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13 avril 2012 5 13 /04 /avril /2012 11:21

Ecoutez parler maître Ambroise Hervé Malonga, interrogé au téléphone à la maison d'arrêt de Brazzaville par la radio des Droits de l'Homme, avocat du colonel Marcel Tsourou, qui a essayé de tenir une conférence pour dénoncer le fait qu'il ne parvenait pas à rencontrer son client arrêté arbitrairement par Jean Dominique okemba pour être entendu dans l'affaire de la catastrophe du 4 mars 2012. Vous remarquerez que sa voix n'est pas nette et il dit qu'il a été amené dans un bureau sombre de la présidence de la république où un papier imbibé de liquide (poison) lui a été placé sur  la bouche, au dos et à l'épaule. A la fin de son interview téléphonique, il reconnaît que le poison commence à faire son effet. Il nous apprend aussi qu'il a été torturé pour être obligé à parler. Il a entendu des conversations qui se résumaient à deux phrases :

"Le colis est arrivé !

- Il faut l'exécuter ! "

Il ne doit d'être encore vivant que pour avoir inventé une histoire à dormir debout mais nous savons et il le sait qu'il a été empoisonné par des hommes cagoulés. L'objectif pour le pouvoir est d'intimider les avocats qui pourraient s'enhardir de défendre les prisonniers politiques.

Qui a donné l'ordre de l'exécuter ? Il ne peut savoir que de deux personnes : ou Jean Dominique Okemba ou Sassou lui-même. Vous savez à présent que s'il venait à mourir ou à être handicapé à vie, il ne peut s'agir que du pouvoir de Brazzaville - alors qu'il n'a fait que son travail en voulant défendre son client. Ceci vous donne la preuve que monsieur Emmanuel Yoka n'exerce pas la justice mais l'injustice car dans quel pays ne respecte-t-on les droits de la défense ?


VOUS POUVEZ ETRE SURS QUE TSOUROU EST ACTUELLEMENT TORTURE POUR QU'IL PARLE ET SOUS LA TORTURE, IL RISQUE DE DIRE N'IMPORTE QUOI MAIS SURTOUT, NOUS POUVONS IMAGINER LES SEVICES QU'IL SUBIT JUSQU'A L'EMPOISONNEMENT CAR C'EST SUR ET CERTAIN QUE JEAN DOMINIQUE OKEMBA NE LUI LAISSERA PAS LA VIE SAUVE POUR UNE RAISON TOUTE SIMPLE : IL CONNAIT TROP DE CHOSES EN TANT QUE SECOND DU CONSEIL NATIONAL DE SECURITE...

 

Le pouvoir a envoyé les militaires entourer la maison de maître Massengo-Tiassé qui n'est pas encore arrêté aux dernières nouvelles que nous avons. Un certain monsieur Massimba du RDD, le parti de Yhombi, serait aussi dans le collimateur du pouvoir et on se demande pourquoi. Il y a de telles violations des droits de l'homme au Congo que le pouvoir de Brazzaville veut empêcher la radio DES DROITS DE L'HOMME de Massengo-Tiassé d'émettre ! ECOUTEZ ATTENTIVEMENT SURTOUT LA FIN DU MESSAGE :

 

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12 avril 2012 4 12 /04 /avril /2012 21:32

Même les Américains s'intéressent désormais à la situation du Congo depuis l'arrestation du colonel Marcel Tsourou. Le Washington Times, ce grand journal, rapporte sur son site que les habitants ont vu un militaire jeter un mégot de cigarette qui a provoqué la première explosion - c'est donc un geste délibéré et on aurait espéré que l'investigation fasse des recherches dans cette direction mais rien n'y fait.

Certains observateurs se demandent si le pouvoir recherche cet individu ou s'il divertit le peuple en arrêtant le colonel Marcel Tsourou qui selon certains observateurs ne fumerait pas. En tout cas, il faudra bien que Denis Sassou Nguesso demande des comptes à Jean Dominique Okemba qui semble détourner l'enquête vers des innocents comme s'il voulait éviter que la vérité n'apparaisse.

