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8 mars 2018 4 08 /03 /mars /2018 20:18
GERTRUDE MALALOU KOUMBA : A PROPOS DES DROITS DES FEMMES

Le 8 mars est la journée internationale pour LES DROITS DES FEMMES et non une fête !
Officialisée par les Nations Unies en 1977,   donc il  y a  41 ans, la Journée Internationale des Femmes trouve son origine dans les luttes des ouvrières et suffragettes (droit de voter) du début du XXe siècle, afin d’obtenir  les  meilleures conditions de travail et le droit de vote.
C’est une journée de manifestations à travers le monde  qui permet de faire un bilan  sur la situation des femmes. Normalement,  c’est à cette occasion  que les groupes et associations de militantes préparent des manifestations pour fêter les victoires et les acquis obtenus,  faire entendre leurs revendications afin d’améliorer la situation des femmes dans le monde.
Tant que l’égalité entre les hommes et les femmes ne sera pas atteinte, nous aurons besoin de  célébrer cette journée  pour montrer à la face du monde que la femme est l’égal de l’homme en  droit, c'est-à-dire qu'elle est capable de faire un travail que peut exercer un homme dans tous les domaines (gendarmerie, police, militaire, présidence de la Répubique,   maçonnerie,  journalisme, pompier, menuiserie, professorat, etc).…
 Donc le 8 mars n’est pas une FETE  de la femme mais une CELEBRATION de ces acquis, il y a nuance !
 Donc à toutes les femmes du monde, je vous souhaite une bonne célébration de vos acquis ! Toléka na esprit ya bien !

 

                                      Gertrude MALALOU KOUMBA
 

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6 mars 2018 2 06 /03 /mars /2018 14:28
Roland Mouckiny, on va faire court pour expliquer comment on peut sortir du tribalisme. LA DIMENSION OU SE DEROULE IDEOLOGIQUEMENT LE TRIBALISME EST UNE DIMENSION IDENTITAIRE. OR, L'IDENTITE EST UNE RECONNAISSANCE COLLECTIVE EXCLUANT LES AUTRES GROUPES DIFFERENTS, PAR DEFINITION. MEME L'IDENTITE NATIONALE NE S'EXPLIQUE QUE PAR L'EXCLUSION D'AUTRES NATIONALITES. SI VOUS COMPRENEZ CELA, VOUS AVEZ COMPRIS LA MOITIE DU PROBLEME CAR L'IDENTITE COLLECTIVE EST AUSSI RASSEMBLEUSE PAR LE PARTAGE DES ORIGINES COLLECTIVES, L'HISTOIRE, LA CULTURE, LE TERRITOIRE, LA LANGUE COMMUNE, LA RELIGION, LES RESSOURCES, LES TERRES ET J'EN PASSE.
 
En qualité de Bantous colonisés par les Leucodermes dès la fin du XV ième siècle, nous avons trois identités principales : clanique ou kandienne, la plus vieille (celle qui nous définissait avant l'acculturation provoquée par les colonisateurs), tribale ou ethnique avec le passage des clans aux ntsi et aux royaumes avec la communauté de langage parlée portant un fond culturel commun, enfin une identité nationale imposée par les colons après les pseudo-indépendances.
 
Avant la colonisation, c'est l'identité kandienne ou clanique la plus importante : notre "carte d'identité" se déclinait en mussi Makand ou Dikand (clan de la mère en matriarcat) mwan' Mindzumb' (le clan du père), avec l'avantage que le clan était trans-ethnique, puisqu'il ne dépendait pas de la langue parlée mais de l'origine ancestrale commune. Les Makand' ou Dikand' descendraient tous d'une même femme Makane ma Ngueli. Et on les trouve partout, même chez les Tékés ou les Bembés, entre autres ethnies.
 
Sous la colonisation, les Leucodermes ont favorisé l'identité tribale ou ethnique. On est passé de Mussi Dikand à Téké ou Mbochi, etc. L'identité est passée de l'origine ancestrale commune matriarcale ou patriarcale à la langue parlée. La différence linguisitique se perçoit désormais comme une division - alors qu'on peut être Bembé ou Punu mais partager la clanité ou kandité Mindzumb' ou Mindzimb'. Un Bembé m'a contacté en me disant qu'il était claniquement mon père car il est Mindzumb' comme fut le mien.
 
La logique clanique est celle des classes d'équivalence en mathématiques : tous les Makanda de quelque ethnie que ce soit sont mes frères - même s'ils sont Mbochis ou Tékés ou du Kassaï voir du Gabon tandis que tous les Mindzumb' ou Mindzimb' sont mes pères. Avec cette identité, je peux voyager et être reçu partout où ces deux clans se trouvent. Et la prohibition de l'inceste clanique aidant, les autres clans sont plus ou moins liés à ces deux-là, constituant un maillage social harmonieux qui limitait les conflits et les discriminations. En effet, le mariage n'est pas juste des épousailles entre deux individus mais une ALLIANCE entre deux clans. C'est ainsi que se fit l'alliance entre les Avundus et les Bissi Kongo d'une manière générale car le Mani Kongo dévait toujours épouser une femme du clan Nsaku des Avundus, les premiers habitants de Mbanza Kongo, propriétaires de cette terre avant la conquête de Nimi Lukéni qui fut Kugni par sa mère...
 
À l'indépendance, nous sommes devenus Congolais, une identité définie géographiquement par le partage d'un même territoire inventé de toutes pièces ne correspondant à rien d'autre qu'au partage de l'Afrique en 1885 par les puissances européennes. Cette identité virtuelle ne peut encore rivaliser avec l'enracinement territorial ancien, n'en déplaise à l'euphorie des pseudo-indépendances. On vit à Brazzaville mais quand on demandait l'origine, nos pères répondaient : " je suis de Boko, de Makoua, de Mouyondzi, etc. " et, même les enfants nés à Brazzaville se définissaient territorialement par le lieu d'origine du père. La nouvelle identité nationale par le partage d'un territoire n'avait pas vraiment pris, d'autant que les Leucodermes avaient ajouté une dose de division ethnique pour mieux régner.
 
En ville (milieu urbain), l'occupation de l'espace montre déjà des regroupements sur la base de l'ethnie, Bacongo pour les Kongos-Laris, Talangai, Ouenzé, Mikalou, pour les Mbochis et les Nordistes ou originaires du nord du Congo. Sociologiquement parlant, l'occupation de l'espace au Congo est une grille de lecture de l'occupation ethnisée du milieu urbain.
 
Depuis Youlou jusqu'à Sassou IV, personne n'a vraiment travaillé à donner de la consistance à l'identité nationale ou républicaine car il faut plus qu'un décret pour cela : ON NE DECRETE PAS L'IDENTITE NATIONALE ; ON LA CONSTRUIT. Au contraire, on s'est appuyé sur la proximité ethno-régionale pour gérer et conserver le pouvoir. Force publique et administration ethnisées, y compris les principaux postes de décision.
 
La question est : comment, sans détruire les identités clanique et ethno-régionale, faire en sorte que l'identité nationale devienne l'identité principale au dessus de toutes les autres ? La constitution doit supplanter les traditions en devenant à son tour une TRADITION ... NATIONALE mais personne ne la respecte vraiment pour que la nouvelle identité nationale prenne corps et sens. Sassou se comporte plus en Mbochi qu'en Congolais. Comme le firent Youlou et les autres avant lui.
 
