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30 mars 2012 5 30 /03 /mars /2012 22:20

COMMENTAIRE : Ceci est un document exclusif basé sur le rapport de l'enquête que nos correspondants nous ont envoyé pour éclairer le peuple congolais sur les événements du 4 mars 2012 qui n'ont rien d'accidentels puisqu'il existe un commanditaire (dont il s'agit à présent de savoir s'il court toujours...) qui a promis des millions de francs cfa pour l'exécution de ce plan qui s'avère être un COUP D'ETAT RATE. Lisez attentivement et tirez vous-mêmes vos conclusions. Ce n'est pas par hasard que Denis Sassou Nguesso s'en prend à certains miltaires. Ce rapport, il en a eu connaissance. Des militaires faisant partie su complot ont été arrêtés.

Cet article vient éclairer celui qui le précède juste en dessous. Il indique qu'il s'agissait d'une diversion qui aurait occasionné plus de dégâts que prévu - alors qu'il ne s'agissait que de faire diversion pour ensuite déclancher le coup d'Etat. Cela ne peut signifier qu'une chose si tout ceci est vrai :  LE POUVOIR DE DENIS SASSOU NGUESSO EST EN DANGER. En fait, la sécurité de monsieur Denis Sassou Nguesso est très défaillante ; c'est ce qui explique qu'il se fasse à présent garder par des Angolais. CE N'EST CERTAINEMENT PAS FINI...

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                                            FISSURE AU SOMMET DE L'ETAT

 
Voici le Rapport que nous avons pu prendre connaissance.
Et aujourd’hui nous vous décrivons avec force et détails le déroulement des faits tels que mentionnés dans le rapport d’enquête préliminaire remis au Chef de l’Etat. Le sinistre a débuté à l'Intendance plus précisément à son magasin d'armes, par le biais d'une mèche lente. L'explosion qui en a découlé, a enflammé un dépôt de carburant jouxtant l'Intendance. Et c'est l'explosion de cet entrepôt de stockage de carburant qui a eu pour conséquence de faire sauter la DCAM et le régiment Blindé ainsi que le camp Génie par la même occasion. Toujours selon ce même rapport, au vu des premières constatations, l'ampleur du désastre n'a pas été préméditée.
- Il est 4h 00, ce dimanche 04 Mars 2012, lorsqu’un groupe d’hommes en armes tapis dans l’ombre dans les alentours du camp régiment Blindé, plus précisément vers les abords du fleuve, est surpris en pleine discussion houleuse entre eux, avec par moment des pauses téléphoniques, par une vendeuse de produits maraîchers ( Cette vendeuse qui, inquiète de voir des hommes en armes à cet endroit inhabituel, s’était tapie dans l’obscurité et après avoir écouté une bonne partie de cette conversation, constitue aujourd’hui un maillon essentiel de cette enquête). La discussion de ces hommes en armes était liée à des centaines de millions chacun qui leur avaient été promis par leur commanditaire ainsi que les modalités de recouvrement de la totalité de leur dû, toujours selon le contenu de ce rapport, le groupe était constitué par trois (3) équipes, ce plan est détaillé par des éléments (militaires) comploteurs de l’explosion du 04 mars 2012 arrêtés et qui se trouvent à la DRM, à la DST, à la DGSE et à l’Etat Major Général des Armées  :
- La première équipe était constituée d’artificiers disposant de mèches lentes, encadrés par des éléments de soutien équipés de fusils d’assaut.
- La deuxième équipe, appelée " vague d’assaut ", était, elle, constituée de commandos et était armée de fusils d’assaut et d’armes lourdes.
- La troisième équipe, appelée équipe desoutien, était celle-là qui devait venir appuyer l’équipe d’assaut si celle-ci rencontrait une résistance vive ou assurerait le repli défensif au cas où l’opération aurait avorté.


                                         DEROULEMENT DES FAITS  :

 
Parti vers 5h30 à l’assaut de l’Intendance, le groupe d’artificiers ne rencontra sur sa progression aucune résistance. Par conséquent, après avoir disposé les mèches lentes dans le magasin d’armes de l’intendance, ce groupe se replia par la suite toujours sans connaitre d’embûche.

