COMMENTAIRE : C'est un texte scanné que nous avons reçu dans l'état du Congo (il n'a donc pas été possible de corriger les coquilles mais ce n'est pas le plus important car ce qui compte, c'est le message adressé à l'endroit de monsieur Denis Sassou Nguesso pour qu'il reconnaisse que son complot a échoué et surtout, pour que le peuple congolais réalise ce qui se joue dans l'ombre pour entraîner un innocent dans les abysses en la personne de Marcel Tsourou privé injustement de liberté), un texte qui démontre le montage judiciaire qui fait la honte de la justice congolaise à propos du colonel Marcel Tsourou qui est un parfait exemple de PRISONNIER POLITIQUE. Le complot visant à l'incriminer pour l'éliminer de la scène politique nationale congolaise date d'avant le 4 mars 2012 et tout ce qui a été avancé comme chefs d'accusation est évidemment bidon. D'ailleurs, la justice du grand éléphant à tête de ngoki a du mal à le juger : le cauchemar de Marcel Tsourou dure depuis six longs mois.
Ce texte vient d'une personne proche de la défense de Marcel Tsourou et il apporte un éclairage sur un montage qui a connu des ratés, raison pour laquelle l'affaire traîne en longueur. On y voit comment Sassou procède, animé par la haine contre un homme au travers du procureur Essami-Ngatsé et du juge Oko-Ngakala. Encore une fois, la défense n'a pas droit au chapitre ; nous savons tous comment il a procédé pour écarter maître Malonga et maître Hombessa de la défense de cet homme. C'est vraiment triste et pitoyable.
Bref, Sassou essaie de se dédouaner sur le colonel Marcel Tsourou de ses responsabilités dans l'affaire du 4 mars 2012. Il faut qu'il ne réagisse pas par honte et par entêtement pour maintenir arbitrairement un innocent en prison. Il faut libérer le colonel Marcel Tsourou qui n'a rien à voir dans cette affaire, Marcel Tsourou que tout Congolais doit considérer comme un prisonnier politique car il n'en saurait être autrement.
A PROPOS DE LA CATASTROPHE DRAMATIQUE DU 4 MARS 2012, SASSOU, POUR LA SECONDE FOIS DE TA VIE, NOUS VOULONS QUE TU DISES : "J'ASSUME..."
Quant à Essami-Ngatsé et à Oko-Ngakala, le temps viendra où ceux qui jugent seront jugés. Sassou ne pourra toujours pas vous protéger ad aeternam car l'injustice appelle inexorablement LA JUSTICE !