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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 11:25
Aujourd'hui, dès qu'une information importante est diffusée quelque part, d'une manière et d'une autre, elle nous parvient : soit par téléphone ou par mail et certaines méritent d'être connues par tous car elles permettent de forger le jugement et d'apprécier le degré de détournement des deniers publics orchestrés par le clan Sassou & Nguesso. Il faut comprendre ce clan comme l'ensemble des membres de la famille présidentielle à laquelle s'ajoutent des proches comme le premier des ministres selon le protocole actuel, monsieur Isidore Mvouba, Firmin Ayessa, Jean Dominique Okemba qui est le gardien du système et qui est au parfum de tout ce qui se décide au Congo,  etc. Il y a des cercles concentriques autour de Sassou Nguesso dont le premier est constitué d'enfants, de neveux, d'oncles, de tantes, le second d'amis proches, le troisième des connaissances ethno-claniques, le quatrième d'hommes-satellites issus de la région nord-Congo, etc.
Vous avez entendu le président Denis Sassou Nguesso comme dans un délire parler qu'à présent, pour son deuxième mandat volé au peuple congolais ayant boudé les urnes, il choisirait les hommes en stigmatisant leurs vertus éthiques. En transformant sa parole  dévaluée en gouvernement, la déception a été grande car il a repris les mêmes en changeant juste quelques têtes. A cela, une explication simple : on ne change pas une équipe qui vole si bien - c'est-à-dire, qui sait si bien gagner de l'argent malhonnêtement au dam de la population malade, affamée, au chômage et non scolarisée. En effet, parmi la grande majorité des redoublants-ministres, il y a eu ceux qui sont connus soit pour leur incompétence, soit par leur propansion au détournement et à la corruption. Je n'en dirais pas plus... Le détournement de denier public est un sport national bien connu à tous les étages de l'Etat et de la fonction publique.
Nous venons d'apprendre par la chaîne de télévision câblée AFRIQUE24 qu'entre 2004 et 2009, le Congo, de façon officielle car on ignore tout le trafic des à-côté pétroliers, 11000 milliards de francs cfa de récettes pétrolières. Attention, ce n'est pas l'ensemble des recettes de l'Etat - même si c'est la plus grande partie visible car le pétrole n'est pas la seule ressource du Congo, encore que le budget de l'Etat se compose de nombreuses sources comme les douanes, les impôts, la fiscalité, entre autres.
Qu'a-t-on fait de cet argent  public ? Où est-il passé ? C'est énorme pour un petit petit de 3 millions d'habitants dont nombreux vivent avec moins de 500 francs cfa par jour. On aurait pu voir de nombreuses réalisations fonctionnelles, l'eau, l'électricité dans toute l'étendue nationale. Or rien de tout cela ! Où sont les nouvelles écoles ? Les hôpitaux ? La création d'emplois ?  Tous les vrais congolais devraient bénéficier de la gratuité des soins et de l'éducatio voire bénéficier de certaines aides  financières de l'Etat pour survivre ou pour créer des entreprises. En fait, si le gouvernement est la partie visible du système de prédation Sassou & Nguesso, le système caché lui est constitué de toutes les structures opérationnelles sociétaires publiques ou privées dont le but est de saigner le pays comme celles (SPHINX BERMUDA, par exemple, qui rachète tout le pétrole du Congo pour le vendre à titre privé sur le marché international) mises en place par Denis Gokana et Denis Christel Sassou Nguesso - avec la complicité de son pote Blaise Elenga - entre autres. Nous savons une chose certaine : depuis que les fonds vautours pourchassent l'argent du Congo pour avoir racheté certaines dettes du pays, celui-ci ne passe plus par ses comptes car Berrebi n'y a rien trouvé (à peine quelques dollars) ; il s'en est ému en constatant le vaste détournement de l'argent de l'Etat car en bon vautour, il a trouvé un cadavre mais sans rien à se mettre sous le bec car les hyènes étaient passées avant lui. Par contre, si vous allez au Congo, vous verrez les enfants mendiants, les orphelins délaissés par les familles, la maigreur sur la peau des Congolais qui peinent à trouver ne serait-ce qu'une banane à se mettre sous la dent.  De l'autre côté, dans le clan au pouvoir, des gamins de 15 ans roulent dans des voitures très chères et vous voyez des villas luxueuses être construites à la vitesse de la lumière ! Quand on a écho qu'à la BEAC, la Banque des Etats de l'Afrique Centrale, des détournements auxquels se surajoutent ceux que l'on commet sur place au Congo, j'ai pitié du pays où Dieu m'a donné la vie...
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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 11:05

