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11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 17:33

drapeaucongoflottant.gifCeux qui ont peur des interrogations corrosivement véridiques sont ceux qui profitent de l'injustice d'un système qu'il va falloir interroger, décrypter, mettre à nu, à l'heure où l'impérator dictateur, le grand éléphant, selon les indiscrétions connaît des problèmes de santé grandissants  et où la guerre de succession a déjà commencé. Nous allons encore évoquer des choses qui vont choquer certains mais qu'ils se tiennent tranquilles : ceux qui viennent car la génération des vieux loups s'étiole doucement, ne seront pas pour le lavement des mains et il ne suffira plus de dire : "j'assume !" pour calmer les ardeurs de ceux qui ont trop enduré le tribalisme d'un homme qui respire la haine du mokongo par tous les pores. L'heure des agneaux se termine, celle des LIONS commence.

L'avenir du Congo ne s'écrira pas sans eux et il n'y aura pas - cette fois-ci de compromis, de compromissions, de corruptions, de tiédeur : quel est le destin que nous devons entrevoir ensemble après plus de cinquante ans de fieffé  tribalisme ? De gabégie ? D'injustice ? D'impunité ?

La preuve a été faite et se fait en ce moment même, que nous n'arrivons pas à vivre ensemble selon la justice, selon l'égalité devant le travail, le droit, la réussite sociale, la santé, bref, tout se passe comme si en un seul pays se battaient deux ou trois pays parties qui rivalisent pour traiter les autres en esclaves ou du moins en citoyens de seconde zone quand ils parviennent au pouvoir. Ailleurs, on parle de racisme ; entre gens de même couleur, le phénomène est le même mais on ne peut parler que de discrimination, d'injustice, de triabalisme.

Oui, il n'y a que des journalistes mbochis ou nordistes à la télé, tous les postes de direction sont entre les mains de Mbochis et de nordistes, tous les projets ne concernent d'abord que le nord et personne ne peut nier ce tribalisme insolent qui ne veut pas qu'on l'invoque sous son vrai nom et à la baguette duquel le maestro du mal, Sassou Nguesso, sévit pour mieux asservir les bakongos.

Nombre de mes connaissances du nord sont rentrés au Congo où certains travaillent à la SNPC ou ont des situations intéressantes simplement parce qu'ils sont mbochis et nous savons que s'ils étaient du sud, leurs chances seraient plus rondes que zéro. Le clivage irréversible du Congo entre le nord et le sud se poursuit depuis le début : quand le mokongo a le pouvoir, c'est pour brimer à moindre échelle le nordiste et vice-versa. Est-il encore possible de penser qu'une vie commune, qu'un avenir commun existe entre le moungala et le mokongo ? Dans la mesure où l'identité nationale n'est qu'une peau virtuelle, un masque qui cache le tribalisme des uns et des autres, comment allons-nous continuer à vivre ensemble ? TOUTES CES QUESTIONS SE POSENT AUJOURD'HUI AVEC ACUITE.

Si un mariage ne tient plus, personne ne peut imposer qu'un homme et une femme vivent ensemble parce que l'un des deux est malheureux, brimé par l'autre et bien qu'on se jure de n'être séparés que par la mort, il arrive que l'on divorce. Et il n'y aurait qu'au niveau des nations qu'on serait forcés de vivre ensemble - alors que la haine du mokongo fait que l'on arrête l'innocent - quand le nordiste parle et circule librement - même quand il tue ou détourne des milliards de francs cfa ?  AUCUNE PUISSANCE NE PEUT FORCER UN PEUPLE A ACCEPTER UN GENOCIDE POLITIQUE PERPETRE AUX YEUX DU MONDE ENTIER PAR QUELQU'UN QUI SE PRETEND SON COMPATRIOTE MAIS QUI LE TRAITE EN ENNEMI ! PERSONNE !

Nous sommes sur le point de démontrer le tribalisme, la colonialisation du mokongo par le moungala, le nordiste, le mbochi et il faudra s'y faire car vous qui avez eu des postes, des situations parce que mbochis ou ngalas ne pourrez que crier à la haine mais IL S'AGIT DE FAITS ! Même au port de Pointe-Noire, il y a plus de nordistes employés que de pontenégrins et en en empêchant les locaux de travailler, n'est-ce pas les pousser doucement à la mort ? NON, le tribaliste n'est pas celui qui désigne le tribal.

JE DEFIE QUICONQUE DE DIRE QUE LA SOCIETE CONGOLAISE N'EST PAS A L'HEURE ACTUELLE UNE CASTIFICATION TRIBALO-REGIONALE OU LE NORDISTE, LE MBOCHI, LE NGALA REDUIT LE MOKONGO A L'ETAT DE MENDIANT....  TROP, C'EST TROP ET IL Y A LONGTEMPS QUE L'ON AURAIT DU PENSER A SE POSER LA QUESTION DE LA SCISSION DU PAYS EN DEUX OU TROIS ETATS CAR NOUS NE SOMMES PAS OBLIGES DE VIVRE ENSEMBLE DANS UN PAYS FICTIF CREE POUR DES RAISONS COLONIALES PAR UN ETRANGER. EN FAIT, LE NGALA POURSUIT LA POLITIQUE COLONIALE DE L'EX-TOUJOURS PUISSANCE COLONIALE MAIS CETTE FOIS-CI,  A L'ENCONTRE DU MOKONGO.

OU NOUS NOUS RESSAISISSONS OU NOUS REMETTONS EN QUESTION L'ETAT COLONIAL CONGO ET LE SEUL CHOIX POSSIBLE EST DE REVENIR A LA SOLUTION ANCESTRALE...

