De source sûre, nous savons que le P.C.T. veut fusionner avec les autres associations-partis comme le CADD d'André Okombi Salissa qui subit d'énormes pressions à ce propos. On redoute qu'André Okombi Salissa devienne demain le "SORO" du Congo. Il est à noter qu'Okombi Salissa est peut-être le ministre le plus populaire du gouvernement car lui a su utiliser les personnalités du terroir pour implanter son mouvement politique. En effet, Okombi n'est pas tribal comme Sassou ; il a donné beaucoup d'emplois aux locaux qui lui sont tous très fidèles et il faut noter que c'est un homme qui a aussi été à la tête d'une milice qui a combattu pour Sassou - ce qui lui vaut d'être toujours dans les gouvernements successifs.C'est un homme filé en permanence par le pouvoir de Brazzaville qui en a peur comme de la peste...
La fusion-absorption veut en fait agrandir la base du P.C.T. qui a rapetissé et prévoir le fait que si demain l'inévitable se produisait, Sassou soit assuré que le nord parlera d'une seule voix. Dans l'immédiat, il s'agit de gagner les futures élections législatives pour garantir à Denis Sassou Nguesso de poursuivre son oeuvre de destruction sur le pays par des lois iniques.
Nous savons que le P.C.T. prépare le Congrès dit de l'ouverture au mois de juillet prochain et en matière d'ouverture, c'est une gueule qui s'ouvre pour avaler des partis comme AGIR d'Henri Ossébi, le CADD d'Okombi Salissa, etc. Le PCT veut reprendre du poil de la bête - notamment face à l'UPADS qui revient doucement dans le giron de la politique-soumission. Dans la tête de tous ces cadres du parti, sans oser le dire ouvertement, il s'agit de se structurer pour prévenir l'avenir car nul ne peut prédire ce qui risque de se passer en cas de disparition soudaine du grand éléphant. Le PCT doit avaler les partis satellites pour ensuite être avalé lui-même pa le RMP ou Rassemblement pour la Mouvance Présidentielle afin que l'on se reconfigure comme au bon vieux temps du monopartistisme. Hélas, les choses ne sont pas aussi faciles - même si on essaie de convaincre certaines associations qu'elles n'ont plus raison d'exister, la paix étant totalment revenue, et le pouvoir pouvant à nouveau discuter avec l'UPADS qui est à ses yeux le seul parti d'opposition larvée. D'autre part, si Sassou disparaît, tous savent que l'on ne pourra plus évoquer la mouvance présidentielle et le PCT risque de se retrouver en confrontations avec des fils adoptifs qui auront vite fait de le renier. Aussi, il serait souhaitable de les rassembler dans le PCT nouvelle formule, plus élargi, plus fort, plus solide. Cependant, ce n'est pas une mince affaire...
Dans le secret, on doute que certains mouvements politiques satellites provoquent ou profitent d'élans populaires pour s'écarter du pouvoir et rejoindre la rue car le printemps arabe est encore fumant dans le cerveau du clan au pouvoir dans notre pays. Il s'agit de tenir la rue en tenant les dirigeants politiques des autres partis. Cependant, certains sont devenus si puissants qu'on ne peut plus les tenir par l'argent et la décadence interne d'un pouvoir moribond aidant, on redoute demain qu'un leader d'association politique se transforme en hyène pour dévorer la carcasse de l'éléphant. Le Guillaume SORO du Congo est peut-être déjà dans le système comme le ver dans le fruit et nul ne sait pas comment faire pour l'en extirper avant que ne se pose de façon ouverte l'épineuse question de la succession. Question hautement explosive...
