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22 mai 2013 3 22 /05 /mai /2013 06:09

CHER PATRIOTE JE VIENS DE RECEVOIR CE DOCUMENT POUR LARGE DIFFUSION


CONFÉRENCE DE PRESSE DES SUITES 
DE LA CONVOCATION DE Me MBEMBA

INTRODUCTION : 
EXPOSE LIMINAIRE DE LA PERSONNALITE DE Me MBEMBA

POINT N°1 : EXPOSE DES FAITS
Le 7 mai 2013, des agents de la police nationale accompagnés d’un officier de la DGST et de plusieurs véhicules bâchés dont certains immatriculés, d’autres non, ont tenté de pénétrer de force dans la résidence de Me MBEMBA, président de la CNDH aux alentours de 19 heures.
Alerté, notre confrère va sortir de ses appartements pour s’enquérir de la situation, lorsqu’il trouve six agents en uniforme armés dans sa concession en train d’être repoussés par sa garde. Ne sachant l’objet de cette brutale violation de sa résidence, la garde demande à notre confrère de vite réintégrer les appartements et de ne pas en sortir. 
Des suites de cette altercation, les voisins du quartier sont alertés et se sont mis dans la rue. A la vue des gardiens des voisins, gênés, les agents de la police nationale se sont postés à 50m de part et d’autre de la résidence et siège de la CNDH, où ils sont restés toute la nuit en faction jusqu’au lendemain matin.
Tout indique vraisemblablement, qu’ils voulaient procéder à l’enlèvement de notre confrère. L’enlèvement du colonel MBANGO, directeur départemental de la police nationale au Pool, nous conforte dans cette certitude.
D’autant qu’en ce moment là, il n’a jamais été question de la part de la police ni de la DGST de rechercher au domicile de notre confrère on ne sait quel agent y assurant la garde.

POINT 2 : 
Le lendemain le 8 mai 13, curieusement, s’amènent vers 11 heures, le Directeur de la police judiciaire et le colonel Eloi ATIPO de la DGST au siège et domicile de notre confrère. Le directeur de la police judiciaire présente à notre confrère un mandat d’amener signé du Procureur de la République concernant un certain Martin MBIA habitant le quartier Poto-poto.
Notre confrère rappel au Directeur de la Police Judiciaire que vous vous êtes trompés d’adresse, car là où nous sommes en ce moment ne correspond pas à l’adresse indiquée par le mandat délivré par le Parquet de la République.
Que d’ailleurs, rien n’indique que des convocations préalablement adressées à l’intéressé à son domicile se soient avérées infructueuses.
Par ailleurs, il est clair que ce mandat d’amener devait être détourné de sa fonction, puisqu’il aurait servi à livrer Monsieur MBIA à la DGST et non à le présenter au Procureur de la République, pour la simple raison qu’il n’y a aucune information d’ouverte contre ce Monsieur MBIA au parquet.
Quand à l’objet du mandat, le même directeur dit que Monsieur MBIA serait impliqué dans un braquage qui aurait eu lieu à Poto-poto ; or le journal la semaine qui reprend les informations de la police dit que ce braquage aurait eu lieu à Kinsoundi. Voilà déjà le montage et le complot qui a commencé depuis plus d’un mois.

POINT 3 : LE 13 MAI 2013 ET L’INTERVENTION DES AVOCATS.
Tout commence le 13 mai 13 avec la réception par notre confrère d’une convocation signé d’un Directeur des services intérieurs de la DGST donc un directeur central.
Notre confrère s’entoure immédiatement des conseils pour étudier la réponse à donner à cette convocation.
Il sera décidé de répondre dans les plus brefs délais, soit le 14 mai 13 avant 10 heures à cette procédure scandaleuse et irrégulière. On a stigmatisé :
• L’incompétence des services de la DGST est patent ;
• Le défaut de procédure à notre connaissance au Parquet de la République. (atteinte aux articles 2, 14, sur l’ouverture d’information et la mise en œuvre de l’action publique, la DGST doit dénoncer en cas d’infraction) ;
• Le statut particulier de Me MBEMBA qui est toujours avocat et donc violation des dispositions des règles de droits commun et de celles portant sur la profession d’avocat et notamment l’article 1 de la loi du 26 août 1992 ;
• Enfin, il est Président de la commission des droits de l’homme reconnue constitutionnellement.
Tous ses éléments rassemblés, nous avons entrepris :
d’écrire au Directeur Général de la DGST et lui rappeler le statut particulier de notre client et qu’un simple directeur central ne pouvait se permettre un tel impair.
- lecture de la correspondance du 14 mai 13 au DG de la DGST
A ce jour notre correspondance n’a reçu aucune suite et sommes dans l’impossibilité de vous dire quel est le sort de notre client. Il faut dire que ces services agissent dans l’illégalité totale alors même que la conférence nationale avait dissout la sécurité d’état, la DGST se comporte exactement comme une police politique au service d’un individu sans respect de la loi. C’est pourquoi nous n’avons pas recommandé notre client à s’y rendre et nous avons eu raison car le colonel BANGO, en fonction, a été pris comme un malfrat chez lui à 20 heures sans aucun titre. Ils peuvent donc faire de même contre notre client.

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20 mai 2013 1 20 /05 /mai /2013 14:20

Merci à mon ami P.O. pour la vidéo de la Grande Interview au cours de laquelle monsieur Smith reçoit l'économiste Tsengué Tsengué que je ne connaissais pas. Cet homme dirige la PMI congolaise Challenge Futura spécialisée dans l'ingénierie et la fabrication industrielle d'équipements agricoles ainsi que l'énergie et l'eau. Un homme de terrain qui est arrivé à la même conclusion que nous : le Congo ne sera pas un pays émergent en 2025. Pour la bonne raison que tout y fait défaut : les ressources humaines, l'énergie, les infrastructures, le cadre favorisant la création d'entreprise, etc.

Nous avons toujours dit et nos 371 abonnés peuvent en témoigner que ce que nous devons demander aux Chinois ce n'est pas de construire nos routes ou nos barrages mais de nous apprendre à les construire nous-mêmes au travers d'instituts technologiques renforcés par des projets infrastructurels ou de terrain qui permettraient aux ingénieurs congolais de se faire les dents, d'affûter leurs premières armes. D'ailleurs, les Chinois eux-mêmes imposent à l'Europe un transfert de technologie qui leur permet d'avancer au point où ils peuvent prétendre à la deuxième place en matière de puissance économique. Aujourd'hui, la Chine forme ses propres ingénieurs, produit ses propres avions, ses propres voitures, ses propres biens de consommation avant de les exporter. Et nous savons ce qu'était la Chine de Mao, un pays fermé, sous embargo qui a trouvé les ressources pour se transcender afin de devenir la puissance qu'elle est aujourd'hui. La Chine a par exemple le monopole de la production des terres rares si recherchées par les industries de pointe.

