LE MAL DU CONGO,
C'EST DENIS SASSOU NGUESSO, UN HOMME SOUS INFLUENCE, COUPABLE DE HAUTE TRAHISON POUR BRADAGE DES RESSOURCES DU PAYS A DES PUISSANCES ETRANGERES, DETOURNEMENTS, MEURTRES, VIOLATIONS DES
LIBERTES. NOUS N'AVONS PAS LE CHOIX DE COMBATTRE L'INJUSTICE, JUSTE CELUI DES ARMES ET NOUS N'AVONS QUE DES MOTS ET UNE PLUME CONTRE LA PUISSANCE D'UN ETAT CRIMINEL, ILLEGITIME, VASSAL DE LA
FRANCAFRIQUE...
Mouvimat IBOUANGA LOUNDOU, Le Lion de MAKANDA
Notre objectif : "construire un autre avenir qui regarde le peuple congolais en face pour l'émergence Demain
d'un Nouveau Congo-Brazzaville..."
Lors de son arrestation, ses proches scandaient que Vital Kamerhe, le faiseur de rois, n'a jamais volé de sa vie. Pourtant, le catalogue de ses actes tels que révélés par les extraits de son jugement laisse pantois. Pendant que son arrestation immédiate est prononcée et que Vital Kamerhe croupit à la prison de Makala, Bunia s'agite. Des jeunes déversent des grosses pierres volcaniques sur la route en demandant sa libération. Le fan club ethnique de Vital Kamerhe est en ébullition.
Nous assistons au soutien ethnique, preuve que chez nous, l'ethnie reste au dessus de la nation et que l'identité ethnique demeure pour un homme politique le meilleur projet de société. On ne soutient pas Kamerhe parce qu'il est innocent mais à titre de soutien ethnique. Cette solidarité est l'indicateur majeur de la force ou de la faiblesse de la cohésion nationale en Afrique noire.
Le problème reste entier : comment faire de plusieurs ethnies, notamment des centaines comme en République Démocratique du Congo, une nation ? Cette question est centrale pour l'évolution vers la démocratie. Sans nier l'importance de l'ethnie, de nos origines, force est de reconnaître que ces différences sont un frein à l'avancée démocratique en Afrique noire. Chaque ethnie espère voir un frère ethnique accéder à un haut poste de décision - notamment celui de président de la république - pour bénéficier de privilèges de toutes sortes. Chez nous, les Mbochis l'appellent le phénomène social du "moro obosso", le fait d'avoir un homme devant sur lequel s'appuyer. Cette idéologie fait de nos républiques des républiques du privilège.
Il faut ici reconnaître que tant que nous n'aurons pas réussi à résoudre le problème ethnique, la démocratie demeurera un rêve lointain. Il s'agit de faire en sorte que l'identité républicaine et le sentiment républicain soient plus attractifs que leurs équivalents ethniques. Facile à dire qu'à faire en Afrique...
Je constate qu'il y a de plus en plus de lecteurs sur le blog. Je vous remercie de me redonner l'envie d'écrire comme par le passé pour nourrir les lecteurs. Je travaille à élargir la conscience des BENA NTEMO. C'est une besogne ardue. Cependant, on constate que la conscience des nôtres s'élargit car de plus en plus de sœurs et frères participent à cette lourde tâche. Le plus dur est de briser les chaînes religieuses, les plus coriaces, les plus abêtissantes, les plus annihilantes...
Personne n'aime les "Noirs". Même pas les "Noirs" qui ont fini par se détester, accepter qu'ils étaient maudits (par un faux dieu importé) - comme le prétend la Bible du saint mensonge. Aux États-Unis, on constate par exemple que les Noirs décèdent plus que les autres dans les hôpitaux au point où des avocats s'en mêlent désormais. En France, on a l'impression que peu d'Africains ressortent vivants des hôpitaux dès qu'ils sont atteints du Covid-19 ou pas. Ce n'est vraiment pas le moment de tomber malade à l'étranger car le trafic des organes des nègres bat son plein partout. En Libye, en Mauritanie, en Arabie saoudite, l'esclavage des nègres est toujours de mise. Dans ce contexte de haine perpétuelle, de mépris continuel, à qui se fient les BENA NTEMO ? A leurs bourreaux, aux religions de ceux qui nous prennent pour des animaux. La prière est devenue un refuge qui enrichit les faux pasteurs et les faux prophètes. Pendant que l'Asie et l'Inde s'émancipent de l'Occident, nous restons divisés, maintenus en enfance par la religion, l'éducation, la culture, l'économie et la politique. Tout est fait pour que nous acceptions notre infériorité inculquée par les autres races. La dernière place est le lot de l'homme à peau noire. Qui n'a pas vu des vidéos de nègres lynchés aux États-Unis, battus en Inde, enchaînés en Libye, torturés en Inde ?
Les Arabes disent que les Noirs sont des animaux et qu'on peut les tuer - sans retenue, sans vergogne et qu'il n'y a que les Blancs qui font semblant de les considérer comme des êtres humains.
Un Africain s'est noyé à Venise - sans que personne ne lui vienne en aide. Au contraire, on entendait crier : "Nègre, meurs !" En somme, tous nous détestent mais nous aimons tout le monde. TOUTES LES RACES SONT EN GUERRE CONTRE NOUS ET NOUS L'IGNORONS ! C'est vraiment triste. Et avec ça, nos propres frères pactisent avec ceux qui veulent nous exterminer sur la face de la terre. Étrange !
Bonsoir, Pascale. Merci pour l'audio.
Les Chinois que vous recevez comme des rois chez nous sont des racistes. En fait, toutes les races différentes de la nôtre exercent du racisme contre les BENA NTEMO - même si tous au milieu d'eux ne sont pas racistes.
Les Chinois vont jusqu'à manger des Africains ! C'est dire qu'ils prennent l'homme noir pour un animal comestible. Pourtant, tu vois comment Denis Sassou Nguesso s'aplatit devant eux.
Pour la chasse aux Africains, c'est juste un relent raciste. Il y a pourtant deux possibilités pour éviter que les Kamites soient dehors :
1) la Chine mobilise des avions pour les rapatrier dans leurs pays respectifs ou
2) la Chine invite les États africains à récupérer leurs concitoyens, au lieu de les laisser dehors. En dépit de la fermeture des frontières, on voit des avions débarquer sur les aéroports africains.
Les Africains ont un complexe d'infériorité qui a complètement éteint notre sens de l'honneur et de la dignité. C'est la seule façon d'expliquer qu'en Afrique, il ne se passe rien quand bien même on tue des Kamites dans un pays. Qui peut imaginer que les Chinois aient pareil comportement face à des Occidentaux ou à des Américains ? Personne. Le respect de mérite et se gagne. Nous avons été affaiblis par des fausses religions, l'esclavage, la destruction de nos identités ataviques. Comme des arbres déracinés, nous sommes couchés et exposés à tous les vents et à tous les bûcherons.
Nous ne faisons que nous plaindre, parloter, gémir, pleurer. C'est tout. C'est la marque du faible. Le fort parle peu, agit et frappe. Entre les forts, il y a comme un équilibre de la terreur : tu ne me touches pas car ma réaction pourrait être pire.
La Bible comporte pourtant la loi du talion dans ses lois. La plupart de nos concitoyens se disent chrétiens. En fait, crétins. Or, les faux pasteurs des églises de sommeil et de mensonge ne l'enseignent jamais. Oeil pour oeil, expulsion pour expulsion. Ce devrait être ça. Au contraire, ils affaiblissent les nôtres avec des concepts comme l'amour, la charité, le pardon, tendre la joue gauche quand on te fracasse la joue droite avec un marteau. Bref, le christianisme enseigne la faiblesse, la soumission, l'esclavage. Tant que les religions importées auront droit au chapitre, l'Afrique des hommes à la peau sombre sera faible.
