16 juillet 2009
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Ce quatre-cent soixante-quatorzième article porte sur une question qui est issue de l'objectif même du projet de société de monsieur Sassou Nguesso "Chemin (sans) (d')avenir" dans lequel cet homme qui s'est réélu tout seul avec soi-disant 78% des voix et 90% d'abstention prétend moderniser et industrialiser le Congo. Certes il en va de la vie politique comme des promesses et qu'importe les promesses passées non tenues mais tout de même - ce monsieur nous donne un objectif mais ne nous dit pas comment l'atteindre, comment le réaliser car le fait qui revient comme une ritournelle à la conscience du peuple, c'est l'échec de la "Nouvelle Espérance" qui a pris la forme d'un canular politique - aucune promesse n'ayant été tenue jusqu'au bout. En douze ans de règne, peu de réalisations à se mettre sous la dent.
Une promesse non tenue n'est pas un mensonge si on a tout essayé et qu'on y a mis toute la volonté pour réussir. Sassou nous dit qu'il n'aurait pas pillé le Congo mais, permettez que j'en doute car il y a des documents qui prouvent le contraire ! Dans ce texte, ce qui m'intéresse, c'est d'évaluer la faisabilité d'une promesse : comment peut-on moderniser et industrialiser un pays sans l'électricité ? La fée électricité et le pétrole sont la base du progrès économique et on ne peut industrialiser un pays sans au préalable l'avoir totalement ou en grande partie électrifié ; nous avons du pétrole mais sa production est extravertie quand ses retombées ne profitent vraiment pas au peuple et en douze ans, monsieur Sassou Nguesso aurait pu terminer l'électrification générale du Congo. L'industrialisation suppose une activité continue et la continuité n'est pas assurée avec les groupes électrogènes - surtout que notre pays producteur de pétrole manque souvent de carburant à la pompe !
C'est qu'aucune industrie ne peut vraiment fonctionner avec des coupures intempestives plusieurs fois par jour ! On peut penser que les sociétés industrielles pourraient fonctionner avec leur propre groupe électrogène mais c'est une solution coûteuse et avec notre hydrographie, le soleil, le vent, nous réunissons toutes les conditions pour être autosuffisant en énergie - mais rien n'y fait ! C'est plutôt des palais et des palaces qui bourgeonnent au bord de l'Alima. Il ne y avoir de développement sans énergie et la première chose, la première phase est de promouvoir une politique d'autosuffisance énergétique - par exemple commencer par exploiter notre pétrole nous-mêmes en n'accordant plus de nouveaux contrats de prospection ou d'exploitation aux sociétés étrangères.
L'électrification générale ou globale du Congo s'accompagnerait forcément de la construction de nouveaux réseaux routiers pour transporter le courant ; ce qui met en place un complexe routier reliant tout le pays du nord au sud et d'est en ouest.
Le barrage d'Imboulou, nul ne peut prédire quand il sera vraiment fonctionnel et s'il est même capable de couvrir les besoins de Brazzaville en électricité. La centrale au gaz de Pointe-Noire n'est pas opérationnelle et on nous demande d'attendre - alors que nous avons déjà attendu douze ans. Pour rien !
Moderniser un pays renvoie à moderniser l'habitat, l'école, l'hôpital, les routes, l'administration, le service public, les banques, promouvoir la démocratie, la transparence, la méritocratie, la solidarité sociale. Or, en douze ans, sur tous ces points, le Congo a reculé. Si on mesurait le bien-être global - c'est-à-dire, les facteurs de développement qui profitent à toute la population, on verrait qu'il a baissé car l'école déjà que le taux de scolarité a largement baissé est d'une qualité médiocre et on charrie la médiocrité jusqu'à l'université pour qu'à la sortie la société ne soit pas capable de proposer du travail aux jeunes diplômés. Nous importons même du poisson alors qu'il suffirait de mettre en place la Pêcherie Nationale du Congo qui se déploierait sur mer et sur fleuve. L'observation montre que le pouvoir laisse les Chinois venir piller nos côtes pour aller vendre le poisson en Chine et que dire quand l'on voit désormais les Chinois pêcher à la dynamite ? Il faut savoir qu'en Chine, les entreprises étrangères doivent réinvestir tout le bénéfice gagné sur place car le yen ne s'exporte pas. On pourrait par exemple imposer que les sociétés étrangères investissent 50% de leurs bénéfices gagnés au Congo sur place ; cela produirait de l'emploi et de la croissance. Or, 90% de l'économie congolaise est une économie souterraine qui échappe à l'Etat.
