au fonctionnement et seulement 28%, soit 471 milliards à l’investissement. Le plus gros des recettes provient du pétrole (80%). Supposons seulement que le marché pétrolier venait à se retourner, que deviendrait alors le Congo? Ce serait la banqueroute. Rien n’est fait pour diversifier l’économie; même l’agriculture que le même président Sassou déclarait priorité des priorités, ne bénéficie que de 10 milliards de francs, alors que la présidence de la République prend, à elle seule, près de 70 milliards, en fonctionnement et 41 milliards en investissement. Pendant ce temps, les départements ministériels, les
conseils de département et toutes les administrations n’ont pas leurs budgets. Où va alors l’argent, si à la fin de l’année on dit que le budget est exécuté à 100%?
* Votre dernier mot, Monsieur le député ?
** Le président de la République, chef du gouvernement, est un homme sans parole. Il a promis aux travailleurs derelever leurs salaires et ne l’a pas fait, sinon les 5.000 francs par travailleur, soit 5%; il a promis créer 40.000 emplois jeunes, chaque année, et dans son propre discours sur l’état de la nation, il parle d’environ 4.000 emplois seulement et dans le secteur forestier. La fameuse lutte contre la pauvreté se fait uniquement dans les discours et on ne voit rien sur le vécu quotidien. Le budget 2008 est faux comme l’exécution du budget 2007, le budget 2008 est absolument faux. J’espère, simplement, que la délégation du Fonds monétaire ne va pas donner une nouvelle prime à la mauvaise gouvernance, au président Sassou, sur la base de ses mensonges.
 
Propos recueillis par Pascal Azad DOKO
 
 
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29 janvier 2008 2 29 /01 /janvier /2008 13:25
Détournement - Le TPG, Blaise LOUEMBE et ses fourgons ! PDF Print E-mail
Un article tiré sur le site du rdpg montre comme je l'ai toujours dit la technique usuelle du détournement appliquée au Congo, au Gabon ou ailleurs : pour un achat, on décaisse dix fois plus d'argent ! Au Gabon, pour acheter des fourgons  valant 400 millions de francs cfa, on décaisse près de 4 milliards de francs cfa. Tout le monde se sert au passage et c'est ainsi qu'on ruine un pays. Multipliez à l'infini une telle procédure et à coup sûr, vous arriverez à la ruine d'un pays tout entier, d'un continent, pour la félicité de quelques hyènes.
Thursday, 24 January 2008

L’affaire des 13 fourgons (qui ont coûté, selon la version officielle, plus de 400 millions de Fcfa, alors que le Trésor avait réclamé 2.313.855.000 Fcfa (plus de 2 milliards). Mais des sources parlent de 3.600.000.000 FCFA (plus de 3 milliards) destinés au transport des fonds du Trésor public commence à prendre des proportions inquiétantes. Au point qu’il n’est point exclu, si tout est bien ficelé, que quelques grosses huiles aillent retrouver les stars déjà bien au frais à la prison de «Sans Famille».

A juste titre d’ailleurs, toujours est-il que l’affaire est tellement sérieuse que, selon nos investigations, ceux qui de près ou de loin ont participé à ce dossier de l’achat des fourgons pourraient à coup sûr perdre leur plumage. Au Tribunal de première instance de Libreville, où l’on ne jure plus que par le mémorable discours quarantenaire du chef de l’Etat, on piaffe d’impatience à l’idée de donner la chasse, puis de délivrer le fameux laissez-passer pour «Sans Famille» à tous les délinquants à col blanc qui ont fait du détournement massif des fonds publics leur principale activité, trahissant ainsi la confiance que le chef de l’Etat a placée en eux. Si d’ici là, la montagne n’accouche pas d’une souris, au moins trois galactiques du Trésor public devraient aller jouer au farroteur «bling-bling» derrière les hauts murs de la Prison centrale.

