Le Congo se trouve dans une situation de banqueroute qui pourrait pousser l'ethnie-Etat à vendre les sociétés étatiques comme la SNE pour l'électricité et la SNDE pour l'eau - même si les syndicats soulignent ce que nous avons déjà signalé il y a des années : on ne peut tout vendre car certains secteurs d'activité sont d'une stratégie sécuritaire vitale pour une nation. Comment peut-on privatiser un port ou un aéroport au risque de laisser entrer dans votre territoire des substances dangereuses ou des terroristes ? Comment laisser la gestion de l'eau que boit le peuple à des sociétés privées ? Comment peut-on privatiser en la divisant au passage la Société Nationale d'Energie ? Déjà qu'on laisse les étrangers gérer les boulangeries au point où le pain vendu aux Congolais ne ressemble plus à rien ou qu'on permette aux Chinoises de vendre les beignets dans nos rues quand on connaît la propension de ces yeux bridés à vendre de faux aliments et de faux médicaments.

Un pays où pullulent des étrangers qui tiennent toute l'économie est en danger car son pays ne retient pas les devises qui vont toutes à l’étranger. L'armée congolaise peut être empoisonnée par des Libanais qui lui livre le pain si le Congo avait des problèmes avec le Liban. Il y a des moments où je me demande s'il y a un Etat responsable dans notre pays car en dehors de la la sécurité qui veille à la conservation du pouvoir, il n'y a plus rien. On vend aux Congolais du faux pondu, du faux Coca, du faux vin, de la viande avariée, des faux médicaments, du poisson pourri, etc, sans que l'Etat ne réagisse pour protéger les citoyens. J'en profite pour attirer l'attention de nos compatriotes qui ne doivent plus rien acheter de comestible chez les Asiatiques, les Libanais et les Arabes : ils s'empoisonnent avec leur propre argent !

Deux syndicalistes des salariés de la Société Nationale d'Energie sont passés à Radiofoufou pour dénoncer le fait que l'Etat aimerait diviser la SNE, en la privatisant au passage. En écoutant les syndicalistes qui ont été choisis pour leur appartenance à l'ethnie-Etat pour brider tout mouvement de grève, je me suis intéressé à Oko Engambé plus qu'a Jogo - même si j'ai déploré qu'au quartier Jacques Opangault, on reçoit les salariés de la SNE avec des grenades. Oko Engambé, certainement un originaire d'Oyo, nous apprend que le document de division et de privatisation serait sorti de la présidence de la république et que les syndicats l'auraient refusé parce qu'il était non signé - sans nous dire ce qu'ils auraient fait s'il était signé de la main noire et cupide de Denis Sassou Nguesso. L'auraient-ils accepté s'il était signé du gangster en chef des crocodiles de l'Alima ?

Oko Engambé estime que des gens agissent sur le dos du chef du gang des barbares, Denis Sassou Nguesso. Oko Engambé dédouane le monstre de l'Alima comme s'il n'était pas capable d'une telle forfaiture, alors qu'il a déjà fait bien pire en privatisant nos ports et nos aéroports - ce qui pourrait être une stratégie pour s'attirer les bonnes grâces du monstre de l'Alima. De deux choses l'une : ou le document est de la présidence de la république ou il ne l'est pas. Qu'il soit signé ou pas, là n'est pas le problème car Denis Sassou Nguesso a l'habitude de prendre des mauvaises décisions sans les signer ou les revendiquer pour éviter d'en assumer la responsabilité si le projet échoue.

Si Denis Sassou Nguesso n'est pas à l'origine de l'intention de diviser et de privatiser la SNE, pourquoi ne dément-il pas ou ne blâme-t-il pas une telle initiative ? Si c'est usage de faux, la présidence est en droit de demander des comptes pour faux usage de faux en saisissant la justice. Or, le monstre de l'Alima se terre dans un silence parlant. Est-ce normal ? Il faut que la présidence de la république dise clairement que ce projet n'est pas de son ressort. On prend des parents, on met à la tête des directoires, ils foutent la merde sans jamais être punis et derrière on prend prétexte pour privatiser.

Le FMI veut que le Congo s'attaque à la corruption. Ce ne sera pas possible car ils sont tous corrompus et corrupteurs depuis le sommet de l'Etat jusqu'au petit fonctionnaire de l'ethnie-Etat. C'est mission impossible !