Nous suivons ces derniers temps de nombreuses affaires judiciaires en France : affaire Jean Sarkozy à l'EPAD, ou comment le fils a voulu marcher sur les traces du père, affaire Clearstream opposant le président Nicolas Sarkozy à l'ex-premier ministre Dominique de Villepin (une affaire qui sent la volonté d'éliminer De Villepin comme adversaire politique pour la présidentielle de 2012), l'affaire de l'Angolagate qui a condamné monsieur Charles Pasqua qui par ailleurs demande la levée du secret défense, la plainte contre l'ex-président Jacques Chirac pour détournement - protégé avant par l'immunité présidentielle qui relève d'une machination juridique car UN CRIMINEL - MÊME PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE RESTE UN CRIMINEL ET L'IMMUNITE PRESIDENTIELLE EST SIMPLEMENT UNE ABERRATION JURIDIQUE QUI FINIRA PAR DISPARAÎTRE sinon comment expliquer la condamnation du président El Béchir du Soudan ? Doit-on choisir les chefs d'Etat à inculper ou à ne pas inculper selon la puissance de leur pays ou la richesse de leur sous-sol ? Un chef d'Etat comme monsieur Denis Sassou Nguesso est aujourd'hui assuré que - même s'il massacrait plus de 300 citoyens congolais revenus de la RDC, il n'a rien à craindre tant qu'il reste président de la république. Et comme c'est un dictateur qui veut mourir au pouvoir comme le défunt Omar Bongo Ondimba, c'est dire qu'il quittera cette terre jamais jugé.

La Cour d’appel de Paris a refusé de laisser un juge d’instruction enquêter sur l’affaire dite des "Biens Mal Acquis". Il s’agit du patrimoine immobilier et mobilier acquis en France par trois chefs d’Etat africains et leurs entourages : Omar Bongo, du Gabon, décédé depuis, Denis Sassou Nguesso, du Congo et Théodore Obiang, de Guinée-Equatoriale.

Au début de l’affaire, la plainte de l’ONG Transparency International, spécialisée dans la lutte contre la corruption, déposée en décembre 2008. Elle visait les conditions d’acquisition d’un important patrimoine immobilier et mobilierDenis Sassou Nguesso du Congo, Teodoro Obiang de Guinée équatoriale et le défunt chef d’Etat gabonais Omar Bongo, ainsi que par certains de leurs proches.
C’est cette plainte que la chambre d’instruction de la Cour d’appel de Paris a jugé irrecevable, bloquant par là l’enquête voulue par la doyenne des juges du pôle financier de Paris, Françoise Desset. Le parquet de Paris avait fait appel de la décision de la juge, estimant que le plaignant n’avait juridiquement pas d’intérêt à agir.

C'est comme si on disait : " Messieurs vous n'êtes que des  bourgeois de Neuilly  (les paroles mêmes de monsieur Denis Sassou Nguesso dans une interview) ; vous n'avez rien à voir avec cette affaire car les Congolais eux-mêmes n'ont pas le courage de porter plainte. En effet, on estime que le plaignant, une association française n'avait pas intérêt à agir. Il reste les Congolais, c'est-à-dire, nous qui vivons à l'étranger et je me dis que nous devons reprendre cette affaire  et  en main car il faut arrêter que ce soit des organisations étrangères ou des citoyens d'autres pays qui essaient de demander justice à notre place. N'avez-vous pas vu monsieur Maurice Nguesso venir demander justice en France contre un citoyen congolais au nom du clan Sassou & Nguesso ? Nous ne devons éventuellement inciter nos frères du Gabon ou de Guinée Equatoriale à en faire autant mais, de grâce, il nous revient, à nous Congolais, de défendre les intérêts de l'ensemble de Congolais. Je sais que la peur est le lot du faible mais le courage n'est pas l'absence de peur mais le fait d'agir malgré la peur. Je vais donc porter plainte car en tant que citoyen congolais, ma plainte sera forcément recevable...