Où a-t-on déjà vu le buffle adhérer à la religion du lion, son prédateur ? Nulle part. LES PRINCIPES DE NZAMBI KALÛNGA SONT UNIVERSELS. C'est en Afrique que les lions et les buffles coexistent. Pourtant, nous ne tirons pas les leçons de la nature. Les Occidentaux eux suivent les leçons de Darwin qui a élaboré la théorie de la sélection naturelle, c'est-à-dire, le fort vit, le faible disparaît. Et qui sont les faibles parmi les races ? Je vous laisse deviner...
Commentaire : Le procès de Vital Kamerhe pour détournement du denier public est emblématique du peu de scrupules de nombreux hommes politiques africains. Il faut que Félix Antoine Tshisekedi poursuive avec cette politique de lutte contre les crapules de la république. Les Vital Kamerhe de la république doivent tous finir en prison pour 30 ans au moins - avec confiscation de tous leurs biens.
Que ceux qui défendent le Rwandais Kamerhe viennent encore jouer à l'avocat du diable ici. Cet homme est pire qu'un voleur : c'est un kleptomane, un monstre à la cupidité froide. Quand je pense aux louanges que des musiciens lui font, je me dis que le vice est encensé par des musiciens mendiants au en RDC et au Congo-Brazzaville.
C'est effarant de constater la facilité avec laquelle Vital Kamerhe détourne l'argent public de la RDC. On a l'impression qu'il n'existe aucun mécanisme de contrôle des sorties de l'argent des comptes de l'État. Hélas, de nombreux pays africains souffrent du même mal...
*
VITAL KAMERHE KANYGINYI DEVANT LE JUGE
- Connaissez-vous Mademoiselle X ?
Réponse : oui
- Qui est- elle ?
Réponse : Ma belle sœur.
- Occupe-t-elle une fonction officielle ?
Réponse : Non.
- A quel titre lui fut donc adressé ce chèque de 9 millions de dollars relatif à la passation d'un marché public ?
- Réponse : silence.
- Avez-vous décaissé de l'argent en banque en date du 3 mars 2020 ?
Réponse : Oui
- A quelle hauteur ?
Réponse : 30.000$
- Et vous avez remis combien aux travaux publics ?
- Réponse : le montant décaissé votre honneur.
Vous pouvez être précis ?
Réponse : 30.000$
- Est-ce que vous reconnaissez ce document sur lequel votre signature et celle du DG de la SAFRICAS se trouvent ?
Réponse : Silence.
- Reconnaissez-vous avoir remis 3000$ au DG de SAFRICAS sur les 30.000$ décaissés à la Banque ce même 3 mars 2020 ?
Réponse : Silence.
- Reconnaissez-vous avoir effectué un dépôt de 5 millions de dollars dans votre compte en banque personnel ?
Réponse: oui
- Quel type de transaction avez-vous effectué pour obtenir ces 5 millions de dollars ?
Réponse : Silence.
- Quels étaient les individus impliqués dans la transaction ?
Réponse : je ne puis répondre.
Pour quelle raison ?
Réponse : Long silence.
- Êtes-vous vous signataire de la règle de convenance exigeant que tout décaissement d'argent public soit co-signé du chef de l'État ?
Réponse : oui.
- Avez-vous déjà décaissé de l'argent public sans l'autorisation du chef de l'État ?
Réponse : je ne pense pas votre honneur.
- Connaissez vous Mr X ? Réponse : oui.
- Qui est-il ?
Réponse : Un parent.
- Soyez-précis, svp
Réponse : Mr X est mon oncle
- Mr X a-t-il effectué un transfert de votre compte vers le sien, à hauteur de 900.000$ en date de 25/12/2019 ?
- Réponse : je n'en suis pas informé votre honneur.
- En quelle qualité aurait-il pu faire un tel virement et à quelle fin ?
Réponse : je n'en ai aucune idée votre honneur.
- Reconnaissez-vous avoir décaissé 1.500.000$ pour les festivités relatives à votre mariage civil ?
Réponse : oui.
Était-ce bien des fonds publics ?
Réponse : oui.
- Pourquoi n'avez-vous pas utilisé votre compte personnel ?
Réponse : C'était un crédit votre honneur.
- Ce crédit a-t-il été octroyé sur la base de dispositions légales ?
Réponse : Silence.
- Disposez-vous d'un document ou encore une lettre de reconnaissance de cette dette ?
Réponse : silence.
- Reconnaissez vous avoir ouvert un compte en date du 02/01/2020 au nom de Madame Amida Kamerhe, votre épouse ?
Réponse : oui.
- Vous êtes en communauté universelle de bien pourtant ?
Réponse : oui.
- Reconnaissez-vous avoir transféré 75.000$ de votre compte vers le sien ce jour-là ?
Réponse : oui.
Connaissez vous Mr Z ? Réponse : non.
Connaissez vous Mr Z du moins en tant que cadre de votre parti politique ?
Réponse : silence.
- Reconnaissez-vous avoir fait décaisser 50.000$ d'argent public au motif de la lutte contre l'épidémie de Covid-19 ?
Réponse :oui.
- Pouvez-vous produire l'autorisation que vous avez reçu pour le faire ? Réponse : silence.
...........
40 minutes de délibérations de la cour
............
"Aux fins de statuer sur le présent dossier dans les jours qui suivent, la cour ordonne l'arrestation immédiate du prévenu".
Gaspard, bonjour. Certains rats qui mangent des cacahuètes dans les cales d'un navire critiquent le rat capitaine dès qu'ils sentent que le timonier les conduit à l'échouage, dans l'écueil. Isidore Mvouba nous lit, nous qui affirmons depuis des années que Sassou n'a jamais été le président d'un pays mais dans l'ordre - le nkani de sa famille, de son ethnie-Etat et de ses serviteurs de toutes les ethnies. Isidore Mvouba, le Mukongo qui parle mbochi, est prêt à quitter le navire dès qu'il se mettra à piquer du nez. C'est le message caché derrière son discours. C'est le sens de sa critique du régime auquel il appartient. Il a pris sa part de ce que le grand niongologue-boukoutologue-muyibilogue lui a donné. Il est, quoi qu'il dise, corresponsable de la ruine du Congo. Il aura des comptes à rendre comme les autres. Nous n'avons pas la mémoire courte. Le coronavirus est comme une loupe grossissante qui expose toute l'incompétence, toute l'immoralité du plus pire régime de l'humanité. Isidore Mvouba est obligé de voir même avec ses petits yeux combien l'hôpital est dans un état lamentable. Comme l'ensemble du pays, par ailleurs...
Quand Mvouba dit que Sassou n'est plus président (de la république), qu'il nous dise à quel moment, depuis 1997, il l'a été : dans ce domaine, nous avons une grande échelle de comparaison. Les modes de gouvernance ne sont pas si nombreux que ça.
Il y a une différence notoire entre chef d'État et président. Un président est élu par le peuple dont il tient sa légitimité et travaille pour ce peuple. Par contre, on peut se hisser au sommet de l'État sans être élu, par gangstérisme politique usant force et/ou conspiration. Dans ce cas, celui qui arrive au sommet de l'État ressemble à un chef de pirates qui va régir une île juste dans son propre intérêt et celui de ses amis corsaires. D'une manière générale, un chef d'État ne représente que facticement les intérêts d'un peuple. Ce n'est pas son objectif de développer un pays où de rendre son peuple heureux.