Si Denis Sassou Nguesso ne prend pas le courage d'assumer sa forfaiture, que les soi-disant vautours se défendent car si l'ordre de la présidence n'a pas été signé, ce sont eux qui passent aux yeux du peuple pour des faussaires, des traîtres. Oko Engambé les accuse même de coup d'Etat - ce qui est très grave ! Ils doivent prendre leur courage et dire si oui ou non le projet vient de la présidence de la république, c'est-à-dire, de Denis sassou Nguesso, lui-même. Ce qui pousserait la présidence à sortir de son silence.

Oko Engambé écarte Denis Sassou Nguesso des vampires du Congo. Il est Mbochi d'Oyo. Normal qu'il défende son kani. Mais la question que je pose à Oko Engambé : connaît-il vraiment Otsombé, le fils de Satan ? Quoi qu'il en soit, les Congolais sont en droit de savoir qui veut diviser et privatiser la SNE. Quelqu'un doit éclairer les 300000 abonnés de cette société et ses 2400 salariés - sans oublier tout le peuple congolais. Le ministre de tutelle accusé de coup d'Etat par Oko Engambé ne peut pas rester tranquille dans son fauteuil : il nous doit la vérité. VERITE EBIMA !

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

Les agents du FMI sont en pourparlers avec la dictature de Brazzaville depuis un moment car le Congo est un pays en banqueroute depuis plus de deux ans, la chute du cours du baril n'expliquant pas la totale insolvabilité du pays qui n'a pas justifié ce que Sassou a fait avec les centaines de milliers de milliards de francs cfa engrangés en vingt ans de règne. Même les économies réservées aux générations futures ont été dilapidées. Si vous prenez un budget moyen de 5000 milliards de francs cfa, en vingt ans, vous avez le chiffre astronomique de 100.000 milliards de francs cfa et cela hors prise en compte de l'économie informelle qui représente 90% de toute l'économie selon un ancien directeur financier de la présidence de la république ! 

L'ethnie-Etat du mastodonte a prouvé au monde entier que c'est un Etat mensonger qui diffuse des mensonges d'Etat. La dette du Congo est abyssale si on prend en compte toutes ses composantes intérieures et extérieures.

Prêter à l'ethnie-Etat du Congo revient à prêter a un Etat insolvable. Juridiquement, le FMI serait passible d'être poursuivi par les tribunaux internationaux pour gaspillage des fonds internationaux. Le Congo a gagé tout son pétrole. Or, le pétrole est son principal revenu et on voit mal le Congo développer un secteur hors pétrole avec le gang des barbares voleurs et tueurs à sa tête. Vingt ans, voilà vingt ans que le Congo n'a même pas de l'eau potable ! Et qui peut croire que Denis Sassou Nguesso peut développer ce pays qu'il a ruiné et plongé dans un déclin qui risque de devenir irréversible ? Personne ! Si le FMI prête tout de même de l'argent, des milliards de dollars au Congo dans ces conditions, c'est qu'il y a anguille sous roche...

Quand on entend dire qu'il ne s'agit pas de sauver un homme, en l'occurrence, Denis Sassou Nguesso mais un pays, le Congo - en prêtant de l'argent à l'Etat privé du Congo, je suis choqué d'entendre de tels propos. Denis Sassou Nguesso a fait la preuve d'un homme à la fois inconscient et incompétent, inconscient parce qu'il a préféré s'endetter au lieu d'utiliser les fonds propres du Congo pour développer le pays et pire, il a volé toutes les recettes du pays comme un cleptomane - cleptocrate. Incompétent, parce que le monstre de l'Alima n'a aucun projet sérieux pour le Congo - sinon prolonger son pouvoir pour mourir sur le trône et laisser le Congo dans la merde dans laquelle il l'a plongé.

Nous avons dit que les conditions n'étaient pas réunies pour que madame Lagarde jette dans le gouffre de la cupidité maladive de Denis Sassou Nguesso les milliards de dollars des Etats membres du FMI. Cet argent ne servira pas à développer le secteur économique non pétrolier, par la création des usines mais à acheter des armes et à payer des mercenaires qui iront massacrer de pauvres innocents kongos dans le Pool. On ne résout pas la dette par la dette, surtout une dette qui ne servira pas à générer de la plus-value mais juste à conforter une dictature. Pour sauver le régime moribond de Denis Sassou Nguesso, il faut lui donner les milliards de la communauté internationale ; pour sauver le Congo, il faut le débarrasser de Denis Sassou Nguesso et de son système de pillage d'Etat. LE CONGO EST UNE CLEPTOCRATIE. Et je pèse mes mots !