 

                                                                                               Le Lion de Makanda

 

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29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 21:04
Face à une promesse démagogique faite  par monsieur Sassou Nguesso, dans l'euphorie d'une victoire mince comme un cheveu, nous avons décidé de montrer que par  les hommes choisis ou par les comportements structurels, le programme de monsieur Denis Sassou Nguesso, le fameux "Chemin" qu'on a du mal à tracer car les pistes de resquilleurs de la république ne s'y prête guère, est un programme qui n'a aucune chance de réussir.  Aucune. Zéro. Que dalle. En disant cela, je dois ajouter que vous avez des articles avec des témoignages de ministres, de personnalités pour corroborer cette funeste prévision. Je ne suis pas Nostradamus mais je puis déjà prophétiser que Sassou a déjà échoué car son oeuf ne contient aucun germe car pourri et ceux qui l'entourent n'ont pas à coeur de réussir quoi que ce soit car le ver est dans le fruit, un fruit pourri au dedans qui exhale la pestilence de l'échec. Rien n'emprunte en effet la direction du "Chemin" qui mène à Oyo. Sauf bien entendu les malles d'or et d'argent du Trésor Public qui s'y accumulent d'année en année.
Dans cet article, nous nous intéressons au comportement d'un homme, un ministre à ce qu'il paraît,  sur le point d'être lâché par le Cobra royal lui-même car l'affaire dans laquelle il trempe est d'une extrême gravité puisqu'au final on va licencier de nombreux Congolais pour les remplacer par des étrangers (Pakistanais, Camerounais, Bengladeshiens, Congolais de la RDC, etc.)
.
Warid-Congo est une société de téléphonie mobile qui est née le 14 mars 2008 qui a atteint plus de 100.000 abonnés en trois mois, une entreprise qui emploie des Congolais et des expatriés avec une politique salariale discriminatoire en défaveur des nationaux. Warid-Congo compte 308 agents dont 237 Congolais et 71 expatriés pour ne pas dire étrangers. Sous l'impulsion du ministère des postes, des télécommunications et des nouvelles technologies dont le ministre n'est autre que Thierry Moungalla, Warid-Congo s'est lancée dans une restructuration qui prévoit la suppression de postes, exactement 147 postes occupés par des Congolais. C'est que les choses semblent aller mal à Warid-Congo et ce sont nos frères qui vont faire les frais - tout ceci machiavéliquement orchestré par le ministre Thierry Moungalla lui-même. Cependant, la société prévoit d'embaucher des expatriés ! Or il semble que monsieur Thierry Moungalla ait des intérêts dans Warid-Congo. Voici ce qu'en dit monsieur Ghys Fortune DOMBE BEMBA du journal  Talassa :


"Cette restructuration au sein de la Warid-Congo est imputée au ministre de tutelle, M. Thierry Lezin Moungalla dont les intérêts visibles, seraient manifestes dans cette société privée dont le personnel d’appui, est constitué des parents du ministre pour ne citer que ceux-là." (source Zenga-mambu).

Avouez qu'un "Chemin d'Avenir" qui s'emploie à limoger des pères de famille par un accord de principe signé par un ministre qui paraît-il a pris des couleurs et de l'embonpoint, est un chemin qui n'est qu'un cul-de-sac grotesque car personne n'en voit le début et tout le monde sait que cette parole de "saint Sassou" n'a sa place que dans  son Evangile du mensonge. La fronde des syndicats s'étale désormais dans toute l'étendue du royaume reptilien et même le reptile en chef semble ne pas apprécier la démarche cavalière de notre ministre qui était l'un des hommes qui soupaient allègrement à sa table. presque tous les jours En effet, la suppression de 147 Congolais en ces temps difficiles va réduire le charme que le Cobra royal trouvait à monsieur Thierry Lezin Moungalla.

En fait, quelle est la raison qui motive cette compression de personnel ?
Ghys Fortune DOMBE BEMBA nous en donne des détails :

"Les raisons de récession économique à l’entreprise, sont à rechercher auprès de la direction générale, dans des postes stratégiques de management et auprès des chefs de services tous expatriés, qui ont brillé par une gabégie financière et la mégestion des avoirs de la société. Cette gestion peu orthodoxe s’est traduite par des mauvais choix stratégiques dans les différentes opérations menées tant au niveau commercial qu’au niveau technique et administratif.

La location des appartements des expatriés communément appelées
guest-house et les autres frais supplémentaires liés à la prise en charge des familles des agents expatriés au Congo, le paiement des salaires excessifs aux expatriés de la société (salaires variant entre deux millions huit cent et dix millions de FCFA) et la surfacturation des marchés de Warid-Congo avec des tierces dans l’achat des équipements informatiques et bureautiques et autres matériels roulants et logistiques, ont été identifiés comme les indices d’une mauvaise gestion de cette société de téléphonie mobile au Congo."