Le mokongo est-il forcé ad aeternam de vivre ensemble avec le mbochi, le ngala, le nordiste ? Si  la vie en commun n'est plus possible à cause d'un tribalisme excessif mis en place par Denis Sassou Nguesso, que reste-t-il  comme solution ?

La prochaine conférence nationale ne se consacrera pas à des digressions mais à des questions essentielles : monsieur Denis Sassou Nguesso, puisque vous n'aimez pas le mokongo, puisque vous le tuez par tous les moyens, puisque vous le traitez en ennemi  en mentant que vous appartenez à une même nation, pourquoi devrions-nous continuer à vivre ensemble ? POURQUOI SE FORCER A VIVRE ENSEMBLE SI NOUS NE POUVONS NOUS SUPPORTER, NOUS TRAITER DANS LES FAITS EN  COMPATRIOTES ? CEUX QUI PRONENT LA SCISSION N'ONT-ILS PAS RAISON ?

Vous, nordistes,  avez profité des richesses nationales pendant trop longtemps ; vous avez doté le nord de structures, de sorte qu'il y ait de l'eau potable et de l'électricité à Oyo mais pas à Brazzaville et à Pointe-Noire, n'est-il pas temps de diviser le pays et de laisser les bakongos prendre leurs destins en mains entre eux ? SI VOUS PERSISTEZ DANS LA VOIE DU TRIBALISME INTEGRAL, LA SCISSION APPARAITRA COMME LA SEULE SOLUTION.

Sassou, il est encore temps de changer, de rompre avec la haine du mokongo car il n'y aura pas de présidence tournante mais nous suivrons la voie du SOUDAN en demandant aux populations du sud de s'autodéterminer pour la scission du pays en deux ou 3 Etats car la taille de l'Etat importe peu ; ce qui vaut, c'est le bonheur de vivre ensemble et le ngala nous a assez prouvé  pendant plus de 50 ans sur le plan politique que toute vie en commun semble impossible entre nordistes et sudistes.

Je sais que ces propos vont en terroriser plus d'un mais, il n'y a plus de tabous quand les enfants du Pool, du Niari, du Kouilou meurent de faim pendant que les enfants ngalas, mbochis mangent à leur faim.

OUI, L'OPTION DE LA SCISSION DU CONGO POURRAIT ETRE UN MAL NECESSAIRE PARCE QUE NOUS EN AVONS ASSEZ DU TRIBALISME EHONTE QUI ACCORDE LE MOINDRE POSTE DE TRAVAIL - NOTAMMENT QUAND IL S'AGIT D'UN POSTE DE DIRECTION - A UN NORDISTE- NOTAMMENT UN MBOCHI. SI NOUS NE POUVONS VIVRE ENSEMBLE EN TOUTE JUSTICE ET EN TOUTE EGALITE, ALORS LA SCISSION EST INEVITABLE CAR LA DOMINATION AD AETERNAM DU NGALA SUR LE MOKONGO EST INACCEPTABLE. LE MOKONGO N'EST PAS L'ESCLAVE DU NGALA...

 

                                                                              

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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 20:56

Sous le régime de la terreur au Congo (par E.M.)

Précarité, Insécurité et Danger de mort permanent :

Tel est le raisonnable tableau sociopolitique et économique du Congo-Brazzaville Sassouiste.

Les faits sont accablants

Dans sa proposition dès 1995, d’une “Autre vision de l’unité nationale en République du Congo“, le Centre de Mémoire et de Réflexion pour l’Action des Kongos  (cemerak) a fait le réel diagnostic sans faux- fuyant en constatant que “ Des premières escarmouches de 1955/1956 on en est arrivé à une guerre civile en 1997/1998 avec des armements lourds et sophistiqués qui ne cessent d'éloigner la naissance d'un peuple avec une conscience nationale intégrante“.

C’est dire que l’Unité, inscrite au premier rang dans la devise du pays, loin d’être acquise, reste hypothétique, à construire.

A la fin de la Conférence Nationale Souveraine (1991), l’absurde cérémonie de lavement de mains, qui plus est sans pardon préalable, était censée passer l’éponge sur les plus de trois mille (3 000) morts et disparus recensés comme victimes de la barbarie monopartite, plus particulièrement Sassouiste. Ce dernier savait – il seulement ce à quoi l’engageait le ‘’J’assume’’ dont il s’est targué la fatuité et l’arrogance devant le pays naïvement indulgent  ?

Plutôt oui, car en bon stratège machiavéliste, l’urgence d’une sortie honorable en abusant de la crédulité de ses multiples  inquisiteurs du moment s’était imposée à lui.

Un fumant discours

D’ailleurs n’annonçait- il pas déjà les couleurs par le fumant discours le soir de son échec électoral en 1992, de retour à Mpila devant la milice acquise à sa cause et en présence de sa très chère et tendre tout en larmes ?

A peine cinq (5) ans plus tard, juste le temps d’un premier mandat d’une balbutiante démocratie, étaient déclenchées les hostilités conçues, planifiées et mises en œuvre avec l’aide de supplétifs étrangers. Démontrant à qui, naïf, doutait encore que le chef de guerre ne pouvait comme par baguette magique se transmuter instantanément en démocrate.

La guerre de 1997, suscitée par celui qui ‘’dormait tranquillement“, sonnait le glas de la naissante démocratie Congolaise, replongeant ainsi le pays dans l’insécurité et la terreur des temps monopartites pseudo marxiste-léniniste.

