Il devient de plus en plus évident que Sassou est le pire danger que le Congo porte en son sein. Ce qui menace le Congo, c'est tout bonnement la faillite : en effet, un pays est considéré à l'échelle des nations comme une "entreprise" avec numéros de comptes, transactions bancaires, etc. La faillite de l'Argentine pays autrement très riche (d'où son nom tiré de l'argent) devrait faire réfléchir. La richesse actuelle n'est pas éternelle ; elle régresse tandis que les dettes du Congo augmentent. Le service de la dette est le moyen le plus légal fomenté par les puissances occidentales pour piller nos pays africains. Sachez, que nous ne remboursons encore que les intérêts de la dette qui grossissent chaque année. Cette dette est le mécanisme clé de la nouvelle servitude. Quand la France se sert, il reste des miettes, quand Sassou prend les miettes pour soi disant le service de l'Etat, il n'y a plus rien dans l'escarcelle nationale. Sassou a tout simplement transformé sa résidence privée en Trésor public où ses parents vont se servir. C'est un message :"Si je perds le pouvoir, il faudra encore que vous veniez prendre les dossiers de la société nationale "Congo" chez moi ! " Si la vie est ce qu'il y a de plus important dans l'Univers, il est honorable de la défendre, encore plus honorable de combattre des dictateurs fous qui ne pensent qu'à une puissance aveugle. LA PUISSANCE SANS LA MAITRISE ET LA GRANDEUR D'AME N'EST RIEN. En mettant tout un pays en danger de mort, Sassou est un dangereux prédateur qu'il faut combattre. Par tous les moyens. Il s'agit de mettre entre parenthèses des divergences de personnes, de brider des ambitions légitimes, pour se concentrer sur l'ennemi commun. Or, que voit-on ? Notre mouvance est l'une des rares qui attaquent encore Sassou, les grands partis se livrant à la guerre de :"Tu veux mon fauteuil ? Tire-toi !" Un chef d'Etat est donc bel et bien aux commandes "d'affaires nationales" et non individuelles puisqu'il engage son pays dans des opérations qui pourraient soit lui être bénéfiques ou tout simplement malencontreuses. La mauvaise gestion "sassouienne" est manifeste. Rien n'est fait pour l'intérêt du Congo, tout vise à servir une famille, une caste de parasites accrochés aux basques de l'Etat depuis une soixantaine d'années. L'Etat congolais est un Etat totalement déconnecté du peuple, un Etat extraverti servant un autre Etat : l'Etat français. C'est une superstructure qui ne croit pas dans son propre pays : je n'ai jamais entendu un homme politique congolais parler de l'intérêt du Congo, alors qu'il ne se passe pas un jour sans qu'on entende parler de l'intérêt de la France... Tout le ministére des finances du Congo vient chaque mois en France recevoir ses ordres de mission ! Qui parle d'un pays libre dans le cas du Congo ? Sarkozy prétend mettre fin à des pratiques d'un autre âge en ce qui concerne les réseaux françafricains s'il arrivait au pouvoir ; ce qui est absolument une pure prétention électorale. Pourquoi en tant que ministre de l'intérieur n'a-t-il pas introduit une loi qui ramènerait les "affaires africaines" de l'Elysée à l'Assemblée ? Comment peut-on traiter le reste des problèmes concernant les rapports de la France avec le monde à l'Assemblée et réserver le traitement du seul continent africain aux officines régaliennes de l'Elysée ? En quoi l'Afrique est-elle différente du reste du monde ? La gauche avec Mitterand n'a pas remis en cause ce qui n'est autre qu'un colonialisme d'Etat. L'Afrique est tenue par la monnaie car tous nos échanges commerciaux internationaux passent d'abord par la France avant d'être convertis en francs cfa. Ceux qui en doutent n'ont qu'à se rappeler les difficultés qu'eut le président Lissouba au début de son règne pour payer les salaires... Il fut obligé de se tourner vers les américains. La soif du pouvoir, la folie de grandeur font que Sassou vit dans un monde irréel où il ne perçoit plus la réalité que sous le prisme de sa folie, de son propre dérèglement mental. Sa vie lui paraît une histoire