Nous en Afrique, à quelques exceptions près,  avons des matières premières mais comme nous n'imposons pas que les multinationales extractives les transforment sur place, nous ratons l'occasion qui nous aurait permis de passer la phase intermédiaire qui conduit à l'émergence. Rien que le pétrole aurait créé des milliers d'emplois s'il était transformé sur place, et je ne parle pas du bois, du fer et de tous les autres minérais comme la potasse, le manganèse, l'or, etc.

L'émergence, c'est la capacité à produire la nourriture, le savoir, le savoir-faire, les outils et les biens qui sont à même de satisfaire votre propre demande intérieure. Il est possible de passer par une phase intermédiaire de dépendance ou de semi-dépendance où des compétences sont créées ou renforcées mais au final, c'est à nous de créer ce dont le Congo a besoin. Monsieur Tsengué Tsengué a raison de dire que l'on n'achète pas l'émergence et on n'est pas un pays émergent si on ne produit rien parce que tout ou presque est importé.

Il est de bon ton de croire que les conseillers de monsieur Sassou Nguesso sont des pointures universitaires mais nous ne croyons pas qu'ils soient aussi bons qu'on le prétend sinon ils ne laisseraient pas le chef de l'Etat prendre de très mauvaises décisions et surtout ne pas mettre à l'endroit le séquencement du développement national. Pour moi, un homme comme Tsengué Tsengué, médaillé d'or à Genève pour son inventivité devrait prendre la place de Louis Bakabadio comme conseiller à la présidence de la république car il fait ses preuves sur le terrain avec peu de moyens. C'est dommage que l'Etat congolais n'aide pas assez les PMI comme Challenge Futura et qu'il faille que les soutiens viennent d'ailleurs. Les PMI ont besoin d'allègements fiscaux, de financements nationaux pour orienter leur production en direction du marché intérieur. Pour ne prendre que l'exemple de la France, les PMI sont en matière d'emplois les champions du recrutement.

Nous savons que le président nous lit. Il sait que nous avons toujours été pour que l'on favorise les acteurs économiques locaux avant tout. L'Etat peut subventionner ses PMI innovantes car elles ont le potentiel de sortir le pays de l'ornière mais pour y arriver, il faut des infrastructures, des ressources humaines, des compétences, de la formation et des enseignants de qualité - d'où une véritable refonte du système éducatif congolais.

Nous pouvons parvenir au développement ou à l'émergence si le Congo s'en donne les moyens, c'est-à-dire, si la nation rassemble dans l'ordre tous les ingrédients qui peuvent nous conduire à réduire notre dépendance économique envers l'extérieur : c'est quoi ce pays à la terre si fertile qui importe même l'oignon et la tomate ? Produire d'abord, chercher à transformer ensuite et enfin exporter. Et comme le dit le président Obama, si nous le voulons, YES WE CAN. En tout cas, nous l'avons déjà dit que ça ne sera pas le cas en 2025. Nous gaspillons déjà la seule ressource qui peut nous permettre de développer les autres ressources : l'argent, la ressource universelle qui peut acheter ou développer le savoir, le savoir-faire, le savoir-combiner, le savoir-construire, le savoir-décider, le management, etc, en finançant par exemple des anniversaires comme celui de madame Antoinette Sassou Nguesso à coups de millions d'euros  publics, un argent qui donné à Challenge Futura aura permis à cette PMI de passer un cap et de voir plus loin.

C'est vraiment triste de voir des fils de la terre du Congo foutre leur propre pays en l'air - parce qu'ils ne savent pas à quoi sert véritablement l'argent.

L'émergence n'est pas possible aujourd'hui et elle ne sera même pas possible en 2080 si rien n'est fait, si nous continuons à gaspiller nos ressources, à gaspiller l'argent public au lieu de faire les investissements intelligents qui changeraient l'avenir de notre pays.

A la base du kimuntu, il y a l'homme, le bien le plus prestigieux qui soit sur cette planète car il est celui qui peut produire la richesse. Nous, Bantous, plaçons l'homme au piedestal de l'importance, un état d'esprit qui se perd aujourd'hui parce que l'argent facile est privilégié, l'argent qui a supplanté l'homme en matière d'importance. Or, Denis Sassou Nguesso tue la jeunesse en tuant l'école et en n'utilisant pas les richesses du pays à bon escient. Ce n'est pas en 2080 quand nous n'aurons plus assez de pétrole, c'est-à-dire plus assez d'argent que l'émergence sera possible.

  Aucun pays ne s'est développé sans produire et exploiter son propre savoir,son propre savoir-faire, ses propres structures, ses propres matières premières - même si parfois il faut collaborer avec les autres - et cela, nous n'y prenons pas le chemin. En tout cas, pas tant que Sassou restera  au pouvoir et que Louis Bakabadio sera son sempiternel conseiller...


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19 mai 2013 7 19 /05 /mai /2013 19:20

Plus que deux ans et quelques mois avant 2016, l'année du basculement dans l'inconnu politique tant redouté par le clan au pouvoir. 2016, une année qui si le statu quo continue, signera normalement la fin du règne de monsieur Denis Sassou Nguesso, le plus long de l'histoire politique du Congo, Denis Sassou Nguesso qui aura passé plus de quarante ans au pouvoir après avoir effectué ses deux mandats et avoir dépassé l'âge de soixante-dix ans. L'homme est dans les rouages du système politique congolais depuis l'époque du président Marien Ngouabi qui quoi que l'on dise était un vrai fils du Congo ayant commandé le pays de 1968 à 1977. Or, ce qui s'avère une solution pour le peuple (son départ de la scène politique) ne sied pas à monsieur Denis Sassou Nguesso qui n'envisage pas sa vie sans l'ivresse et les facilités concédées par le pouvoir. Il est temps pour lui et ses sbires du PCT d'envisager une opération de hold-up définitif du pouvoir en modifiant la constitution en ses points inaliénables. Seule manque l'opération cosmétique qui légitimera ce putsch constitutionnel.

Au moment où certaines rumeurs qui me parviennent affirment que la mère du grand éléphant était d'origine centrafricaine, raison pour laquelle il aide tant cette république soeur, allant jusqu'à payer les salaires des fonctionnaires de ce pays comme le faisait feu Omar Bongo pour le Congo avec l'argent du Gabon, nous apprenons ce que les hyènes et les charognards du PCT colportent : la plus grande conspiration jamais fomentée contre le Congo et son peuple.

Ne vous attardez pas dessus mais je sais déjà que nombreux vont certainement le faire. Que son père ait pu être du Bénin ou d'ailleurs et que sa mère fut centrafricaine n'empêche pas à monsieur Denis Sassou Nguesso d'être Congolais. C'est juste une digression qui peut avoir son importance dans d'autres cieux où l'on exige que le candidat à l'élection présidentielle soit  né de père et de mère natifs du pays. Bref, ce n'est pas le cas au Congo - même si ça peut expliquer la tendance qu'a monsieur Denis Sassou Nguesso à se porter au chevet de pays étrangers - comme s'il n'avait cure de ce qui se passe dans son propre pays : Centrafrique, Niger, Bénin où il a construit le plus grand marché de ce pays, même la Chine à qui il a donné un milliard de francs cfa soit plus de 150 millions d'euros pour la construction d'une école - alors que c'est la deuxième puissance économique du monde, etc, ont bénéficié des largesses de l'homme des dépenses faciles qui n'a pas hésité à financer l'anniversaire des soixante-dix ans de sa femme à coups de millions d'euros publics à Saint-Tropez la ville des milliardaires. 