Il s’ensuivit l’effroi, le grand péril et l’hécatombe dans le Pool et les pays du Niari, par l’exécution de plans méthodiques d’extermination des populations “récalcitrantes du Sud. A cet effet, médecins sans frontières a clairement et sans ambages fait état d’une ‘’guerre contre les civils’’  (M. Le Pape & P. Salignon ; éd. Karthala, 2001).

Grand péril et hécatombe

Alors que la funeste guerre contre les civils semblait être déclarée finie et gagnée par le nouveau maître, le guet-apens au Beach de Brazzaville en 1999, des centaines de jeunes Kongos (essentiellement du Pool), venait encore rappeler que pour le maintien du pouvoir Mbochi, aucune méthode d’élimination physique des ses ennemis intérieurs n’était exclue. Ces jeunes gens, désarmés, victimes de tri sélectif à leur retour d’exil “RDCéen“ furent faussement  rassurés pour leur sécurité par le nouvel homme fort qui n’a pas hésité pour ce faire, d’abuser même de la confiance du CICR (Comité International de la croix Rouge) et du gouvernement voisin de la RDC.

L’objectif d’élimination physique s’est évidemment poursuivi dans le Congo Sassouiste dit en paix retrouvée. Cette fois par les multiples morts subitement naturelles de personnalités politiques et ecclésiastiques, toujours essentiellement du Sud. Ceux-ci mourant l’un après l’autre, presque tous sur les lits d’hôpitaux Français puisque le Congo n’en a plus des dignes. La kyrielle ininterrompue des noms de victimes est effarante.

S’il fallait encore des faits irréfutables pour lever les derniers scepticismes sur la nature criminelle de l’Etat Sassouiste, l’illustration en est la gestion des suites des explosions du 04 mars 2012.

L’origine de ces dernières, présentée d’emblée cyniquement ‘’d’incident de court-circuit“, se profile finalement être non accidentelle. D’où, attaché à contenir un bilan de victimes raisonnablement projetés par milliers, et pour détourner l’opinion d’une opaque enquête s’enlisant, l’état dictatorial s’est orienté vers des arrestations arbitraires à tout va de personnalités pour certains clairement éloignés des faits. C’est le cas des Maîtres A. H. Malonga et G. Hombessa, avocats constitués volontiers à la défense de l’adjoint au Conseil National de Sécurité mis en cause.

Et comme toute occasion est toujours propice à “casser du Mokôngo“, Me Malonga (Sudiste) a nuitamment été l’objet de simulation d’assassinat  alors que le client (Téké, Centre-Nordiste) pour qui l’avocat engagé s’est retrouvé aux arrêts n’a jamais été extrait de son geôle pour subir cette épouvante de torture.

" Casser du Mokôngo "

Et puisqu’aucune méthode d’élimination physique n’est exclue, tous les moyens y compris de mal gouvernance délibérée ( ?) ou résultant d’une médiocrité “congénitale“ ( ?), ont été utilisés pour semer la précarité, l’insécurité et le danger de mort permanent.

Ainsi, des crashs à répétition d’avions cercueils volants, jusque sur des zones résidentielles occasionnant des dizaines de victimes, aux récurrentes catastrophes ferroviaires sur l’unique ligne datant de l’époque coloniale, délibérément non entretenue, la mort plane partout et sur tous.

Les incendies et explosions répétés d’arsenaux de guerre accumulés et stockés dans les locaux privés des chiens de garde du régime et/ou dans des casernes en plein quartiers résidentiels, également mal entretenues, ne viennent que compléter la pléiade de méthodes de décimation d’une population désormais tétanisée.

L’insécurité entretenue ou “accidentelle“, plus qu’un sentiment, est palpable et permanente. Elle induit une peur sur les villes et villages, peur qui terrorise les populations. Et en cela cette insécurité relève clairement du terrorisme, qu’aucun niveau de plan de vigilance ne peut venir à bout.

A chaque fois c’est la même rengaine : Insécurité, danger, prix du sang et détresse.

Un éminent officier, Capitaine de vaisseaux de son état, démontrant l’insécurité induite par les méthodes staliniennes d’intimidation par les sbires et autres lampions du régime, décrit “un palmarès de festival macabre, véritable rituel pour l’accomplissement duquel la République du Congo semble avoir contracté un bail renouvelable par tacite reconduction, faisant qu’à des périodes régulières [Le mois de mars revenant souvent de façon non fortuite; ndlr], les Congolais doivent verser un impôt de sang ou le denier du culte pour emprunter au langage chrétien“ (sic) Cl D. Nkouta.

 

Insécurité entretenue ou “ accidentelle “

L’insécurité est également économique et sociale, perceptible par la précarisation et la paupérisation galopante de près de 70% d’une population vivant avec moins d’1US $ par jour, alors que paradoxalement le PIB par habitant  afficherait près de 4 000US $ (plus d’1,5 Million de Francs CFA) à en croire les données Banque Mondiale/FMI 2011.

L’autre drame dans le drame, révélé par l’onde de choc du 04 mars, est l’inexistence de structures sanitaires viables et encore moins de plan d’urgence médicale digne de ce nom à Brazzaville. Ce qui laisse imaginer l’état d’insécurité sanitaire des populations sur le reste du territoire.

Cet état de dénuement médical semble être entretenu à dessein pour induire l’indigence et toujours le danger de mort.

Il est de notoriété publique qu’échanges commerciaux et marchés, moteur de l’emploi et du développement, sont fondés sur la confiance. Or, où l’on évoque des pertes de notation financière susceptibles d’avoir un impact sur la confiance des marchés financiers, le Congo Sassouiste n’apparaît dans aucun rétroviseur des agences “maîtresses“ de notation.  L’insécurité des investisseurs mise à nue par les derniers chiffres Doingbusiness http://francais.doingbusiness.org/data/exploreeconomies/congo,-rep~ constitue un réel repoussoir pour les capitaux nationaux ou étrangers.