En prêtant au Congo, madame Christine Lagarde ajoute une corde sur le cou déjà asphyxié d'une république royale bananière. Sassou est comme un alliage fait de cupidité, de vol, de mensonge et de violence enrobés de mégalomanie. Si l'argent pouvait sauver le Congo, notre pays n'aurait eu besoin de personne pour s'en sortir : avec une population d'à peine 4 millions d'habitants - même pas si on enlève les étrangers qui nous envahissent chaque jour que Dieu fait, il y a eu entre les mains de Denis Sassou Nguesso de quoi transformer le Congo en petit Qatar de l'Afrique centrale. Or, il a volé tout l'argent du Trésor Public et laissera une grosse ardoise de dettes au Congo.

LE PROBLEME NUMERO UN DU CONGO, C'EST DENIS SASSOU NGUESSO !

IL N'Y A QU'UNE SEULE FACON D'AIDER LE CONGO : LE DEBARRASSER DU SYSTEME CLEPTOCRATE INSTAURE PAR LE GANG DES BARBARES DE L'ALIMA AVEC DENIS SASSOU NGUESSO COMME CHEF DE GANG..

Si avec l'argent que vous lui donnerez, il faille qu'il rembourse d'abord ses créditeurs, que lui restera-t-il ? Juste de quoi payer ses esclaves et ses serviteurs pendant quelques années, le temps d'attendre rondement sa mort. Hélas, nous savons quel est l'objectif poursuivi par les banquiers mondiaux de la City, du FMI et de la Banque Mondiale : coloniser à nouveau l'Afrique au travers de la dette - après l'avoir pillée. Si madame Lagarde veut sauver le Congo, alors que le FMI finance des usines au Congo, des écoles d'ingénieurs, d'architecture, l'agriculture, l'électricité, l'eau, bref, l'industrialisation du pays car donner de l'argent liquide à Denis Sassou Nguesso revient à liquider définitivement le Congo.

En somme, il s'agit bien de sauver un pays nommé le Congo et ses populations de l'étau d'un homme nommé Denis Lucifer Sassou Nguesso.

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

Madame Warrior Aleezeal, merci d'avoir laissé un commentaire encourageant sur le blog après avoir lu l'article " L'IDENTITE DU CHRIST ET DE SON VERITABLE PEUPLE A UNE IMPORTANCE CAPITALE ! ". Je vais prendre le temps d'écouter votre longue vidéo de plus de quatre heures pour m'édifier de votre enseignement.

Chère madame, il faut lire le livre d'Enoch, l'Ethiopien, le seul livre retrouvé intact à Qumran avec huit exemplaires entiers comme si même le temps n'avait pas d'emprise sur lui et qu'il tenait à passer à la postérité comme tel. Ce qui atteste de l'influence de ce Noir (car Ethiopien, c'est le nom qui désignait le plus sombre de tous les Noirs) dans toute la spiritualité du monde biblique car c'est lui qui décrit le ciel avec une clarté étonnante en passant en vue tous ses niveaux. S'il a été retrouvé entier parmi les textes des grottes, c'est qu'il appartenait au canon essénien de l'époque et qu'on le portait en haute estime. Son livre qui traite de l'origine du MAL sur terre a été d'abord recopié du guèze à l'égyptien avant d'être recopié par les Juifs qui vivaient sur la terre noire de Canaan. En effet, il a d'abord été écrit en guèze. On prétend qu'Enoch a écrit un livre plus important qui contenait de nombreux textes attribués à Moïse. Ce Noir, cet Enoch, était plus grand que Moïse qui était aussi Noir, plus grand qu'Abraham qui fut un Koushite, c'est-à-dire, un Noir. Enoch est l'homme à qui les anges déchus demandent de plaider leur cause auprès du Créateur - c'est dire l'importance et la sainteté du personnage, de ce prophète qui reçut la révélation des mystères célestes des anges, de ce septième dans la chaîne des générations en partant d'Adam. Et il n'étonne personne qu'Enoch soit Noir parmi les patriarches.   Pourquoi est-il important de lire ce livre ? Parce que c'est le premier livre qui décrit la présence d'un fils de l'homme dans le ciel auprès de Dieu et la description qui en est fait montre qu'il s'agit d'un Noir. Son influence sur le messianisme juif sera inimaginable - tout en réitérant qu'il décrit l'origine du MAL sur terre, un fléau introduit par des anges déchus sous la conduite de Shamazya.

