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25 février 2016 4 25 /02 /février /2016 14:50
On devrait ajouter un couvert pour la Chine qui a pris part au banquet !

On devrait ajouter un couvert pour la Chine qui a pris part au banquet !

Grand-frère, bonjour.  Merci pour ton commentaire si instructif. Si la dette du Congo est due à une fantaisie, c'est une fantaisie criminelle qui pénalise notre pays pour des dizaines d'années, voire des centaines d'années. Je crois que nos politichiens n'ont pas conscience du drame dans lequel ils plongent notre pays en hypothéquant notre avenir - notamment par le pétrole qui sert à gager la dette publique, dette publique qui ne sert pas à développer le pays car l'argent passe principalement dans les poches des "politichiens". Ils ne pensent qu'à eux et ne font pas fi de l'avenir puisque seul leur importe le présent et le luxe dans lequel ils pataugent. Entre leur égoïsme et le bien-être de tous, ils ont choisi leur égoïsme. Ils passeront ; la souffrance de notre peuple demeurera. Ils s'en fichent, vu que leurs rejetons ne connaîtront pas la souffrance et la misère, dans la mesure où ils ont accumulé des milliards de francs cfa pour les mettre à l'abri du besoin.

Rembourser notre dette par les cargaisons de pétrole garantit le développement de l'Occident ; je l'ai expliqué à la fin de ce commentaire.
Tu as été un Haut Fonctionnaire de notre pays aujourd'hui à la retraite ; tu as encore des réseaux qui te permettent d'accéder à certaines informations - d'autant plus que tu peux accéder à internet. Avoir l'information est déjà un exploit dans notre pays, raison pour laquelle nous la partageons pour faire évoluer la conscience collective et tu peux mesurer le travail abattu ; ce qui va bientôt me permettre de m'occuper d'autre chose, vu que la relève est assurée. Je dois m'occuper de ce pour quoi je suis ici bas. J'ai laissé de côté cet aspect pour ce combat. Hélas, il y a un travail plus important à faire pour l'avenir. J'ai été puni dans la chair pour l'avoir laissé de côté. Le temps arrive où je dois honorer mes engagements pris auprès de mon "employeur". Tu comprendras tout ceci plus tard. Ne Mpungu Tulendo te gardera en vie pour que tu assistes à cela. RETIENS-LE...
Le peuple va être surpris, frappé par la réaction des créanciers du Congo : il subira les mesures de rétorsion qui seront imposées à notre Etat (désormais privé car privatisé depuis longtemps par Denis Sassou Nguesso). Le FMI et la Banque Mondiale ne se préoccupent pas des peuples mais juste des intérêts de leurs actionnaires et tu dois savoir qu'ils font la plus grande partie de leurs profits auprès des dictatures africaines. L'argent, les miettes qu'on nous verse, on le présente comme des dons mais c'est faux : ce sont des prêts à des taux préférentiels. Quand l'argent est détourné, où repart-il ? En Europe ! Hélas, la dette demeure ! Ils nous prêtent l'argent que nos dictateurs détournent et ramènent en Occident. Ils récupèrent de la main du dictateur ce qu'ils font semblant de donner aux peuples. Ils gagnent deux fois. Une fois en récupérant l'argent et deux fois, en se faisant payer la dette ! 
Quand le clan Sassou & Nguesso détourne les miettes que les multinationales nous laissent, l'argent repart en Europe par des achats de villas, de voitures et de vêtements de luxe, des dépôts bancaires, etc. En fait, les dictatures africaines sont une bénédiction pour les hommes d'affaires occidentaux car ils peuvent piller nos richesses et nous plonger encore dans des dettes interminables qui nous maintiennent dans la servitude. Les puissances du monde nous exposent à subir les dictatures pour mieux freiner notre développement. C'est triste mais c'est la réalité. 
Au regard de la réussite économique chinoise, les Européens ont juré de ne pas commettre la même erreur deux fois avec l'Afrique car le développement de la Chine nuit gravement aux intérêts occidentaux - même si les hommes d'affaires européens produisent à moindre coût en Chine pour revendre très cher en Europe (or, les coûts de production ne cessent d'augmenter en Chine, poussant certains industriels à rapatrier la production en Europe...). Le problème est que la Chine s'industrialise et concurrence l'Europe et les Etats-Unis : prends juste le cas du téléphone portable, vu que la Chine produit une marque qui n'a rien à envier à Apple et à Samsung. 
Si l'Afrique se développe et s'émancipe de l'Occident, ils savent que c'est la FIN DE L'EUROPE ! La France ne peut pas survivre si le franc cfa disparaît et si ses multinationales n'ont plus accès à nos matières premières bon marché. Tu sais tout cela mais combien l'ignorent ? En entretenant les dictatures en Afrique, l'Europe entretient le sous-développement de ce continent, seule façon pour elle de maintenir son train de vie fait de gaspillage et de superflu (appelé "nouveauté") dans l'abondance. Et la meilleure façon de maintenir le continent la tête dans le sable est de gâcher, de gaspiller l'argent à des projets futiles : on doit tout faire sauf industrialiser l'Afrique - notamment subtropicale car le danger serait que nous parvenions à exploiter nos propres ressources par nous-mêmes. Prenons le pétrole, par exemple : tout est produit en Occident avec le pétrole dont seulement 20% est utilisé pour faire rouler les voitures et cela peu de gens le savent. Engrais, vêtements, voitures, ordinateurs, téléphones, matériaux de construction, etc, de nombreux produits dépendent du pétrole. Si l'Afrique exploite elle-même son pétrole, de l'extraction jusqu'à la transformation du produit fini, c'est la mort de l'industrie occidentale. Il faut donc empêcher à tous prix le développement, c'est-à-dire, l'industrialisation de l'Afrique. Et pour que cela soit possible, il faut des dictateurs peu regardants qui ne se préoccupent que de la conservation de leur pouvoir. Les puissances du monde ne se soucient nullement du sort de l'Afrique dont ils projettent de réduire la population par tous les moyens : aliments empoisonnés, vaccinations, virus, appauvrissement généralisé. A ceux qui doutent, je rappelle juste que les Indiens d'Amérique ont été décimés avec des couvertures imbibées par le virus de la variole contre lequel ils n'avaient pas de défense immunitaire...