En clair, les expatriés torpillent la société mais ce sont les Congolais qui trinquent le plus dans cette affaire avec des salaires largement inférieurs à ceux qui sont venus d'ailleurs. Il semble que cette situation difficile ait été occasionnée par monsieur Massoud Zaïdi. Warid-Congo semble être une société instaurée par des nantis des Emirats Arabes Unis qui savaient que le Congo est une terre où il est facile d'aller s'enrichir sans grandes contraintes. Le Congo devrait pourtant imposer que des Congolais soient à la tête des toutes les entreprises qui s'installent chez nous pour défendre les intérêts de nos compatriotes - sinon les intérêts du Congo tout court. Le recours à des travailleurs expatriés ne devrait intervenir qu'en dernière instance, la société étrangère n'ayant pas trouvé de Congolais capable  d'occuper un poste à pourvoir. Cela s'appelle ailleurs la "préférence nationale" et il n'y a aucun mal à cela car il s'agit de permettre à des Congolais de trouver du travail dans leur pays mais toujours en tenant compte de leurs compétences réelles et non supposées. A poste égal et à compétences égales, on voit mal pourquoi un travailleur expatrié bénéficierait d'un traitement différent d'un Congolais. Or, toutes ces injustices sont tout bonnement permises par nos propres gouvernants qui s'allient avec les étrangers pour piller notre pays.
Déjà que rien n'empêche l'Etat congolais de créer une société de téléphonie nationale pour en maîtriser les coûts et reverser les bénéfices dans les comptes de l'Etat, je viens constater que l'Etat rentier Sassou Nguesso continue à livrer le pays en pâture à des étrangers sans contrepartie.
S'il est vrai que les salaires des Congolais vairent entre cent mille (100.000) francs cfa et un million tandis que ceux des expatriés entre deux millions et dix millions, une réduction de personnel devrait tenir compte de cette disparité. Hélas près de la moitié des expatriés (29 sur 71)  à la source des problèmes de Warid-Congo vont rester sur place pour continuer le travail de sape.

Cette affaire dans laquelle Thierry Moungalla montre qu'il est plus le ministre des expatriés que des Congolais ne trahit que l'existence d'un comportement plus général : UN ETAT DUR AVEC SES PROPRES CITOYENS ET FAIBLE FACE A DES ETRANGERS...