Vous ne comprendrez peut-être pas le texte en anglais mais sachez qu'en substance il parle de l'allocution du ministre Emmanuel Yoka obligé de s'exprimer sur les arrestations arbitraires en prétendant que Tsourou et les autres officiers étaient juste entendus - alors que le premier qui devait être entendu, c'est Jean Dominique Okemba en sa qualité de chef à du Conseil National de Sécurité sur  la cause probable de l'incendie qui est la preuve d'un laxisme sécuritaire : le militaire qui a jeté le mégot de cigarettes savait ce qu'il faisait car ce geste ne peut être anodin. Okemba se permet d'arrêter son propre second au CNS et personne ne lui demande des comptes. Tsourou a juste eu la malchance de célébrer son anniversaire le 3 mars 2012 car si la catastrophe était survenue en avril, on ne ferait peut-être pas de rapprochement entre les deux événements.

Quant aux investigations, comment peut-on entendre quelqu'un pendant plus de dix jours ? Cela ne peut signifier qu'une chose : les tortionnaires de Jean Dominique Okemba n'obtiennent pas les réponses escomptées de la bouche de Tsourou. Il est à craindre qu'il ne ressorte pas vivant de cette affaire...

Si Denis Sassou Nguesso ne demande pas des comptes à son conseiller spécial, il va finir par entraîner des vagues d'indignation car après avoir dépensé les 3 millions qu'ils vont recevoir, les 100.000 personnes vont continuer à réclamer que la justice et la lumière se fassent sur cette affaire. Ce n'est pas l'argent qui va éteindre la colère et le ressentiment qui risquent de causer la perte des élections législatives à monsieur Denis Sassou Nguesso. A MOINS QU'IL NE FASSE COMME D'HABITUDE EN NOMMANT LUI-MEME LES DEPUTES...

WashingtonTimes2

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12 avril 2012 4 12 /04 /avril /2012 11:44

AvocatsCongo.jpgIl n'y a pas pire réalité qu'un système judiciaire qui produit de l'injustice. Exercer le métier d'avocat dans ces conditions doit être un vrai sacerdoce entre ceux qui réclament justice et la caste de ceux qu'on ne peut poursuivre parce que membre de la famille du roi, en vertu de leur appartenance ou leur collaboration avec le clan, parce que protégé par un Général ou un colonel, etc.

Le Congo est un pays où la justice est en dessous de la vérité du mot car elle est injuste, sous influence et totalement au service d'une dictature qui a mis l'oncle du chef de la junte au pouvoir au poste de ministre de l'INJUSTICE : Emmanuel Yoka, un homme que l'on dit très malade et dont Denis Sassou Nguesso refuserait la démission. Dans le même cas, j'ai appris que Rodolphe Adada lui aussi a du mal à retrouver son bureau chaque matin mais comme l'a si bien un concitoyen : "En dictature, on ne démissionne pas ; on est démis de ses fonctions".

Depuis la catastrophe du 4 mars 2012, Jean Dominique arrête injustement dans l'armée et dans la société civile - comme pour donner l'illusion à son maître Sassou qu'il travaille mais nous savons tous qu'il ne recherche pas les vrais coupables puisqu'il fait partie du complot et cela, Denis Sassou Nguesso finira par l'apprendre à ses dépens. N'était-ce pas le cas à l'époque de Marien Ngouabi qui essuyait une tentative de coup d'Etat par mois sinon plus quand Sassou était ministre de la défense ? Il n'a jamais sévi ; il n'a jamais songé à écarter Denis Sassou Nguesso - et quand il a voulu mettre en place son opération "radicalisation" pour écarter son entourage pourri, il est mort assassiné. C'est peut-être pour cette raison que Sassou préfère un Okemba à ses côtés que loin de lui...

Bref, Marcel Tsourou est arrêté par Jean Dominique Okemba. Quand son avocat maître Malonga essaie de faire une conférence de presse avec un confrère maître Ombessa ou Hombessa, ils sont arrêtés. On prétend même qu'un simulacre d'exécution a été organisé au bord du fleuve où les deux avocats auraient été dénudés. Le barreau des avocats entre en conclave et décrète une grève.

La catastrophe du 4 mars 2012 met le système Sassou à nu avec des structures sanitaires défaillantes, une armée désorganisée et tribale dans laquelle des Généraux sont devenus des hommes d'affaires. Voilà qu'on découvre que la justice n'est en fait que le mot qui masque l'injustice. D'aileurs le traitement des sinistres et des sinistrés le prouve : quand ils sont du nord, l'argent ne compte plus, l'argent peut couler à flot...