 
Notre problème est là. Il n'a jamais été été vraiment posé et débattu pour être résolu. Le tribalisme a eu droit de cité jusqu'à présent Dès qu'on dénonce le tribalisme, vous passez à la barre et les défenseurs du système qui en vivent sortent les canines. Il s'agit à présent de privilégier l'identité nationale par l'égalité des droits et devoirs, l'homme compétent qu'il faut à la place qu'il faut, la solidarité pour les plus faibles, etc.
 
Comment ont fait les Français pour que les Basques, les Normands, les Bretons, les Alsaciens, les Auvergnats, etc, deviennent un peuple, le peuple français ? La recette est connue : l'égalité des droits, l'égalité infrastructurelle partout, l'égalité éducative, etc. Ils sont passés par les mêmes problèmes que nous. Ils ont pu les surmonter. C'est le travail de l'État de créer et de consolider l'identité nationale. Hélas, chez nous, l'État entretient la division, transforme les droits de tous en privilèges - surtout selon la proximité au chef de l'État. Il faut donc commencer par passer de l'État clientéliste à l'État de droit. Or, la aussi, il y a un problème : l'accès au pouvoir n'est pas encore démocratique.
 
On s'appuie souvent militairement sur l'ethnie pour conquérir le pouvoir de sorte que le caporal chef Ferdinand Masso peut dire : "pouvoir le bissi mene", là où on devrait tous dire "POUVOIR LE BISSI NIONSO". Pour en arriver au "POUVOIR LE BISSI NIONSO", il faut que tous les fils du Congo entrent dans la reconnaissance nationale pour que se crée l'identité nationale républicaine.
 
Si vous faites du reengenering sociologique, vous vous rendez compte qu'il faut commencer par l'État de droit (qu'on doit déconnecter de la puissance toujours coloniale de la France), pour ensuite passer à l'égalité des droits et des devoirs qui permettrait de construire une identité nationale. Hélas, pour cela, il faut au préalable une justice indépendante qui ne peut être garantie que par une force vraiment publique et non une milice ethnique. Et pour qu'une force publique soit vraiment nationale, il ne faut pas qu'elle soit dominée par une seule ethnie. On revient toujours à la lutte contre le tribalisme...
 
J'ai fini par faire long.
 
 
NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

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4 mars 2018 7 04 /03 /mars /2018 23:38

Le caporal chef Ferdinand Masso, un policier originaire du nord, certainement un Cobra récompensé par son admission dans la police, appelle les quartiers nord de Brazzaville à se lever, à se révolter. Il exhorte à une mobilisation générale des habitants de Talangaï, Kanga Mbanzi, Ngamakosso, Mikalou, Ouenzé, Petit' Chose, Simba Pelle, etc. Il semble se révolter parce que les excès du système ont fini par atteindre ceux qui ont porté le monstre de l'Alima au pouvoir.

"Pouvoir lè bissi mene", "C'est notre pouvoir", affirme le caporal chef Ferdinand Masso, exprimant l'idéologie qui prévaut dans notre pays depuis 1960 qui veut que le pouvoir n'appartient pas à un individu mais à toute son ethnie, d'où notre expression d'ethnie-Etat.

Nous espérons que les quartiers nord entendront cet appel afin de libérer le pays contre le joug de ceux qui n'ont en fait pour ethnie véritable que l'argent. S'ils on divisé les Congolais, ce n'était que dans le but de diviser pour régner avec le soutien de leur ethnie et de leur région idéologiquement manipulées comme bouclier flingueur.

Nous l'avons dit : Si le nord du Congo se lève, le grand ndzokou tombe. Pourquoi ? Parce que ceux qui ont fait son pouvoir et qui croyaient que "POUVOIR LE BISSI MENE" mais qui ont été roulés dans la farine ont le pouvoir de le défaire : ils l'ont fait par la force ; ils ne peuvent le défaire que par la force et, à ce propos, il n'y a pas de plus grande violence que celle de la rue. Ceux qui défendent le pouvoir illégitime de Denis Sassou alias Nguesso, ceux qui tiennent les armes pour faire bouclier la kalachnikov, ce sont d'abord les compatriotes du nord. Cependant, j'avais averti que lorsque les excès du régime détruiront les finances du pays, nous en pâtirons tous. C'est le cas aujourd'hui. Et il se sait que tout système meurt toujours de ses excès.

Les spéculations vont bon train mais je soutiens la légitime colère du caporal chef Ferdinand Masso qui vient d'avoir un bon de lucidité pour n'avoir pas reçu son salaire certainement... Nous l'avons prédit en affirmant que si Denis Sassou alias Nguesso ne parvient plus à payer sa milice ethnique, celle-ci se retournera contre lui car l'intérêt de soutenir une dictature se trouve dans le bénéfice des privilèges qu'apporte le pouvoir lè bissi mene. Quand on ne perçoit plus à titre personnel sa part d'argent sale, le soutien apporté au régime n'a plus de sens et l'idéologie de l'ethnie-Etat vacille sur ses fondations.

Que va-t-il se passer le 10 mars 3018 ? Les quartiers nord vont-ils enfin comprendre que nos destins à tous sont liés et qu'ils faisaient fausse analyse en défendant les bourreaux de notre peuple, ceux-là mêmes qui ont effacé l'avenir de nos enfants en hypothéquant leurs chances de jouir de lendemains heureux ? Vont-ils rester prisonniers d'une idéologie rétrograde ? Nous attendons le 10 mars 2018 avec impatience. J'avais noté que l'iniquité et les excès de cette dictature encanaillée finiraient par réveiller les Congolais - même les plus fanatiques soutiens du régime. Nous ne sommes plus loin d'assister à l'union des Congolais de tous les points cardinaux car les barbares venus du bord de l'Alima et leurs mauvais esprits de toutes les ethnies ont poussé la cupidité trop loin.

Que les quartiers nord prennent leur part de la chasse au ndzokou car ils connaissent bien les moeurs du mastodonte destructeur national, arme de destruction massive et rapide de tout un peuple. NOUS SOMMES LE PEUPLE. IL EST TEMPS QUE NOUS COMPRENIONS QU'ENSEMBLE, UNIS, NOUS SOMMES VRAIMENT LE POUVOIR. Un dictateur ne possède tous les pouvoirs que dans la mesure où le peuple ne les lui conteste pas. BANA MAYI, BO TELEMA !

 

NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,

MWAN" MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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28 février 2018 3 28 /02 /février /2018 16:48
CONGO/VIOL DE DEUX FILLETTES PAR UN PEDOPHILE LIBANAIS : LES ETRANGERS SE CROIENT SUPERIEURS ET TOUT PERMIS
CONGO/VIOL DE DEUX FILLETTES PAR UN PEDOPHILE LIBANAIS : LES ETRANGERS SE CROIENT SUPERIEURS ET TOUT PERMIS

Apprendre que deux fillettes de deux et cinq ans ont été violées par un Libanais à Pointe-Noire me donne encore un plus le sentiment que tous les lubriques maniaques et tous les criminels notoires de toutes les nations se sont donnés rendez-vous dans notre pays, le Congo, où ils sont assurés de jouir de l'impunité absolue. En ma qualité de citoyen congolais, je vis à l'étranger en respectant les lois du pays hôte qui m'a accueilli. De toute façon, la justice française n'a rien à voir avec l'injustice congolaise corrompue aux ordres de l'ethnie-Etat des barbares primitifs qui ont pris en otage notre pays. Les étrangers ne peuvent pas respecter notre pays s'ils ne redoutent pas sa justice...