Le vocabulaire sanitaire a fait irruption en 2007 dans l’univers de la finance mondiale qui est affectée par la crise des subprimes (lisez supraïmes), forme bancaire de la maladie de la «vache folle». Les vaches étaient nourries aux farines
animales.

De même, les financiers ont gorgé des ménages américains, à la solvabilité douteuse, de crédits immobiliers complexes.  Comme l’encéphalite bovine spongiforme (ESB), comme l’encéphalite financière subprime(lisez subpraïmes),  l’encéphalite du Trésor public du Gabon est provoquée par des pratiques tellement aberrantes que l’on se demande comment le fonctionnaire le mieux payé du Gabon s’y sent-il à son aise ?

Pour revenir à la fameuse affaire des fourgons, c’est le 15 septembre 2006 que le camarade Blaise Louembe, tout  influent Trésorier payeur général du Gabon, sollicite respectueusement une demande d’avis de non objection à la Direction générale des marchés publics ; demande relative à l’acquisition de 13 «véhicules blindés équipés de système de communication et de vidéosurveillance» – on se croirait à Star war - ! pour l’escorte des fonds publics.

Au lieu de procéder par appel d’offres comme le commande la loi, lorsqu’un marché public dépasse les 30 millions de Fcfa, le tépégé, pour gagner du temps, contourne l’obstacle comme le prévoit également le Code des marchés publics, eu égard à la  technicité du service, et attribue le marché par entente directe – la belle formule que voilà ! - à la société IN  Consulting du sieur Félix Bongo, en liaison avec la société française CENTIGONE. La dépense évaluée, par le tépégé lui-même, à 2.313.855.000 Fcfa devra être entièrement couverte par les ressources propres du Trésor public. Charité bien ordonnée…

Toujours est-il que cette opération, qui a connu un épilogue spectaculaire avec remise officielle, par le ministre des Finances devant le gotha du Trésor, des véhicules à chaque trésorerie provinciale sous les regards des caméras, nous emmène à faire les observations suivantes : 

Première observation : en agissant ainsi, le tépégé ne jette-t-il pas à terre tout le programme du Gabon avec le FMI ? L’urgence en fin d’année (la lettre à la Direction générale des marchés publics est daté du 15 septembre 2006), les informations peu fiables, y compris à destination de la presse gouvernementale, et le secret de cette opération ont fait oublier à Ya Blaise que la gendarmerie nationale sait transporter les fonds. Le problème grave que pose cette opération est prévenue dans le résumé analytique du rapport du 12 octobre 2006 « pour améliorer la transparence des finances publiques, la priorité est d’améliorer la disponibilité et la qualité de l’information budgétaire pour le public, y compris pour l’utilisation des hors budgets des recettes pétrolières.

Des progrès urgents doivent être réalisés dans les domaines suivants : entre autres, rationaliser l’exécution budgétaire par la mise en place rapide du budget voté, la simplification des procédures de contrôles et son orientation vers la matérialité de la dépense et son efficacité, éviter les procédures particulières pour certaines dépenses, la  préparation d’un plan de trésorerie pour réduire les délais de paiement et éviter les arriérés ». Pourquoi le Trésor public peut-il engager 2 milliards de FCFA pour des fourgons, alors que le pays a d’autres priorités ?

Deuxième observation : elle porte sur la liaison entre ING Consulting et CENTIGONE. D’après l’article 6 du Code des marchés publics : «les entreprises constituant un groupement sont solidaires ou conjointes lorsque chacune d’elle est engagée pour la totalité du marché et doit pallier une éventuelle défaillance de ses partenaires». Si  CENTIGONE ne peut plus fabriquer des fourgons blindés, ING Consulting ne peut le faire. Ce qui est curieux, on parle des relations professionnelles exécrables entre le tépégé et le patron de ING Consulting d’une part, cette relation tumultueuse aurait amené Félix Bongo à démissionner du Trésor public. Qu’est-ce qui a donc pu conduire au choix de son entreprise ? Est-ce à cause des relations de son entreprise avec le Coordonnateur Général des Affaires présidentielles ?