Quand vous faites la confusion entre président et chef d'État, c'est que vous n'avez rien compris à l'affaire. Isidore Mvouba est pourtant un homme intelligent pour être capable de survivre au milieu des crocodiles de l'Alima...
De toute façon, lorsqu'un gangster d'État comme Denis Sassou Nguesso atteint le sommet de l'État, il se rend vite compte qu'il n'a fait que prendre la place de l'ancien gouverneur blanc en prenant place au palais du gouverneur. Il a le choix de se détacher de l'emprise colonial pour s'émanciper du colonisateur mais un peureux comme Sassou, devant la puissance de la France, préfère servir le colon, se servir lui-même et servir ses proches. On constate alors qu'en trente-cinq de règne, rien ne change pour le peuple.
Denis Sassou Nguesso est un gangster-pirate d'État qui n'aime pas son pays et son peuple. Quand on regarde le sort du pays au crible de ses sentiments, on voit que par amour, il est capable de transformer un village de pêcheurs en ville. Si Denis Sassou Nguesso aimait le Congo comme Paul Kagamé, pourtant aussi dictateur sur lui, aime le Rwanda, il y a longtemps que le Congo serait doté de structures modernes. Or, seul Oyo a une eau potable et une électricité stable.
Le taux d'amour pour leur peuple permet de mesurer la différence entre deux dictateurs. Sur l'échelle de l'amour du peuple, Paul Kagamé, c'est Sassou + beaucoup d'amour pour son pays le Rwanda. Quand Isidore Mvouba, président de l'Assemblée des gangsters-pirates, fait semblant de dire que Denis Sassou Nguesso n'est plus président, c'est une façon de parler : il sait que le ndzokousaure n'a jamais été président. Même pas un seul jour. L'homme qui a plus de 93000 heures de vol d'avion à la visite du monde ne connaît pas son pays. Il est même plus un nkani, qu'un chef d'État, plus un chef de famille qu'un nkani.
Isidore Mvouba est un voyant qui faisait l'aveugle pour ne pas voir qu'il participe allègrement à la ruine du pays. Il affirme miraculeusement avoir retrouvé la vue, prêt à quitter le vaisseau pirate dès que le peuple sonnera l'abordage...
MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,
LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB'
COMMENTAIRE : Quand le gouverne-MENT congolais doit choisir entre la sécurité, la santé de ses concitoyens qui travaillent en mer pour les sociétés pétrolières parce que le coronavirus Covid-19 a décidé de venir humer l'air marin et la continuation de la production pétrolière, il choisit de poursuivre la production en banalisant la santé de ces concitoyens. C'est un scandale qui se joue en Haute Mer. Quelqu'un a décidé de parler pour que sa famille puisse porter plainte si l'irréparable se produisait.
Total qui veut arrêter la production de brut de pétrole pour nettoyer ses sites de heurte au refus du ndzokousaure de l'Alima. Pourtant, si le Covid-19 infecte tous les employés de Total et des compagnies pétrolières, la production va tout de même s'arrêter.
Voilà où nous mène l'appât du gain d'un pouvoir aux abois caractérisé par l'inhumanité, l'incompétence et la cupidité de ses membres. Le pire est peut-être à venir : si toute l'Amérique entre en confinement, le prix du baril de pétrole risque encore de chuter...
MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,
LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB'
*
Congo : L'épidémie de Covid-19 se répand à grande vitesse sur des sites de Total EP Congo
Tout a commencé quand le premier cas de Covid-19 a été observé dans le pays. La direction de la filiale avait dans un premier temps opté pour une suspension des relèves pour éviter un risque de contamination sur ses sites. Elle a finalement fait volte-face et poursuivi avec les rotations… La situation redoutée a donc fini par se produire. Sur l’une des rotations sur le site se trouvait une personne porteuse du virus. Celui qui est présenté comme le patient zéro est un agent de bureau Véritas qui dormait sur le site Likouf et travaillait sur un autre site Alima (Likouf possède une capacité d’hébergement supérieure à Alima). Notons que ces deux sites offshores sont opérés par total E&P Congo.
Le cas positif officiellement connu, il a été « descendu » (renvoyé sur terre) selon le jargon des « pétroliers » sans prendre de précautions particulières sur les agents restés sur les sites ni même avertir les autorités compétentes sur terre qui auraient pu prendre les dispositions appropriées.
Par la suite, 4 cas ont été déclarés sur Likouf puis 1 sur Alima. Puis encore 1 sur Likouf il n'y a pas plus d’une semaine puis 1 autre sur Alima. A ce jour nous comptabilisons 6 cas testés positifs sur Likouf et 2 sur Alima développzn les mêmes symptômes que leurs camarades.
La société Total a demandé à l'Etat congolais et à la société Chevron, partenaires sur ces sites, d'arrêter partiellement ou totalement la production le temps de désinfecter intégralement les sites contaminés. L’État congolais financièrement aux abois a opposé un refus catégorique à une interruption de la production. Ces sites sont une manne substantielle car ils représentent près de la moitié de la production du Congo (110.000 barils pour Likouf et 40.000 barils pour Alima). Le prix du baril de pétrole étant au plus bas, le gouvernement a fait le choix de privilégier ses recettes à la santé des travailleurs sur ces sites. L’hécatombe sanitaire annoncée depuis belle lurette a trouvé un allié institutionnel de taille.
L’Etat congolais détenant la prérogative d’effectuer des examens sur ses citoyens, l’entreprise pétrolière a par la suite demandé à dépister systématiquement tout le personnel sur site et ceux qui sont susceptibles de les remplacer. Là encore le gouvernement de Mouamba s’est opposé pour n’accepter de faire des prélèvements uniquement que sur les personnes présentant des symptômes du Covid-19, donc probablement déjà malades. Ces prélèvements ont été envoyés à Brazzaville et les résultats sont arrivés quelques jours après.
Les travailleurs qui sont sur sites et d'autres qui devaient descendre il y a une semaine ou dix jours sont retenus sur place et la grogne commence à monter. Certains sont à plus de 5 semaines sur les plateformes avec la peur d'être contaminés. Ceux qui sont à terre, en quarantaine (Total place ses agents dans des hôtels 14 jours avant d’aller offshore indifféremment du site et même sur les sites non suspectés d’être contaminés pour le moment, comme Djeno, Nkossa et Yanga), des sites touchés ne veulent plus y aller avec les dernières informations qui leur sont parvenues. De même ils ne veulent plus séjourner dans ces hôtels, même contraints, car le personnel de ces hôtels vient de l’extérieur et est susceptible d’avoir eu des contacts à risque et de les contaminer dans cette vraie fausse quarantaine où l’isolement n’est pas garanti. D’autant plus qu’un individu sain en apparence peut porter le virus du Covid-19 pendant 14 jours et être contagieux.
Compte tenu du refus de l'Etat congolais de désinfecter les sites touchés et de Total qui a le devoir de protéger les travailleurs comme défini dans sa charte H3SE, un employé de l’entreprise a préféré rendre ce scandale public. Il a manifesté le désirer d’informer ses parents, amis et connaissances pour que, si les choses tournent mal pour sa santé ou celle de ses collègues, ils soient en mesure de poursuivre l'Etat congolais et la société Total. La situation sera très vite hors de contrôle avec le nombre de cas contaminés et l’augmentation exponentielle de nouveaux cas. Le dernier contaminé sur le site Likouf et testé positif est un cabinier (un agent préposé à l’entretien des chambres).
Aujourd’hui les travailleurs poussés dans leurs retranchements appellent les syndicalistes et Total à prendre leurs responsabilités avant qu’ils n’exécutent des solutions radicales.