Est-ce un hasard que le printemps arabe, que la mort d'Oussama Ben Laden surviennent sous la présidence américaine de Barack Obama ? Nous ne le pensons pas. Dès le départ, nous avions prédit qu'il y aurait un avant et un après Obama et des bouleversements irréversibles se déroulent sous nos yeux et ce n'est pas fini. Certes, Obama n'en est certainement pas la cause directe mais son impact ne saurait être négligée ou négligeable. Obama est la face visible d'un changement invisible profond qui est en oeuvre dans l'histoire et nous avons bon espoir que même Denis Sassou Nguesso et sa dictature seront un jour vaincus et complètement terrassés. Nous jugerons TOUT le clan - sans exception car nous avons connaissance de toutes leurs turpitudes. Cela ne se déroulera peut-être pas sous Obama mais qui sait ?
Pour l'information, Oussama Ben Laden a été assassiné par un commando américain au Pakistan dans une demeure bien protégée proche d'une école militaire pakistanaise avec d'autres éminences grises du mouvement. Barack Obama avait donné l'ordre de le capturer vivant mais nous constatons qu'il a été tué. Volonté délibérée ? N'était-il pas possible de le capturer vivant pour l'interroger et mieux combattre son mouvement ? Certes, Oussama Ben Laden lui-même aurait souhaité ne jamais être capturé mais ici, il s'agit de connaître toutes les ramifications d'un mouvement pour mieux le détruire ! A-t-on voulu le réduire au silence pour qu'il ne révèle pas ses connivences américaines ? Il y a trop de questions sans réponse...
Pour éviter qu'il ne devienne un martyr, son corps a été immergé dans l'océan. L'instigateur des attentats du 11 septembre 2001, après dix ans de traque, est mort sous les balles d'un commando américain et nous comprenons la liesse de l'Amérique et des Américains mais il faut à présent réfléchir sur les conséquences de sa mort sur les activités terroristes du mouvement Al-Qaïda. Certes, tous les mouvements qui se créaient ici ou là, pour obtenir le label Al-Qaïda, devaient faire allégeance à Oussama mais sa mort présume-t-elle la mort du mouvement ou doit-on craindre que de nombreuses personnalités terroristes essaient à présent de prendre sa place laissée vacante ? Faut-il redouter des représailles ? Le fait que sa base n'ait pas pu voir son corps ne risque-t-il pas de faire de lui un martyr encore plus puissant car certains malins pourraient propager la rumeur qu'il serait encore vivant ? C'est un individu qui était déjà entré dans l'histoire du mauvais côté qui risque à présent d'entrer dans le mythe du résistant religieux.
Le terrorisme n'a pas commencé avec Oussama Ben Laden ; il n'a fait que l'accentuer en lui donnant une dimension internationale plus structurée et il est peu probable qu'il se termine avec sa mort. Il faut au contraire craindre un relâchement de la lutte contre le terrorisme qui pourrait crier victoire trop tôt : décapiter un mouvement ne signifie pas la mort de celui-ci et il faut que les puissances occidentales entrent ces jours-ci dans leurs phases de sécurité les plus élevées car l'esprit du mujahidin va vouloir venger Oussama Ben Laden qu'on croyait en Afghanistan - alors qu'il se cachait au Pakistan - ce qui montre que l'Etat pakistanais n'est pas un si bon allié des Etats-Unis. La présence américaine, et en Afghanistan, et au Pakistan a perdu sa raison première mais nous savons que l'armée américaine ne fera pas ses valises : elle a toujours l'alibi du terrorisme à combattre.
La question des otages détenus par Al-Qaïda prend une autre tournure - même si d'aucuns estiment que les mouvements comme AQMI sont assez indépendants pour ne pas se venger sur les otages qui sont pour eux des monnaies humaines au sens trivial du terme.
De notre part, nous estimons qu'il faut que l'Amérique reconsidère la notion même de terrorisme car Denis Sassou Nguesso exerce sur le peuple congolais ce que j'appelle un terrorisme d'Etat et nous savons par les écrits de Serge Berrebi que cet homme a été impliqué dans des attentats comme ceux d'UTA. Il faut suivre le conseil de Poutine et s'attaquer à tous les dictateurs partout dans le monde - surtout en Afrique - en commençant si possible par le Congo où notre peuple est assassiné par la faim, la soif, la maladie et la descolarisation. Kadhafi n'est pas le pire dans le genre "assassin de son propre peuple" et surtout, NOUS AUSSI, AVONS DU PETROLE. ALORS ?