Cette insécurité des investissements conjuguée à la chronique corruption institutionnalisée et la mal gouvernance, classent le pays parmi les insolvables, à risque majeur accru sur les marchés financiers autres que les complaisants Banque Mondiale et FMI.

A s’interroger en fin de compte quel traitement entrevoir par les Congolais pour un état terroriste de sa propre population. Et de se souvenir ici, d’un ancien Président des Etats – Unis d’Amérique qui admettait à juste titre “qu’Aucun dialogue n’est possible avec les terroristes“ qui ne méritent plutôt que ferme réprobation.

Le droit International reconnaît également aux peuples  la possibilité d’actions clairement définies dans l’Article 35 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 24 juin 1793 qui dispose :

 “Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour ce peuple et pour chaque  portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs “.

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 10:39

Malonga&Ombessaphoto0300 001Maître Malonga et maître Hombessa ont été arrêtés parce qu'ils voulaient organiser une conférence de presse au domicile du colonel Marcel Tsourou, vice-président du conseil national de sécurité, arrêté par le pouvoir et dont ils avaient obtenu mandat de défense mais qu'ils ne pouvaient voir pendant son arrestation arbitraire.

Nous venons d'apprendre que le procès de maîtres Malonga et Hombessa a eu lieu aujourd'hui, 7 juin 2012 à partir de 9 heures au Tribunal de Grande Instance de Brazzaville. Nous souhaitons obtenir des informations sur la manière dont il s'est déroulé. Vous pouvez nous contacter au travers d'un commentaire, du menu contact ou de notre adresse mail demainlecongobrazzaville@yahoo.fr.

Il est évident que les deux avocats ne peuvent espérer avoir un procès équitable parce que la justice n'est pas indépendante dans notre pays puisqu'elle est totalement sous influence et exclusivement au service des Sassou & Nguesso.

Nous souhaitons que les deux hommes soient relâchés avant le début du procès de l'affaire du 4 mars 2012 afin qu'ils défendent leur client le colonel Marcel Tsourou - même si nous doutons que leurs plaidoieries servent à quelque chose car la décision d'incriminer le colonel Marcel Tsourou a déjà été prise en haut lieu : IL FAUT UN INNOCENT COUPABLE ; ILS L'ONT TROUVE EN MARCEL TSOUROU QUI A INCITE LE PEUPLE A NE PLUS AVOIR PEUR...

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 08:31

mbaou_ferdinand.jpgC'est une affaire qui doit ressembler à un cauchemar pour le général Ferdinand Mbaou qui vient d'être arrêté pour la seconde fois hier, mercredi 6 juin 2012. Il voulait juste revenir en France quand son passeport et son autorisation de sortie lui ont été confisqués à l'aéroport. Il avait rendez-vous lundi à la DST pour un interrogatoire. Arrivé sur les lieux, on lui a signifié que ce service n'était pas au courant de cette affaire et qu'il fallait qu'il s'adresse ailleurs. Mardi, il semble que l'on ait célébré on ne sait quelle victoire de Sassou ; les bureaux étaient donc vides car tout le monde était aller festoyer en faveur du retour de la dictature. Mercredi, il a voulu aller récupérer son passeport et c'est à cette occasion qu'il a été arrêté. Il semble qu'il y ait un ancien contentieux entre lui et Jean Dominique Okemba, présidant le Conseil National de Sécurité, qui n'était pas satisfait de sa relaxe lors de sa première arrestation arbitraire. Alors, comme tout criminel commun, IL RECIDIVE !

En ce moment, il attendrait selon son frère une notification de chefs d'accusation par un juge et son transfert en maison d'arrêt. Ainsi va l'injuste justice au pays du grand éléphant à l'esprit tordu qui arrête tous azimuts des innocents en parfaite violation de la liberté de circuler garantie par la constitution, la SIENNE en plus !

Nous attendons des nouvelles de cette affaire qui recommence comme si le général Ferdinand Mbaou qui réside en France n'avait pas le droit de revenir dans son pays.

Nous combattons les injustices quelles qu'elles soient et ce combat est un combat de tous les instants. Nous donnons en retour à notre pays pour la vie qu'elle nous a donnée de notre temps, de notre énergie pour que quiconque, civil ou militaire, grand ou petit, homme ou femme,  ait les mêmes droits, quel que soit son rang dans la société. Notre objectif ultime est la restauration de la démocratie pour la construction d'un avenir qui regarde le peuple congolais en face au lieu de lui tourner le dos.

 

IL EST FACILE DE PERDRE LA DEMOCRATIE MAIS IL EST PLUS DIFFICILE DE LA RETROUVER PARCE QUE LORSQUE LA DICTATURE S'INSTALLE, ELLE N'A AUCUN SCRUPULE POUR SE MAINTENIR AU SOMMET DU SYSTEME SOCIAL : ELLE SE PERMET TOUS LES EXCES ET TOUTES LES VIOLATIONS ; ELLE TUE DE PLUSIEURS FACONS AUTANT L'ESPRIT QUE LA CHAIR. TOUS LES CONGOLAIS DEVRAIENT PARTICIPER A CE COMBAT, CERTAINEMENT LE PLUS NOBLE DE TOUS.

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 19:04

amédé4-150x1501La nouvelle nous est parvenue très tôt ce matin : le jeune Amédée Loemba Deleau s'est fait la belle de la maison d'arrêt de Brazzaville où il était incarcéré. Emprisonné sans jugement pour avoir osé dénoncer les turpitudes et les frasques du pouvoir, ce jeune homme a été jeté dans les geôles du grand éléphant sans foi ni loi où sa santé commençait à se dégrader dangereusement. Joe Washington Ebina nous a montré des photos où il était si décharné qu'il faisait pitié à voir ; il avait même réussi à le faire examiner à l'hôpital militaire de Brazzaville. 