 

Brazzaville: Les avocats en grève, contre l'arrestation de deux de leurs pairs

Par Ngouela Ngoussou - 11/04/2012
C'est la principale conclusion du conclave qui a duré 3 heures ce matin dans la salle d’audience de la cour d’appel

 

C'est la principale conclusion du conclave qui a duré trois heures de temps dans la salle d’audience de la cour d’appel de Brazzaville. Aucune audience judiciaire n'a eu lieu ce mercredi au palais de justice de Brazzaville où aucune toge noire n'a été aperçue. Les avocats n'ont fait aucune déclaration à la fin de leur réunion. Nous ne ferons aucune déclaration à la presse, car l'affaire est très sensible. Aucun avocat, en dehors de moi-même le bâtonnier ne peut faire de déclaration, a déclaré d'un ton menaçant à Journal De Brazza, maître Gilbert de Bodongo, le batonnier de Brazzaville qui a présidé la réunion.

La grève a été lancée "jusqu'à nouvel", selon la majorité des participants à cette rencontre. Quelques avocats ont souhaité que le travail reprenne le lundi prochain, mais le vote a permis de découvrir que cette opinion n'était défendue à peine que par cinq avocats dans la salle. Mais, on peut retenir sur l'essentiel qu'une commission a été mise en place pour suivre l'affaire concernant l'arrestation des deux avocats, maîtres Ambroise Hervé Malonga et maître Auguste Hombessa. La commission est composée de six membres dont le bâtonnier national, maître Prospère Mabassi qui servira de conseil.

Entre temps, huit avocats, dont maître Guy Roger Kinga, maître Thomas Djolani, maître Jean Philippe Esseau se sont constitués pour défendre leurs deux confrères détenus à la maison d'arrêt de Brazzaville.D'autres aussi vont se constituer et vont nous rejoindre. Il est même à craindre que l'Etat qui a incarcéré ces collègues ait d'avocats de son côté, a indiqué sous l'anonymat un des avocats constitués. Dès demain, nous allons commencer le contact avec les confrères. Mais, hier déjà (mardi) nous étions en contact avec eux. Nous les avons trouvés fatigués et stressés car ils ont été torturés près du fleuve Congo, avant qu'une autorité n'intervienne. Mais, tout cela sera consigné dans les déclarations des concernés dès que nous allons commencer à les entendre, a poursuivi l'avocat.

En rappel, le ministre congolais de la Justice et des droits humains, Aimé Emmanuel Yoka, a annoncé hier à Brazzaville, l’arrestation de deux avocats congolais pour atteinte à la sûreté de l’Etat, en relation avec les explosions du dépôt de munitions de Mpila, nord-est de la capitale, survenues le 4 mars dernier. Me Hervé Ambroise Malonga et Me Ombessa, avocats du colonel Marcel Tsourou, secrétaire général-adjoint du Conseil national de sécurité (CNS), interpellé dans l’enquête du drame de Mpila, ont été arrêtés et déférés à la maison d’arrêt de Brazzaville, pour avoir voulu tenir une conférence de presse dans un camp militaire, selon le ministre Emmanuel Yoka.

Source : http://journaldebrazza.com/article.php?aid=1400

 

 

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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 22:11

Jean-Dominique-Okemba.jpgC'est très facile pour Jean Dominique Okemba, président du Conseil National de Sécurité et conseiller spécial de monsieur Denis Sassou Nguesso d'arrêter son second au CNS en la personne du colonel Marcel Tsourou mais qu'il le veuille ou non, cette affaire finira par se retourner contre lui car c'est bien lui qui a failli au travers des failles sécuritaires de son service. C'est lui qui prend pratiquement les ordres les plus importants, qui arrête, enlève des innocents et fait tout pour se faire craindre et pour apparaître comme le seul capable de diriger le Congo après Denis Sassou Nguesso.


Aujourd'hui, l'homme se terre et craint pour sa famille au point où l'un de mes correspondans écrit :


"...le royaume nordiste est divisé à un point ou l'on voit tous les enfants Okemba surveillés comme des chiens par le commandant Marien OMINGA et sa garde de peur qu'il arrive quelque chose de mal à sa famille..."