BulukutuDiaTiya
PS : On annonce à la rédaction de Congo Morning le décès de Michel « Demicho » pour les intimes, un autre agent du bureau Véritas qui était en contact avec le premier agent bureau Véritas touché (patient zéro Likouf et Alima).
AH ! QUE LA PAUVRETE ET LA MISERE SONT BELLES ET UTILES AU CONGO-BRAZZAVILLE !
S’il fallait dégager l’essence de la fameuse « visite de travail » que M. Denis Sassou-Nguesso, Président (de fait ou de viol) du Congo-Brazzaville, a effectuée à Pointe-Noire, la capitale économique du pays, du 17 au 21 février 2020, la formule qui semble la plus appropriée est bien « Ah ! que la pauvreté et la misère sont belles et utiles au Congo-Brazzaville ! »
Pour son arrivée dans la ville le 17 février, des dispositions inouïes ont été prises par les autorités locales, en accord bien entendu avec le visiteur : une journée continue a été décrétée, qui faisait cesser le travail impérativement à 13 heures, dans les administrations et entreprises publiques, ainsi que dans les sociétés privées ; tous les commerces ont reçu l’ordre de fermer à la même heure, avec les établissements scolaires; le préfet (de Pointe-Noire ? Du Kouilou ?) s’est permis d’utiliser les services d’un opérateur de téléphonie mobile pour envoyer un SMS aux citoyens de manière indiscriminée, leur demandant « d’accueillir chaleureusement » le chef de l’Etat ; les vendeuses des marchés de la place ont, comme d’habitude, été sommées de se mobiliser; les Eglises qui, dans une République digne de ce nom, sont séparées de l’Etat et sont apolitiques, ont reçu la consigne péremptoire d’acheminer une partie de leurs fidèles à cet « événement » ; des dizaines de bus ont transporté vers l’aéroport de Pointe-Noire et le long de l’itinéraire du visiteur, des hommes, des femmes, des jeunes, des moins jeunes, avec ou sans T-shirt, moyennant la promesse d’une petite somme d’argent comprise entre 1000 (mille) et 2500 (deux mille cinq cents) francs CFA, dans le meilleur des cas. Tout cela sur fond d’innombrables banderoles, affiches et panneaux souhaitant de manière obsessionnelle la « bienvenue au couple présidentiel » et prenant date pour ... l’élection présidentielle de l’année prochaine. Bref, un dispositif véritablement totalitaire a été mis en place à cette occasion avec l’objectif affiché de corseter toutes les Ponténégrines et tous les Ponténégrins, de les rendre concernés, otages de ce qui n’aura été qu’une nième visite de M. Sassou- Nguesso dans leur ville.
Un dispositif, soit dit en passant, dont le coût financier, connaissant les ordres de grandeur dans l’univers de la présidence congolaise, pourrait se chiffrer facilement en milliards de francs CFA. Des milliards immédiatement disponibles pour ce type de cause, et pas pour les vrais besoins des Congolais. Ce que vise cette propagande débridée, échevelée, délirante se voit comme le nez au milieu de la figure : il s’agit pour M. Sassou-Nguesso et les siens d’instrumentaliser les Ponténégrins et leurs voisins du département du Kouilou dans la perspective de l’élection présidentielle de 2021. Tout a, en effet, été orchestré au cours de cette visite pour donner l’illusion d’une adhésion massive des Ponténégrins et des Kouilois à la personne de M. Sassou-Nguesso.
Pour ses concepteurs, la mobilisation des populations a pris l’allure d’un pseudo-plébiscite en faveur de M. Sassou-Nguesso. De sorte que, tenant compte des pratiques de ce régime, de son cynisme intégral, de son culot monstre, on peut considérer que pour lui l’élection présidentielle de 2021 vient de se jouer un an à l’avance à Pointe-Noire et au Kouilou. Et que son champion est d’ores et déjà élu à un mandat de plus bien avant la tenue de l’élection y relative. Voilà l’essentiel du message véhiculé par ce viol des consciences à large échelle. Tous les artifices utilisés au cours de ce voyage sont donc supposés donner l’image de la « réconciliation » entre M. Sassou-Nguesso et Pointe-Noire et le Kouilou, deux départements parmi tant d’autres qui lui ont infligé un cinglant désaveu lors de l’élection présidentielle de 2016 en lui préférant, et de loin, le candidat Jean-Marie Michel Mokoko.
On connait la suite de l’histoire : après s’être autoproclamé vainqueur, via ses hommes liges, ses gardes-chiourmes Henri Bouka et Zéphyrin Mboulou, d’une élection que, selon de nombreuses indications, il avait perdue, M. Sassou-Nguesso a jeté en prison Jean-Marie Michel Mokoko sous les prétextes les plus fallacieux. En fait, le crime de celui-ci est de l’avoir battu à plate couture à cette élection, et plus généralement de lui faire de l’ombre par sa forte personnalité. Pour tenter d’effacer ce cruel souvenir pour lui, M. Sassou-Nguesso et les siens ont imaginé cette mise en scène à grands frais et à grand spectacle d’un simulacre d’accueil triomphal à Pointe-Noire.
Cette pure fiction d’un président adulé par les foules à Pointe-Noire et dans le Kouilou ne résiste pourtant pas au bilan de près de quarante ans de pouvoir absolu de M. Sassou-Nguesso à la tête du Congo-Brazzaville. En quelques mots, ce bilan qui s’étale aux yeux de tous, est vite fait : l’école est complétement délabrée, et l’arbre vacillant de l’enseignement privé ne saurait cacher la forêt de l’enseignement public où les enfants continuent à s’asseoir à même le sol dans des classes plus que surchargées où les effectifs peuvent atteindre parfois les 300 (trois cents) élèves, voire plus ; le domaine de la santé est dans un état semblable, avec des formations sanitaires pour la plupart vieillissantes, qui manquent cruellement de personnel et de moyens pour remplir leurs missions, et où se développent des comportements qui mettent en danger la vie des malades ; l’eau et l’électricité restent des luxes pour la grande majorité des gens, et ceux qui ont réussi à s’y abonner vont de pénurie en pénurie, et des quartiers entiers, dans les grands centres urbains, n’ont plus jamais vu couler une seule goutte d’eau à leurs robinets depuis des années ; le chômage, surtout celui des jeunes, atteint un niveau très élevé jamais mesuré officiellement ; la mortalité flambe littéralement, au point qu’ à Pointe-Noire par exemple, certains jours, on enterre cent (100) corps ou plus sortis de la morgue municipale ; les inégalités, mot inconnu du vocabulaire politique congolais, sont devenues abyssales entre citoyens, entre les possédants et les autres ; les pensions de retraite, notamment celles des fonctionnaires, sont rarement payées, et sur l’année, 9 (neuf) mois sur 12 (douze) peuvent être dus comme en 2019, sans compter que de nombreuses années s’écoulent généralement entre le moment où l’on est admis à la retraite, et celui où l’on touche sa première pension ...
Bref, à s’en tenir à ce qui est basique, le bilan du règne d’environ quarante ans de M. Sassou-Nguesso sur le Congo-Brazzaville est terriblement catastrophique. Sous lui, les dérèglements, les dysfonctionnements, la pauvreté et la misère se sont considérablement aggravés, se sont amplifiés comme jamais auparavant.