Jusqu'à présent le sport était le domaine où en France le concept d'égalité s'entendait comme une vertu à la hauteur de son talent. Hélas, il semble que la vision lepenienne d'un football français noirci par trop de joueurs noirs refait surface et deviendrait une thèse que certains dirigeants de la Fédération Française de Football soutiendraient selon Mediapart. Ce pavé sur le terrain du ballon rond a même fait réagir Laurent Blanc indexé par l'article. La FFF ne pouvait pas mieux faire pour aider Marine Le Pen.
Imaginez la France sans le génie de Zidane, la vitesse de Thierry Henri, l'agressivité défensive d'un Thuram, bref, c'est une France qui n'aurait certainement pas gagné la coupe du monde de football en 1998 ! Le sport était la sphère où le talent ou pierre angulaire de la compétitivité sportive pouvait encore se passer des nuances de l'épiderme mais si la politique s'en mêle, nous sommes à peu près sûrs que le football français va perdre en qualité et cela ne m'étonnerait pas que le petit Enzo Zidane préfère l'Espagne à la patrie de son père...
Nous venons juste de l'apprendre : Sassou mobilise des courtisans pour aller prier à Rome. L'avion part ce soir. La messe est prévue le vendredi 06 mai 2011 à Rome. Ceux qui estiment que ce convoi aérien vient assister à la céréminie de béatification qui aura lieu le premier mai 2011 peuvent remarquer que la messe demandée se déroulera cinq jours après la béatification... Notre informateur se demande : n'y a-t-il pas des Eglises au Congo pour prier ? Pour avoir des grâces faut-il aller à Rome ? Nous savons qu'il s'agit d'une source sérieuse et que l'histoire est fondée puisque vous pourrez le vérifier pour ceux qui le peuvent à Maya-Maya, à Brazzaville.
Combien de fois Antoinette Sassou Tchibota Nguesso a-t-elle rassemblé des croyants pour des prières collectives en faveur de son mari ? Il semble qu'elles n'aient pas porté du fruit et comme l'affaire ne peut se résoudre à coups de billets de banque, on en vient à Dieu et Sassou a dû se dire qu'il fallait que ses courtisans aillent prier le plus près du Seigneur, là où il entendra indubitablement leurs prières larmoyantes. Si le Vatican est le coeur de la chrétienté, Dieu doit y avoir un peu plus d'égards qu'ailleurs, doit se dire le monarque mais a-t-il jamais lu la Bible pour comprendre que Dieu est partout ? Que Dieu exige que chaque être humain devienne le temple même de Dieu pour qu'il y habite ? Comment peut-on ainsi montrer à la face du monde une pratique si intéressée de la religion ? Si les genuflexions de ses séides ne marchent pas au Vatican, les enverra-t-il à Jérusalem prier à Golgotha ?
Sur le plan factuel, ceci donne une indication sur la santé de notre éléphant politique convaincu qu'il ne peut plus se vouer qu'au bon Dieu. Seulement, lui, entend-il les prières de ces enfants qui meurent de faim, de soif, de maladie, surtout de malnutrition ? Entend-il les cris des souffrances du peuple qui se meurt ? A-t-il eu de la compassion pour ces innocents qui sont morts lors du crash de l'Antonov de TAC ? A-t-il même veillé à ce que l'on indemnise correctement les individus ? N'a-t-il pas balancé certains corps à la décharge publique à l'aide de bulldozers ? A-t-il pitié d'une nation, lui qui se tient à la place d'une divinité pour ses semblables ?
