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11 février 2018 7 11 /02 /février /2018 23:50
Cher Labreuvoix,
bonsoir. Je vais me faire l'écho de ton message en y répondant, séance tenante sur les idées essentielles, avant de te donner ce qui est mon credo et qui finira par déferler un jour sur l'Afrique : on ne remonte au Créateur que par les ancêtres. ET QUE DIEU EST EN QUELQUE SORTE NOTRE PREMIER ANCETRE A NOUS, AFRICAINS. TANT QUE N'Y PRENDRONS PAS LE CHEMIN, NOUS CONTINUERONS DANS NOTRE DERIVE SPIRITUELLE. DIEU EST ENTRE DANS CE MONDE PAR NOUS ET LE RESTE DU MONDE L'A RECU DE NOUS PAR L'EGYPTE. PERSONNE NE PEUT PRETENDRE NOUS ENSEIGNER CE QUE NOUS AVONS APPORTE AU MONDE...
 
Oui, il nous faudra une nouvelle éducation, pas seulement religieuse mais une nouvelle éducation tout court. On éduque ses enfants pour qu'ils ressemblent à leurs ancêtres et non à des étrangers - ce qui les conduit à haïr leur propre culture et à se mépriser eux-mêmes. Ce n'est donc pas étonnant que les fils de l'Afrique détestent tout ce qui vient de l'Afrique.
 
Ils t'ont enseigné que Platon aurait inventé la doctrine de l'immortalité des âmes. Laisse-moi te dire que Platon n'a pas inventé  la doctrine de l'immortalité de l'âme : elle est de Ta Meri ou KMT, l'ancienne Egypte. Il t'aurait suffi de lire le livre de LA SORTIE DU JOUR OU DE L'APRES-VIE  appelé de façon erronée "LIVRE DES MORTS" pour comprendre que des millénaires avant Platon, les Noirs d'Egypte croyaient en l'immortalité de l'âme. Pour les Egyptiens, l'homme avait un double qui lui survivait après la décrépitude du corps qu'on conservait par la momification. Ce double est le ka. Ils estimaient que pour vivre dans l'éternité, l'âme ou le ka devait affronter le tribunal d'Osiris avec la pesée du cœur (haty ou ib). Quant au corps (djet), la momification devait le préserver de la corruption. Platon n'a donc rien inventé qui n'existait déjà.
 
...Malheureusement, aujourd'hui, la couleur de la peau est un élément de discrimination des races. On l'a vu pendant l'esclavage, l'apartheid en Afrique du sud est encore sanguinolent en dépit de sa fin et le racisme dans le monde est bien là pour te le rappeler. La haine de la race sombre n'est pas morte. 
 
L'église prêche le pardon. Qui a donc besoin de se faire pardonner quoi ? Qu'avons-nous, nous, fils de la lumière, à nous faire pardonner ? Avons-nous crucifié quelqu'un ? Avons-nous réduit une race en esclavage ? Avons-nous déclenché des guerres mondiales?  L'église romaine est blanche et nous invite naturellement à pardonner à notre bourreau leucoderme pour tout le mal que les filsd'Europe nous ont fait subir. Cela va de soi.
 
La parole de "Dieu" perce nos coeurs, dis-tu et nul ne peut y résister ? Pourquoi ? A cause de sa flamboyante vérité que nul ne peut plus retrouver ou à cause de son pouvoir irrésistible de séduction ? J'entends beaucoup de paroles de flatterie dans les églises comme ; "Dieu vous aime", son amour ne nous a pourtant pas protégé de l'esclavage ou de la domination des puissances du monde... Dieu parle à travers un homme, lui l'inventeur de la voix et des cordes vocales. Il est facile de lui faire dire ce qui peut séduire l'oreille. Jérémie était en contradiction avec un autre prophète du nom de Chemaya qui prétendait parler au nom du même Dieu que lui. Un coup dans la Genèse, Dieu se repent d'avoir fait l'homme (Genèse 6:6) et dans l'autre, Dieu n'est pas un homme pour mentir ni un fils d'homme se repentir (Nombres 23 : 19), preuve qu'il y a là deux auteurs qui mettent les mots dans la bouche de Dieu sans avoir eu le temps de se relire. Au moins Nombres 23 : 19 a l'honnêteté de déclarer qu'à chaque fois qu'il y aura mensonge sous parole sacrée, ce ne sera pas la PAROLE DE DIEU mais celle de l'homme car DIEU NE MENT PAS. Et on ose me demander de croire en des niaiseries mensongères juives !!!
 
Quand tu fus formé au métier d'enseignant, on te laissa ensuite libre d'exercer ensuite, tout seul. D'où vient-il que les gens ont besoin d'aller tous les dimanches entendre un homme lire des paroles d'homme proclamées et déclamées paroles de Dieu ? Dieu a parlé. Son langage est métamorphose car toute la nature parle le langage du Créateur. Son livre, c'est l'ensemble de l'Univers. Le reste est vanité humaine.
L'église prêche l'égalité mais ne la pratique pas car nous apprenons la discrimination des prêtres noirs et sœurs noirs au Vatican. Ce n'est pas demain qu'on reverra un pape noir comme au début de la foi. Tu dis : " la parole de Dieu est irrévocable". Je l'entends bien. Cependant, je m'écarte de la foi quand elle s'appuie sur le mensonge et la manipulation.
 
Tu me parles de l'évangile de Marc en apostrophant le miracle sur le lépreux. Il m'arrive de me demander : le christianisme aurait-il pris sans les miracles attribués à son fondateur ? En comparaison, Mahomet a fait mieux sans miracles : l'islam prospère, un islam combattant, humain mais inflexible dans sa foi, au point de transformer son credo en violence brute comme le fit hier le christianisme dans ses croisades et sa guerre des cent ans. Il est un endroit dit civilisé où catholiques et protestants se déchirent les veines au nom de la croix ensanglantée de Jésus. Oui, la chair est bien faible, d'une telle faiblesse que l'évangile ne parvient pas à guérir.
 
Le message dit de Dieu n'a pas inventé les lois : la confession négative du livre de la Sortie du Jour ou Livre des morts les contenaient déjà car elles étaient indispensables à la maat (vérité-justice) dans laquelle tout Egyptien devait vivre pour survivre au terrible jugement d'Osiris. L'histoire de Joseph dans la Bible montre que le vol et l'adultère étaient punis en Egypte.
 
Tu me dis : comment peut-on inventer toute une histoire de Jésus sans que le temps ne l'éprouve ? Le temps l'éprouve mais l'église veille à ce que l'invention soit préservée : combien de manuscrits a-t-elle détruits ? Certains contenaient le vrai nom de l'homme-Dieu. Et, il suffit qu'elle apprenne qu'il y a ici ou là un manuscrit intact portant quelque stigmate de vérité historique pour qu'elle devienne frileuse. Oui, un mensonge répétée chaque dimanche à l'église peut très bien devenir une vérité qui n'a de fond que la croyance. D'autres credo survivent au christianisme comme les textes de la Bagavad gita de Krishna ou les védas des anciens Aryens.
 
On a fouetté des nègres pour qu'ils s'adonnent au christianisme, un christianisme féroce qui a favorisé l'esclavage au point où l'église romaine et non catholique car elle n'a rien d'universel, bénissait les navires des négriers.
 
Pour revenir au lépreux guéri, combien de fois ai-je lu : " ta foi t'a guéri ? " Si seulement, lui, le fils de Dieu, avait daigné non pas soigner un malade comme un simple guérisseur mais bannir la lèpre entre autres maladies ! Dieu ou son fils ne peut se délecter d'agir au niveau de l'illustration comme le ferait Simon le Magicien ou comme l'ont fait les magiciens d'Egypte qui eux aussi avaient transformé leurs bâtons en serpents (on se demande par ailleurs au nom de quelle puissance, si Moïse agit en tant que thaumaturge divin). Non, Dieu, le Créateur, en tout cas, le mien, n'agit pas au niveau du singulier mais de l'universel. Même les textes juifs disent qu'à l'arrivée du Messie, le lion et l'agneau vivront en paix, car la violence disparaîtra de la terre - ce qui m'amène à m'interroger sur ce que mangerait alors le lion et tous les carnivores...
 
Non, le message de l'église romaine n'est pas conforme au magistère car l'église romaine depuis plus de deux mille ans pèche par manque d'exemplarité. Sais-tu que de nombreux prêtres pédophiles sont envoyés en Afrique après des forfaits en Europe ?  
 
" Lorsqu'on juge, on ne peut aimer", me dis-tu. Pourquoi, dans ce cas, Christ reviendrait-il sur terre, lui au coeur pétri d'amour ? Vois-tu tes propos sont ceux que l'on met dans ta bouche et comme un enfant tu avales les pensées de Sainte Thérèse. Deux mille ans d'attente prouvent que Christ a encore de l'amour à revendre car lorsqu'il aura épuisé le stock, il apportera l'Apocalypse qui s'abattra sur les Goyims en épargnant juste les Juifs. Voilà la foi dans sa finalité que vous partagez si joyeusement.
 
C'est une belle expression que celle de "l'ignorance des races empêtrées dans des croyances mesquines". Lesquelles ? Je préfère la liberté de la croyance mesquine à la dictature de la foi mensongère. Pourquoi les croyances mesquines juives seraient-elles plus importantes que celles de mes ancêtres ?
 
"La où abonde le péché, surabonde la grâce", me rappelles-tu, mon vieil ami. Vivement la marche tranquille du péché puisqu'il est assuré de la surabondance de la grâce ! Alors que fais-tu du  " va et ne pèche plus " de ton Seigneur ? Je me demande : quelle est la finalité de la grâce ? Serait-elle de faire surabonder le péché ? Je me souviens du " soyez parfaits comme votre père céleste est parfait", et, dans la tradition des fils de KMT, l'immortalité passait par le gain de la perfection. Le christianisme pardonne les péchés, fait surabonder la grâce pour laisser prospérer le péché. QUESTION : c'est quoi cet arbre qui parfume juste la peau des fruits amers ?
 
Cher ami, je prie pour ce monde mais mon Dieu est celui qui ne s'atteint que par la remontée des ancêtres. Et la plus belle façon qu'il m'a appris de prier, c'est l'action. Oui, agir, c'est prier avec la garantie d'un miracle à la clé comme l'assurance de planter un arbre et de voir demain des enfants déguster ses fruits. J'ai laissé des prières sur la parcelle de mon père qui sont des manguiers, des safoutiers, etc. A l'église de la résignation, j'ai substitué celle de l'engagement active. A la culture du péché abondamment arrosé par la surabondance de la grâce, j'ai préféré la pureté du cœur, le rejet du mal. 
 
J'ai retrouvé l'or du kimuntu, cette suffisance ontologique dont les fruits furent pour les anciens l'amour, l'altruisme, la générosité, la suffisance de ce que l'on a - avant que la modernité vienne planter la convoitise de la substance du monde dans les cœurs des fils d'Afrique.
 
Il y a un message universel qui vient des profondeurs de l'Afrique, un message vivant qui est le cœur des religions à prétention universaliste juste au dehors mais non au dedans, un message qui ne sert plus qu'à séduire. On apprend à conduire pour ensuite conduire seul. Ainsi se mesure la réussite d'un enseignement. Or, désormais, on vous contraint à devenir des apprentis conducteurs à vie. Et cela n'est pas de la religion mais de la servitude spirituelle.
 
Il y a plusieurs dieux qui se disputent les âmes mais un SEUL Créateur. Moïse ou celui qui lui prête ces mots, à savoir, Ezra, parle de "dieux nouveaux venus" (Deutéronome 32 : 17). Ce qui se tient avec le "tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face". La création juive héritée des Perses est polythéiste comme le témoigne le "Créons l'homme à notre image" ou le "Comme l'homme est devenu comme l'un de nous". Dieu lui-même est un pluriel en ELOHIM.
 