Cette observation peut paraître anodine car comment une banale opération de routine de 2 milliards a pu s’ébruiter alors que de grandes opérations pétrolières sont restées dans l’omerta ?

Troisième observation : elle dénonce l’existence d’une ligne budgétaire libellée «ressources propres du Trésor public».

Depuis quand et avec quelles recettes on approvisionne cette dotation ? Qu’elle est l’historique des mouvements ou des types d’opérations effectuées à partir de cette dotation ? Si déjà l’achat des fourgons est réalisé avec un tel talent pour créer des fausses pistes. 

Quatrième observation : avec les détournements des 17 milliards avec SIEMENS, des fonds du 1er cycle des fêtes tournantes du 17 août, des fonds des générations futures, des fonds de souveraineté et de sécurité, des opérations de clôture budgétaire, et divers, ce looping des fourgons blindés montre que la bonne gouvernance commence par la bonne information.

Les deux chambres du Parlement Gabonais ont un devoir sacré de contrôler la Dépense publique, voter le budget chaque année, discuter des efforts à consentir et des investissements en capital. C’est de leur volonté souveraine que la Dépense publique soit efficace et efficiente.

Comment nos élus peuvent-ils accomplir ces missions régaliennes s’ils ne savent pas ce qui se passe dans nos administrations ? Certes les rapports et les audits des différents corps de contrôle ou de la Cour des Comptes fournissent des éléments précieux pour analyser l’action publique.

Cette histoire des fourgons blindés nous montre qu’il n’y a aucun dispositif pour que les recommandations du FMI (énumérées plus haut) et du Président de la République soient suivies d’effets. C’est pourquoi la solution constitutionnelle est de mettre fin à ces situations pour redonner à la Justice toute sa dimension (seul le pouvoir arrête le pouvoir). Ensuite la solution politique consiste à donner à l’opposition  parlementaire, la présidence de la Commission des Finances qui est détenue par un élu de la Majorité natif d’Okondja comme le ministre d’Etat aux Finances.

Enfin, la solution technique doit obliger le Président de la Cour des Comptes de rédiger les rapports à la demande du Parlement et du pouvoir judiciaire.

Parmi les attributs que les hommes confèrent aux sages, Aristote déclare qu’il leur appartient de mettre de l’ordre. Il appartient aux sages par excellence, poursuit Aristote, de considérer les causes suprêmes des êtres. Mieux, les vertus morales, dit Aristote, ne sont que le  L’avis de non objection : mode d’emploi.

Selon la loi 1140/PR/MEFBP portant Code des marchés publics, toute dépense publique dont le montant est inférieur à 30.000.000 de Fcfa peut passer par simple facture, par entente directe. En d’autres termes, l’administrateur de crédits a la latitude de passer le marché avec un opérateur économique de son choix. Sans que quiconque ne trouve à redire. Lorsque le montant d’une dépense publique est supérieur à 30.000.000 de Fcfa, l’administrateur est tenu, par la loi, de passer par appel d’offres ouvert ou restreint.

C’est-à-dire, faire jouer la concurrence entre les opérateurs économiques nationaux ou étrangers.

Par contre, l’avis de non objection est une disposition relative à l’article 43 du Code des marchés publics, qui permet à un administrateur de crédits d’exécuter une dépense sans être obligé de passer par la procédure d’appel d’offres ouvert ou restreint, pour les marchés dont le montant est supérieur à 30.000.000 de Fcfa. Il est utilisé pour les services de pointe, haute technologie pour lesquels il n’y a pas beaucoup de concurrence localement (quel est le concessionnaire de la place qui importe des fourgons blindés destinés au transport de fonds ?). A cet effet, les services de la Direction générale des marchés publics délivrent à l’administrateur de crédits l’accord préalable et formel qui lui permet d’engager  directement, après avoir attribué le marché à un candidat pré identifié.