Ceci est la seule manière logique de comprendre la dictature. En effet, l'Occident a les moyens de stopper la dictature en Afrique - juste en bloquant la signature des dictateurs qui ne peuvent plus engager la moindre action au nom de leur Etat. La France peut paralyser Sassou en bloquant juste le franc cfa. Elle ne le fait pas ! Pourquoi ? Parce que Denis Sassou Nguesso défend ses intérêts - plus que ceux du Congo ! Denis Sassou Nguesso va organiser son coup d'Etat électoral après le coup d'Etat référendaire et vous verrez la France faire semblant de bouder mais au final, elle reconnaîtra la victoire de son serviteur. A moins qu'elle ait trouvé un autre serviteur...
Les dictateurs contrôlent les peuples et l'Occident contrôle l'Afrique en contrôlant et manipulant les dictateurs. POUR L'EUROPE, TENIR LES DICTATURES, C'EST MAINTENIR L'AFRIQUE EN SERVITUDE. Tant que nos dictatures seront au service des puissances du monde, l'Afrique restera pauvre et dominée. Les indépendances ne sont que la poursuite de l'oeuvre de colonisation avec un gouverneur noir. Le "président" est assis dans le fauteuil du gouverneur au palais du gouverneur colonial pour la poursuite de l'oeuvre coloniale. Ceux qui n'ont pas vu la vidéo de mon passage à l'assemblée nationale au mois de janvier peuvent la visionner pour comprendre le lien entre la dictature du dehors (puissances du monde - notamment, la France) et la dictature du dedans au Congo incarnée par Denis Sassou Nguesso et le Parti Congolais des Tricheurs.

Jésus a dit que la Vérité affranchit. Si nous sommes encore liés par les chaînes de l'esprit, c'est que nous n'avons pas encore conduit nos peuples sur le sentier étroit de la VERITE. C'est un combat difficile qui se gagnera par le travail persistant de l'esprit.
Ton cadet,
                  LION DE MAKANDA, MWAN MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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24 février 2016 3 24 /02 /février /2016 13:01
CONGO/DETTE : A QUOI A DONC SERVI L'INITIATIVE PPTE SI LA DETTE FLAMBE A NOUVEAU ?
CONGO/DETTE : A QUOI A DONC SERVI L'INITIATIVE PPTE SI LA DETTE FLAMBE A NOUVEAU ?

COMMENTAIRE : Nous surveillons à la fois la situation politique et conjoncture économique de notre pays. La dimension politique est dramatique parce que nous vivons une dictature qui dure depuis près de vingt ans avec monsieur "Petit" Sassou Nguesso et en matière économique, il s'agit de surveiller l'évolution de la dette, le prix du baril de pétrole, notre ressource principale, les efforts de diversification de l'économie et la progression de la pauvreté. Nous redoutons une grave crise tant politique qu'économique. En effet, lorsque l'endettement devient le seul moyen de survie d'un pays, il faut redouter que celui-ci ne fasse l'objet de coupes drastiques du FMI et de la Banque Mondiale. Un pays comme le Congo ne pourra pas compter éternellement sur la générosité chinoise, la Chine ayant ses propres problèmes à résoudre. Le peuple souffre déjà, lui qui court derrière le gaz et le carburant quand les plus pauvres ne courent pas simplement après un morceau de moungouélé. Pour éviter la faillite, nous allons finir par nous livrer pieds et poings liés au FMI et à la Banque Mondiale. Le Congo n'aura pas un autre choix si nous ne parvenons plus à payer les dettes personnelles de "Petit" Sassou Nguesso. Oui, Denis Sassou Nguesso est un nain politique qui manque tellement d'inspiration qu'il mérite d'être appelé "PETIT" SASSOU NGUESSO !

Un article du Point nous indique qu'en dépit du bénéfice de l'option PPTE qui a fait baisser la dette du Congo par un simple jeu d'ardoise magique, celle-ci a repris sa course en avant en passant de 34,14 en 2012 à 51,56 en 2015. Et elle n'est pas prête de s'arrêter.

Le Congo doit diversifier son économie au lieu de ne compter que sur le pétrole. La rente pétrolière a une rentabilité fluctuante. Et il faut ajouter que la ressource fissile n'est pas éternelle. Elle finira par s'épuiser un jour plongeant le pays dans un marasme économique. La chute conséquente du prix du baril de pétrole affaiblit fortement notre économie et cela se ressent déjà à plusieurs niveaux. On ne pourra pas indéfiniment continuer à construire des babioles infrastructurelles à la gloire de notre roi : si les créanciers perdent toute confiance en notre pays, il deviendra de plus en en plus difficile de s'endetter - même en gageant le pétrole. Le sort aurait pu nous épargner les soucis économiques, déjà que nous vivons une situation politique catastrophique. Hélas, les malheurs s'additionnent, vu que le Congo n'a pas les moyens économiques qui lui auraient permis de maîtriser sa politique économique. Les Chinois finiront par devenir les nouveaux maîtres du Congo. Après les Français qui nous tiennent par la laisse du franc cfa...

Denis Sassou Nguesso fait tout pour le moment, question de sauver les apparences avec quelques édifices publics - sans jamais penser à doter le pays d'un tissu industriel important mais nous savons que cela ne pourra pas durer indéfinement. Nous finirons par regretter pourquoi nous n'avons pas profité d'industrialiser le pays quand tout allait bien. En fait, cet énergumène, ce "Petit" Sassou Nguesso, se maintient au sommet de l'Etat pour une seule raison : il n'a pas fini son travail de démolition commencée depuis 33 ans ! Lorsque la cupidité, qui a pour rejetons la corruption, le détournement, la concussion et le vice, devient la seule politique d'une nation, la faillite est la seule chose prévisible. Et lorsque viendra la faillite, le Congo entrera en guerre civile...

 

LION DE MAKANDA, MWAN MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

Afrique - Dette publique : attention, danger !

DATA. Les performances économiques de l'Afrique en impressionnent plus d'un. Pourtant, une menace se profile à l'horizon : celle de l'endettement. État des lieux. 

Le niveau moyen des dettes de l'Afrique subsaharienne est passé de 25,2 % du PIB en 2010 à 34,5 % en 2015. De quoi se rappeler les années 90 ?
 
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Les pays africains risquent-ils une nouvelle crise de la dette ? Depuis quelques mois, nombreux sont ceux qui tirent la sonnette d'alarme. Preuves à l'appui, les indicateurs économiques de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI). Les chiffres sont éloquents : le niveau moyen des dettes de l'Afrique subsaharienne est passé de 25,2 % du PIB en 2010 à 34,5 % en 2015. Pour la même année, l'endettement public est estimé à 44 % du PIB, alors qu'il était de 31 % trois ans plus tôt, hors Nigeria et Afrique du Sud. Les plus inquiets se remémorent les années 1990 où bon nombre de pays africains ont eu recours à des politiques de restructuration drastique pour éponger leurs dettes.

 

Parmi les mauvais élèves, la République du Congo : sa dette publique atteint 51,6 % aujourd'hui, alors qu'elle avait été ramenée à 34 % en 2012 grâce au PPTE (initiatives pays pauvres très endettés, permettant un abaissement du déficit public pour le rendre « soutenable »). Même cas de figure pour le Ghana, qui passe de 49 % en 2012 à 69,6 % en 2015 et la Zambie qui atteint 32 % contre 25,5 % il y a trois ans.

 

Même si les dettes restent nettement inférieures à celles contractées par les pays européens, ces emprunts pèsent sur les budgets des pays africains. Noël Tshiani, haut fonctionnaire à la Banque mondiale, cite l'exemple de la République démocratique du Congo : « Le niveau d'endettement est élevé pour ce pays ayant tout à reconstruire et dont 88 % de la population vit en dessous du seuil minimum de pauvreté et près de 80 % de la population active se trouve au chômage. » Seules les dettes de l'Afrique du Sud, du Rwanda ou encore de l'Éthiopie restent stables.