Le déluge n'a pas détruit les géants puisque les Hébreux trouvent des géants, les Anakims sur la terre de Canaan (Nombres 13 : 33). Et Canaan n'a pas été maudit puisque ses fils furent les fondateurs de grandes villes de l'âge biblique avant l'arrivée des leucodermes dans la région. Je vous épargne que Nemrod qui fonda Babylone fut un Noir, les étrangers ne vinrent que plus tard en envahisseurs, à la fin de la grande glaciation, pendant qu'ils fuyaient devant la montée des eaux de l'océan car le réchauffement de la terre fondait la glace. Voici ce que dit  Cheikh Anta Diop dans "Nations nègres et culture"  à propos des populations qui peuplaient une partie du monde biblique : 

" Maspéro néglige d'ajouter que Cham, Mizraïm, Canaan, Koush, sont des Nègres d'après cette même Bible qu'il cite ; ce qui veut dire une fois de plus que l'Egypte (Cham, Mizraïm), l'Ethiopie (Koush), la Palestine et la Phénicie d'avant les Juifs et les Syriens (Canaan), l'Arabie Heureuse d'avant les Arabes (Pout, Havila, Saba), étaient occupées par des Nègres ayant créé des civilisations millénaires en ces régions, et qui étaient restées en relation de parenté. "
On ne parle pas de Juifs avant le retour d'exil à Babylone où s'est opéré un métissage des captifs. Il n'est donc pas étonnant qu'ils ne soient pas bien reçus par ceux qui étaient restés sur place.

Les Hébreux étaient au départ une des tribus des Noirs de Canaan : les linguistes ont en effet démontré que l'hébreu et le phénicien sont deux dialectes de la même langue, le cananéen (lire Martin Bernal, Black Athena). Esaïe n'a-t-il pas dit que l'hébreu était la langue de Canaan ? Qui est Canaan sinon le descendant de Cham et le père de Sidon qui fonda la ville éponyme de Sidon ? Ceux qui furent déportés à Babylone étaient noirs (voir image ci-dessus). Les fresques murales perses le montrent très bien. La Bible est donc notre histoire puisque la présence des Noirs couvrait l'Egypte, Canaan, l'Arabie, Sumer et bien au delà en Inde. Et il est attesté que les Noirs  ont apporté la spiritualité au monde. Les Noirs ont aussi créé les premières villes et ce que l'on nomme civilisation. Si la Grèce a apporté la civilisation, à savoir les sciences, les arts, la philosophie et l'écriture à l'Europe, il est bon de rappeler qu'elle reconnaît avoir tout reçu de l'Egypte, KMT, la terre du KiMunTu. C'est un Noir qui fonda la première ville de Grèce, Thèbes.

Pour revenir à Enoch, c'est le premier homme qui est passé dans le monde céleste vivant, alors que même le Christ est obligé de passer par la mort quand il vient sur terre. Les spécialistes savent que Jésus a beaucoup tiré du livre d'Enoch dans ses enseignements. La tradition estime qu'il est devenu au ciel un archange, le chef de tous les anges en la personne de Metatron où l'ange de la face, celui qui marche avec Dieu, c'est-à-dire, le vice-régent du ciel. C'est extraordinaire qu'il soit prédit que ce Noir, ce membre de la race primordiale reviendra à la fin des temps. Nous avons donc des Noirs au ciel et pas des moindres en Enoch et en Jésus. La seule race qui a besoin du salut car elle est en danger d'extermination par les descendants des Néphilims est la race noire.

Les Hébreux étaient noirs. Bien entendu, avant le métissage avec des étrangers car ils succombèrent aux charmes de femmes étrangères en commençant par Moïse, le prophète de la loi qui eut deux femmes noires selon Flavius Josèphe qui écrivit sa propre Torah. Ils étaient en fait des Cananéens. Les Juifs actuels blancs qu'on trouve en Israël sont des Khazars qui ont embrassé le judaïsme au 7ième siècle de notre ère. Ils n'ont aucune goutte de sang en commun avec Abraham qui vient de Chaldée habitée à son époque par des Koushites.

Jésus a trois ancêtres noires parmi les femmes qui entrent dans sa généalogie : Ruth, la Moabite, Rahab, la Cananéenne et Bethshéba, la Hittite descendant de Heth, fils de Canaan, la mère de Salomon.