Ce qui est à déplorer, c’est que presque tout marché public passe désormais par demande d’avis de non objection. L’administrateur de crédits décrète seul que tel entreprise choisie par ses soins est la plus qualifiée pour livrer tel matériel de pointe, et sollicite pour cela un avis de non objection.

Résultat : on assiste à des dispositif préalable de la perfection contemplative de l’homme.

Dans son discours du 1er/12, le chef de l’Etat a demandé à la Justice de faire son job. C’est ainsi qu’il nous est revenu que des enquêteurs seraient allés demander au tépégé de leur expliquer cette différence abyssale entre le coût annoncé publiquement de 400 millions de Fcfa pour l’achat des 13 véhicules et les 2 milliards de Fcfa que le Trésor aurait dégagés pour l’acquisition de 13 (autres ?) véhicules,comme le précise la lettre adressée par Ya Blaise au Directeur général des marchés public. Le mardi 8/1 dernier à 16 heures, le tour serait venu au gestionnaire du propriétaire de ING Consulting, de la banque UGB, de se défendre sur le dossier. Idem pour le propriétaire de ING Consulting, le 7/1. Notre reporter qui s’est déporté du côté du Trésor public prendre la version des faits de Ya Blaise, s’est vu  malheureusement, prié par les cerbères de vider les lieux.

Car le Patron n’a pas son temps.

De cette impunité arrogante qui tue le développement de notre pays, à quoi sert donc ce programme avec le FMI ? Aux amis du Gabon et du Président de la République, retenons pour les intouchables du ministère des Finances cette sagesse de Winston Churchill au lendemain d’Al-Alamein : «Ce n’est pas la fin. Ce n’est même pas le début de la fin. C’est peut-être la fin du début.» Habib Papy BOUBENDJI demandes quasi systématiques des avis de non objection. D’où la porte ouverte à toutes sortes d’abus, corruption, détournements et autres malversations…

© Le Nganga N°165 du 24/01/2008

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31 décembre 2007 1 31 /12 /décembre /2007 02:39
undefinedundefinedundefinedCa y est ! Ce que nous vous avons annoncé - après moult atermoiements a bien eu lieu : Sassou a remanié le gouvernement du royaume. Juste à un jour du réveillon, il y a des grincements de dents car un tel ministre se sera marié pompeusement qui a appris son départ. Qui avait des travaux de construction à finir doit se faire du sang d'encre pour terminer l'expression de ses signes exrérieurs de richesse.
Le téléphone a sonné et nous avons eu vent que Sassou avait sacralisé son alliance avec le MCCDI en faisant entrer Parfait Kolélas, fils de Bernard Kolélas au gouvernement ainsi que Hello Mampouya, porte-parole du parti MCCDI. Serge Michel Odzoki et Thierry Moungalla compteraient parmi les chanceux qui ont enfin l'occasion de s'enrichir en mangeant dans la marmite même de l'épicierie familiale mais rien n'est sûr tant que nous n'aurons pas une liste annoncée par le gouvernement en due et bonne forme. C'est par un communiqué qu'on tient ces informations...
Bref, beaucoup de bruit pour un petit concert qui ne fera danser personne. Sauf, bien entendu, les nouveaux ministres qui ont enfin l'occasion de prouver à Denguès Otsombé qu'il a eu raison de leur faire confiance en ce qu'ils méritaient d'entrer au club de ceux qui pouvaient compter parmi les surdoués de l'enrichissement illicite. Après Omar Bongo qui a aussi remanié son gouvernement, Sassou vient de récompenser ceux qui l'ont soutenu politiquement dans cette période de vache grasse pour le clan Sassou et de vache maigre pour le peuple congolais - qui ne possède même pas une maternité digne de ce nom pour voir les nouveaux esclaves de Sassou naître, les femmes des ministres accouchant toutes en France...
Pendant que je viens d'apprendre que Sassou aurait fait sa fille Cendrine avec Isabelle Dira, soeur de la mère d'Edith Bongo Ondimba qui se trouve actuellement auprès de sa fille malade au Maroc, que Wamba Sassou Nguesso a un fils avec la demi-soeur (même mère mais père différent) d'Ali Bongo qui s'est vu reconduit en tant que ministre de la défense, que Georgette Okemba, la femme du "très spécial" Okemba Dominique, Georgette la belle "Zaïroise", membre du protocole présidentielle, était en fait l'amant de Sassou (comme il est toujours accompagné de son neveu cocu, il paraît que Georgette Okemba fait aussi souvent les voyages avec eux), que l'électricité au Congo était en fait privatisée par les Sassou qui l'acheteraient au Congo d'en face avant de la revendre au peuple berné, je me demande si ce gouvernement sera celui qui ira jusqu'en 2009  car Sassou prépare une majorité présidentielle qui pourrait être sacralisée par un gouvernement d'Union Nationale dans lequel certains membres ou transfuges de l'UPADS pourraient avoir leur place.
Comme quoi, Sassou, le "surdoué" d'entre les surdoués de la politique congolaise n'a pas fini de nous étonner et de nous rassurer qu'il va encore y avoir des grincements de dents tandis que le Champagne coulera à flôts chez ceux qui vont avoir l'occasion de s'enrichir de plus bel sur le dos du peuple congolais cocu depuis 1960.
Après écoute du communiqué lu par le premier ministre Mvouba qui a conservé son poste, on observe ce qui suit : exit Ibovi à l'administration du territoire remplacé par un certain Raymond Mboulou. Quant à monsieur Mbani, c'est Serge Odzoki qui lui pique son ministère...

