Journal d'actualités sur le Congo-Brazzaville administré par le LION DE MAKANDA (LDM) pour les démocrates patriotes du Congo-Brazzaville œuvrant pour le retour de la démocratie perdue en 1997. Nous nous battons par amour avec les mots comme armes et le Web comme fusil.
COMMENTAIRE : Dans cet article envoyé par le Grand Mutéké, l'information la plus importante - à mon humble avis - semble qu'Edith Bongo aurait gardé les fétiches tékés volés à la reine tékée Ngalifourou par Florent Tsiba pour son père, des fétiches qui concourent à faire durer son pouvoir.
On apprend également que la mère de monsieur Denis Sassou Nguesso aurait été tékée d'Abala. Nous avons enlevé toutes les assignations éthiquement complexes et laissé tout ce qui apporte un plus à la compréhension des dessous politiques car notre but est de vous aider à mieux comprendre les gens qui vous gouvernent illégalement pour que vous, nos compatriotes, votiez en connaissance même si tout le monde n'a pas internet.
La rumeur des fétiches courait mais dans le sens où Sassou aurait demandé à Edith de voler ceux de son époux qui lui assure une longévité politique sans nuage. Nous mettons tout ça au conditionnel car nous ne pouvons le prouver mais en Afrique, la rumeur est comme une fumée et quand on voit une fumée, on se dit que le feu de la vérité n'est peut-être pas loin.
Nous ignorons comment s'est débridé l'héritage d'Edith. IL Y A EN EFFET UN HERITAGE LAISSE PAR EDITH BONGO ENTRE COMPTES BANCAIRES, MAISONS, CLINIQUES ET SOCIETES ; LE PROBLEME EST QUE LA RICHESSE D'EDITH PROVENAIT DE DEUX TRESORS NATIONAUX ! Eh oui ! Bongo a le droit d'hériter de sa femme et tous les comptes qu'elle a laissés lui reviennent ! Vous imaginez si Omar Bongo, le mutéké à talonettes doit hériter des milliards congolais que Denis Sassou a mis dans les comptes de sa fille à Monaco ? En effet, pour la France, Sassou n'y a pas droit car le père ne peut hériter de sa fille en tant qu'ascendant qu'en l'absence de mari et d'enfants. Le cobra royal ne va tout de même pas assassiner Bongo et ses petits-enfants ! Donc l'hypothèse que la mort ait pu être différée pour résoudre des problèmes d'héritage a un sens pour résoudre un certain nombre de problèmes car celle qui gardait le butin volé de deux trésors nationaux disparue, l'équation n'était pas simple.
Parlons un peu de Florent Tsiba. On peut prouver qu'il est le préposé aux fétiches de Sassou ; une vidéo sur Youtube en parle et l'on voit Sassou et Tsiba pieds nus chez un féticheur téké. Sassou détient de nombreux fétiches puissants pris à des gens vivants ou morts ; vous avez là par cette tendance fétichiste, que cet homme possède le kundu, l'entité qui permet aux sorciers d'agir dans le monde occulte. Les Tékés ont parlé d'un fétiche appelé nkini que Denis Sassou Nguesso aurait enterré sous la tombe de Savorgnan de Brazza : il fallait l'enterrer sous un illustre personnage pour que le peuple congolais soit soumis à jamais. Quel personnage pouvait le mieux servir cette cause sinon celui qui avait colonisé le Congo lui-même ? Il aurait paru déplacé d'associer Iloo le makoko batéké car les Tékés n'auraient pas apprécié. Denis Sassou Nguesso n'avait plus que le choix de Pietro Savorgnan Di Brazza.
Une chose est vraie : Sassou ferait tout et n'importe quoi pour conserver le pouvoir mais irait-il jusqu'à sacrifier sa propre fille qu'il écoutait ? Tsaty-Mabiala nous a feint d'avoir compris que Sassou ne règnait qu'en écoutant sa famille lors de l'oraison funèbre d'Edou car Sassou aurait dit : " Tu m'as dit de faire d'Oyo une ville ; je l'ai fait et tout ce que tu m'as dit d'autre, je le ferai - même si tu n'es plus de ce monde". Nous avons déjà évoqué que la vraie municipalisation accélérée se déroule au nord, à Oyo, Edou, Ollombo, un peu Owando. Tsaty-Mabiala ne le savait-il pas ?
S'il faut comme le dit le grand mutéké une femme pour garder les fétiches tékés, Sassou n'aura pas du mal à la trouver car il est père d'une multitude. A notre avis, le décès d'Edith Bongo n'est qu'un début et il se pourrait, si les choses se passent mal, que les secrets soient jetés de part et d'autre en pâture à la presse : imaginez que l'Etat gabonais balance les secrets de Sassou et que l'Etat congolais balance ceux de Bongo ! Sassou doit en connaître un rayon sur Bongo et Bongo idem sur Sassou - et cela, par la même personne, la même gardienne des secrets : feue Edith Bongo. Certes, il y a des enfants dedans mais personne ne sait de quoi l'avenir sera fait.
Les Tékés se seraient-ils vengés ? Edith Bongo a-t-elle été sacrifiée comme le prétend le Grand Mutéké ? Nous ne le saurons que plus tard dans ce conte de fée qui a tourné au conte d'enfer pour l'une des femmes les plus puissantes du monde. On nous dit qu'il ne faut pas avoir d'esprit de vengeance et nous ne l'avons pas car nous savons que nous allons vaincre car pour vaincre, il faut commencer par convaincre et nous sommes sur le point d'y parvenir à force de tenacité, de foi, de volonté, d'énergie. Cela prendra du temps ; il faudra en face une vraie opposition car quand Sassou Nguesso va dégaîner le 11 avril 2009 avec ses milliards de francs cfa, nous verrons si le Congo a de vrais fils pour s'opposer à Sassou car on peut prendre l'argent du Congo et l'utiliser contre Sassou car l'argent que Sassou distribue, ce n'est pas son argent et nous comprenons mal que nos hommes politiques ne le conçoivent pas. On verra s'il y a un seul qui ne ressemble pas à Sassou car nos opposants sont ou pingres ou pauvres et ils ne donnent rien au peuple mais on n'achète pas des voix car personne ne peut obliger quiconque à voter pour lui dans l'isoloir car aucun nom n'est écrit sur un bulletin de vote. Vous voyez ? On peut prendre l'argent de Sassou Nguesso qui est en fait l'argent du Congo et ne pas voter pour lui car il ne peut pas prouver que vous n'avez pas voté pour lui. Alors, on verra si les fétiches tékés sont plus puissants que la volonté de tout un peuple car il n'y a pas des fétiches que chez les Tékés !
Nous, nous travaillons tous les jours pour que l'opinion nationale change. Derrière Demain Le Congo-Brazzaville, votre blog, des petits sont nés et on ne devrait pas se faire concurrence mais aller dans le même sens. Nous avons montré le chemin et vous avez la preuve que nous travaillons non pas pour l'intérêt d'un individu mais pour l'intérêt du Congo.
Si Denis Sassou Nguesso utilise tous les moyens pour rester au pouvoir, pourquoi ne ferions-nous pas autant - peut-être pas avec les mêmes moyens ? Lui pense fétiches, argent (corruption), armes, empoisonnement, intimidation. Nous, nous pouvons ne pas utiliser ces moyens mais en trouver d'autres car le peuple congolais, qui, nous disons qui dans le monde, peut lui reprocher de renverser Sassou Nguesso ? Personne ! Il y a le soulèvement populaire que nous n'avons pas encore essayé ! Mais pourquoi pas le battre tout simplement par les urnes ? Aucun fétiche téké ne peut vous obliger de voter pour Sassou ; seule la peur peut le faire car les militaires qui seront l pour garder les points de vote essayeront de vous intimider - mais ils ne peuvent rien contre vous ! Il reste à savoir qui a vraiment le droit de voter et là, nous insistons pour que l'opposition ne se laisse pas faire... Le vrai combat politique est à venir car il va y avoir forcément une confrontation politique...
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Tout se dit. Qui dit mieux ? Qui dit vrai ? De Paris à Londres ce qui se dit, est-ce vrai ? Toutefois il faut retenir qu'on est proche de la vérité.
(1) Albertine Nkama n’était jamais la première femme de Bongo. Avant celle-ci, il avait pour épouse sa sœur ainée avec qui le nouveau président avait passé les jours de disette au Congo Brazzaville où il travaillait en tant que postier à la Poste des Etats d’Afrique Equatoriale Française (AEF).
(2) Mademoiselle Edith Sassou Nguesso n’était pas une inconnue au grand palais du bord de mer, situé en plein centre-ville de Libreville (la capitale politique du Gabon), puisqu’elle aurait été (conditionnel - à vérifier) la petite amie d’Alain Bernard Bongo, devenu Ali Ben Bongo à la faveur de l’arabisation des noms chez les Bongo et encore plus tard Ali Ben Bongo Ondimba.
(3) Pour se faire pardonner par son petit ami Rizet (pas loin de Risée) avec qui elle étudia à la fac de médecine du Congo Brazzaville, Bongo lui acheta une BMW toute flambante.
(4) Maman Mouébara, mère de Denis Sassou Nguesso était une Téké d’Abala (que les Congolais confirment si c'est vrai), même s’il ne le dit jamais. Ceci expliquerait qu’il ne fait épouser ses filles en majorité que par les Tékés qu’il châtie pourtant bien !