 

S'il ne se reproche de rien, pourquoi se barricade-t-il et pourquoi a -t-il renforcé la surveillance de ses enfants et de sa famille par le commandant Marien OMINGA et sa garde ? Le fait qu'il ait décidé d'arrêter Tsourou sous l'ordre de Sassou ou non tourne tous les regards en sa direction. S'il ne trouve pas un coupable respectable à présenter à Sassou dans cette affaire qui s'avère être un coup d'Etat manqué, c'est lui qui va devoir rendre des comptes : c'est facile de distraire les gens du côté des Tékés et des Makouas mais il va falloir qu'il soit très vite crédible. A MOINS QUE SASSOU NE LE REDOUTE AU POINT OU IL N'OSE MEME PAS REMETTRE EN QUESTION SON INCOMPETENCE, SES INJUSTICES QUI ONT LENTEMENT CONDUIT LE REGIME VERS UN CUL-DE-SAC...

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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 21:11

Nous venons juste d'apprendre que la panique gagne non pas seulement les hommes d'affaires comme Pendino qui prend désormais ses distances avec Denis Sassou Nguesso mais aussi les Généraux qui ont détourné des milliards et qui à présent essaient de les soustraire du pays. Nous vous apprenons que les nantis de l'armée ont commencé à organiser la fuite des capitaux mal acquis en contactant des membres de leurs familles sur la place de Paris et ailleurs afin qu'ils réceptionnent des fortunes mal acquises en prévision d'une fuite qui semble de plus en plus proche. Les éléphants, les  cobras, les rats et les crocodiles s'apprêtent à quitter de nuit le navire ! Ils font d'abord précéder leur pactole, signe que le navire tangue et que l'échouage est proche. Ils pourront ensuite moyennant un pourcentage récupérer ce magot facile auprès de leurs complices. Et le tour sera joué !

L'article juste en dessous vous apprend qu'Emmanuel Yoka a préféré investir au Bénin, laissant sa file Emma gérer ses investissements - le Bénin, un pays qui a des airs de famille ; il n'est pas le seul : Moussa, l'éternel ministre du plan s'est constitué une petite fortune au Mali.

En vérité selon un de mes correspondants, Sassou ne compte que sur trois personnes : Jean Dominique Okemba, conseiller spécial l'ayant pris en otage et dont toutes les décisions sont pratiquement validées pour régir le pays, monsieur Guy Ngoya et le colonel Tiendjen. Il se sait que sans ces trois personnes, Denis Sassou Nguesso n'est rien. il est donc otage et cerné au point où il ne sait plus où mettre de la tête. Quand il lira que ses Généraux recherchent le moyen de planquer leur fortune mal acquise, il se dira : 'LA FIN EST VRAIMENT PROCHE" ET LE FAIT QU'IL ECRIVE A L'UPADS POUR L'AIDER A TROUVER UNE PORTE DE SORTIE EST UN SIGNE QU'IL EST AUX ABOIS.

En fait, nous sommes à peu près sûrs qu'il ne lui reste que deux fidèles parmi les fidèles, Jean Dominique Okemba exhalant désormais selon la rumeur populaire la pestilence du traître qui lui pense déjà à se mettre au frais à Dubaï ou au Maroc car il n'y aura aucun autre pays qui pourra l'accueillir - même pas la France qui lui a décerné une médaille pour services à venir et, surtout si la Gauche arrive au pouvoir avec François Hollande, ILS SAVENT QUE LES CHOSES RISQUENT DE TOURNER AU CAUCHEMAR...

La conséquence de cette affaire est la suivante : l'affaire des Biens Mal acquis doit s'étendre aux parents et proches de Sassou , aux ministres et aux Généraux qui tiennent l'armée en étant adjudicataires de tous les marchés de l'Etat avec la force publique. L'affairisme dans le Haut commandement des forcs armées congolaises est devenu légion. La Banque de France ne manquera pas d'ouvrir les yeux sur les comptes des congolais qui enfleront de façon trop soudaine et si nous avons des informations plus fines à ce sujet, nous ne manquerons pas de dénoncer les coupables de complicité de blanchiment d'argent....