Vers une crise de la dette ?

Le premier facteur de risque provient de la baisse du coût de nombreuses matières premières. Le prix du baril de pétrole atteint difficilement les 30 dollars et le cuivre connaît une baisse de 33 % par rapport à 2015. Résultat : les déficits risquent de se creuser d'ici à l'année prochaine, selon Standard & Poor's. L'agence de notation a notamment alerté le Gabon, le Congo-Brazzaville et l'Angola, et a placé le Nigeria sous surveillance. « Les pays africains sont extrêmement dépendants des recettes provenant de quelques matières premières. Ce sont les conséquences d'une faible diversification de l'économie », commente Noël Tshiani.

Deuxième inquiétude : le taux de croissance. « La croissance d'un pays lui permettra de subvenir à ses obligations, à condition qu'elle soit suffisamment positive pour accroître sa capacité à rembourser », explique l'économiste. Mais, selon les indicateurs de la Banque mondiale, le continent connaît son taux le plus faible depuis 2009 : celui-ci se limite à 3,7 % en 2015 au lieu des 4,6 % affichés en 2014. En cause : les instabilités politiques et sécuritaires bloquent une partie des investisseurs.

 

Le dernier facteur de risque est lié à la forte dépréciation de certaines monnaies. Pour l'année 2015, le cedi ghanéen, le rand sud-africain, le dollar zimbabwéen ou encore le kwanza angolais se sont effondrés.

Quelles perspectives ?

Face aux asymétries monétaires, les pays d'Afrique sont encouragés à étudier les avantages de l'émission internationale d'obligations d'État pour obtenir un financement stable. « Le Kenya et d'autres pays ont cependant démontré que les marchés obligataires en monnaie locale étaient susceptibles de recueillir des capitaux pour des projets d'équipement, bien que le volume des émissions soit encore faible », déclare le haut fonctionnaire.

Second point rassurant : l'endettement des pays en développement reste en dessous du seuil de 40 % fixé par le FMI. Une majeure partie des pays d'Afrique dépend d'emprunts à taux concessionnels, à savoir des taux très bas. « Ces prêts peuvent aller de 0 à 5 % de taux d'intérêt et être assortis de périodes de remboursement allant jusqu'à 50 ans », conclut Noël Tshiani. Ainsi, pas de lourds remboursements avant la prochaine décennie, ce qui laisse le temps aux pays d'Afrique d'élaborer des stratégies de croissance et de muscler leur fiscalité de façon rigoureuse et transparente.

Sourcehttp://afrique.lepoint.fr/economie/afrique-dette-publique-attention-danger-23-02-2016-2020585_2258.php

CONGO/DETTE : A QUOI A DONC SERVI L'INITIATIVE PPTE SI LA DETTE FLAMBE A NOUVEAU ?
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22 février 2016 1 22 /02 /février /2016 20:16

Convoqué par la DGST depuis quelques jours, le candidat à l'élection présidentielle Général Jean Marie Michel Mokoko a choisi de se présenter de lui-même auprès du procureur général de la cour suprême, monsieur Akiéra - un nom qui indique la tribalisation de l'injustice à tous les niveaux dans notre pays. Il a ensuite été entendu par la Direction Générale de la Sécurité du Territoire, la tristement célèbre DGST, avant d'être racommpagné par la gendarmerie à son domicile. Oko Ngakala peut reperdre le demi-centimètre que son arrogance lui avait allongé après son passage à téléfoufou pour retrouver son mètre-vingt. Court sur pattes et court sur idées, notre injusticier par procuration doit trouver autre chose pour écarter le Général Jean Marie Michel Mokoko dont la candidature à l'élection présidentielle du 20 mars 2016 donne des sueurs froides au lieutenant Denis Sassou Nguesso.

Nous ne devons plus entendre parler que d'élection, de projets, de campagne, d'équipes, de remaniement de la CENI pour la rendre vraiment indépendante, de listes électorales, etc. Les élucubrations du genre : "X prépare un coup d'Etat en étant candidat à l'élection présidentielle du 20 mars" doivent s'arrêter.

Non, Guy Brice Parfait Kolélas ne prépare pas un coup d'Etat en étant candidat à l'élection présidentielle du 20 mars 2016. Suffit déjà que son frère lui mette des bâtons dans les pieds pour essayer de le faire tomber. Non, le Général Jean Marie Michel Mokoko n'a pas l'intention de conquérir le pouvoir par les armes mais par les urnes - puisqu'il est candidat à l'élection présidentielle comme André Okombi Salissa et les autres. Que chacun fourbisse ses arguments de campagne et vivement le 4 mars 2016, une triste date qui nous rappelle le petit Hiroshima de 2012 - comme si elle avait été choisie exprès - pour convaincre le peuple au travers d'une campagne que nous voulons loyale, juste et sans accrocs.

Il ne s'agit pas de soutenir pour soutenir mais il faut que les candidats nous donnent de bonnes raisons de les soutenir. En attendant les programmes et projets de société des uns et des autres, nous défendrons tout compatriote qui sera injustement attaqué dans le dessein d'invalider sa candidature. Nous regrettons que Paulin Makaya n'ait pas pu participer à cette élection présidentielle, lui, qui avait commencé à écumer le pays avant tout le monde. Nous ne cesserons jamais de dénoncer son arrestation arbitraire sous un fallacieux prétexte.

Il semble que dix candidats aient pu réussir à s'inscrire à l'élection présidentielle du 20 mars 2016 au Congo-Brazzaville. Nous n'avons pas la liste de la totalité des candidats mais les principaux sont connus. Battre Sassou à son propre jeu ne sera pas une mince affaire d'autant que, maître du jeu, il ne veut pas le rendre jeu propre mais qui sait ce qui peut se passer dans la tête d'un électeur - même lorsqu'on lui a donné un petit billet de 1000 francs cfa pour boire la bière le soir ?

Nous sommes à l'heure d'internet. Il est possible de recevoir les résultats du dépouillement dans un temps record. A moins que l'armée ne vienne comme à son habitude emporter les urnes pour imposer la voix des armes à la place de la voix du peuple...

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

LE GENERAL JEAN MARIE MICHEL MOKOKO EST CE SOIR CHEZ LUI
LE GENERAL JEAN MARIE MICHEL MOKOKO EST CE SOIR CHEZ LUI
LE GENERAL JEAN MARIE MICHEL MOKOKO EST CE SOIR CHEZ LUI
LE GENERAL JEAN MARIE MICHEL MOKOKO EST CE SOIR CHEZ LUI
LE GENERAL JEAN MARIE MICHEL MOKOKO EST CE SOIR CHEZ LUI
LE GENERAL JEAN MARIE MICHEL MOKOKO EST CE SOIR CHEZ LUI
LE GENERAL JEAN MARIE MICHEL MOKOKO EST CE SOIR CHEZ LUI
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21 février 2016 7 21 /02 /février /2016 10:48
Le Général Jean Marie Mokoko, chez lui, à Brazzaville. L'homme est cerné mais encore libre pour le moment...