Flavius Josèphe était le fils de Matatthias, un des grands prêtres qui jugèrent et condamnèrent Jésus avec Anne, Caïphe et les autres lors d'une réunion nocturne du sanhédrin. Il eut le privilège de voir celui qu'on surnomma Jésus et voici la description qu'il en donne dans son Halosis version slavonique traduit en anglais (de son vivant, Flavius Josèphe fit traduire sa guerre des Juifs en grec, d'où le nom Halosis de son livre) : 

“At that time also there appeared a certain man of magic power … if it be meet to call him a man, [whose name is Jesus], whom [certain] Greeks call a son of [a] God, but his disciples [call] the true prophet who is supposed to have raised dead persons and to have cured all diseases. Both his nature and his form were human, for he was a man of simple appearance, mature age, black-skinned (melagchrous), short growth, three cubits tall, hunchbacked, prognathous (lit. ‘with a long face [macroprosopos]), a long nose, eyebrows meeting above the nose, that the spectators could take fright, with scanty [curly] hair, but having a line in the middle of the head after the fashion of the Nazaraeans, with an undeveloped beard. (*Halōsis, ii.174). "

Nous allons essayer de traduire de texte de l'Halosis de Flavius Josèphe dans sa version slavonique plus descriptive :

" En ce temps-là apparut aussi un certain homme doté de pouvoir magique ... si on peut l'appeler un homme [ dont le nom fut Jésus], celui que certains Grecs appellent le fils de Dieu mais que ses disciples appellent le vrai prophète, qui est supposé avoir ressuscité des personnes et guéri toutes les maladies. Sa nature et sa forme étaient humaines, car il était un homme de simple apparence, d'âge mûr, de peau noire, de taille courte, courbé (ou bossu), une face longue, avec un long nez, les sourcils s'abaissant au dessus du nez, de sorte que les spectateurs pouvait prendre peur, avec des cheveux courts bouclés mais ayant une ligne au milieu de la tête à la mode des Nazaréens, avec une barbe peu fournie..."

Ce texte de l'Halosis de Flavius Josèphe qui fut lui-même un prêtre du sanhédrin est clair. Jésus est un noir d'un âge mûr puisqu'il mourut à l'âge de cinquante ans et non à trente-trois ans comme les Evangiles le prétendent. On peut comprendre pourquoi l'église catholique supprima certains détails - pour éviter l'embarras et l'adhésion de ses fidèles à sa fausse doctrine qui n'est pas du tout la vraie doctrine des Nazaréens ou Nazoréens ou même celle des premiers chrétiens. Cet homme descendait du roi Salomon qui était lui-même noir.

Enfin, pourquoi le Christ fut blanchi ? Pourquoi on le transforma à partir d'icônes de noir à blanc ? A cause du racisme et de l'esclavage qui fit la richesse de l'Occident en servant de marchandise et de travailleur gratuit. L'église catholique qui cautionna la traite des Noirs savait très bien que Yéshuah était un des leurs. Il fut une époque où lui et ses disciples étaient tous peints en noirs. Si le Christ était Noir, le salut venait des Noirs et c'était inconciliable avec l'esclavage - même si on s'appuya sur l'histoire de la malédiction de Canaan qui n'a aucun sens puisque de Canaan sortit de nombreux royaumes puissants. Comment admettre et adorer un Sauveur noir et réduire en servitude la race qui le mit au monde ? Si le sauveur de l'humanité est noir, comment justifier le racisme, la haine aveugle de la race qui engendra le Sauveur ? Conserver un Jésus noir devint idéologiquement et spirituellement intenable. On détruisit toutes les fresques qui dépeignaient un Jésus noir pour le remplacer par le Jésus blanc. Il y a une description de Jésus dans la version slavonique de la Guerre des Juifs de Flavius Josèphe - alors que les traductions française et anglaise ont biffé le passage. Et on justifia les massacres des peuples de la terre au nom de l'église et de son faux christ blanc. On justifia l'esclavage au nom de la fausse foi. En blanchissant Jésus, on fit des Blancs les membres de la race du fils de Dieu donc des "dieux" sur terre. Comme Dieu est le créateur et qu'il n'a pas à se justifier, ni à être jugé, les Blancs se mirent dans la même posture et massacrèrent les Indiens, les Aztèques, les Noirs. Ils proclamèrent que la terre entière était leur propriété. L'histoire se poursuit jusqu'à ce jour.