La religion de nos ancêtres est monothéiste reconnaissant un Créateur universel transcendantal et des esprits inférieurs appelés génies ou dieux. La Bible dit à Moïse qu'il sera Elohim, c'est-à-dire, Dieu, pour son frère Aaron. La divinité, je te rappelle, l'homme peut s'en revêtir mais jamais il ne prétendra être le Créateur, le DIEU UNIVERSEL qui ne saurait être un homme ou s'incarner en homme pour une raison simple : LE CREATEUR NE PEUT NAITRE DE SA PROPRE CREATURE. QUICONQUE LE PRETENDRAIT EST UN MENTEUR. S'il est écrit : "vous êtes des dieux" dans le livre des Psaumes, il n'est écrit nulle part qu'il y ait plusieurs Créateurs de l'univers. Il est le Créateur, le Conservateur et le Destructeur des mondes et des univers. Voilà les trois attributs trinitaires de l'UNIQUE CREATEUR connus par les anciens...
 
NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,
 
MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU
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4 février 2018 7 04 /02 /février /2018 22:05

POURQUOI UN DIALOGUE POLITIQUE INCLUSIF ET UNE TRANSITION DEMOCRATIQUE APAISEE SONT NECESSAIRES AU CONGO-BRAZZAVILLE ?  


Rappel de la  principale cause de l’impasse politique actuelle dans notre pays.

La Constitution du 20 janvier 2002, en son article 57 prévoyait que le Président de la République n’a droit qu’à deux mandats consécutifs. Pour rendre pérenne cette limitation des mandats présidentiels, l’article 185 alinéa 3 de cette Constitution interdisait toute révision constitutionnelle qui aurait pour objectif de porter atteinte au nombre de mandats du Président de la République à deux. Cette disposition constitutionnelle était donc une garantie pour une alternance politique et démocratique au sommet de l’Etat.  

Ainsi, la limitation des mandats présidentiels, en tant qu’exigence démocratique, aurait dû être respectée par le Président de la République en fonction. Elu en 2002 et réélu en 2009, il aurait dû, à la fin de son second mandat constitutionnel en 2016, et conformément au serment qu’il avait prêté de respecter et de défendre la Constitution, quitter le pouvoir et faciliter l’alternance politique. 

Mais c’était sans compter avec son addiction au pouvoir et son mépris constant des lois et règlements de la République. 

C’est ainsi qu’en dépit de nombreuses mises en garde de l’opposition politique et des rappels au respect de la Constitution de certains intellectuels congolais, le Président de la République sortant et de fait en place n’a rien voulu savoir. Son désir ardent de s’agripper au pouvoir l’a conduit à violer, avec impudence et de manière flagrante, la Constitution du 20 janvier 2002. Pourtant notre pays n’était en rien malade de cette Constitution. 

Se fondant sur certaines arguties politiciennes dénuées de la moindre légalité ou consistance, le Président de la République sortant et de fait en place ne s’était pas empêché d’organiser le 25 octobre 2015, avec l’arrogance et l’obstination déraisonnable qu’on lui connaît, un référendum anticonstitutionnel censé avoir procédé au changement de la Constitution du 20 janvier 2002. 

Il reste qu’ayant violé respectivement les articles 50, 56, 57, 69,86 et 185 de la Constitution du 20 janvier 2002, le Président de la République sortant et de fait en place avait  commis aussi bien un parjure qu’un coup d’Etat contre la Constitution du 20 janvier 2002. 
C’est sur la base de la « Constitution » imposée, dans la plus parfaite inconstitutionnalité, par le Président de la République sortant et de fait en place que s’était tenue, le 20 mars 2016, une « élection » présidentielle qui, outre son illégalité, avait été largement boycottée par  les Congolais, qui avaient ostensiblement boudé les urnes, afin de ne pas cautionner le coup d’Etat contre la Constitution du 20 janvier 2002, réalisé le 25 octobre 2015 et le hold-up électoral du 4 avril 2016 qui avait suivi. 
Mais, en dépit du fait qu’il n’était arrivé qu’en quatrième position de cette « élection », le Président de la République sortant et de fait en place, avec un art consommé de la tricherie et de la fraude électorale dont il a le secret, ne s’est pas empêché de faire modifier les résultats sortis des urnes par une Cour constitutionnelle  à ses ordres. C’est ainsi que cette Cour, qui lui obéit au doigt et à l’œil, l’avait proclamé élu dès le premier tour. Pourtant tous les congolais ne sont pas dupes. Ils savent pertinemment que c’est le candidat Jean-Marie Michel MOKOKO qui était arrivé en tête au premier tour. Plusieurs chancelleries occidentales le savent certainement aussi mais préfèrent ne pas le reconnaitre ouvertement et éviter un éventuel incident diplomatique avec le pouvoir dictatorial et de fait en place. 

N’ayant jamais été élu, le Président de la République sortant et de fait en place ne peut prétendre à une quelconque légitimité. Toutes les institutions actuelles n’ont pas davantage de légitimité puisqu’elles sont prévues dans un texte qui est lui-même inconstitutionnel. 

 Il n’est pas possible au Président sortant et de fait en place d’expurger le vice d’inconstitutionnalité, qui est intrinsèquement lié à son référendum factice, au texte qu’il a imposé aux congolais, aux institutions qu’il contient, à sa candidature invalide à une « élection » présidentielle et à son maintien au pouvoir par sa seule force qui est celle des armes. Ce pouvoir illégitime demeure entaché d’un vice général et total d’inconstitutionnalité et d’illégalité. Aucune régularisation, sous quelque forme que ce soit, n’est juridiquement possible  ni politiquement envisageable. 

La République du Congo vit dans un inquiétant et préoccupant état d’exception caractérisé par l’existence d’un Président et des institutions de fait simplement puisque le droit est absent. Le fait continue à supplanter le droit, au grand plaisir de celui qui est constamment et inexplicablement en conflit avec les lois et règlements de notre pays. 


  • Conséquences néfastes de l’organisation de l’ « élection » présidentielle du 2O mars 2016. 

Comme il fallait s’y attendre, les responsables de l’opposition politique et ceux des plateformes de la Société Civile ne vont pas reconnaître, avec raison, cette parodie ou « élection » du Président de la République sortant et de fait en place. C’est tout naturellement qu’ils vont rejeter les résultats frauduleux de la mascarade électorale du 20 mars 2016 et le hold-up qui avait suivi le 4 avril 2016. La grave crise postélectorale que connait notre pays date de ce moment-là. 

N’appréciant pas le rejet des résultats frauduleux, qui lui ont permis de voler la victoire du candidat Jean-Marie Michel MOKOKO, le Président de la République sortant et de fait en place, avec l’intolérance qui le caractérise, ne va pas tarder à exprimer son courroux et sa fureur, à travers une répression systématique et aveugle, qui va s’abattre sur certains responsables de l’opposition politique, non pas collaborationniste et favorable au pouvoir dictatorial et de fait en place (opposition du pouvoir dont Parfait Kolélas et Pascal Tsaty Mabiala sont les principaux tenants), qui ne sont ni inquiétés ni persécutés, mais ceux qui sont restés très critiques à l’égard du Président sortant et de fait en place (opposition au pouvoir). 

Cette nuance faite par le brillantissime Professeur Charles Zacharie Bowao, dans son interview à mondeAfrique, est très pertinente tout en ayant le mérite d’éviter tout amalgame entre les vrais opposants politiques, que les congolais soutiennent sans réserve, et les  faux opposants,  animés par des préoccupations simplement alimentaires et bassement carriéristes. 
 
C’est le règne de l’insécurité, de la terreur et de la négation du droit qui se poursuit dans notre pays sous ce pouvoir inique, oppressif, liberticide et inhumain. 

Ce climat de terreur est d’ailleurs corroboré par le rapport 2016 de l’Observatoire Congolais des Droits de l’homme (OCDH) intitulé : 

      République du Congo : une gouvernance par la terreur et le mépris des droits humains. 

Dans ce rapport bien documenté de 109 pages, cette ONG nationale de défense des droits humains met en exergue la terreur, telle qu’elle est pratiquée par le pouvoir de fait en place, en vue d’opprimer les congolais, décourager toute forme de contestation  et  faire taire toute voix discordante à celle du Président de la République sortant et de fait en place.  
L’absence de démocratie et d’Etat de droit dans notre pays est remarquable notamment  à travers :            

  • Le verrouillage de l’espace politique au profit exclusif du Président de la République sortant et de fait en place, du parti politique dont il est issu et de ses alliés politiques ; 
  • L’interdiction systématique des activités de l’opposition politique que ce soit en public ou dans les salles voire dans leurs domiciles comme Clément MIERASSA en avait été victime ;
  •  Les graves et quotidiennes violations des droits et des libertés tant individuelles que collectives des congolais ; 
  • La confiscation des médias publics par le pouvoir de fait en place et l’interdiction d’accès des opposants politiques à l’audiovisuel public ; 
  • L’absence de moralisation de la vie publique qui a pour corollaire la promotion des antivaleurs en général, et de  la corruption, de la concussion et des détournements massifs et récurrents des deniers publics ; 
  • La prévarication de tous ceux qui occupent des fonctions politiques ; 
  • Le recours à l’intimidation sous toutes formes afin de décourager toute velléité de contestation ; 
  • La banalisation de la torture par les forces de l’ordre contre les opposants politiques et  leurs militants et sympathisants ; 
  • L’érection de l’exercice des libertés d’association et de réunion pacifique, par les opposants politiques, en infractions de droit commun ; 
  • L’arrestation, en toute illégalité et arbitrairement, des opposants politiques et le déclenchement des poursuites qui n’ont rien de judiciaires mais sont manifestement politiciennes ; 
  • L’instrumentalisation scandaleuse de la justice, par le pouvoir de fait en place, qui l’utilise comme moyen de réprimer les opposants politiques et les réduire au silence alors que la même justice demeure silencieuse, inerte et aphone lorsque le pouvoir de fait détourne plusieurs milliers de milliards de F CFA d’argent public ; 
  • La création des escadrons de la mort dont la mission essentielle est d’enlever des militants et sympathisants de l’opposition politique qui sont séquestrés et torturés à mort comme AUSTIN KALLA KALLA du CADD d’André OKOMBI SALISSA ; 
  • L’intrusion de la force publique dans le champ politique, au profit du pouvoir de fait, alors que l’armée, la police et la gendarmerie sont supposées être apolitiques ; 
  • La généralisation de la fraude et de la tricherie lors de toutes les mascarades organisées depuis 2002 ; 
  • L’accaparement des richesses nationales et du produit de leur vente par le Président de la République sortant et de fait en place, ses enfants, son clan et ses proches alors que plus de soixante-dix pour cent des congolais vivent dans une innommable, ahurissante et paradoxale extrême pauvreté eu égard à la richesse de notre sous-sol ; 
  • Les suspensions et interdictions des journaux dont la ligne éditoriale est très critique à l’égard du pouvoir de fait en place par le bras armé du pouvoir qu’est le Conseil supérieur de la liberté de communication;

 

  • L’adoption des lois  destinées à assouvir des ambitions personnelles et défendre des intérêts égoïstes des tenants du pouvoir de fait plutôt que l’intérêt général dont la loi est pourtant censée être l’expression ;
  • L’existence de plus de cent prisonniers politiques à la Maison d’arrêt de Brazzaville ; 
  • L’interdiction de quitter le territoire national frappant les opposants au pouvoir de fait, la confiscation de leurs passeports et le refus de leur renouvellement ; 
  • La violation des domiciles des opposants au pouvoir de fait en place et le recours à toutes les formes d’intimidation autour de leurs maisons etc. 


