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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 12:17

Cher A.,

bonjour. C'est un grand plaisir de te lire à nouveau car je sais combien il est difficile d'utiliser internet au Congo. Je me demande même si cette affaire de fibre optique avance. Je sais que le prix que l'on paye au Congo pour avoir internet chez soi est exagéré. Peut-être volontairement pour éviter que certains informations et idées ne se répandent trop vite à la vitesse de la lumière ! Si presque tous les foyers au Congo pouvaient être connectés à internet comme en France, je te demande d'imaginer les conséquences. Ce n'est donc pas dans leur intérêt de démocratiser internet...


J'espère que tu es mieux installé chez toi et que tu as pu résoudre les problèmes auxquels tu as dû faire face comme l'eau et l'électricité. Je me demande si le grand B. est venu  comme cela se profilait. Je sais que tu as besoin du temps pour t'installer dans ton nouvel environnement. Bref, passons. Je vais répondre à ton mail.


L'homme de l'Alima est bien accroché à la proie Congo comme un ngoki à une antilope qu'il a saisie au cou pour l'entraîner dans les profondeurs afin de la noyer en la coulant. Il est l'homme des réseaux de toutes sortes, je dis bien de toutes sortes ! Et aussi longtemps que tiendront ses réseaux, il restera au pouvoir. Tu comprends pourquoi presque tous les présidents africains sont francs-maçons car cette secte regroupe de nombreuses autres obédiences et pénètrent  toutes les superstructures - même au sein du Vatican où le nouveau pape a viré un prête franc-maçon. Cet univers occulte  est organisé de façon pyramidale avec les illuminati comme dernier niveau. 

Le groupe Bildeberg est un niveau un peu plus élevé de la pyramide mais pas le plus élevé. En fait, ce "système de choses" est une arnaque dont le but est de parvenir à un gouvernement mondial ! Si tu savais ce qui se trame, tu deviendrais encore plus chrétien : les visions de Jean dans l'Apocalypse se réalisent déjà en partie !  Il  y a des forces visibles bien connues qui veulent réduire le monde à la servitude au travers du système bancaire mais aussi étrange que cela puisse paraître, il y a comme une force invisible qui veut détruire les banques...

Tu sais, dans l'esprit des illuminati, l'Afrique est le continent des esclaves et il doit rester en servitude : l'esclave doit servir le maître et, il se trouve que le continent des esclaves est riche ! L'esclave doit donc travailler à livrer les richesses de ses terres au maître. On ne vous donne pas le savoir, le savoir-faire, les compétences pour extraire et transformer vous-mêmes vos matières premières, tout cela, à dessein car vous n'êtes que les sentinelles de vos propres richesses pour vos maîtres. Aussi, les maîtres du monde mettent des "gouverneurs noirs" en place pour tenir les peuples, les masses des esclaves qui ne voient pas au-dessus des Sassou, Bongo, Kabila, etc, que leur véritable ennemi est ailleurs et que nos chefs d'Etat ne sont que des marionnettes.

Tu sais que si un pays ne se soumet pas, les banques peuvent le faire plier en quelques heures : il suffit de bloquer tous les comptes, tous les centres d'émission et c'est la paralysie totale. Ce sont les banques qui ont contraint Benoît XVI à la démission et cela, peu de gens le savent : les comptes du Vatican étaient bloqués, obligeant le "saint" siège à passer par une banque allemande pour faire des opérations financières. Les banques peuvent bloquer tous vos comptes bancaires, toutes vos cartes de crédit ; ce qui entraîne des conséquences incalculables - notamment quand on vit en Europe...


As-tu vu la foudre tomber sur le Vatican le jour de la démission du pape Benoît XVI ? Les médias ont fait l'impasse sur le phénomène. C'est un signe du ciel que de nombreux chercheurs de l'occulte ont cherché à comprendre. Il y a deux papes au Vatican ! Une situation insolite ! Pourquoi ? Parce que l'Eglise veut faire mentir la prophétie d'un certain saint catholique nommé Malachie qui avait prophétisé que Benoît XVI était le dernier pape avant la destruction de cette église mais attendons de voir avant d'y croire comme le ferait Saint Thomas...


Le monde arabe et le monde asiatique résistent mieux à l'influence des maîtres du monde car il y a très de peu de francs-maçons japonais ou chinois. Et ils veulent pénétrer ce monde pour mieux le dominer mais n'y arrive pas ! Tiens, sais-tu que ce sont les riches japonais qui prêtent de l'argent à leur Etat, à leur pays en cas de difficulté, de sorte que le Japon n'a pas de dette extérieure bien que très endetté ? La Chine, tu sais qu'elle prête même aux Etats-Unis dont elle est le premier créancier. Le monde arabe résiste mais est déjà infiltré par les réseaux maçonniques et autres mais à cause de l'islam et des mouvements comme les frères musulmans, il y a une forte résistance.

 

Tu sais ce que l'on dit en Chine ? : "Les Juifs vont manger le monde occidental et les Chinois vont manger les Juifs..." Au sens figuré, bien sûr ! Et cela a pour conséquence : les yeux bridés domineront le monde inéluctablement le monde. L'économie occidentale est une grosse escroquerie où les Etats laissent piller les peuples parce qu'entièrement dominés par les banques qui font n'importe quoi sans être sanctionnées. Ce sont les illuminati qui sont derrière les banques. Ceux qui  possèdent les banques dominent le monde car les banques sont devenues le coeur de ce monde puisque celui-ci ne sait plus fonctionner sans celles-ci, son sang (par l'argent qu'elles fabriquent et qui circule) et ses nerfs (comptes bancaires au travers desquels circulent le sang du monde, l'argent). Observe bien le fonctionnement de l'argent : il vient des banques et a tendance à toujours chercher à retourner chez son maître comme le sang retourne toujours au coeur qui le distribue à nouveau à tout l'organisme. Fascinant...


Enfin, l'UPADS, je ne m'y intéresse même pas car je sais ce qui s'y passe : Gamassa est un pion de longue date de Sassou tout comme Tsaty Mabiala l'est devenu aujourd'hui. Il n'y a rien à attendre de ces gens-là qui ont fermé le système puisqu'il n'y a pas de démocratie interne. S'ils entrent dans le gouvernement d'union nationale pour valider le changement de constitution comme tu me l'apprends, la traîtrise sera mise à jour et il y aura un jour des conséquences. Tout se finit par se payer ici-bas ! C'est une loi physique de l'action et la réaction.


La révolution chez nous - si on reste en l'état - ne peut venir que des "maîtres du monde" qui lâcheraient Sassou mais pour eux, c'est un bon serviteur puisqu'il les enrichit. Donc, ils ne nous aideront pas à le faire partir. SAUF S'ILS SENTENT QU'IL EST PRET A TOMBER COMME CELA A ETE LE CAS POUR MOBUTU ! Néanmoins, c'est encore un pion qui risque de le remplacer. Exemple : Mathias Dzon. Tu sais que c'est un franc-maçon et comme les autres, il a prêté serment aux puissances du monde. Sans organisation dans lequel il se retrouve et qui l'anime, le peuple ne peut rien : observe comment toutes les révolutions au Maghreb ont été récupérées. Faites les révolutions que vous voulez car eux vous finissent par vous imposer vos dirigeants mais si un peuple est vigilant, on peut déjouer ce scénario écrit à l'avance. Tu comprends pourquoi Sassou détruit tous les partis qui auraient pu galvaniser le peuple ! Le salut pourrait venir du ciel (façon de parler)...   Prions tout en agissant comme des fourmis ! Priez beaucoup car il y a des forces qui combattent pour que ce monde ne tombe pas entièrement entre les mains du diable...

 

                                                         LDM

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10 juin 2013 1 10 /06 /juin /2013 16:36

COMMENTAIRE : Lorsque des étrangers règnent sur un pays, c'est difficile de les déloger du sommet de la tour d'ivoire où en vrais parasites, ils rongent les richesses d'une nation jusqu'à l'os. Un Béninois nommé Sassou finit son règne sur le Congo dans quelques années, et, si on n'y prend garde, c'est le fils d'une Zaïroise - car telle était la nationalité de sa mère avant sa mort - qui prendra le pouvoir. D'ailleurs, la SNPC est déjà infestée de nos voisins d'en face, parents de Christel Denis Sassou Nguesso.