Le Général Jean Marie Mokoko, chez lui, à Brazzaville. L'homme est cerné mais encore libre pour le moment...

Au Congo, sur le tatami politique, Denis Sassou Nguesso déroule sa dictature militaire - sans tenir compte du moindre obstacle depuis 1997. Il a voulu changer de Constitution du 20 janvier 2002 ; contre tout son peuple, il l'a fait. Il a voulu être candidat à l'élection présidentielle ; il l'est. Logiquement, il doit faire en sorte pour cette élection "accélérée" ou "avancée" se déroule - sans fausse note. Lorsqu'on est sûr de gagner une course, on n'empêche pas les autres de se mettre sur la ligne de départ ou on ne les empêche pas tout simplement de concourir. Toute manoeuvre dans ce sens conduirait à penser que Denis Sassou Nguesso sait qu'il ne peut pas gagner l'élection présidentielle face à certains challengers. EN TOUT CAS, PAS AU PREMIER TOUR. S'il a du cran, il doit accepter d'affronter le Général Jean Marie Michel Mokoko, Parfait Kolélas, Okombi Salissa, Munari et les autres dans les urnes. Déjà que des plaintes s'élèvent du fait que de nombreux Congolais n'ont pas pu être inscrits sur les listes électorales et que la CNEI n'est rien d'autre que la CONEL rebaptisée, il ne faudrait pas ajouter à tout cela la lâcheté de vouloir empêcher certains candidats de prendre part à l'élection présidentielle congolaise.

Que Denis Sassou Nguesso arrête de s'acharner sur le Général Jean Marie Michel Mokoko. C'est sa crédibilité qui est en jeu - même si nous savons que pour conserver sa drogue, le pouvoir, Denis Sassou Nguesso, l'addict, est prêt à toutOn ne fait pas un coup d'Etat en se présentant à une élection présidentielle. Lui qui se dit chaud de coeur et froid d'esprit ne doit pas céder à la panique mais prouver qu'il lui reste encore un peu de dignité. Ses manoeuvres politiciennes pour gagner l'élection présidentielle en écartant tout candidat de poids sont visibles comme un poing sur le nez. Celui qui se dit "homme des masses" (affamées) ou bâtisseur infatigable (de la corruption, du détournement ou de la misère du peuple) ne doit pas redouter d'affronter ses adversaires !

Vous aurez compris que Denis Sassou Nguesso n'aime pas affronter des candidats dignes de ce nom car il redoute d'être battu en dépit de ses listes truquées, de sa CONEL renommée CNEI et de tout le reste. "Petit" (au lieu de DenisSassou Nguesso sait que le peuple ne l'aime pas et ce désamour traverse la Léfini. Il se maintient donc au sommet de l'Etat en violant le peuple. LA DICTATURE EST UN VIOL DE LA VOLONTE COLLECTIVE. Cela ne peut plus durer. Le tueur infatigable d'Edou croit qu'il lui est possible de tenir en respect ses esclaves indéfiniment pour leur imposer sa volonté ad vitam aeternam, quitte à verser les larmes et le sang des autres pour se faire obéir. COMME TOUT VIOL, CELUI DE LA LIBERTE EST VIOLENCE, VIOLENCE ABSOLUE. Petit Sassou Nguesso ne peut donc compter que sur l'intrigue pour écarter ses rivaux les plus sérieux et sur la violence physique pour contenir les aspirations du peuple. Juste une question : JUSQU'A QUAND ? Cela dure depuis plus de quarante ans parce que le peuple est divisé. Cependant, il arrivera que la déception parcourt le nord, le sud, l'est et l'ouest pour unifier ce peuple. Qu'elle gagne l'armée et la chute du tyran sera encore plus rapide. C'est juste une question de temps. Qui vivra, verra...

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

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19 février 2016 5 19 /02 /février /2016 23:59
LE DESORMAIS CANDIDAT SASSOU VEUT ARRETER LE CANDIDAT MOKOKO

Ca y est ! Le tueur infatigable l'a dit ! Il est candidat à l'élection présidentielle du 20 mars 2016. Devant un parterre de jeunes acquis à sa cause, le monstre d'Edou, Denis Sassou Nguesso a dit ouvertement qu'il était candidat à sa propre succession. Pour cela, il doit arrêter le Général Jean Marie Michel Mokoko car il y a un Général de trop ou si l'on veut, un nordiste de trop. Dès lors que l'on s'affirme un peu trop comme challenger face à Denis Sassou Nguesso, le mokilimbembé de l'Alima voit rouge. Tout, sauf son pouvoir. Or, Mokoko s'en approche dangereusement. Il faut donc l'arrêter. L'arrêter net pour qu'il ne soit pas candidat à l'élection présidentielle. Le montage vidéo quil'incrimine suffira pour l'arrêter pour tentative ou projet d'atteinte à la sûreté de l'Etat; ensuite, il suffira d'invalider sa candidature. Le plan est parfait.

Ce soir, la confusion règne. Certains prétendent que le Général Mokoko serait déjà arrêté après s'être rendu de lui-même ; d'autres prétendent que juste la décision de l'arrêter a été prise. A cause de la veillée qui aura lieu chez le ministre Itoua, le GRAND NDZOKOU aurait décidé d'ajourner l'arrestation du Général Jean Marie Michel Mokoko à dimanche - pour ne pas provoquer la panique des populations qui ont par ailleurs déjà déserté le centre-ville...

Oko Ngakala, le cerbère de Sassou, s'est montré menaçant à l'encontre du Général Jean Marie Michel Mokoko. L'"injusticier" par procuration va encore frapper. Peut-être même que c'est déjà fait. Denis Sassou Nguesso ne veut pas que quelqu'un vienne lui gâcher la joie de la victoire au premier tour. Tout doit être fait de sorte que les désirs de "Demi-dieu" Sassou se réalisent par devers les hommes, les volontés et les lois.

Nous vous l'avons dit : le pouvoir se prend par les armes qui se cachent derrière les urnes. Même le vote est au bout du canon. Les armes vont parler. Peut-être pas seulement celles des mercenaires du tueur infatigable Denis Sassou Nguesso. Il se trame des choses que même Denis Sassou Nguesso ne maîtrise pas. Avec Denis Sassou Nguesso, le Congo n'a qu'un avenir : LA DICTATURE...