En attendant la liste de tous les nouveaux ministres du gouvernement remanié de la Nouvelle Souffrance dans la Désespérance, voici, la liste du gouvernement gabonais que Bongo a mis en place pour montrer l'exemple à son beau-père :

Premier ministre, Chef du Gouvernement, M. Jean EYEGHE NDONG

Vice-Premier ministre, Ministre de l’Environnement, du Développement durable et de la Protection de la Nature, Mme Georgette KOKO

Vice-Premier ministre, ministre de la Culture, des Arts, de l’Education populaire, de la Refondation et des Droits Humains, M. Paul MBA ABESSOLE

Vice-Premier ministre, Ministre des Affaires étrangères, de la Coopération, de la Francophonie et de l’Intégration régionale, M. Jean PING

Ministres d’Etat

Ministre des Mines, du Pétrole, des Hydrocarbures, de l’Energie, des Ressources hydrauliques et de la Promotion des Energies nouvelles, M. Casimir OYÉ MBA

Ministre d’Etat, Ministre de l’Economie, des Finances, du Budget et de la Privatisation , M. Paul TOUNGUI

Ministres

Ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, chargé de la Famille et de la Promotion de la Femme, Mme Angélique NGOMA

Ministre du Tourisme et des Parcs Nationaux, Général Idriss NGARI

Ministre du Contrôle d’Etat, des Inspections, de la Lutte contre la Corruption et de la Lutte contre l’Enrichissement illicite, Mme Honorine DOUSSOU NAKI

Ministre de l’Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l’Insertion professionnelle des jeunes, Pr. Pierre André KOMBILA

Ministre de la Marine marchande et des Equipements portuaires, M. Jacques ADIAHENOT

Ministre de la Défense nationale, M. Ali BONGO ONDIMBA

Ministre de l’Agriculture et du Développement rural, M. Faustin BOUKOUBI

Ministre du Commerce et du Développement industriel, chargé du NEPAD, M. Paul BIYOGHE MBA

Ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales, de la Décentralisation, de la sécurité et de l’Immigration, M. André MBA OBAME

Ministre de la Planification et de la Programmation du développement, chargé de l’Evaluation des politiques publiques, M. Richard Auguste ONOUVIET

Ministre des Travaux publics, des Infrastructures et de la Construction, Général Flavien NZENGUI NZOUNDOU