Pour revenir à nos vaches d'Oyo, disons que Sassou a demandé au PCT, le parti créé par le président Marien Ngouabi, d'effectuer des consultations à propos de la modification de la constitution de janvier 2002. C'est Marien Ngouabi qui a créé le PCT, Sassou n'ayant aucunément l'intelligence pour être cofondateur de ce parti. Oui, il était présent au commencement de l'aventure PCT mais pas en qualité de cofondateur. Désolé, son cerveau n'est pas programmé pour faire le bien mais le mal...

Si c'était juste une question de palabre comme disent les Ivoiriens, on ne pourrait s'en inquiéter car il n'est pas interdit de parler de la constitution ou d'en discuter mais si le PCT consulte, c'est que ce parti cherche la manière la plus habile pour faire accepter la modification de la constitution de janvier 2002 au petit peuple. Si ce parti au pouvoir avait trouvé la recette miracle pour boutiquer l'arnaque du siècle, il n'aurait jamais été question de "consultations". Par consultations, il faut entendre tous les mécanismes politiques permettant d'atteindre l'objectif de la modification de ladite Constitution. C'EST UN GROS COUP  QUI RESSEMBLE AU CASSE POLITIQUE DU SIECLE. IL FAUT QUE TOUS LES DOCTEURS EN AGITATION POLITIQUE, TOUS LES EXPERTS EN MANIPULATION DES MASSES, TOUS LES GROS LOUBARDS DU PCT ET D'AILLEURS ENTRENT EN CONCLAVE POUR ACCOUCHER D'UN MENSONGE A LA PEAU LISSE CAR GRATTE A L'OIGNON POUR SEDUIRE LE PEUPLE.

Attendez, ce n'est pas parce que la constitution d'un pays favorise l'alternance qu'il faut la chambouler ! Il eût mieux fallu pour Denis Sassou Nguesso pendant que le pays était totalement à sa merci qu'il introduisît  les textes qui lui auraient permis  de se représenter continuellement jusquà la mort. Or, il a voulu écarter ses rivaux les plus sérieux au travers de la limite d'âge (soixante-dix ans) et celle des mandats (deux). De même que les Congolais de la diaspora ont été écartés pour délit de "séjour à l'étranger".

Sassou a dit à un journaliste français (France 24) que la question de se succéder à lui-même n'était pas à l'ordre du jour. Apparemment, c'est à présent le cas. Nous ne souhaitons pas que le parti créé par l'immortel Marien Ngouabi assassiné par un complot ourdi par Denis Sassou Nguesso puisse devenir complice d'un hold-up constitutionnel car personne ne sait ce qui risque de se passer si pareille chose advenait. Cet acte pourrait plonger le Congo dans une crise grave. Le peuple est contre la modification de la constitution juste pour satisfaire la soif inextinguible d'un homme qui veut mourir au pouvoir, un homme qui ruine et conduit le pays à sa perte. A soixante-dix ans révolus, il est temps de quitter le pouvoir pour s'occuper de vos vaches et de vos étangs et de toutes vos affaires qui vous préoccupent plus que l'avenir des Congolais, monsieur Denis Sassou Nguesso.

Si le PCT pactise à la violation de la constitution, cela reviendrait à assassiner le président Marien Ngouabi pour la seconde fois : la première fois, les membres du PCT avaient dit qu'il valait mieux perdre un Kouyou que de perdre le pouvoir, la seconde fois, on veut tout simplement assassiner à présent le pays où il a vu le jour.

Chers membres du PCT, vous avez eu le courage de refuser la modification des contrats pétroliers comme le demandait Sassou à l'assemblée nationale pour faire plaisir à ELF qui l'avait aidé à revenir aux affaires louches de la république ; vous pouvez refuser aujourd'hui de collaborer pour éviter la décadence et la mort de la république qui basculerait d'un régime présidentiel à un régime monarchique. Vous profitez certes du système en vous enrichissant énormément mais cela vaut-il la peine de laisser dépérir une nation pour la gloire d'un seul homme ? C'est une grosse responsabilité que vous prendrez si vous êtes les complices du monstre de l'Alima qui vous a demandé de commencer la forfaiture qui conduira à ouvrir la boîte de Pandore comme le dit le professeur Marion Madzimba Ehouango. Nous partageons son avis en estimant que l'urgence est ailleurs et il a bien raison de vous inviter à réfléchir sur la façon d'améliorer les procédures électorales afin de permettre l'organisation d'élections libres et transparentes.

Marien Ngouabi aimait le Congo, son pays et le pays de ses ancêtres. Il avait dit au peuple : "SI VOTRE PAYS EST SALE, IL FAUT LE LAVER AVEC SON PROPRE SANG". Hélas, son sang n'a pas lavé le pays de sa saleté politique. Peut-être n'avait-il aucune vertu septique parce qu'il était déjà sale du sang de Kinganga et d'Ange Diawara mais il le croyait, il estimait que sa mort pouvait sauver sa patrie. Hélas, Marien n'était pas Christ. Il a succombé au nième complot ourdi par celui qu'il avait hissé très haut : Denis Sassou Nguesso, le mal du Congo depuis quarante ans.

Personne n'a obligé cet ambitieux à écrire de cette manière sa propre constitution taillée sur mesure ; il faut donc qu'il en assume les conséquences. L'INTERET DE LA NATION DOIT ETRE AU-DESSUS DE L'INTERET PERSONNEL. Si nous ratons cette occasion de nous débarrasser de la gangrène Sassou, nous n'aurons plus que nos yeux pour pleurer car il conduira inéluctablement le pays à sa perte.

Lorsqu'on ne peut plus porter sa veste trop serrée parce qu'on a pris de l'embonpoint, on ne la déchire pas et on n'assassine pas le tailleur. On passe la veste à quelqu'un d'autre à qui elle sied mieux et on remercie son tailleur : le peuple congolais, d'avoir fait preuve de tant de sagesse et de patience à son égard. Qu'il se souvienne avoir demandé pardon au peuple au sortir de son coup d'Etat de 1997. CETTE FOIS-CI, WE THE PEOPLE, NOUS LE PEUPLE, NE LE LUI PARDONNERONS PAS. IL ASSUMERA LES GRAVES CONSEQUENCES QUI S'EN SUIVRONT...

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19 mai 2013 7 19 /05 /mai /2013 09:59

Wilfried_Kivouvou.jpgUne nation, grande ou petite, c'est avant tout des identités, des caractères, des personnalités, des dévouements, des projets, des ambitions, une destinée commune qui au final écrit une histoire commune faite d'espoir, de déceptions, de moments glorieux, de moments douloureux au sein d'un espace commun. Tout cela ne peut s'affirmer sans une cohésion sociale matérialisée dans des institutions qui garantissent à tous les mêmes chances dans les mêmes circonstances - et cela de la naissance à la mort.