D’où vient-il donc que cet homme, qui n’a jamais fait la preuve de sa capacité à imaginer des solutions à la masse des problèmes auxquels les Congolais sont confrontés, qui n’a jamais montré la moindre empathie à leur égard, veuille demeurer éternellement au pouvoir ? C’est que chez lui, en plus de la farouche volonté de ne pas rendre des comptes sur sa gestion calamiteuse du pays et sur maintes ténébreuses affaires, au premier rang desquelles l’assassinat jamais élucidé en Mars 1977 du Président Marien Ngouabi, il y a le mépris souverain des faits qui s’accompagne de l’immense mépris des gens. Le mépris des gens très profondément ancré chez lui s’explique notamment dans le fait qu’il n’éprouve pas le moindre scrupule à utiliser la pauvreté et la misère qui sont le résultat direct de sa politique ou de sa non-politique, et dont les premières victimes sont les classes populaires congolaises, pour manipuler celles-ci sans vergogne.
La pauvreté et la misère des Congolais sont pour lui de précieux alliés dans sa détermination à conserver le pouvoir coûte que coûte : plus les Congolais sont malheureux matériellement, financièrement et psychologiquement par son fait, plus ils sont vulnérables, fragiles, plus M. Sassou-Nguesso est assuré de les dominer, de s’imposer à eux, de les acheter au sens strict du terme en leur donnant de temps en temps un os à ronger en fonction de ses objectifs personnels. L’argent étant de son côté, et les populations en étant dépourvues, il reste seul maitre du jeu politique dans le pays. En pratiquant ainsi délibérément la rétention des ressources, il espère affaiblir les Congolais et les rendre malléables. La pauvreté et la misère, qui sont le fruit de son incapacité foncière à gérer de manière moderne et efficace le pays, il les retourne donc à son profit pour asservir les populations, selon une logique proprement machiavélique.
En somme, pour M. Sassou- Nguesso, c’est : vivent la pauvreté et la misère au Congo-Brazzaville, pauvreté et misère auxquelles il trouve du charme, des avantages insoupçonnés, de son point de vue. Et son voyage du 17 au 21 février 2020 à Pointe-Noire, est la parfaite illustration, jusqu’à la caricature, de ce mode de gouvernement. Affamer le peuple pour mieux le tenir en lui faisant perdre sa dignité, en lui inspirant le mépris de soi, cette technique a fait merveille lors de ce déplacement présidentiel ponténégrin.
Ceux qui ont été transportés dans la noria des bus pour aller accueillir M. Sassou-Nguesso sont, dans leur écrasante majorité loin, très loin d’être ses partisans. Cela s’est bien vérifié en 2016. Ces citoyens, pour la plupart jeunes, très jeunes, sont pour beaucoup des désœuvrés, des chômeurs, des sans-abris, des enfants déscolarisés, des retraités, des commerçants ambulants, des artisans et des artistes qui n’arrivent pas à s’en sortir ... En un mot, des 4 membres des catégories sociales parmi les plus touchées par la gestion scabreuse des affaires publiques par M. Sassou-Nguesso. Le paradoxe de leur nombreuse présence le 17 février n’est qu’apparent : pour la plupart, ils ont avoué avoir accepté d’aller faire la claque à l’arrivée de M. Sassou- Nguesso sur la base du marché conclu avec les organisateurs de la supercherie de leur verser de 1000 (mille) à 2500 (deux mille cinq cents) francs CFA. C’est donc tenaillés par la nécessité qu’ils se sont laissé enrôler dans cette aventure. Et l’extrême modicité des sommes en jeu pour chacun d’eux témoigne à la fois du niveau de leur dénuement, de leur absence de ressources, et du niveau du cynisme et du mépris dans lequel les tiennent le « bénéficiaire » de cette initiative et ses zélés exécutants. Les montants susmentionnés montrent à suffisance que pour M. Sassou-Nguesso, ces citoyens rameutés pour sa cause personnelle, celle de sa durée indéfinie au pouvoir, ne valent rien, ne représentent rien, ne sont que des « zéros », du vide à ses yeux : le peuple embarqué à tous les sens du mot pour lui servir de faire-valoir n’existe tout simplement pas pour lui.
Dans son esprit, ce peuple constitue une abstraction totale. Dans une chanson que M. Sassou-Nguesso et d’autres entonnaient de manière rituelle naguère, il est question de « damnés de la terre », de « forçats de la faim », d’« esclaves » qui se mettent « debout ». L’arme de la faim, de la maladie, de la mort utilisée contre un peuple peut se révéler à double tranchant. Dans des conditions insoupçonnées, dont l’Histoire seule a le secret, elle peut se retourner contre celui qui s’en sert. Après tout, l’Histoire des sociétés humaines n’est jamais écrite à l’avance. Quelles que soient les précautions que l’on prend, un grain de sable est toujours susceptible d’en changer le cours dans un sens imprévu, au moment où l’on s’y attend le moins. N’oublions pas, en République pétrolière-bananière du Congo-Brazzaville, que dans la Rome antique, la roche Tarpéienne était proche du Capitole...
Aujourd'hui, dans notre pays le Congo, sauf si la nature s'en mêle, il est impossible de survivre du coronavirus Covid-19. En effet, il n'y aucun lit de réanimation. A ce qu'il paraît, de 400 lits de réanimation, nous sommes passés à 0 (zéro). Nous n'avons même pas un seul respirateur dans notre pays ! Comment cela se fait-il ?
En sa qualité de ministre de la santé, madame Jacqueline Lydia Mikolo doit nous dire où sont passés les lits de réanimation. Elle doit rendre des comptes de sa mauvaise gestion du système de santé de notre pays. A l'heure d'une aussi grave pandémie, tous les yeux doivent être tournés vers cette femme à l'incompétence criarde. Comment peut-elle expliquer le marasme de tout le système de santé de notre pays où il n'y a même plus d'alcool dans les hôpitaux ? Et avec ça, madame Mikolo se permet des dons à titre personnel à l'hôpital de Mouyondzi dont elle est native pour lutter contre le coronavirus. C'est inacceptable qu'une ministre de la santé fasse étalage de ses penchants tribalistes aux yeux du monde entier. Où a-t-elle eu le matériel qu'elle a personnellement apporté à l'hôpital de Mouyondzi ? Pourquoi ne pas avoir simplement pensé à équiper, en sa qualité de ministre de la santé, tous les hôpitaux de la république de la même façon ? Que fait-elle de la manne de son ministère - alors que le pays manque de tout ?
Il est un peu facile de l'exonérer de ses responsabilités en caquètant qu'elle est venue trouver une situation sinistre. Justement, c'est pour changer les choses, pour améliorer la situation qu'elle a été nommée ministre de la santé. Elle n'est pas au ministère de la santé pour se pomponner le visage, se farcir les lèvres de rouge à lèvres ou pour se gratter les ongles ! Depuis qu'elle est là, l'état des hôpitaux congolais s'est fortement dégradé.
Le chef de l'État doit se pencher sur le cas Jacqueline Lydia Mokolo. Il est évident qu'elle n'est pas à la hauteur de la pandémie actuelle. Son bilan en tant que ministre de la santé est nul. QU'ON NOUS EXPLIQUE POURQUOI CETTE FEMME EST MAINTENUE AU POSTE DE MINISTRE DE LA SANTÉ - ALORS QU'ELLE EST NULLE COMME UN CARTON D'EMBALLAGE. ON PEUT SE CONTENTER DE LUI LAISSER LE MINISTÈRE DE LA FEMME, S'IL VOUS PLAÎT !
Depuis qu'elle est au gouvernement, l'hôpital a connu de nombreuses crises, des grèves du personnel soignant. Elle s'est même permise de limoger une dame qui se plaignait de manquer de moyens à la tête du CH-TUE pour la remplacer par un Canadien qui n'a que foutre de la santé des Congolais, un énergumène qui aurait déjà détourné plus d'un milliard de francs CFA.