Le drame d'un pays commence toujours par du sang étranger qui s'arroge le pouvoir, pactise avec des traîtres à leur propre nation et commence à faire vivre un cauchemar éveillé aux vrais enfants du pays. Prenez l'exemple du Gabon : il y eut le Congolais Bongo, aujourd'hui, les Gabonais subissent le fils adoptif. En RDC, après le Centrafricain Mobutu, ce pays est sous la terreur du Rwandais Hyppolyte Kanambe.

Celui qui nous envoie cet article veut réveiller notre conscience afin que comme les Egyptiens qui chassèrent les Hycksos qui s'étaient emparés du trône d'Egypte, nous stoppions la peste politique qui ruine notre pays. Comme se leva hier Ahmosé en Egypte pour délivrer son peuple asservi par des étrangers, il faut qu'un vrai fils de la terre du Congo se lève et décide de chasser la pègre étrangère. Nous soutiendrons son bras. QUEL QU'IL SOIT !

 

 Christel-Sassou.JPG                                             LE CLAN DES MAPAPA

 

Après l’ère des N’Guesso, des Sassou-N’Guesso,  serions-nous entrés dans l’ère des Mapapa ?

 

Ne nous trompons pas, il ne s’agit pas d’un nouveau jeu des 7 familles ou un article à la mémoire de Mapapa Grand Décalé qui eut son heure de gloire dans les années 70 à Kinshasa. Des nièces de ce grand artiste zaïrois, l’une Lily Mapapa conçut deux enfants avec Denis Sassou-Nguesso, (Denis Christel dit « Kiki » et Claudia dite « Coco »), l’autre B.B. Mapapa, sa jeune sœur, aujourd’hui elle aussi décédée, fut l’épouse de Maxime Gandzion. Les deux jeunes femmes avaient vécu dans une parcelle de la rue Madzia au Plateau des 15 ans à Brazzaville. Les deux enfants adultérins du président y avaient grandi, élevés par leur mère et  par  son époux François Ngoyo.

Plus tard, Claudia Sassou-NGuesso rejoignit sa tante B.B. Mapapa et son époux, Gandzion, à Libreville et elle y vécut quelques années auprès d’eux et de son cousin Yoann Gandzion. C’est durant cette période de sa vie qu’elle fit la rencontre de celui qui allait devenir son époux, Jean Pierre Lemboumba, et dont elle fut rapidement la veuve.

Elle revint alors auprès de son père à Brazzaville, qui venait justement d’y reprendre le pouvoir par le sang et par les armes. Bruno Itoua, le patron d’alors de la SNPC dont elle était très proche, initia Denis Christel au trading pétrolier. Claudia Sassou-N’Guesso-Mapapa-Lemboumba ne fut pas étrangère à la chute de Bruno Itoua et de son remplacement à la tête de la SNPC par Denis Gokana. Loin de là ! Quelques scènes de larmes subtilement versées, auprès de son père dictateur, et le tour était joué.

Reconnaissant, Denis Gokana, installa Denis Christel Sassou-NGuesso-Mapapa à la tête de la Cotrade avec pour mentor et chaperon Blaise Elenga. Ces deux s’entendirent comme deux larrons en foire et particulièrement dans la création de structures offshores exotiques destinées à l’évaporation de revenus divers et variés. Blaise fut naturellement le témoin du mariage discret de son petit « Kiki », ce que ne lui pardonneront  jamais les familles N’Guesso-Mapapa. Blaise Elenga a rejoint Bruno Itoua dans le troupeau des ex-fidèles écartés du pouvoir.

Néanmoins la prise du pouvoir de Denis Christel Sassou-N’Guesso-Mapapa à la SNPC allait bon train et le « clan des Mapapa » commença à apparaître dans les affaires financières et pétrolières de la SNPC. Un premier Oncle Mapapa, Guy Serge, également domicilié au 275 rue Madzia au Plateau des 15 ans, avec la bénédiction de Denis Gokana, devint un partenaire obligé, incontournable faux-nez du « neveu Denis Christel », dans de nombreuses affaires pétrolières et financières de la SNPC.

Un autre « Tonton », Maxime Gandzion, vint prendre sa place et sa part du gâteau pétrolier auprès de son neveu « Kiki 1er » , dit « le Roi du pétrole congolais ». Maxime Gandzion, (fils  de Prosper Gandzion ancien Ministre de l’éducation nationale, grand ami de Tombalbaye et du Maréchal Mobutu), voulait et devait mettre un terme à son exil gabonais qui avait débuté au début des années 80. A la mort de son père Prosper en 1983, il avait été quasiment adopté par Omar Bongo, qui l’avait placé chez ELF Gabon. Cependant à la fin 2009, il rejoignit son Congo d’origine par la route tant les désaccords financiers étaient grands avec les héritiers Bongo Ondimba. Des champs marginaux rendus par Total, offerts à la famille Bongo et gérés par Maxime Gandzion, étaient au cœur de la discorde.

Le moment était on ne peut plus favorable pour le « Clan des Mapapa ». La production était en hausse. Le nombre de cargaisons allouées à la SNPC évoluait mensuellement suivant le prix du baril, indexé sur le Brent, qui dépassait les 110 dollars. Chaque tanker représentait 110 millions de dollars. Parfois plus, lorsqu’il s’agissait d’un « Nkossa », deux à trois millions de dollars supplémentaires  de prime étaient obtenus tant cette qualité  est recherchée.

« Oncle Maxime » et « Frère (cousin)  Yoann » membres du « Clan des Mapapa » étaient, on ne peut mieux, placés pour réaliser l’affaire GUNVOR. Leur « petit Kiki » avait reçu en héritage de son vivant, de son père dictateur, tout le pétrole de la République du Congo. L’Or noir congolais était tombé alors dans les mains  des enfants des filles Mapapa, une famille zaïroise installée  sur l’autre rive du fleuve Congo, au Plateau des 15 ans.

Yoann Gandzion, né en France, est  un citoyen français et son passeport passe beaucoup mieux dans les banques et paradis fiscaux pour créer des structures opaques qui peuvent naviguer d’Amérique du Sud vers le Pacifique pour terminer en Mer de Chine.  Ce qui est beaucoup moins évident, et surtout plus voyant, pour un ressortissant gabonais ou congolais, comme son père, qui a les deux nationalités. L’une comme l’autre des nationalités, pour des affaires ou des montants importants, à juste titre, déclenchent des alertes auprès du « Groupe d'action financière (GAFI) ou Financial Action Task Force (FATF) » l’organisme intergouvernemental de lutte contre le blanchiment d'argent auquel est rattaché TRACFIN, par exemple pour la France.

Finalement, ces gros trafics en famille, contre lesquels les Congolais affamés ne peuvent rien, ont attiré l’attention de la Justice  helvétique. Si les Sassou-N’Guesso-Mapapa pillent impunément la totalité de la ressource pétrolière du Congo, ils risquent bientôt d’avoir toutes les polices du monde à leurs trousses. Les mandats d’arrêts internationaux seraient déjà prêts dans certains pays….

La très riche Société Nationale des Pétroles du Congo détient des participations dans les plus grands champs pétroliers auprès de Total, ENI, Murphy. Elles vont de 15 à 50%. La SNPC commercialise la part de production revenant au Congo, de 7 à 10 cargaisons chaque mois. Cela représente 700 millions à  1 milliard de dollars : 350 milliards à 500 milliards de FCFA chaque mois !

Tenez-vous bien : les salaires des employés de la Société Nationale des Pétroles du Congo n’ont pas été versés depuis trois mois !

Congolaises, Congolais ! Institutrices, Instituteurs ! Vous pouvez légitimement demander où va l’argent du pétrole congolais ?

Où va votre argent ?

Où va notre argent ?

Romuald Rigobert OSSEBI

 

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10 juin 2013 1 10 /06 /juin /2013 10:25

COMMENTAIRE : Nous affirmons haut et fort que le ministre de la défense à l'époque du règne du président Marien Ngouabi, en l'occurrence, monsieur Denis Sassou Nguesso, est bien personnellement impliqué dans l'assassinat de ce dernier. Il faisait personnellement partie du commando qui a tué le président Marien Ngouabi ; c'est la raison pour laquelle il a assassiné tous ceux qui l'ont reconnu et pouvait le dénoncer.

