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2 juin 2008 1 02 /06 /juin /2008 10:31
Les images nous viennent d'internet, bien sûr. Nous publions dans l'état certains articles quand nous les jugeons conformes à notre idéologie : donner un éclairage nouveau qui confirme l'esprit tordu, malade de l'homme qui préside aux destinées de notre Congo natal.
Quand nous avons reçu le message, nous nous sommes posé des questions au-delà de ce que les autres ont écrit avant nous, des idées que nous partageons comme le fait que cet argent public transformé en argent privé aurait pu servir à construire des écoles ou des hôpitaux là le besoin se fait sentir avec force :
1) A quoi sert ce bus doté d'un seul lit , d'un luxe si insolent ? A transporter le président ? Sassou a d'autres véhicules mieux adaptés à sa protection et à son déplacement avec vitres blindées ; d'autre part, ce véhicule est lent - donc présente un risque certain.
2)Pourquoi ce bus quand l'on sait que Sassou possède des centaines sinon des milliers de 4X4 : à explorer les bords de l'Alima ? Il est mal adapté car toutes les routes ne lui sont pas praticables ; à se déplacer avec gardes du corps ? Il n'a qu'un lit et à première vue, est destiné à la seule utilisation de Sassou, le chauffeur pouvant être assis à l'avant avec un ou deux gardes du corps, d'autres peuvent par ailleurs suivre devant ou derrière.
La seule hypothèse est la suivante : ce bus est un bus-bordel destiné à assouvir les appétits lubriques de monsieur Sassou Nguesso désireux de se donner du bon temps loin des yeux de madame Antoinette Sassou Nguesso et de ses autres épouses. Tout y est conçu pour prendre du bon temps. Ce n'est pas un véhicule qu'il empruntera souvent. La femelle choisie pour assouvir ses jeux sexuels ou de pouvoir (en prenant la femme d'un ministre ou d'une personnalité) pourra l'y attendre parce que ses sbires l'y auront amenée de gré ou de force. Le bus pourra même déjà se déplacer et lui n'aura plus qu'à rejoindre sa salope discrètement.
Cette rumeur tenace circule déjà sourdinement dans les belles rues pavées d'Oyo-Ville, la ville du pouvoir, la vraie capitale du Congo.
Nous nous demandions dans un précédent article ce que ferait Sassou de la manne pétrolière de l'énorme gisement Moho-Bilondo : vous avez la réponse en regardant ces images... :




Vous pouvez aussi lire les articles suivants qui vont dans le même sens :
-article1 
-article2
-article3
-article4
-article5
-article6
-article7
-article8
-article9
-article10
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commentaires

A
Merci de lire mon blog: http://kemitecolo.blog.fr/ sur la révolution anti-franc-maçonnerie à venir. Je prépare des articles sur notre continent.Nous pouvons nous mettre en relation si vous le souhaitez:Adeni Benou ( Affoyon William): 49 rue Franklin Roosevelt, 37000 Tours: numéro: 06 89 80 05 88.
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J
Les contribuables des pays riches n'acceptent plus de payer les frasques immobilières de potentats qui réclament en même temps des remises de detteAnthony Bouthelier, président délégué du Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN): "Nous ne sommes pas complices des kleptocrates africains"(Le Monde 04/06/200 Anthony Bouthelier, vous êtes président délégué du Conseil français des investisseurs en Afrique (CIAN) qui regroupe la plupart des chefs d'entreprises françaises présentes sur le continent. Vous venez de prendre position en faveur de la transparence des revenus des chefs d'Etat africains. Pourquoi ?Tout entrepreneur gère des risques. Il a besoin d'une visibilité qui dépend de l'existence d'un Etat de droit. Or 400 milliards de dollars ont été détournés d'Afrique depuis trente ans selon l'ONU.Les entreprises sont parmi les premières victimes de la corruption. Contrairement aux dirigeants d'Asie qui investissent dans leur pays l'argent dérobé, les présidents prédateurs africains envoient leur fortune à l'étranger. En montrant qu'ils n'ont pas confiance en leur propre pays, ils adressent un message très négatif aux investisseurs.Les contribuables des pays riches n'acceptent plus de payer les frasques immobilières de potentats qui réclament en même temps des remises de dette. On ne peut plus attendre leur mort pour connaître leur fortune et la restituer à leur pays.En quoi cela concerne-t-il les entreprises françaises établies en Afrique ?Le fait que la France aide certains prédateurs africains la rend très impopulaire parmi les populations africaines. Cette impopularité risque de se retourner contre nos entreprises. Nous ne sommes pas complices des kleptocrates africains. Nos investissements se font à long terme, indépendamment du calendrier politique.La longévité de certains dirigeants n'est pas un facteur de stabilité comme on le prétend. Elle fabrique de la fragilité économique et de l'exaspération sociale.Vos concurrents chinois ne s'embarrassent pas de telles précautions.L'Afrique va moins mal sur le plan macro-économique et les Chinois sont les bienvenus pour soutenir cette croissance. La hausse des matières premières pourrait permettre à certains Etats africains de se payer un Etat de droit. Mais des chefs d'entreprise nous disent : "On n'y va pas car c'est trop pourri." Pour ces raisons, les Africains sont peut-être en train de rater le coche.Le soutien français à certains dirigeants est souvent justifié par la défense des intérêts des entreprises françaises. Pourquoi le remettre en cause ?La politique française en Afrique est parfois contre-productive pour les entreprises. L'essentiel des investissements français se fait aujourd'hui hors de l'Afrique francophone. Le soutien politique ne favorise pas nécessairement les affaires. Il nous aliène des populations dont nous avons besoin qu'elles nous acceptent.Quant à la politique d'aide publique au développement, elle a complètement échoué. Nous parviendrions à un meilleur résultat si nous pouvions nous concerter en amont avec l'Etat sur les choix d'investissements. Cela suppose une nouvelle répartition des rôles entre diplomates et entreprises. Propos recueillis par Philippe BernardArticle paru dans l'édition du 04.06.08.
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