Attendez, quel homme sain d'esprit peut concevoir l'idée de violer une petite fille de deux ou cinq ans ? Cela ne peut que dénoter de graves troubles mentaux  dépassant le stade de la folie car même un animal est incapable d'une telle pulsion. Nous ne sommes donc pas dans l'animalité mais dans la barbarie doublée de satanisme. Un tel énergumène a-t-il des enfants ? Peut-il imaginer une telle infamie sur sa propre fillette par quelqu'un d'autre ? Comment le gouvernement des barbares primitifs de l'Alima s'accommodent de pareil crime tellement horrible ? Et vous pensez que je peux une seconde respecter de tels monstres incapables de défendre même des enfants sans défense dans notre pays ? Qu'importent leurs grosses maisons ? Leurs milliards mal acquis ou leurs grosses voitures ? A mes yeux, ils ne valent pas plus qu'un moustique...

Il est de règle notoire que l'étranger ne soit jamais en droits ou en devoirs au dessus de la fille ou de la fille du pays hôte ou il réside. Sauf en cas de colonisation ou d'invasion. Au Congo, l'observation empirique montre que les étrangers se permettent tout car ils se croient au dessus de la loi - surtout s'ils sont sémites (Arabes, Juifs) ou caucasiens. Ce sentiment d'impunité leur vient surtout du fait qu'ils se sentent protégés par les autorités qu'ils ont corrompues. Cela va du petit juge au chef de l'Etat lui-même.

A Pointe-Noire, il y a quelques années, un Libanais, Hassan Haddam Hojeij, s'est permis de taser madame Flore Barros pour lui avoir résisté - sans qu'elle soit dédommagée à la hauteur du traumatisme subi. Voilà qu'un autre Libanais, le pédophile Hussein BAYDON, se permet de violer deux petites filles de deux et cinq ans - ce qu'il n'aurait jamais osé faire dans son pays au Liban mais qu'il assouvit sans scrupules au Congo car il méprise les Noirs, les prenant pour des esclaves. J'ai cru voir sur les réseaux sociaux des photos de lui en prison. Cependant, combien de temps va-t-il y rester ?

Je parie qu'il déambulera bientôt libre dans les rues de Pointe-Noire après avoir passé quelques jours en prison. Chaque Libanais est protégé par un officier congolais ou un homme politique véreux avec lequel il est en affaire quand il ne le corrompt pas tout simplement.

Des témoignages me sont parvenus où l'on m'apprenait que des Libanais pourtant dans leur tort poursuivis par des policiers consciencieux prenaient leur téléphone et appelaient des Généraux qui faisaient fouetter des policiers qui essayaient de les rattraper comme ce Libanais qui avait failli écraser un Congolais ou qui avait été pris en flagrant délit de criminalité.

Les Libanais ne payent pas la douane, ont des passeports diplomatiques congolais - sans être Congolais, nous vendent de la viande avariée, tasent nos soeurs, violent nos filles, tiennent presque tous les commerces, etc. Les Libanais entre autres étrangers sont au Congo comme en terrain conquis. Dans un pays qui se respecte et qui fait passer ses citoyens avant les étrangers - ce qui va sans dire, un pédophile de cette nature en prendrait au moins pour vingt-cinq ans, payerait une immense compensation aux familles des deux gamines et serait presto illico renvoyé chez lui après un tel acte  ignoble - avec interdiction formelle de remettre les pieds au Congo.

J'ai déjà écrit combien de nombreux pédophiles - y compris des prêtres de l'église romaine - viennent se refaire une nouvelle vie en toute impunité au Congo. On reçoit n'importe qui dans notre pays ! C'est un vrai Etat passoire où les étrangers font la loi sur les nationaux après avoir corrompu les autorités.

Quant à notre justice, cela se comprend bien vite qu'elle n'est pas indépendante pour un sou et qu'elle est totalement aux ordres des barbares primitifs venus des berges de l'Alima, des sauvages en col blanc qui sont eux-mêmes des pervers de haut vol. Sa faiblesse est toute démontrée car elle est plus exercice de l'injustice que manifestation de la justice.

Nous nous adressons à monsieur Denis Sassou alias Nguesso un message simple : comment laissez-vous des étrangers manquer de respect à notre peuple - jusqu'au point de violer des fillettes de deux ans ? En quoi êtes-vous un homme d'Etat si des violeurs sont demain relâchés - après avoir commis de tels crimes ? Nous savons qu'au moment où nous écrivons ces mots que la riche communauté libanaise du Congo fait des pieds et des mains pour libérer un des leurs en passant au dessus de la justice : il leur suffit de corrompre en haut lieu.

Quant à nos concitoyens, comment pouvez-vous laisser de tels crimes odieux se commettre - sans oser vous soulever et chasser tous les Libanais du pays ? J'aurais tant apprécié entendre que des magasins des Libanais ont été saccagés en guise de rétorsion. Ou que des Libanais ont été chassés au centre ville de Brazzaville, de Pointe-Noire ou de certains quartiers où ils ont leurs magasins. C'est à croire que Denis Sassou alias Nguesso vous fait aussi boire dans l'eau du robinet le caca de tous les Libanais. Le viol d'une fillette de deux ans - comme d'une fille de cinq ans - est une abomination qui aurait mérité une indignation nationale. Si vous n'êtes même pas capables de défendre vos propres enfants contre des violeurs, que méritez-vous sinon un dictateur qui ne vous respecte pas ?

Apprendre que les Libanais tiennent le marché des boulangeries - alors que la loi congolaise l'interdit aux étrangers me choque. Quand viendra l'heure de la transition démocratique, nous redonnerons aux Congolais la place qui est la leur pour qu'ils se sentent privilégiés face aux étrangers dans notre pays. Il n'est pas normal de concéder plus de droits à des étrangers qu'à des nationaux au Congo.

 

Il faudra bien un jour arrêter le cycle de la jungle qu'est devenu notre pays. Il est évident que ceux qui ont pris le pays en otage en criant ! "Congo le bissi" ne voudront jamais quitter les hautes sphères du pouvoir où ils se servent dans les caisses de l'Etat avec Denis Sassou alias Nguesso en marmiton en chef distributeur de la joie pour quelques individus et de la misère pour le plus grand nombre. C'est cela qui donne du sens à ce combat, un combat digne bien que difficile. L'heure du peuple finira bien par sonner un de ces jours...

 

NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

 

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22 février 2018 4 22 /02 /février /2018 22:38
RELIGION : A YANNICK SARIA, ADEPTE DE LA SECTE DE ZOULOULA

Bonjour, Yannick. Qu'on se comprenne bien : le mot secte du titre de l'article n'a rien de péjoratif. Il s'agit juste d'un ensemble d'adeptes ou de disciples qui suivent l'enseignement ou la doctrine d'un maître et qui la défendent, quitte à faire du prosélytisme. A ce propos, le christianisme fut aussi une secte, la secte des kannaïm ou zélotes fondée par le père de l'homme surnommé Jésus qui avait sept fils et deux filles (Salomé et Thamar devenue la Marthe des Evangiles mariéé à Eleazar ou Lazare, un vrai personnage historique). Parmi les fils du vrai fondateur de la religion qui est devenue le christianisme aujourd'hui, il y eut Jacques frère de Yeshua dont la crucifixion est mentionnée par Flavius Josèphe et, surtout, il y eut Menahem, le plus célèbre de tous, qui devint roi-messie d'Israël pendant près de deux mois et qui fut assassiné par ses propre hommes à cause de sa méchanceté.  C'est donc faux dire que l'homme surnommé Jésus n'a pas existé à cause de l'erreur calendaire introduite par le moine scythe catholique Denys surnommé le Petit qui fit exprès de casser la clepsydre qui computait le temps à partir de la fondation de Rome par Romulus et Romus. Il y a une erreur volontaire de près de sept ans pour antidater les événements afin que l'on ne retrouve pas la trace et l'identité de l'homme surnommé Yeshua ou Yehoshua.