Nous saluons l'acte courageux de l'homme de conviction qui a payé le prix fort que tout combattant de la liberté donne en tribut à l'énergie positive du monde pour qu'il aille de l'avant -  sans jamais  renoncer à ses valeurs : en s'échappant de prison, il renforce la vitalité de ses convictions nourries aux épines et au ronces de la vie carcérale.  Nous espérons sa route dégagée après ce pied de nez au système qui a installé l'injustice à la place de la justice dans un pays où le bonheur de vivre libre accompagnait pourtant notre enfance.

 

Le pouvoir de Brazzaville démontre une fois encore que même ses prisons sont perméables comme les coffres-forts du Trésor public où s'avaporent chaque jour des milliards de francs cfa. Le congo ne peut pas retenir son pétrole, son bois, ses richesses. Encore moins LA LIBERTE.

Il s'agit à présent d'oeuvrer à  la libération des deux avocats Malonga et Hombessa arbitrairement détenus par le pouvoir pour empêcher le colonel Marcel Tsourou d'être convenablement défendu dans un procès-farce qui se profile à l'horizon.

Combien d'innocents croupissent dans les prisons congolaises parce qu'ils ont osé dire tout haut ce que le peuple pense tout bas ? C'est d'abord la parole de vérité que toute dictature doit assassiner. Le mal joue sa tragédie à l'ombre du silence. Gardez vos pensées au-dedans de vous !  Semble dire toute dictature car la parole de vérité est l'ennemie qui jette sa lumière blafarde sur leurs actes barbares.

La nguessocratie  se plaît à disséminer la peur pour empêcher la voix du peuple d'exprimer son mécontentement. Hélas, la parole ne peut être emprisonnée car elle est née libre et la première liberté de notre entrée dans le monde des hommes est un cri, un pleur, une expression de la voix qui se lamente sur la misère du monde parce qu'elle voit toutes les splendeurs gâchées d'un cosme qui a TOUT pour que TOUS vivent heureux.

Amédée Loemba  arrêté sans acte d'accusation, sans jugement, est libre et nous prions de toutes nos forces qu'il le demeure. LE FRUIT DU COURAGE A TOUJOURS UN GOUT DE LIBERTE QUAND IL ACCOUCHE DE LA JUSTICE ET DE LA VERITE...

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5 juin 2012 2 05 /06 /juin /2012 19:55

Nous allons bientôt assister à une mascarade d'élections législatives sur les cendres d'un drame national. Le PCT, parti du grand éléphant, présente 139 candidats. Certaines candidatures seront portées par des partis alliés à la domination présidentielle (Alliance pour une Majorité Présidentielle  Corrompue Totalement ou AMPCT). Au Congo, qui peut croire aux candidats indépendants ? Une grosse personnalité du système est forcément derrière de tels soi-disant électrons libres pour que tout aille dans l'océan présidentiel au dernier moment : certains accepteront d'être battus contre un gros chèque.

 

L'oppostion virtuelle n'a même pas les moyens de présenter un candidat partout où il y a un siège à conquérir - faute d'argent et de candidats sérieux. 

Nous savons que les députés sont nommés et non élus  : tout se passe à Oyo où l'on va quémander un mandat à la cour royale - souvent au nom de la confrérie tripointée ou parce qu'un parrain aura marchandé fort.

A Ewo, un semblant d'opposition a joué son rôle de légitimation d'une future victoire du grand éléphant pour qu'il ait SON assemblée nationale comme on a son cheval ou sa poule dans SA ferme.

Le régime Sassou ou nguessologie, c'est une dictature pure et dure qui a l'assemblée, le sénat, la justice, l'armée, bref, TOUTES LES INSTITUTIONS à ses bottes et quand on essaie de faire du zèle comme le colonel Marcel Tsourou, le pouvoir vous concocte un complot dont il a le secret. Denis Sassou Nguesso se permet même de lancer ses rejetons à la conquête d'un maroquain, signe de grande confiance.

Divisé, un parti multipolaire comme l'UPADs ira  à la pêche aux restes. On donnera à chaque morceau d'UPADS un os, quelque chose à mettre sous la dent mais rien qui pourrait inquiéter la majorité du PCT à l'assemblée nationale. Quant au  FPOC ou Front dégarni, depuis la ripaille au ngoki à Ewo, c'est un Front sans bouche et sans dents qui ne reconnaît plus les siens.

C'est la preuve que sur le plan politique pur et dur, Sassou n'a pas d'opposants - seulement des mendiants car s'il y avait une véritable opposition, elle réclamerait l'usage de la vidéo dans toutes les salles de vote pour que du vote à la proclamtion du vainqueur en passant par le dépouillage que tout soit enregistré et exposé au public en cas de tricherie mais c'est le silence qui prévaut car lorsqu'on reçoit les pétrocfas de la corruption, on la ferme et on ne réclame rien. Déjà que l'opposition ne sera même pas présente lors du dépouillement car tout se déroulera à huis clos sous le contrôle du ministère de l'intérieur.