Quant aux Noirs, peuvent-ils accepter la vérité ? Accepteront-ils un jour un Christ noir, eux qui croient que c'est un leucoderme ? Le réveil spirituel de la race primordiale qui a donné toutes les autres est capitale car le salut vient des CHAMITES. Ne vous laissez pas impressionner par tous les progrès techniques de l'Occident qui s'accompagnent de la destruction de cette belle planète où il est très facile d'atteindre l'éveil spirituel. Le corps humain est un terreau créé par Dieu pour la croissance de l'esprit mais désormais l'ENNEMI l'utilise pour éteindre l'esprit en faisant croire à l'homme qu'il n'y a rien d'autre que la chair. Bien sûr que la chair n'est pas à négliger et Dieu a pourvu l'abondance dans ce monde pour cela. Hélas, l'argent est devenu une prison qui a détourné l'abondance - de sorte que l'humanité meurt de faim sur une terre si riche. Fasse que les yeux de nos frères s'ouvrent et qu'ils sortent enfin de la prison spirituelle dans laquelle ils ont été plongés.

 
En priant, en adorant un Jésus blanc, les Noirs ont fait de l'homme blanc leur dieu - sans le savoir. La preuve, ils attendent tout de lui et ont oublié que leurs ancêtres ont créé des civilisations prospères avant l'arrivée des descendants des Néphilims sur cette terre.

Nous sommes les héritiers de Kongo Dia Ntotila. En 1482, l'empire kongo comptait 3 millions d'âmes qui vivaient heureux et en paix. On reconnaît l'arbre à ses fruits et les fruits de la foi ancestrale furent l'amour du prochain, la non exploitation de l'homme par l'homme, une société harmonieuse où l'on éduquait les enfants pour qu'ils ressemblent à nos ancêtres qui vivaient comme Dieu l'avait ordonné en plaçant sa loi dans leur ADN -alors qu'aujourd'hui, on éduque nos enfants pour qu'ils ressemblent aux leucodermes, à ceux qui nous ont massacrés, nous ont vendus comme du bétail, à ceux qui continuent à piller nos pays et à vivre à nos dépens derrière le franc cfa. L'Occident accentue chaque jour qui passe sa fascination sur les Noirs - ce qui retarde l'éveil. Quelqu'un m'a dit hier que nous étions, nous Noirs, le peuple de Deutéronome 28. Si tel est le cas, il est temps de revenir à la religion de nos pères, à l'observation stricte de ses lois qui préconisaient aussi de se méfier des étrangers qui nous ont volé notre histoire, notre religion et notre Dieu car le Créateur n'a créé que le Noir ; les autres sont le produit de la procréation.

Il est temps de lire l'ancien Testament comme notre histoire et non comme une histoire d'étrangers car même le dieu El qui entre dans le nom Israël est un dieu du panthéon cananéen, une divinité bien noire.

                    LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

Sur les réseaux sociaux, on ne parle plus que de ça. De la convocation d'un certain Général par Obara à la DGST où il serait resté jusqu'à minuit, certains supputant qu'il aurait passé la nuit dans les locaux de la DGST. Il a pu y être convoqué pour des tas de raisons comme boire un verre de whisky avec son ami Philippe Obara. Qui sait ? Comme le petit peuple n'a pas toute l'information, il spécule en rongeant son os : c'est une conversation téléphonique écoutée en tout irrespect des droits à la vie privée qui aurait été à l'origine de cette convocation. Il aurait été surpris en pleine conversation de préparation d'un coup d'Etat selon la dernière rumeur. Le Général Nianga Mbouala, l'autre morceau de la conspiration, attendrait chez lui qu'on vienne l'interroger. Surréaliste. Comment deux Généraux au coeur du système, deux proches de Denis Sassou Nguesso, qui savent que le régime possède un système d'écoutes téléphoniques généralisées peuvent programmer un coup d'Etat au téléphone - sans s'inquiéter de rien ? C'est très peu crédible. Ils peuvent se retrouver pour parler à l'abri des oreilles indiscrètes - autour d'un bon plat de ngoki dans un salon privé. Denis Sassou Nguesso n'a-t-il pas convaincu Ali Bongo qu'il espionnait tous les appels téléphoniques entrant et sortant du Congo ? Comment en se sachant écoutés, les deux Généraux auraient-ils quand même pris la peine d'évoquer un projet de coup d'Etat au téléphone ? Cela n'a pas de sens.