Je vois que vous êtes un adepte de Zouloula dont j'ai visionné quelques vidéos. Toute contribution à la libération des fils de la lumière est la bienvenue car il nous faut revenir à nos ancêtres. Par fils de la lumière, j'entends l'engeance noire, celle dont la peau est sombre, la race mélanoderme dont les mélanocytes de la peau absorbent le plus de lumière solaire, en fait TOUT LE SPECTRE DE LA LUMIERE. On connaît l'importance spirituelle de la mélanine que l'on trouve même dans le cerveau et dans la glande pinéale, une substance sensible à toute forme de magnétisme et qui vibre. 

Cependant, on ne doit pas ajouter de la confusion à la confusion. Il faut lire l'hébreu, la langue de Canaan, nos frères Noirs dont l'identité a été volée par des Aryens nomades qui s'installèrent progressivement en terre de Canaan - pour vraiment comprendre certains textes bibliques mal traduits. Terre de Canaan. Combien de fois trouve-t-on cette expression dans la Bible ? Vous pouvez toujours compter.

Les Noirs ont dominé le monde pendant plus de dix mille ans aux dires de François Maspéro et de Lenormant. On ne trouvait pas les Noirs juste en Afrique mais jusqu'en Mésopotamie, en Inde et même en Iran. L'histoire des débuts de l'humanité est forcément celle des Noirs car ils ont les premiers inventé l'écriture et le calendrier. Hérodote évoque que les Egyptiens connaissaient le cycle de 26000 ans - ce qui en dit long sur l'ancienneté de leur civilisation. Pendant que les Noirs essaimaient les villes et les civilisations, on ne connaissait pas les Aryens ou Leucodermes qui apparaîtront pour la première fois en terre de KMT en - (moins)1674 sous la conduite des ancêtres des sémites. En - (moins) 1548, Amessou accompagnés de ses frères de Méroé (Soudan) repoussa les Hysksos et les vainquit. Il détruisit leur flotte pour empêcher qu'ils n'aillent chez eux ne reviennent plus tard plus nombreux. On les autorisa à quitter Avaris pour Canaan. C'est en fait la véritable exode. Ils se mêlèrent alors aux populations noires cananéennes. En - (moins) 722, Canaan connut l'invasion des Assyriens qui installèrent une colonie et emportèrent plus de 30000 Hébreux en Assyrie. En  - 597 jusqu'à - 548, c'est la période le l'exil babylonien en Perse. Voilà comment on peut expliquer le métissage des populations de Canaan. Je ne vous parle pas de l'arrivée des Grecs en - 175 et des Romains en - 63 mettant fin au règne des Asmonéens descendants de David pour favoriser le règne des Arabes Iduméens sous Hérode le Grand.

Pour écrire, il faut une civilisation, une écriture et un support. Les trois conditions n'étaient réunies que chez les Egyptiens et les Ethiopiens dans les temps très reculés. Ce sont les Phéniciens noirs qui ont apporté l'écriture aux Aryens (Grecs) et aux Sémites. Les Phéniciens étaient noirs. Le mot Bible vient de Biblos qui désignait le papyrus égyptien sur  lequel les prêtres notaient les paroles de Dieu ou medou neter. C'est pourquoi on dit que la Bible est la parole de Dieu, les Noirs d'Égypte estimant que toute écriture était inspirée du Dieu Thot. Les Hyksos premiers Aryens arrivés en Egypte recopièrent les textes. Ils changèrent les noms.

 

Je n'ai pas beaucoup de temps. L'heure où je dois m'investir dans le combat spirituel va bientôt arriver. Transmettez mes salutations à Zouloula. Cependant, qu'il sache que la conscience spirituelle a une source. Il a critiqué le KIMUNTU dans une de ses vidéos mais qu'il sache que c'est la source de toute haute spiritualité qui exclut le MENSONGE...


La Bible a été écrite par les Noirs de -1300 à + 100. De nombreuses preuves existent que les Noirs ont bien été les populations originelles de la terre de Canaan, descendant de Cham. Un Noir ne pouvant être engendré que par un Noir, toute l'histoire de la Genèse ne parle en fait que des ancêtres des Noirs. Les Sémites ont juste plagié les textes en changeant les noms.

Zouloula dit que Jésus n'a pas existé à cause de l'erreur de Denys le petit, le moine Scythe. Il se trompe. Il n'est pas assez cultivé pour ça. L'homme surnommé Yeshua a existé. On connaît son vrai nom. On connaît sa VRAIE vie de brigand. Les Évangiles ne disent pas la vérité sur lui car en 325 l'empereur Constantin a censuré et brûlé tous les textes qui parlent de ce noir décrit dans l'Halosis de Flavius Josèphe dont le père Matthatias fut l'un des juges. Jacques qui dirigea la secte fondée par leur père fut crucifié. Les Romains tenaient des archives, les juifs aussi. Les archives juives ont été détruites par Hérode le Grand qui savait qu'il n'était pas Juif et qui haïssait ce peuple. Menahem le dernier des frères de "Jésus" qui vengea sa mort termina la destruction des archives généalogiques du temple de Jérusalem.


Il faut dire à Zouloula que les Noirs Cananéens qui sont les vrais Hébreux ont été infiltrés par des populations aryennes qui introduisirent des religions sataniques dans ce pays. Les premiers sont les Hyksos les ancêtres des Arabes dont la flotte fut détruite par le pharaon Amosse aidé par les Soudanais et autres africains. En 722 avant l'erreur chrétienne (avant notre ère), il y eut l'attaque des Assyriens qui déportèrent 30000 Hébreux noirs en laissant sur place une colonie. Canaan était par sa fertlité de l'époque et par le fait que c'était une zone de passage vers l'Egypte, une terre très convoitée... 

Et il faut savoir que les Assyriens laissèrent une colonie après avoir saccagé Canaan, emportant plus de 30000 noirs en servitude, la première subie par les Noirs Cananéens. Ensuite, il y eut l'exil à Babylone, chez les Perses, Canaan devenant une province vassale perse. Au retour de l'exil, les Perses introduisent leur propre religion car Cyrus n'a pas ordonné la construction du temple pour rien, un temple qui fut par ailleurs construit par un architecte bien noir. Les Perses avaient accompagné Esdras et les autres. Les anciens Babyloniens qui accompagnèrent Ezra (Esdras) sont les ancêtres des faux Juifs. 

 

Zouloula est jeune. Il fait ce qu'il peut. Cependant, nous qui suivons la lumière de la vérité devons toujours la rétablir quand elle est altérée.


Un peuple de nomades sans écriture, sans support et sans civilisation, ne pouvait pas avoir recueilli l'histoire des débuts de l'humanité : il n'y avait qu'un peuple ancien qui pouvait le faire.  La preuve que la Bible a recopié le livre d'Enoch, l'Ethiopien, le plus grand des hommes, est manifeste. Ses écrits étaient plus importants que ce que nous connaissons à travers le livre d'Enoch d'aujourd'hui. Ce sont les Ethiopiens, pas les Ethiopiens Cushites d'aujourd'hui mais les plus noirs des Noirs nommés Ethiopiens qui ont écrit les textes de la Genèse qu'on retrouvait dans les textes d'Enoch, l'Ethiopien, le premier prophète de l'humanité, plus grand que tous les autres qui siège au ciel en tant que vice-régent et qui est connu sous le nom de l'ange Metatron.

