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Journal d'actualités sur le Congo-Brazzaville administré par le LION DE MAKANDA (LDM) pour les démocrates patriotes du Congo-Brazzaville œuvrant pour le retour de la démocratie perdue en 1997. Nous nous battons par amour avec les mots comme armes et le Web comme fusil.

CONGO : LA SEULE CONSTRUCTION DE ROUTES SUFFIT-ELLE A GARANTIR LE DEVELOPPEMENT ?

Idéee principale :  commencer par le fait (Sassou  n'a introduit dans son projet 2007 que la seule construction de routes). Ce fait laisse de côté les milliers d'emplois promis par la nouvelle désepérance, l'amélioration de la santé, de l'éducation, des problèmes d'eau potable, des problèmes d'électricité ;
Problème : les routes sont du capital mort si elles ne peuvent générer de la valeur (activité produisant de la valeur à très longue durée ; la valeur ajoutée provient toujours d'une activité humaine produisant un traitement ou un service qui génère du capital ou du bien-être) ;
Problème : les routes n'existent pas là où elles doivent répondre à des demandes de trafic très dense comme dans les milieux urbains ou entre les grandes villes (seule l'autoroute joue ce rôle) : pourquoi mettre 50 milliards de francs pour une route à Ollombo - alors que quelques millions suffisent pour améliorer l'état des routes urbains ? Il faut se demander à quoi sert une route et voir ce qui la rend si nécessaire. Le fait que Sassou veuille aller voir ses multiples épouses ici et là ne suffit pas à contruire une route !
Problème : les autres voies de transport (ferrée, fluviale, maritime, aérienne) n'entrent pas dans le projet Sassou 2007 ! Sassou a coulé LINA CONGO, la société aérienne nationale pour créer une société aérienne privée avec l'argent de l'Etat, société dirigée par son frère Maurice Nguesso ; vu l'impraticabilité de certains tronçons routiers, on peut développer le transport fluvial et développer le transport maritime inexistant  en créant des activités économiques le long de la côte atlantique.
Problème : la seule route générant de la valeur serait entièrement financée par les Chinois (c'est la rumeur : il faudra rechercher de l'info) : il s'agit de l'autoroute Brazzaville-Pointe-Noire...
Problème : elle est donc une route privée et une route privée qui va imposer un péage aux Congolais  - alors qu'avec le prix actuel du baril, le Congo peut tout seul financer la construction de tout son réseau routier...
Problème de toujours : les Chinois ne créent pas de l'emploi : ils viennent bardés d'ouvriers qui ne consomment même pas local - alors que nous mangeons pratiquement les mêmes choses ! Ils ne boivent même pas notre eau car ils savent mauvaise et préfèrent leur propre eau minérale (dommage pour l'eau de source commercialisée par Sassou).
Problème : les routes seules ne suffisent pas ; il faut des activités autour ou le long qui génèrent du capital, de la valeur. Sassou prévoit-il des activités économiques le long des routes ? Pas du tout  ! On peut implanter des stations d'essence, des restaurants, des hôtels, des gîtes touristiques, des activités d'extraction, la pêche, l'agriculture, etc...
Problème majeur : les projets ne sont pas aboutis car ils ne sont pas assez mûris, simplement guidés par la volonté de sortir de l'argent, de décaisser.
Plus grave, je viens d'apprendre en ce mois de juin 2008 que Sassou veut utiliser comme prétexte le fait de ne pas avoir achevé ses gros travaux de "détournements au travers de construction de routes inutiles" pour repousser les élections présidentielles en 2012 ! Affaire à suivre car il n'y a de la fumée que là où Sassou allume lui-même le feu de la rumeur car c'est depuis longtemps un maître-flambeur qui brûle tout ce qu'il touche ;
Casser l'argument du désenclavement de l'arrière-pays :
-voilà plus de vingt ans qu'on désenclave le nord du Congo ! Il y a fort longtemps qu'on aurait fini le désenclavement de l'arrière-pays ! Et de plus, il y a plus de nordistes dans le sud du pays qu'au nord infesté de moustiques ! Pour preuve, le boom immobilier à Pointe-Noire où les Mbochis font pousser des villas comme des champignons...