Dieu n'est pas un serviteur qu'on oublie quand tout va bien et vers lequel on s'épand quand les choses vont mal. Il n'y a pas une plus grande quantité de présence divine au Vatican qu'au Congo et si Dieu n'entend pas dans la basilique d'Oyo, il restera bien sourd au Vatican où il ne se trouve pas par ailleurs : Dieu a déserté l'Eglise catholique à cause de ses péchés, de la pédophilie de ses prêtres qui sont aussi francs-maçons, rosicruciens, etc. DIEU HABITE AU CONGO ET C'EST LUI FAIRE INJURE QUE D'ENVOYER DES COURTISANS BAISER LES PIEDS DU PAPE POUR OBTENIR DES GRACES. JE VOUS LE DIS, MONSIEUR SASSOU, C'EST A KONGO DIA NTOTILA QUE LE CHRIST REVIENDRA RENDRE VISITE A L'HUMANITE...
Soro Guillaume solde ses comptes avec ses ennemis intérieurs en liquidant l'homme qui lui faisait de l'ombre, certainement son plus grand rival, un homme qui réclamait "sa part" dans le nouveau pouvoir et c'est justement Guillaume SORO qui a empêché cet ancien garde du corps d'Alassane Ouattara de jouir de la récompense réservée aux vainqueurs.
Ce sergent qui s'était proclamé Général a été tué ce mercredi dans son fief d'Abobo. Avant d'être abattu avec six autres personnes, IB avait pris une famille en otage. On prétend qu'IB préparait une contre-offensive - forcément contre le pouvoir. Un autre putsch ? Ouattara avait appelé l'ex-putschiste et ses fidèles à déposer les armes sous peine d'y être contraints par les armes. En désarmant IB par la force au détriment de sa vie, Ouattara montre qu'il aura du mal à tenir ses propres rebelles devenus des pseudo-soldats de fortune et c'est là que Guillaume SORO va pouvoir lui être utile mais ce dernier en éliminant IB a créé une animosité auprès des rebelles qui vont désormais l'appréhender comme un traître. Les jours qui viennent en Côte-d'Ivoire n'ont pas fini d'écrire une histoire sanglante.
Ibrahim Coulibaly, l'un des personnages les plus mystérieux de la scène ivoirienne depuis une décennie, avait revendiqué ces derniers jours sa part dans la chute de Laurent Gbagbo, tout en assurant se placer sous l'autorité d'Alassane Ouattara, dont il avait été le garde du corps. Abobo était l'un des derniers quartiers d'Abidjan qui échappaient au contrôle des FRCI. Elles doivent encore éliminer la menace des miliciens pro-Gbagbo de Yopougon (ouest), qui opposent toujours une résistance farouche.
Alassane Ouattara a annoncé qu'il prévoyait d'organiser sa cérémonie d'investiture le 21 mai et qu'il allait créer "d'ici deux semaines" une commission Vérité et Réconciliation à la sud-africaine. Il compte nommer un "gouvernement d'union nationale" avant la fin mai.
On n'a pas fini de manger de l'attiéké sanglant en Côte-d'Ivoire, un pays où le désordre et le meurtre font encore la loi.
Le journalisme moderne patauge dans la platitude de l'information : il s'agit de dire sans sel et sans poivre. Nous, nous mettons du piment pour qu'elle ait du goût.
Nous connaissons la passion de monsieur Denis Sassou Nguesso pour le culte des morts. En témoignent les rituels qu'il organise à chaque anniversaire dans le cimetière familial à Kona-Kona. Que de dévotion à l'égard des disparus de la famille royale !
En fait, celui qui honore les morts envoie un message aux vivants : " Soyons unis, aimons-nous car nous procédons des mêmes ancêtres". Sassou craint-il d'être assassiné par sa propre famille ? En effet, il doit forcément redouter les puissantes ambitions qui frétillent autour de lui. Sur le plan de l'inconscient, un tel culte renvoie à la peur de mourir. Récemment, il y a même érigé une stèle en souvenir de sa fille feue Edith Bongo, une stèle en bronze. On pourrait croire qu'une telle dévotion aux morts de la famille le rendrait sensible aux innocents, à ses concitoyens qui meurent parce que les ferrailles volantes de sa famille font des accidents tragiques comme ce fut pour l'Antonov de TAC qui s'écrasa dans la ville natale de son épouse il y a peu. Et l'on peut même se demander si les familles de ces pauvres innocents ont été indemnisés !
Pointe-Noire offre du pétrole à Sassou et Sassou reconnaissant fait crasher des avions pourris sur les quatriers populaires de la capitale économique.
Seulement, voilà, l'idolâtrie de Sassou pour les morts s'arrête au cimetière familial de Kona-Kona à Edou puisque le 28 mars 2011, lors de l'enterrement de 23 innocents morts par sa faute puisque c'est lui qui autorise les poubelles volantes à devenir des épées de Damoclès sur les têtes des citoyens, il n'a pas montré son visage luisant d'embonpoint et même sa femme d'ordinaire si emphatique et si compassionnelle, n'a pas daigné envoyer des fleurs et venir verser une seule larme de crocodile. Peut-être ont-ils simplement craint la vindicte populaire comme ce fut le cas lors de l'enterrement de Thystère mais il n'y a aucune commune mesure et le couple d'éléphants en chef n'avait rien à craindre : les 23 innocents ne faisaient pas de la politique...
En fait, pendant que Pointe-Noire enterrait des innocents, Denis Sassou Nguesso se préoccupait de sauver son ami Kadhafi en mal avec les insurgés tandis que sa femme suivait une cure de thalassothérapie à Biarritz !
C'est d'un banal mépris car il s'agit de la mort de personnes sans importance, de souffreteux qui n'avaient droit à aucun égard, de sorte que du peuple, Sassou crache sur les vivants et méprise les morts.
PAR MOMBO I FTN
Les Editions NAIRE vous présentent la quatrième édition de son guide sur le Tchad. Vous pouvez le commander à la FNAC ou écrire directement à son auteur dont vous trouverez les coordonnées plus bas dans un autre article ou nous contacter par le menu contact (clic). Ce brillant sociologue indépendant a créé les éditions NAIRE pour assouvir une soif d'écriture et ayant lu ses livres, je peux vous garantir que du point de vue de la syntaxe, l'homme est resté rigoureux dans un style romancé très chaloupé. Quant à sa poésie, elle s'inscrit dans la continuité de l'inspiration "césairienne" par une affirmation de la négritude. Pour lui apporter la controverse, lui qui est si brillant contradicteur, nous estimons que la négritude réduit l'essence d'un être à son épiderme comme si on réduisait la "tigritude" à sa peau - alors même que nous savons que le tigre est plus qu'une peau et nous lui préférons le "kimuntu" qui est intériorité, ensemble de déterminations culturelles, historiques, éthiques qui définissent le nègre originel qui est plus qu'une peau, un derme ou un épiderme. Le kimuntu est l'humanessence qui fait que l'homme s'investit d'une dimension qui en fait plus qu'un animal pensant. Par humanessence, j'entends le dénominateur commun qui fait que nous osons encore nous regarder comme faisant partie de la même gent humaine. Quand meurt l'humanessence en l'homme, l'homme devient loup pour l'homme...
Ouattara vient de démontrer en arrêtant AFFI NGUESSAN, président du Front Populaire Ivoirien (FPI), le parti de Laurent Gbagbo, qu'il n'est pas pour la liberté d'expression et c'est un signe annonciateur d'une dictature en règle qui ne cesse de massacrer des civils sur le mode de la vendetta et nous voyons mal cet énergumène réussir à réconcilier les Ivoiriens en envoyant des signes de mépris et d'arrogance au camp adverse.