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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 20:38
Cher LION DE MAKANDA,
Hier l'arrogant et pédant Aimé Emmanuel Yoka est venu pérorer devant les caméras de télévision la chanson qu'il a apprise de son neveu, le président Sassou NGuesso : "Tsourou n'est pas inculpé, il est toujours présumé innocent, il est simplement entendu !". Ces dix ou douze jours au secret, puisqu'il n'a pas pu voir son avocat, Maître Hervé Malonga, ne correspondent pas à une arrestation ! Tsourou est entendu comme le sont Germain Ickonga, Claude Mopita et André Sahous. On pourrait ajouter à ce ministre hautain et présomptueux, tellement soucieux du droit et des libertés de ses compatriotes congolais, que Tsourou est entendu comme l'est actuellement depuis une année Amédée Loemba ! Un pauvre gosse incarcéré sans jugement, sans charge et sûrement toujours présumé innocent ! 
Nous pouvons parier que les familles des Tsourou, Ickonga, Mopita et autres personnes détenues n'entendront jamais les charges qui pèsent sur eux et qui vaudraient une inculpation. Ce pouvoir, pleutre et aux abois, aura trop peur d'aller vers l'épreuve de force. D'ailleurs, ce vaillant ministre de la justice a, depuis bien longtemps, décidé de ne plus investir dans son propre pays, cette démocratie idyllique que tous nous envient ! Aimé Emmanuel Yoka a préféré mettre ses billes (nombreuses) au Bénin.  Il y a acquis de vastes de domaines que gère sa fille Emma. Ce génie du non-dit, nous le voyons avec ces avocats et militaires détenus, en prétextant une raison médicale, fait escale à Cotonou à chacun de ses nombreux aller-retour en Europe. Histoire de bien être connu et reconnu des Béninois pour son prochain exil qu'il sent de plus en proche ! L'Oncle du président Sassou se sent (plus) d'affinités avec les Béninois qu'avec les Congolais et leur justice, car il est mieux placé que personne pour savoir que cette dernière, la justice congolaise, ne vaut rien ! Strictement rien !
Il y a une semaine mercredi ou jeudi dernier, une délégation de Sages de Makoua s'est rendue à Brazzaville dans l'intention d'être reçue par le Président Sassou NGuesso. Son intention était d'intervenir, discrètement, en faveur d'un de leurs fils, Germain Ickonga. Malgré leurs sollicitations, leur parent Firmin Ayessa, avait préféré rester en dehors de cette initiative. Ce dernier, à la tête de la Commission d'indemnisation qui gère les allocations des fameux "3 millions" avait mieux à faire que de ce soucier du sort du parent détenu ou, plus encore, d'intervenir en sa faveur. Firmin Ayessa connaît trop bien la rouerie de son Maître pour risquer de recevoir les foudres de sa colère. Finalement, la délégation des Sages de Makoua, sûrement composée de "rats" au regard de Sassou NGuesso, a été éconduite. Le président "de tous les Congolais" a refusé de les recevoir !
Après les Bakongos, les Laris, les Vilis, les Mbochis (après l'explosion) et les Tékés (après l'arrestation de Tsourou) Denis Sassou NGuesso s'est mis à dos les Makouas. Après la mort d'Yves Motando, le Monjombo, dans des circonstances suspectes, on peut légitimement se demander où l'actuel président congolais ira chercher ses voix dans une élection ? Même son fidèle serviteur et associé, Hubert Pendino, "une brave souris", aurait décidé de bien montrer qu'il quittait le navire.... Depuis quelques jours, c'est une véritable campagne publicitaire qui a été mise en place, notamment avec Google, pour affirmer haut et fort qu'il est un grand humaniste et grand entrepreneur. C'est bien lui le principal actionnaire de Socofran et pas Denis Sassou NGuesso, comme depuis des années certaines rumeurs l'affirment ! Qu'on se le dise !
Pendino.jpg
Amitiés

 

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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 22:22

Nous venons d'apprendre que Sassou a écrit officiellement à l'UPADS pour que le parti aux trois palmiers le tire du mauvais pas dans lequel il se trouve.

En ce moment même Gamassa, Moukouéké et Tamba-Tamba préparent la réponse en coulisse. Au nom de qui ? D'un parti divisé ? d'un parti en lambeaux ? De quel droit parlerez-vous au nom des peuples du sud ? Ne voyez-vous pas l'injustice de Sassou à l'oeuvre ? Il va donner des milliards aux siens - alors qu'ils laissent mourir de faim les bébés du sud ! Il a en effet mobilisé 800 milliards de francs cfa pour panser la douleur des siens.