Ce système sassouiste ne peut être détruit que de l'intérieur, par la charge d'un second couteau à l'ambition débordante qui en aurait marre d'attendre que le pouvoir lui échappe et c'est l'équation qui se profile au Congo car CE QUI EST NEE DE LA FORCE, PAR LA FORCE PERIRA. L'AUBE D'UNE NOUVELLE DICTATURE POINDRA SUR LA CHUTE DE LA PRECEDENTE. LES TEMPS DEMOCRATIQUES ONT COURBE L'ECHINE DEPUIS LA CHUTE DE LISSOUBA AU TEMPS DE LA DICTATURE DEMOCRATIQUEMENT ELUE, CE PARADOXE QUI A TOUT POUR DURER...

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4 juin 2012 1 04 /06 /juin /2012 10:59

utani80.gifVendredi dernier, le général Ferdinand Mbaou en vacances au Congo s'apprêtait à revenir en France où il réside quand on lui a refusé le droit d'embarquer avant de lui ravir son passeport et son autorisation de sortie. Son frère m'a expliqué qu'il devait revenir depuis longtemps en France où se trouvent sa femme et sa famille mais il s'est heurté à un refus - sauf s'il obtenait une autorisation de sortie, autorisation finalement obtenue auprès de son supréieur hiérarchique.

Il semblerait que depuis le 4 mars 2012, le déplacement des fonctionnaires et des militaires à l'étranger soit sujet à autorisation de sortie, une démarche totalement infondée et illégale.

Monsieur Ferdinand  Mbaou doit encore aujourd'hui lundi se plier à un interrogatoire de la DST. Tout se passe comme si depuis la catastrophe du 4 mars 2012, le pouvoir avait profité de  ce drame pour réduire la liberté de circuler des populations.

Il est vrai que le pouvoir a dû voir d'un mauvais oeil la publication par le général Mbaou d'un ou deux articles après la catastrophe du 4 mars 2012, des textes, somme toute, communs qui n'ont pas vocation à confiner à la confiscation de sa liberté de circuler, un droit fondamental garanti par la constitution comme la liberté d'expression.

Le général Ferdinad Mbaou, on l'espère, va bientôt retrouver sa famille car nous ne pouvons supporter pour n'importe quel Congolais qu'on lui ravisse son passeport qui est un objet personnel ou qu'on viole sa liberté de circuler.

Tant qu'il n'y a aucune poursuite judiciaire contre un individu légitimant sa privation de mouvement, il est libre d'aller là où bon lui semble.

Nous comptons sur le bon sens de monsieur Denis Sassou Nguesso qui tient tout de même à préserver le peu de crédit qui reste à son régime tant décrié dans le monde entier pour intimer l'ordre à ses ouailles de laisser sortir un homme que Jean Dominique Okemba avait fait emprisonner sans raison valable...

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3 juin 2012 7 03 /06 /juin /2012 22:01

Ecoutez Pascal CANFIN, ministre délégué chargé du développement en lieu et place de la coopération, parler de la nouvelle relation entre la France et l'Afrique. Dommage que l'émission ne se termine pas mais vous pouvez vous faire une idée des changements. Pour ma part, je souhaite que les affaires africaines soient traitées à l'assemblée et non à la présidence de la république - même si  Hollande a mis fin à l'existence de la cellule africaine dont l'opacité a fait couler tant d'encre. CANFIN nous promet aussi une justice indépendante. Nous la souhaitons - en ce qui concerne les Biens Mal Acquis rapide et égale pour TOUS LES PREVENUS...

 

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3 juin 2012 7 03 /06 /juin /2012 21:44

Monsieur ONDONGO,

bonsoir.

Oui, je dénonce le caractère tribal de Sassou, un tribalisme qui est le seul moyen de donner un sens à sa politique de favoritisme ethnorégional - à tous les niveaux - ce qui n'a rien à voir avec la vie paisible de nos concitoyens d'où qu'ils soient au nord ou au sud. Au contraire, il vous faut le dénoncer pour que ceux qui viendront demain ne fassent pas la même chose ! Au temps de Lissouba, nous avons vécu la même chose avec le NIBOLEK. La conséquence a été la guerre, le retour de Sassou au pouvoir par la force. Et vous savez que la guerre de 1997 a été d'essence ethnorégionale : nord contre sud, Kolélas ayant pris le parti de Pascal Lissouba.

Le tribalisme fait reculer le Congo car on empêche des régions, des hommes d'avoir les mêmes droits que les autres au nom de la différence ethnique et ça, je le combattrai tant que je vivrai - même si le président est mon frère. Si on favorise une région ou une ethnie dans l'armée, l'administration, partout, c'est dangereux et ça risque de créer une frustration grave. Je ne veux pas que mon pays devienne le Rwanda demain. Quand on tire à Bacongo au lieu d'inciter à la paix et qu'on distribue des millions de francs cfa à Ouenzé à tous ceux qui se pointent, il y a deux poids deux mesures.

Vous êtes Congolais et je me bats pour que TOUS les Congolais aient les mêmes droits et les mêmes devoirs. Et direz-vous que c'est le cas ? DIREZ-VOUS EN TOUTE VERITE QUE SASSOU N'EST PAS TRIBAL, C'EST-A-DIRE QU'IL NE FAIT PAS DU FAVORITISME  ETHNOREGIONAL ?

C'est la politique de Sassou que je récuse et je ne dis pas que mes frères du nord sont tous d'accord avec lui - même si ceux qui bénéficient de l'injustice d'un système sont moins enclins à le critiquer. Combien de frères du nord critiquent la politique de Denis Sassou Nguesso ? C'est ensemble que nous devons combattre le mal et il n'y a rien d'"incendiaire" dans mon article. Je suis parfois obligé, au nom de la vérité, d'appeler un chat un chat, un tribal un tribal... J'aurais pu éviter le mot et trouver une périphrase mais ça n'aurait changé. QUAND ON A MAL AU CŒUR, ON NE VA PAS DESIGNER LE REIN ET LE DIAGNOSTIC DOIT SE FAIRE EN NOMMANT LE CŒUR ET NON EN DISSIMULANT LE NOM DU MAL...