L’intolérance et la violence politique contre l’opposition politique au pouvoir de fait et les intellectuels libres et courageux se sont dangereusement banalisées. 

L’omniprésence de l’armée, dans les avenues de grandes agglomérations urbaines, donne la fâcheuse impression que le Congo est dans un état de guerre permanente alors qu’il n’en est rien. La politique du tout sécuritaire qu’applique le pouvoir de fait en place est révélatrice de la présence de la terreur et de l’absence de liberté dans notre pays. 

Ce tableau sombre de la situation actuelle de notre pays ne peut que nous préoccuper. En prenant pour point de départ la fin de la Conférence Nationale Souveraine, on peut affirmer, sans la moindre réserve, que l’ampleur du déficit et de la régression démocratiques  ainsi que la négation du droit sont sans précédent. C’est d’autant plus vrai que tous les abus du monopartisme, dénoncés pendant la Conférence Nationale Souveraine, sont perpétués par le pouvoir de fait en place, qui recourt de manière  systématique à la violence politique contre ceux dont le seul tort est de critiquer tout ce qui mérite de l’être dans la gouvernance hasardeuse et chaotique actuelle. 

Le discours officiel du pouvoir, fait de contre-vérités et de déni absurde de la réalité, ne peut convaincre les congolais et la communauté internationale de l’existence d’une véritable démocratie pluraliste et d’un Etat de droit fiable dans notre pays.  

Devant cette situation de conservatisme du pouvoir de fait et de sa  sclérose politique, de fracture sociale, de déficit démocratique et de négation du droit, doit-on se résigner et rester des spectateurs passifs du naufrage et de la destruction multiforme et multidimensionnelle de notre pays par le pouvoir illégitime actuel? 

Bien sûr que non. 

Rester indifférents, ne pas s’engager ou ne pas prendre des initiatives  courageuses permettant de trouver une solution politique serait assimilable à une attitude anti patriotique et une sorte de non-assistance à République en péril.  

III.  La voie de sortie de l’impasse politique actuelle.

La politique étant l’art et la pratique du compromis, il est nécessaire que les différentes parties fassent des concessions qui permettront de trouver un compromis satisfaisant pour faire sortir notre pays de l’impasse politique actuelle. Un tel compromis ne peut naturellement être obtenu que si les différents parties s’asseyent et discutent sans tabous. Autrement dit, un compromis politique n’est possible qu’à la condition qu’il y ait préalablement un dialogue entre le pouvoir, l’opposition politique et les plates formes de la Société Civile. 

Ce dialogue politique, comme l’exige avec raison l’opposition au pouvoir, doit être suffisamment inclusif pour être crédible. 

On ne peut pas parler d’un véritable dialogue inclusif lorsque le pouvoir de fait en place, méprisant les vrais opposants comme il sait bien le faire, préfèrent recourir à la dérisoire, usée, inopérante et contre-productive astuce de la division des opposants pour régner. 

En effet, alors que l’opposition au pouvoir demande, depuis un certain temps, la tenue d’un dialogue politique inclusif, le pouvoir préfère se montrer disposer à dialoguer uniquement avec le Révérend pasteur Frédéric BITSAMOU alias NTUMI. Le pouvoir  veut ainsi induire les congolais et la communauté internationale en erreur en leur faisant croire que c’est NTUMI qui est la cause de  la grave, profonde et multiforme crise que connait notre pays. Il n’y a pas de problème NTUMI dans notre pays. C’est une fabrication du pouvoir de fait en place pour faire diversion. Le pouvoir préfère passer sous silence la crise post-électorale. Mais refuser de voir la réalité qui te dérange ne peut pas, pour autant, la faire disparaitre. Les faits sont têtus. 

Le pouvoir de fait est passé maîitre dans l’art d’apporter des fausses solutions aux vrais problèmes auxquels le pays est confronté. 

Le pouvoir de fait en place a eu la naïveté déconcertante de croire que NTUMI, qu’on qualifiait encore il y a peu de terroriste infréquentable, tomberait dans ce piège d’un dialogue sur mesure que lui propose le pouvoir. Accepter un tel dialogue, c’est laisser penser qu’il est la cause de la crise que traverse notre pays. Ce stratagème est trop grossier pour qu’il se laisse avoir. NTUMI n’est pas né de la dernière pluie.  

C’est pour cette raison que NTUMI  a subordonné sa participation à un éventuel dialogue avec le pouvoir de fait en place à la satisfaction intégrale des quatre conditions suivantes : 


  • Arrêt immédiat des bombardements et retrait de tous les miliciens dans le pool ; 

  • Libération dans exception de tous les prisonniers politiques ; 

  • L’organisation d’un véritable dialogue inclusif sous les auspices de la communauté internationale ; 
  • La mise des opposants au pouvoir et des responsables de la Société Civile sous la protection des formées armées internationales notamment les casques bleus de l’ONU.  

Toutes ces conditions rejoignent, pour l’essentiel, celles que pose l’opposition au pouvoir depuis un certain temps.  

Ces conditions sont un refus clair de NTUMI à un dialogue entre le pouvoir de fait en place et lui à l’exclusion de l’opposition au pouvoir et des responsables des plates-formes de la Société Civile critique envers ledit pouvoir. 

Le pouvoir ne doit plus nous perdre davantage de temps car ses tergiversations ne le servent pas forcément et encore moins notre pays. Il doit sortir de son ridicule égo démesuré dont le pays continue à vivre les conséquences néfastes. 


Le physicien Albert EINSTEIN avait dit  que : « Nous ne devons pas désespérer des hommes puisque nous sommes nous-mêmes des hommes ». 

C’est pour cette raison qu’en dépit de notre vie politique heurtée en permanence, où les divers acteurs s’observent en chiens de faïence, nous ne devons pas perdre espoir qu’un compromis politique reste possible, afin de sortir notre pays de l’abîme car, comme on le dit souvent, en politique il n’y a jamais de jamais. 

Il appartient donc aux politiques, spécialement ceux du pouvoir de fait en place, à commencer par celui qui est au sommet de l’Etat, de délaisser définitivement le conservatisme, le manichéisme, l’ostracisme et le sectarisme, qui continuent à nuire tant à notre pays, et s’engager dans la salutaire voie du dialogue politique inclusif et d’une transition démocratique apaisée qui remettra notre pays sur les rails pour ainsi dire. 

Accepter le dialogue, avec ses compatriotes et dans l’intérêt supérieur de notre pays, loin d’être un signe de faiblesse est, au contraire, une preuve de grandeur de la part de celui qui assume la plus haute charge de l’Etat. 

C’est en cela qu’on reconnaît aussi un vrai homme d’Etat, qui est la négation même des politiciens, qui infestent encore la scène politique de notre pays. 

En convoquant un dialogue politique véritablement inclusif, Denis Sassou Nguesso ne perdra rien.  

A lui donc de prendre le train de l’histoire, pendant qu'il est encore temps, avant qu’il ne s’éloigne à jamais de lui et qu’il ne soit jeté dans la poubelle de l’histoire. 

A bon entendeur salut. 


TERENCE FAREL LOMBISSA  

Analyste politique indépendant.

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4 février 2018 7 04 /02 /février /2018 14:55
ELIE SMITH : JEAN JACQUES BOUYA DANS TOUS SES ETATS PARCE QUE PLUS CUPIDE ET PLUS MALIN QUE SASSOU  !

COMMENTAIRE : Nombreux me demandent pourquoi je n'écris plus beaucoup. La réponse est simple : je lis plus que je n'écris et prépare des documents pour le futur.

Je reprends ici le texte du journaliste Elie Smith qui dévoile la mystification de Denis Sassou Nguesso par Jean Jacques Bouya plus malin et plus cupide. Ceux qui me lisent savent que j'avais dit que cet homme faisait partie des citoyens les plus riches de notre pays. Pourquoi ? Parce qu'il avait un budget de 300 milliards de francs cfa pour gérer son ministère des Grands et surtout des petits travaux et parce que tout le budget d'investissement du Congo passait entre ses mains. Elie Smith nous permet aujourd'hui d'ajouter une troisième raison : le business sur le dos de l'argent public avec surfacturations à la clé.

J'avais affirmé que plus les milliards s'empilaient sur les comptes de Jean Jacques Bouya, plus son ventre grossissait. Cet homme possède les ascaris les mieux nourris de la planète !

On apprend depuis un certain temps des vertes et des pas mûres sur le ventre qui entre avant son propriétaire en l'annonçant de loin. Des routes inexistantes aux sociétés et comptes cachés chinois en passant par ses avoirs à Dubaï, on se rend compte que quelqu'un essaie de couler voire de sacrifier Jean Jacques Bouya.

 

Je vous avais dit que l'audit sur la corruption et la bonne gouvernance (plutôt la mauvaise, oui) exigé par le FMI ne donnerait rien de tangible. Le FMI revient au Congo en février - sans que l'on ait fait le point sur la corruption et la mal gouvernance dans notre pays. Au contraire, on apprend que l'Etat privatise la SNE et la SNDE non rentables - alors que les Congolais payent même quand il n'y a pas d'eau et d'électricité. Ce sont les proches de Sassou voir la Bête de l'Alima elle-même qui risque de récupérer ces deux sociétés publiques. Ensuite, on privatisera le CH-Tue et le reste du domaine public. Je vois mes prédictions se réaliser quand j'ai affirmé que le Congo sera contrôlé un jour par des étrangers. On le voit se réaliser. Je signale juste qu'il est dangereux de privatiser l'eau et l'électricité dans un pays : il deviendra plus facile à des ennemis de notre peuple de nuire à nos concitoyens. Les Congolais doivent s'attendre à une augmentation du coût de l'électricité - sans pour autant gagner en qualité, déjà qu'il n'y avait pas un courant électrique stable et constant ou une eau potable et quotidienne...

Revenons à Jean Jacques Bouya qui se vante d'être celui qui fait avancer le Congo avec des infrastructures inutiles et de mauvaise qualité : il est plus malin et plus instruit que son oncle Denis Sassou Nguesso et il est aussi plus cupide. Aussi, il n'est pas étonnant qu'il ait employé son génie maléfique à ruiner le pays pendant que son oncle se préoccupait de ses vaches et de ses poissons-chats. Le désastre des édifices pourris construits par Jean Jacques Bouya a mis la lumière sur l'homme que le régime veut désormais sacrifier.

Il faut que Jean Jacques Bouya rende des comptes à la justice. Cela devient de plus en plus impérieux. Le fait d'être le neveu du monstre de l'Alima ne doit pas le dédouaner. Et il ne doit pas être le seul : Tous les autres comme les trois Denis Sassou, Christel, Gokana doivent passer à la barre. On ne ruine pas impunément l'avenir d'un pays.

Quant aux chinoiseries, nous demandons au FMI d'y voir plus clair avant de concéder le moindre dollar au Congo. Il faudra un jour revoir le caractère privilégié de l'attribution d'affaires publiques aux Chinois quand nous restaurerons la démocratie. Les yeux bridés sont des complices de Sassou, Bouya et compagnies dans la ruine du Congo. Il est à envisager un jour de porter plainte contre la Chine pour blanchiment d'argent public du Congo. Chaque chose en son heure...

 

NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

"

BOUYA DANS TOUS SES ÉTATS !
 
COMMENT BOUYA A ROULÉ SASSOU DANS LA FARINE AVEC SES CHINOISERIES ET SES OPÉRATIONS DE SURFACTURATION DE TRAVAUX PUBLICS ASSURÉS PAR SA SOCIÉTÉ  CRBC
 
"Menteur astucieux". C'est le titre du livre que devraient donner de vrais   écrivains congolais aux micmacs de Jean Jacques Bouya, le neveu  de Sassou Nguesso  qui gère tous les grands travaux publics du Congo. Pas Innocent Peya, l'unique docteur honoris causa en mensonges politiques.
 