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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19 février 2016 5 19 /02 /février /2016 15:06
URGENT : LES DESSOUS ET LES CONSEQUENCES DE L'ARRESTATION PROGRAMMEE DU GENERAL MOKOKO

Nous sommes le 19  février 2016. Une élection présidentielle est prévue au mois de mars, le 20 de cette année. Il nous reste donc exactement moins d'un mois, février ayant 29 jours. Denis Sassou Nguesso, le tueur infatigable ne s'est pas encore proclamé candidat à sa propre succession. En moins d'un mois, il faudra trouver le temps de battre campagne, de préparer la logistique, etc ! Certains s'interrogent :

- Comment feront certains candidats pour battre campagne s'ils ne peuvent pas quitter Brazzaville, dans la mesure où ils sont en résidence surveillée ?

- Les candidats issus du sud du pays auront-ils la latitude d'aller battre campagne au nord comme Denis Sassou Nguesso pourra le faire au sud avec les moyens de l'Etat congolais ?

- Combien de temps durera donc cette fameuse campagne à l'élection présidentielle ? Une semaine ? Deux semaines ? Elle risque d'être la campagne la plus courte de toutes les élections présidentielles de notre pays : on ne peut pas parcourir tout le pays en une petite semaine - même pas en deux. Sassou, lui a l'hélicoptère pour le faire...

Nous venons d'apprendre que Jean Dominique Okemba, Ibara et Engombo étaient venus à Paris pour demander la tête du Général Jean Marie Michel Mokoko à François Hollande. Certains prétendent que François Hollande aurait dit : NIET. Cependant, nous savons que l'homme ne parle pas russe. De toute façon, François Hollande, à l'instar de De Gaulle, ne parle que le langage des intérêts de la France. Des rumeurs font état du soutien du Général Jean Marie Michel Mokoko par certains officiers français qui feraient pression à l'Elysée. Nous verrons ce qu'il en est quand Denis Sassou Nguesso enverra ses mercenaires aller arrêter Mokoko après avoir envoyé une deuxième convocation à laquelle le Général ne répondra pas.

Demain ou après-demain, si les mercenaires du PCT décident d'attaquer le Général Jean Marie Michel Mokoko pour avoir refusé de se rendre à la convocation de la DGST, internet et les sms pourraient être coupés pour que le tueur infatigable Denis Sassou Nguesso agisse à l'insu de la communauté internationale.

Brazzaville court le danger de sombrer encore une fois dans un déluge de feu à partir de demain. Cependant, que le régime de Brazzaville sache que lorsque le pouvoir tentera de mettre Mokoko aux arrêts avec l'aide de ses mercenaires, il y aura riposte de ses partisans et de ses frères d'armes.

Pourquoi Jean Marie Michel Mokoko est-il venu compliquer le plan de Denis Sassou Nguesso ? Parce que paraît-il, le monstre d'Edou avait passé un accord avec les candidats de l'opposition (certainement pas tous) pour qu'il soit élu au premier tour en promettant des postes à certains. Le Général Jean Marie Michel Mokoko n'entre pas dans cette combine : il faut donc l'écarter à tout prix pour que Denis Sassou Nguesso soit le seul représentant du nord. C'est la raison de l'apparition d'une certaine vidéo qui circule sur internet en ce moment. Je ne crois pas que Parfait Kolélas et André Okombi Salissa soient aussi dans cette sombre combine de se coucher quand Denis Sassou Nguesso annoncera son hold-up électoral.

Au Congo, je vous l'ai dit : il n'y a pas de solution politique. Il n'y a qu'une solution militaire. Les armes vont encore parler et dicter leur loi aux urnes. On se demande même s'il y aura élection ce 20 mars 2016. Que le ciel protège le Congo.

En complément de cet article, sachez que le centre-ville de Brazzaville se vide de ses habitants et que la candidature de Jean Marie Michel ne serait pas encore officialisée dans la mesure où elle doit d'abord être avalisée par le maire de Brazzaville qui doit regarder le dossier. Or, à ce que l'on me dit, il ne serait pas à Brazzaville - comme par hasard. Quant à la candidature de Denis Sassou Nguesso, ses serviteurs passent à la télévision le supplier de ne pas les abandonner car sans lui, ils ne sauraient plus comment se procurer de l'argent facile. Sassou alias le grand ANGOUALIMA est prié de présenter sa candidature au plus tard demain mais s'il ne le fait pas, on pourra toujours ajourner l'élection présidentielle. Au Congo, Denis Sassou Nguesso est demi-dieu. Tout est possible pour lui car pour lui tout est permis...

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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18 février 2016 4 18 /02 /février /2016 11:05
LOGIQUE POLITIQUE : SASSOU VEUT ETRE LE SEUL CANDIDAT ISSU DU NORD DU CONGO

Il faut trouver la logique qui objective la réalité en lui donnant un sens au lieu de crier à la "bêtise humaine" car ce qui se déroule dans les faits répond à une stratégie, à une intention ou un objectif qu'un esprit averti peut saisir. Même un monstre qui se bat pour ses intérêts donne un sens à ses actes.

Ce à quoi nous assistons depuis l'entrée en lice du Général Jean Marie Michel Mokoko par son intention déclarée de se présenter à l'élection présidentielle ne peut se comprendre si vous ne faites pas une lecture nord-sud de la politique de notre pays. Le clivage nord-sud est là, bien renforcé depuis 1997. Sassou a déjà partitionné le pays en deux camps essentiels en estimant que le sien, le nord, ne peut être représenté que par lui. Tout nordiste, notamment celui qui a participé à l'exercice du règne du nord sur le sud, est un traître, un homme à éliminer, à écarter. Si Jean François Ndenguet demande que l'on reçoive le Général Jean Marie Michel Mokoko, à coups de pierres, c'est pour indiquer qu'à leurs yeux, aux yeux du pouvoir du PCT et aux yeux de Denis Sassou Nguesso, cet homme passe pour un traître. La question que le régime de Brazzaville se pose à propos de Jean Marie Michel Mokoko est la suivante : Comment un conseiller de Sassou - même s'il a démissionné par intérêt personnel - (et on se demande quel genre de conseil il prodiguait) - qui est du nord, peut vouloir aujourd'hui affaiblir le pouvoir du nord ? Au nom de quel peuple ? Quel peuple ? Pour le PCT, le peuple, c'est la partie nord du pays et rien de plus. La politique au Congo se résume grosso modo comme une rivalité hégémonique entre deux blocs : nord/sud, deux camps irréconciliables, qui se battent pour occuper le poste de gouverneur noir du Congo, un poste laissé vacant par le gouverneur français lors de notre pseudo-indépendance. Sinon comment comprendre que Jean Dominique Okemba, le colonel Chryst Bonaventure Engombo, Philippe Obara et autres sont à Paris depuis le 16 février 2016 ? Les ordres viennent de la France ; nous le savons tous. Ce qui se trame se fait avec la bénédiction de l'Elysée. 

Denis Sassou Nguesso veut être le seul candidat du nord pour ne pas disperser les voix de son "peuple" qui ne peut que voter pour lui. Or, si le nord a plusieurs autres candidats, cela ne l'arrange pas : il faudra écarter Le Général Jean Marie Michel Mokoko et André Okombi Salissa pour les mêmes raisons. Ensuite, on s'attaquera aux gros calibres du sud comme Guy Brice Parfait Kolélas qui a déjà évité le piège de se présenter comme candidat du MCCDI. Le pouvoir cherche toujours les voies et moyens pour invalider sa candidature. Pascal Tsaty Mabiala ne sera pas du reste.