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28 octobre 2009 3 28 /10 /octobre /2009 14:54
Commençons par vous donner le lien où vous pourrez lire l'article original écrit sur le site cap-congo.org : http://www.cap-congo.org/2009/10/coup-detat-constitutionnel/ dans lequel maître Dominique Kounkou dénonce ce qu'il considère comme un coup d'Etat constitutionnel que préparerait monsieur Denis Sassou Nguesso afin de décider constitutionnellement de son successeur à sa mort. Un poste de vice-président devrait être rajouté et la France envisage que l'ancien président Joachim Yhombi Opango l'occupe pour succéder à monsieur Sassou en cas de disparition subite car comme vous le savez tous, monsieur Sassou Nguesso est très malade et nul ne peut augurer de la date de sa propre mort - donc, il faut parer au plus pressé. Il semble que Jean Dominique Okemba et Christel Sassou Nguesso ne l'entendent pas de cette oreille car chacun des deux voudrait recevoir le pouvoir en héritage. Dans l'article qui vous apprenait que monsieur Denis Sassou Nguesso déménageait sa présidence  Oyo, plus précisément à Edou, on vous disait que des choses graves étaient en préparation.
Pour ma part, je  crois qu'il y aura forcément un toilettage de la fausse constitution de monsieur Denis Sassou Nguesso et il est à peu certain que la création du poste de vice-président ne sera pas la seule modification qui y sera apportée. Sassou Nguesso va commencer par faire sauter la limitation des mandats et la limitation de l'âge car s'il se contente de lever la limitation des mandats sans lever la limitation de l'âge  limite requis, il ne pourra pas se présenter à un prochain mandat si d'aventure, dame nature le laissait finir ce second mandat de sept ans. Donc, il sera obligé d'apporter simultanément les deux modifications. En effet, à la fin de son mandat de sept ans usurpé au peuple congolais, il aura plus de 70 ans et lever la limitation des mandats sans lever la limitation de l'âge n'a aucun sens puisque l'âge l'empêcherait de se présenter à un troisième mandat.
Quoi qu'il fasse, monsieur Denis Sassou Nguesso ne fera pas l'économie d'une table-ronde nationale et peu importe qu'on l'appelle Conférence Nationale, Concertation Inclusive, Réconciliation, Débat National, etc. Il y a trop de frustrations, trop d'injustice, trop d'inégalités, trop d'écart entre le nord et le sud en matière de répartition des revenus nationaux. et les rancoeurs de la guerre de conquête du pouvoir ne sont pas totalement hors des mémoires.  Il y va de l'intérêt national, de la paix sociale et si ce monsieur veut disparaître de la terre rasséréné que ses rejetons pourront jouir de leurs milliards volés au peuple congolais en paix, il ne peut ne pas rechercher la mise en place d'une véritable réconciliation nationale et, le Lion de Ma Kanda en sa qualité de force de proposition veut être de la partie parmi tant d'autres.
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27 octobre 2009 2 27 /10 /octobre /2009 11:22
Voici un message reçu de la part d'un compatriote dont je protège évidemment l'identité pour des raisons de sécurité qui nous apprend que le bradage du bois a été institué, légiféré par un arrêté pris le 14 septembre 2009 mais un arrêté litigieux. Deux ministres semblent être dans le coup : HENRI DJOMBO et ESSOUEBEKA. C'est la preuve parfaite que le pouvoir malhonnête du clan Sassou & Nguesso et ses serviteurs veulent détruire les forêts du Congo. Ce n'est pas la peine que monsieur Denis Sassou Nguesso fasse semblant de se préoccuper du dérèglement climatique ou des problèmes liés à la protection de l'environnement. L'ONU doit protéger les forêts du Congo en les transformant en patrimoine mondial de l'humanité car comment comprendre qu'on se préoccupe de vieilles demeures anciennes alors même que les forêts qui régulent le climat mondial ne sont pas protégées ? Les prévisions des scientifiques sont unanimes : le Congo, dans 50 ans, si le déboisement continue à ce rythme, deviendra une zone semi-désertique ou carrément désertique. Il faut arrêter la saignée de nos forêts car les conséquences sur la faune et la flore sont incalculables. Monsieur Denis Sassou Nguesso en détruisant nos forêts, non seulement nuit gravement au climat  mais aussi à nos paysans puisqu'il souhaite qu'ils meurent de faim car sans forêt, pas de gibier, pas de terres arables ; ce qui devrait être inscrit comme un crime car je pense que ce n'est que par l'apparition de crimes climatiques juridiquement condamnés par la justice internationale qu'on pourra conscientiser tous ceux qui participent  à  la destruction des forêts partout dans le monde en punissant les criminels lourdement. D'accord, vous me direz : "C'est quoi cette affaire de crime climatique ?" Je vous apprends que la France punit tout dégazage non autorisé dans son espace maritime afin de protéger son environnement maritime. Il faut donc se dire qu'au fur et à mesure que le monde évolue, la criminalité s'étoffe, s'élargit, devient plus complexe et qu'il convient d'identifier de nouveaux délits et crimes. Le législateur doit donc ajuster le droit international à la réalité au risque de rendre la loi obsolète. Je pense que sur cette terre, les arbres doivent avoir des droits autant que l'homme et un droit  international de la protection internationale, de la faune, de la flore, de l'eau et de l'espace doit être inventé. Voici le texte reçu  à l'aide du formulaire Contact :

"
Bradage du bois congolais par Djombo et ESSOUEBEKA

Bonjour compagnon de lutte,

Je vous informe  d'une situation réelle et exacte qui se passe au sein du Ministère des Eaux et Forêts et des Finances;
Depuis le le 14 septembre 2009 un arrêté (Ref:Arrêté N°7840/MEF/MEFB fixant les valeurs FOB pour le calcul de la taxe d'abattage et de la taxe à l'exportation des bois)  a été signé par les deux Ministres puis publié sans honte ni gêne dans le journal officiel de la Rép. du Congo. Cet arrêté  abroge celui du 25 Mars 2005 (Arrêté N°2739 MEFE/MEFB).
Du jamais vu dans le monde, une ressource comme le bois très recherchée par les grands industriels, voilà que deux ministres qui considèrent la forêt congolaise comme leur propriété viennent de prendre un arrêté qui réduit les prix FOB jusqu'à 3000F CFA le mètre cube. Ces deux Ministres étant actionnaires dans toutes les sociétés forestières du congo pris de honte pour l'application de cet arrêté, ils passent par les opérateurs économiques forestiers pour faire pression aux différents services de l'État d'appliquer cet arrêté, malheureusement pour ces opérateurs économiques,  les Directeurs des différents services de l'État émanant des deux ministères étant surpris d'écouter la publication d'un tel arrêté par les opérateurs économiques forestiers non pas par leur Tutelle. Voici jusqu'à présent imbroglio qui règne au sein de ces deux ministères pour l'application de l'arrêté N°7840 qui est même plein de fautes.

