Journal d'actualités sur le Congo-Brazzaville administré par le LION DE MAKANDA (LDM) pour les démocrates patriotes du Congo-Brazzaville œuvrant pour le retour de la démocratie perdue en 1997. Nous nous battons par amour avec les mots comme armes et le Web comme fusil.
Ceux qui pensent, que Denis Sassou Nguesso veut passer en force pour se maintenir illicitement au pouvoir au delà de 2016, ont certainement raison mais il est à redouter cette fois-ci que le peuple se dresse devant lui : cet homme ne supporte pas qu'on lui tienne tête et surtout, il n'a que du mépris à l'égard de la volonté populaire. Quand ce drogué du pouvoir affirme qu'il ne veut plus voir couler les larmes et le sang des autres, les images ci-dessous vous prouveront que c'est un menteur - même s'il s'est arrangé pour que les larmes et le sang des autres coulent au moment où il se trouve à l'étranger. Nous savons qu'il les fait souvent couler en donnant juste de simples coups de téléphone au cours desquels il ordonne comme Dracula qu'on verse pour lui sa dose de larmes et de sang des autres. N'a-t-il pas averti au traver d'une banderole de son PCT parti privé parce que privatisé depuis son retour en 1997 : "BA MEKA SASSOU TE BA KEBA NA BANGO" ? Cela signifie que notre monarque absolu, grand gangster devant Eblis et plus vieil assassin politique encore en exercice en Afrique, va noyer toute opposition et toute confrontation dans une sorte d'"Alima de larmes et de sang".
Voici ce que nous avons pu lire sur le site de BrazzaNews au travers d'un texte d'Ed Dav qui résume bien les événements qui se sont déroulés ce dimanche 7 septembre 2014 à Brazzaville à la fin d'un meeting de l'opposition réunie pour examiner des faux textes signés le 25 août par Denis Sassou Nguesso - alors qu'il se trouve en Espagne depuis le 20 août 2014 concernant le scrutin du 28 septembre portant sur les élections locales (municipales et sénatoriales) :
" AGRESSION DES RESPONSABLES ET MILITANTS DU COLLECTIF DES PARTIS DE L’OPPOSITION CONGOLAISE
Ce jour 07 septembre 2014, le Collectif des Partis de l’Opposition Congolaise a eu une rencontre avec la presse, ses militants et sympathisants au Palais des Congrès pour examiner et évoquer la situation de la convocation du corps électoral pour les élections locales du 28 septembre 2014 par des faux décrets du gouvernement signés soi-disant par le Président Denis Sassou Nguesso à Brazzaville alors qu’il est en vacances hors du pays depuis le 20 août dernier. Malheureusement, à la fin de l’activité, les responsables et militants du Collectif ont été agressés par des éléments qui s’étaient munis d’armes blanches et qui les ont utilisé sur les militants, sympathisants, responsables du Collectif des Partis de l‘Opposition Congolaise et sur les moyens de transport qu’ils devaient emprunter.
Cette agression fait suite à une activité légalement autorisée par le Préfet de Brazzaville et devait être sous la protection de la force publique comme cela l’exige dans le cas d’espèce.
Selon les premières informations, il ressort qu’il y a eu plus de 5 blessés dont certains graves. Les auteurs de cette agression semblent être des jeunes armés par des ennemis de la démocratie qui sont en train, de chercher coûte que coûte des incidents pouvant compromettre les dirigeants de l’opposition en général et du Collectif des Partis de l’Opposition Congolaise en particulier.
C’est dans le calme et la sérénité que le Collège des Présidents du Collectif des Partis de l’Opposition suit cette situation. Il invite leurs militants et sympathisants de redoubler de vigilance pour ne pas passer à côté de l’essentiel, du combat politique qu’ils mènent en ce moment, en vue du Changement, de l’alternance démocratique et de la restauration de la démocratie ".
Voici les fameux documents signés du 25 août 2014 - alors que Denis Sassou Nguesso se trouve en Espagne depuis le 20 août 2014 (nos sources nous ont signalé que sa santé ne serait pas au beau fixe mais il a assez d'argent pour s'acheter quelques années de plus question de parachever son oeuvre destructrice). Si l'opposition était conséquente avec elle-même, elle renoncerait à ces élections locales truquées mais, nous savons, qu'au Congo, l'ambition collective et le désintéressement voire l'idéal démocratique s'arrêtent devant l'ambition personnelle !
En bon républicain, Clément Miérassa a raison de s'interroger mais nous savons qu'il n'est pas dupe et qu'il a déjà les réponses aux questions qu'il se pose (absence de la force publique et présence inopinée des gangsters venus en découdre avec de paisibles militants) :