En fait, le boycott faisait les affaires de Denis Sassou Nguesso. Nous avons compris cela et poussé l'opposition à le battre à son propre jeu - en se battant pour le rendre jeu propre. En 2009, il n'y avait pas de candidature du RDPS, du MCCDI, de l'UPADS, du RDD, de MAR. Sassou avait des candidats de pacotille en face de lui ; il pouvait se déclarer vainqueur sachant à l'avance que personne ne lui contesterait le verdict non pas des urnes mais celui du Parti Congolais des Tricheurs ou PCT. D'ailleurs, la tricherie est en marche avec la mise en place de la CENI contrôlée uniquement par des pions du régime.

Avec l'apparition des candidats sérieux du nord comme le Général Jean Marie Michel Mokoko ou André Okombi Salissa, Denis Sassou Nguesso sait qu'il ne peut pas gagner au premier tour et par ailleurs, il sait qu'il peut véritablement perdre le pouvoir. Les docteurs en agitation politique du PCT ou Parti Congolais des Tricheurs ont le sommeil court, ces jours-ci. Il faut abattre l'adversaire. On attaque tous azimuts, d'un côté Mokoko convoqué demain 19 février 2016 par la Direction Générale de la Surveillance du Territoire, de l'autre Parfait Kolélas avec une affaire qui n'a rien à voir avec l'élection présidentielle.

Ceux qui ont visionné la vidéo dans laquelle le Général Mokoko s'exprime en 2003 ont bien vu que même lui fait une analyse du pays en clivage nord/sud. Qu'on ne vienne pas nous dire que c'est une pure vue de l'esprit du Lion De Makanda. La république comme unité n'existe pas ; la république comme domination d'une partie du pays sur une autre, oui ! Personne ne peut se proclamer démocrate s'il n'a pas compris cela, s'il ne se rend pas compte de la nature du mal qui mine le Congo. Même le plus grand médecin ne peut guérir une maladie mal diagnostiquée.

Si défendre à tout prix la dictature est une bêtise humaine, alors, c'est une bêtise que les crocodiles du PCT vont assumer sans vergogne - même si la France leur demandait de reculer. Sassou essaie d'ailleurs de manipuler l'Elysée en faisant croire que les intérêts français seraient en danger au Congo s'il quittait le pouvoir. C'est tout le contraire : LA FRANCE RISQUE GROS EN CAS DE CHANGEMENT DE REGIME APRES UNE VIOLENTE INSURRECTION POPULAIRE MATEE DANS LE SANG. Les Congolais se souviendront alors du soutien, du permis de tuer accordé par François Hollande à Denis Sassou Nguesso. Si les Congolais finissent par réaliser que c'est la France qui est contre toute initiative politique dans leur pays, il est à redouter que le désamour soit brutal. De toute façon, en 2017, les Français originaires de l'Afrique vont commencer à voter en tenant compte de la politique EXTERIEURE de la France. Si les Africains ne peuvent pas changer la donne politique en Afrique à cause de la France, alors, oui, il faudra d'abord changer la donne en France. Nous avons déjà commencé à battre campagne pour cela. Ce coup-ci, il risque d'avoir de grosses surprises à l'élection présidentielle française.

Il faut tout faire pour barrer la route au tueur infatigable de l'Alima. Nous n'avons certainement pas tout essayé. Je ne redirai pas mon point de vue ici car vous le connaissez. Pour mieux asphyxier l'éléphant, nous demandons à Mabio Mavoungou d'être candidat à l'élection présidentielle. Ainsi qu'à Charles Zacharie Bowao. Le professeur Marion Mandzimba aussi devrait se porter candidat ; il l'avait annoncé bien avant tout le monde. Si la logique est celle d'empêcher que Denis Sassou Nguesso d'avoir des voix, alors, que tous ceux qui peuvent prendre des voix y aillent. S'il y a un deuxième tour avec Denis Sassou Nguesso, il sait qu'il ne gagnera pas. Encore faille-t-il passer le premier tour.

Nous pensons que les armes vont dicter leur loi aux urnes car autrement, Denis Sassou Nguesso n'a aucune chance de se maintenir à la tête de l'Etat. Au commencement, le pouvoir était au bout du canon pointé sur le peuple des rebelles, à la fin, le pouvoir sera encore au bout du canon. La politique ne se fait pas seulement chez nous dans les urnes mais d'abord et surtout par les armes. La paix elle-même est une menace à peine voilée de faire parler les armes en cas de troubles populaires. 

Le Général Jean Marie Michel Mokoko, Guy Brice Parfait Kolélas, André Okombi Salissa, Pascal Tsaty Mabiala, entre autres, doivent tenir bon. Sassou veut leur empêcher de battre campagne mais ils ne doivent pas obtempérer : ils sont libres de leurs mouvements.

 

LION DE MAKANDA, MWAN MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

LOGIQUE POLITIQUE : SASSOU VEUT ETRE LE SEUL CANDIDAT ISSU DU NORD DU CONGO
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16 février 2016 2 16 /02 /février /2016 22:51
CONGO : LES ARMES MENACENT A NOUVEAU DE DICTER LEUR LOI AUX URNES

Je reviens de Valence. Mon neveu avait besoin de moi ; je suis allé l'assister dans une situation délicate qui ne m'a pas laissé beaucoup de temps à l'instruction de notre peuple. Je remercie au passage maître Silvère Idourah Ngoundos : ma richesse, la seule que je possède et que je recherche, c'est la fraternité patriotique avec les Congolais de tout le Congo ; je rêve de partager une autre vision du Congo avec mes compatriotes. Tout le reste est sans importance. SI TOUTES NOS DIFFERENCES POUVAIENT SE METTRE AU SERVICE DE NOS RESSEMBLANCES, AU SERVICE DE CE QUE NOUS AVONS EN COMMUN, IL Y A LONGTEMPS QUE LE CONGO SERAIT DEVENU UNE NATION PROSPERE.

Les amis n'arrêtaient pas  de m'informer, de me dire ce qui se passait dans notre pays. Aujourd'hui, j'ai appris que le Général Jean Marie Michel Mokoko n'a pas pu se rendre à Pointe-Noire parce que les mercenaires du régime PCT lui ont empêché d'embarquer, de prendre son vol pour Pointe-Noire. C'est une violation flagrante du droit de circuler librement dans notre pays. Hélas, nous le savons tous : une dictature ne s'accommode pas du droit et de la vraie justice ; il faut imposer la justice et le droit. EVEN BY FORCE. 

Mon ami Mbochi qui m'a souvent critiqué m'a laissé un long commentaire que j'ai beaucoup apprécié. Quelque chose finit tôt ou tard à entrer en révolte contre le MAL ABSOLU.