Croyez-vous que si les populations sinistrées étaient du Pool, il allait agir de la sorte ? Ne vous rappelez-vous pas qu'il a coupé les arbres fruitiers et empoisonné l'eau dans le Pool ? Où étiez-vous quand les sinistrés de Pointe-noire ayant reçu un avion sur leurs maisons pleuraient leurs morts ? Qu'avez-vous donc fait pour qu'on indemnise les populations de Diata, Bacongo, etc, qui ont perdu leurs maisons et leurs biens ?

Franchement, nous savons que vous êtes faibles et sans personnalité devant l'argent et surtout, vous avez formaté vos mémoires pour mieux vous fourvoyer mais attendez, regardez ce que fait Sassou ! Un malheur a frappé les siens. Que fait-il ? Il sort l'ardoise, il sort les liasses du Trésor : de 14.000, ils sont passés à 100.000 qui vont recevoir 3000000 de francs cfa tandis que les populations du sud qui ont perdu des biens lors des événements liés au coup d'Etat de 1997 n'ont jamais été indemnisés en dépit de procès intentés contre l'Etat...

C'est 300 milliards de francs  cfa que Denis Sassou Nguesso va distribuer aux populations issues du nord, prouvant par là qu'il est le plus fieffé tribaliste de la terre. Et vous, vous allez au secours de l'éléphant qui se noie ? Vous allez à son secours ? Qiuand l'heure de vous décapiter politiquement arrivera, il n'hésitera pas une seconde. Le peuple est averti ; le peuple va vous demander des comptes...

Si vous le faites en le tirant la tête de l'eau, le peuple comprendra que vous n'êtes que des traîtres ; c'est pour cela que vous avez vendu le parti du professeur Lissouba à l'homme qui l'a chassé du pouvoir, à l'homme qui a assassiné vos soeurs, vos frères. C'est une bête qui se terre désormais, qui a oublié les déplacements avec faste car il a peur. De qui ? Des siens qu'il va essayer d'amadouer avec de l'argent - alors que ceux qui ont perdu leurs biens, leurs vies dans le sud n'ont jamais été indemnisés. Pourquoi ? Parce que Sassou a la haine des "Bakongos".

Et vous, vous allez vous retrouver avec lui pour participer à cette mascarade qu'il prépare à nouveau ? Vous vous croyez plus malins que lui  ou êtes-vous juste guidés par l'argent facile.

En tout cas, sachez que nous sommes au courant de ce que vous êtes sur le point de faire et nous ne vous le pardonnerons pas ! La traîtrise à son propre peuple mérite un châtiment exemplaire et vous, au lieu de laisser le parti aux trois palmiers aux jeunes, vous vous accrochez du haut de vos soixante-dix ans passés pour certains - vous avez toujours faim, vous n'avez pas fini de mendier, vous n'avez pas cessé de vous faire berner par Sassou et lorsqu'il aura retrouvé du poil de la bête, vous croyez qu'il cessera de vous traîter en ennemis, en mendiants, en esclaves, en putes de la république, en morabisi ?

 

Il n'y a qu'une réponse possible : Vous devez répondre à Denis Sassou Nguesso que la CONFERENCE NATIONALE SOUVERAINE DEUXIEME DU NOM EST LE SEUL CHEMIN QUI RESTE. ET CETTE FOIS-CI, LDM SERA DE LA PARTIE. NOUS LAVERONS LE CONGO AU SAVON DE LA JUSTICE. RECLAMEZ UN CONSEIL NATIONAL DE TRANSITION POUR REMETTRE LE PAYS A L'ENDROIT !