Nous pensons que si monsieur Sassou Nguesso était un acteur sérieux de la politique nationale, il oeuvrerait pour l'intérêt du Congo en nous conduisant vers une indépendance économique véritable. Nous savons tous que ceux qui profitent des richesses du Congo - en dehors du clan au pouvoir - ce sont les étrangers (Français, Chinois, Ouest-Africains) tandis que les fils du pays sont complètement déboussolés.
Ce nouveau mandat de sept ans n'augure rien de bon car le clan au pouvoir va poursuivre ses petites combines et sa médiocrité politique. Notre classe politique souffre par exemple de la boulimie de la construction et de l'achat des villas à l'étranger. Quant à monsieur Sassou Nguesso, c'est le champion de la construction des palais qu'il n'habite même pas, déjà qu'on ne compte plus ses villas comme CRISTAL à MPILA, CLUB-HOUSE à Oyo. Est-il normal qu'un chef d'Etat construise des palais partout tout en faisant louer sa villa à l'ETAT ? Encore qu'il réfectionne cette résidence CRISTAL aux frais de l'Etat congolais. Si le gouvernement ne s'occupe pas du pays, la raison en est toute simple : ses membres s'occupent de leurs affaires... Dans cette note manuscrite, on découvre que les villas ont des noms Villa CRISTAL pour la villa de Sassou à M'pila et Villa CATHERINE pour celle du Général ESSONGO (un détail important : on compte ponctionner des millions sur le mûr de la villa CRISTAL pour continuer la construction de la villa CATHERINE. Celui qui a donné cet ordre à René ROUX n'est que le responsable des grands travaux de la présidence de la république ; vous savez de qui je parle car il se reconnaît à son ventre turgescent !) :

Le processus semble assez rôdé : monsieur Sassou Nguesso a créé de multiples sociétés dans le bâtiment comme la Société Immobilière du Nord, la SOCAB ou CSN-CONSTRUCT à la tête desquelles il place ses enfants et celles-ci obtiennent les marchés de construction de palais présidentielles et de villas des tenants du pouvoir comme le général ESSONGO. Les deux premières étaient dirigées par la défunte Edith Nguesso. Lors de sa maladie, en conseil d'administration elle était représentée par sa soeur Julienne Jonhson. Imaginez que Sassou loue ses avions aux siens, etc. C'est une collusion familiale entre l'Etat et des membres de la famille royale qui s'arrangent pour le gros de l'argent de l'Etat passe du public au privé en restant entre les mains d'un clan. Bien entendu, ils sont obligés d'acheter du matériel à l'étranger auprès des sociétés comme OGIVE, etc. Au coeur de ce système, un homme, un Français né au Congo, René ROUX. Nous mettons en ligne des documents qu'il a signés qui montrent qu'il a même été suspendu et a failli aller en prison. C'est qu'il n'avait pas la tâche facile en tant que Directeur Général de la SOCAB, un poste où il sera remplacé par Rodrigue Nguesso, le fils de Maurice Nguesso.