 

Et quel que soit l'endroit où les Aryens se tournent pour falsifier l'histoire, la race sombre les a précédés. Nous avons fondé Sumer, Babylone. Nous étions en Chaldée. Ils peuvent toujours mentir en disant qu'on ignore la race des Sumériens mais nous savons qu'ils étaient noirs. Nous, Noirs, avons bâti Elam qui envahit la Perse. Ce n'est pas la peine de rappeler que l'Egypte est nôtre...


Je souhaite à Zouloula de poursuivre ce travail dans lequel il met en jeu son âme et celle des autres MAIS EN TOUTE VÉRITÉ. QUE NOTRE ANCÊTRE CRÉATEUR UNIQUE VOUS GARDE. 

 

NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU
 

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21 février 2018 3 21 /02 /février /2018 19:09

L'homme que le faux chanteur Roga Roga encense en sa qualité de propagandiste assumé du PCT - ce qui le fait sortir de l'ordre des musiciens, Denis Sassou, essaie d'éviter la case FMI en endettant encore un peu plus le Congo auprès des pays du golfe persique nous apprend la presse internationale. Il lui faut absolument protéger ses proches comme son fils Christel Denis, son cousin Jean Jacques Bouya et Gilbert Ondongo, ancien ministre des finances et toujours ministre de son royaume au ministère de l'économie et de l'industrie d'un pays à l'économie mourante et à l'industrialisation inexistante car même la ZES de Maloukou est aux arrêts et sous la menace des éléments.

Pendant qu'il orchestre l'arrestation du menu fretin comme Jean-Didier Elongo, le mastodonte de l'Alima quémande auprès des riches émirats du golfe persique. Il lui faut absolument éviter que l'enquête sur la corruption et la mal gouvernance exigée par le FMI aboutisse à faire toute la lumière qui finirait par éclairer son beau visage gratté aux cosmétiques de madame. Derrière chaque acte de prédation signé par les siens, la Bête d'Edou sait qu'il en est le responsable car ce sont ses choix tribaux et claniques qui ont mis le pays dans un cercueil. Ce n'est pas seulement les siens qu'il se doit de sauver mais d'abord lui car il n'est pas une seule petite magouille où il n'ait reçu la part de l'éléphant...

Nous n'insisterons pas assez sur le drame du tribalisme et du clanisme qui fausse le choix des hommes dans notre pays. Et le pire dans tout cela, c'est que le monarque se retrouve en situation de ne pas les punir ou du moins de les exposer - pour éviter que des doigts accusateurs se tournent vers lui. Les hommes ne sont choisis ni pour leurs compétences, ni pour leur haute teneur éthique mais juste selon leur proximité au roi de l'Alima. Du coup, le sentiment d'impunité s'installe et le système se livre à toutes les dérives : non seulement les proches du monstre de l'Alima font main basse sur tous les secteurs de l'industrie mais ils se livrent aussi à la prédation la plus sauvage jamais vue sur terre.

En sa qualité de timonier aventurier parce que très incompétent et très cupide, Denis Sassou sait que le navire Congo va chavirer et le redresser voudrait dire qu'il perde sa charge de timonier incompétent et très cupide. Aussi, vivement l'abysse. Le Congo s'y précipite à grande vitesse. Nous allons droit vers la privatisation de ce qui reste du secteur public comme l'eau et l'électricité. L'exemple de la société SEEG du Gabon et ses déboires avec la société française VEOLIA confirment ce que nous redoutons en cas de privatisation : la situation ne s'améliorera pas mais les prix augmenteront.

Bien sûr que dans cet acharnement contre un pays qui se trouve déjà dans la fosse tombale, Denis Sassou essayera de tirer profit jusqu'au bout, juste à la dernière goutte de sang, jusqu'au bout du bout, tant qu'il lui restera un poumon pour respirer et un neurone pour assouvir sa cupidité...

 

NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

CONGO : SASSOU DENIS VEUT CONTOURNER LE FMI EN ENDETTANT ENCORE PLUS LE CONGO !
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16 février 2018 5 16 /02 /février /2018 21:15

L'Afrique a le regard tourné vers l'Afrique du sud où Cyril Ramaphosa vient de remplacer Jacob Zuma à la présidence de la république. La corruption a eu raison de la résistance de Zuma déposé par son parti l'ANC. Ce parti-Etat peut trouver excuse dans la jeunesse de la démocratie sud-africaine qui n'a pas encore totalement évacué les souvenirs de l'Apartheid : la politique anti-apartheid de l'Afrique du sud est trop jeune pour qu'on assiste à une alternance multipartiste. Cela nous enseigne juste que l'alternance démocratique peut se faire au sein d'un même parti politique. Mais qu'elle se fasse en bonne transparence sans enfreindre le suffrage des votants.

Si l'on voit se mettre en scène une alternance au sein d'un même parti au pouvoir depuis le mandat de Nelson Mandela Madiba, le Congo ne saurait souffrir la comparaison car il n'est même pas envisageable en rêve que le PCT se ligue comme son éléphant qui ruine le pays depuis plus de vingt ans, à compter de son retour en 1997. L'Afrique du sud a ses problèmes mais la comparaison avec le Congo s'arrête là. Au Congo, le roi Denis Sassou Nguesso tient la férule du pouvoir et personne ne saurait la lui contester. Même pas la fausse opposition de Tsaty Mabiala qui appelle désormais à regarder de l'avant. Et, désormais, le monarque n'hésite plus à s'en prendre à ceux qui l'ont aidé à revenir au pouvoir.

Ce qui est choquant dans notre pays, au delà de la dictature elle-même, des assassinats, des arrestations arbitraires, de la faiblesse des infrastructures, de l'absence de l'eau potable, du déficit de l'électricité, de la déficience du système sanitaire, de la mort du système éducatif, de la corruption qui gangrène le système, de la misère généralisée pour le petit peuple, c'est de réaliser que le Congo n'avait pas à s'endetter ! Tous chiffres cumulés, notre dette culmine à plus de 9000 milliards de francs cfa. Si l'on prend en compte le fait que les réserves du Congo étaient de 14000 milliards de francs cfa, le Congo aurait pu financer lui-même toutes les infrastructures même les plus inutiles - même en surfacturant les coûts car il serait encore resté 5000 milliards de francs cfa dans les caisses de l'Etat.

Attendez, qu'on se comprenne : en comptabilité, on emprunte quand on n'a pas les ressources nécessaires ou lorsqu'elles s'avèrent insuffisantes pour réaliser un projet, pas quand les caisses sont pleines. Les réserves du Congo nous dispensaient de  l'endettement car elles auraient permis de tout financer sans rien devoir à personne. Au lieu de cela, les réserves ont été siphonnées et à la place, les barbares venus du bord de l'Alima nous laisse des dettes.  C'est plus que de la haute trahison. C'EST UN DEMOCIDE, L'ASSASSINAT DE TOUT UN PEUPLE. Ils l'ont fait sciemment. Cette ruine est un acte volontaire. Is n'ont écouté que leur cupidité, ces barbares d'Etat.

Cette gangrène politique corrompue et cupide mérite d'être jugée et condamnée car elle a détruit l'avenir de millions de Congolais. Ce crime-là, cet endettement injustifié, alors même que le Congo se permettait de distribuer des milliards de francs cfa même à des nations plus riches que lui comme la Côte d'Ivoire, la Chine ou l'Espagne, qui peut le pardonner à cette bande de barbares sauvages et primitifs ?  Seuls des complices peuvent soutenir de pareils criminels. Nous disons à ceux-là que leur place est aussi en prison !