Le pasteur franc maçon (à la CFMC ), Parfait Iloki, à la recherche du sang des innocents congolais, devrait bien s'en mordre les doigts depuis que nous avons décidé de sortir, ce matin par nos réseaux, l'un après l'autre, les chapitres du livre de Bouya. Un livre bien volumineux dont nous vous livrons ici quelques morceaux choisis.
 
L'un des plus gros mensonges de Bouya est d'avoir fait croire à son oncle de président qu'il est impossible de faire une extension du port autonome de Pointe-Noire, car c'est désormais le domaine réservé de l'homme d'affaires français  Bolloré, notamment Bolloré Africa Logistics. Archifaux !
 
 Pendant que Bouya se jouait de Sassou, moins au fait des affaires de ce type, il a pu s'adjuger 16 km de terre ferme et 7 km de surface maritime confiés à China Roads, Bridge and Construction (CRBC), sa propriété privée  présentant une façade chinoise pour donner une apparence d'une entreprise venue de l'Empire du Milieu.  
 
Mon oeil ! C'est donc cette société à laquelle Bouya avait  confié la construction du port minéralier de Pointe-Noire en sollicitant un autre financement auprès de EXIMBANK. Encore une affaire de gros sous pour s'en mettre plein les poches alors que la production des minerais du Congo reste encore embryonnaire. Chose que les Chinois ont refusé de financer au profit de la CRBC. 
 
N'eût été Gilbert MOKOKI, le nouveau ministre des Zones Économiques Spéciales, qui va engager des travaux de construction du quai au port autonome de Pointe-Noire par China Overseas, le  pot aux roses n'aurait jamais été découvert. Ce qui dégonfle ainsi le gros mensonge de JJB, obligé de multiplier ses voyages astraux à travers son cercueil  logé dans son ancien bureau du centre-ville. 
 
On se souvient qu'un veilleur de nuit commis à la sécurité des lieux est passé de vie à trépas pour avoir eu l'outrecuidance d'espionner Bouya. Les "nostra padre" du prêtre exorciste de Saint Anne ont été bien  vaines. 
 
30 ANS D'ENDETTEMENT DU CONGO ENVERS LA CHINE, À CAUSE DE L'APPÉTIT GARGANTUESQUE DE JJB !
 
Ce que les Congolais ne  savent pas c'est que dans le cadre du partenariat stratégique signé entre le Congo et la Chine en 2006, Brazzaville devrait s'acquitter de son plan d'engagement envers Beijing  pendant 30 ans. Tant pis pour les générations futures sacrifiées par Bouya, Denis Christel Sassou Nguesso, Ondongo Gilbert et consorts ! 
 
Montant de la dette à supporter par  le contribuable congolais pendant ces 30 ans ? Un peu plus de 10 milliards de dollars us ! Le Chiffre fait froid dans le dos, lorsque l'on sait que Bouya, champion de la surfacturaration avec son CRBC aurait engrangé un peu plus de 9 milliards de  dollars. Maméh ! Des surfacturations issues des chinoiseries de stades, aéroports et palais présidentiels sans vie. Même l'université Denis Sassou-Nguesso de Kintélé est déjà en pleine décrépitude  avant son inauguration. 
 
Des chinoiseries d'appareil dont se gaussent des experts congolais en la matière. Les surfacturarations de Bouya causent aujourd'hui un énorme préjudice au Congo. Tenez ! À Kintélé, où les propriétaires terriens n'ont jamais été dédommagés par Bouya, des sorciers maudissent nuit et jour les Diables ROUGES,  l'équipe nationale, pour que l'attaquant rate un penalty - même les buts vides. 
 
Bouya n'est pas, non plus, épargné par leurs mauvaises incantations. Peut-être, c'est pourquoi son ventre pousse comme celui de Michelin. Pasteur franc-maçon Parfait Iloki, passez à la barre! "
 
Elie Smith
 

 

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2 février 2018 5 02 /02 /février /2018 09:41
UPADS : NOUS METTONS EN GARDE PASCAL LE PETIT QUANT AUX SUSPENSIONS ET RADIATIONS ARBITRAIRES

D'entrée de jeu, nous supplions les membres de l'UPADS qui veulent démissionner de ne pas le faire : il faut que Tsaty Mabiala Pascal le petit aille jusqu'au bout de sa logique dictatoriale en les suspendant ou en les radiant - ce qui aura l'effet de le faire apparaître pour ce qu'il est, à savoir, une petite personnalité sans charisme qui joue au dictateur au sein d'un parti dont il n'est plus le premier secrétaire. C'est au Congrès ou au Conseil National de les radier ou de les suspendre ! Qu'on se rappelle que même Clément Mouambe n'a pas démissionné du parti ; il a laissé Tsaty Mabiala, le rat palmiste, aller jusqu'au bout de sa logique. Démissionner empêcherait à Tsaty Mabiala de violer les textes du parti. Ne lui faites pas cet honneur. L'UPADS n'est pas la propriété privée de Tsaty Mabiala Pascal, le petit. C'est VOTRE parti, l'héritage que le professeur LISSOUBA vous a laissé ! Tsaty Mabiala veut écarter tous les vrais militants et membres de ce parti pour ne s'entourer que de larbins. Ne lui faites pas cet honneur !

Pour réaliser un idéal sociétal, il faut des organisations politiques, culturelles, économiques, éducatives, religieuses, etc dignes de ce nom. Cependant, derrière la plus belle institution ou la plus belle organisation du monde, il y a des hommes et, il se remarque que les institutions, les organisations, toutes sortes d'associations ne valent que ce que valent les hommes. Prenez le Congo : vous pouvez avoir la meilleure des Constitutions, si elle est servie par des barbares primitifs, pêcheurs reconvertis politiciens de surface, le pays ne peut être que ruiné, banqueroutée, moralement, culturellement et économiquement dévasté. Et, là où les barbares ont substitué des antivaleurs aux valeurs, c'est encore plus difficile de revenir à l'équilibre social.

Si vous greffez à cela, une nation inexistante, une république extravertie, des individus acculturés au point de rejeter leur propre culture, des individus qui pourtant continuent à s'appuyer sur le différentiel ethno-régional pour transformer les droits de tous en privilèges afin de se maintenir au pouvoir, vous mesurez l'immensité de la tâche qui vous reste à accomplir pour que la société qui vous a donné la vie redevienne une société humaine. Cela dit, il y a des grands et des petits esprits partout. Le progrès n'advient que lorsqu'un grand esprit accède au pouvoir et oeuvre à la transformation positive de la société. Tout progrès humain vient de l'homme, de sa qualité morale, de son épaisseur éthique. Les institutions non moins nécessaires ne sont que des cadres, des balises pour ne pas sortir de la route du progrès. Aussi, nous avons besoin de grandes institutions, de grands partis politiques, de grands hommes politiques. Hélas, si l'ambition est innée, il n'existe pas d'école pour former des grands hommes pétris de grandeur éthique.

Le Congo a besoin de grandes institutions comme de grands syndicats, une grande force publique ou de grands partis. Sans eux, il se constate que la restauration voire la simple instauration de la démocratie est impossible. La dictature se comprend quand vous mesurez toutes les facilités octroyées par l'accès au sommet du pouvoir. Les "politichiens" africains sont des rentiers ; les richesses du pays font leurs rentes. Ils ne veulent pas transformer eux-mêmes les matières premières - ce qui conduirait au développement de leur pays. Ils ne cherchent que de l'argent facile obtenu sans effort. Quand une société se trouve à ce niveau de bassesse, on peut constater que les étrangers finissent par faire main basse sur elle au détriment des populations du pays. Lorsque la survie d'un pays ne dépend plus que de l'extérieur, il faut craindre qu'elle ne devienne une nation - esclave incapable de défendre ses propres intérêts. Une telle nation ne peut se développer car le progrès qui fait le développement est toujours volontaire dans le souci de satisfaire soi-même ses propres besoins. Dans un tel contexte, il faut reprendre en main les institutions du pays en partant des plus petites aux plus grandes jusqu'à l'appareil d'Etat. Et reprendre les institutions, c'est chasser ceux qui les dirigent et les corrompent.

Nous avons besoins de grands partis politiques car sans eux, vous remarquez que la mobilisation des populations est compliquée et difficile à réaliser - surtout dans un climat politique qui a même corrompu les syndicats à la tête desquels Denis Sassou Nguesso a placé des membres de l'ehnie-Etat pour éviter toute surprise comme en 1991. Si le syndicat dépend des travailleurs, ce n'est pas l'institution qui mobilise le plus gros de la population - d'autant que certains ont des intérêts à préserver. Ce sont les partis politiques qui doivent jouer le plus grand rôle car ils incluent des salariés et des non-salariés, des femmes et des hommes, des jeunes et des vieux.

Au Congo, le plus grand parti politique compte tenu de sa base, est l'UPADS. Créé pour la prise du pouvoir, il réussit sa mission du premier coup. Cependant, si l'UPADS inaugura l'ère de la démocratie, elle ne sut pas conserver la démocratie face à des puissants ennemis qui tenaient à poursuivre le pillage des matières premières du Congo. Un coup d'Etat en 1997 poussa LISSOUBA Pascal le GRAND à quitter le Congo. Par la ruse, un petit Pascal finit par s'emparer du parti pour en devenir rentier politique auprès de Denis Sassou Nguesso. Tsaty Mabiala s'est emparé du parti aux trois palmiers et ne veut plus le lâcher car le monstre de l'Alima a encore besoin de lui pour immobiliser l'opposition.

Depuis un certain temps, des voix s'élèvent au sein du parti pour critiquer le rat palmiste de Loudima qui mange dans l'anus du ndzokou. Tsaty Mabiala Pascal le petit a épuisé ses deux mandats à la tête de l'UPADS. Comme il ne peut pas organiser un Congrès pour laisser le parti à quelqu'un d'autre, il applique la politique de Kabila en ne faisant rien.

Avant de publier les correspondances que nous avons reçues, nous tenons à avertir Pascal le petit qu'il est déjà allé très loin dans l'ignominie au service de sa cupidité. De nombreux militants de l'UPADs ont déjà pris d'eux-mêmes des distances  avec le parti à cause de cet énergumène. Voilà qu'il se propose de suspendre ou de radier des militants de ce parti pour juste l'avoir critiqué. S'il le fait, tous les Congolais sauront que cet homme est un dictateur qui marche sur les pas de Sassou quand il ne mange pas les fèces dans son anus de ndzokou. Tsaty Mabiala ne peut ni suspendre, ni radier un membre de l'UPADS selon les dispositions des textes du parti - d'autant qu'il n'est plus premier secrétaire du parti. Toutes les décisions sont suspendues dans l'attente du Congrès qu'il aurait pu organiser : nous avons appris que Tsaty Mabiala aurait retiré la somme de 100 millions de francs cfa de la caisse du parti, une somme largement suffisante pour organiser le Congrès de l'UPADS.

Depuis que la taupe du PCT se sent démasquée, elle n'a plus comme moyen de défense que la suspension ou la radiation des membres qui réclament l'application des textes du parti ou la démocratie interne au sein de celui-ci. Nous avertissons Pascal le petit que cette fois-ci, s'il avance le bouchon trop loin, il risque d'y avoir des conséquences. Ce n'est pas moi qui le dis : on me demande de lui faire passer le message.