Ils ont donc besoin du pouvoir pour s'offrir une vie de rêve au détriment du peuple car c'est de l'argent facile et ce qu'ils prennent, ils ne peuvent plus le rendre ou l'utiliser au service de la majorité. Nous sommes face à un système mafieux qui a réussi le tour de force de devenir l'Etat, un Etat qui a perdu son essence car il a été privatisé et ne sert plus que l'intérêt de quelques individus - c'est une dictature sourde qui ne ressent même pas le besoin de faire semblant d'écouter. On marche sur la volonté du peuple pour se passer de lui et vivre comme s'il n'existait pas comme si la foule immense des Congolais n'était là que pour assister au triomphe social d'une caste de privilégiés, des roturiers, fils de piroguiers du bord de l'Alima qui jouent aux princes avec la richesse d'un Etat car dans leur culture, les choses ne comptent pas, les âmes non plus, et ils sont prêts à sacrifier même TOUT le Congo pour leur GLOIRE. LA GLOIRE ! Quand on entre dans sa lumière, on ne veut plus en sortir ; on est comme enivré par la manière dont elle rend les choses magiques, faciles comme si l'homme était devenu un dieu ou un fils des dieux. Ils sont les acteurs d'une pièce de théâtre appelée "REVE EVEILLE" et ils ne veulent pas en sortir et nous ne faisons rien pour les en sortir. Nous savons tous qu'ils ne changeront rien dans leur mode de prédation et nos petites lâchetés collectives nous conduisent inéluctablement à de grandes souffrances.
D'abord les photos des réalisations :
Le palais de Pointe-Noire qui est fini et qui n'est même pas occupé par le président qui possède ses propres villas. Ce palais surfacturé aurait pu servir d'université car ce ne sont pas des palais qui manquent à Pointe-Noire mais il fallait donner des marchés à la SOCAB !
Une promesse non tenue n'est pas un mensonge si on a tout essayé et qu'on y a mis toute la volonté pour réussir. Sassou nous dit qu'il n'aurait pas pillé le Congo mais, permettez que j'en doute car il y a des documents qui prouvent le contraire ! Dans ce texte, ce qui m'intéresse, c'est d'évaluer la faisabilité d'une promesse : comment peut-on moderniser et industrialiser un pays sans l'électricité ? La fée électricité et le pétrole sont la base du progrès économique et on ne peut industrialiser un pays sans au préalable l'avoir totalement ou en grande partie électrifié ; nous avons du pétrole mais sa production est extravertie quand ses retombées ne profitent vraiment pas au peuple et en douze ans, monsieur Sassou Nguesso aurait pu terminer l'électrification générale du Congo. L'industrialisation suppose une activité continue et la continuité n'est pas assurée avec les groupes électrogènes - surtout que notre pays producteur de pétrole manque souvent de carburant à la pompe !
C'est qu'aucune industrie ne peut vraiment fonctionner avec des coupures intempestives plusieurs fois par jour ! On peut penser que les sociétés industrielles pourraient fonctionner avec leur propre groupe électrogène mais c'est une solution coûteuse et avec notre hydrographie, le soleil, le vent, nous réunissons toutes les conditions pour être autosuffisant en énergie - mais rien n'y fait ! C'est plutôt des palais et des palaces qui bourgeonnent au bord de l'Alima. Il ne y avoir de développement sans énergie et la première chose, la première phase est de promouvoir une politique d'autosuffisance énergétique - par exemple commencer par exploiter notre pétrole nous-mêmes en n'accordant plus de nouveaux contrats de prospection ou d'exploitation aux sociétés étrangères.
L'électrification générale ou globale du Congo s'accompagnerait forcément de la construction de nouveaux réseaux routiers pour transporter le courant ; ce qui met en place un complexe routier reliant tout le pays du nord au sud et d'est en ouest.
Le barrage d'Imboulou, nul ne peut prédire quand il sera vraiment fonctionnel et s'il est même capable de couvrir les besoins de Brazzaville en électricité. La centrale au gaz de Pointe-Noire n'est pas opérationnelle et on nous demande d'attendre - alors que nous avons déjà attendu douze ans. Pour rien !