Notre pays ressemble à un gros corps malade et comme chez cette ethnie où chaque individu donne un peu de sa salive pour contribuer à la guérison d'un malade, chacun de nous doit, selon ses moyens, ses compétences, ses qualités humaines, apporter sa cote-part à la guérison du  GRAND MALADE CONGO. Nous avons choisi de redonner la voix au grand malade Congo. En effet, un malade incapable de dire de quoi il souffre inquiète plus qu'un autre. Vous pouvez constater par vous-mêmes ce qu'il en est entre la naissance de DNCB et aujourd'hui. La liberté de la parole est en marche au travers de la liberté d'expression - même si TOUT le grand corps malade n'a pas encore retrouvé la parfaite amplitude de sa voix globale.

La liberté dont la démocratie n'est que la fille, c'est un peu comme la santé : on la perd vite mais on la recouvre difficilement, douloureusement, lentement dans le cas des grandes pathologies. ET IL FAUT UN RUDE COMBAT SUR DEUX PLANS, L'UN PHYSIQUE, L'AUTRE MENTAL ET ON PEUT MEME AJOUTER UN PLAN MYSTIQUE. La confiscation de la liberté s'accompagne toujours d'un bâillonnement des bouches car toute révolte commence toujours par un mécontement populaire exprimé vocalement. LA PAROLE EST LA PREMIERE DES CHOSES QUE NOUS PERDONS CAR SANS ELLE, NOUS NE POUVONS GALVANISER LES ESPRITS, LES FORCES. D'AILLEURS NE DIT-ON PAS : "AU COMMENCEMENT ETAIT LA PAROLE ET LA PAROLE ETAIT AVEC DIEU, ET LA PAROLE ETAIT DIEU" ? Nous n'avons pas envie de nous lancer dans une espèce de prédication sur le pouvoir créatif de la parole. Il y a assez de pasteurs qui vivent du vrai pain tiré de la fausse parole qui ne nourrit le peuple, elle, que d'espérance...

Sollicités par nos compatriotes, nous essayons toujours de donner une réponse positive, parfois en protégeant l'identité de ceux qui s'expriment, tantôt en présentant les personnalités en pleine lumière lorsque tel est leur souhait. Nous avons la faiblesse de croire que le chef de l'Etat a cette grandeur d'esprit de supporter la critique puisqu'il a prêté serment de nous servir TOUS, de nous représenter TOUS. Le critiquer, l'interpeller revient en quelque sorte à critiquer ou à interpeller chacun de nous, à critiquer TOUT le Congo. En fait, ses faiblesses sont peut-être aussi les nôtres, celle du peuple qui n'arrive pas à imposer ses inputs, ses desideratas, sa volonté collective tellement plurielle, tellement dispersée et volontairement divisée pour inhiber toute vélléité unitaire très destabilisante et périlleuse pour les dictatures et tyrannies de toutes sortes.

Le premier d'entre-nous ne doit pas être le pire d'entre-nous. Hélas, nous en avons parfois l'impression, tellement ses agissements vont à l'encontre des intérêts du peuple ou de l'unité nationale. Nous avons tous le droit de nous exprimer à ce propos - parfois au travers de la parole cristallisée : l'écriture. Un écrivain disait : "Les problèmes de tous sont des problèmes politiques ; les problèmes politiques sont les problèmes de tous".

Nous ne croyons plus au changement :  il n'y a plus de chance qu'un vieil éléphant d'au moins soixante-dix ans, car né vers 1943, change. Il doit partir pour l'intérêt de tous. SE MAINTENIR AU POUVOIR DANS CES CONDITIONS REVIENT A COMMETTRE UN CRIME DE LESE-NATION, DE LESE-PEUPLE. C'EST CE QUE NOUS APPELONS UN DEMOCIDE. LE POUVOIR RESSEMBLE A UNE FORCE CAPABLE DE DONNER LA VIE A TOUS MAIS COMME TOUTE FORCE ATTIRE SON CONTRAIRE, ELLE PEUT AUSSI CONDUIRE A LA MORT DE TOUS, DE TOUT UN PEUPLE. Et cela, nous ne sommes pas les seuls à l'avoir compris. Or, pour éviter la mort collective d'une nation, il faut l'apport de tous.

Nous avons reçu une correspondance de notre compatriote Wilfried Kivouvou, économiste et manager, créateur de l'Intiative Citoyenne. Il a souhaité vous présenter son mouvement et surtout, rendre publique la lettre ouverte qu'il a envoyée au chef de l'Etat Denis Sassou Nguesso. Nous osons croire que le fait de la publier ici ne lui apportera pas d'ennuis car le premier d'entre-nous a garanti de sa bouche, de ses paroles, la liberté d'expression, affirmant haut et fort que personne ne serait inquiété pour ses opinions. Si nous émettons cette mise en garde, c'est parce que nous savons que le principe de la liberté d'expression se bride au Congo à coups d'intimidations diverses.

Les documents reçus vous sont proposés en l'état sous le format initial (PDF). Nous tenons à la forme et elle est correcte - juste une béquille ou deux comme pointillet écrit pointillé mais là n'est pas l'essentiel. Cliquez sur les liens numérotés des documents pour les ouvrir et faire connaissance avec notre frère Wilfried Kivouvou et son mouvement INITIATIVE CITOYENNE.

1. INITIATIVE CITOYENNE

2. LETTRE OUVERTE DE MONSIEUR WILFRIED KIVOUVOU AU CHEF DE L'ETAT DENIS SASSOU NGUESSO

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17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 15:25

Mere-Antou-a-St-Tropez.jpegQuelle habile comédienne, quelle actrice jouant à la perfection son rôle d'âme remplie de compassion quand elle s'y met ! En tout cas, à chaque fois que je l'ai vue dans ce registre, l'émotion passait. PLUS MAINTENANT. Il est vrai que les hommes et les dames de la politique habitués aux premiers rôles sont des comédiens en puissance devant les caméras mais certains plus d'autres. Antoinette Sassou Nguesso, la première dame haut perchée au sommet du manguier, aurait pu réussir dans le monde du cinéma en qualité de star : devant les caméras de téléSassou, elle joue divinement bien la comédie. Elle me paraissait parfois crédible dans son rôle de présidente d'un organisme de collecte de fonds censés aider les pauvres. Comment ça s'appelle déjà ? Ah, CONGO ou OYO-ASSISTANCE, ce piège tendu solidement entre le Congo et le reste du monde pour collecter de l'argent au nom des pauvres, de l'argent que les gueux ne voient jamais - sinon quelques objets de pacotille jetés ici et là en direction des orphelins, des pauvres, des femmes, etc, comme pour jeter du lest.