fantastique, un film, un conte de fée devenu réalité comme s'il vivait la vie d'un autre, comme s'il était en plein rêve. La distorsion de la personnalité des hommes de pouvoir créant comme un état de "surhomme" vivant dans un simple mortel s'est observée par le passé quand certains monarques se sont proclamés "Dieux", objets d'adoration. Rien n'a plus d'importance que le monarque absolu. Le reste dépend de ses bonnes grâces. Néron a même tué sa propre mère pour avoir à lui tout seul la gestion du pouvoir... Quel est le projet politique de Sassou ? Régner par la peur sur un peuple qui n'a pas encore totalement développé sa capacité de lutte politique. Or, remarquez, ce n'est pas un vrai projet politique. Les luttes ont des stades, de la pierre taillée, on est aujourd'hui au feu nucléaire, de la pensée désorganisée, on est passé à la pensée organisée, hiérarchisée tantôt totalement objective, tantôt totalement subjective comme dans cette organisation appelée AL QAIDA dont les buts ne sont pas clairs : se battent-ils pour le triomphe de l'Islam ? On peut en douter que la force soit la solution. Le pouvoir s'accompagnant de la gestion légitime de la force et de la coercition, pour Sassou seule compte cette force, la puissance à détruire, à tuer, à faire peur. En effet, le peuple a l'impression qu'il n'a aucun droit et que le souverain comme aux temps des seigneurs est le propriétaire d'un pays comme un créateur d'entreprise possède son entreprise. Si vous comprenez que c'est la puissance française qui a réuni un ramassis de tribus ou d'ethnies en peuple, en nation, et que c'est encore elle qui lui a conféré l'indépendance de son propre chef (on ne donne pas l'indépendance car ce qui est donné n'est que leurre : un maître ne peut vivre sans esclaves), vous comprendrez que Le Congo est donc sa propriété comme l'Amérique est encore de nos jours propriété anglaise: La Reine d'Angleterre perçoit encore des royalties des Etats-Unis, la justice américaine reste encore bâtie sur le code de la marine anglaise... C'est donc un système totalement fasciste qui règne au coeur même des démocraties européennes qui obéissent en fait à quelques hommes d'affaires qui tiennent les politiciens (MEDEF).Les organisations sont des systèmes concentriques et pyramidaux, concentriques par les niveaux d'objectif et d'invisibilité, pyramidaux parce que le sommet est si petit. Ils ne contrôlent le monde que par le moyen de l'argent... Deux cents familles tiennent 60 millions de Français, 200 familles possèdent la France et tout ce qui s'y rapporte. La démocratie est le prix à payer pour que le système perdure. Hélas, il va vers un clash : pauvreté, inégalités, communautarisme, racisme sont des maux qui dans le passé ont signé la fin des empires. Avec l'avènement de l'Europe, on voit que ce que veulent les maîtres de ce monde, c'est un système où ils ont une emprise totale. Les directives européennes s'imposent déjà aux lois nationales. Toujours créer des nouveaux cercles concentriques toujours plus grands qui sont tenus par un nombre d'individus toujours plus restreint. Mais revenons à Sassou. D'intelligence inférieure (mais supérieure en mal) et totalement paranoïaque et schizophrénique, la "souris" ne voit et ne craint que les forces qui peuvent la dévorer et ne cherche qu'à leur plaire pour survivre. Petite parmi les lions du monde mais grande parmi les "puces" citoyennes, cela suffit à la souris d'Oyo. Il faut donc ramasser les armes pour dormir tranquille car des rumeurs de coup d'Etat circulent, assurer le statu quo et mourir de vieillesse comme Eyadéma dans cette griserie de puissance. Il faut donc établir un plan pour éliminer le monstre, pour vaincre la bête des abysses. Un plan a une finalité, ici, le retour de la démocratie en premier lieu et plus de justice sociale en second lieu car sans ce deuxième point, le ciment social ne peut prendre et cette idée que le Congo est un un pays de privilèges et non de droits demeurera. En effet, ce qui se passe dans notre pays, s'appelle une