Ministre de l’Economie forestière, des Eaux et de la Pêche, M. Emile DOUMBA

Ministre de la Jeunesse, des Sports, des Loisirs, chargé de la Vie associative, Porte-parole du gouvernement, M. René NDEMEZO’ OBIANG

Ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l’Etat, M. Jean-Boniface ASSELE

Ministre de la Justice, Garde des Sceaux, M. Martin MABALA

Ministre des Petites et moyennes entreprises, de l’Economie sociale et de la Lutte contre la Pauvreté, M. Vincent ESSONE MENGUE

Ministre de l’Aménagement du territoire et de la Politique de la ville, M. Pierre CLAVER MAGANGA MOUSSAVOU

Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Prévoyance sociale, M. Jean-François NDONGOU

Ministre de l’Enseignement supérieur, M. Dieudonné PAMBO

Ministre du logement, de l’Habitat et de l’Urbanisme, M. Patrice TONDA

Ministre de l’Education Nationale et de l’Instruction civique, M. Michel MENGA M’ESSONO

Ministre de la Recherche scientifique et du Développement technologique, M. Albert ONDO OSSA

Ministre de la Communication, des Postes, des Télécommunications et des Nouvelles Technologies de l’Information, Mme Laure Olga GONDJOUT

Ministre des Affaires sociales, de la Solidarité, de la Protection de la veuve et de l’orphelin, chargé de la Lutte contre le Sida, Mme Denise MEKAM’NE

Ministre des Relations avec le Parlement et les Institutions constitutionnelles, M. Josué MBADINGA

Ministre des Transports et de l’Aviation civile, M. Dieudonné MOUIRI BOUSSOUGOU

Ministres délégués

Ministre délégué auprès du vice-Premier ministre, ministre de l’Environnement, du Développement durable et de la Protection de la nature, chargé de la Protection de la Nature, M. André Christ NGUEMBI

Ministre délégué auprès du vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération, de la Francophonie et de l’Intégration régionale, chargé de la Francophonie et de l’Intégration régionale M. Noël Nelson MESSONE

Ministre déléguée auprès Ministre des Mines, du Pétrole, des Hydrocarbures, de l’Energie, des Ressources hydrauliques et de la Promotion des Energies nouvelles, chargé des Ressources hydrauliques et de la Promotion des Energies nouvelles, M. Sylvain MOMOADJAMBO

Ministre délégué auprès du ministre de l’Economie, des Finances, du Budget et de la Privatisation, chargé de l’Economie, M. Charles MBA

Ministre délégué auprès du ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, chargé de la Famille et de la Promotion de la Femme, chargé de l’Hygiène publique, M. Koumba SOUVI

Ministre délégué auprès du Ministre de la Planification et de la Programmation du développement, chargé de l’Evaluation des politiques publiques, Chargé de la Programmation du développement, M. Célestin BAYOGHA

Ministre délégué auprès du Ministre des Travaux publics, des Infrastructures et de la Construction, chargé de la Construction, Mme Gisèle Laure EYANG NTOUTOUME

Ministre délégué auprès du Ministre de l’Education Nationale et de l’Instruction civique, chargé de l’Enseignement primaire, Mme Solange MABIGNATH

Ministre délégué auprès du Ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales, de la Décentralisation, de la sécurité et de l’Immigration, chargé de la sécurité et de l’Immigration, M. Philippe NZENGUE MAYILA

Ministre délégué auprès du Ministre de l’Economie forestière, des Eaux et de la Pêche, chargé des Eaux et de la Pêche, M. Hugues Alexandre BARRO CHAMBRIER