L'entendement et la raison n'ont pas d'ethnie. Tout comme la VERITE, LA JUSTICE ou LA COMPASSION. Une nation qui fait des droits de tous les privilèges de quelques-uns est une nation vouée à mourir. Ceux qui nous divisent tuent notre pays en assassinant notre avenir. Ceux-là sont nos ennemis, les ennemis du peuple qu'ils s'emploient à diviser pour mieux nous dominer tous.

On doit vivre pour soi mais savez-vous que vivre pour soi, c'est d'abord vivre pour les autres ?

Notre classe politique est corrompue ; je le concède à Mbochi. Il y a forcément quelques-uns qui font exception mais combien sont-ils ? SI FAIRE DE LA POLITIQUE, C'EST MANGER AVEC LE DIABLE, ALORS TOUS CEUX QUI MANGENT AVEC LUCIFER FONT LA POLITIQUE DU DIABLE. Si nous voulons former de véritables hommes politiques, l'ethnie doit cesser de jouer à l'ENA et à SCIENCES PO.

J'ai reçu un message alarmant d'un de mes amis prêtres en retraite spirituelle en ce moment que je me permets de partager avec vous car je l'estime important :

"Une forte angoisse traverse mon âme. Je préfère te la partager. Je suis en retraite spirituelle. Je sens que les leaders de l'opposition pourraient être arrêtés après le 20 mars, d'une manière inattendue. Ils doivent être prudents pour pallier à tout dérapage de ce genre.

Je te le dis. Je viens de demander à une femme de prier. Elle aussi voulait m'appeler pour me dire la même chose.  Sassou doit à tout prix passer au premier tour. La femme m'a dit qu'elle sent la présence d'armes partout pour contenir toute action de contestation.

Je ne trouverai ma paix intérieure que lorsque cette angoisse parviendra aux oreilles des leaders de l'opposition. Faire de la politique, c'est prévoir".

Il est évident que les armes vont à nouveau parler pour imposer leur loi aux urnes. Denis Sassou Nguesso ne peut pas gagner l'élection présidentielle du 20 mars 2016 au premier tour. Il usera du pouvoir de proclamation pour s'arroger la victoire. UNE VICTOIRE ILLEGITIME POUR LEGITMER L'ILLEGITIME. Il y aura forcément contestations. Les armes pourront alors sortir et parler. Des indiscrétions m'ont révélé que des armes étaient stockées dans les magasins d'étrangers. Un pouvoir qui arme des étrangers pour qu'ils massacrent son propre peuple est un pouvoir indigne. Cela ne peut plus durer trop longtemps. La force appelle la force. La force ne respecte que la force. La force ne s'incline que devant la force. Si nous parlons démocratie, sachez que le PCT lui ne parle que le langage de la force. NE JAMAIS OUBLIER UN SEUL INSTANT QUE NOUS VIVONS AU CONGO SOUS UNE DICTATURE MILITAIRE. IL NE RESTER QU'UNE CHOSE A FAIRE : MILITARISER LA DEMOCRATIE SI NOUS NE VOULONS PAS SUBIR LA DICTATURE MILITAIRE PENDANT PLUS D'UN SIECLE !

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU.

 

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14 février 2016 7 14 /02 /février /2016 10:29
URGENT : LES MERCENAIRES DE SASSOU ENCERCLENT LA MAISON DU GENERAL MOKOKO

Même la pire des racailles sait qu'un jet de pierres ne suffit pas à tuer un colosse déterminé, résolu. Croire qu'en brisant les vitres de la voiture du Général Jean Marie Michel Mokoko, ils allaient le faire renoncer à l'élection présidentielle, les conspirationnistes du PCT n'ont pas vu juste. C'est juste du gangstérisme honteux, pouilleux, une stratégie de caniveau à deux sous. Comme nous l'avions prévu, les docteurs en agitation politique du PCT, après leur échec de l'aéroport de Maya-Maya visant à intimider le Général Jean Marie Michel Mokoko afin qu'il retire sa candidature à l'élection présidentielle du 20 mars 2016, allaient tenter autre chose - surtout quand nous apprenons que Denis Sassou Nguesso s'est rendu personnellement à Makoua pour demander aux sages de la région à inciter le Général Jean Marie Michel Mokoko de retirer sa candidature à l'élection présidentielle du 20 mars 2016. Il a évidemmet essuyé un échec car les sages lui dit qu'ils ne le feraient pas !

Le régime a opté à l'encerclement du domicile du Général Jea Marie Michel Mokoko afi de l'étouffer en l'immobilisant - d'autant que son passage au palais des Congrès a été un succès : il y avait plus de gens dehors que dedans.

Nous vous l'avons dit : une stratégie qui ne fonctionne pas doit être revue et corrigée. Celle du boycott faisait les affaires de Denis Sassou Nguesso, une très forte abstention le favorisant nécessairement puisque seuls ses partisans allaient voter. En demandant à la classe politique de notre pays, nonobstant tout ce que l'on peut penser de l'illégalité de la démarche, de battre Sassou à son propre jeu (cf. articles en ligne pour preuves), nous avons bien fait.

Nous recevons des coups de fil qui font allusion à une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux dont l'objectif est tout trouvé : accuser le Général Jean Marie Michel Mokoko de fomenter un coup d'Etat. Cette vidéo est un grossier montage qui date de 2003 ; Sassou et Mokoko s'en sont déjà expliqués depuis longtemps. Elle a resurgi hier pour créer un contexte favorable à l'arrestation ou/et à l'invalidation de la candidature de Jean Marie Michel Mokoko. Attendez, que les docteurs en agitation politique du PCT trouvent autre chose de plus crédible : on ne fait pas un coup d'Etat en étant candidat à un élection présidentielle, en sollicitant les suffrages du peuple ! Pourquoi, le régime des crocodiles du PCT est-il brusquement à court d'idées ? Ils ne sont pas payés pour inventer des allégationns qui ne tiennent pas debout !

Nous attirons l'attention de la communauté internationale et de la France dont le chef d'Etat François Hollande soutient le tueur infatigable d'Edou : Si vous n'arrêtez pas votre bête à temps, ce coup-ci, ce n'est pas seulement le Congo qui va s'embraser mais toute la sous-région. Il est à se demander si la colère des peuples enchaînés depuis trop longtemps laissera indemnes les intérêts français. Les risques sont énormes car la situation pourrait devenir incontrôlable. NOUS DEMANDONS A LA FRANCE D'ARRETER SA CREATURE. LA FRANCE DOIT STOPPER NET LA FOLIE MEGALOMANIAQUE DE FRANKEINSTEIN-SASSOU. Dans leur intérêt puisque les grandes puissances ne parlent que le langage des intérêts...

