COMMENTAIRE : Nous avons peut-être reçu dès le 6 mars 2012 ce qui pourrait être la plus plausible des explications de la catastrophe du 4 mars 2012 : la conservation au régiment blindé de quantités importantes d'explosifs civils pour des raisons de psychose politique présentée comme forme de sécurité.
Lisez ce mail que nous avons reçu et dites-nous ce que vous savez sur cette affaire qui pourrait nous aider à établir les responsabilités. Après la thèse de la vengeance d'un Blaise Adoua dont certains disent qu'il serait toujours vivant par des militaires fâchés suite à son trépas par empoisonnement, voici une explication plus technique, plus vraisemblable qui montre que l'imprudence du gouvernement Sassou aurait pu être évité si les experts militaires avaient pris les précautions nécessaires. Comme à son habitude, Sassou ne punira personne car il a déjà avancé la thèse du court-circuit qui est un pur fait imaginatif alors que l'hypothèse ou la thèse des explosifs civils est plus probante compte tenu du climat...
Il y a déjà l'erreur de rassembler des missiles sol-air et des BM21 dans un même endroit et il se pourrait qu'il y ait cette erreur humaine de pas avoir tenu compte des réactions chimiques de certains explosifs civils qui dégageraient du gaz - ce qui explique pourquoi les populations sentaient une drôle d'odeur.
Nous vous apprenons par la même occasion que la zone de Mpila et ses environs est polluée, contaminée par des gaz toxiques - ce qui fait que tous ceux qui se sont rendus sur les lieux sans masque ont pris d'énormes risques. Toute la zone est contaminée et impropre à être habitée car il faudrait au préalable la décontaminer ; ce qui prendrait plusisuers années... Hélas, le pouvoir ne dira rien au peuple comme à son habitude. Ce n'est pas pour rien que les experts anglais sont venus au Congo. Certains gaz étaient dans les bombes et missiles qui ont explosé - ce qui vous donne une idée du mal que Denis Sssou Nguesso prévoyait faire subir aux innocentes populations civiles du sud car c'est contre elles que ces armes auraient dû servir en cas de contestation. Ce n'est que la stricte vérité puisque le Congo n'est pas un pays en guerre. Certains observateurs prédisent même que dans quelques années des enfants risquent de naître avec des malformations à Brazzaville...
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