Antoinette Sassou Nguesso est à la tête de nombreux biens immobiliers en France, au Congo et ailleurs ; c'est le moins qu'on puisse dire. Cette femme qui vient de fêter ses soixante-dix ans avec faste à Saint-Tropez en dépensant non pas un mais au moins trois millions d'euros possède son propre cabinet à la présidence de la république - alors que l'épouse d'un chef d'Etat n'a pas à jouer le moindre rôle officiel qui ne soit  prévu par la constitution, même pas celle de son propre mari Sassou. On comprend qu'à cet effet, elle reçoit des milliards de francs cfa de l'Etat congolais au nom de l'assistance mais n'assiste en fait qu'elle-même et sa propre famille !

En analysant son fastueux anniversaire à Nice, plus précisément à Saint-Tropez, où elle a écumé les hôtels cinq étoiles, les magasins luxueux et les restaurants de la Jet Set en compagnie de cent cinquante personnes aux frais de l'argent du contribuable, nous avons compris quel était son véritable visage, quel genre de Jézabel des temps modernes elle était, incapable d'inspirer positivement son époux afin qu'il soulage la soif, la faim, la maladie au sein du peuple.

Nous avons une suggestion à lui faire concernant les sinistrés du 4 mars 2012 qui dorment dans des tentes ou à l'air libre. Maintenant que la preuve est faite qu'il y a de l'argent, c'est-à-dire, des milliards hors-budget - ce que nous savons depuis longtemps, nous souhaitons qu'elle incite son mari à reloger les sinistrés du 4 mars 2012 dans des hôtels, dans les maisons d'Etat de Bacongo car il y a assez d'argent pour les loger tous, l'Etat pouvant même imposer des prix : en effet, ces hôtels ont été construits pour la plupart avec de l'argent détourné dans les caisses de l'Etat. Au Congo, les hôtels appartiennent pour un grand nombre  à des ministres, à des hommes politiques. Certains pourraient même être logés à l'hôtel Alima, à Oyo, qui est sous-exploité avec un taux de remplissage très bas. Il y a quelque trois mille familles et nous estimons qu'avec le nombre d'hôtels que nous avons juste à Brazzaville, toutes ces personnes peuvent être logées.

Nous proposons aussi à l'Etat de louer des logements en pleine cité à certaines familles sinistrées au lieu d'acheter des armes et cela, jusqu'à ce que l'Etat leur construise des nouveaux logements. Nous n'avons plus besoin de dépenser autant d'argent pour que des armes de destruction massive pètent, explosent au visage du peuple endormi rêvant de la façon de trouver au réveil un hypothétique moungouélé (pain de manioc). Nous ne voulons plus que le Congo affronte le Congo. Tout cela doit s'arrêter. Madame Antoinette Sassou Nguesso peut, si elle le veut, incliner le dur coeur en pierre de son mari qui ne lui refuse rien dans ce sens.

Si Antoinette avait un peu tant soit peu de compassion pour ces pauvres sinistrés du 4 mars 2012 qui ont tout perdu par la faute de son mari, elle appuyerait cette idée. Les baux à la cité ne sont pas très chers. L'Etat peut donc reloger tout le monde en attendant. Nous demandons à la première dame, à l'éléphantesque épouse de monsieur Sassou Nguesso qui pèse de tout son poids auprès de son époux, d'entendre la voix du peuple.

Cher madame, telle la belle dans le film de l'autre,  vous dormez avec la bête qui vous prête une oreille attentive et amoureuse. Vous avez donc un pouvoir inestimable à ses yeux : n'a-t-il pas débloqué tous ces milliards de francs cfa pour votre petite virée à Saint-Tropez en compagnie de cent cinquante personnes, en France chez les milliardaires de la Côte-d'Azur ? NOUS VOUS DISONS MEME, BIEN QU'IL S'AGISSE DE L'ARGENT PUBLIC, UNE FOIS N'EST PAS COUTUME : "S'IL VOUS PLAIT" !

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 21:50

Non, ce n'est pas possible ! Le reportage du Petit Journal de Canal+ nous donne encore plus de détails de l'anniversaire de madame Antoinette Sassou Nguesso qui nous le répétons n'est qu'épouse du gangster en chef au sommet de l'Etat du Congo et à ce titre, elle ne saurait justifier de tout l'argent qu'elle a distribué à ses cent cinquante invités :  les petits 10000 euros, les grands 30000 euros !  Et nous ne parlons même pas du reste du programme dont vous avez lu les détails dans nos précédents articles ! Ce sont des invités  interviewés qui le disent !

Pendant que madame Antoinette Sassou Nguesso fait sa bamboula en France, à Saint-Tropez, la télévision officielle fait croire qu'elle visite un orphelinat en rediffusant un vieux reportage datant du 7 mai 2013 qui a dû être tourné afin de distraire le petit peuple crédule. Voilà la preuve que la télévision officielle ment - alors même que tout le monde sait que madame Antoinette Sassou Nguesso est à Saint-Tropez pour célébrer l'anniversaire de ses soixante-dix ans. Vous comprenez pourquoi je n'y suis pas abonné...

N'est-ce pas là dans l'expression la plus triviale se foutre de la gueule du peuple en cassant des cacahuètes sur son dos ? Qui va demain rembourser l'argent que Sasssou emprunte à la Chine - alors que nous n'avons pas besoin d'emprunter aux yeux bridés qui veulent nous voler nos terres et nous coloniser ? Il n' y aura toujours pas de pétrole et un jour, le Congo ne nous appartiendra même plus si ce n'est déjà le cas. Mon Dieu, faites que les voies du destin permettent que mon sort rencontre celui du Congo pour y jouer un jour le plus petit rôle afin de permettre à la justice de triompher....

  Nous nous révoltons contre ce régime et tout homme qui aime le Congo ne saurait rester indifférent à cette prédation économique qui dure depuis près de quarante ans - puisque c'est à peu près la durée de Denis Sassou nguesso au pouvoir. Non, il faut que tous les Congolais de bonne volonté s'indignent et se disent que ces gens-là, si on ne les arrête pas, ils vont détruire le Congo. Avec ça, la production pétrolière va doubler - sans que le peuple en profite  !

Cet argent est sorti des caisses de l'Etat congolais et on ose dire qu'il n' y a pas d'argent au Congo aux pauvres enseignants ! Je ne parle même pas des étudiants qui n'ont pas reçu leur bourse depuis des mois ! Si vous faites les calculs, 150x10000 = 1500000 euros donc cette fiesta a coûté au minimum 3 millions d'euros puisque les grands disent avoir reçu au moins 30000 euros. Et ce n'est que l'argent de poche au vu du programme ! Plus d'un milliard de francs cfa, peut-être deux ou trois avec les jets privés et tout le reste...

Pour ses soixante-dix ans, madame Antoinette Sassou Nguesso a vraiment saigné le budget du Congo mais ce n'est rien puisqu'il y a assez de surliquidités à la BEAC. Vous avez la preuve que le budget du Congo a bien été voté mais qu'il y a de l'argent qui sort hors-budget pour divertir madame l'éléphant et ses courtisans. C'est insultant pour le peuple congolais et nous jugerons un jour ce genre de comportements car il s'agit de haute trahison. Nous le disons, ce n'est pas à des innocents qu'il faut s'en prendre mais à ceux qui commettent des délits graves de quelque nature que ce soit aux yeux du monde entier. 