castocratie doublée d'une dictature (qui permet à la castocratie de perdurer) et d'une cleptocratie. Par castocratie, nous entendons un système hiérarchique qui ne donne que des privilèges à une caste représentée par une élite politique vieille de plus de soixante ans et qui n'est rompue qu'à des pratiques de mafia, de corruption, de vol, de pillage, d'inconscience. Par cleptocratie, il faut comprendre l'institution du vol en politique d'Etat ; c'est le pillage d'un pays par ses propres fils et par des étrangers. Le peuple n'est ni la source du pouvoir, ni le récipiendiaire absolu des actions de l'Etat. Sassou est-il bien protégé ? Est-il inaccessible ? Je vous rappelle qu'un président américain, Kennedy fut assassiné à Dallas, lui, l'homme le plus puissant du monde, le mieux protégé! Un commando pourrait bien débarquer du zaïre et faire échec et mat à un filou nommé Sassou, le Béninois. Si l'homme ne peut être vaincu politiquement parce qu'il va falsifier les résultats électoraux, faire peur au peuple, on peut le vaincre par la ruse, par les armes (on parle actuellement de coup d'Etat au congo ; j'espère que ce n'est pas qu'une rumeur) ; Lissouba était à deux doigts d'y parvenir si ce n'eut été la trahison de son propre camp. Aussi, redoute-t-il Ntumi à qui il verse à on ne sait quel titre des millions chaque mois. Achète-t-il le calme ? La paix sociale ? Ntumi n'est pas le peuple congolais à lui tout seul. Alors, pourquoi lui verser des honoraires qui ne se justifient pas ? On ne peut vaincre un peuple conscient de ses droits, un peuple qui veut se battre, un peuple qui se révolte. Hélas, la culture juridique est fille de Rome. Nous venons de traditions orales qui ne connaissent pas les concepts d'Etat, de droit, de liberté,de luttes politiques car les organisations tribales vivaient en autarcie et personne ne vivait du travail de l'autre. De plus, le pauvre n'ayant comme richesse que sa petite vie, il régimbe à la perdre dans la dignité et préfère mourir de faim... Eh bien, Congolais, si vous ne faites rien, vous allez mourir de faim et de maladie. Si vous vous battez et chassez Sassou, vous vivrez mieux et vos enfants encore mieux. On peut éliminer Sassou par le simple vote en portant les suffrages sur quelqu'un d'autre. Encore faut-il trouver la perle rare... La première chose est de rechercher et de bien identifier la cible : elle est ici un système tribalo-clanique camouflé derrière un parti moribond (le PCT). Ce n'est donc pas un individu qu'il suffit de vaincre mais un clan, le parti pouvant être vaincu politiquement sans grande difficulté par une alliance nationale contre la dictature. La mort de Marien Ngouabi n'a pas débouché sur la démocratie ; le PCT a vite fait de récupérer le pouvoir en substituant un Kouyou à un autre Kouyou... Si l'on ne fait pas attention à la dimension clanique du pouvoir sassouien, on nous substituera un Mbochi à un autre Mbochi... Cette cible opère entre Brazzaville et Oyo ; il s'agit donc d'une cible tribalo-clanique mobile qui doit contrôler la détention des armes comme on cherche à contrôler la grippe aviaire. Il faut que les sudistes s'installent au nord du pays : pourquoi n'y aurait-il que des gens du nord qui viendraient au sud ? C'est dans son fief d'Oyo qu'on pourrait avoir le plus grand nombre d'informations utiles pour le combattre : ses mouvements, ses hommes et les liens qui les rattachent à lui, ses alliances secrètes, ses prisons secrètes, les camps d'entraînement de ses cobras, etc. Les armes de la cible : l'argent du peuple congolaisqui lui sert à corrompre lélite politique de ce même peuple, la diffusion de la peur, l'assassinat (empoisonnement, enlèvement, exécution sommaire), arrestations arbitraires, le mensonge politique, la transformation de l'argent public en argent privé familial, le détournement du denier public, la récupération de toutes les entreprises étatiques à titre privé familial, en les faisant couler volontairement pour les privatiser ensuite et les faire racheter pour des bouchées de pain à la