En conclusion, Comment un Etat peut brader ses ressources pour des intérêts égoïstes.
Je vous informe que les deux arrêtés sont avec moi. je dois vous faire copie (Pièce jointe) quand j'aurai votre adresse par la réponse de ce message. "

Vous avez la preuve que sur la question de l'éthique, lors de son investiture, monsieur Denis Sassou Nguesso a parlé sous l'ivresse du pouvoir car le pouvoir doit certainement rendre saoul (et rien n'empêche d'imaginer une autre forme d'ivresse) parce que DJOMBO ET ESSOUEBEKA sont tout simplement des hommes sans scrupule pour agir ainsi. et nous sommes en mesure de penser que monsieur le "Reptile Royal" ne peut ne pas avoir son okoumé à tirer de cette affaire. Le Congo est un pays en danger : pas seulement les hommes mais toutes ses ressources et il n'y a qu'une seule solution pour arrêter ce massacre à la tronçonneuse, ce dépéçage, cette ruine d'une nation aussi prospère. Je ne vous la dirai pas, mes chers compatriotes, parce que vous la connaissez mais commencez par dénoncer car c'est le moins que vous puissiez faire pour votre pays, c'est la première preuve d'amour que vous pouver donner à un pays dont vous êtes certainement les éléments les plus importants car vous êtes - tous autant que l'on compte d'âmes au Congo, d'âmes pures - l'ESPRIT DU CONGO...

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25 octobre 2009 7 25 /10 /octobre /2009 08:10
Nous avons tenu au Restaurant Moussa L'Africain, à Paris, jeudi dernier,  une conférence de presse à trois : maître Dominique Kounkou, maître Brice Dzamba et le Lion de Makanda. Maître Brice a joué le rôle de médiateur. J'ai commencé par présenter l'affaire qui m'a opposé dès le mois de de mai 2009 à monsieur Maurice Nguesso pour ne trouver une issue que le 12 octobre 2009 avec la défaite du frère aîné du président Denis Sassou Nguesso. J'ai expliqué les circonstances qui m'ont conduit à rencontrer tour à tour maître Brice, encore élève-avocat puis maître Dominique Kounkou. C'est maître Dzamba qui m'a suggéré de demander un report du procès le 21 septembre 2009  au 5 octobre 2009 quand il s'est rendu compte que je n'avais pas d'avocat. Le juge Bonnal me l'avait demandé quand il s'est aperçu que je n'avais pas reçu toutes les pièces du dossier. Brice Dzamba, n'étant encore qu'élève-avocat m'a dit : "Nous allons travailler avec maître Kounkou, il viendra plaider car il est déjà un avocat confirmé dans la mesure où je n'ai pas le droit de plaider. Tu ne peux pas être seul dans cette affaire ; il faut que le clan Sassou & Nguesso se rende compte que tu n'es pas seul..."
Maître Kounkou a donné des détails de sa stratégie juridique de cette affaire préparée - une seule nuit et plaidée avec brio. Pour sa part, maître Brice Dzamba a évoqué la nécessité de la rupture qui est aujourd'hui structurellement consacrée par un cercle éponyme (LA RUPTURE). Puis est arrivé le moment de conclure.
Le Lion de Makanda a pensé qu'il était temps de revendiquer nos droits car il est anormal que les Congolais de l'étranger ne votent pas et surtout qu'ils soient privés de la possibilité de se présenter à l'élection présidentielle pour délit de "séjour à l'étranger". Les Congolais devraient faire montre de plus de courage car en 1992, nous avons instauré les germes d'une démocratie sans tirer un seul coup de feu.
Maître Brice a insisté sur la nécessité d'une rupture avec notre ancienne façon de faire de la politique. Et le clou de la conférence est arrivé avec maître Dominique Kounkou qui a estimé qu'il nous fallait lire les signes juridiques du temps avec la défaite clan Sassou & Nguesso au procès du 5 octobre 2009 et le procès à venir qu'allait certainement intenter Nelson Mandela contre Sassou Nguesso. Il a dit qu'il fallait mettre un terme à la politique du mensonge et qu'il voulait jouer un rôle dans ce sens.
Le public était composé de Congolais, de nos frères de l'autre côté du fleuve, d'un Haïtien, d'Antillais, de Gabonais, de Camerounais, de Français, de Tchadiens.
Monsieur Leschene a ouvert la partie des questions. La première question à porter sur d'autres combats à mener. Notamment à propos des anciens candidats à la présidence de la république assignés à résidence. Il faut porter devant la justice française car il est anormal que monsieur Poungui n'ait pas pu assister au mariage de sa fille en France. La deuxième intervention a estimé qu'il fallait désormais promulguer la culture de l'excellence pour que les bonnes valeurs débouchent à de bonnes institutions. La troisième intervention a proposé que pour une plus grande efficacité, il fallait prendre des rendez-vous annuels ou bimensuels pour élaborer des actions à faire sur place au Congo.
Il y a eu l'intervention d 'un Haïtien qui a été très remarquée. Il a dit que la victoire était possible. Il fallait sortir de la clandestinité. Pour sa part, il a regretté que l'Afrique ait oublié  Haïti. Lui se considère comme un Africain. "Nous pouvons renverser les gens qui pillent l'Afrique. En tant qu'Africain né à Haïti, le combat doit être continué. C'est possible. Je partage les valeurs africaines", a-t-il dit.
L'intervention suivante a repris l'intervention de maître Dominique Kounkou. "La saison a changé pour le Congo. Il a parlé des signes du temps. On a assez entendu la lituanie de mauvaises choses." Monsieur A. K. a salué le courage de monsieur Ibouanga qui a pris la résolution de dénoncer le système mafieux Sassou & Nguesso. Il a félicité maître  Brice pour avoir saisi l'occasion de défendre le Congo. "Allons-nous nous aussi saisir la balle au bond ?" Il faut passer aux actes, aller au-delà du discours. "A nous de faire l'histoire du Congo".
Un intervenant a estimé que la cause a échappé aux Congolais puisqu'on trouve dans la salle des Congolais des deux pays, des Camerounais, des Français, des Gabonais, des Haïtiens, des Tchadiens.
Dans ses réponses, maître Dominique Kounkou a demandé de respecter l'ennemi, tous les bourreaux du monde ont peur de la justice. Il faut savoir lire les signes juridiques du temps et opposer la vérité et la justice au mensonge.