J'entends Roga-Roga, musicien corrompu, chanter qu'il faut voter Otsombe. C'est irresponsable et immature. L'argent facile ne justifie pas qu'on soutienne ceux qui ruinent l'avenir de tout un pays. N'achetez plus les disques de Roga roga et n'assistez plus à ses concerts. Ce piètre chanteur a tourné le dos à la musique pour devenir le griot d'un système ; il faut que le peuple congolais lui tourne aussi le dos.

Dans dix ou vingt ans de nombreux édifices d'Etat surfacturés mais de mauvaise qualité ne seront plus que des ruines. On nous apprend que les routes conduisant au nord se délabrent à grande vitesse faute d'entretien tandis que nous voyons les éléments menacer même l'université Denis Sassou Nguesso car le choix des lieux de construction a été dicté par pur tribalisme : il fallait les construire dans les parties de la capitale abritant les populations de l'ethnie du roi Sassou venu d'Abomey.

Que nous laissera ce régime de barbares primitifs des bords de l'Alima ? La pauvreté et l'endettement. Rien d'autre. Endetter le Congo, c'est le livrer en pâture aux banquiers qui tiennent le monde à genoux, c'est le soumettre à la servitude, c'est hypothéquer l'avenir des générations futures. Quand on endette un pays - alors qu'il peut puiser dans ses fonds pour réaliser ses projets et couvrir ses besoins pour ensuite voler toutes les réserves du Trésor Public, dites- moi un peu : y a-t-il crime pire que celui-là ? Ils sont coupables et doivent être jugés par une justice neutre. Pour cela, il nous faudra une transition qui ne soit pas conduite par un Mbochi ou un Nordiste : il y a trop de risques à le voir absoudre ceux qui ont ruiné notre pays en détruisant tout son tissu social. N'en déplaise à ceux issus du septentrion qui rêvent de diriger la transition en le criant sur les toits. 

La justice ne fait acception de personne et ne doit pas prendre ombrage des liens tribaux pour se dédouaner et se relâcher. La sentence doit être à la hauteur du crime commis et à sa durée. La justice n'est ni la pitié, ni le pardon mais la parfaite adéquation entre le crime ou le délit et la sentence correspondante à juste titre. Ils n'ont pas eu pitié de notre peuple, ils n'ont même pas pardonné à leurs propres frères qui ont osé leur dire que le tribalisme et la dictature n'étaient pas la voie à suivre. Dites-moi pourquoi ces gangsters d'Etat, ces barbares primitifs à col blanc mériteraient-ils notre pitié ou notre pardon ?

 

NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

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12 février 2018 1 12 /02 /février /2018 17:02
QUESTION : C'EST QUOI CETTE OPPOSITION COLLABO ?

Nous avons reçu copie de la notification de la loi n°28-2017 du 7 juillet 2017 déterminant le statut de l'opposition politique. Il est bien question de l'opposition politique non d'un parti venant en deuxième position en nombre de députés, un parti d'opposition n'ayant pas forcément des députés à l'assemblée nationale. En France, le Front National a longtemps fait partie de l'opposition sans avoir de députés à l'assemblée nationale française. L'opposition politique ne saurait donc se réduire à un parti ayant des députés à l'assemblée nationale.

Tous les partis qui s'opposent au parti au pouvoir sont des partis d'opposition. Or, au Congo, nous avons l'impression que l'opposition se réduit à l'UPADS depuis que Tsaty Mabiala Pascal le petit est devenu chef de l'opposition. Nous savons que tous les partis politiques congolais ne font pas partie de la mouvance du PCT. On peut juste se contenter de citer le parti de Mathias Dzon,par exemple.

C'est quoi cette opposition collabo de façade qui est juste composée d'un seul parti politique ? Un chef d'opposition n'existe pas sans opposition composée de plusieurs partis ! Quels sont les autres partis de l'opposition autres que l'UPADS squattée par le rat palmiste ? On n'a pas tout de même fait une loi de l'opposition juste pour un seul parti ! Nous estimons qu'il est impératif que Pascal le petit nous présente l'équipe qui représente l'opposition dont il est le chef. En effet la loi est claire : l'opposition exige un cadre pluraliste et un un seul parti la rend inapplicable dès le premier article du premier chapitre et au second alinéa du premier article du premier chapitre, on peut lire : 

" l'opposition politique est composée par l'ensemble des partis et/ou groupement de partis politiques ne soutenant pas l'action du gouvernement ".

C'est écrit dans la langue d'autrui comme on dit chez nous et il est question d'un ensemble de partis avec comme critère le fait de NE PAS SOUTENIR L'ACTION DU GOUVERNEMENT. Comme il se dit, que nul n'est censé ignorer la loi, ceci doit être connu de tous. Ce critère d'intégration suppose non pas un seul parti mais un ensemble avec la convergence autour du rejet de l'action du gouvernement. A ce propos, nous signalons qu'il ne suffit pas d'avoir des députés à l'assemblée nationale pour faire partie de l'opposition. Le Club PUR 2000 a des députés sans faire partie de l'opposition.

Quelle preuve nous donne-t-on que Tsaty Mabiala s'oppose à la politique du gouvernement, lui qui a validé le putsch constitutionnel de Sassou ? Si l'UPADS est un parti de gouvernement tourné vers l'opposition à toute forme de dictature, elle a été infiltrée par un hacker politique, membre du PCT. C'est donc un parti dénaturé par la tête. Nous déplorons l'absence du professeur Pascal Lissouba car avec le GRAND PASCAL et son sens de la dignité politique, jamais l'UPADS ne courberait l'échine devant le PCT ! L'alinéa suivant précise bien que l'opposition est parlementaire et extra-parlementaire. Elle n'est donc pas obligée d'être composée de partis politiques ayant des députés à l'assemblée nationale. Nous sommes bien curieux de savoir quand Pascal le petit dans son rôle de chef de l'opposition compte rassembler ses troupes. Sans cela, la loi est inapplicable.

Nous ne sommes pas au bout de nos surprises avec cette loi taillée sur mesure pour le cheval de Troie du PCT, Tsaty Mabiala Pascal, le petit. En effet, voici ce que précise l'article 5 de ladite loi :

"Tout parti politique ou groupement de partis politiques appartenant à l'opposition peut accepter de faire partie du gouvernement".

L'article 5 définit clairement la collaboration en flagrante contradiction avec l'article 1 qui précise qu'on fait partie de l'opposition si on ne soutient pas l'action du gouvernement. Or, comment accepter de faire partie du gouvernement en soutenant son action tout en la niant ? C'est là une contorsion juridique que j'ai du mal à cerner. Il faut convenir que la loi est créée exprès pour notre rat palmiste, taupe du PCT à la tête de l'UPADS mais la contradiction juridique au sein d'une loi devrait la rendre inopérante ou caduque. Mais ce n'est pas fini ! Il y a encore de quoi tordre les cheveux de nos juristes car Moudidi-Moudoudou certainement auteur de cette loi n'a pas fait dans la dentelle. En effet, le second alinéa de l'article 5 est sans équivoque :

"La présence d'un membre d'un opposant au gouvernement l'astreint à la solidarité gouvernementale".

Expliquez-moi comment on peut à la fois être au gouvernement astreint à la solidarité gouvernementale et continuer à claironner que l'on est de l'opposition ! Il ne reste plus qu'un petit pas au petit Pascal, un petit pas à faire pour que même les plus grand supporters du rat palmiste de Loudima se rendent compte que nous ne l'attaquons pas par plaisir mais juste parce que cet homme est un traître, un collabo qui joue à l'opposant et qui joue désormais tout seul à L'OPPOSITION !

