Journal d'actualités sur le Congo-Brazzaville administré par le LION DE MAKANDA (LDM) pour les démocrates patriotes du Congo-Brazzaville œuvrant pour le retour de la démocratie perdue en 1997. Nous nous battons par amour avec les mots comme armes et le Web comme fusil.
Dès que la pandémie Ebola a commencé à sévir en Afrique de l'ouest, nous avons attiré l'attention du gouvernement du Congo-Brazzaville, notre pays, sur la nécessité de renforcer les contrôles en entrées et en sorties en direction de la zone affectée - en raison de la forte présence d'une diaspora ouest-africaine dans notre pays (800.000 personnes) qui ne souffre d'aucun contrôle en matière migrationnelle aux frontières. Nous n'avons pas dans nos aéroports des portiques qui contrôlent la température ou des agents médicaux formés à ce titre. De plus, quand certains pays suspendent le trafic aérien avec la zone affectée, le Congo ne peut l'exiger, les ouest-africains faisant la loi chez nous puisqu'ils sont plus riches que les fils du TSI, eux qui sont protégés par la police et l'armée qu'ils ont corrompues. Souvenez-vous de cet article qui dénonçait deux ouest-africains qui avaient réussi à sortir des centaines de conteneurs du port autonome de Pointe-Noire sans payer un centime à la douane !
Vous avez tous remarqué que l'opération "MBATA YA MOKOLO SASSOU" ne concernait que nos frères d'en-face qui connaissent par ailleurs à nos frontières les plus proches le retour du virus Ebola que la RDC avait réussi à éradiquer lors de sa première apparition dans ce pays. Cependant, il y a peut-être moins à redouter de ce côté-là depuis la mise en place d'une politique migratoire discriminatoire à leur égard - même si nous venons avoir des échos qui prétendent que nombre de Rdciens reviendraient clandestinement au Congo en soudoyant la police, ce qui aurait eu le chic d'énerver Jean-François Ndenguet au cours d'une réunion avec son état-major. C'est plutôt du côté des ouest-africains qui font la loi dans notre pays que se trouve le plus grand danger puisqu'il arrive que les ressortissants de certains pays entrent au Congo sans visa - avec la possibilité de l'acheter à l'aéroport...ou pas !
Nous avons, avant tout le monde, dès le mois de juillet, attiré l'attention du gouvernement congolais en exigeant des mesures à la hauteur du danger pour éviter que la pandémie n'atteigne notre pays : il y va des contrôles médicales aux frontières et des mécanismes de contingence. Ce n'est que maintenant, des mois plus tard que l'on apprend que le gouvernement congolais a levé plus d'un milliard de francs cfa pour des mesures de contingence - sans nous annoncer des mesures plus strictes de contrôle des ouest-africains ou de tous ceux qui vont et viennent en direction des pays affectés. En somme, le gouvernement ne prend pas des mesures de prévention mais ne fait que se préparer à l'apparition de la maladie sur notre sol. C'est la preuve que la police de Jean-François Ndenguet a pour ordre de ne pas contrôler les ouest-africains qui sortent et entrent au Congo comme dans un moulin.
Pour la petite digression, disons ceci : certains illuminatis s'inquiètent de la forte cadence de progression de la démographie humaine qui va bientôt atteindre les dix milliards d'habitants, redoutant l'épuisement à courte échelle des ressources planétaires - alors que 20% de l'humanité consomment 80% des ressources de la planète et cette frange trouve dans les pays développés qui n'arrêtent pas de gaspiller eau, aliments, énergie tout en polluant l'air, l'eau, l'environnement et en dégradant la couche d'ozone au passage. Les pays riches regimbent à changer leur mode de vie - donc le gâchis va se poursuivre. Ils ont donc programmé de réduire la population humaine - notamment négro-africaine par des campagnes de vaccination ou d'introduction de virus très violents. Le virus Ebola, produit de laboratoire, vise la réduction de la population humaine de manière criminelle. Cela ne vous étonne pas que ce virus ne sévisse qu'en Afrique et surtout en Afrique noire ? Il se doit de réussir là où le VIH a échoué en tuant beaucoup plus vite là où le virus du sida prenait des années pour éliminer une seule personne !
La politique des frontières passoires de Denis Sassou Nguesso expose notre pays à toutes sortes de dangers : il y a déjà une très forte présence d'islamistes salafistes à laquelle s'ajoute désormais une menace pandémique avec le risque Ebola qui à mon avis est très très élevé. Déjà que les ouest-africains contrôlent tous les commerces dans notre pays, nous ne sommes pas sortis de l'auberge...