Le discours vous choque, j'en suis désolé mais j'aimerais qu'il choque Sassou pour qu'il change sa politique et qu'il prenne conscience que TOUS les enfants du Congo ont besoin de manger, de boire, de se soigner, d'aller à l'école, de justice, etc.

Il y a de l'électricité et de l'eau potable à Oyo mais pas à Brazzaville et à Pointe-Noire. Est-ce normal ? Des vacanciers qui y sont m'écrivent pour dénoncer ce fait. CE N'EST PAS TOMBER DANS UN PIEGE QUE DE REPERER LES MAUX A EVITER DEMAIN DANS NOTRE PAYS.  

SASSOU EST L'ANTIVALEUR POLITIQUE A NE PAS IMITER DEMAIN. DONC, JE N'AI PAS L'INTENTION DE ME COMPORTER COMME LUI SI LE DESTIN ME DONNE L'OPPORTUNITE DE JOUER UN ROLE NATIONAL UN JOUR. En France, si Hollande prend le contrepied de la politique de Nicolas Sarkozy, c'est parce qu'il l'a identifiée. OR, IDENTIFIER, C'EST NOMMER, C'EST TOUCHER DU DOIGT LA OU CA FAIT MAL. DONC, CHOQUONS..

Nous voulons un pays où règne la justice et s'il faut choquer pour atteindre ce but, alors CHOQUONS. Vous avez vu la vidéo à Bacongo. Qu'en pensez-vous ?

Sassou est tribal, je le répète car c'est ce qui ressort de toute sa politique mais TOUS au nord ne sont pas comme lui. IL FAUT NOMMER LE MAL ET NE PAS AVOIR PEUR DE LE FAIRE. Non, mon frère, arrêtons de protéger des gens au nom de la proximité ethnique : j'ai critiqué Lissouba, Kolélas et j'en passe. Je sais que vous redoutez l'avenir mais moi, je le redoute encore plus que vous car demain, nous risquons de regretter pourquoi nous n'avons pas incité Denis Sassou Nguesso à être plus juste avec tout le peuple.

LES FRUSTRATIONS SONT DANGEREUSES CAR ELLES CREENT DES MONSTRES DANS LA SOCIETE...

Au Rwanda, ce sont les voisins frustrés qui ont massacré leurs amis qu'ils connaissaient pourtant depuis longtemps. Le fait que je sois l'un des rares à dire tout haut que SASSOU EST TRIBAL ne signifie pas que nombreux ne le pensent pas et on peut le démontrer ! Le dire, ce n'est pas être contre les frères originaires du nord. C'EST JUSTE UNE MAUVAISE POLITIQUE QUE LE TRIBALISME. En dehors de la politique, il ne sévit pas ! La preuve, en amour, il n'a pas de place ! Alors, pourquoi ne pas lutter contre lui et contre TOUS ceux qui la pratiquent ? C'est ce que je fais...

Nombreux pensent désormais à diviser le Congo entre nord et au sud au niveau de la Léfini - alors que moi, je leur dis que tout est juste une question de justice sociale pour guérir le Congo de son mal - PEU IMPORTE D'OU VIENDRA LE PRESIDENT- SELON LE HASARD DES NAISSANCES.

Sassou ne punit pas les siens - même quand ils sont convaincus de détournements, de crimes, etc. ET CA, C'EST QUOI ? N'EST-CE PAS DU FAVORITISME ETHNOREGIONAL ?


Je vais répondre à présent à vos questions :


 

1) "Si Sassou est tribal, où laisserais-tu des gens comme nous ?"


 

Logiquement, la question est mal posée : il n'y a aucun rapport entre le fait que Sassou soit tribal et la seconde partie de votre assertion car je ne fais pas de différence entre Congolais MAIS SASSOU, SI. Pour savoir quelle est la place des Congolais aux parents mixtes, il faudrait une enquête sociologique pour déterminer leur position sociale telle qu'elle existe dans la politique tribale de Sassou. Moi, je n'ai aucun mandat politique et je ne distingue pas mes compatriotes quand ils m'écrivent pour que je les défende ! Si Sassou est tribal, moi, je ne le suis pas : je n'aurai donc même pas à me soucier de la question ethnique puisque chacun sera traité selon son mérite et je favoriserai toutes les personnes se trouvant dans les mêmes situations d'où qu'ils viennent si je venais à avoir un mandat national. Vous pouvez me prendre au mot si le destin me donne un rôle national à jouer demain. Regardez les vidéos où les militaires dénoncent des injustices dans l'armée où il existe un avancement différentiel selon que l'on vient du nord ou du sud et ceci est un fait !


 

2) "Quelle place accorderais-tu aux Congolais issus de parents mixtes, c'est-à-dire sud/nord ?"


En tout cas, moi, je leur accorde LA MEME PLACE, LES MEMES DROITS QUE TOUS. EST-CE, CE QUE FAIT DENIS SASSOU NGUESSO ? Encore une fois, il faudrait regarder dans les faits. Si vous ne voulez pas que l'on parle de mbochi, de kongo, etc, IL FAUT DONNER LES MEMES DROITS ET LES MEMES DEVOIRS A TOUS ! A partir de ce moment-là, les différences disparaissent et la notion de CONGOLAIS devient plus importante que l'identité ethnique QUI EXISTE - MEME SI VOUS VOULEZ LA NIER !


3)" Auront-ils le droit de vivre dans ton Congo de demain ?"