Comment expliquer que notre pays n'ait même pas un seul lit de réanimation ? Pas un seul respirateur ? Comment peut-on manquer même des choses les plus insignifiantes comme des réactifs ? Comment les grands hôpitaux du pays peuvent manquer de tout - alors que des dons de matériels et d'espèces affluent ici et là ? Même si elle semble avoir des appuis solides au sein de la famille présidentielle, cette femme est personnellement RESPONSABLE de milliers voire de centaines de milliers de morts dans notre pays.
Notons au passage qu'il n'est plus possible de faire des opérations chirurgicales au CH-TUE de Brazzaville où le matériel est totalement inutilisable ! L'état de notre système de santé est si épouvantable au point où être hospitalisé, c'est avoir rendez-vous avec la mort !!!! Nous avons tous été atterrés de constater le cas du défunt Mvoulaléa abandonné sur un lit d'hôpital - sans soins au mouroir CH-TUE. C'EST UN VRAI SCANDALE !
Il est temps que le gangster suprême de notre État se penche sur le cas Jacqueline Lydia Mikolo, une dame au visage fin et apparemment doux qui cache une espèce de monstre au féminin, mi-tigresse, mi-cobra car elle prouve qu'au change, en matière de détournements, d'incompétence et d'inhumanité, la femme peut être l'égale de l'homme. Peut-être même, pire que l'homme. En l'espèce, Jacqueline Lydia, c'est Dracula en jupon et le diable en talons aiguilles...
CONGO/CORONAVIRUS : SANS AIDE DE L'ÉTAT, LE CONFINEMENT PEUT AVOIR LES MÊMES EFFETS QU'UN SIÈGE MILITAIRE
A quelques rares exceptions près comme la Corée du Nord, le monde entier fait face à la pandémie du coronavirus Covid-19. La Chine ayant été le premier pays à juguler cette maladie virale respiratoire, l'Europe atteinte en second lieu, a adopté en partie les méthodes chinoises, notamment le confinement. Même la démarche du ciblage logiciel des personnes est à l'étude nonobstant qu'elle se heurte à l'atteinte aux libertés individuelles chères aux Occidentaux. On redoute la mise en place d'une surveillance totale du citoyen.
Le confinement en question commence à produire des effets en Italie et en Espagne où l'on observe une baisse de la mortalité et des hospitalisations causées par le Covid-19.
Dans un article, je me suis évertué à donner une méthode qui pourrait permettre de ne pas confiner l'ensemble de la population. Cependant, sa mise en place suppose un traçage rigoureux des contacts et des tests généralisés - ce que ne peuvent se permettre des pays africains au faible développement technologique et au système de santé précaire comme le Congo qui vient d'adopter la technique du confinement pour combattre le Covid-19, à l'instar de la France.
Lors d'une discussion sur la chaîne ZIANA TV, j'avais averti que le confinement risquait de tuer les Congolais non pas du coronavirus Covid-19 mais de faim, de soif et d'autres pathologies s'il était trop rigoureux, d'autant que l'État ne vient pas en aide aux populations les plus démunies.
Un confinement absolu a les mêmes effets qu'un siège militaire que l'armée romaine appliquait à ses ennemis. Vous êtes rapidement confrontés à la faim, à la soif et même à des épidémies comme le choléra. Si le confinement n'apporte pas des réponses à la satisfaction des besoins des citoyens, c'est la même chose qu'un siège : sans eau potable, sans nourriture, quel est le sens du confinement qui finit par vous tuer à 100% alors que coronavirus n'a que 3% de chance de vous tuer ? Oui, on ne le répète pas assez, le Covid-19 tué moins que le paludisme ! LE CONFINEMENT NE DOIT PAS SE RÉSUMER À UN SIÈGE DES POPULATIONS PAR LEUR PROPRE ÉTAT !
Avant d'imposer le confinement, il eût fallu que l'équipe des experts étudie la question avec rigueur pour adapter cette technique à un pays comme le Congo.
Prenons par exemple le cas de Mouyondzi, ville qui vient de recevoir un don matériel contre le Covid-19 de la part du ministre de la santé, Jacqueline Lydia Mikolo, parce qu'elle est native du coin - ce qui au passage est un comportement indigne d'une ministre qui doit pourvoir du matériel sanitaire à tous les hôpitaux de la république - et non procéder à une distribution tribale de matériel sanitaire à l'origine douteuse. Madame Jacqueline Lydia Mikolo ajoute l'ethnodiscrimination à son incompétence notoire. Monsieur Denis Sassou Nguesso doit condamner de telles pratiques honteuses : madame Jacqueline Lydia Mikolo est ministre de la santé de TOUT LE CONGO et non juste de Mouyondzi ! De tels comportements choquants ne devraient pas avoir lieu à de tels niveaux car ils accréditent la rumeur selon laquelle l'aide médicale consentie au Congo par un milliardaire chinois aurait été détournée. Ce qui est honteux et indigne d'hommes d'État. Passons.
On ne peut pas confiner des paysans de Mouyondzi ou d'ailleurs car ils ont besoin d'aller dans leurs champs ou dans les forêts pour subvenir à leurs besoins. Ceux qui se vantent de publier des vidéos que Mouyondzi respecte le confinement sont des inconscients. Le confinement extrême imposé aux populations sans aide substantielle de l'État pour leur survie est un crime. Nous savons qu'à Oyo, Sassou possède de quoi nourrir ou aider les populations de cette ville mais ailleurs, les populations ne compte sur personne. Soit, on laisse une partie de celles-ci subvenir aux besoins des leurs, soit on l'État leur vient en aide comme au Rwanda ou au Gabon. AGIR AUTREMENT EST UN CRIME CONTRE L'HUMANITÉ.
Du reste, confiner des gens en bonne santé n'a pas de sens. Il est même dangereux de confiner des gens malades du Covid-19 et des personnes saines. Il faut peut-être accentuer les gestes barrières dans certains cas. L'Etat pourrait réquisitionner certains tailleurs pour faire fabriquer des masques et importer des gants dont l'usage serait généralisé. Après tout, c'est bien d'imposer une distance barrière d'un mètre cinquante entre les gens mais peut-on l'appliquer entre une mère et son bébé, entre l'époux et son mari ? S'il est vrai que le coronavirus se propage par des gouttelettes de salive et par le toucher, les gants, les masques et la distance de sécurité suffisent. DANS CE CAS, OÙ EST LA NÉCESSITÉ DE CONFINER LES POPULATIONS SURTOUT SI ELLES N'ONT PAS DE CONTACTS À RISQUE ?
Dans un pays comme le Congo où même l'eau potable et l'électricité sont un luxe (sauf à Oyo), on ne peut pas machinalement imposer un confinement à la chinoise ou à l'européenne à des populations démunies de tout. Le Congo n'est pas Wuhan ou Paris. Il faut adapter les solutions pour éviter que l'État ne devienne un État assassin (qu'il est déjà par ailleurs).
Je suis pour la création d'espaces provisoires de santé aménagés pour gérer les personnes atteintes de Covid-19. Après tout, il n'y a encore que quelques personnes atteintes dans notre pays. Si l'équipe des experts travaille avec méthode, on peut freiner cette épidémie. On peut isoler des quartiers préservés de personnes atteintes en empêchant les habitants de quartiers suspects de s'y rendre - sauf nécessité impérieuse. Dans ce cas, l'usage du masque et des gants est obligatoire. En réquisitionnant des stades qui ne servent plus à rien, on peut isoler des malades. Les personnes en quarantaine doivent aussi être à part et sans promiscuité pendant la période de quarantaine.