On peut convoquer un Général à la DGST pour des tas de raisons. Denis Sassou Nguesso n'a confiance en personne. Même pas en Kiki, Coco ou Caca. Tout le monde est filé, écouté, tout courrier lu avant d'être délivré. Et cela se sait. Un bon dictateur se doit d'être au courant de tout, de tout et de rien. Dans une telle ambiance, la suspicion s'installe très vite et on évite certains propos. Pourtant, nombreux sont les observateurs qui prétendent qu'un coup d'Etat serait en préparation au Congo car l'atmosphère s'y prête. Il est vrai que même si un cabri renversait Denis Sassou Nguesso aujourd'hui, le peuple applaudirait le cabri. Encore faille-t-il avoir les moyens et la logistique qui vont avec un tel programme. Il me semble que toutes les ambitions sont en berne, en attendant la disparition du grand ndzokou. Qui peut en ce moment de banqueroute aigüe se permettre d'hériter d'une dépouille comme nation ? Quelle est cette ambition assez folle d'elle-même pour oser affronter le monstre de l'Alima, Otsombe ?

Et si c'était juste Jean Dominique Okemba qui casse du sucre sur le dos de ses amis pour les écarter à la course au trône du royaume - en attendant son heure de gloire ? N'est-ce pas lui, l'homme qui murmure à l'oreille de l'éléphant et qui lui dit quand il faut manger ou pas, quand il faut sortir ou pas,quand il faut voyager ou pas ? Si le Général Jean François Ndenguet est l'épine dorsale de la dictature, Jean Dominique Okemba en est son oreille la plus fine et la plus fiable. Il tient la place de l'accusateur auprès de Sassou. Il est comme Satan auprès de Dieu.

Non, l'ethnie-Etat connaît les limites à ne pas franchir au risque de se faire déchiqueter par le peuple aux aguets. Donner le spectacle d'un régime où la confiance ne règne plus ne ressemble pas au comportement en vigueur au sein de l'ethnie-Etat. On n'enferme pas un Mbochi comme ça. Un Téké, un Makoua, oui. La solidarité mbochie doit être au dessus de tout car si le système s'écroule, ils le paieront tous. Et cela, ils le savent, les éléphants, les hyènes, les crocodiles et les chacals et les vautours. Alors, la question à se poser est la suivante : qui peut et veut renverser le mastodonte de l'Alima ? Il est vrai qu'à la tête de ses cinq mille gardes républicaines, Nianga Mbouala le pourrait. Cependant, Sassou vient de se doter d'un chef d'Etat Major spécial à la présidence de la république pour le doubler et le contrôler. Il aurait suffi de l'évincer de son poste mais Denis Sassou Nguesso préfère avoir Nianga Mbouala dans les pattes pour le surveiller. L'homme aurait refusé un poste à l'ambassade du Liberia, préférant même que Sassou le limoge mais ce n'est qu'une rumeur de plus.

Certes, tout est propice à un putsch. Seulement, de telles opérations ne doivent pas être osées si le moindre pourcentage d'échec existe ! Il faut 100% de certitude ! Qui possède une telle certitude ? On croit toujours qu'une telle chose ne peut provenir que d'un très gros poisson mais qu'on se rappelle que Daddis Camara, un simple capitaine, avait damé le pion à des généraux en Guinée. Je vous entends me dire d'ici mais la Guinée n'est pas le Congo.

Denis Sassou Nguesso sait qu'il peut ne pas payer tout le monde - sauf ceux qui gardent et protègent son pouvoir. Dans le crime, on doit se soutenir. N'ont-ils pas tous profité de la ruine du Congo ? Ceux qui n'en ont pas profité sont ceux qui n'étaient ni de la famille, ni du clan, ni de l'ethnie-Ethnie, ni des proches ou des complices de circonstances, des complices de toutes ethnies confondues. Quant aux autres, s'il tombe, Sassou se dit qu'il les entraînera dans sa chute. A moins qu'il ne les fauche avant. Un petit conseil, monsieur Denis Sassou Nguesso : Judas n'est pas très loin de vous. C'est souvent même un homme de confiance. Alors, ne tournez jamais le dos à personne. Même pas à un moustique ! L'histoire nous renseigne néanmoins que la solidarité ne tient que lorsqu'il s'agit de manger mais quand vient l'heure de la chute, c'est chacun pour sa peau, la fuite pour tous.

