Ouattara vient de démontrer en arrêtant AFFI NGUESSAN, président du Front Populaire Ivoirien (FPI), le parti de Laurent Gbagbo, qu'il n'est pas pour la liberté d'expression et c'est un signe annonciateur d'une dictature en règle qui ne cesse de massacrer des civils sur le mode de la vendetta et nous voyons mal cet énergumène réussir à réconcilier les Ivoiriens en envoyant des signes de mépris et d'arrogance au camp adverse.