Ce n'est pas la peine de s'acharner sur des journaux qui affirment ce que tous les Congolais savent et nous nous joignons à la demande du CPJ (Comité de Protection des Journalistes) qui exhorte le pouvoir de Brazzaville de lever la suspension des quatre journaux Talassa, L'Observateur, Le Trottoir et Le Glaive. C'est une entrave à la liberté d'expression et ce n'est pas parce que les journalistes ne sont pas arrêtés que ce n'est pas un délit.

Le journaliste se trouve sous l'ombrelle du droit d'informer que viole actuellement le gouvernement de Brazzaville. Nous demandons à ces quatre journaux d'ester en justice en poursuivant l'Etat. Denis Sassou Nguesso peut porter plainte en diffamation mais il n'a pas le droit en sa qualité de premier magistrat de la république de violer la loi qu'il piétine à chaque fois que le peuple s'exprime en dénonçant des choses détestables qui lui sont imputées.

Nous allons vous dire pourquoi Denis Sassou Nguesso est personnellement impliqué dans l'assasinat du président Marien Ngouabi  :

1) Question : Qui a réduit le nombre de gardes le jour de la mort du président Marien Ngouabi ? Réponse : Denis Sassou Nguesso qui en imposait au chef d'Etat Major de l'époque en qualité de ministre de la défense. Il fallait que la garde présidentielle soit réduite de façon que le président ne puisse pas être défendu ce jour-là...

2) Question : Qui a immédiatement ordonné l'assassinat des gardes présents le jour de la mort du président Marien Ngouabi selon les propos tenus lors de la Conférence Nationale Souveraine ? Réponse : Denis Sassou Nguesso qui les avait pourtant personnellement choisis ! Pourquoi ?  Parce que ces derniers l'avaient vu en chair et en os ce jour-là. En fait, il est l'inconnu que personne n'a jamais pu identifier s'étant rendu à la présidence de la république le jour de la mort du président Marien Ngouabi. Normal : tous les témoins oculaires sont six pieds sous terre...

3) Question : Connaît-on exactement les assassins du président Marien Ngouabi à ce jour, les membres du commando qui se sont rendus à la présidence pour l'assassiner ? Réponse : Non, puisque tous ceux qui ont été assassinés sous l'ordre de Denis Sassou Nguesso étaient des innocents. Et la réponse sera non tant que Denis Sassou Nguesso sera en vie et au pouvoir. Exemple : aux Etats-Unis, l'implication du vice-président Johnson d'origine juive dans l'assassinat du président Kennedy ne fut dévoilée qu'à la mort de ce dernier. Il voulait tellement le pouvoir qu'il monta un complot avec les Juifs dont le président Kennedy voulait stopper le développement de la bombe nucléaire.

4) Question : Qui de ceux qui peuvent encore parler aujourd'hui au Congo connaissent l'emploi du temps de monsieur Denis Sassou Nguesso le jour de l'assassinat du président Marien Ngouabi ? Réponse : personne qui puisse encore vivre de nos jours...

5) Question : Qui a accusé Kikadidi et Motando d'avoir assassiné le président Marien Ngouabi ? Réponse : Denis Sassou Nguesso qui ne voulait pas que l'attention se tourne vers sa personne.

6)  Question : Qui a ordonné l'assassinat de Kikadidi - alors qu'il aurait pu être interrogé après arrestation ? Réponse : Denis Sassou Nguesso : il fallait empêcher Kikadidi qui l'avait vu de parler.

7) Question :  Kikadidi, qui est l'un des derniers hommes à avoir vu en dernier le président Marien Ngouabi était-il en lien avec monsieur  Denis Sassou Nguesso ? Réponse : oui, si on croit monsieur Boukadia qui a révélé que le président Fulbert Youlou avait demandé à Kikadidi d'encadrer le soldat Sassou. Normal que ce dernier lui réclame son "coq". Qu'il se tienne tranquille. Son "coq" il va l'avoir, un coq pourri qu'il ne saura manger parce que le mensonge qui le ronge est trop purulent... Kikadidi a été arrêté et aurait pu être interrogé mais Denis Sassou Nguesso en sa qualité de ministre de la défense l'a fait executer avant. Vous pouvez imaginer pourquoi.

8) Question : Qui a assassiné Motando en l'empoisonnant ? Réponse : Monsieur Denis Sassou Nguesso. Pourquoi ? Ce dernier savait que Denis Sassou Nguesso était impliqué personnellement dans l'assassinat du président Marien Ngouabi. Un bon secret est un secret enterré dans une tombe murale. En effet, aucune voix ne surgit d'outre-tombe...

9) Question :  Qui a dit :"Mieux vaut perdre un Kouyou que de perdre le pouvoir " quand il a appris d'Ontsou que Marien Ngouabi voulait remettre le pouvoir au président Massamba-Débat ? Réponse : Monsieur Denis Sassou Nguesso.

10) Question : Qui a fait assassiner Ontsou ? Réponse : Denis Sassou Nguesso.

11) Question :  Pourquoi monsieur Denis Sassou Nguesso a-t-il fait assassiner le président Alphonse Massambat-Débat et le cardinal Emile biayenda ? Réponse : Parce qu'ils savaient qu'il était impliqué personnellement dans l'assassinat du président Marien Ngouabi.

12) Question : Pourquoi le Général Yhombi Opango affirme-t-il qu'à la mort du président Denis Sassou Nguesso, il se trouvait à Owando ? Réponse : C'est pour dire de façon implicite que Denis Sassou Nguesso se trouvait bien à Brazzaville, lui, ce jour dramatique.

Ce n'est donc pas la peine de suspendre des journaux pour avoir juste esquissé quelques supputations. Nous sommes prêts a consentir un droit de réponse au chef de l'Etat actuel du Congo s'il veut bien nous apporter des réponses contradictoires à toutes les questions que nous avons soulevées...

cpj_logo
NEWS ALERT
   

République du Congo :  quatre journaux sont suspendus

 

New York, le 7 juin 2013- Le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) a aujourd'hui demandé aux autorités de la République du Congo de lever les mesures de suspension contre quatre hebdomadaires de la capitale Brazzaville qui ont été sanctionnés pour avoir publié des articles critiquant des fonctionnaires du gouvernement. Ces suspensions ont été infligées par l'organe de régulation des médias dont les 11 membres sont tous choisis par le président de la République.

« Les autorités de la République du Congo semblent se servir du 
Conseil supérieur de la liberté de communication pour fouetter les journalistes qui soulèvent des questions d'intérêt public ou qui remettent en cause la gestion des fonctionnaires », a déclaré Mohamed Keita, coordonnateur du Plaidoyer pour l'Afrique du CPJ. « Nous demandons la levée immédiate de la suspension des quatre journaux. Au regard des écrits incriminés, les raisons invoquées pour justifier ces sanctions sont au mieux contestables, sinon douteuses », a-t-il martelé.

Le 1er juin courant, le Conseil supérieur de la liberté de communication (CSLC), a suspendu L'Observateur, Talassa, et Le Trottoir pour quatre mois, les accusant d'incitation à la violence, de diffamation et d'atteinte à l'honneur des fonctionnaires du gouvernement, selon des  médias  et des journalistes locaux. Les journaux ont été sanctionnés pour avoir republié un article d'Afrique Education, un magazine bimensuel basé en France, dans lequel le président Denis Sassou Nguesso est accusé d' implication dans l'assassinat en 1977 de Marien Ngouabi, ancien chef d'état de la République du Congo. Le président Sassou Nguesso a nié toute implication dans cet assassinat, selon l'agence de presse britannique Reuters.

Le CSLC a également infligé une suspension de deux mois à l'hebdomadaire Le Glaive pour « refus répété d'obtempérer et de répondre aux interpellations du Conseil », a rapporté Reuters. Guy Milex Mbondzi, collaborateur du Glaive, a déclaré au CPJ que la suspension avait un lien avec une enquête du journal sur des pratiques du ministère des Affaires étrangères en  matière de délivrance de passeports diplomatiques. Le journal avait publié une série d'
articles affirmant que des hauts fonctionnaires du ministère ont délivré des passeports diplomatiques à des personnes qui ne remplissaient pas les conditions établies par la loi. Les articles ont inclus des copies de demandes de passeports de plusieurs de ces personnes.