- l'arrière-pays ne se trouve pas qu'au nord : il y a aussi de l'arrière-pays au sud, à l'est et à l'ouest du Congo : on notera que Sassou ne fait rien pour des villes comme Mossendjo ou Dolisie car acquises selon lui au président LIssouba ;

-les routes ne permettent au final que l'exode rural, c'est-à-dire le dépeuplement de nos campagnes : le nord du pays est complètement dépeuplé depuis que les pêcheurs de l'Alima et du fleuve Oyo dirigent le pays ; ils sont tous descendus à Brazzaville ou à Pointe-Noire car dans le nord, on ne trouve même pas une cacahuète puisque les nordistes ont délaissé toutes les activités du primaire pour se consacrer uniquement à la politique et où peut-on faire de la politique sinon à Brazzaville, la capitale. Les routes permettent aux Mbochis de quitter Oyo pour se rendre facilement à Brazzaville car le transport maritime est une honte qui prend des mois pour atteindre Brazzaville...
Le pourquoi des routes : elles permettent de grosses sorties d'argent donc de grosses commissions et de gros détournements ; c'est bien entendu une erreur car une route doit servir à faciliter et à accélérer le déplacement des biens et des personnes - donc privilégier là où il y a la majorité du trafic : en ville...
Problème : le développement renvoie à un bien-être qui progresse au plan national en augmentant d'abord e pouvoir d'achat. Or, dans le cas des routes, les Congolais restent toujours aussi pauvres ;
Problème : les routes ne valent rien si elles ne sont pas entretenues ; les intempéries auront vite fait de les réduire à néant en les rendant impraticable ;
Solution : impliquer des routes avec des activités économiques sous-jacentes (industries d'extraction, de transport, de transformation, etc). Il faut motiver l'action économique par des motifs économiques ; or Sasou n'a que des motivations politiques;
solution : mettre des routes là où elles sont le plus nécessaires dans les grandes villes. Or, Brazzaville a des routes jonchées de gros trous. Prendre pour preuve, la vidéo du journal télévisé du Congo-Brazzaville sur le site officieux de Sassou...
Et Sassou ose dire que les Congolais ne font que le critiquer sans rien proposer ? Les bonnes idées viennent souvent de ceux qui vous critiquent, monsieur Sassou !
Conclusion : Une seule s'impose : Sassou et sa bande de minables sont des incompétents qui ne pensent qu'à ruiner le Congo - car ce ne sont que des prédateurs.
Ecrire le tout dans un style mêlant humour et tragédie. Servir comme d'habitude à la sauce critique très piquante....

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A
ok on va reprendre tes arguments un à un:<br /> <br /> "Combien de routes départementales, régionales, nationales compte le Congo ? Alors, pourquoi commencer par créer une route Boudji-Libreville ?"<br /> <br /> Totalement d'accord. Et c'est une excellentre critique des choix de Sassou. Et ton explication est probablement vraie. Mais, construire la Corniche de BZV ou retaper des routes dans les centres urbains a fait partie de la politique de notre homme, pour les memes raisons. Les habitants de Ouenze, Bacongo sont politiquement plus importants que ceux de Ouesso, Mosendjo ou Gamboma.<br /> <br /> "1. Ceux qui sont à pied sont la majorité des Congolais/Ils n'ont parfois même pas de quoi prendre un bus/Donc les routes sont une forme de développement qui ne les atteint pas forcément/Ex: ma grand-mère est morte à 101 ans sans jamais monter sur un véhicule !/Donc pour eux, c'est la praticabilité des routes urbaines, celles que des millions de Congolais prennent tous les jours et qui sont inondées quand il pleut, qu'il faut aménager;"<br /> <br /> Si la majorité des congolais sont à pied, pourquoi amenager des routes en ville ? <br /> <br /> "2. Les routes sont du capital mort : de l'argent donné aux Chinois qui ne créent pas des emplois"<br /> <br /> Toyota ne crée pas d'emplois au Congo pourtant nous leur "donnons" beaucoup d'argent en achetant leur vehicules, n'est ce pas ?