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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 20:14

Mes chers compatriotes, nous sommes pour la justice. Dans la vérité. Pour tous. Sans émotions. Ni rancunes de toutes sortes. La justice ne se négocie pas, ne se travestit pas quel que soit l'individu, d'où qu'il vienne, d'où qu'il soit et quoi qu'on lui reproche de son cheminement social ou politique.

Nous lisons des textes où certains s'en prennent à maître Mbemba en prétendant que ce qui lui arrive est un juste retour de bâton - ce qui ne saurait s'accepter en république car dès que nous admettons la moindre injustice, dès que nous répondons à l'injustice par l'injustice, nous sapons le fondement moral sur lequel est bâtie la vraie justice.

Le fait qu'un homme serve son pays sous un régime dictatorial n'autorise pas à l'incriminer si des faits clairs et nets ne lui sont pas reprochés devant une juridiction nationale qui rend la justice au nom du peuple. Nous devons dépasser nos émotions, nos rancoeurs sinon nous ne vaudrons jamais mieux que ceux que nous combattons. Il y a le jugement des hommes, celui de l'histoire et enfin celui du ciel. Quiconque reprocherait quelque chose à maître Jean Martin Mbemba, sûr de son fait, certain de ses preuves, peut porter plainte devant les tribunaux nationaux ou internationaux mais nul véritable démocrate ne peut accepter ce qui lui arrive : qu'on cerne sa maison ou qu'on tente de l'enlever sans motifs avérés aux yeux de la loi.

Si nous admettons l'injustice, quel mérite avons-nous plus que Sassou, Ndenguet ou Okemba ? Ceux qui me lisent constatent qu'en matière de justice, je défends TOUS les fils du Congo, quels qu'ils soient, d'où qu'ils viennent selon le hasard des naissances et du destin. La justice est une posture qui ne tolère  l'arbitraire pour personne. Tous ont le droit de répondre devant la justice et de se défendre mais toute attaque judiciaire doit être fondée aux yeux des lois de la république et des droits universels de l'homme. Sans quoi, nous sombrons dans la loi de la jungle et cela, nous ne le voulons pas pour le Congo.

Oui, le Congo sombre dans les ténèbres d'une dictature sans pitié depuis 1997 mais nous avons la faiblesse de croire qu'en face, chez ceux qui agissent comme un corps étranger à la nation, il y a encore quelque chose d'humain qui reste tandis que la monstruosité progresse telle une métastase. LA CONSERVATION DU POUVOIR NE JUSTIFIE PAS TOUT - SURTOUT LORSQUE CEUX A QUI ON S'ATTAQUE NE MENACENT PAS LA DICTATURE ASSISE SUR DES DIZAINES DE MILLIERS DE MORTS ET DES MILLIONS D'OBUS ET DE MUNITIONS...

Nous venons de recevoir des documents qui attestent d'une conspiration contre la personne de maître Martin Mbemba. Après avoir levé le siège de sa maison, voilà qu'il est convoqué par la Direction Générale de la Surveillance du Territoire, la tristement renommée DGST - sans motifs. De telles pratiques sont inadmissibles et nous estimons que la réponse de ses avocats à ce régime barbare est appropriée.

Il est évident que la tactique du pouvoir consiste désormais à créer le prétexte qui pourrait justifier l'arrestation de maître Martin Mbemba : "REFUS DE SE PRESENTER A UNE CONVOCATION". Nous voyons poindre la force, la violence qui se donne un air de légalité judiciaire. La prochaine étape consistera à venir arrêter l'homme sans vergogne pour aller le torturer, le brutaliser à la DGST. Mais pourquoi diable Denis Sassou Nguesso agit-il de la sorte ? Un civil ? C'est ça le danger pour ton pouvoir ? C'est Martin Mbemba, la menace ?

Ce régime multiplie l'arbitraire et nous sentons tous qu'il y a derrière toute cette folie en oeuvre une force qui les pousse insidieusement vers la fin. IL Y A UNE FIN A TOUT : BOKASSA, MOBUTU, KADHAFI, BOZIZE, ETC. Sassou pourrait avoir l'idée de replonger le Congo dans une autre guerre civile pour se maintenir au pouvoir. A cette allure, quand on regarde l'épuration tékée dans l'armée, les crimes de toutes sortes, le Congo ne va pas échapper à une explosion générale. PLONGEE DANS LES FLAMMES DU CHASSEUR, LA TORTUE QUI SENT SA MORT VENIR VEUT D'ABORD DETRUIRE LE FEU AVANT DE PARTIR. C'est un proverbe... téké !

Nous lisons ici et là la disparition ou l'arrestation d'officiers tékés comme le colonel Jean Claude MBANGO ; nous voyons  la police de Sassou et de Ndenguet tirer à bout portant sur de pauvres étudiants comme Norbert Boungou ou arrêter arbitrairement des syndicalistes d'enseignants. Tout ceci est inhumain et dénote d'un mépris du peuple congolais par ceux qui l'ont pris en otage et qui ne sont même pas pour certains des vrais fils du Congo...

Non, la justice n'est pas la vengeance car cette dernière ne satisfait personne et peut durer autant que les hommes ou les ethnies perdureront. Personne n'est sûr dans notre pays, à la lecture de l'histoire, de conserver à jamais la supériorité dans le rapport de force militaire ou politique tel qu'il s'échelonne au gré des mouvements sociaux. Par contre, une vraie justice est intemporelle et nul ne peut souffrir injustement, juste à cause de son identité ou de son histoire. NOUS SOLDERONS UN JOUR LES COMPTES NEGATIFS DE NOTRE HISTOIRE MAIS PAS SUR LE MODE DE LA VENGEANCE OU DE LA BARBARIE.

Denis Sassou Nguesso dit avoir le coeur chaud et la tête froide. Apparemment, il y a quelqu'un ou quelque chose qui a chauffé son esprit de façon incandescente. il est temps de refroidir le cerveau à défaut de refroidir toute la personne. Qu'on le plonge dans les eaux froides de l'Alima, à côté de ses frères crocodiles. il retrouvera sa température reptilienne de cobra au sang froid.

SASSOU DOIT ARRETER SES ATTAQUES INJUSTIFIEES SUR DES PERSONNALITES DU PAYS PARCE QU'IL EST PRIS D'UNE PEUR PANIQUE DE PERDRE SON POUVOIR. S'IL CROIT QU'IL PEUT FAIRE DEMENTIR SES MARABOUTS QUI ONT PREDIT QUE SON SUCCESSEUR SERAIT UN TEKE EN MASSACRANT TOUS LES TEKES OU EN ASSASSINANT DES INNOCENTS, QU'IL SE DISE QU'IL NE PEUT ANEANTIR TOUT UN PEUPLE. MEME PHARAON A ECHOUE A GOSHEN...

Nous avons prédit qu'il lèverait son siège contre maître Martin Mbemba ; nous sommes aussi certains qu'il laissera maître Mbemba tranquille car le menacer n'empêche pas aux droits de l'homme de continuer à planer sur sa tête comme une épée de Damoclès - même s'il bénéficie, en tant que monarque d'Etat, de l'impunité absolue qu'on devrait retirer aux dictateurs et un jour, nous en arriverons là. Retenez bien ce que nous écrivons ici.