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

Sur le plan sécuritaire, le Congo n'est pas un pays sûr, loin s'en faut. Quand on a affaire à un Etat irresponsable, on peut s'attendre à tout. Cependant, de là à en faire un nid de terroristes islamistes, il y a un grand fossé à franchir. La présence de musulmans dans un pays n'implique pas automatiquement un risque de terrorisme islamiste - même s'il ne peut être totalement écarté. Aussi, entendre monsieur Thierry Moungalla pérorer sur une éventuelle menace terroriste au Congo, le pays le plus stalinien de la terre au point d'inciter les ambassades de France et des Etats-Unis à fermer leurs portes pendant une petite journée, prête à sourire et au scepticisme : il n'y a de terrorisme autre que le terrorisme d'Etat au Congo-Brazzaville, le pays le plus policier de la terre où pullulent les espions à tout coin de rue, un pays où les lettres provenant de l'étranger sont toutes lues, où les chauffeurs de taxi vous espionnent, un pays où tous les étrangers sont mis sous filature, un pays où les hôtels sont des nids à espions. Les renseignements sont très performants au Congo : la seule vraie mission de la dictature, c'est sa perpétuation. Le plus gros budget de l'Etat n'est l'éducation, ni la santé mais la sécurité. Voilà plus de vingt ans que les étrangers se mettent à carreau dans un pays où l'on vient en sandales et d'où on repart milliardaire au bout d'un an.

Si le terrorisme est défini comme une forme de violence aveugle dans le but de traumatiser un groupe, une communauté, un pays ou un continent, afin d'atteindre des objectifs politiques, économiques ou autres, il vous suffit de voir ce qu'il se passe au Congo : emprisonnements arbitraires, tortures, bombardements aveugles des populations dans le Pool - avec destruction au passage des villages, démolition des écoles et des hôpitaux, empoisonnement des sources d'eau, abattage des arbres fruitiers pour affamer les populations, enlèvements de citoyens innocents. Je vous épargne le fait que je considère la fermeture du Centre Hospitalier universitaire de Brazzaville pour des raisons financières comme une forme de torture.

Nous signalons au passage à nos lecteurs qu'augmenter la présence militaire ou policière devant une ambassade n'empêche pas un acte terroriste ; il peut juste être limité dans ses dégâts.

Les Congolais ordinaires n'ont pas la fibre terroriste - même lorsqu'ils adhèrent à l'islam par intérêt. aussi, dire qu'un Congolais de confession musulmane aurait été arrêté, nous demandons à être convaincus de sa cupabilité. Pourquoi monsieur Toto Ngakala ne s'est pas fendu d'un de ses communiqués dont il a le secret ? L'affaire nous paraît assez gravissime pour mériter de convoquer la presse à son parquet perso mais on a eu droit au silence du perroquet  d'Etat court sur pattes !

Il est vrai que les musulmans de toute la planète pullulent au Congo où ils frôlent désormais le million d'habitants avec une forte proportion de Libanais et d'ouest Africains mais ils ne sont au Congo que pour s'enrichir - même les Afghans. Un pays où il est facile de s'enrichir pour aller financer le terrorisme islamiste ailleurs mérite qu'on y vive sans se faire remarquer. Donc, si une menace terroriste existe au Congo, elle ne peut provenir que de l'Etat gangster, l'Etat assassin, l'Etat terroriste qui assassine des citoyens devant leurs enfants pour les traumatiser à vie, bref, les terroriser. AU CONGO, IL N'EXISTE QU'UN TERRORISME D'ETAT. Qu'on se souvienne des atrocités commises sur monsieur Kalakala, un proche d'André Okombi Salissa, pour ne citer que ce monsieur. De nombreuses images de tortures commises sur des Congolais relèvent du terrorisme.

On peut penser qu'en se faisant bien voir auprès des Etats-Unis et de la France, Denis Sassou Nguesso espère obtenir une facilitation de ses discussions avec le FMI. Cependant, il convient ici de demander au FMI de ne pas se rendre à Brazzaville car le pays aux dires même du régime du monstre de l'Alima n'est pas sûr. Il vaut mieux repousser à plus tard les discussions. Et nous sommes parfaitement d'accord avec le monstre de l'Alima quand il estime qu'on ne discute pas avec un terroriste, surtout un terroriste d'Etat.

Un régime qui invente une menace terroriste qui n'existe pas pourrait bien la mettre en exécution pour provoquer l'aide des puissances étrangères, une aide financière. Qu'on se souvienne de l'attentat du DC 10 d'UTA qui fut organisé à partir de Brazzaville pour le compte de la Libye. Acculé, un dictateur comme Denis Sassou Nguesso pourrait être poussé à faire n'importe quoi pour s'attirer les bonnes grâces de la communauté internationale.

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU