Qui se souvient de cette phrase du Christ : " Que celui qui veut être le plus grand d'entre-vous soit votre serviteur", un principe qu'il illustra en lavant les pieds de ses disciples ? Si le plus grand est aussi le plus petit d'entre tous les nombres non nuls, alors tous les nombres sont égaux : seuls les mathématiciens peuvent comprendre ce verset de l'Evangile. CHRIST ENONCE ICI LE PRINCIPE DE L'EGALITE ENTRE LES HOMMES AVANT LA CREATION DE LA DEMOCRATIE. Christ a introduit par cette parole le principe de l'égalité qui est le socle du principe démocratique. Vous pouvez toujours arguer qu'il faut laisser à Dieu ce qui lui appartient et à César ce qui est à la politique, je vous répondrai que Moïse affronta pharaon, l'équivalent du président d'aujourd'hui. Tout comme Elie face au roi Achab. Les prophètes bibliques comme Nathan à qui le roi David confia l'éducation du petit Shlomo (salomon) interféraient toujours dans les affaires politiques pour moraliser la vie politique car il est bien écrit dans le livre de Samuel que les futurs rois opprimeraient leur peuple et qu'il faudra que de temps en temps que les prophètes de Dieu les combattent au nom de la justice, de l'égalité, c'est-à-dire, de la démocratie.
Nous demandons à monseigneur Louis Portella, à tous les évêques et pasteurs du Congo de jouer le rôle que le Christ leur assigne : il faut faire le travail de Moïse face à Pharaon, d'Elie devant Achab. Dieu ne voit pas l'injustice car ses yeux sont si purs. C'est écrit dans le livre du prophète Jérémie. Le silence de l'Eglise face à tant de persécutions politiques est un grand péché. VOUS DEVEZ VOUS LEVER ET SAUVER VOS BREBIS, NOTRE PEUPLE, DES MAINS DE LUCIFER-DENIS SASSOU NGUESSO. "AINSI PARLE HASHEM, ELOHENOU, ADONAI"...