En réponse à ces articles, le 
ministre congolais des Affaires étrangères Basile Ikouébé, a émis un communiqué de presse disant que les documents avaient été obtenus illégalement à partir des archives de l'État. Il a accusé Le Glaive de participer à une « campagne de dénigrement » et à des « actes systématiques de provocation », et demandé au CSLC de prendre des mesures contre ce journal.

En septembre 2012, le CSLC avait suspendu Le Glaive pour six mois et l'hebdomadaire La Voix du Peuple pour neuf mois pour une série d'articles critiquant les dirigeants et les méthodes dudit conseil, selon des médias.

·        Pour plus de données et d'analyses sur la République du Congo, veuillez cliquer ici.

Le CPJ est une organisation indépendante, à but non lucratif et dévouée à défendre la liberté de la presse 
dans le monde depuis 1981.

Contact:
Mohamed Keita 
Coordonnateur du plaidoyer pour l'Afrique
Email: mkeita@cpj.org
 
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10 juin 2013 1 10 /06 /juin /2013 00:07
Centrafrique: Brazzaville accorde un prêt de 38 millions d'euros au nouveau régime de Bangui


COMMENTAIRE : Ceux qui ne me croient pas quand je dis que le Congo n'a pas de problèmes d'argent vont se rendre à l'évidence que c'est vraiment le cas. Qu'on se le dise : on ne prête pas d'argent à son voisin si on n'en a pas suffisamment pour soi-même et on n'envoie pas sa femme dilapider un million d'euros si on n'est pas sûr que le pays ne va pas tomber dans un déséquilibre financier. Nous venons à peine d'apprendre que monsieur Denis Sassou Nguesso, coeur si sensible pour les autres pays qui souffrent sans vraiment s'offusquer de la souffrance de son propre peuple, a encore fait des siennes en prêtant 38 millions d'euros au nouveau régime de Bangui. Faut-il que les Congolais deviennent des étrangers dans leurs propres pays pour enfin bénéficier de la compassion du grand éléphant qui a le coeur sur la main mais  juste pour ses propres parents et à l'égard des étrangers ? Mais qu'est-ce qui ne tourne pas rond dans les boyaux de la tête de notre grand éléphant comme aurait pu le dire Coluche ? Drôle de compassion sélective qui exclut son propre peuple du champ de sa compassion !

C'est bien l'altruisme chez un humain et nous savons que les bonobos le sont aussi mais il faut le faire avec son propre argent. Or, Denis Sassou Nguesso n'en manque pas : il aurait pu sortir l'argent de sa propre poche, même si nous savons qu'il s'agit de l'Argent Mal Acquis (AMA). D'ailleurs, il aurait pu envoyer des vaches,des autruches, des poissons-chats, du foufou, de l'huile de palme et des moutons - sans oublier ses fromages au peuple frère centrafricain (il attend peut-être qu'il crie famine pour le faire) mais à donner ou prêter l'argent du peuple - on se demande si l'assemblée nationale a consenti à ce prêt - alors que ce dernier n'arrête pas de geindre de soif et de faim - sonne comme une véritable trahison de la part d'un homme qui s'est juré de faire le bonheur du peuple congolais. A moins qu'il ait menti. A moins que sa pensée ne puisse se comprendre qu'à l'envers, que ses idées ne soient comprises que si on les mettait à l'endroit en prenant le contrepied de leur prétendu sens.

J'ai de nombreux amis centrafricains et je compatis aux difficultés traversées par ce pays frère dont de nombreux ressortissants vivent au Congo. Oui, il faut aider le président Djotodia mais il ne faut pas le faire au détriment de la satisfaction des besoins des Congolais. Ayant eu l'occasion de discuter avec certains cadres de l'ancien régime centrafricain à l'époque du règne de François Bozizé au téléphone chez un ami qui se reconnaîtra, j'ai appris que nombreux avaient étudié à Brazzaville et qu'ils se sentaient un peu Congolais. Nous sommes donc un peu frères mais quand les Congolais crient et pleurent de soif et de faim, nos frères centrafricains ne se sont jamais empressés de dire à notre tyrannational de s'occuper d'abord du peuple congolais.

Je vous signale que même Jésus Christ a dit à la Samaritaine : "Je suis d'abord venu sauver les brebis perdues d'Israël" ! Et c'est le fils de Dieu qui parlait si on croit les Evangiles ! Non, la RCA n'est pas pauvre. La mauvaise gestion n'est pas synonyme de pauvreté : c'est un pays producteur de diamants, pour ne citer que cet exemple. D'ailleurs, Denis Sassou Nguesso le prouve chaque jour que Dieu fait.

Un père de famille qui donnerait du pain à ses voisins pendant que sa propre femme et ses propres enfants meurent de faim, de soif et de maladie, serait pris pour un irresponsable. Nous n'avons pas fini de résoudre ou de répondre à nos propres besoins mais cela ne nous empêche pas de prêter à nos voisins frontaliers. Ca, on ne peut l'expliquer qu'en se disant que Sassou n'est pas un être humain mais un reptile à forme humaine quand même.  

Nous avons appris que le Congo a consenti un prêt de 25 milliards de francs cfa à la république centrafricaine à la demande du premier ministre Tiangaye (pourquoi tous les pays de l'Afrique centrale ne pouvaient-ils pas s'entendre pour aider ce pays de la zone CEMAC si riche ? Pourquoi seulement le Congo ?).

Aider son frère en souffrance n'est pas un acte blâmable mais cela contraint Denis Sassou Nguesso, bon prêteur (Niger, RCA, etc.) ou bon donneur (Chine, sa femme, etc.), à faire montre d'un empressement à résoudre les problèmes des Congolais. Or, nous constatons que les sinistrés du 4 mars 2012 sont toujours exposés aux aléas des éléments puisque non relogés dans des logements décents (hôtels, appartements, villas, etc.) et par ailleurs, Joe Washington Ebina a été arrêté pour juste vouloir organiser une réunion à ce sujet. Drôle d'attitude quand même pour un gouvernement qui a de grandes oreilles d'élépant quand il s'agit de la souffrance des autres mais qui devient soudain sourd quand Denis Sassou Nguesso devient un cobra face aux cris de son propre peuple : en effet, les serpents n'entendent pas les sons ! Faites des recherches et vous verrez ! SASSOU EST DONC UN GENTIL ELEPHANT A GRANDES OREILLES POUR LES AUTRES PAYS ET UN COBRA SOURD COMME UN POT A L'ENCONTRE DU PEUPLE CONGOLAIS !

Nous estimons que charité bien ordonnée commence par soi-même. Alors, comment comprendre que Denis Sassou Nguesso soit gentil avec les Chinois en reconstruisant une école détruite par un tremblement de terre au travers d'un don d'un milliard de francs cfa comme si la deuxième puissance économique du monde manquait d'argent, en prêtant ici ou là sans jamais se soucier des Congolais à qui appartient l'argent du Trésor public ?

Ce ne sont pas les Centrafricains qu'il faut blâmer mais Denis Sassou Nguesso dont la politique à l'égard du peuple congolais est incompréhensible. Et si celui qui m'avait dit que mama Mouébara était une Centrafricaine avait totalement raison ? 
 

 

 

Le Congo a accordé à la Centrafrique un prêt de 25 milliards de FCFA (38,1 millions d'euros), pour aider le processus de transition en cours à Bangui, a déclaré samedi à la radio nationale le Premier ministre centrafricain, Nicolas Tiangaye.

"Vous connaissez tous la situation financière de notre pays avec la crise que nous avons traversée et qui n'est pas terminée. Nous ne pouvons pas faire face à nos engagements. L'Etat est confronté à des...difficultés de trésorerie et c'est la raison pour laquelle j'ai demandé au gouvernement congolais de nous accorder un prêt", a déclaré M. Tiangaye au retour d'une visite de travail à Brazzaville.