Je termine en disant qu'à l'instant, on m'annonce que Pascal le petit vient de boucler son projet de budget 2018 - sans en communiquer les chiffres, en vrai filou qu'il est. Il y a donc de l'argent, c'est-à-dire, de quoi organiser un Congrès de l'UPADS. Alors, pourquoi n'est-il pas prévu en 2018 - alors que Pascal le petit a épuisé depuis longtemps son mandat ?

Nous demandons à tous les lissoubistes de se lever car si vous ne faites rien, vous êtes complices de l'assassinat du parti que vous  laissé PASCAL LE GRAND par Pascal le petit.

 

NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

 

 

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12 février 2018 1 12 /02 /février /2018 16:04
CONGO : C'EST UNE TRES MAUVAISE IDEE DE PRIVATISER L'EAU ET L'ELECTRICITE

Nous avons appris avec tristesse la privatisation de l'eau et de l'électricité dans notre pays, le Congo. Il est vrai que la prestation de ces deux sociétés laissait à désirer mais c'étaient des sociétés d'Etat qui permettaient des tarifs accessibles aux populations ! Avec la privatisation, sans nul doute, les prix de l'eau et de l'électricité vont augmenter dans notre pays - sans garantie d'amélioration de la qualité des services et des prestations ! 

Avant de privatiser la SNDE ou Société Nationale de Distribution d'Eau et la SNE, Société Nationale d'Energie, il eût fallu mener un audit complet pour comprendre les raisons du dépôt de bilan de ces deux sociétés publiques congolaises ô combien stratégiques pour le bien-être, la santé et le développement de notre économie. A l'heure où le FMI exige un audit sur la corruption et la mal gouvernance, c'est le moins auquel on puisse s'attendre. Or, sans rien dire, Denis Sassou Nguesso décide de privatiser ces deux sociétés nationales - sans nous garantir en quoi cela résoudrait les problèmes puisqu'on garde les mêmes personnels et la même logistique ainsi que les équipements dans les deux sociétés.

En fait, seuls les propriétaires changent. Peut-on espérer que la qualité de l'eau change ? Que le courant soit plus stable ? Nous n'y croyons guère. Denis Sassou Nguesso va se cacher derrière des sociétés anonymes pour investir l'argent volé du Congo dans ces deux sociétés ; nombreux sont les observateurs qui ont prédit cette situation. Le mystère des sociétés anonymes, c'est qu'on ignore tout des actionnaires. Et ce n'est pas réjouissant de voir l'eau que consomme les Congolais, nos compatriotes, passer entre les mains d'étrangers - surtout au moment où les puissances du monde complotent pour réduire la population noire, pour ne pas dire africaine - car nous savons que ni l'Europe, ni l'Asie ne sont concernés en matière de réduction de la population mondiale mais juste les nègres que l'on peut exterminer sans redouter la moindre réaction. Quant à l'électricité, rien ne prouve que nous sortirons des délestages intempestifs car il faudrait bien rénover tout le système logistique et augmenter la production de l'énergie. Tout cela aurait pu être résolu si le régime dictatorial avait construit le puissant barrage de Sounda au lieu de gaspiller des milliards dans le projet Imboulou.

Pour imposer la privatisation de la SNE et la SNDE, il eût fallu nous dire en quoi c'était la solution car c'est de question d'importance nationale dont il est question ici. En quoi la privatisation de l'eau et de l'électricité serait une meilleure panacée ? Il faut noter qu'il s'agit de  deux sociétés qui avaient des monopoles ! La privatisation va-t-elle entraîner une concurrence qui serait bénéfique à nos populations ? Nous restons dubitatifs.

Le problème de la SNE pour ses dirigeants semblait être le faible taux d'abonnés et la qualité de la prestation. Pour le réoudre, il suffisait d'améliorer la qualité de la prestation et d'étendre le réseau pour que l'électricité soit disponible pour tous. Si en plus on déplore un problème de gérance, cela ne peut être dû qu'à la sélection tribale des cadres souvent piochés dans l'ethnie mbochi sans tenir compte ni de leurs compétences, ni de leur probité morale. Le tribalisme se profile derrière la ruine de notre pays et on voit bien que rien ne prend le chemin du changement. Et ce n'est pas quelques arrestations de simulacre qui arrangeront la mauvaise gérance des sociétés étatiques toutes promises à la privatisation. Y compris la SNPC. En effet la mauvaise gestion et la corruption sont légion dans tout le pays, y compris au sommet de l'Etat qui n'est plus à privatiser car il est déjà depuis 1997 un Etat privé.

La privatisation de la SNE et de la SNDE n'est pas un début mais une continuité dans la démolition du secteur public. Avant, Denis Sassou Nguesso avait déjà privatisé la poste et certaines sociétés étatiques. Une bonne partie du domaine et fu patrimoine publics est passée entre des mains privées depuis longtemps. Il faudra vous attendre à la privatisation du CH-Tue de Brazzaville et de l'Université Marien Ngouabi. C'est dans l'ordre normal de la démolition du secteur public...

Qui dit privatisations, dit licenciements. Et derrière les licenciements, il y a des drames dans les familles qui se profilent. Les syndicats n'auraient pas dû laisser faire mais comme à la tête, il y a des membres de l'ethnie-Etat, ils sont obligés de s'incliner devant le système qui leur a fait des faveurs. C'est vraiment triste. Nous avons affaire à des gens qui font exprès de faire couler le secteur public pour ensuite prendre prétexte de le privatiser. Nous serons obligés de procéder à la renationalisation de tout le domaine public pendant la transition. Cela va de soi. Dans l'intérêt de notre peuple...

 

NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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12 février 2018 1 12 /02 /février /2018 14:40
Le dernier temple égyptien d'Isis à Philae, fermé vers 530 par l'empereur Justinien...

Le dernier temple égyptien d'Isis à Philae, fermé vers 530 par l'empereur Justinien...

Cher Labreuvoix,
bonjour.
Je vais te dire la grande vérité que les Leucodermes ont découverte : il suffit de détruire une religion pour détruire une civilisation. Prenons l'exemple de l'Egypte. Le monde entier est fou d'étudier aujourd'hui la civilisation de Ta Meri. Même ceux qui l'ont détruite ! Surtout ceux qui l'ont détruite ! Avant de détruire l'Egypte, les Aryens leucodermes ont envahi l'Egypte sous les Hycksos, sous les Grecs et sous les Romains. A chaque fois, la religion égyptienne survivait et avec elle toute la civilisation égyptienne. Pour régner sur l'Egypte, les étrangers étaient obligés de s'égyptianiser. Cependant, lorsque vers 530, l'empereur romain ferme le temple d'Isis de Philae, cette fermeture signe la fin de la civilisation égyptienne. Il y avait toujours des Egyptiens en Egypte, n'est-ce pas ? Ils ont fini par devenir chrétiens car ils connaissaient le culte de Horu Iessa KRST, le culte d'Horus. Oui, Christ est un mot d'origine égyptienne comme Amen ne signifie pas : "ainsi soit-il", mais désigne le Dieu Amen, un nom que l'on trouve dans Ameneptah, par exemple.
 
Ce n'est donc pas un hasard si la première chose introduite à Kongo Dia Ntotila fut la religion, non pas seulement une arme de domination des peuples par l'asservissement spirituel mais aussi une arme massive de destruction des civilisations. La fin d'une religion finit par signer l'acte de décès d'une civilisation. Il en fut le cas en Egypte, chez les Incas forcés à embrasser le christianisme. La mort de la religion romaine a signé la fin de la civilisation romaine et aujourd'hui, nous avons des Italiens et non des Romains car SOL INVICTUS a été vaincu par le christianisme : la croix a triomphé du soleil vaincu à jamais. 
 