Moderniser un pays renvoie à moderniser l'habitat, l'école, l'hôpital, les routes, l'administration, le service public, les banques, promouvoir la démocratie, la transparence, la méritocratie, la solidarité sociale. Or, en douze ans, sur tous ces points, le Congo a reculé. Si on mesurait le bien-être global - c'est-à-dire, les facteurs de développement qui profitent à toute la population, on verrait qu'il a baissé car l'école déjà que le taux de scolarité a largement baissé est d'une qualité médiocre et on charrie la médiocrité jusqu'à l'université pour qu'à la sortie la société ne soit pas capable de proposer du travail aux jeunes diplômés. Nous importons même du poisson alors qu'il suffirait de mettre en place la Pêcherie Nationale du Congo qui se déploierait sur mer et sur fleuve. L'observation montre que le pouvoir laisse les Chinois venir piller nos côtes pour aller vendre le poisson en Chine et que dire quand l'on voit désormais les Chinois pêcher à la dynamite ? Il faut savoir qu'en Chine, les entreprises étrangères doivent réinvestir tout le bénéfice gagné sur place car le yen ne s'exporte pas. On pourrait par exemple imposer que les sociétés étrangères investissent 50% de leurs bénéfices gagnés au Congo sur place ; cela produirait de l'emploi et de la croissance. Or, 90% de l'économie congolaise est une économie souterraine qui échappe à l'Etat.
Nous pensons que si monsieur Sassou Nguesso était un acteur sérieux de la politique nationale, il oeuvrerait pour l'intérêt du Congo en nous conduisant vers une indépendance économique véritable. Nous savons tous que ceux qui profitent des richesses du Congo - en dehors du clan au pouvoir - ce sont les étrangers (Français, Chinois, Ouest-Africains) tandis que les fils du pays sont complètement déboussolés.
Ce nouveau mandat de sept ans n'augure rien de bon car le clan au pouvoir va poursuivre ses petites combines et sa médiocrité politique. Notre classe politique souffre par exemple de la boulimie de la construction et de l'achat des villas à l'étranger. Quant à monsieur Sassou Nguesso, c'est le champion de la construction des palais qu'il n'habite même pas, déjà qu'on ne compte plus ses villas comme CRISTAL à MPILA, CLUB-HOUSE à Oyo. Est-il normal qu'un chef d'Etat construise des palais partout tout en faisant louer sa villa à l'ETAT ? Encore qu'il réfectionne cette résidence CRISTAL aux frais de l'Etat congolais. Si le gouvernement ne s'occupe pas du pays, la raison en est toute simple : ses membres s'occupent de leurs affaires... Dans cette note manuscrite, on découvre que les villas ont des noms Villa CRISTAL pour la villa de Sassou à M'pila et Villa CATHERINE pour celle du Général ESSONGO (un détail important : on compte ponctionner des millions sur le mûr de la villa CRISTAL pour continuer la construction de la villa CATHERINE. Celui qui a donné cet ordre à René ROUX n'est que le responsable des grands travaux de la présidence de la république ; vous savez de qui je parle car il se reconnaît à son ventre turgescent !) :

Le processus semble assez rôdé : monsieur Sassou Nguesso a créé de multiples sociétés dans le bâtiment comme la Société Immobilière du Nord, la SOCAB ou CSN-CONSTRUCT à la tête desquelles il place ses enfants et celles-ci obtiennent les marchés de construction de palais présidentielles et de villas des tenants du pouvoir comme le général ESSONGO. Les deux premières étaient dirigées par la défunte Edith Nguesso. Lors de sa maladie, en conseil d'administration elle était représentée par sa soeur Julienne Jonhson. Imaginez que Sassou loue ses avions aux siens, etc. C'est une collusion familiale entre l'Etat et des membres de la famille royale qui s'arrangent pour le gros de l'argent de l'Etat passe du public au privé en restant entre les mains d'un clan. Bien entendu, ils sont obligés d'acheter du matériel à l'étranger auprès des sociétés comme OGIVE, etc. Au coeur de ce système, un homme, un Français né au Congo, René ROUX. Nous mettons en ligne des documents qu'il a signés qui montrent qu'il a même été suspendu et a failli aller en prison. C'est qu'il n'avait pas la tâche facile en tant que Directeur Général de la SOCAB, un poste où il sera remplacé par Rodrigue Nguesso, le fils de Maurice Nguesso.