"La convention de ce prêt a été signée pour un montant de 25 milliards FCFA. J'ai demandé au ministre des Finances d'accomplir très rapidement les formalités auprès de la banque centrale pour que la première tranche de 12,5 milliards soit décaissée avant la fin juin. La deuxième tranche le sera en septembre", a-t-il ajouté.

Pays pauvre enclavé au coeur du continent africain, la Centrafrique tire l'essentiel de ses ressources des recettes fiscales.

Depuis la prise du pouvoir fin mars par la coalition Séléka, le nouveau pouvoir peine à remettre en route un appareil de production délabré, alors que le pays reste en proie à l'insécurité et aux pillages.

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9 juin 2013 7 09 /06 /juin /2013 23:39
BLE_GOUDE.jpgPar

Par L’Intelligent d’Abidjan – «Blé Goudé a été « bastonné après la décision de la CPI ».

Son frère aîné fait de nouvelles révélations : ‘‘Pourquoi tout mon village veut rencontrer le chef de l’Etat’’.

Exaspéré par le mystère qui entoure les conditions de détention de Charles Blé Goudé, Gnépo Dédi Léopold, le frère aîné de l’ex-leader de la galaxie patriotique a décidé de réagir. Au nom de la famille, cet inspecteur d’éducation lance un cri de coeur aux autorités ivoiriennes.

  • La semaine dernière, vous avez annoncé dans nos colonnes que vous avez reçu des coups de fil anonymes annonçant la mort en détention de Charles Blé Goudé. Pouvez-vous aujourd’hui confirmer ou infirmer cette information ?


Aux dernières nouvelles, après l’apparition de l’article faisant état de la ‘’mort annoncée de Charles Blé Goudé’’, il a été déplacé de la ‘’résidence protégée’’ pour être conduit à la Dst (Direction de la surveillance du territoire) où il a passé quatre jours au sous-sol.
Et après, où a-t-il été conduit après ces quatre jours à la Dst?

  • Selon toujours les informations en notre possession, il a, à nouveau, été déplacé après avoir été passé à tabac. La réaction de ses geôliers fait suite à la décision des juges de la Cpi (Cour pénale internationale) qui ont mis en doute les accusations du Bureau du Procureur contre le Président Laurent Gbagbo. Voyant en cette décision la probable libération du Président Laurent Gbagbo, ils ont roué Blé Goudé de coups avant de le déplacement à nouveau.
  • Où peut-il se trouver à présent?


Comme c’est toujours le cas, on nous a encore appelé pour nous dire qu’ils l’ont mis dans une voiture qui a pris la direction de Bingerville. Mais, qu’il soit à Bingerville où dans un autre endroit, je ne saurai vous répondre avec exactitude. Dans tous les cas, son sort est entre les mains de Dieu. Aujourd’hui, toute la famille souffre énormément et nous sommes tous traumatisés. J’attends que les autorités m’appellent pour me dire où il se trouve exactement, s’il est vraiment en vie parce qu’un prisonnier, quelle que soit sa coloration politique et les crimes qu’il aurait commis a droit à une visite. Même aux États-Unis, ceux qui sont dans le couloir de la mort ont droit à des visites. Je crois donc qu’on pouvait lui autoriser la visite d’au moins un parent, ou même sa femme. Ce qui n’est hélas pas le cas. Devant cette situation, nous sa famille, nous ne faisons que passer des nuits blanches.

  • Après le Premier ministre et le Président de l’Assemblée nationale, vous avez adressé, le 3 juin 2013, un courrier au Président de la République réceptionné sous le numéro 09444. Qu’attendez-vous en retour ?


Nous, sa famille, supplions le chef de l’Etat afin que nous puissions lui rendre visite. Rien que pour le voir, ce qui pourrait nous rassurer. Si nous le voyons, nous pouvons également tranquilliser le reste de la famille et même toute la Côte d’Ivoire pour dire aux uns et aux autres qu’il est en vie. Depuis qu’il a été conduit au tribunal, au Plateau, nous avons des nouvelles de lui qu’à partir des coups de fils anonymes que nous recevons quotidiennement.

  • Et ses avocats ?


Tout comme la famille, aucun avocat n’a le droit de le voir. Jusqu’à présent, personne ne l’a vu. Or, il est passé à la Justice et s’il est passé devant un juge, cela signifie qu’il y a un droit de communication entre lui et nous. Ce qui n’est pas le cas. Et nous ne savons pas pourquoi. A présent, nous ne savons pas où il se trouve.

  • Les autorités ont pourtant été claires à ce sujet en disant qu’il est dans une ‘’résidence protégée’’ ?


C’est un langage politique qui ne tient pas juridiquement. Il est dans une résidence surveillée. C’est ça la vérité.

On dit qu’il est dans une ‘’résidence protégée’’, protégée par qui ?

C’est l’une des questions fondamentales que nous nous posons.

  • Nous avons appris qu’une forte délégation de votre village est en train de s’organiser pour tenter de rencontrer le chef de l’Etat afin de débattre du ‘’cas Blé Goudé’’.


Oui, c’est une initiative. A ce sujet, nous avons également introduit une demande d’audience auprès des services du Président de la République. Nous attendons.

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9 juin 2013 7 09 /06 /juin /2013 20:33

Sassou-ADO_VOIT2.jpgUn chef d'Etat ne cherche pas à rencontrer un de ses semblables sans raison, sans vouloir d'un service, d'un conseil de gouvernance ou en matière de stratégie de conservation du pouvoir. Surtout, lorsque ce chef d'Etat est le premier de son pays à visiter un autre pays en plus de cinquante ans d'indépendance ! Il n'y a pas d'amitiés en politique mais seulement des intérêts. Ce n'est pas moi qui le dis mais le Général De Gaulle. Ce n'est donc pas pour admirer la belle moustache bien taillée de Denis Sassou Nguesso ou ses vaches bien grasses à Oyo que monsieur Alassane Dramane Ouattara est au Congo pour soixante-douze heures.

Alassane Dramane Ouattara a de quoi admirer son frère de lumière et d'ombre Denis Sassou Nguesso tellement ils ont en commun l'amour du pouvoir au point de vouloir le prendre par les armes si cela s'imposait. En effet, nous savons que la rébellion ivoirienne est l'oeuvre d'Alassane Dramane Ouattara désormais à la tête de la Côte-d'Ivoire. Il fallait bien qu'il parvienne à ses fins, notre Alassane Dramane Ouattara, vu qu'il courait après le pouvoir depuis trop longtemps - et cela ne pouvait qu'arriver lorsque les puissances du monde vous soutiennent à travers l'ONUCI. A soixante-onze ans, notre ancine financier international n'a plus un long règne devant lui : il faut craindre que sa santé ne le lui permette pas, lui que l'on voit souvent venir se faire soigner en France...

L'homme d'Etat ivoirien d'origine burkinabé (Dramane est un nom typiquement burkinabé) se trouve en visite officielle au Congo-Brazzaville en ce moment même pour prendre conseil auprès de son frère de pouvoir Denis Sassou Nguesso et il en a bien besoin puisqu'il n'arrive pas à pacifier la Côte-d'Ivoire depuis son accès tumultueux et sanglant aux affaires louches de la politique noire au sens propre. Il est évident qu'il n'est pas à Brazzaville pour recevoir des leçons ou des conseils en matière foncière comme les Centrafricains ou sur le plan économique car sur ce terrain, la Côte-d'Ivoire - même ravagée par des années de troubles politiques - n'a rien à voir avec le Congo ; ce qui nous amène à déduire que son voyage concerne avant tout le plan stratégique, la recherche du moyen qui permet de parvenir à la "paix" du statu quo lorsque plus personne ne conteste votre autorité.

J'ai suivi son discours sur la télévision congolaise. Que c'est beau, la diplomatie qui embellit tout, qui possède un eraser pour gommer avec les mots tous les maux d'un pays. Non, les choses ne se passent pas bien en Côte-d'Ivoire ; prétendre le contraire tient de la démagogie. J'ai un voisin ivoirien retraité qui revient de vacances à Abidjan  selon lequel rien ne va en Côte-d'Ivoire et là-dessus ceux qui lisent la Lettre du Continent savent qu'Alassane Dramane Ouattara a du mal à pacifier le pays, vu que de nombreux rebelles refusent de rendre les armes et surtout, il n'a pas d'autorité sur de nombreux groupuscules armés qui font la loi en Côte-d'Ivoire dont certaines contrées frontalières sont occupées par des étrangers. Certes, la Côte-d'Ivoire est le poids lourd économique de l'Afrique de l'ouest mais les choses vont mal sur le plan politique dans ce pays à cause des tensions entre les partisans d'Alassane Dramane Ouattara et ceux du président Laurent Gbagbo - sans oublier les nombreuses armes en circulation dans ce pays tant envié dans le passé.