Assez de vos traîtrises, assez de vos lâchetés, assez de vos manigances. Sachez que vous n'avez aucune légitimité pour parler au nom de l'UPADS. VOS MANDATS N'ONT PLUS COURS DEPUIS LONGTEMPS. Si vous voulez vous faire entuber, faites-le en vos noms de péripatéticiennes mais de grâce, arrêtez de croire que VOUS REPRESENTEZ LE PEUPLE ! VOUS N'AVEZ AUCUNE LEGITIMITE POUR DISCUTER DE L'AVENIR DU CONGO. VOUS AVEZ TRAHI LISSOUBA, VOUS AVEZ EMPOISONNE LISSOUBA, VOUS AVEZ VENDU SON PARTI A SASSOU MAIS NOUS NE SOMMES DUPES. LIVREZ VOS DERRIERES RANCIS AU MEMBRE VIRIIL ELEPHANTESQUE DE SASSOU MAIS ALLEZ-Y EN JUPES. VOUS ETES FINIS. VOUS ETES POLITIQUEMENT MORTS. NOUS SOMMES A L'HEURE DES LIONS. VOUS ETES AVERTIS : NOUS NE VOUS PARDONNERONS PAS CETTE ENCULADE DE TROP....

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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 16:31

Elle se demandait souvent ce que son père lui trouvait, lui qui n'était même pas un vrai membre de la famille, elle qui se méfiait de lui, de l'homme qui est responsable des arrestations arbitraires, des assassinats et des enlèvements de paisibles citoyens en sa qualité de responsable de la sécurité nationale. Hélas, elle n'est plus là pour avertir son père de la confiance aveugle qu'il a dans cet homme...

Combien de fois Wamba Sassou Nguesso le lui a craché au visage : "Tu n'as pas une goutte de sang avec mon père" ? Eh oui, le peuple congolais a le droit de savoir la vérité sur Jean Dominique Okemba. S'il estime que nous ne disons pas la vérité, alors qu'il écrive et nous lui accorderons un droit de réponse.

Jean Dominique Okemba, le "Spécial", le conseiller de tous les secrets, le second dans toutes les sphères de pouvoir tant physiques qu'occultes, n'a pas une seule gouttelette de sang en commun avec Denis Sassou Nguesso. il peut donc le supprimer s'il en a l'occasion et c'est en cela que nous trouvons désormais crédible le récit relaté par OTWERE KOUMOU ODZAMBE Jean. Cet homme qui s'est approché du pouvoir de si près est devenu trop ambitieux que son rôle de second ne lui sierait plus. C'est tout simplement la même histoire que celle de Lucifer et de Dieu, du premier et du second depuis la nuit des temps, Lucifer-Eblis qui a toujours voulu prendre la place de Dieu, Lucifer qui a en avait assez de n'être que l'ange de lumière : EN FAIT, EBLIS VOULAIT TOUT SIMPLEMENT DEVENIR LA LUMIERE ET L'HISTOIRE CONTINUE ; MARIEN NGOUABI A ETE LE PREMIER A EN FAIRE LES FRAIS. A CE SUJET, FLORENT TSIBA NE MANQUERA PAS DE DIFFUSER LA CASSETTE QUE LUI LAISSA ONTSOU EN CAS DE DECES DU GRAND ELEPHANT !

La famille du grand éléphant le sait et se demande pourquoi Denis Sassou Nguesso fait tant confiance à celui qui pourrait être Brutus pour César Sassou. Cette histoire n'est pas terminée ; elle s'écrit encore - il suffirait d'un peu d'encre de sang pour que le roman fasse un bond dans le temps. Il ne reste plus qu'un pas, une place à prendre, un coeur à cesser de faire battre et le sentier de l'OBALI pourrait se transformer en BOULEVARD DU KANI.

Qui est en fait Jean Dominique Okemba ? Voici ce que nous avons reçu comme révélation par un homme qui pourrait être proche du pouvoir :  

"J'ai beaucoup apprécié les derniers articles que tu as mis en ligne et je les ai largement diffusés auprès de mes diverses relations. Celui sur Jean Dominique Okemba est parfaitement pertinent. Un élément qui échappe à beaucoup d'observateurs, c'est qu'Okemba n'est qu'un parent "par alliance" de Sassou NGuesso. Il n'est que le neveu d'une épouse de Valentin Ambendet, frère ainé de Sassou aujourd'hui décédé. Wamba, le rejeton de Sassou ne se gêne pas pour lui cracher à la gueule qu'il n'est pas du "même sang" qu'eux ! C'est sans doute ce dernier point qui a constitué l'argument décisif pour que JDO passe à l'acte...."