Ils ont donc besoin du pouvoir pour s'offrir une vie de rêve au détriment du peuple car c'est de l'argent facile et ce qu'ils prennent, ils ne peuvent plus le rendre ou l'utiliser au service de la majorité. Nous sommes face à un système mafieux qui a réussi le tour de force de devenir l'Etat, un Etat qui a perdu son essence car il a été privatisé et ne sert plus que l'intérêt de quelques individus - c'est une dictature sourde qui ne ressent même pas le besoin de faire semblant d'écouter. On marche sur la volonté du peuple pour se passer de lui et vivre comme s'il n'existait pas comme si la foule immense des Congolais n'était là que pour assister au triomphe social d'une caste de privilégiés, des roturiers, fils de piroguiers du bord de l'Alima qui jouent aux princes avec la richesse d'un Etat car dans leur culture, les choses ne comptent pas, les âmes non plus, et ils sont prêts à sacrifier même TOUT le Congo pour leur GLOIRE. LA GLOIRE ! Quand on entre dans sa lumière, on ne veut plus en sortir ; on est comme enivré par la manière dont elle rend les choses magiques, faciles comme si l'homme était devenu un dieu ou un fils des dieux. Ils sont les acteurs d'une pièce de théâtre appelée "REVE EVEILLE" et ils ne veulent pas en sortir et nous ne faisons rien pour les en sortir. Nous savons tous qu'ils ne changeront rien dans leur mode de prédation et nos petites lâchetés collectives nous conduisent inéluctablement à de grandes souffrances.
D'abord les photos des réalisations :





La villa d'Edgar Nguesso à la Côte sauvage... Il semble que le mot d'ordre donné par Sassou à sa famille soit : "Profitez, prenez l'argent, construisez, construisez ! On ne sait jamais... Le rêve pourrait s'arrêter !"

La villa d'Edgar Nguesso à Edou ! S'il doit en construire une dans toutes les villes du nord de la république, on peut estimer sa fortune à plusieurs milliards de francs cfa avec un salaire de directeur de la résidence présidentielle. Cependant, quand on vit à côté d'un puits qui se remplit d'argent tout seul, on n'a pas de souci à se faire ! Il suffit de prendre un seau et de puiser ; après tout, le peuple, c'est quoi ? C'est qui ? C'est un prétexte pour jouir de la richesse d'une nation, rien de plus ! Et quand le peuple est aussi lâche et poltron que le peuple congolais, un peuple traumatisé par une guerre terrible comme celle de 1997, on est presque sûr de se couler des années tranquilles jusqu'à la mort du roi et après lui, Denis Cristel prendra la relève ou un autre membre du clan...



Et pour terminer, laissez-moi vous montrer le kiosque romantique mentionné dans un document de René Roux et qui a été facturé plus de vingt millions de francs cfa...

Cette classe qui est devenue l'Etat privé du Congo, un Etat qui a complètement évincé l'Etat public, voilà pourquoi ils veulent le pouvoir pour s'offrir des villas qui vous allez le voir dans les documents coûtent des centaines de millions de francs cfa voir des milliards... Et vous comprendrez que s'ils quittent le pouvoir, ils ne pourront plus s'offrir de tels bijoux et vu leurs salaires, on a des doutes à penser qu'ils suffisent à se payer toutes ces villas de luxe - sans compter qu'ils ont des biens à l'étranger. Dans ce contexte, comment peut-on croire un instant que monsieur Sassou va industrialiser le Congo ? Avec quel argent ? Il y a trop de vautours autour de lui et les richesses de l'épicierie familiale ne sont pas infinies ! Donc le chemin d'avenir est d'orès et déjà pour nous un chemin sans avenir...
Maintenant les documents émis par monsieur René ROUX qui datent de 2009, c'est-à-dire, d'à peine trois ans :

C'est un exemple de commande à l'étranger de portes électroniques.









Published by Le lion de Makanda mwan Mizumba
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demain le congo brazzaville
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