L'homme a besoin des conseils de Sassou Nguesso qui a su tenir ses cobras après son coup d'Etat de 1997 et imposer une paix armée qui donne l'illusion d'un pays en paix. De toute façon, au Congo, on ne l'ouvre pas : on se tait ou on meurt. A moins de fuir le pays si on le peut. A ce propos, nous recherchons des éclaircissements à propos de la présence du ministre Isidore Mvouba à l'étranger. Nous avons du mal à croire certaines thèses qui prétendent qu'il aurait fui le Congo où certains juges à Pointe-Noire ont commencé à demander des comptes à certaines personnalités - notamment dans le domaine pétrolier. C'est une raison un peu mince pour abandonner la vache à lait Congo à Sassou et à tous les autres boukouteurs. Mvouba, grand ami de Denis Sassou Nguesso devant le Seigneur, fuir ? Non, qui peut le croire ? Nous allons fouiller les photos officielles lors de l'arrivée d'Alassane Dramane Ouattara pour vérifier s'il n'était pas présent. Wait and see comme disent les Anglais de l'autre côté de la Manche...

Pour pacifier le pays, Sassou a tué certains de ses propres cobras qui ne voulaient pas obtempérer - parfois, en les empoisonnant lorsqu'il ne les faisait pas fusiller. Nous savons qu'il a fait exécuter un de ses propres neveux, fils d'une de ses soeurs, qui rackettait les voitures à Brazzaville ("Abattez-le !" Aurait-il ordonné à ses mercenaires). Certains des cobras les plus belliqueux ont reçu des passeports diplomatiques pour se retrouver à l'étranger - preuve que l'usage frauduleux des passeports diplomatiques congolais ne date pas d'aujourd'hui ; nous en avons rencontré quelques-uns qui s'étaient rendus compte que si le passeport diplomatique permettait de voyager facilement, il ne permettait pas par contre de travailler à l'étranger.

Alassane Dramane Ouattara a cru qu'en enfermant le président Laurent Gbagbo à la Haye, tout se passerait comme sur des roulettes mais ce n'est pas le cas et vous savez que dans ce dossier, la CPI manque d'éléments et pèche dans son incapacité à juger les criminels du camp Ouattara - ce qui a d'ailleurs entraîné qu'il éloigne son premier ministre et chef de guerre Guillaume Soro pour le placer à la tête de l'Assemblée nationale, question de le rendre moins visible.

Sassou a aussi entrepris son opération Mouébara dans le Pool pour traumatiser les dernières poches de résistance en empoisonnant les sources d'eau et en abattant même les arbres fruitiers pour que les résistants n'aient rien à manger - ce que monsieur Alassane Dramane Ouattara ne peut se permettre car il se retrouverait dans une situation diplomatique trop compromettante au regard du droit international. En outre, Sassou a bénéficié de nombreuses complicités dans le camp du président Pascal Lissouba - ce qui a permis de vite calmer les esprits.

A la différence de Sassou, nous pouvons remarquer que le président Alassane Dramane Ouattara n'est pas un militaire puisque c'est un civil et de ce fait il manque d'un certain charisme auprès des hommes en armes. Ce n'est donc pas un hasard si Alassane Dramane Ouattara est le premier président ivoirien à fouler le sol congolais : il a de bonnes raisons. Il a besoin des conseils de Denis Sassou Nguesso afin d'asseoir son pouvoir. Bien sûr, quelques visites ou rencontres d'hommes d'affaires ivoiriens et congolais pour faire illusion ne sont pas de trop...

Nous savons tous que le Congo va mal - même si quelques réalisations infrastructurelles font diversion, réalisations, somme toute, négligeables au vu des gigantesques moyens financiers de l'Etat. Les infrastructures s'apprécient au regard des moyens dont disposent les Etats : Denis Sassou Nguesso souffrant de la gloriole agit comme si un milliardaire américain se vantait de construire une hutte de Pygmée - alors que toute la planète attend de lui autre chose. Le paysage national est un niveau de lecture de la transformation des moyens financiers et matériels en bonheur social au travers d'infrastructures et d'investissements susceptibles de mouvoir, de booster la population active d'un pays. Au Congo, le chômage est un fléau à tous les niveaux quelle que soit la tranche d'âge considérée. Le chômage représente un indicateur précieux pour apprécier la santé économique d'un pays. Et si on l'apprécie, c'est peu de dire que le Congo est un grand malade ou qu'il souffre d'une mal-gouvernance chronique.

Si Alassane Dramane (je me demande pourquoi on omet Dramane) Ouattara peut se permettre de surfer sur les réalisations économiques de ses prédécesseurs, Sassou qui a presque quarante ans au pouvoir, sur les cinquante-trois de notre fausse indépendance nationale, ne bénéficie pas du même contexte. On manque de tout au Congo et on importe même les tomates du Rwanda, petit pays montagneux - alors que la tomate pousse naturellement au Congo : il suffit de jeter une graine par terre et de laisser faire le soleil et la pluie ! Et cela ne gêne pas madame Antoinette Sassou Nguesso de venir flamber plus d'un million d'euros à Saint-Tropez lors d'un anniversaire - alors que les étudiants attendent leur bourse depuis plus de six mois et que les enseignantsasphyxiés par le coût de la vie demandent une revalorisation indiciaire.

Denis Sassou Nguesso s'emploie d'abord à s'enrichir personnellement - quitte à détruire les forêts du nord du pays en les brûlant au napalm pour les transformer en palmeraies. Cependant, pour s'assurer du soutien des siens, il les laisse s'enrichir eux aussi aux frais et au détriment de l'Etat. Faites des recherches sur le site et vous trouverez de nombreux exemples corroborant ce constat. Nombreux ont construit des villas à plusieurs centaines de millions de francs cfa aux frais de l'Etat congolais. Un certain R.R. a laissé échapper des documents sur le net que vous trouverez sur votre site...

A des échelles différentes, la Côte-d'Ivoire et le Congo vont mal mais cela n'empêche pas Sassou et Ouattara de se congratuler mutuellement. "Gratte-moi le dos avec des compliments, je te gratterai le tien avec des boniments". Le Congo, qui n'a ni eau ni électricité, va mal, la Côte-d'Ivoire va mal mais vive Sassou et Ouattara ! L'Afrique est vraiment le continent de la démesure. Surtout en politique...

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7 juin 2013 5 07 /06 /juin /2013 21:18

Il est certainement l'un des groupes les plus puissants  qui décident de l'avenir de la planète en tant qu'organisation des maîtres du monde : guerres, paix, crises, chute des régimes politiques, conspirations de toutes sortes. En tout cas depuis 1954, nous ne savons pratiquement rien des réunions du groupe Bilderberg créé par le prince Bernhard des Pays-Bas et le célèbre David Rockefeller, soit environ 130 personnes qui influencent les mondes économique, politique, social, médiatique et culturel. C'est un groupe qui cultive le secret le plus absolu de ce qui se dit lors de leurs assemblées. Cette année, il se réunit au Royaume-Uni dans un hôtel appelé GROVE à WATFORD du 6 au 9 juin 2013. Ce n'est pas si simple d'être au courant de leurs réunions car il y a un véritable omerta de la part de la presse qui ne peut exercer son droit d'informer.

Se jouent peut-être le sort de la Syrie ou de l'Iran, le destin de la Grèce et de l'Italie, le prix du pain ou celui du kilo de boeuf. Les bilderbergers comme ils s'appellent eux-mêmes participent à une sorte de gouvernement mondial non démocratique mais qui décide pourtant du sort de la planète et de tout ce qui s'y trouve.