L'UPADS n'est ni la création, ni la propriété privée de Tsaty Mabiala. C'est unparti politique, c'est-à-dire, un bien collectif. Il hors de question de laisser un petit dictateur venir imposer sa loi à des militants qui aiment ce parti dont le petit Pascal a reçu mission de détruire. S'il croit avoir du charisme, qu'il crée son propre parti et il se rendra compte que même ses soutiens actuels qui le suivent docilement comme des toutous ne le suivront plus.

Voici le texte de Dumiss Kifumb', un militant de l'UPADS qui est en contact avec LDM depuis l'Europe :

" Bonsoir LDM.
 
Tsaty Mabiala qui commet les fautes les plus lourdes se croit toujours au dessus de toutes les lois qui régissent le fonctionnement de l'UPADS du Professeur Pascal le grand.
 
Tiens, il prend la décision de vendre le siège du parti à plus de 2 milliards de francs CFA mais fait croire aux cadres du Parti qu'il n'aurait encaissé qu'un milliard, en filant quelques millions de francs CFA à Poungui, son mentor et à Ngamassa, le protecteur et vice-président chargé de la permanence à l'époque. Plus de 100 millions s'envoleront dans les poches de Boussoukou, le sulfureux financier du parti pendant que les autres cadres dont l'actuel député Tsiba sont soumis à la mendicité.
- Tsaty Mabiala peut se permettre de sanctionner Mouamba Clément, un cadre de l'UPADS qui commençait à lui faire de l'ombre, pour avoir participé au dialogue de Sibiti boudé par Tsaty Mabiala pour n'avoir pas reçu la somme exigée au pouvoir.
- Pour le dialogue d'Ewo, le pouvoir ayant accepté toutes les exigences de Tsaty Mabiala avec son complice Sayi, la délégation de l'UPADS participe au dialogue d'Ewo contre 150.000.000 de francs cfa : la délégation de l'UPADS est transportée par Jet privé.
- Avant l'élection présidentielle, Tsaty Mabiala reçoit la somme de 250.000.000 de francs cfa mais pour éviter d'attirer l'attention de ses proches, il écarte Sayi de sa campagne pour recruter un directeur de campagne qui n'est pas membre du parti UPADS et ce dernier ne contrôle aucun budget de campagne car le félin Tsaty Mabiala choisit sa nièce gérante d'un restaurant familial à Dolisie dans l'avenue Félix Eboué pour gérer le peu de sous restant pour la campagne car la plus grosse partie de l'argent reçu du pouvoir est utilisé pour acheter deux appartements en Belgique où il loge sa famille.
 
Bien avant le début de campagne Tsaty Mabiala fait décaisser la somme de 100 millions de francs des fonds du parti avec la complicité de son sulfureux argentier Boussoukou qui lui aussi ne tardera pas à vider le reste.
 
Aux élections locales et législatives, l'UPADS n'avait plus de sous pour payer les droits de participations de ses candidats aux locales et aux législatives.
Tsaty Mabiala va donc faire du chantage au pouvoir car pour rendre crédibles les élections, il fallait la présence de l'UPADS aux élections pendant que la vraie opposition demandait le boycott.
Le pouvoir cède et accorde 200 millions à Tsaty Mabiala qui demande le report de la date de clôture de dépôt de candidature. Tous les Congolais se rappellent que pour cause de retard des candidature de l'UPADS, la date de dépôt fut reportée.
Les candidats de l'UPADS ne démentiront pas car ils ont été obligés d'avancer les frais de leurs poches pour certains pendant que Boussoukou le financier attendait à Brazza avec son maître la répartition du peu affecté aux candidats.
Certains candidats n'ont jamais été remboursés car Boussoukou ne pouvait distribuer que 500.000 francs cfa à chaque candidat.
Madame Kikamba parachutée à Pointe-Noire comme candidate bien que fille de joie du premier secrétaire en sait quelque chose puisque dans les réseaux sociaux elle a eu le courage de se plaindre de son argent escroqué à Ponite-Noire.
 
En ce qui concerne le respect des textes du parti, Tsaty Mabiala est le premier à les FOULER AUX PIEDS avec des fautes lourdes pleines de conséquence pour la vie du parti.
Comment peut-il engager le parti en partant se nguiriser sans mandat du parti mais pour servir ses intérêts personnels et ceux de sa famille ?
Le même Tsaty a fait intégrer le parti au Frocad sans en être à la tête du mouvement mais sentant ce mouvement prendre corps dans le peuple, Tsaty Mabiala s'arrange pour chasser Mpouelet l'accusant d'être un serviteur de Sassou.
Tout ceci est fait uniquement pour affaiblir le Frocad qu'il va d'ailleurs quitter.
Se rendant compte que Parfait Kolélas créait un mouvement le Yuki, Tsaty Mabiala se rapproche du Yuki juste pour servir son maître Sassou qui le mit en mission de coller ce petit diable du Pool qui commençait à faire peur à Sassou.
Le stratège Tsaty Mabiala s'arrange à convaincre en réunion son ami Mboulou pour ne pas officialiser le parti de Kolélas de peur que l'UPADS ne soit plus le deuxième  parti après  le PCT.
C'est ainsi que Kolélas aura des difficultés avant les élections et pour craindre des émeutes à Brazzaville, Kolélas est autorisé à présenter ses listes mais en indépendant pour laisser libre voie à Tsaty Mabiala qui lui rêve du poste de chef de fil de l'opposition pour son intérêt personnel.
À ce jour Tsaty Mabiala ne remplit pas le cahier de charges qui lui a été donné par le pouvoir et il se trouve en difficulté lui même.
 
Ne pouvant contrôler les cadres du Parti qui s'opposent à sa ligne de liquider l'UPADS, il fait des pieds et des mains pour relever, suspendre et radier les cadres du Parti pour ne vouloir garder que ceux qui le suivent. Combien restent-ils encore à l'écouter ?
 
De retour de mission du pouvoir à Dakar, incapable de réunir l'opposition, Tsaty Mabiala convoqué une assemblée générale de la coordination UPADS Brazzaville pour faire le point de son voyage mais, n'y a-t- il pas un président à la coordination de Brazzaville ?
 
Est-ce que les textes de fonctionnement de la coordination stipulent que le premier secrétaire peut convoquer une assemblée générale pour faire le point de ses missions nationales de chef de de l'opposition ?
 
Non, ce monsieur est dépassé et, en voulant porter un chapeau qui n'est pas de sa taille, il se couvre tous les yeux et ne sait plus où poser les pieds. 
 
Monsieur le chef de fil de l'opposition, laisse les cadres et militants de l'UPADS travailler pour leur parti et va rejoindre Mouamba au pct ou se trouve ta craie place car à l'UPADS, tu t'es trop servi sur le dos des militants ; ton mandat a pris fin et tu n'as plus de légitimité sur quoi que ce soit.
 
Même la place de chef de l'opposition, tu l'a piquée à Kolélas car toi-même, Tsaty Mabiala, tu sais que tu ne pourras jamais tenir un grand meeting de l'opposition à Brazzaville, Pointe-Noire, ni à Dolisie, le fief de l'UPADS qui t'a vomi.
Que ce soient les militants Yuki de Kolélas, moins encore ceux de l'UPADS ne te laisseront l'espace de continuer à te servir sur nos dos. Tu as signé un pacte avec le diable et tu croiseras le diable partout sur ton chemin.
 
Toujours dans son vagabondage financier, Tsaty Mabiala s'est vu remettre à Ponite-Noire des mains de l'ancien Maire Viodau la somme de 20.000.000F et pour ne pas se faire remarquer par les militants de cette ville, il exigea de rentrer son véhicule après avoir attendu un moment dehors enfermé dans son 4x4 le portail étant fermé.
 
Avec toutes ces sommes encaissées par Pascal le petit, comment peut-il dire aux cadres et militants du parti que les caisses du parti sont vides au point de reporter le congrès fixé par les statuts du parti ?
 
Pourquoi toutes ces sommes ont elles échappé au financier du parti alors que c'est au nom du parti que ces sommes sont versées ?
Le conseil national, le bureau politique et le secrétariat national devront entendre Tsaty Mabiala et le suspendre de la tête du parti en introduisant une plainte pour détournement des fonds de la collectivité. "

 

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30 janvier 2018 2 30 /01 /janvier /2018 12:43
CARDLL : APPEL A CANDIDATURE FEVRIER 2018

COMITÉ D’ACTIONS POUR LA RESTAURATION DE LA DÉMOCRATIE  LE DÉVELOPPEMENT ET LA LIBERTÉ

 

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APPEL A CANDIDATURE FEVRIER 2018

AU POSTE DE CORDONNATEUR DU CARDDL

Le Bureau du Comité d'Actions pour la Restauration de la Démocratie, le Développement et la Liberté (CARDDL) a convoqué son Assemblée Générale le samedi 24 février 2018.

Un des points essentiels inscrits à son ordre du jour est la restructuration du Bureau. Ce qui implique l'élection d'un nouveau Coordonnateur à la tête du CARDDL.

C'est pourquoi, pour la bonne organisation et le bon déroulement de cette élection, le Bureau sortant a l'honneur d'ouvrir les candidatures au poste de Coordonnateur du Comité d'Actions à compter du lundi 12 février 2018 et ce, jusqu'au vendredi 23 février à minuit.

Les candidats à ce poste doivent faire preuve d’une grande probité morale, ainsi que d’une assiduité raisonnable aux différentes réunions du Comité d'Actions.

Les cotisations statutaires ne seront pas un frein à la candidature du futur coordonnateur puis chaque membre du CARDDL a le droit de postuler au poste de coordonnateur.

Aussi, les membres du Bureau sortant sont autorisés à présenter leur candidature. D’ores et déjà la coordonnatrice ayant épuisé ses mandatures, ne se représentera pas. Nous devons savoir céder la place aux autres  afin de montrer l’exemple de la démocratie comme inscrit dans notre sigle!

Les candidatures, dont la date limite de leur dépôt est fixée au vendredi 23 février 2018 à minuit, doivent se faire par écrit et nous les faire parvenir par mail simultanément aux adresses ci-après :

mavimbou@yahoo.fr gegedib@yahoo.fr berijc@ yahoo.fr j.pmoulangou@yahoo.fr

Pour les membres du Comité d'Actions dont l'éloignement ne leur donne pas l'occasion d'être présents à l'Assemblée Générale du 24/02/2018, il leur est accordé la possibilité de voter ou se faire élire par procuration. Cette procuration devra être adressée aux adresses mails sus-citées

Fait à Paris, le lundi 29 janvier 2018

Pour le CARDDL, la coordonnatrice et son bureau

Contacts : 0699096895, 0652613712, 0670476263,

APPEL A CANDIDATURE FEVRIER 2018

AU POSTE DE COORDONNATEUR DU CARDDL

Le Bureau du Comité d'Actions pour la Restauration de la Démocratie, le Développement et la Liberté (CARDDL) a convoqué son Assemblée Générale le samedi 24 février 2018.

Un des points essentiels inscrits à son ordre du jour est la restructuration du Bureau. Ce qui implique l'élection d'un nouveau Coordonnateur à la tête du CARDDL.

C'est pourquoi, pour la bonne organisation et le bon déroulement de cette élection, le Bureau sortant a l'honneur d'ouvrir les candidatures au poste de Coordonnateur du Comité d'Actions à compter du lundi 12 février 2018 et ce, jusqu'au vendredi 23 février à minuit.

Les candidats à ce poste doivent faire preuve d’une grande probité morale, ainsi que d’une assiduité raisonnable aux différentes réunions du Comité d'Actions.

Les cotisations statutaires ne seront pas un frein à la candidature du futur coordonnateur puis chaque membre du CARDDL a le droit de postuler au poste de coordonnateur.

Aussi, les membres du Bureau sortant sont autorisés à présenter leur candidature. D’ores et déjà la coordonnatrice ayant épuisé ses mandatures, ne se représentera pas. Nous devons savoir céder la place aux autres  afin de montrer l’exemple de la démocratie comme inscrit dans notre sigle!

Les candidatures, dont la date limite de leur dépôt est fixée au vendredi 23 février 2018 à minuit, doivent se faire par écrit et nous les faire parvenir par mail simultanément aux adresses ci-après :

mavimbou@yahoo.fr gegedib@yahoo.fr berijc@ yahoo.fr j.pmoulangou@yahoo.fr

Pour les membres du Comité d'Actions dont l'éloignement ne leur donne pas l'occasion d'être présents à l'Assemblée Générale du 24/02/2018, il leur est accordé la possibilité de voter ou se faire élire par procuration. Cette procuration devra être adressée aux adresses mails sus-citées

Fait à Paris, le lundi 29 janvier 2018

Pour le CARDDL, la coordonnatrice et son bureau

Contacts : 0699096895, 0652613712, 0670476263,

 

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30 janvier 2018 2 30 /01 /janvier /2018 11:41
COMITE D’ACTIONS POUR LA RESTAURATION DE LA DEMOCRATIE  LE DEVELOPPEMENT ET LA LIBERTE : INVITATION

COMITE D’ACTIONS POUR LA RESTAURATION DE LA DEMOCRATIE  LE DEVELOPPEMENT ET LA LIBERTE

 

 

I N V I T A T I O N

 

Le Bureau du COMITE D'ACTIONS POUR LA RESTAURATION DE LA DEMOCRATIE, LE DEVELOPPEMENT ET  LA LIBERTE (CARDDL) convie tous ses membres et sympathisants à bien vouloir prendre part à l'Assemblée Générale qui est élargie aux individualités et aux structures sœurs de la Diaspora congolaise et africaine. Elle se tiendra :

 

DATE: samedi 24 février 2018/ HEURE: de 10h à 18h/

 

PROJET D’ORDRE DU JOUR :

 

  1. Mot d’accueil du bureau exécutif du CARDDL

2- État de présence et présentation des différentes structures

3- Rapport d’activités du CARDDL

4- Election du nouveau coordonnateur ou de la nouvelle coordonnatrice puis renouvellement du bureau

5-Divers

 

Lieu: HOTEL CAMPANILE - 52 AVENUE DU CHEMIN DE MESLY - 94000 CRETEIL

 

En voiture :

- prendre la sortie en direction de A5/Troyes/Metz/Nancy/ Marne la vallée Créteil

- Continuer sur A4 puis prendre la sortie A86 en direction de A6/A10/Sénart Créteil

- finir par la sortie D1 en direction de Créteil centre et chercher l’Avenue du Chemin de Mesly. Le repère est le « Mac Do » qui est attenant à l’hôtel CAMPANIL qui lui-même est presqu’en face du collège pasteur.

 

En transport en commun

-prendre la ligne 8 (Balard -Créteil-Pointe du lac) puis descendre au métro Créteil Préfecture --prendre la sortie « gauche », revenir sur vos pas dans le sens contraire de la marche du métro. L’hôtel est visible depuis le métro Créteil Préfecture ; puis marcher 5 minutes jusqu’à l’ l’Avenue du Chemin de Mesly. Repère Mac Do et collège Pasteur

 

Pour le CARDDL, sa coordonnatrice et son bureau.

Contacts: 0699096895, 0661093361, 0652613712, 0607684547, 0670476263, 0622271864

 

 

 

 

COMITE D’ACTIONS POUR LA RESTAURATION DE LA DEMOCRATIE  LE DEVELOPPEMENT ET LA LIBERTE : INVITATION
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26 janvier 2018 5 26 /01 /janvier /2018 21:06

Ceux qu'on appelle à tort Noirs sont en fait les Fils de la lumière car la mélanine que nous avons en quantité est de la lumière concentrée, la lumière noire originelle, celle qui est appelée "noun" par les prêtres de TA MERI, le noun qui est la matière première de la création, matière et dans laquelle se meut une énergie invisible appelée par les anciens Egyptiens "NOUPOU". La mélanine vibre à la lumière visible et à la lumière invisible, aux ondes sonores ; elle est même sensible aux fréquences électromagnétiques. C'est aussi une protection naturelle contre les rayons ultraviolets. On la trouve même dans la glande pinéale qui est considérée par certains anciens comme le troisième œil, une glande dans laquelle Descartes plaçait le siège de l'âme. Par elle, par la mélanine, nous, filles et fils de la terre de Kama, sommes connectés à tout l'univers par l'énergie première de la création qu'elle contient, par le NOUPOU.

La libération des fils de la lumière passera par la religion, par le retour à la vraie religion qui est en fait vraie spiritualité. J'ai publié un texte sur l'église catholique, un texte auquel monsieur Hervé Mahicka a réagi. Voici mon texte publié suite à une vidéo qui dénonce l'homosexualité au sein de l'église romaine à prétention universelle ou catholique : 

Pour ceux qui ont daigné lire la Bible, ils savent comme moi que l'homosexualité est une abomination aux yeux du Créateur, du Dieu de nos ancêtres mélanodermes. Or, le Vatican tout entier est devenu aujourd'hui un lupanar gay comme il était hier un véritable bordel sous la papauté des Médicis ou des Borgia. Et il est hors de question qu'on me dise que ce nid d'abominations est consacré à Dieu. 


Quelle était la religion des Leucodermes qui arrivèrent en terre noire de Canaan et que "Moïse" ou Ezra essaya de détruire ? Elle est résumée par Lévitique 18 : 21-23 :
" Tu ne livreras aucun de tes enfants pour le faire passer à Moloch (en fait, Melek), et tu ne profaneras point le nom de ton Dieu (Elohim). Je suis l'Éternel. Tu ne coucheras point avec un homme comme on couche avec une femme. C'est une abomination. Tu ne coucheras point avec une bête, pour te souiller avec elle. La femme ne s'approchera point d'une bête, pour se prostituer à elle..."

Quand vous lisez ce verset, il vous donne l'illusion que le Dieu de celui qui parle, en l'occurrence Moïse qui rapporte la parole de son Dieu serait le même que celui du peuple. Ce qui est faux ! Le peuple aryen qui constitue les faux juifs de la synagogue de Satan adore Moloch et non le Dieu du prophète ! Nous sommes dans ce verset en face de deux religions. La religion du peuple et du roi qui adorent Moloch et qui lui font des sacrifices humains et la religion des prophètes qui croient en un Dieu qui est contre les sacrifices. Le prophète ne prononcerait pas cet interdit si les faux Juifs ne sacrifiaient pas à Moloch ! Ce verset signe une guerre de religion qui en fait finira par la victoire de Moloch qui changera juste de nom en Yahweh ou Jéhovah...

Il existe de nombreux versets qui prouvent que les nomades aryens arrivés en terre de Canaan sacrifiaient leurs enfants, notamment leur premier-né à leur dieu Moloch, en fait Melek Baal, le seigneur Baal désigné aussi par Adonaï. Dans le livre des Juges, Jephthé sacrifie sa propre fille à son dieu Moloch. Le Dieu des prophètes qui interdit de tels sacrifices n'était pas connu à l'époque des Juges. Le verset de Juges est clair puisque c'est son dieu Moloch changé en Jéhovah qui est son inspirateur :

Juges 11
29L'esprit de l'Eternel fut sur Jephthé. Il traversa Galaad et Manassé; il passa à Mitspé de Galaad; et de Mitspé de Galaad, il marcha contre les fils d'Ammon. 30Jephthé fit un voeu à l'Eternel, et dit: Si tu livres entre mes mains les fils d'Ammon, 31quiconque sortira des portes de ma maison au-devant de moi, à mon heureux retour de chez les fils d'Ammon, sera consacré à l'Eternel, et je l'offrirai en holocauste.…

Ce dieu qui inspire Jephthé ne peut être celui du prophète qui s'oppose aux sacrifices humains.


Moïse, en fait, Ezra, indique le fait que les Leucodermes arrivés en terre de Canaan savaient que la véritable spiritualité se trouvait en Egypte, celle qui est résumée dans la confession négative qui faisait du kémétiou le plus saint, le plus parfait des hommes parmi les nations mélanodermes. Il est assez étonnant que pendant 1200 ans, les Leucodermes qui s'installèrent en terre de Canaan ne parlent pas des lois de ce grand législateur qu'ils semblent ignorer et dont les lois ne réapparaîtront qu'au retour de l'exil où les Perses viennent installer une colonie babylonienne en terre de Canaan.


Le molochisme étudié par Gustave Tridon ("Du Molochisme juif, études critiques et philosophiques"), cette religion satanique faite d'abominations, était celle d'étrangers qui adoraient le Seigneur Baal appelé Moloch. Certains Cananéens finirent par l'adopter. Le culte des sacrifices au seigneur avant qu'on ne sacrifie des animaux, consistait à sacrifier des enfants mais pas n'importe lesquels, ses propres enfants. En fait, les prophètes essayèrent de substituer un animal à un homme avant le rachat de la vie humaine par de l'argent. C'est en fait Ezéchiel qui institua le rachat des pauvres enfants par de l'argent pour éviter des infanticides..

L'enfant étant une partie de soi-même, ce culte horrible créait un lien fort entre Baal et ses adorateurs qui n'hésitaient pas à assassiner ceux qui s'opposaient à eux. Abraham en voulant sacrifier son fils Isaac montre que Baal, le seigneur Moloch, était son Dieu. Les Africains (Egyptiens) essayèrent de combattre ce culte qui se poursuit encore aujourd'hui au sein de l'église romaine et même au sein des faux Juifs. Depuis plus de 2000 ans, l'église romaine qui n'a rien de catholique perpétue une abomination vieille de plus de six mille ans... "

A  ce texte, voici le commentaire posté par Hervé Mahicka sur les réseaux sociaux :

" Quelqu'un qui veut défendre les Noirs ou soi disant la culture noire en brandissant le livre de sublimation culturelle blanc, ne peut avoir aucune crédibilité. Mais alors là, aucune, quelles que soient les tournures contorsionnistes utilisées. C'est le livre des autres, avec leurs pulsions, leurs angles de vue. "

j'estime que la question religieuse est capitale pour le succès de la libération de l'Afrique. Pourquoi ? Parce que la religion est un lien à une divinité qui n'est pas forcément le Créateur et, surtout, la religion est un impérialisme mental très puissant puisque les croyants acceptent d'eux-mêmes la manipulation spirituelle. Et c'est aussi un renoncement à sa propre culture, à sa propre identité religieuse. L'Afrique a été dominée par le biais de la religion ; la religion est donc une arme dangereuse. On pourrait envisager de la libérer en revenant à la religion de nos ancêtres car depuis l'introduction du christianisme et de l'islam, l'Afrique est tombée en servitude.

Seuls les Africains, notamment les fils perdus de la Lumière, pensent que Dieu s'est trompé en les créant comme ils sont alors qu'ils ont été créés parfaits, très proches du Créateur. Voilà qu'ils sont corrompus par des étrangers par le biais d'une religion mensongère introduite par le peuple qui ment et qui se permet de mentir en interdisant aux autres d'en faire autant.

Voici le texte en réponse à Hervé Mahicka qui me reprochait de citer la Bible dans un texte sur Facebook. Avant de le poster, je tiens à dire que la Bible, dans ce qu'elle a de sublime, vient de nous, les Fils de la lumière, dans ce qu'elle a de profondeur spirituelle : un peuple de nomades barbares qui sacrifiait ses premiers-nés à Moloch et qui ne connaissait pas l'écriture ne pouvait pasécrire certains grands textes contenus dans la Bible.

Le mot Bible même désigne le papyrus que les Grecs appelaient byblos, le papyrus sur lequel les prêtres des maisons de vie inscrivaient les paroles de Dieu avec leur écriture ou medou neter que les Grecs appelaient "hiéroglyphes" ou écriture sacrée. Les nomades aryens arrivés en Egypte ont copié et transformé les textes égyptiens à leur sauce en changeant juste les noms pour les remplacer par les leurs. Des nomades n'ont pas pu inventer l'écriture, encore moins la parfaite religion résumée dans la confession négative du livre de l'après-vie nommé à tort le livre des morts. Voici le texte : 

Hervé Mahicka, défendre les Fils de la lumière, c'est avant tout les sortir de l'envoûtement notamment religieux dans lequel ils sont plongés. Vous croyez que citer le livre des autres pour les confondre est mal fondé ? C'est pourtant dans ce livre qu'il faut trouver comment ouvrir les yeux de centaines de millions d'Africains enchaînés depuis 1491. La preuve de la fausseté et de l'escroquerie bibliques se trouve dans la Bible. Pour convaincre les filles et fils de Kama, il faut s'en inspirer pour leur montrer en quoi leur foi aveugle dans ce livre n'a aucun sens. N'êtes-vous pas étonné de voir le christianisme perdurer en dépit des mouvances afro-religieuses qui émergent ici et là ? C'est parce que personne n'a jamais pris la peine de déboulonner l'édifice. Toute la Bible est basée sur une manipulation qui consiste à dire que les Aryens arrivés en terre d'Israël priaient le vrai Créateur, alors que toute la Torah plaide pour le contraire.


Quel est le rôle des prophètes sinon dire à leur peuple que la religion de leurs ancêtres est fausse ? Aujourd'hui, le rôle d'un vrai prophète est toujours le même. Un homme qui ne fait que commenter une fausse religion ne peut pas être un prophète. Le Prophète Simon Kimbangou a conseillé de lire la Bible pour confondre les voleurs car ceux qui se proclament peuple élu ne le sont pas du tout, les fils de KMT étant ceux qui ont véritablement apporté la lumière spirituelle aux mélanodermes. Les prophètes n'apparaissent d'ailleurs qu'à partir du moment où les Aryens découvrent ailleurs des religions plus nobles (Egypte et Babylone). Pas avant... Et ils sont tous combattus par les rois et les peuples. Ces prophètes sont pour nombreux Noirs comme Élie. On doit au contraire de servir de ce livre pour ceux qui confondent nos frères et les enchaînent dans un esclavage spirituel. Il m'a été révélé que l'on ne peut pas sortir d'une prison tant que l'on n'est pas convaincu que c'en est une...


La preuve de la vraie religion des ancêtres nomades aryens est donnée par Actes 7:43 :


" Vous avez porté la tente de Moloch et l'étoile du dieu Remphan (la planète Saturne), ces images que vous avez faites pour les adorer ! "


Ce verset montre que les ancêtres aryens nomades des Indo-Européens qui arrivèrent en terre de Canaan étaient polythéistes car dans ce verset, il y a deux dieux adorés par eux : Moloch ou Baal et Remphan qui s'avère être la planète Saturne selon des recherches que j'ai faites.
Vous comprendrez que la tente portée par les ancêtres des Aryens arrivés en terre de Canaan est celle du tabernacle qui contenait soi-disant l'arche de l'alliance. Et ce dieu, ce Moloch contre lequel lutteront les prophètes kamites, est le véritable dieu d'Israël, le dieu de tout un peuple que combattaient les prophètes noirs horrifiés par les sacrifices faits à ce dieu satanique. Moloch est le Melek, le Seigneur, l'Adonaï des faux Juifs. Voilà pourquoi la Bible est le meilleur instrument pour combattre la Bible et son mensonge de près de sept mille ans....  "

 

NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

Voici la vidéo qui me fait écrire un premier texte critique sur l'église romaine constantine...

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24 janvier 2018 3 24 /01 /janvier /2018 22:34
TSATY MABIALA OU LE PARADOXE D'UN FAUX OPPOSANT COLLABO DE SERVICE

C'est une chose étrange qu'un opposant politique soit rémunéré par ceux qu'il est censé combattre par opposition. En politique, une opposition n'a vraiment de sens que si elle projette de prendre le pouvoir. Autrement, elle ne mérite pas le titre d'opposition. Collaborer en étant aux ordres d'un système ne fait pas de vous un opposant mais un collabo et un traître lorsque vous trompez le peuple en lui faisant croire que vous jouez le rôle d'un opposant. Quel est donc cet opposant placé sous l'autorité du ministre de l'intérieur Mboulou qui exige un milliard de pétros-cfa pour jouer son rôle d'opposant fictif qui ne contredit nullement le système dictatorial de son pays ? Depuis quand le chef de l'opposition est-il nommé et payé par le pouvoir en place sous l'autorité duquel il est placé comme un vulgaire salarié de seconde main ?

Il se murmure que Denis Sassou Nguesso aurait manifesté le désir de libérer les prisonniers politiques mais que petit Pascal tout collabo et traître qu'il est aurait exigé qu'ils restent en prison et soient jugés et comme le régime n'organise jamais des procès pour les perdre, on doit s'attendre à ce que le Général Mokoko, André Okombi Salissa, Paulin Makaya et les autres restent embastillés dans les geôles de la dictature venue des bords de l'Alima. Ce n'est pas pour rien que l'Etat congolais a payé les services d'un crack du barreau parisien pour défendre ses intérêts.

Il est à noter que si Mokoko et Okombi Salissa sont en prison, petit Pascal tout-puissant traître en est le responsable car il n'était pas de taille à lutter avec des caractères de la trempe du Général Mokoko ou d'André Okombi Salissa qui lui auraient ravi la vedette. Il lui fallait les éliminer de la scène politique en les faisant expédier en prison. Il paraît que pour le récompenser de ses idées plus machiavéliques que les siennes, Denis Sassou Nguesso l'aurait envoyé au Sénégal. C'est donc bien un faux opposant aux ordres du système qui matraque le peuple congolais. On prétend que pour son rôle de faux opposant collabo de service et tout-puissant traître, Pascal le petit recevrait 150 millions de francs cfa par an.

A Pointe-Noire, petit Pascal tout-puissant traître a inauguré l'ère de la violence politique lors de l'assemblée générale organisée par la coordination de Pointe-Noire - en payant des gangsters - qui pour certains ont déchiré leur carte de membre de l'UPADS à la télévision comme Noël Diambou, des gangsters intégrés dans l'équipe de la coordination de Pointe-Noire - pour venir imposer par la violence les quatre volontés de Pascal le petit, tout-puissant collabo parce qu'infiltré du PCT. On m'a signalé que Noël Diambou avait déchiré sa carte de l'UPADS pour rejoindre le Club PUR 2000. Non seulement pour remplir la salle, Tsaty Mabiala, monsieur moitié 8% a commencé à payer les présents pour qu'ils acceptent de venir faire du remplissage dans les salles mais il utilise aussi des bras musclés comme un certain Wangos pour faire taire ceux qui veulent lui apporter la contradiction.

Tsaty Mabiala est la preuve vivante que Sassou ne tolère les opposants qu'aux ordres car celui qui paye ordonne et le corrompu s'exécute. Petit Pascal tout-puissant collabo du PCT n'est-il pas allé au Sénégal ? On comprend mieux pourquoi Tsaty Mabiala veut que les vrais opposants restent en prison ou à l'étranger car il se serait aussi opposé à la présence des opposants de la diaspora à Brazzaville pour prendre part aux pourparlers du Pool. On voit qu'il joue un rôle de blocage de la vraie opposition car autrement pourquoi la dictature venue des berges de l'Alima aurait-elle eu besoin d'un opposant de service payé pour jouer un rôle de simulacre de l'opposition ? 

Vous avez tous noté que pour aller rencontrer les membres de l'Union Européenne, Pascal le petit tout-puissant collabo ne s'est entouré que des militants de l'UPADS comme si le parti aux trois palmiers constituait à lui seul l'opposition. Cela prouve que Tsaty Mabiala n'a pas le charisme pour rassembler toute l'opposition, notamment vrais opposants. De nombreux observateurs se plaignent du fait que l'UPADS soit devenu un parti de la mouvance présidentielle. Monsieur 4% ou moitié 8% sait qu'il n'a aucune chance de devenir président de la république ; il se complait alors dans un rôle minable d'opposant de farce pour nous livrer un spectacle qui rebute les Congolais. Qu'importe ? Jamais mauvais acteur politique n'a été aussi bien payé ! Il est député et il percevra encore de l'argent pour son opposition de complaisance. Que vaut la dignité d'un traître collabo devant au moins 150 millions de francs cfa ? Et qui sait s'il sa requête du milliard ne sera pas exaucée ?

Que le rat palmiste de Loudima aux pattes de taupe se méfie. Un jour, le grand ndzokou se rendra compte qu'il n'est plus qu'une tête sans corps qui règne sur un parti politique en décomposition déserté par la base politique qui attend des heures meilleures. A ce moment-là, il sera jeté au sol et écrasé comme une puce. Tsaty Mabiala Pascal le petit doit savoir que si lui est un bon serviteur, Denis Sassou Nguesso se révèle toujours à la fin comme toujours mauvais maître. Le Général Dabira en fait aujourd'hui les frais. Il y a sous terre de nombreux serviteurs qui ont reçu le salaire des mains du fils de Lucifer qui après vous avoir élevés sait toujours vous piétiner pour changer de serviteur ensuite. Le diable est toujours un mauvais maître qui ne se gêne pas de liquider de bons serviteurs...

Le parti du professeur LISSOUBA PASCAL LE GRAND est en danger. Il convient que tous ceux qui aiment cet homme de conviction se lèvent pour bouter dehors le petit Pascal qui se cache derrière l'ombre du GRAND PASCAL pour casser des cacahuètes sur le dos du parti, de ses militants et du peuple congolais. En effet, si un GRAND PASCAL peut en cacher un petit, cela ne peut que dire qu'il y a un petit esprit qui se goinfre en se cachant derrière l'ombre d'un géant politique. Nous bombardons l'ombre de la lumière de la vérité pour que le peuple voit ce que le petit Pascal tout-puissant en trahison fait en utilisant le nom du GRAND PASCAL.

 

Dans l'anus d'un grand ndzokou, il y a un petit rat palmiste qui vit de fèces avant que les déjections ne tombent par terre...

 

NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

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21 janvier 2018 7 21 /01 /janvier /2018 21:47

 Voilà plus d'un an que quelques tirs en l'air ont déclenché une vraie guerre contre le pasteur Ntumi et ses hommes dans le Pool, une guerre qui s'est plus soldée par un génocide de pauvres paysans kongos innocents que de capture ou de mort de Ninjas-Nsiloulous. Ntumi et son frère Gozario sont déclarés ennemis publics et poursuivis devant l'injuste justice de notre pays. Près de cent quarante mille habitants du Pool se réfugient dans Bouenza voisine qui se voit asphyxiée par ce surplus brusque de populations. Les hélicoptères de combat du monstre de l'Alima détruisent tout : habitations, écoles, hôpitaux. L'homme qui tient la Bible dans la main droite et une kalachnikov à la gauche résiste et fait même mieux que résister face à une milice ethnique épaulée par des mercenaires. Ntumi paralyse le trafic ferroviaire, rendant ipso facto le ravitaillement de Brazzaville compliqué et difficile.