 
7H15 : Début d’incendie et de légères explosions se font entendre dans le bâtiment abritant l’intendance, s’ensuivent des bruits de détonations d’armes automatiques au loin, comme qui dirait des échanges de tirs.
7H50 : Déjà quelque temps que le feu fait rage au niveau de l’Intendance, puis des balles incendiaires fusent du magasin d’armes en feu, et vont enflammer le dépôt de carburant situé à quelques encablures de l’Intendance qui à son tour, prend feu immédiatement. Pendant ce temps, les assaillants voyant le sinistre se propager à la vitesse Grand " V ", décident de battre en retraite et d’alerter à la fois les populations civiles et militaires qui se dirigeaient vers les camps de Mpila, en criant : "Fuyez ,fuyez, il y a le feu, le feu là-bas !" Par ailleurs, bon nombre de militaires qui se trouvent aujourd’hui être en état d’arrestation ( à la DRM, à la DST, à la DGSE ou encore à l’Etat Major Général des Armées), le sont simplement parce qu’ils ont battu en retraite après avoir entendu ces cris d’alerte, plutôt que d’aller assurer la relève du jour.
8H08 :  Le dépôt de carburant explose littéralement,pendant que le bâtiment de l’Intendance lui, est toujours enproie aux flammes.
8H10 : Le dépôt principal du Régiment blindé connaît un début d’incend ; les militaires qui ont fait faction ont du mal à circonscrire ce début d’incendie.
8H14 : Le dépôt est en flammes et l’alerte générale n’est toujours pas donnée.
8H15 : Des Premières explosions, mais ce que ce rapport révèle dans ses annexes fait froid dans le dos en ce qui concerne le dispositif sécuritaire entourant le Chef de l’Etat surtout sur la quasi inexistence d’un outil de défense efficace au Congo Brazzaville. Un plan à la fois simple mais réaliste car bénéficiant certainement de complicités internes et leur connaissance de la personnalité du chef de l’Etat. Dans leur plan, puisque qu’il s’agit, du Chef del’Etat, il était question qu’il fasse diversion par une action d’éclat dont l’ampleur serait limitée  mais qui aurait eu pour effet de semer la panique au sein de la population, ce qui entraînerait une débandade totale et un exode massif des populations - tout cela pour limiter les dommages collatéraux. Et ensuite de lancer un assaut sur la résidence du Chef de l’Etat. Malheureusement, l’incendie du bâtiment de l’Intendance a vite fait de prendre une ampleur infernale et a débouché sur des réactions en chaîne qui leur ont très vite convaincu de battre en retraite.


                    LE DISPOSITIF SECURITAIRE OU LA GRANDE FAILLE :

 

Dès les premières détonations à Mpila, le Haut Commandement militaire est absent, personne n’est à même de prendre des décisions : les chefs de corps, Commandants d’unité, personne n’est à son poste. Tous appellent le standard de la Présidence de la République et malheureusement, il n’y a personne au bout du fil. C’est la panique totale plutôt que d’essayer d’organiser les troupes dont certaines sont déjà en débandade, comme les unités de la police, ils s’attellent plutôt à essayer d’évacuer ou de mettre à l’abri leur famille ainsi que leur argent. Dans ce chaos, une seule unité a été réactive et très professionnelle dès 8h30 : ce sont les éléments du 1er Groupement d’Intervention de la Gendarmerie Nationale du Général Mokoki qui en accord avec certains Officiers supérieurs se sont même permis de ventiler dès ces premiers instants là un code entre les unités afin de parer à toute éventualité.
C’est en cela que certains militaires ont été abattus simplement parce qu’ils étaient en tenue de combat et désiraient rejoindre leurs unités d’affectation tout en ignorant qu’un mot de passe avait déjà été ventilé sur le terrain. Par ailleurs, même les éléments du GPC (Groupement Para Commando) du Général Okoye, se sont plutôt illustrés par leur promptitude à essayer de protéger leurs installations plutôt que d’aller au charbon. Le Chef de L’Etat, ayant fait le constat de son immense insécurité, a décidé de réintégrer dans son dispositif sécuritaire à nouveau des éléments de rescousse dès les premières heures.
Les hommes clés du pouvoir arrêtés sont :
- Germain Ikonga : Directeur de l'Equipement militaire, avec tout son staff ;
- Jean Claude Mopita : Directeur Central Armement et munitions ;
-  Ingani : Directeur de l'armement à la présidence de la république.
Ces hommes clés ont été arrêtés.  Ces militaires affairistes dont les sociétés sont adjudicataires de tous les marchés de l'armée congolaise sont-ils les seuls responsables de ce drame ? (AFFAIRE A SUIVRE...)

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