LES "MAITRES DU MONDE" VOUS OBSERVENT : SI VOUS CONTINUEZ, ILS ONT LES MOYENS DE VENIR VOUS CHERCHER SUR PLACE. LES DISPARUS DU BEACH CRIENT TOUJOURS A LA FACE DES HOMMES ET DE DIEU : "JUSTICE ! JUSTICE ! JUSTICE !"

IL FAUT LAISSER MAITRE MBEMBA TRANQUILLE. L'INTIMIDER OU LE HARCELER NE SAUVERA PAS CE REGIME CRIMINEL QUI COURT A SA PERTE. NTSOUROU, EBINA, MBEMBA, MBANGO MAIS QUAND CE MANEGE D'INTIMIDATION VA-T-IL S'ARRETER ? IL EST VRAI QUE L'INCOMPETENCE DE JEAN DOMINIQUE OKEMBA N'A PAS DE BORNES, LUI QUI FAIT SEMBLANT D'ASSURER LA SECURITE DE SASSOU EN S'EN PRENANT A DES INNOCENTS - ALORS QUE LES JUDAS, LES VRAIS, IL LES CONNAIT TRES BIEN. En dirigeant le regard de Denis Sassou Nguesso ailleurs que sur les vrais coupables de l'attentat manqué du 4 mars 2013, Jean Dominique Okemba veut rester le maître de l'après Sassou. Qui vivra verra...

MARTIN MBEMBA NE MENACE EN RIEN LE POUVOIR DE L'ELEPHANT ; CE N'EST PAS COMME S'IL ETAIT LE CHEF D'UNE MILICE ! LAISSEZ CET HOMME TRANQUILLE !

LE COLONEL ELIE ATIPO ETOU A-T-IL QUELQUE CHOSE A REPROCHER A MAITRE MBEMBA ? QU'IL EN REFERE A La JUSTICE - MEME SI NOUS SAVONS QU'ELLE EST SOUS INFLUENCE AU CONGO. Au moins, cela permettrait de passer votre décision arbitraire sous les fourches caudines de la justice et de la procédure judiciaire. Il s'agit tout de même d'un avocat...

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12 mai 2013 7 12 /05 /mai /2013 16:35

Finalement cette affaire d'anniversaire de la reine Antou était vraie ! Pendant que les enseignants plongés dans une grève qui dure depuis le 25 février 2013 réclament un meilleur salaire et que le pouvoir leur rétorque qu'il n'y a pas d'argent dans le budget actuel, donc attendez le budget prochain, pendant que les étudiants manifestent pour une bourse non payée depuis des mois et qu'on leur paye à coups de gaz lacrymogènes et de balles réelles perforantes, madame Antoinette Sassou Nguesso Tchibota prend une délégation de 150 personnes qui ont reçu chacune 1200 euros d'argent de poche tous logées dans des hôtels cinq étoiles, et vient célébrer son soixante-dixième anniversaire en France !

Ca ne peut que nous dire que Sassou  a atteint ou va bientôt atteindre les siens puisque lui aussi est né en 1943. Ce coup de folie à un million d'euros a été confirmé par NICE-MATIN. Quand nous vous disons qu'il y a de l'argent et que ce pouvoir ne sait quoi en faire, certains d'entre-vous qui défendez le pouvoir doutent ! Vous voyez bien qu'il y a les moyens de payer la maigre bourse des étudiants nationaux et même de quoi augmenter le salaire des enseignants. Attendez, si le pouvoir peut - alors que le budget a été voté - dégager un million d'euros soit plus de 650 millions de francs cfa pour que madame la reine du ngoki vienne s'amuser avec une délégation de cent cinquante personnes en Côte d'azur, à Nice, c'est qu'il y a des surliquidités qui permettent de ne pas entraver le budget en cours !

Cette affaire est gravissime, madame Antoinette Sassou Nguesso ne pouvant justifier la sortie de ses propres poches d'une telle somme. Nous nous révoltons, nous indignons encore plus lorsque nous voyons le pauvre étudiant Norbert Boungou à l'hôpital, amputé d'une main, pour avoir manifesté juste pour qu'on lui paye sa bourse d'étudiant ! Attendez de voir le faste et la débauche de moyens dans lesquels se déroulera le mariage de la princesse Caroline Sassou Nguesso à Oyo. Même si vous soutenez par intérêt ce régime, même si vous mangez avec eux car il faut bien vivre comme vous dites, admettez, chers compatriotes traîtres que là TROP, C'EST TROP !


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Pendant que ces dames et ces hommes de l'oyocratie et de la haute bourgeoisie congolaise alimienne font du shopping dans les magasins de luxe à Nice, l'étudiant Norbert Boungou est à l'hopital où il a subi l'amputation d'une main. So shocking ! C'est au-delà de la folie des grandeurs. Même Spielberg, le grand scénariste américain, n'aurait jamais imaginé cela puisque la réalité dépasse la fiction.

LA FOLIE COMME L'AVAIT PREDIT L'ABBE FULBERT YOULOU A BEL ET BIEN PRIS LE POUVOIR AU CONGO. EN EFFET, N'A-T-IL PAS DIT : "UN JOUR, VOUS APPLAUDIREZ UN FOU" ? ET C'EST LUI QUI A ETE HUE SOUS LES CRIS : "YOULOU A TOUT VOLE" !

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Plus de détails dans le NICE-MATIN du lundi 13 mai 2013 qui montrent que madame la reine du ngoki et ses cent cinquante convives ne se sont rien interdits (Yatch, Rolls Royce, tables VIP, hôtels cinq étoiles, shopping à Saint-Tropez dans des magasins de luxe, etc.):

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12 mai 2013 7 12 /05 /mai /2013 08:51

Il y a des dates comme celles du 4 mars 2012 qui vous restent dans la mémoire sans que vous puissiez faire le moindre effort à cause du choc des événements qui se sont produits à un endroit précis, ce jour-là. C'est peut-être le propre des grandes dates historiques. En effet, le 4 mars 2012, un petit Hiroshima ayant soufflé une bonne partie des quartiers nord de Brazzaville a réveillé les habitants dont certains sont morts dans leur sommeil. Le 7 mai 2012, le pouvoir a procédé à des arrestations dont certaines totalement politiques car arbitraires pour calmer la colère du peuple. Des innocents comme le colonel Marcel Ntsourou croupissent en prison et cela fait plus d'un an qu'ils attendent un procès.