Il est utile de vous rappeler que Valentin Ambedet fut le frère défunt de monsieur Denis Sassou Nguesso, le chef de famille qui mourut sans laisser - selon Sassou lui-même -  d'hériter, lui qui gardait les fétiches de son frère cadet, lui qui considéra Jean Dominique okemba comme son fils spirituel. C'est au travers de ce lien que jean Dominique Okemba se rapprocha de Denis Sassou Nguesso.

CECI POUVANT EXPLIQUER CELA, NOUS AVONS TENU A VOUS APPORTER CETTE PRECISION. CELA POURRAIT AUSSI EXPLIQUER POURQUOI LE CONSEILLER SPECIAL A ETE ECARTE DE L'ENQUETE SUR L'AFFAIRE DU 4 MARS 2012...

Voilà, vous savez tout de l'homme par qui passent TOUTES les décisions politiques du pays, l'homme qui représente Sassou à l'étranger depuis le début de cette affaire tragique du 4 mars 2012, l'homme qui n'a plus qu'une marche à franchir. Sassou l'a hissé très haut ; il risque de descendre Sassou sous terre. CE N'EST QUE JUSTICE CAR IL RENDRAIT A SASSOU LA MONNAIE DE LA PIECE DE MARIEN...

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9 avril 2012 1 09 /04 /avril /2012 21:09

Nous venons d'apprendre l'arrestation aujourd'hui 9 avril 2012 de Maître Ambroise Hervé Malonga, l'avocat du colonel Marcel Tsourou arrêté arbitrairement par le pouvoir de Brazzaville le 30 mars 2012 - alors qu'il tenait une conférence publique au domicile de son client. C'est un flagrant exemple de la violation de la liberté d'expression et de l'arrestation arbitraire d'un avocat qui n'a pas à demander la permission du dictateur Denis Sassou Nguesso pour s'exprimer. Si le pouvoir empêche maître Malonga de parler, c'est qu'il se reproche de quelque chose et ne veut pas que le peuple congolais le sache. HELAS, NOUS FINIRONS PAR LE SAVOIR. D'ailleurs, nous apprenons par la bouche de maître Tiassé que maître Ambroise Hervé Malonga essaie depuis 10 jours de rencontrer son client le colonel Marcel TSOUROU en vain. Il ne sera pas aisé de garder éternellement en prison un avocat dans l'exercice de ses fonctions. Vous vous rendez compte que le Congo est un pays qui arrête même des avocats dans l'exercice de leur métier ? Au prétexte qu'il leur faut la permission de l'Etat pour s'exprimer devant la presse ou devant des individus ? Mais dans quel enfer vit-on au Congo ? C'est pour cela que DNCB est une chance pour le pays parce que NOUS, nous n'avons à attendre la permission de personne pour vous informer et pour nous exprimer...


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9 avril 2012 1 09 /04 /avril /2012 10:50

Nous avons reçu de Jean OTWERE KOUMOU ODZAMBE un document faisant la lumière sur le drame du 04 mars 2012 qui est en fait un coup d'Etat manqué dont vous allez enfin  découvrir le commanditaire en lisant son texte complet dans un document pdf que nous avons mis en ligne pour qu'il soit disponible en entier.

J'avoue avoir lu tout le texte en dépit de sa longueur tellement il est captivant. Je vous laisse le découvrir en cliquant sur le lien ci-dessous. Tous ceux qui ne pourront le lire en entier ont l'article en dessous qui le reprend mais en l'amputant de deux parties non essentielles pour qu'il ne dépasse pas les 260.000 caractères. C'est vrai que j'aurais pu transformer le PDF en images pour ensuite le publier sous cette forme.

C'est l'histoire d'un OBALI qui veut devenir KANI à la place du KANI à l'image d'IZNOGOUD QUI VOULAIT DEVENIR KHALIFE A LA PLACE DU KHALIFE. Il arrive que l'ambition se lasse d'attendre le bras du destin et qu'elle se décide de lui...forcer la main !

Ce texte ne va pas manquer de plaire à monsieur Denis Sassou Nguesso qui se souviendra certainement de ce que le président Marien Ngouabi avait dit :  "Lorsque vous juchez très haut un homme qui n'est rien, il devient très dangereux"...

 

 

CLIQUEZ SUR CE LIEN POUR LIRE LE TEXTE D'OTWERE KOUMOU ODZAMBE JEAN EN ENTIER

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