 

LIO DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

Brazzaville : la police
encercle le domicile
du général Mokoko,
candidat présidentiel
Le général Jean-Marie Michel Mokoko, à Bangui, le 7 mai 2014

L’air est lourd ce samedi soir 13 février à Brazzaville, et pas seulement en raison de la touffeur nocturne et d’un ciel orageux. Peu après 21 heures locales, des policiers en civil et en uniforme ont pris position au centre-ville, entre l’hôtel Mikhael et l’ambassade du Congo Kinshasa voisin. Visé par ce dispositif, le général Jean-Marie Michel Mokoko compte les heures, entouré de sa vieille mère et de sa garde rapprochée sur le qui-vive.

C’est bien de lui qu’il est question, à 2,5 km de là, au palais présidentiel. Le général Jean François Ndenguet, qui dirige la police, s’y entretenait avec le chef d’Etat, Denis Sassou-Nguesso, du sort à réserver à cette figure de la vie politique congolaise devenue en quelques jours leader populaire de l’opposition – et bête noire du régime. Jean-Marie Michel Mokoko, joint au téléphone par Le Monde Afrique, se veut « serein », même s’il ajoute que « tout peut arriver dans ce pays » qu’il espère diriger, s’il est élu lors de l’élection présidentielle prévue le 20 mars. « Je n’ai pas peur de mourir ou d’être arrêté par des serviteurs de dirigeants qui considèrent ce pays comme leur patrimoine personnel », dit-il.

Relever un « Congo ruiné »

Quelques heures plus tôt, dans l’après-midi, il était acclamé par un aréopage d’opposants à Denis Sassou-Nguesso, de sympathisants et de curieux entassés dans la salle comble de conférences du palais des Congrès de Brazzaville. Le général, qui était encore conseiller du président chargé des questions de paix et de sécurité le 3 février, date de sa démission, et qui représentait l’Union africaine en Centrafrique, a officialisé sa candidature à l’élection présidentielle. Son allocution a présenté les grandes lignes de son programme, et dénoncé le « désarroi du peuple et le désespoir de la jeunesse », « l’accentuation de la pauvreté », « la dégradation de l’Etat ».

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/02/14/brazzaville-la-police-encercle-le-domicile-du-general-mokoko-candidat-presidentiel_4865029_3212.html#q1H6FW9Tv7DyStFs.99

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13 février 2016 6 13 /02 /février /2016 13:45
PPCI : Communiqué sur la plainte de Sassou contre les biens mal acquis

P.C.C.I

Plateforme Congolaise contre la Corruption et l’Impunité

Dénoncer la Corruption et l’Impunité au Congo et en Afrique ; Saisir les juridictions compétentes nationales et internationales ; Solliciter une réparation des préjudices ; Contribuer à la bonne gouvernance au Congo

28, Avenue des Fleurs, 45130 Saint-Ay

Tél. : 06 64 88 01 59

Mail : plateformeanticorruptioncongo45@yahoo.fr

http://pcci.wordpress.com/

 

Communiqué sur la plainte de Sassou contre les biens mal acquis

 

La P.C.C.I vient de prendre connaissance de la tentative de la dictature congolaise de bloquer la plainte dite des biens mal acquis, instruite actuellement en France qui l’oppose à l'association Transparency International qui s’est constituée partie civile.

Le chef de l'État congolais est soupçonné d'avoir  détourné, à son profit et au profit de sa famille et de son clan, une partie substantielle de la rente pétrolière.

De nombreuses organisations congolaises et françaises soutiennent activement cette affaire dont la Plateforme Congolaise contre le Corruption et l’Impunité. Dès 2009, Elle était impliquée dans le dépôt de la plainte simple et de la coalition qui soutenait activement cette plainte.

 

En effet, dans un communiqué laconique, le Général Sassou Nguesso a chargé son avocat Me Viala, de déposer une plainte contre X auprès de la justice française, pour tentative d’escroquerie au jugement. Il estime que les pièces sur lesquelles est fondée la plainte ne sont pas conformes à la réalité.

Il estime en outre et je le cite « Nous avons pleine confiance en la justice française pour mener à bien les investigations nécessaires »

 

Quelques remarques.

 

  • Pourquoi monsieur Sassou aurait-il attendu près de 10 ans, les enquêtes étant devenues internationales, pour se rendre compte à ses yeux, que cette plainte des biens mal acquis n’était qu’une escroquerie ?

 

  • S’il fait confiance aujourd’hui en la justice française pour « …mener à bien les investigations nécessaires », dans la plainte des biens mal acquis (contenu de son communiqué), pourquoi parle-t-il alors de souveraineté congolaise dans le cas de l’affaire des 252 disparus du Beach ?

Pourquoi ne laisse-t-il pas cette même justice faire ces mêmes investigations nécessaires pour savoir ce que sont devenus ces 252 jeunes congolais ? Il ne trouve la justice française crédible que quand il espère que celle-ci lui rendra service.

 

  • Des avancées significatives ont été faites dans le cadre de l’instruction (saisie immobilières des biens du clan, affaire Gunvor en Suisse où le fils Christel Sassou est au centre de fortes présomptions de manipulations financières douteuses et maintenant le scandale Jean Veiga…)

 

  • Est-ce un hasard si ce dernier, proche ami de Sassou et de Christel Sassou dans l’affaire Gunvor, directeur du ranch présidentiel d’Oyo ait été interpellé au Portugal par la brigade financière ?

Les enquêteurs portugais secondés par leurs collègues français ont mis à jour un véritable circuit international de blanchiment d’argent avec des liens vers l’Europe, l’Afrique et le continent américain.

 

En tout état de cause

  • Sassou Nguesso a procédé à un coup d’état constitutionnel afin de remplacer son ancienne constitution de 2002, trop restreignant à son égard, par une nouvelle qui lui permet d’exercer un troisième mandat mais aussi qui lui assure une immunité totale après la cessation de ses fonctions (article 10 et 96).

 

  • Même avec cette impunité intérieure, le dictateur congolais continue à trembler à l’idée de devoir rendre des comptes à la justice internationale en cas de départ du pouvoir. Cette plainte contre X en est une preuve, Il est fort à parier que sa prochaine rebuffade politique serra en direction de l’affaire des 252 disparus du Beach, autre dossier sensible en instruction auprès de la justice française.

 

Tenant compte de ce qui précède, La P.C.C.I :

 

  • Apporte son soutien sans faille à la justice française et à toutes les organisations qui luttent pour que la lumière soit faite dans cette affaire.

 

  • Réaffirme son attachement à l’émergence d’une nouvelle république après une transition qui doit obligatoirement solder tous ces grands contentieux financiers et criminels et qui mette la lutte contre l’impunité au centre de la vie publique.

 

  • Regrette que l’opposition et la société civile n’utilisent pas plus souvent ces dossiers judicaires pour demander des comptes au monarque et à son système. Les congolais doivent s’approprier les revendications sous-tendues par ces graves dysfonctionnements afin de chasser la dictature.

 

Le jugement ultime est celui du peuple et de l’histoire.

 

 

Paris, le 08 Février 2016

 

Pour la P.C.C.I

 

TOUNGAMANI Benjamin

 

Organisation régie par la loi de 1901, J.O du 10/11/2007 sous le n°20070045

 

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