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4 décembre 2007 2 04 /12 /décembre /2007 21:16
Inondation----Potopoto-07i.JPGAux dernières nouvelles, Edith Sassou Bongo Ondimba,  la première dame du Gabon et deuxième dame du Congo après Antoinette Sassou Nguesso, sa belle-mère, se trouverait au Maroc où papa et son époux ont de nombreux biens immobiliers. Hassan II a toujours été l'ami des dictateurs qui viennent investir dans l'immobilier et mettre des sommes importantes dans des banques marocaines. Les jeunes qui traquent les biens mal acquis devraient regarder du côté du Maroc où se refugia jadis  Mobutu et où il serait encore enterré, le Maroc qui plaît tant aux Français qui viennent y vivre après la retraite, au point où le président Jacques Chirac a lui aussi un ranch à Teroudan. Le Maroc s'est fait une réputation de terre d'accueil, de lieu sûr car le royaume est stable et le fils de Hassan II a poursuivi les amitiés de son père et, surtout, le coût de l'immobilier y est encore dans le bon ordre des choses car pas si élevé mais ça finira par changer à cause de tous ces immigrés retraités qui finiront par élever le niveau de la vie. Edith Bongo Ondimba doit s'y reposer loin du tumulte de ses appartements et villas parisiens. Les soins en France n'ayant rien donné à ce que l'on dit, elle est allée au Maroc où, paraît-il, les médecins et les hôpitaux ont du répondant.  Hassan II, lui au moins, a construit des hôpitaux de qualité ! Au Congo, les hôpitaux de la nouvelle espérance se font attendre. Par contre, les cliniques privées, ça y va. Malheureusement, Edith qui en possède au Gabon ne peut se faire soigner dans ses propres établissements... Il n'y a pas assez d'équipements pour une médecine de qualité. Nous avons noté que les cliniques gabonaises d'Edith Ondimba Bongo manquaient sur la liste de ses biens...
BzImg5.jpg Comme c'est honteux de voir que nos hommes politiques aller se faire soigner à l'étranger - sans se rendre compte qu'ils témoignent par ce fait à leur manque d'amour pour leur propre pays qu'ils n'ont pas doté d'hôpitaux dignes de ce nom. Nos hôpitaux sont des mouroirs, des nids nosocomiaux, des cultures de microbes sur lesquelles naissent des enfants malnutris. On en sort plus malade que lorsqu'on y entre. Et pour couronner le tout, avec les événements tragiques de 1997, la plupart des médecins congolais se sont refugiés en France où ils font des gardes pendant que les docteurs français font des câlins à leurs épouses. On compte les nouveaux hôpitaux construits par Sassou qui aurait pu utiliser le milliard gaspillé lors des obsèques de Noumazalaye à contruire ou à équiper les hôpitaux qui manquent de tout -même de l'alcool 90°. Pour nos hommes politiques, la charité bien ordonnée commence par autrui, par l'ailleurs. Et à ce propos, les hôpitaux ne sont pas des exceptions. Quand on veut assassiner un peuple dans le but de créer un équilibre démographique entre le nord moins peuplé et le sud plus peuplé, on ne s'y prendrait pas autrement (aux sceptiques, revoyez les objectifs du plan Mouebara de Sassou qui ne visait qu'à dépeupler le Pool, la région la plus peuplée du Congo).
En cette fin d'année tragique parsemée de décès de premiers ministres et de personnalités de tout genre dont Noumazalaye, le second immortel enterré à côté de Marien Ngouabi dans un mausolée désormais souillé par le sang de l'assassin mêlé à celui de la victime, nous allons bientôt faire le bilan de la nouvelle désespérance de Sassou comme je m'y étais engagé en pariant avec un internaute. Il sera bientôt temps de faire le point sur les milliers d'emplois promis par Sassou et par le niveau et la qualité de la vie du peuple congolais. La nouvelle espérance clamera qu'elle a construit des routes pour permettre à Sassou d'aller se reposer à Oyo ou au Gabon car ce n'est pas dans l'intérêt du peuple congolais qu'on investit des milliards dans un aéroport que personne ne prendra à Ollombo - sauf Sassou et son clan.
Nous suivons de près la vie de ceux qui torturent tout un peuple et qui ont déjà tout prévu le jour où la grande colère se déversera sur eux en achetant tant de biens à l'étranger. Sassou se rend lui-même au Maroc pour se faire soigner dans la discrétion mais désormais, tout se sait.
Le Maroc étant le lieu qui pourvoit la France en Cannabis, Edith a désormais l'occasion de se shooter tranquillement en buvant le Champagne le plus cher. Les fêtes sont pour ces prédateurs des occasions de se réjouir, d'étaler la richesse mal acquise aux yeux de tous. Donc 2008 sera encore une année de réjouissances - même si la santé est défaillante. Mais sont-ils vraiment heureux, ceux qui font du mal à ceux qu'ils sont censés protéger ? Représenter ? La drogue suffira-t-elle à ne pas ressentir toute cette émotion populaire ? Au Gabon comme au Congo, les voix s'élèvent car la misère et la souffrance sont immenses - même si les moyens pour lutter contre ces puissances du mal sont si minces car eux, sont prêts à tout, quitte à falsifier des élections. Pourtant, il s'agit de deux petits pays de moins de quatre millions d'habitants, comme le Cathare ou certains Emirats, des pays bardés de richesses qui ne servent qu'à une petite oligarchie qui si les Blancs n'étaient pas venus aurait certainement fait de bons pêcheurs sur l'Alima... En effet, quand on détourne l'histoire de toute un continent, les faits montrent qu'il est très difficile d'en redresser le cours. DIFFICILE N'EST PAS SYNONYME D'IMPOSSIBLE. Il s'agit de développer une autre forme de foi car la foi en Dieu ne sert qu'au sert statu quo. Non, la vraie foi, c'est en l'homme qu'il faut croire, car - même Dieu lui-même n'agit qu'au travers de l'homme, son image, une image-antithèse.
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10 octobre 2007 3 10 /10 /octobre /2007 10:45
 