Nous avons tendance à copier machinalement la France, notre ex-toujours puissance coloniale. Il y a pourtant le cas de la Suède qui n'a pas imposé de confinement généralisé qui n'a pas un nombre important de malades du coronavirus.
Le confinement intégral sied mieux à des nations riches qu'à des nations pauvres. Pendant l'épidémie du coronavirus, la Chine avait acheté d'énormes quantités de nourritures qui furent distribuées gratuitement aux habitants de la province du HUBEI.
SI LE CONGO AVAIT ADOPTÉ TOTALEMENT MON IDÉE D'UN REVENU MINIMUM VITAL DE SURVIE ALLOUÉ A TOUTES LES FAMILLES PAUVRES DU CONGO, LE CONFINEMENT A L'EUROPÉENNE AURAIT PU ÊTRE ENVISAGÉ. L'ETHNIE-ETAT L'A TRANSFORMÉ EN LISUNGUI, UNE OPÉRATION DISCRIMINATOIRE, QUI A LAMENTABLEMENT ÉCHOUÉ.
Nous déplorons aussi les violences policières dans notre pays - alors que le grand ndzokousaure avait interdit de brutaliser les populations. Si vous détruisez l'outil économique de certaines personnes, comment vont-elles relancer leur activité à la fin de la pandémie de ce virus chimérique fabriqué en laboratoire ?
Nous avons aussi constaté que le Congo fait partie des pays africains qui participent à un protocole transformant les Congolais en cobayes de laboratoire - alors qu'IL N'EXISTE PAS À L'HEURE ACTUELLE UN VACCIN CONTRE LE COVID-19. CE QUE L'ON VIENDRA INOCULER AUX CONGOLAIS SERA TOUT SAUF UN VACCIN. Nous avons signalé la dangerosité et la toxicité des vaccins qui contiennent du cyanure, de l'aluminium et du squalène parmi les 230 produits chimiques ajoutés dont de nombreux métaux lourds. LE FAUX VACCIN VA INOCULER LE CORONAVIRUS AUX POPULATIONS. NOUS N'AVONS PAS LA TECHNOLOGIE POUR CONTRÔLER CES VACCINS ET IL EST CLAIR QUE BILL GATES ET SES AMIS VEULENT DÉPEUPLER L'AFRIQUE. ON DOIT LAISSER L'EUROPE FAIRE SES TESTS EN EUROPE. LES NOIRS NE SONT PAS DES ANIMAUX DE LABORATOIRE. NOS ÉTATS NE DOIVENT PAS ÊTRE COMPLICES DE SOLUTIONS NAZIES QUE L'ON VEUT APPLIQUER À L'AFRIQUE.
Nous demandons à tous les Congolais de refuser - même contre de l'argent à se prêter à de telles campagnes de SOLUTION FINALE NAZIE. Si Jacqueline Lydia Mikolo a été corrompue dans cette affaire, qu'elle fasse participer sa famille, les ministres et leurs familles, les députains, les vénérables détestables sénateurs et leurs familles à ces tests. C'est un échantillon assez conséquent pour cette étude de stérilisation et d'empoisonnement des Congolais.
Nous ne sommes que 4 millions d'habitants. NOUS DEMANDONS AUX CONGOLAIS ET PAR EXTENSION À TOUS LES AFRICAINS, À NE PAS PARTICIPER À CETTE CAMPAGNE DE GÉNOCIDE PENSÉE ET CONÇUE PAR BILL GATES ET SES AMIS. Il n'existe aucun vaccin contre le coronavirus Covid-19. Ne l'oubliez pas !
MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,
LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB'
Lors de mon dernier passage à ZIANA TV, j'avais prédit que face aux malades du Covid-19, faisant fi du serment d'Hippocrate, les médecins prendraient la poudre d'escampette. Mal équipés, totalement démunis de tout, dans l'impossibilité d'administrer le moindre soin, que leur restent-ils sinon sauver leur peau, déjà qu'ils sont mal payés ? Une dictature peut au moins se doter d'hôpitaux dignes de ce nom. Ne serait-ce que par honneur national. Cependant, ce n'est pas le genre de considération qui prime quand les nantis du PCTue vont se faire soigner à l'étranger, délaissant les hôpitaux nationaux.
Avec la fermeture des frontières pour cause du Covid-19, les membres de l'ethnie-État se retrouvent face à leurs propres erreurs. Pour avoir négligé l'hôpital public, vu que les frontières sont fermées et que les hôpitaux de France et de Navarre sont encombrés, ils voient la mort planer sur leur tête. Quand vous avez délaissé l'hôpital - au lieu de lui doter de moyens et de structures, l'hôpital à son tour vous délaisse.
La clinique Guénin refuse de prendre en charge un malade atteint du coronavirus Covid-19. La fuite ici devient un refus systématique. Comment peut-on vivre à domicile avec un tel malade si tous les hôpitaux refusent de le recevoir ? N'y a-t-il pas le risque de voir cette maladie causer des dégâts considérables ? En effet, l'hospitalisation est un moyen d'éloigner la contamination du peuple - en isolant le malade. Avec notre modus vivendi fait d'une trop grande promiscuité, on peut craindre que le spectre du Covid-19 s'étende rapidement à tout le pays en très peu de temps...
L'Etat doit équiper et restructurer les hôpitaux en créant des secteurs réservés aux malades du coronavirus. On peut utiliser à dessein des stades de football où des parties seraient réaménagées afin d'accueillir des malades du Covid-19. A quoi servent les millions récoltés ici et là si le gouverne-MENT ne les utilise pas à bon escient ?
Nous attirons l'attention du chef de l'État que seul un lieu spécifique à cette maladie peut permettre de ramener la sérénité à l'hôpital. Que Denis Sassou Nguesso demande donc aux Chinois de nous construire un hôpital de campagne de 3000 lits équipés de respirateurs, un hôpital dans lequel les médecins seront équipés comme il le faut et où il sera possible de soigner des malades - au lieu de les laisser mourir.
On ne peut pas soigner les malades du coronavirus Covid-19 dans des structures sanitaires conventionnelles. Le cas Mvoulaléa a montré comment le CHTue s'est vidé de tous ses malades qui ont préféré aller mourir à domicile...
Face à l'incompétence et l'inexpérience de madame Jacqueline Lydia Mikolo, ministre de la santé de ses ongles à embellir, le grand ndzokousaure himself doit monter au créneau. Certes, il a un coup d'État à gérer mais cela ne lui empêche pas de donner des directives. Nous avons un comité d'experts alloués à ce problème. Il faut leur donner les moyens de travailler !
Le Congo doit se doter de respirateurs, de combinaisons isolantes, de masques, de gants, de surchaussures, acheter de la chloroquine. J'avais estimé qu'un petit milliard de francs CFA ne suffisait pas. Il semble que le Congo ait réservé 200 milliards de francs CFA pour lutter contre le Covid-19. Eh bien que cet argent serve à quelque chose au lieu de s'évaporer dans les poches de cupides !