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21 octobre 2009 3 21 /10 /octobre /2009 19:14
Selon la très sérieuse Lettre du Continent, monsieur Denis Sassou Nguesso déménagerait peu à peu la présidence de la république à Oyo ; ce qui inquiète évidemment les ministres mais personne n'en parle car ils ont tous peur de perdre leur poste (ils seront bien obligés d'aller prendre les ordres à Oyo ; ce qui va occasionner de frais fonctionnels supplémentaires). Il est à peu près certain qu'après avoir utilisé sa villa Cristal de Brazzaville comme présidence, c'est à Oyo où il se sent le plus en sécurité qu'il déménage doucement la présidence de république dans  sa résidence privée ; ce qui est un comportement de monarque qui n'a de compte à rendre à personne.
Cela indique qu'il a l'intention de passer le moins de temps possible à Brazzaville, délaissant la capitale pour Oyo. C'est peut-être aussi parce qu'il se sait malade et préfère amener les dossiers au vert au bord de l'Alima pour prévenir tout aléa du destin. Il est évident que nous allons enquêter sur cette affaire qui nous intrigue beaucoup. Certes, Sassou Nguesso gère le pouvoir comme un chef coutumier mais c'est un signe qu'il va se mettre au loin des regards pour administrer tranquillement en famille les affaires de la nation. Il ne lui reste qu'à proclamer Oyo, nouvelle capitale nationale car il n'aime pas beaucoup Brazzaville, la verte poubelle.
Il se passe certainement quelque chose de grave et le pauvre peuple congolais ne le saura que lorsqu'il sera trop tard...
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21 octobre 2009 3 21 /10 /octobre /2009 10:25
Voici une affaire qui montre aux yeux du monde entier la mentalité de menteur, de falsificateur et de tricheur de monsieur Denis Sassou Nguesso. Nelson Mandela, premier président noir de l'Afrique du sud et prix Nobel de la Paix, nie avoir jamais lu le livre de monsieur le reptile royal, " Parler vrai pour l'Afrique", encore moins en avoir écrit la préface. L'affaire a paru dans Reuters, le Telegraph de Londres et le New York Times.
Il nous paraissait déjà étrange que Nelson Mandela, un homme qui connaît dans sa chair la valeur de la démocratie puisse s'associer à un boucher comme monsieur Denis Sassou Nguesso en préfaçant son livre. La riposte de Nelson Mandela est venue par sa Fondation qui examine les possibilités de porter plainte contre l'enfant terrible d'Oyo.
La fondation du leader du mouvement anti-apartheid, qui protège l’héritage que Mandela lègue à l'Afrique a déclaré dans un communiqué que : "Ces affirmations sont erronées".

"Nelson Mandela n'a ni lu le livre, ni écrit une préface pour celui-ci. Nous condamnons cette manière honteuse d'abuser du nom de M. Mandela."
Verne Harris, le responsable de la fondation, a précisé que la fondation a consulté ses avocats pour évaluer les préjudices causés afin de mener une action en justice.

"C'est scandaleux, a t-il dit. «Absolument aucune demande n'a jamais été reçue et rien n'a été signé par Madiba (nom de clan de M. Mandela)."