<br /> La verité est que ce n'est pas un don. On paie pour un service. Oui c'est triste que les chinois ne se servent pas de la main-d-oeuvre locale mais en meme temps, ILS DELIVRENT ce pour quoi ils sont payés. <br /> Deplus, dans le message original tu as dit que l'INVESTISSEMENT est chinois. Qui paie ? eux ou l'etat congolais ? Parceque si c'est exu, et bien, il n'y a pas de dons.<br /> <br /> " La solution existe : réhabiliter la société de Travaux Publics nationale et l'étendre à l'entretien et aux travaux de voirie puisque le Congo est devenue une poubelle/Comment financer : le baril est à 100 dollars ! "<br /> <br /> Ah ! Et quelle guaranties as-tu que cet argent ne sera pas volé ou mal investi comme dans le passé ?<br /> On parle bien du meme Congo avec le meme gouvernement corrompu, n'est ce pas ?<br /> Tu ne peux pas en meme temps te plaindre de la corruption et de l'incompetence ET donner aux meme gens plus de moyens d'etre corrumpus et incompetent !<br /> <br /> "Ce capital vit s'il produit de la valeur, du capital et c'est d'abord dans les villes et dans leurs périphéries que les routes génèrent de la valeur/"<br /> <br /> le congo n'est pas une entreprise. Le but des investissements que le l'etat fait n'est pas "directement augmenter les revenus de l'etat". Le but est de faciliter/créer de l'activité economique. Ce qui theoriquement augmente le bien etre des congolais et les recettes de l'etat.<br /> mais de plus, explique moi comment les routes urbaines augmentent elles l'activité economique ? quel est l'impact de la qualité des routes urbaines sur les prix, les emplois ?<br /> si je voulais etre absurde, je dirais que des meilleures routes à brazzaville mettrait des milliers de mecaniciens et vulcanisatiosn au chomage.<br /> <br /> "Les agriculteurs congolais font de l'agriculture de subsistance et n'ont pas de quoi payer un camion pour transporter quatre patates !/"<br /> <br /> les agriculteurs congolais font de l'agriculture de subsistance PARCEQUE les frais de transports empechent les excedents d'arriver là où ils sont consommés !<br /> et les agriculteurs n'ont pas les moyens de payer un camion PARCEQUE le manque de routes augmente leur cout ET diminue les profits.<br /> <br /> "D'abord développer une agriculture industrielle dans le but d'atteindre l'autossuffisance alimentaire et réduire les importations (votre politique : toujours la charrue avant les boeufs)"<br /> <br /> JUSTEMENT. Comment tu devellope une agriculture industrielle ET comment tu reduis les importation ?<br /> Les congolais consomme des produits etrangers parcequ'ils sont moins cher. et l'agriculture congolaise ne s'est pas devellopée parceque les couts de transport reduisent les profits potentiels à zero ou presque. et les frais de transports sont enormes ! un kilo de bananes coute 5 plus cher à pointe-noire que à 100km de pointe-noire. D'où vient la difference ? et pourquoi les bananes importées à Pointe-Noire depuis le Cameroun ou meme l'Amerique Latine sont moins cheres que les bananes produites à 100 km de Pointe-Noire ?<br /> <br /> "La solution jonction de ceintures urbaines a l'avantage de permettre à ceux qui peuvent vendre une patate de la vendre sur place : on ne va pas quitter Owando, juste pour vendre une patate, encore qu'ils ne plantent rien dans le nord à ce que l'on dit/"<br /> <br /> je ne te suis pas.. joindre les ceintures urbaines ? ok. mais la vallée du Niairi, la zone la plus fertile du pays est plutot longue. juste avoir une route qui passe par Dolisie ne va pas diminuer les couts de transports pour les agriculteurs à Nianga ou Sibiti..<br /> Pareil pour le Nord. Owando, Oyo c'est bien gentil mais les pecheurs de Kellé et les planteurs de Cacao à Sembé continuent d'avoir de GROS frais de transport.<br /> <br /> "4. Les emplois dans les transports, c'est d'abord dans les villes qu'on les trouve ! Raison démographique et économique.