Quand je regarde comment réagissent des pays comme le Rwanda, le Gabon face au Covid-19, j'ai honte à la place de notre gouvernement. C'est incroyable que des hommes d'État n'aient aucun sens de l'honneur, de la dignité, de la responsabilité. Ils préfèrent entrer dans l'histoire comme des voleurs que comme des hommes de haute valeur ajoutée morale. C'est une tragédie qui risque de tout emporter, eux y compris car ils n'iront pas se faire soigner ailleurs. Le coronavirus va peut-être leur donner une bonne leçon en leur faisant regretter de ne pas avoir doté le pays d'hôpitaux dignes de ce nom. C'est terrible de voir tant de petits hommes courts sur idées, sur compétence, sur honneur et sur dignité, des nains politiques qui ont pris le pays en otage et qui vont l'entraîner dans l'abysse de la honte mondiale, allant jusqu'à mourir de leurs propres excès. Même la folie incarnée au sommet d'un État ne ferait pas ce qu'ils font. Hélas, ils ont assassiné la honte, dévoré l'honneur à table, jeté dans les chiottes leur KiMunTu. Ils ont accepté de rétrograder à l'état de l'animalité pour se donner de la suffisance matérielle, de la richesse volée dans les caisses de l'État pour faire oublier qu'ils ne sont en fait que des ... des barbarosaures primitifs, des sauvages en col blanc, des monstres à visage humain.
MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,
LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB'
Les fils des Ténèbres veulent réduire la population noire de l'Afrique de 90%. Pour eux, la solution la moins coûteuse est la vaccination. Ce n'est pas par hasard qu'en France, on refuse la solution du docteur Raoult qui marche sur le coronavirus Covid-19 car cela mettrait à mal le projet d'une vaccination mondiale pour effacer les nègres et ceux qu'ils appellent les "parasites" de la surface de la terre. Pour mener à bien ce projet satanique, les psychopathes qui ruinent cette planète s'appuient sur des complices comme l'OMS, des chefs d'État francs-maçons et satanistes et des complices docteurs et professeurs en médecine. Ils profitent du Covid-19 pour lancer une fausse campagne de vaccination pour réduire la population mondiale, notamment la population noire. Notons que vu la taille de notre continent, l'Afrique est presque vide !
Le nom de Muyembe doit devenir synonyme de traître. Ce qu'il raconte n'a aucun sens :
1) il dit que la campagne de vaccination a débuté ailleurs. A-t-il la preuve de cela ? A-t-il même la certitude qu'un VACCIN contre le coronavirus Covid-19 EXISTE ? Non. Il obéit comme un esclave à ses maîtres blancs.
2) A-t-il les moyens de montrer que les vaccins en cours ailleurs seront les mêmes que ceux envoyés en RDC ? En effet, même si les Occidentaux parviennent à concevoir un vaccin contre le Covid-19, il n'est pas certain qu'ils l'utiliseront pour sortir les nègres de cette pandémie. N'avez-vous pas vu comment ils ont abandonné L'ITALIE à son sort ? Depuis quand ceux qui nous prennent pour des animaux, nous ayant réduits en esclavage pendant quatre siècles nous aiment-ils ?
3) Si une campagne de vaccination a lieu en Europe, au Canada, etc, quelle est la nécessité de la tenir encore en RDC ou en Afrique ? Les recherches menées en Europe ne sont-elles pas suffisantes ? En Europe, ces tests, s'ils ont lieu, quand ils auront lieu, se feront d'abord sur les animaux et non sur les hommes parce que c'est le protocole. Or, le maudit docteur MUYEMBE veut les faire directement sur ses concitoyens en RDC.
4) Je défie le docteur MUYEMBE de PROUVER que le vaccin contre le coronavirus Covid-19 EXISTE ! Qu'il nous donne le nom du laboratoire qui l'a FABRIQUÉ. A l'heure actuelle, il n'existe aucun vaccin contre le coronavirus Covid-19. Et cela, dans le monde entier. Il faut au moins trois ans pour le concevoir. CE QUE L'ON S'APPRÊTE À INOCULER, À INJECTER AUX CONGOLAIS DE LA RDC EST TOUT SAUF UN VACCIN ! C'est un poison que personne ne doit accepter - même contre de l'argent.
Ce coup-ci, les fils des Ténèbres ne rateront pas les BENA NTEMO. C'est la race noire entière qui sera éradiquée. Pourquoi ? Parce qu'ils se rendent compte que les esclaves ne sont plus dupes. SI L'AFRIQUE COMMET L'ERREUR D'ACCEPTER LE POISON DE BILL GATES ET DE SES AMIS PSYCHOPATHES, C'EST LE DÉBUT DE LA FIN DE L'HOMME A PEAU SOMBRE. Il ne restera sur le continent que quelques réserves de nègres. Ils feront ce qu'ils ont fait en Amérique contre les Indiens et en Australie contre les aborigènes.
Cette pandémie a été créée en laboratoire pour lancer une vaste campagne de réduction de la population mondiale. Les fils des Ténèbres se rendent compte qu'elle ne va pas assez loin. Il faut passer à la phase 2 avec un vaccin plus mortifère.
Ce coup-ci, les Africains doivent résister ou périr. Les fils des Ténèbres et leurs esclaves chefs d'État francs-maçons n'auront aucun état d'âme pour provoquer le plus grand génocide de l'histoire de l'humanité. L'OMS, les chefs d'État des chiens comme le docteur MUYEMBE sont tous des complices.
MONSIEUR MUYEMBE, QUE VOUS ET VOTRE FAMILLE SEULS PARTICIPIEZ À CETTE CAMPAGNE DE DÉPOPULATION. Nous n'en voulons pas pour l'Afrique, espèce de corrompu !
Ce qu'il nous faut c'est le traitement proposé par le professeur Raoult, des respirateurs, des masques et du gel hydroalcoolique fabriqués de préférence en Afrique.
Il est hors de question d'accepter d'utiliser les Africains comme cobayes : nos vies comptent parce qu'elles ont de la valeur. PERSONNE N'A LE DROIT DE NOUS ÔTER NOS VIES. S'il y a des gens en trop sur cette terre, ce sont ces psychopathes.
Bill Gates est venu stériliser les femmes africaines - sans que les États ne vérifient la composition des faux vaccins. Ce coup-ci, nous ne permettrons pas qu'on empoisonne l'Afrique.
Monsieur Muyembe et sa famille peuvent suffire à mener cette campagne. Tant pis s'il a accepté l'argent des puissances étrangères pour exposer les citoyens de son pays...
Chers frères de la RDC, sachez ce qu'est un vaccin : c'est le coronavirus auquel on aura ajouté des métaux lourds, de la squalène, entre autres que l'on va vous injecter. ON VOUS INJECTERA LE CORONAVIRUS VIVANT ! C'EST-À-DIRE, ON VA VOUS REFILER LA MALADIE, VOUS RENDRE STÉRILE ET RÉDUIRE VOS ANNÉES DE VIE SUR CETTE TERRE. Voilà ce qui vous attend si vous acceptez ce vaccin qui n'est pas du tout au point. Avec les métaux lourds dans ces vaccins, ils vont aussi diminuer vos capacités intellectuelles et celles de vos enfants. Muyembe le traitre corrompu le sait. IL NE FERA VACCINER AUCUN MEMBRE DE SA FAMILLE !
Il faut au moins trois ans pour faire un vaccin qu'on teste d'abord sur des animaux et non sur des hommes. C'est impossible qu'on teste quoi que ce soit sur les Occidentaux. Ils prennent les Noirs pour des animaux. Muyembe ment en prétendant qu'il y a des tests sur des humains en Occident ou au Canada. Aucun vaccin n'est prêt. C'est la preuve que cet homme est un franc-maçon sataniste !!!
:
JOURNAL D'ACTUALITES ANIME PAR LE LION DE MAKANDA. SITE WEB DES DEMOCRATES CONGOLAIS COMBATTANT LA DICTATURE SASSOU NGUESSO
:
Journal d'actualités sur le Congo-Brazzaville administré par le LION DE MAKANDA (LDM) pour les démocrates patriotes du Congo-Brazzaville œuvrant pour le retour de la démocratie perdue en 1997. Nous nous battons par amour avec les mots comme armes et le Web comme fusil.