Avec la chute du baril de pétrole qui survient sans prévenir, Denis Sassou Nguesso qui a pillé les réserves de l'Etat se retrouve démuni et obligé d'en appeler au FMI. Il ne semble plus opportun de poursuivre la guerre à visée génocidaire dans le Pool car désormais le peuple  ne conteste plus le pouvoir illégal et illégitime de Denis Sassou Nguesso. Il faut se résoudre à signer des accords de paix avec celui qu'on traitait hier de "terroriste". Le pasteur Ntumi réussit à obtenir une réhabilitation en envoyant dix-sept des membres de son CNR à Brazzaville. Tout s'est passé comme si le Pool n'appartenait pas au Congo et aux Congolais mais juste au pasteur Ntumi pour que ses hommes suffisent à arracher une paix et à faire reculer un Etat. Le guerrier de Dieu va retrouver sa liberté de circulation et se verra peut-être dédommager de la perte de ses biens. Qui sait ?

Ntumi est le vainqueur de cette guerre au sacrifice de nombreuses vies kongos, de leurs biens et de l'avenir de leurs enfants. Son spectre n'a pas fini de hanter le Pool puisqu'il y demeurera avec ses Ninjas-Nsiloulous, à côté des habitants qui commencent à revenir doucement dans le Pool - sans que l'Etat ne prenne la peine de reconstruire leurs maisons ou du moins les écoles et les hôpitaux.

Et on se dit : tout ça pour ça ? Pour revenir à zéro comme si rien ne s'était passé ? Pourquoi avoir un Etat déclenche-t-il une guerre contre une partie de sa population s'il n'est pas sûr de la gagner ? Même si notre Sassou, expert en intrigues, voulait détourner l'attention du peuple après avoir perpétré son énième coup d'Etat, était-il nécessaire de monter toute cette guéguerre et pendant plus d'une année ? Etait-ce vraiment nécessaire si c'est pour finir par négocier avec un rebelle qui s'est proclamé "kinzinza kia nzambi" ou ombre de Dieu ? Sassou ne sait-il pas qu'on ne peut vaincre une ombre ?

Tout ceci me laisse interrogatif. Le Congo n'a besoin que de Sassou et de Ntumi pour déclencher des guerres dans le Pool. Et les deux sont toujours dans la place. Qui peut nous garantir une paix pérenne dans le Pool où les populations servent la fois de monnaie de diversion pour Sassou et de boucliers humains pour Ntumi ?

Compte tenu de sa gravité, cette affaire aurait mérité une résolution nationale pour que plus jamais on ne prît des populations en otage et qu'elles ne servissent à épancher la soif de sang d'un tyran qui carbure à la haine du Mukongo. 

Non, les Ninjas-Nsiloulous ne rendront pas toutes les armes. Peut-être juste quelques fusils de chasse. Le Pool restera une poudrière. Cette région restera négligée par l'Etat tant que Denis Sassou Nguesso et l'ethnie-Etat demeureront au pouvoir.

 

NKOSSI ZA MAKANDA, LION De MAKANDA,

MWAN" MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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21 janvier 2018 7 21 /01 /janvier /2018 19:57

Le mot catholique signifie "universel". L'église catholique se proclame et se réclame église universelle - alors même qu'elle n'est pas cultuellement partagée par le monde entier. Soit. Elle ne peut se revêtir de l'universalité que si elle défend les causes universelles et la défense de la liberté en est une et, même le salut de l'âme ne devient une cause universelle qu'accompagné et précédé du salut de la chair, l'âme et la chair étant intimement liées.

Nous avons par le passé demandé à l'église catholique du Congo-Brazzaville d'être le porte-étendard de la lutte pour la liberté et la démocratie car estimions-nous que si le chrétien est assuré de gagner le ciel, de surcroît le Paradis, il doit être la tête de pont de toutes les batailles politiques ou sociales. Si un chrétien est assuré de gagner le ciel et le Paradis, que peut-il redouter sur terre ? Eh bien, Rien ! Hélas, les chrétiens se contentent de proposer le salut de l'âme - alors même que cette âme ne saurait se justifier sans un corps. Si Dieu a placé l'âme dans un corps de chair, c'est que cela lui était ou utile ou indispensable ou mieux inséparable. Que celui qui a déjà vu une âme humaine hors d'un corps de chair lève la main ! Si l'âme pouvait vivre sa vie éthérique, que vient-elle faire dans un corps de chair ? La chair est la matière première de l'être physique et elle mérite d'être sauvée avant l'âme et, sauver le corps et la chair peut inéluctablement conduire à sauver l'âme. Quelqu'un a dit que la chair était faible, nest-ce pas ? Et ne dit-il pas par l'âme que l'âme est forte ? Aussi du fort ou du faible, qui mérite d'être sauvé, tiré vers le haut ? Qui a besoin d'être sauvé ?

 Il s'agit de sauver l'homme de chair d'abord avant de sauver une âme qui n'a besoin de rien et qui n'est peut-être pas responsable des péchés de la chair. C'est par ailleurs, l'âme qui a soif de liberté, de paix, de justice, des concepts qui déteignent ensuite sur la chair qui subit leur manque ou leur privation. On ne torture une âme qu'au travers d'un corps de chair comme on ne fait pécher une âme qu'en chair. Donc, le vrai credo religieux est le salut de la chair. Hélas, les dogmes religieux ont inversé l'ordre des choses, prouvant ainsi qu'ils ne viennent pas du Créateur.

L'âme et la chair sur terre sont une seule et même chose. Délivrer la chair, c'est par conséquent sauver l'âme car une chair en souffrance ne peut que pécher. Si vous condamnez un homme à la faim, ne volera-t-il pas une banane pour survivre ? Si l'homme doit tuer pour éponger sa soif, assurément, il tuera. Nous sommes dans une dimension physique ; c'est donc le salut de la chair qui prime mais les malins sachant que cela leur coûtera préfèrent crier matin, midi et soir qu'ils cherchent à sauver des âmes. Si une âme immatérielle existe en nous, c'est à l'être immatériel qu'est Dieu de la sauver et non à l'homme. Il revient à l'homme charnel de sauver la chair. Nous, humains, placés dans un monde physique, c'est contre les obstacles physiques qu'il convienne que nous luttions. Voici ce que devrait être le message, le credo d'une véritable église universelle, catholique. Or, elle se contente d'organiser des messes au lieu d'organiser des parties de pêche, de chasse et de cueillette pour nourrir les fidèles ou de fomenter des révolutions pour libérer des masses. Si l'église de catholique passait d'universel à révolutionnaire, elle serait plus crédible à parler du salut des âmes. Elle oublie bien vite que l'homme surnommé Jésus est le pur descendant en ligne direct des Asmonéens qui sous la conduite de Matthatias luttaient contre les Romains pour sauver le peuple charnel et physique d'Israël. Comme un peuple est une réalité et une donnée bien physiques, c'est sur le plan physique qu'il convient toujours de le sauver et non dans une hypothétique rédemption qui laisse l'estomac crever de faim.

En république démocratique du Congo, le cardinal Laurent Monsengwo s'est levé et exhorte le peuple majoritairement chrétien de son pays à se lever afin de lutter contre la dictature du cheval de Troie rwandais Hyppolite Kanambe alias Joseph Kabila. Le peuple est dans la rue.

Qu'on y réfléchisse un peu : de nombreux disciples de Jésus étaient des zélotes, des hommes rompus à la violence au nom de Dieu. Comment pouvaient-ils suivre un homme tourné vers la paix et la résignation ? De même que l'homme surnommé Jésus a soulevé les zélotes contre Rome afin de libérer son pays de l'occupation romaine, Monsengwo a décidé de porter sa croix en appelant le peuple à exiger que "les médiocres dégagent". En poussant les Congolais de la rive gauche à sortir dans les rues, le cardinal Monsengwo devient le vrai symbole christique, c'est-à-dire, un homme qui accepte la mort pour sauver les siens et c'est bien cela que signifie l'expression : porter sa croix. Jésus a dit : "Que ceux qui veulent me suivre soient prêts à porter leur croix". La croix n'était pas à cette époque un objet religieux mais la sentence réservée aux ennemis de Rome. Vous pouvez le vérifier. A présent que le bras de fer est amorcé, il s'agit d'aller jusqu'au bout.

L'église n'est pas qu'une force spirituelle ; c'est avant tout une force politique et aimer Dieu, c'est d'abord et avant tout aimer la liberté car il créa l'homme libre afin qu'il soit capable de déployer tout son potentiel. D'où vient-il que les églises poussent les hommes à la passivité et à l'esclavage de nos jours ? Un homme qui se réclame "homme de Dieu" ne peut qu'être pour la liberté et sa fille la démocratie. Assurée de se retrouver au Paradis, l'église catholique doit devenir ce qu'elle doit être : une église universelle combattante qui se lève et conduit les hommes vers le mont Golgotha de la liberté. Elle sait que le Christ, l'homme qui a demandé à ses disciples de vendre leur manteau pour s'acheter une épée, l'homme qui exhortait son peuple à ne pas payer l'impôt exigé par les Romains, était un révolutionnaire, un combattant de la liberté. S'il a traité Hérode Antipas et non Hérode le Grand de "renard", c'est qu'il avait aussi maille à partir avec le pouvoir temporel qu'il combattait et pour lequel il était un lestès, un brigand. Or, aujoud'hui, nos dictateurs sont tous des renards qui obéissent à des nouvelles Romes, trahissant ainsi leurs peuples.

Toutes les églises à vocation chrétienne devraient être de tendance zélote, d'un zèle à prendre les premières lignes de la défense du peuple. Après tout, comme il n'y a pas d'âme humaine sans corps humain, sauver une âme devient d'abord et par devers tout sauver un homme de chair. Quitte à accepter de crucifier sa peur, la seule chose qu'un peuple doit fixer sur des clous.

Comme l'église catholique confine à l'universalisme, le cardinal Laurent Monsengwo ne peut se contenter d'exhorter les Congolais de la RDC à se libérer de la dictature : son appel doit prendre un accent universel et appeler TOUS les chrétiens de pays soumis à des dictatures de prendre leur croix de la révolte afin de crucifier leur peur. C'est cela l'universalisme et non pas autre chose.

Si j'étais le cardinal Laurent Monsengwo, mon appel serait celui-ci : " Chrétiens de toutes les dictatures, unissez-vous et soulevez-vous ! Que les médiocres et les dictateurs dégagent ! Christ est avec nous car le Paradis nous est assuré. N'ayez pas peur ! C'est aux dictateurs au contraire d'avoir peur ! ".

Les églises catholiques doivent cesser d'être des églises de sommeil. Qui peut dire que la dictature est de Dieu ? Qui peut dire que les détournements des deniers publics sont de Dieu ? Qui peut croire que le massacre de millions d'innocents vient de Dieu ? Qui peut croire que le pillage des ressources de l'Afrique est ordonné par Dieu ? Alors, comment croire que ces églises de sommeil servent Dieu si elles laissent faire le Malin sans pousser le peuple de Dieu à la révolte pour recouvrer sa liberté ? Les croisés ne se sont-ils pas levés pour délivrer Jérusalem de l'emprise des Arabes ? Et d'ailleurs, pourquoi les Arabes, assurés d'aller au Paradis, sont-ils plus prompts à défendre des causes - même injustes - au nom d'Allah, leur Dieu ? Jéhovah-Yavhé serait-il un Dieu lâche, lui qui ordonna des guerres aux de Moïse et de Josué ? Qui peut tirer les conclusions de cette leçon et voir qu'il y aurait plus de musulmans que de chrétiens au Paradis ? Y aurait-il un Paradis pour les musulmans et un autre pour les chrétiens ? Il est temps que l'église participe à rendre à la liberté ce qui lui appartient. DIEU EST UN DIEU DE JUSTICE ET LA JUSTICE EST ACCORDEE AUX ETRES CHARNELS...

 

NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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