rama-yade-large-copie-1.jpgLe Tout-Paris en avait parlé : en juillet dernier la jeune secrétaire d’Etat française aux Affaires étrangères et aux droits de l’homme, Rama Yade, avait refusé de se déplacer pour serrer la main de Denis Sassou NGuesso, le président du Congo en visite de travail en France. Mme Yade estimait ne pas avoir à serrer la main d’un homme d’Etat qui ne brillait pas par ses attachements à la démocratie. Certains proches de Sassou s’en étaient émus. Comment a-t-elle osé faire ça ? s’étaient-ils emportés. Trois mois après cet «incident», qui a, semble-t-il, froissé Sassou, les faits donnent raison à la jeune secrétaire d’Etat : le pouvoir de Brazzaville a bien été incapable d’organiser des élections législatives libres et démocratiques. Bien au contraire, il a orchestré une véritable pagaille électorale, obligeant toute la communauté internationale à s’en démarquer dans des termes peu convenus. Et comme si cela ne suffisait pas,  Sassou vient de récidiver en écartant les députés de l’opposition du bureau de l’Assemblée nationale. Le changement politique à Paris n’a pas suffi à transformer à Brazzaville un dictateur en démocrate respectable !
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25 septembre 2007 2 25 /09 /septembre /2007 21:55

face_awakens_looks_around.gifA peine revenu au pays, Sassou est déjà reparti pour un autre voyage ! D'une personne qui vient de rentrer du Congo, nous avons appris que Sassou est tombé en plein meeting - pris d'un malaise. Il a fallu l'aide de ses sbires pour le maintenir debout. Sa santé va vraiment très mal et il risque de s'absenter très souvent car comme tout bon dictateur qui se respete, il n'a pas daigné construire un hôpital digne de ce nom. Cette information est néanmoins à vérifier mais tout ce qui peut donner de l'espoir au peuple congolais doit être divulgué. Si les hommes ne le font pas, dame nature nous débarrassera de Sassou mais comme disent les comédiens de chez nous : " Un riche, au lieu de mourir à 12 heures comme prévu par le destin mourra à 23 heures tandis qu'un pauvre trépassera plus tôt, à 10 heures ". Comme quoi, la fortune peut contrarier les plans de dame nature mais au final, on y passe quand même.

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