Sache qu'avant l'apparition des églises, en Europe, on vouait un culte à Isis Meri Amen, Isis, la bien-aimée du Dieu Amen ou Amon ou Isis Maryam et à son fils HORUS IESSA KRST. Avec le christianisme religion d'Etat, les temples devinrent les premières églises. Cela ne m'étonne guère que le culte mariale hérité d'Asset-Isis perdure jusqu'à nos jours. On change juste de nom et le tour est joué.
 
Aujourd'hui, nous avons perdu la grande civilisation égyptienne sans laquelle on n'aurait jamais entendu parler de la religion juive, du christianisme ou de l'islam. Sans l'Egypte, il n'y aurait ni Abraham, ni Moïse, ni Jésus, donc pas de religion juive. Et sans religion juive, il n'y aurait pas d'islam, sa pâle copie au milieu des Arabes.
 
L'écriture égyptienne était une écriture sacrée. Tout ce que les prêtres écrivaient étaient des paroles sacrées, des paroles (inspirées) de Dieu, Dieu au singulier et non au pluriel car l'écriture égyptienne s'appelait MEDOU NETER, les paroles de Dieu. C'est pour cela que la Bible est la Parole de Dieu. Le Dieu qui inspirait les Egyptiens était Thôt. Tous les Egyptiens estimaient que tous leurs écrits étaient inspirés par le Dieu Thot. Les Juifs ont copié les textes inspirés sur les murs des temples égyptiens et sur les papyrus et on dit que leur Torah était "LA PAROLE DE DIEU", une parole inspirée par leur dieu. Tu vois bien qui a copié qui. Un égyptologue anglais trouva le récit d'Adam et Eve sur les murs d'un temple à Abu Simbel.
 
Maintenant, je complète ce mail par un texte publié sur FACEBOOK au cas où tu ne l'aurais pas lu : 
 

JE ME SUIS DEMANDÉ : COMMENT ÉTAIT-IL PLUS FACILE DE GAGNER LE COMBAT POLITIQUE ? QUEL EN ETAIT LE CHEMIN LE PLUS COURT ? IL FAUT D'ABORD LIBÉRER L'HOMME POUR LIBÉRER LA SOCIÉTÉ. OR, LA PREMIÈRE CHAÎNE APPORTÉE PAR LES ÉTRANGERS À KONGO DIA NTOTILA FUT UNE CHAÎNE RELIGIEUSE QUI PARVINT À DÉTRUIRE LE VASTE ROYAUME DU NTOTILA. POURQUOI ? PARCE QUE LA RELIGION EST LE CIMENT D'UNE SOCIÉTÉ. LA RELIGION EST LE LIEN QUI NOUS RACCORDE AU CRÉATEUR EN PASSANT PAR NOS ANCÊTRES. PERDRE SA RELIGION ORIGINELLE, C'EST PERDRE SON ADN SOCIAL ET HISTORIQUE. ET CE LIEN MAINTIENT LA CONSTANCE D'UNE CULTURE ET SA COHESION.

 

SE COUPER DE NOS ANCÊTRES, C'EST PERDRE SA CIVILISATION, SA CULTURE, SON ÉDUCATION - JUSQU'À SE PERDRE SOI-MÊME. ET PERSONNE NE LIVRE LE BON COMBAT EN ÉTANT PERDU.
NOUS AVONS TOTALEMENT PERDU LA MERVEILLEUSE CIVILISATION ÉGYPTIENNE QUAND LES LEUCODERMES DETRUISIRENT LE DERNIER TEMPLE DU DIEU AMEN A TRAVERS LE TEMPLE DE LA DEESSE ISIS A PHILAE. L'EMPEREUR JUSTINIEN ORDONNA SA FERMETURE EN 530. IL EST IMPOSSIBLE DE RECONSTRUIRE LA SOCIÉTÉ ÉGYPTIENNE SANS LA FORMIDABLE RELIGION ÉGYPTIENNE. LE COMBAT RELIGIEUX EST DONC LE PLUS IMPORTANT POUR LA SURVIE D'UNE SOCIÉTÉ OU D'UNE CIVILISATION.

 

POUR TERMINER LA DEMONSTRATION, LE MODE DE PRODUCTION DÉFINIT L'ÉCONOMIE QUI ENTRE DANS UNE CULTURE. PERDRE SA CULTURE, C'EST PERDRE LA FAÇON DONT VIVAIT SES ANCÊTRES. LA CULTURE EST LE PRODUIT DE L'ÉDUCATION. L'ÉDUCATION EST TENUE PAR LA POLITIQUE QUI FINIT DONC PAR DÉFINIR LA CULTURE QUI INFLUENCE L'ÉCONOMIE, C'EST-À-DIRE, NOTRE FAÇON DE VIVRE. QU'EST CE QUI INFLUENCE LA POLITIQUE ? RÉPONSE : LA RELIGION. POURQUOI LA CULTURE JUIVE EST TANT ATTACHEE A L'ARGENT ? PARCE QUE LE PROPHETE ESAIE LEUR A PROPHETISE LA POSSESSION DE TOUTES LES RICHESSES DE LA TERRE.


VOUS COMPRENEZ POURQUOI AUJOURD'HUI, APRÈS AVOIR LIVRÉ UN COMBAT POLITIQUE, JE ME RENDS COMPTE QUE CE N'EST PAS SUFFISANT CAR LA CHAÎNE LA PLUS SOLIDE QUI NOUS TIENT CAPTIFS, C'EST LA RELIGION, LE CIMENT ENTRE LA CULTURE, L'ÉCONOMIE, LA POLITIQUE, L'ÉDUCATION IMPOSÉES PAR LES MAÎTRES DU MONDE.

 

TOUTES LES CIVILISATIONS ORIGINALES ONT EU UNE RELIGION ORIGINALE QUI EST LE TRAIT D'UNION QUI UNIT LES GÉNÉRATIONS ENTRE ELLES JUSQU'À L'ANCÊTRE FONDATEUR, C'EST-À-DIRE, AU CRÉATEUR.

 

J'AI COMPRIS QUE LE PREMIER COMBAT À LIVRER N'EST PAS POLITIQUE OU ÉCONOMIQUE MAIS RELIGIEUX. SANS CIMENT, QUI PEUT CONSTRUIRE UN GRAND ÉDIFICE SOLIDE ? PERSONNE !

SI VOUS FOUILLEZ BIEN, VOUS PARVIENDREZ À COMPRENDRE QUE CEUX QUI DOMINENT CE MONDE, LES JUIFS, SONT LIÉS PAR UN LIEN TRÈS SOLIDE SUR LEQUEL ILS SE SONT ACCROCHÉS DEPUIS DES MILLÉNAIRES, AU PRIX DE TOUS LES SACRIFICES. ET QUEL EST CE LIEN ? LA DAAT YEHUDI OU RELIGION JUIVE.

 

NOUS, MELANODERMES, NE GAGNERONS AUCUNE BATAILLE SANS GAGNER LE COMBAT RELIGIEUX. TANT QUE NOUS DEMEURERONS ACCROCHÉS À DES RELIGIONS ÉTRANGÈRES, NOUS SERONS ÉTERNELLEMENT DES ESCLAVES, MÊME SI CERTAINS D'ENTRE NOUS SONT DES MILLIARDAIRES. LE SALUT EST COLLECTIF OU NE L'EST PAS. NOUS SAVONS AUJOURD'HUI QUE LES LEUCODERMES PLANIFIENT D'EXTERMINER LES NOIRS AU NOM DE LA REDUCTION DE LA POPULATION MONDIALE. IL SUFFIT D'UN VACCIN QUI PASSE PAR L'OMS POUR CELA...

 

NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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