famille, les méthodes peu orthodoxes de gestion du denier public (le premier ministre Mvouba l'a reconnu). Lissouba aurait pu nous débarrasser définitivement de Sassou s'il avait commencé par bloquer le nord du Congo pour éviter tout rétranchement aux Cobras : il aurait pu prétexter d'un exercice militaire... Or, les Cocoyes, peu organisés se contentaient de repousser l'ennemi pour se livrer à des pillages à Mpila. Militairement, un commando super bien entraîné peut éliminer Sassou mais le problème c'est que le peuple congolais n'est pas le peuple palestinien pour combattre jusqu'au suicide de sa propre vie ; le commando commencerait d'abord par envisager le moyen de se retirer de l'étreinte, de la réaction de la garde prétorienne. Ce moyen pourrait provenir de la panique générale de la nouvelle de la mort de Sassou. Qu'il vous en souvienne que si Kikadidi avait pu quitter le palais présidentiel de Marien Ngouabi... Il faut donc une conscience collective élevée du nord au sud, montrer que l'on peut mettre en place un vrai pays, une véritable nation. Comment des petits pays comme le Barhein peuvent-ils avoir un niveau de vie semblable à celui de l'Europe et le Congo avec toutes ses richesses n'y parviendrait pas ? C'est un complot d'envergure comme celui qui a ramené Sassou au pouvoir qu'il faudrait dans un plan qui assurera aux Congolais d'être enfin maîtres de leur pays et de jouir des richesses que la nature leur a données. Il nous faut un leader politique digne de ce nom doublé d'un stratège militaire et politique, un homme qui n'a pas peur de mourir, un homme qui miserait sa vie pour gagner un pays. Or, il faut du temps pour former un homme charismatique, un véritable meneur d'hommes, un nouveau Lénine ou un nouveau Mandela, il faut qu'il s'agisse d'un homme peu attaché aux choses de la terre, des pesanteurs de l'argent, un homme qui ait en lui assez de grandeur pour porter la foi de tout un peuple, un homme nouveau, une puissance de la nature, un idéaliste, un guerrier. Cet homme doit forcément exister ; le problème, c'est de le trouver, d'évaluer ses capacités, de tester son mental. Même Jésus eut besoin d'une initiation chez les Esséniens... Toutes les dictatures sont fragiles et ne perdurent que par la peur. Elever le degré de conscience des Congolais, les pousser à la désobéissance civile, paralyser le pays, nier une autorité inique et réclamer le retour des institutions légitimes. Il s'agira de faire semblant de rechercher la paix, de simuler la soumission pour se donner le temps de préparer l'offensive ou politique ou militaire. Il faut compter les forces, profiter d'un faux répit pour connaître les forces de l'ennemi et ses alliances qu'il faudrait destabiliser (destabiliser Omar Bongo, Do Santos ; ce qui implique une organisation internationale qui prendrait le temps de se mettre en place en surfant sur les opposants de tous les pays africains ; j'y vois là une vraie stratégie panafricaniste). Les idées sont des mèmes. Quand elles pénètrent les esprits, elles deviennent des forces, des armes qui annihilent la volonté individuelle qui croit qu'elles sont ses propres idées, et vivent au-delà de ceux qui les ont émises. C'est à ce prix QUE LE MONDE A DES RELIGIONS. Le principe du bien n'est pas si éloigné du principe de justice qui lui même n'est pas loin du principe de justesse. Les idéalistes ont façonné l'histoire : Moïse, Jésus, Mahomet, Boudha ; ils ont en commun de voir au-delà d'eux-mêmes, de s'identifier totalement à la ...totalité. Servir vraiment pour une fois car tous le servirait avec joie ! L'organisation doit être armée (d'abord mentalement, ensuite physiquement), donc elle aura besoin d'argent et il n'y a pas mal d'hommes qui se sont enrichis sur le dos du Congo ; l'heure approche où ils doivent rendre un peu de ce butin immérité pour une cause plus noble qui s'appelle "l'intérêt du Congo". Une organisation secrète doit naître, quelque système qui travaillerait volontiers dans la clandestinité jusqu'à ce que les facteurs de son succès