OUI ! Où avez-vous lu qu'ils n'avaient pas le droit d'y vivre ? Je m'insurge contre ceux qui veulent diviser le CONGO et mes articles sont en ligne.

Vos parents vivent ensemble ; c'est le résultat de l'amour  mais LA, monsieur ONDONGO, il s'agit de POLITIQUE, c'est-à-dire, de comportement délibéré dans le but de diviser les Congolais et ce n'est pas parce que l'on ne prononce pas le nom mbochi ou un tel que certains n'obtiennent pas leur travail parce qu'ils sont DU NORD. Si vous dites que cette réalité n'existe pas au Congo, alors, je suis un aveugle et un mauvais sociologue car la lecture ethnique est la seule façon de combattre le tribalisme qui est d'essence EXCLUSIVEMENT POLITIQUE lorsqu'il est EXAGERE.

 

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3 juin 2012 7 03 /06 /juin /2012 10:10

interrogation.jpgC'est la plus incroyable nouvelle de la journée que je viens de recevoir, une information capitale qui augure d'un avenir sombre pour Denis Sassou Nguesso s'il ne fait pas attention. UN HOMME, UN MILITAIRE, veut assassiner le chef de l'Etat. ET NOUS CONNAISSONS SON IDENTITE. C'EST PEUT-ETRE LUI QUI A MANIGANCE POUR QU'UNE PARTIE DU PROCES RELATIVE A L'ENQUETE SE DEROULE EN DEHORS DU PUBLIC...  

 

Non, ce n'est pas le colonel Marcel Tsourou qui sera certainement condamné pour rien,  non ce n'est pas un Téké quelconque ou un ressortissant du sud. Non, ce n'est pas le général de division Blaise ADOUA. 

A mes 270 abonnés qui lirez cet article, ce n'est pas la peine de téléphoner,  ne me demandez pas son identité car je ne vous le dirai pas ; nous laissons au grand éléphant le temps de  découvrir par lui-même ce JUDAS car nous sommes étonnés que lui qui a une forte expérience des services secrets, lui qui a tant de moyens en hommes, en espions, en argent, en réseaux, en technologie, ne puisse pas trouver l'homme qui menace sa vie : en effet, il est question de l'assassiner car un cobra en vie conserve tout son venin.

C'est un GENERAL (c'est tout ce que nous pouvons dire), un homme qui vient souvent à l'étranger où il a ourdi avec l'accord de la puissance tutélaire qui tient le Congo le plan de liquider le chef de l'Etat ; sa famille et ses enfants vivent en France. Cet homme est peut-être trop proche de Sassou pour être soupçonnable. Oui, il mange à la table du président et a toute sa confiance, sa pleine confiance. Cette information a  été confirmée par des militaires occidentaux qui sont au parfum de cette affaire. Que Denis Sassou Nguesso, l'homme au coeur chaud et à l'esprit froid, ne se leurre pas : ce n'est pas en condamnant des innocents qu'il va résoudre et surtout terminer cette affaire : tant que cet homme  aura sa pleine confiance et ne sera pas démasqué, sa vie sera en danger. Comme à son habitude, il peut ne pas faire fi de ce que nous écrivons ici. Après tout, qui suis-je pour prétendre qu'un ETAT est sur une fausse piste, lui qui est si puissant en moyens ?


Comment comprendre que tous les marabouts de Sassou, ceux du nord, les grands féticheurs tékés, ceux de Kayes au Mali, ceux du vaudou au Bénin, ceux de sa femme à Loango chez les Vilis n'aient pas pu voir dans leurs boules de cristal, dans leurs nkissis l'identité de la personne en question ? C'est qu'il a dû lui aussi s'entourer de grands marabouts pour garder l'effet de surprise, pour devenir invisible. Il connaît les méthodes du maître en sorcellerie et en magie noire qu'est le grand éléphant - aussi, il a dû le contrer dans ce domaine. Sassou qui paie rubis sur l'ongle tous ces marabouts, féticheurs et magiciens n'en a pas pour son argent car l'homme qui veut lui faire manger son acte de naissance n'apparaît pas dans leurs miroirs magiques !

 

S'IL NE DENOUE PAS RAPIDEMENT CETTE AFFAIRE, NOUS LUI DONNERONS UN COUP DE POUCE EN LUI REVELANT LE NOM DU TRAITRE QUI A TOUTE SA CONFIANCE COMME JUDAS AVAIT CELLE DU CHRIST QUI ALLA JUSQU'A LUI CONFIER LA BOURSE DU GROUPE. QUE L'ON NOUS COMPRENNE BIEN : NOUS VOULONS LA CHUTE DE DENIS SASSOU NGUESSO POUR TOUT LE MAL QU'IL FAIT AU PEUPLE MAIS PAS DE CETTE FACON-LA ! NOUS NE VOULONS PAS D'UN EMBRASEMENT AU  SEIN DE L'ARMEE QUI RETOMBERAIT SUR DE PAUVRES CIVILS INNOCENTS. SASSOU DOIT PARTIR MAIS DANS LA PAIX : IL A UNE PORTE DE SORTIE HONORABLE EN 2O16. RIEN N'EMPECHE QU'IL SORTE PAR LA GRANDE PORTE...


Si l'homme a échappé à tous les enquêteurs, à tous les réseaux, à tous les soupçons, à toutes les intrigues dans lesquelles on se jette des peaux de banane sous les pieds pour des questions de succession, c'est que la conspiration est bien ficellée. Et croyez-moi, elle l'est ! Nous savons que le Conseil National de Sécurité ne le trouvera pas. Sassou doit prendre cet article TRES au sérieux car il y va de sa vie et peut-être de celle de sa famille...

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