Merci à E. de nous avoir refilé l'information concernant les dates de leurs réunions de cette année ainsi que le lieu où ils se réunissent. De telles assemblées ne peuvent se tenir qu'avec la complicité des Etats qui fournissent la sécurité nécessaire à de tels groupes. En effet, des personnes qui cultivent encore le secret absolu à l'heure d'internet sont des gens louches qui ne nous veulent pas que du bien. Voici un peu plus de détails trouvés sur un site internet (http://www.syti.net/Organisations/Bilderberg.html ) :

"Le Groupe de Bilderberg a été fondé par en 1954 à l'Hôtel Bilderberg à Osterbeek à l'invitation du Prince Bernhard des Pays-Bas, co-fondateur du Groupe avec David Rockefeller.

Le Groupe de Bilderberg est sans doute le plus puissant des réseaux d'influence. Il rassemble des personnalités de tous les pays, leaders de la politique, de l'économie, de la finance, des médias, des responsables de l'armée ou des services secrets, ainsi que quelques scientifiques et universitaires.

Très structuré, le Groupe de Bilderberg est organisé en 3 cercles successifs.

Le "cercle extérieur" est assez large et comprend 80% des participants aux réunions. Les membres de ce cercle ne connaissent qu'une partie des stratégies et des buts réels de l'organisation.

Le deuxième cercle, beaucoup plus fermé, est le Steering Committee (Comité de Direction). Il est constitué d'environ 35 membres, exclusivement européens et américains. Ils connaissent à 90% les objectifs et stratégies du Groupe. Les membres américains sont également membres du CFR.

Le cercle le plus central est le Bilderberg Advisory Committee (Comité consultatif). Il comprend une dizaine de membres, les seuls à connaître intégralement les stratégies et les buts réels de l'organisation.

Pour ceux qui enquêtent sur les réseaux de pouvoir, le Groupe de Bilderberg est un véritable gouvernement mondial occulte. Au cours de ses réunions, des décisions stratégiques essentielles y sont prises, hors des institutions démocratiques où ces débats devraient normalement avoir lieu. Les orientations stratégiques décidées par le Groupe de Bilderberg peuvent concerner le début d'une guerre, l'initiation d'une crise économique ou au contraire d'une phase de croissance, les fluctuations monétaires ou boursières majeures, les alternances politiques dans les "démocraties", les politiques sociales, ou encore la gestion démographique de la planète. Ces orientations conditionnent ensuite les décisions des institutions subalternes comme le G8 ou les gouvernements des états.

Les membres du Groupe de Bilderberg s'appellent eux-mêmes les "Bilderbergers". Ils sont choisis uniquement par cooptation. Le Groupe de Bilderberg se réunit une fois par an pendant environ 4 jours. Les réunions ont lieu chaque année au printemps dans une ville différente, mais toujours dans des châteaux ou des hôtels luxueux, entourés d'un parc ou situés en pleine nature, et si possible équipés d'un golf. Les réunions sont protégées par plusieurs centaines de policiers, militaires, et membres des services spéciaux du pays d'accueil. Si la réunion a lieu dans un hôtel, celui-ci est vidé de ses occupants une semaine avant l'arrivée des Bilderbergers. Les invités sont déposés par un ballet d'hélicoptères noirs et par des limousines aux vitres fumées avec la lettre "B" sur le pare-brise."

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6 juin 2013 4 06 /06 /juin /2013 01:21

Nous recevons de nombreuses informations dont certaine difficiles à vérifier comme le baston qu'aurait subi monsieur Nimi Madingou de la part de personnes cagoulées venues le tabasser à domicile selon un appel téléphonique reçu. Nous espérons qu'il s'agit d'un règlement de compte politique car le Congo-Brazzaville, à l'opposé de la RDC, n'a pas de "COMBATTANTS", ces jeunes citoyens qui ont institué le baston comme mode de revendication virile de leur opposition au pouvoir de Kinshasa et à ses soutiens comme de nombreux musiciens qui ont désormais peur de se produire en Europe. Nous, du côté de la rive droite du fleuve, nous nous battons contre les maux politiques avec l'épée des mots, l'intifada de la plume, la fronde du clavier. Sassou explose le peuple à coups de bombes, nous, comme des David de la toile, n'avons que l'arme de la parole, parole qui libérée pour triompher de la kalachnikov.

Nous avons bon espoir que la justice française élucidera cette affaire de cagoules et de coups de poing. Ce dernier serait dans un état critique à l'hôpital, en France.

En consultant mon smartphone, j'ai vu que j'avais reçu un message sur overblog qui prétendait que le ministre Isidore Mvouba serait discrètement évacué à Paris pour de graves problèmes de santé - ainsi qu'un garde personnel de monsieur Denis Sassou Nguesso nommé Guy Mpéla lui aussi pour des raisons de santé du même type, du même diagnostic. Selon notre informateur, il s'agirait de cas d'empoisonnement, le grand éléphant à tête de cobra ayant décidé de se débarrasser physiquement de toutes les personnes détenant des informations compromettantes à son égard. Ce nettoyage aurait coûté vie au Général Avoukou et au Général Blaise Adoua. Tous ceux qui dans l'entourage de notre gangster politique national détiennent des secrets le concernant doivent se faire du sang d'encre. Est-ce pour cela qu'il a fait arrêter le colonel Marcel Ntsourou ? Seul l'avenir nous le dira mais nous vous disons que la route vers l'élection présidentielle de 2016 sera pavée du sang des porteurs de secrets noirs.

Je réponds en même temps à mon frère étudiant qui m'a informé que les étudiants n'avaient pas reçu de bourse depuis six mois ! Certes, ce n'est pas une information de la même nature mais ne disposant pas de beaucoup de temps en ce moment, j'écris  deux textes dans le même article. LE GOUVERNEMENT DOIT HONORER SES ENGAGEMENTS ET ARRETER DE SACRIFIER LA JEUNESSE CONGOLAISE. LA VIE EST DURE POUR NOS ETUDIANTS QUI N'ONT QUE LE PETIT SUBSIDE BOURSIER POUR VIVRE. LES ETUDIANTS DOIVENT S'ORGANISER, SE RASSEMBLER POUR FAIRE ENTENDRE LEUR VOIX. CREEZ DES ASSOCIATIONS S'IL LE FAUT ET DEFENDEZ VOS DROITS !

Dans la logique de la nébuleuse sassouiste, seule importe la conservation du pouvoir et qu'importe les sacrifices que le peuple doit consentir pour que la race des princes de l'Alima continue à dicter leurs "rules", leurs règles, leurs lois néfastes à la république. Le pouvoir ne se donne pas, ne se prête pas, ne se marchande pas ; il s'arrache et on le conserve par sang, douleurs et cris, que le peuple y consente ou non.

A tous ceux qui sont proches de monsieur Denis Sassou Nguesso comme Jean Dominique Okemba : "Où se trouvent Avoukou, Adoua, les fidèles serviteurs du représentant du mal sur terre ? Où se trouve le colonel Marcel Ntsourou pourtant hier fidèle serviteur du petit-frère d'Hitler ? Vous êtes au service de la mort sur pattes ; vous l'administrez pour lui, lui vous l'administrera quand il jugera votre heure arrivée car la mort ne donne que ce qu'elle a : LA MORT. Vous le savez, vous vivez dans un monde qui jouxte le meilleur du paradis et le meilleur de l'enfer. Et souvent le pire de l'enfer récompense ceux qui n'ont pas mérité le meilleur du paradis. Vous ne survivrez pas au venin que vous servez."

En tout cas, le chemin d'avenir vers 2016 se profile désormais avec netteté dans cet univers où le maître OTSOMBE n'a même pas pitié de ses propres serviteurs :  LE PETROLE COULERA, LE SANG AUSSI - MEME CELUI DES PROCHES SUR LEQUEL ANTOINETTE TCHIBOTA SASSOU NGUESSO EPANCHERA UNE LARME DE CROCODILE COMME LORS DES FUNERAILLES D'ADOUA ! IL N'Y AURA PAS DE SACRIFICES INTERDITS CAR SEUL LE POUVOIR RENDU AU PEUPLE EST LE SEUL INTERDIT. MEME S'IL RESTE DEUX CONGOLAIS, IL REGNERA ! DIXIT DENIS SASSOU NGUESSO.. Si la marche forcenée vers l'enfer continue, il n'y aura pas d'aube pour tout un peuple dont la bête, le dragon de l'Alima réclame le sang...