<br /> "<br /> oui à priori un conducteur de train ou un chauffeur de camion vivent en ville mais ça ne veut pas dire qu'il TRAVAILLENT en ville.<br /> proposes-tu de construire un train qui ne roule qu'à Pointe-Noire parceque les conducteurs de train sont à Pointe-Noire ? c'est pas un peu bizzare ?<br /> <br /> "5. Faciliter les investissements : les investisseurs n'attendent pas Sassou pour faire des routes quand ils en ont besoin pour nous piller notre bois, par exemple ! On devrait les obliger à s'installer dans des zones où l'on veut développer des activités et les pousser à construire des routes au prix où leur cède nos richesses !"<br /> <br /> heeeu... les investisseurs cherchent à gagner de l'argent.. ils construisent des routes QUAND ces routes reduisent leur frais sans tuer leur profits. Si ils n'avaient pas à construire et entretenir leur routes, il y aurait plus d'investissements.. Aujourdhui seul le petrole et le bois tropical sont rentables donc pour develloper d'autres activités dans d'autres zones, la construction de routes par l'etat rendrait d'autres activités economiques profitables.. comme l'agriculture dans la vallée du niari par exemple.<br /> <br /> "6. Comment augmenter le pouvoir d'achat des Congolais/La fonction publique est pléthorique, je le concède/Mais dans les services, les NTIC, la santé, l'éducation, l'environnement, l'agriculture, les travaux publics, le privé, on peut favoriser et créer des emplois/Le baril n'est-il pas à 100 dollars presque ?"<br /> <br /> la focntion publique est pire que plethorique.. Et pour toutes les autres activités que tu cites, comment tu fais ? tu créé encore plus d'entreprises publique qui echoueront, seront politisées, ou pillées ? Ou bien tu depense le peu d'argent que tu as (oui le peu, le production de petrole au Congo est la 38 eme au monde http://www.nationmaster.com/graph/ene_oil_pro-energy-oil-production et 19eme par habitant http://www.nationmaster.com/graph/ene_oil_pro_percap-energy-oil-production-per-capita) pour rendre l'activité plus profitable dans tous ces secteurs ? (en investissant dans les infrasctrutures par example).<br /> <br /> Je sais que le reflexe de beaucoup quand leur critiques sont critiquées est de penser que c'est par sympathie pour l'objet de leur critique.. Donc je tiens à preciser que je pense que Sassou est un voleur, un incompetent, un assassin, que son regime a apprauvi, corrompu les congolais. Malgré tout, je suis souvent en desaccord avec certaines crtiques parceque leur solutions sont souvent plus proches des decisions des regimes de Sassou que à l'opposé.<br /> <br /> (j'ai rajouté mon email à mon profil)
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L
DECISION APRES LECTURE DU SECOND COMMENTAIRE D'ANONYME : prendre le temps de répondre à Anonyme/sur le blog pour le public/par son mail/
A
il y a des millions de raisons de critiquer Sassou et des millions de raisons d'attaquer ses projets mais "solution : mettre des routes là où elles sont le plus nécessaires dans les grandes villes" ou "les routes sont du capital mort si elles ne peuvent générer de la valeur " ou "le développement renvoie à un bien-être qui progresse au plan national en augmentant d'abord e pouvoir d'achat" c'est stupide..<br /> 1. une route ça genere de l'activité economique.. c'est des agriculteurs qui peuvent transporter leur produits à plus petit prix, c'est des commerçants qui ont access à de plus gros marchés, c'est des emplois dans le transport, ça rend les investissements dans les zones enclavées moins cheres.. en gros, investir dans les infrastructures ça crée de la croissance.<br /> comment peut on autrement augmenter le pouvoir d'achat des congolais ? en embauchant 3 millions de fonctionnaires ? <br /> Et enfin, les seules gens qui pense que la priorité est au reseau routier urbain sont ceux qui se soucient plus de l'image de la capitale que du bien etre de leur compatriotes.
