Journal d'actualités sur le Congo-Brazzaville administré par le LION DE MAKANDA (LDM) pour les démocrates patriotes du Congo-Brazzaville œuvrant pour le retour de la démocratie perdue en 1997. Nous nous battons par amour avec les mots comme armes et le Web comme fusil.
La France cherche à revendre 79 millions de doses de vaccins sur 94 millions de doses. Juste 5 millions de Français se sont fait vacciner. Les vaccins ont coûté près de 700 millions d'euros - sans compter les masques, les crèmes, les gels entre autres. Le coût total avoisinerait selon les spécialistes les 2 milliards d'euros au profit des grandes firmes pharmaceutiques. La France envisage de revendre 2 millions de doses à l'Egypte après avoir vendu 300.000 doses au Qatar. Le schéma à deux doses pour une personne a faussé la commande. SANOFI-PASTEUR se dit prêt à réexaminer son contrat si juteux avec l'Etat français pour réduire le coût de la facture. Il s'agit de faire vite car les doses ont une date de péremption...
Cette opération basée sur la peur et une grande publicité a fini par faire pchitt. On a fini par plus avoir peur du vaccin que du virus de la grippe ! Nous attendons de voir quels seront les effets de cette vaccination sur les organismes de ceux qui ont consenti à se faire vacciner. En Europe, la France n'est pas seule puisque l'Allemagne et la Suisse cherchent eux aussi à vendre leurs stocks. Le fin mot de l'histoire, c'est qu'on aura enrichi les sociétés comme SANOFI-PASTEUR qui se sont remplies les poches en imaginant une pandémie que l'on ne voit toujours pas venir et nous demandons au gouvernement congolais de ne pas acheter ces doses de vaccins car leur conception a été on ne peut plus rapide, surprenant de nombreux spécialistes. La France a donné dix millions de doses de vaccins à l'OMS qui n'hésitera pas à les envoyer en Afrique ou ailleurs. Voilà un exemple de fonctionnement du capitalisme qui se sucre sur l'argent des contribuables en jouant sur les peurs, en suscitant des pandémies pour faire du profit. Nous attendons d'avoir les suites de la plainte contre Roselyne Bachelot en janvier.