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Journal d'actualités sur le Congo-Brazzaville administré par le LION DE MAKANDA (LDM) pour les démocrates patriotes du Congo-Brazzaville œuvrant pour le retour de la démocratie perdue en 1997. Nous nous battons par amour avec les mots comme armes et le Web comme fusil.

CORRESPONDANCE : RUMEURS DE VIOL DE DEUX NIECES DU GENERAL NORBERT DABIRA AU COMMISSARIAT DE OUENZE MADZANDZA

COMMENTAIRE : Voici une correspondance que nous venons à peine de recevoir de la part d'un ami. Il s'agirait du viol de deux nièces du Général Norbert DABIRA par un lieutenant de la GRB proche du Général Jean-François Ndenguet, directeur général de la police nationale, lieutenant malheureusement non identifié, au célébrissime commissariat de Ouendzé Madzandza. Il est connu que nous avons une police qui ne respecte ni l'éthique, ni la déontologie du métier avec une tendance délictueuse très prononcée : tortures, vols organisés, viols, braquages, enlèvements, chantages, bavures, assassinats, intimidations, mépris total de la loi comme dans les affaires Sadio Kanté, Elie Smith, etc. Ce qui est caractéristique dans cette affaire, c'est que l'on viole deux filles d'un policier travaillant, semble-t-il, dans ledit commissariat.

Le fait que nous évoquons une rumeur tient en deux observations : nous vivons à l'étranger pour vérifier nous-même l'information qui renvoie à des faits qui se seraient déroulés à Brazzaville et deuxièment, il n'y a pas d'information officielle corroborant ce que nous recevons par notre réseau (on peut comprendre pourquoi dans la mesure où une fois encore la police nationale est discréditée au travers du comportement d'un de ses membres, la GRB étant une structure officiellement reconnue).

                                        *

" Te confirme le viol de deux nièces du Général Norbert DABIRA dans la nuit du 11 au 12 octobre 2014. 
 
Scénario : les viols se déroulent au commissariat de Ouendzé ya madzandza, le siège de la GRB, une '' milice '' qui ne dit pas son nom de NDENGUET. Lieu de tous les crimes et complots (tortures, assassinats, vols, viols, braquages). Ils ne répondent que de NDENGUET. 

Date : la nuit du 11 au 12 octobre 2014 
 

 
L'oncle ou le père de ces deux jeunes filles mineures, agacé des déviances des filles, lui-même policier, décide avec la complicité d'un agent de la police dudit commissariat, un proche, de les ''grimacer'' comme on le dit vulgairement ici. L'objectif était de les garder une nuit au commissariat pour les discipliner. Agées de 15 à 16 ans, l'une porte le nom de DABIRA, les filles passent la nuit au commissariat sous la surveillance du proche de leur père. 
 
 

Le matin, une nouvelle équipe arrive avec pour consigne de libérer les deux jeunes filles le matin, parce que le père devrait arriver incessamment. 
 
Le lieutenant dont nous n'avons pu identifier nommément, proche du Général NDENGUET, instruit son subalterne de faire monter les filles à son bureau successivement. Ce qui fut fait. En réalité, les filles seront violées tour à tour par le Lieutenant responsable de la GRB, milice de NDENGUET. 
 
A l'arrivée du père des filles, une fois au domicile, les deux jeunes mineures vont dénoncer le viol dont elles ont été victimes. Ulcéré et encouragé par l'entourage, le père, neveu du Général DABIRA saisit la justice en la personne de madame NGUENONI née YOKA Stella Michelle, la fille du Ministre YOKA Emmanuel. En sa qualité de Procureur Adjoint, madame NGUENONI née YOKA Stella Michelle scandalisée interpella le Lieutenant violeur et le mis en détention. Alerté, comme à son habitude, NDENGUET Jean-François téléphona au Procureur pour lui demander de ne pas ébruiter cette affaire, parce que trop sensible. Madame la Procureure se retrouva quelques heures après au domicile de NDENGUET qui lui suggéra un scénario digne d'Hollywood. Selon NDENGUET, ces deux viols seraient une machination : il avance l'hypothèse de conflits entre deux officiers. Pas du tout convaincue et remontée, madame la Procureure a décidé de garder le Lieutenant en détention. Le bras de fer est engagé. Bras de fer amplifié depuis le retour du Général DABIRA de ses vacances lorsqu'il a appris le forfait. Il est de notoriété publique que SASSOU, OKEMBA et NDENGUET sont remontés contre DABIRA depuis son interpellation et sa mise en examen à Paris dans le cadre de l'affaire des ''Disparus du Beach''. Ils sont convaincus que DABIRA s'est ''mis à table'' et révélé les acteurs véritables de ce crime d'Etat, crime contre l'humanité. 
 
Ces viols perpétrés contre les deux jeunes filles liées à la famille du Général Norbert DABIRA peuvent avoir un lien avec le vol perpétré chez le journaliste de la chaîne ESTV Alain SHUNGU, chaîne privée du sulfureux Didier ELONGO proche de Jean Jacques BOUYA. Pour mémoire, Alain SHUNGU, correspondant de la chaîne RFI pendant la guerre de 1997 était très proche du pouvoir de Brazzaville et du DGPN Jean François NDENGUET. Originaire de la RDC, il a suivi avec son défunt ami MOKABI DAWA l'affaire des disparus du Beach. Le vol à son domicile des matériels HI FI et de son ordinateur ne serait-il pas lié à l'affaire des disparus du Beach ? NDENGUET se serait t-il lancé dans des expéditions punitives et d'intimidations (Sadio Kanté, Elie Smith), aujourd'hui le Général Norbert DABIRA et Alain SHUNGU ? (Affaire à suivre) ". 

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M
<br /> Bjour LDM! Cette pratique de viol dans les commissariats de Brazzaville date de Sassou 1, et certains de ces acteurs principaux sont devenus de superministres... Mais dans le cas présent, comme<br /> la nature sait souvent bien faire les choses: voilà un policier qui pourtant sait bien ce qui se passe dans les commissariats surtout de Ouenzé et Talangaï et qui se propose de faire prendre<br /> conscience à ses filles/nièces en les faisant enfermer une nuit au cachot... Il y a déjà un problème: c'est la preuve que dans ce pays, on ne respecte rien, qu'on peut enfermer quelqu'un pour un<br /> rien, et que cela parait tout-à-fait normal pour la police... et cerise sur le gateau, le procureur qu'on fait venir au domicile d'un individu pour y être entendu, alors que ça devait être le<br /> contraire... un vrai mélange, impensable ailleurs... c'est dommage pour ces filles, mais c'est tant mieux pour la société tout entière, car maintenant ce qui se faisait sans commentaire, est<br /> maintenant livré au grand public...<br />
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L
<br /> <br /> En fait, si cette affaire a transpiré, c'est parce qu'il s'agit des nièces de Dabira. Combien de jeunes filles ont été ainsi violées sans qu'elles n'aient la possibilité<br /> d'alerter l'opinion ? Ce policier a cru qu'étant du côté de la "hampe" et travaillant au commissariat Ouenzé Madzandza, les choses allaient bien se passer pour ses filles en pleine crise de<br /> puberté. Manque de pot, il a oublié que le "mbangui" fait sauter toute inhibition morale. "Quand les loups se battent pour s'entre-dévorer, les moutons applaudissent<br /> en se disant que ça n'arrive pas qu'aux autres", dit un proverbe fang...<br /> <br /> <br /> <br />