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L
OBJECTIF : REPONDRE A ANONYME DE FACON A ECLAIRER MES INTENTIONSARGUMENT FONDAMENTAL : rappeler la fonction d'une route/une route sert à favoriser le déplacement des personnes et des biens/Dans de meilleures conditions/De façon plus rapide/De manière plus sécurisée./ à pied/sur un engin motorisé/ critères fondamentaux d'appréciation : la praticabilité/la fréquentation/la rentabilité/ARGUMENT SECONDAIRE : LES ROUTES DOIVENT TENIR COMPTE DU TRAFIC DANS LEUR DEVELOPPEMENT/Or, c'est dans les centres urbains que réside la majorité de la population congolaise/- Enjeu : d'abord créer des ceintures routières intra-urbaines incluant les périphéries puisque les villes s'étendent/Constat : il y a des centres urbains au nord et au sud/Ensuite, relier les ceintures urbaines par des routes nationales/-Question à "Anonyme" : Combien de routes départementales, régionales, nationales compte le Congo ? Alors, pourquoi commencer par créer une route Boudji-Libreville ?-Mon hypothèse : des motivations politiciennes.DETRUIRE L'ARGUMENTATION D'ANONYME :1. Ceux qui sont à pied sont la majorité des Congolais/Ils n'ont parfois même pas de quoi prendre un bus/Donc les routes sont une forme de développement qui ne les atteint pas forcément/Ex: ma grand-mère est morte à 101 ans sans jamais monter sur un véhicule !/Donc pour eux, c'est la praticabilité des routes urbaines, celles que des millions de Congolais prennent tous les jours et qui sont inondées quand il pleut, qu'il faut aménager;2. Les routes sont du capital mort : de l'argent donné aux Chinois qui ne créent pas des emplois, des milliards qu'on ne rentabilise pas quand la route dessert un tronçon reliant à 50 maisons, quand c'est par exemple un aéroport que personne ne prendra.  La solution existe : réhabiliter la société de Travaux Publics nationale et l'étendre à l'entretien et aux travaux de voirie puisque le Congo est devenue une poubelle/Comment financer : le baril est à 100 dollars ! Ce capital vit s'il produit de la valeur, du capital et c'est d'abord dans les villes et dans leurs périphéries que les routes génèrent de la valeur/3. Les agriculteurs congolais font de l'agriculture de subsistance et n'ont pas de quoi payer un camion pour transporter quatre patates !/D'abord développer une agriculture industrielle dans le but d'atteindre l'autossuffisance alimentaire et réduire les importations (votre politique : toujours la charrue avant les boeufs)/La solution jonction de ceintures urbaines a l'avantage de permettre à ceux qui peuvent vendre une patate de la vendre sur place : on ne va pas quitter Owando, juste pour vendre une patate, encore qu'ils ne plantent rien dans le nord à ce que l'on dit/Question à Anonyme : combien le Congo a-t-il de routes départementales ? Régionales ? Nationales ?4. Les emplois dans les transports, c'est d'abord dans les villes qu'on les trouve ! Raison démographique et économique.5. Faciliter les investissements : les investisseurs n'attendent pas Sassou pour faire des routes quand ils en ont besoin pour nous piller notre bois, par exemple ! On devrait les obliger à s'installer dans des zones où l'on veut développer des activités et les pousser à construire des routes au prix où leur cède nos richesses !6. Comment augmenter le pouvoir d'achat des Congolais/La fonction publique est pléthorique, je le concède/Mais dans les services, les NTIC, la santé, l'éducation, l'environnement, l'agriculture, les travaux publics, le privé, on peut favoriser et créer des emplois/Le baril n'est-il pas à 100 dollars presque ?7. Le réseau urbain n'est pas prioritaire pour des raisons d'image mais pour des raisons démographiques, économiques, donc démocratique !