Interrogé à ce sujet, le ministre de l'injustice, garde des sots Aimé Emmanuel Yoka a déclaré que le procès sera organisé quand "l'affaire sera mûre" - comme s'il s'agit d'un régime de bananes qu'on avait sectionné du bananier trop tôt pour le laisser mûrir dans  l'obscurité. En fait, il faut entendre autrement la déclaration du ministre de l'injustice, garde des seaux : " le procès sera organisé quand les mensonges seront mûrs" pour être servis au peuple. On ne doit pas servir ce qui est encore cru, non cuisiné au peuple. Non, ça ne fait pas sérieux. Quitte à violer la justice, on doit prolonger arbitrairement les détentions jusqu'à ce que les fausses preuves puissent être avalées. ON N'A PAS LE DROIT DE FAIRE AVALER UN NGOKI CRU AU PEUPLE : CE N'EST PAS LA TOMATE, L'HUILE, LE SEL ET LE FEU DE BOIS QUI MANQUENT !  HELAS, CA PREND DU TEMPS, UNE CUISINE CINQ ETOILES QUAND ON MITONNE LE MENSONGE.

Yoka ne dit pas ce qui empêche de juger l'affaire en ce moment puisque le principal prévenu un certain Kakome, l'homme qui aurait accidentellement provoqué le départ du feu, source des explosions - a été arrêté. COMMENT DES EXPLOSIONS ACCIDENTELLES PEUVENT-ELLES ETRE SI DIFFICILES A JUGER ? TOUT LE MONDE A VU DENIS SASSOU NGUESSO A LA TELEVISION DIRE QU'IL S'AGISSAIT D'UN ACCIDENT. ALORS ? Que manque-t-il pour qu'on juge cette affaire qui traîne depuis plus d'un an et qui navigue d'une cuisine juridictionnelle à une autre comme les juges refusaient de cuisiner un mensonge pas mûr du tout ?

En fait, le pouvoir sait que certains mensonges boutiqués contre certains prévenus - notamment le colonel Marcel Ntsourou entre autres officiers tékés ne sont pas encore tout à fait crédibles. Il faut continuer à "épicer" les fausses preuves dans l'ombre jusqu'à ce que les mensonges aient un "goût" convenable sur le palais du petit peuple à qui on fait avaler des cobras venimeux depuis 1997.

Attendez, tout la planète aura les yeux tournés vers ce procès qui ne manquera pas d'être très médiatisé - surtout s'il se tient à une date où la politique internationale est pauvre en informations croustillantes. Il faut fabriquer les faux billets, les faux témoignages en trouvant de faux témoins, les faux indices, les faux procès verbaux et tout cela prend du temps. Si la vérité est facile à mettre dans une petite bouteille, le mensonge lui est difficile à faire entre dans  tonneau : il faut trouver le bon angle pour qu'il entre - surtout lorsque le mensonge est trop gros...

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10 mai 2013 5 10 /05 /mai /2013 20:41

Ce sont les chantres de l'unité nationale de façade soutenant le fait que Sassou n'est pas tribal, ces intellectuels-autruches  qui n'aiment pas entendre parler de tribalisme qui vont être contents car il faudra bien qu'ils nous expliquent la situation que nous allons vous exposer ici. Dans tous les pays du monde, les policiers sont armés. Même le mercenaire policier qui n'a pas eu de scrupules pour tirer à bout portant dans la main de l'étudiant Norbert Boungou est armé. SAUF LES POLICIERS DE DOLISIE AU CONGO ! Voilà donc une police qui n'a aucun moyen d'en imposer à des gangsters, à des voyous armés si la situation se présentait comme telle. Maintenir l'ordre public a besoin de la dissuasion au travers du port d'armes et un policier sans arme est comme une fourmi sans défense. 

Denis Sassou Nguesso  refuse de donner volontairement des armes de service aux policiers de Dolisie depuis des années. Une requête a donc été introduite dans ce sens auprès du ministère de tutelle demandant de rectifier cette injustice, les policiers de Dolisie n'étant pas les plus ripoux du Congo, contrairement à ceux de Brazzaville qui multiplient les bavures, les viols, les enlèvements, les meurtres, les braquages, etc.

La lettre a fait grand bruit provoquant une réunion des officiers nordistes qui ont dit ceci : "Vous allez encore leur donner des armes - alors que nous les avons désarmés après les événements tragiques de 1997 ? Mais ils vont les retourner contre nous un de ces quatre matins ! Non, ces sudistes  ne doivent pas être armés - surtout pas dans le fief de Lissouba ! Il ne faut pas leur donner des armes ! "  Finalement, aucune arme de service n'a été envoyée aux policiers de Dolisie. Seule la requête concernant les tenues a obtenu gain de cause mais de nombreux policiers de Dolisie refusent de porter l'uniforme sans l'arme de service. Il s'agit de faits et non d'affabulations. Les sceptiques peuvent aller le vérifier. Renseignez-vous aussi sur la requête et vous verrez qu'il s'agit d'informations authentiques. A la tête de la police de Dolisie, il y a pourtant un officier nordiste.

Pour ceux qui ne le savent pas ou ceux qui l'auraient oublié, après le putsch de 1997, Denis Sassou Nguesso a organisé une grande collecte d'arme au sud, omettant de désarmer sa milice cobra. Même les armes officielles régulières détenues par les policiers et les militaires ont été récupérées. Ca ressemble fort à une invasion au cours de laquelle on désarme les natifs pour éviter qu'ils ne vous tirent dessus.

Et vous osez me dire qu'il n'y a pas de tribalisme au Congo, et ça se dit intellectuel parce que ça manie la langue française mieux que le commun des Congolais. Non, un intellectuel n'est pas un aveugle de l'esprit mais  celui qui ose aller s'il le faut contre toute l'opinion publique parce qu'il croit en ses convictions fondées sur des observations factuelles non biaisées. Vous en doutez ? Allez voir  les policiers de Dolisie et demandez leur s'ils ont des armes de service, vous ferez vous mêmes le  constat de policiers politiquement désarmés.

La thèse suivante est donc à émettre au Congo : il y a une distribution ethnique des armes de service dans la police et peut-être même au sein de l'armée au Congo. Cela ne peut signifier qu'une chose : l'ethnodiscrimination a été érigée en politique d'Etat. On redoute encore ce qui s'est passé en 1997. Le pouvoir de Denis Sassou Nguesso a donc décidé de désarmer le sud - même lorsqu'il s'agit des gens dont les armes sont le métier ou dont le métier nécessite le port d'une arme de service.

Vous savez quoi ? Ils sont prêts, je parle bien de cette armée et de cette police aux mains du pouvoir -  à vous massacrer à la moindre révolte, à la plus petite des incartades comme dans le cas de l'étudiant Norbert Boungou qui a eu la main explosée alors qu'il manifestait pacifiquement. Tout a été prévu, planifié depuis le début par des Généraux du nord comme Norbert Dabira, tout est calculé à l'avance - même les mercenaires de Tsambitso qui sont prêts à fondre sur Brazzaville en cas de besoin. Cependant, mes chers compatriotes, je vous le dis : N'AYEZ PAS PEUR !" Aucune armée n'a jamais vaincu un peuple en colère. Les Américains l'ont éprouvé en Afghanistan et en Irak. Même la meilleure armée du monde est obligée de se retirer quand le peuple est décidé à résister, à lutter, à se battre.

MY PEOPLE, FIGHT FOR YOUR FREEDOM AND NEVER GIVE UP !

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