Dans cette affaire, monsieur Sassou Nguesso a essayé de s'enduire d'un peu d'aura d'un Nelson Mandela  en vue de sa campagne électorale mais sans lui demander son avis. C'est donc une falsification en écriture, un usage de faux et vu que cette affaire a écorné l'image de Nelson Mandela en l'associant sans son avis à un homme qui n'est qu'un vil dictateur, il y aura forcément des retombées juridiques...


Pour lire les articles de la presse internationale sur le sujet en anglais, cliquez sur les liens suivants :

L’affaire Mandela-Sassou Nguesso (Telegraph - Londres)
L’affaire Mandela-Sassou Nguesso (New York Times - USA)
L’affaire Mandela-Sassou Nguesso (Agence Reuters)
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19 octobre 2009 1 19 /10 /octobre /2009 20:31
Voici un ministère qui semble avoir été créé pour un seul individu - toujours le même : Pierre MOUSSA. On se demande ce que Denis Sassou Nguesso lui trouve mais on se doute qu'il doit avoir des talents cachés, des talents de dissimulateur bien dissimulés, lui qui n'arrive même pas à doter le Congo d'un plan cadastral national  pour que le ministère des affaires foncières puisse bien fonctionner !
Aujourd'hui, on se demande
où sont passés les 400 millions de francs  cfa qui doivent servir à moderniser ce ministère. On connaît la société qui doit réaliser les travaux et qui n'a pas lésiné sur les prix car elle prend 200 millions pour refaire un parking. Seulement, voilà : on constate que les travaux n'ont pas été effectués et pour cause ! Cette fois-ci, personne ne peut accuser nos bons entrepreneurs d'avoir pris l'argent de l'Etat et de n'avoir rien fait car les bordereaux indiquent que l'argent n'a pas été décaissé. L'entreprise ISD attend que le ministère du budget lui verse les diftons pour commencer les travaux. Cet argent n'est pas perdu, en tout cas pas pour tout le monde !  Il est certainement égaré dans les poches d'un citoyen plus intelligent que l'Etat. Monsieur le DG Raphaël Moukoko devrait être inquiet ! De l'argent dont on n'entend plus parler depuis septembre, ce pas en tout cas de l'argent qui dort dans les caisses du ministère du budget ! 
Il ne restait plus que les entreprises se mettent à travailler pour l'Etat sans être payées !  A l'oeil ? Mon oeil ! Non, au Congo, on est habitué à l'inverse : l'Etat décaisse, Nono encaisse et ne fait rien !  Et Nono ne craint rien ! "Prenez, boukoutez, ceci est l'argent de la république, l'argent de personne !" C'est plus pratique.
Pierre Moussa, ministre choisi pour sa grande qualité éthique, l'inamovible ministre du plan,  ne peut ne pas savoir où se trouve l'argent que l'Etat a déjà budgétisé pour son ministère (en ce moment même, on examine le projet de budget 2010 ; on risque de glisser cette affaire dans le nouveau budget) ! Ah, si (tous ensemble !)  LA PISTE BOUEUSE SANS AVENIR pouvait au moins nous apporter des réponses ! Nous en avons marre de n'avoir que des questions sans réponses. Et à chaque fois, ce sont des questions d'argent....

 

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19 octobre 2009 1 19 /10 /octobre /2009 20:13
A entendre parler monsieur Fidèle Moukamba, personne ne sait quand aura lieu la prochaine rentrée universitaire 2009/2010. On a changé de ministre de l'enseignement supérieur mais les problèmes demeurent. Ce qu'on apprend est sidérant : les sessions de l'année 2008-2009 se tiennent encore en ce moment. Voilà donc une réunion de "la piste boueuse sans avenir" qui a accouché d'une esquive !
Déjà que les étudiants protestent et refusent de passer les examens, on peut comprendre toute cette salade universitaire laissé par monsieur Henri Ossébi qui est passée à la recherche scientifique. Et l'on nous dit que chaque  année, c'est du pareil au même ! Donc voilà douze ans que cette "pagaille intellectuellement établie" perdure !
C'est vrai que l'université Marien Ngouabi n'est plus que l'ombre d'elle-même parce que les diplômés savent qu'ils ne sont pas sûrs de trouver du travail à la sortie - surtout qu'il devient très difficile de trouver une bourse pour poursuivre ses études à l'étranger.
Notre objectif est simple : montrer que dans tous les domaines, le chemin d'avenir rétrécit pour devenir (tous ensemble !) UNE PISTE BOUEUSE SANS AVENIR !

 

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