Une pensée, une réflexion, une action efficace
COMMUNIQUÉ
Le cercle LA RUPTURE, constant dans son combat contre la culture politique rétrograde dont l’enrichissement illicite en est une des manifestations, informe l’opinion publique nationale et internationale de sa constitution de partie civile contre la BNP PARIBAS, Christel Sassou Nguesso, et Denis Gokana pour blanchiment d’argent en bande organisée.
Conscient de la bataille juridique dans laquelle il s’engage et des difficultés inhérentes à celle-ci, les services juridique et médiatique du Cercle de La Rupture utiliseront tous les moyens appropriés pour porter à la connaissance de l’opinion publique africaine, française, européenne et mondiale, l’ampleur de la gravité du blanchiment d’argent issu des revenus pétroliers du Congo et ses conséquences sur nos populations (déliquescence des structures et des droits les plus fondamentaux).
Nous n’épargnerons plus ceux qui appauvrissent nos populations, ceux dont les mains sont pleines de sang et qui veulent entraîner dans leurs responsabilités pénales des personnes qui ne se reprochent de rien au seul prétexte qu’elles occupent des postes de responsabilité au sein du pouvoir actuel.
Aussi, nous attirons l’attention de tous ceux qui occupent des postes de responsabilité au sein du pouvoir actuel et qui ne se reprochent pas les faits de crimes économiques et de sang, de se désolidariser sans délais des véritables criminels dont le seul projet véritable est de se servir d’eux comme bouclier. Un averti en vaut deux !
Le cercle LA RUPTURE réaffirme ici sa détermination (au péril de sa vie) à combattre l’impunité (et ses réseaux) qui gangrène notre pays aujourd’hui, laquelle impunité sert de terreau sur lequel prospère les antivaleurs au détriment de notre peuple qui croupit dans la misère la plus abjecte et la plus totale.
Le nouveau Congo ne pourra se construire qu’en rétablissant les valeurs de probité et d’honnêteté dans la gestion de la chose publique et le rétablissement de la valeur de justice dans la répression des crimes de toute nature. Notre pays étant au plus bas, nous devons réagir sinon nous serons tous tant que nous sommes coupables et responsables d’un délit : non assistance d’un pays en danger.
Le cercle s’engage à œuvrer pour une rupture totale avec les antivaleurs érigées en mode de gestion de pouvoir pour la survenance d’une nouvelle culture politique où l’éthique et le respect de la chose publique seront les moteurs.
Pour le Cercle LA RUPTURE
Gertrude Bienvenue Malalou Koumba Porte Parole