Journal d'actualités sur le Congo-Brazzaville administré par le LION DE MAKANDA (LDM) pour les démocrates patriotes du Congo-Brazzaville œuvrant pour le retour de la démocratie perdue en 1997. Nous nous battons par amour avec les mots comme armes et le Web comme fusil.
Par Le Lion de Makanda (LDM)
Chaque jour, je donne de mon temps à mes compatriotes, à mon peuple. De façon désintéressée car je n'attends rien en retour : il me suffit qu'il m'est donné la vie, la chose la plus précieuse de tout l'univers. CE SONT DES COMPATRIOTES QUI ONT PAYE MON BILLET EN 1990 POUR QUE JE VIENNE EN FRANCE - ALORS JE DOIS AU MOINS CECI AU PEUPLE - A DEFAUT DE FAIRE MIEUX MAIS JE REVIENDRAI SERVIR LE PEUPLE - JE VOUS EN FAIS LA PROMESSE. MA CONTRIBUTION NE SERA PAS POLITIQUE MAIS DANS LE DOMAINE DU SAVOIR ET DU SAVOIR-FAIRE.
Chaque jour, Je lis, je réponds à des mails, je mets sur le site certaines doléances comme si je portais à la lumière, ce qui ce fait dans l'ombre. Il est évident que les ministres et conseillers ne disent toujours pas la vérité au chef de l'Etat : ils ont plus intérêt à lui faire croire que tout va bien que de lui apprendre que les choses vont mal dans le pays. Nous comblons cette lacune en portant la voix du peuple réduite au silence - parce que nous estimons légitimes les outputs en direction du pouvoir quand les choses vont mal.
Denis Sassou Nguesso a réalisé que quelqu'un préparait un coup d'Etat sans qu'il s'en rende compte et, surtout, il a du mal à faire progresser l'enquête depuis le 4 mars 2012. C'est la conséquence d'un système qui est totalement organisé autour de la peur du chef, un système qui ne permet qu'une forme de changement brutal, violent : le coup d'Etat, vu que la possibilité d'un changement démocratique n'existe pas.
A notre petit niveau, nous nous contentons de montrer ce qui ne va pas, ce qui fonctionne mal ou ne fonctionne pas du tout, nous désignons les injustices, les insuffisances, les discriminations et proposons parfois quelques solutions qui ne seront pas entendues - même si elles ne vont pas dans le sens de la remise en cause du mode de gouvernance.
Nous venons de recevoir un mail d'un stagiaire militaire congolais quelque part au Maghreb, peut-être au Maroc. Son constat tient en trois éléments :1) un décret daté de 2009 statuant sur leur situation existe 2)le Congo a de l'argent pour le mettre en application 3) les stagiaires militaires frôlent la mendicité à l'étranger - alors qu'il suffit d'appliquer ce décret de 2009. NOUS EN APPELONS A LA RESPONSABILITE DU CHEF DE L'ETAT POUR QUE CELUI-CI SOIT APPLIQUE. PEUT-ETRE N'EST-IL PAS AU COURANT - AUSSI LE LUI RAPPELONS-NOUS POUR QU'IL N'Y AIT PLUS D'EXCUSES.
Nous avons tous vu la rapidité avec laquelle l'Etat a distribué des millions à plus de 100.000 personnes après la catastrophe dramatique du 4 mars 2012 - donc l'argent existe - notamment les surliquidités à la BEAC (Banque des Etats de l'Afrique Centrale). Nous avons brusquement vu le budget du pays augmenter de 400 milliards de francs cfa sur simple décision du gouvernement. L'argent n'est donc pas le problème mais la volonté humaine et nous ne cessons de dire que là où les choses ne dépendent que de la volonté humaine, là, la solution existe. NOUS DEMANDONS AU REGIME DE BRAZZAVILLE D'HUMANISER SA POLITIQUE S'IL NE VEUT PAS PARAITRE MONSTRUEUX AUX YEUX DU MONDE ENTIER : PAYEZ LES BOURSES DES ETUDIANTS ET DES STAGIAIRES A L'ETRANGER, ARRETEZ LA POLITIQUE DES PRIVILEGES ETHNOREGIONAUX - COMPORTEZ-VOUS COMME UN ETAT DE TOUT UN PAYS EN RESPECTANT LES DROITS DE TOUS. DENIS SASSOU NGUESSO EST A LA TETE D'UN ETAT ET NON D'UN CONSEIL ETHNOREGIONAL...
Eclipse Next 2019 - Hébergé par Overblog