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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 22:53
DES PERSONNES EN VIE ACHEVÉES A LA MORGUE DE BRAZZAVILLE
DES PERSONNES EN VIE ACHEVÉES A LA MORGUE DE BRAZZAVILLE

La morgue de Brazzaville devient un abattoir dont les bourreaux sont les croque-morts

Dans les années passées plusieurs anecdotes rapportaient que parfois à la morgue de Brazzaville, les morts revenaient à la vie au grand étonnement des croque-morts qui le plus souvent s’évaporaient dans la nature face à une telle situation. Bien entendu, croire ou pas à ces anecdotes relevait d’un avis personnel.

Des années se sont succédé et le Congolais est rentré dans une autre phase de vie, une sorte de transformation négative à cause des différentes guerres que le pays a connues. Si hier la vie était sacrée, aujourd’hui elle ne l’est plus du tout au point où le mort ne bénéficie même plus du respect d’antan. Tout a été banalisé, et les obsèques ont perdu leur caractère triste et émotif devenant des moments de joie parfois, où la bière et la danse remplacent les pleurs quelques minutes juste après la mise sous terre du disparu.

Le croque-mort qui jadis était habité par la peur par tout mouvement de vie dans la morgue, est devenu cruel, et juge cet instant comme un défi lancé par le cadavre. Donc l’envie d’en finir lui habite tellement qu’à l’instant au lieu de réfléchir, le casier d’où proviennent les signes de vie est automatiquement ouvert pour un affront avec le supposé cadavre. Si ces anecdotes d’antan semblaient rapporter que ces cadavres qui revenaient à la vie n’étaient en fait que des personnes vivantes prises pour mortes, aujourd’hui ce doute persiste toujours à la seule différence que le croque- mort ne fuit plus, mais achève plutôt le « revenant » froidement.

Plusieurs croque-morts rapportent qu’il est important pour les familles de bien s’assurer du décès de leur proche à l’hôpital avant son transfert à la morgue, ou à défaut glisser quelques billets de banque à ces derniers ainsi que les contacts téléphoniques en cas d’un retour à la vie du mort. A ce moment, le croque-mort prend le soin d’aider le mort dans son retour à la vie et alerte au passage la famille. Des témoignages de quelques familles corroborent cette thèse, et vont même plus loin en nous présentons certains cas. A Ouenzé le cinquième arrondissement de Brazzaville par exemple dans la rue Loubomo, Emile qui avait piqué une crise avait été déclaré pour mort au Centre Hospitalier Universitaire de Brazzaville (CHU), mais sa femme n’ayant pas confiance aux médecins avait pris le soin de glisser un billet de 10000 frs Cfa et son contact téléphonique au croque-mort qui trois heures après lui signifiait que son mari venait de revenir à la vie.

C’est ce croque-mort en effet qui va dévoiler devant la famille le grand secret machiavélique de la morgue de Brazzaville où plusieurs personnes qui y arrivent encore en vie sont achevées par eux. Il va même plus loi en donnant comme exemple plusieurs cas de cadavres parfois qui y arrivent sans signes de violences externes, et apparaissent à leur enterrement avec des blessures, des bosses, voir même le coup retourné. Selon lui cela est simplement dû à l’effet « achèvement » comme il le définit. Face à ces révélations, certains sont étonnés que les autorités municipales et policières ne prennent aucune mesure, mais bien au contraire encouragent par leur silence cette pratique incitant les familles à verser « quelque chose » aux croque-morts pour un hypothétique retour à la vie de leur cher !… Pathétique n’est-ce-pas quand la mort devient un fond de commerce pour certains ?… Le système sanitaire Congolais est malade, très malade même à tel point que les Etats généraux de la santé s’imposent afin de l’harmoniser et le rendre viable pour le bien des populations.

Le doigt accusateur pointe tant les gouvernants que le personnel de santé en général qui au sens de tous a démissionné à ses principes et semble ne plus se reconnaître au serment d’Hippocrate, mais plutôt à la volonté de leur ventre, et au besoin croissant de leur poche.

Oeil d’Afrique avec Lolaka ya Congo

Source : http://oeildafrique.com/des-personnes-en-vie-achevees-a-la-morgue-de-brazzaville/

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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 21:47

Il est très souvent difficile de comprendre certaines réactions politiques tant les données apparentes sont contradictoires et que les intentions se manifestent en frappant des innocents. Il est possible d'imaginer la stupeur des paisibles Tchadiens habitant le Congo, terre de fraternité, pays d'immigration - même s'il y a un peu trop d'immigrés à mon goût - lorsque les agents des services de  sécurité de Jean Dominique Okemba leur ont fait la chasse pour les reconduire à la frontière sans la moindre explication qui vaille. Certains sont de paisibles personnes qui vaquent à leurs occupations se situant à mille lieux de la politique.

Nous avons élaboré des hypothèses assez éloignées parfois de la réalité car il n'était pas aisé de comprendre que le torchon brûlait entre Idriss Déby et Denis Sassou Nguesso respectivement à la tête du Tchad et du Congo. Deux amis, deux frères de lumière - même s'il s'agit de la lumière opaque d'Eblis - deux dictateurs arrivés au pouvoir par les armes, deux chefs d'Etat ayant prêté main forte à la France au Mali, deux complices dans le domaine des affaires croisées, bref deux sourires plus blancs que l'hypocrisie, deux frères adeptes du mensonge originel que rien n'opposait en apparence.

Hélas, entre Déby et Sassou, il y a eu l'ombre de la chute de François Bozizé, un autre fils de la veuve tombé sur la croix politique de la rébellion armée de la Séléka. Une ombre dont le spectre a été projeté très loin par Jean Dominique Okemba sous la vision d'un complot, ce qui aura valu aux paisibles Tchadiens vivant au pays du kimuntu une chasse à l'homme aussi soudaine que schizophrénique. Le "spécial" doit avoir l'imagination fascinante pour que Sassou le croie plus vite que sa propre pensée ne doute. Ntsourou en sait quelque chose, lui dont les avocats viennent de décider de boycotter la mascarde de procès de l'affaire du 4 mars 2012. Okemba doit tenir Sassou par les "nouilles" du cortex cérébral pour avoir une telle emprise sur l'homme au coeur chaud et à la tête froide. Tête de serpent à sang froid, coeur massif d'éléphant à sang chaud.

Dans les temps qui courent, il ne fait pas bon ton d'être le voisin de Denis Sassou Nguesso qui joue aux fourberies de Scapin dès que Jean Dominique Okemba lui émoustille la peur, cette émotion venimeuse qui réchauffe brusquement la tête de notre cobra royal national. Qui peut comprendre que Denis Sassou Nguesso reproche des choses à Déby concernant la chute de François Bozizé tout en envoyant deux cents militaires congolais soutenir la Séléka ? Tchéléka, nous avons du mal à suivre, nous qui ne sommes pas des hybrides à visage humain, nous, pauvre profanes qui ignorons tout de l'arcane des arcanes. Dans les loges propitiatoires, au travers de rituels sacrificatoires qui expliqueraient les crimes horribles de la Sangha, les fils de la veuve auront vite fait de se réconcilier sous le calice du sang humain que l'on boit dans des coupes de chair humaine au lieu de fumer le calumet de paix. Non, Déby et Sassou se ressemblent trop pour ne pas se réconcilier - même si muana ma Mouébara doit reprocher à son voisin aussi sec dans ses postures que le désert lui-même d'essayer de lui voler la vedette au niveau sous-régional : il y a quand même plus de verdure chez nous pour se passer de l'ombre même d'un frère de lumière.

Pour ceux qui ne sont pas dans le parfum des francs-maçons, faute d'une curiosité un peu osée des choses de l'occulte, Eblis est le serpent de la Genèse porteur de Lumière (en tout cas pas la lumière de la vérité). Donc tous les fils de la veuve sont en quelque sorte des fils du serpent, c'est-à-dire des reptiles venimeux, des séducteurs au venin très expéditif. Entre le serpent du désert et le cobra des bords de l'Alima, qui est la bête la plus insidieuse ?


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