soient garantis afin qu'elle apparaisse au grand jour. Cette organisation doit chercher à pénétrer jusqu'au coeur du pouvoir, par la force de ses idées, opérer dans l'ombre, pousser les pions, penser global pour agir global, synchroniser ses actions, ne pas permettre l'infiltration, coder ses actions,son langage, ses propos, travailler un peu comme une secte (après tout, le christianisme fut au début une secte : vous lirez à ce propos les actes des apôtres) qui doit croître par cercles concentriques, les plans devenant de plus en plus opaques au fur et à mesure que l'on s'élève, une organisation cachée dans d'autres organisations (partis politiques, mouvements religieux, associations, etc.) Certes, nous sommes devenus un peuple, une nation malgré nous. L'Occident n'a pas laissé aux royaumes Téké ou Maloango de devenir des nations pleines et entières ; l'esclavage est passé par là, la colonisation et le néocolonialisme aussi. Mais il est possible d'en faire une opportunité car c'est là la force de la dictature : régner sur la division. Il est tout à fait possible de concilier la jeunesse de notre nation avec de grands idéaux qu'on inoculerait doucement au peuple. Pour cela, il faudrait une organisation aussi puissante qu'un mouvement religieux (ce n'est pas par hasard si Sassou a créé sa propre loge maçonnique : le but est de créer un sous-système dans le système global de la franc-maçonnerie internationale, un groupe qui n'obéirait qu'à lui sur la base du secret et du serment)... Il faut faire vivre les attributs d'une nation dans laquelle tout le monde adhérerait : justice, solidarité, projets sociaux et économiques visant l'amélioration du quotidien et du niveau de vie général de tous. Lissouba malade, affaibli, vieillissant, il faut un homme nouveau, une personnalité forte, une puissance mentale. Peu importe son âge car il faut surmonter les querelles générationnelles qui sévissent au sein de nos partis politiques : Toutankhamon était pharaon à huit ans, Alexandre était empereur à 30 ans, Ngouabi était président à trente ans, Jésus était Dieu à trente ans. Filas AKONDZO
Il faut une organisation puissante par la volonté qui pourrait s'allier provisoirement à des puissances capables de combattre la France avant d'affirmer sa souveraineté. Khadafi l'a fait en s'appuyant sur l'Amérique et en la combattant par la suite. Une puissance peut vous prêter son influence, sa puissance militaire et économique pour en contrer une autre, à condition qu'elle n'en profite pas pour vous asservir. Si on réfléchit sur ce qui se passe en Côte d'Ivoire, on peut remarquer ce qui suit :
- Bagbo tient tête à Chirac au nom des intérêts de la Côte d'Ivoire;
-le peuple ivoirien n'hésite pas à sortir dans la rue pour défendre sa liberté et son président;
-la France est obligée de se cacher derrière un mandat de l'ONU pour agir. Une organisation appelée "Les jeunes patriotes" est née qui se caractérise par une rapidité de mobilisation, une discipline organisationnelle sans faille : les jeunes patriotes arrivent quand on les appelle ;
-les Américains soutiennent les Ivoiriens avec lesquels ils ont créé de nouvelles alliances sur l'exploitation des richesses (café, cacao).
Aujourd'hui, le Congo est une poudrière (certes, il y a des armes, mais le problème de la résistance, ce sont les munitions) ; les armes ne sont donc pas le problème mais plutôt la stratégie dans son sens gec de stratos ou plan de guerre. Où sont donc les généraux du Congo pour délivrer leur pays ? Penser les finalités, les moyens (argent, armes, logistique, etc), les cibles (qui atteindre ? Les américains ont éliminé les fils de Saddam Hussein et tiennent à éradiquer tous les ténors du parti Baas. En effet, le fait que l'ancien vice-président Ramadan leur échappe encore se traduit par une résistance plus organisée et plus féroce), les ressources (humaines, matérielles), la dynamique (déterminer les instants cruciaux de l'action, créer les tâches coordonnées et à ce niveau, on pourrait s'appuyer sur Ntumi...), la communication.