Journal d'actualités sur le Congo-Brazzaville administré par le LION DE MAKANDA (LDM) pour les démocrates patriotes du Congo-Brazzaville œuvrant pour le retour de la démocratie perdue en 1997. Nous nous battons par amour avec les mots comme armes et le Web comme fusil.
Depuis qu'il s'est évanoui dans la nature - alors qu'il était cerné par la soldatesque de monsieur OUI POUR SANG à son domicile, nous nous attendions à une attaque judiciaire injuste de la dictature Sassou & Nguesso contre André Okombi Salissa dont de nombreux proches ont été embastillés ou torturé comme monsieur KALAKALA - pour qu'ils fassent de la délation en disant où se planque "Tout Bouge". La technique de l'accusation avec preuves fabriquées a permis d'arrêter injustement Paulin Makaya et le Général Mokoko, deux opposants dont les procès traînent en longueur - car la ficelle de preuves est trop mince. Nombreux sont les Congolais qui détiennent illégalement des armes dans notre pays mais ceux qui soutiennent le régime des crocodiles du PCT peuvent ne pas respecter la loi. Nous avons déjà posté de nombreuses photos en exemples. Oko Ngakala n'a jamais ouvert d'enquêtes...
Au Congo-Brazzaville, ils sont capables de vous arrêter d'abord pour ensuite inventer les motifs d'inculpation ou inventer les preuves quand vous n'êtes pas là. Et à cela, il faut ajouter les cas d'enlèvements et d'assassinats. Au Congo, plus que la dictature, c'est du gangstérisme d'Etat, plus que du gangstérisme d'Etat, c'est du terrorisme d'Etat, plus que du terrorisme d'Etat, c'est la folie comme arme de massacre de masses au sommet de l'Etat. Il y a le péril de tout un pays qui guette. Même ceux qui soutiennent Denis Sassou Nguesso finiront par mourir pour le système ou par le système. La fortune ne vous préserve pas de la mort, vous le savez bien. Pourquoi avez-vous donc envoyé femmes et enfants à l'étranger ?
Nul ne peut combattre directement une puissante dictature à découvert. La résistance se fait mieux dans la clandestinité. Toute l'opposition congolaise devrait entrer en clandestinité. De nombreux opposants vont finir par être arrêtés sous de mauvais prétextes. Entrer en clandestinité comme nous l'avons conseillé empêche à Denis Sassou Nguesso de dormir. Il voit des démons partout.
Quand André Oko Ngakala exhibe des armes comme saisies au domicile de l'épouse d'André Okombi Salissa, nous sommes étonnés que l'on la dictature venue des bords de l'Alima n'ait rien trouvé au domicile même de l'enfant terrible de Djambala. Il y subit une attaque indirecte dont le but est qu'il sorte de sa cachette car sa clandestinité fait peur au régime.
Raisonnons : le domicile de madame Gisèle Ngoma se trouvait dans un état E. Au passage des soldats du régime, il se trouve dans un état E' différent de E. Entre E et E', il y a le passage des inquisiteurs du ministère de l'injustice qui ont tout le temps d'introduire l'objet qui fera l'accusation. La preuve que madame Gisèle Ngoma ne se trouvait pas chez elle pendant la fausse saisie des armes de guerre est facile à prouver : si elle était sur place, elle aurait été arrêtée. Donc, il s'agit d'une perquisition illégale qui n'a aucune valeur juridique puisque le propriétaire des lieux n'était pas là.
Une arme possède un numéro qui permet de retracer sa provenance. Une arme est tracée. On peut savoir à qui elle a appartenu, si elle a ou non servi. Les protocoles militaires sont assez claires là-dessus. Brandir des armes de guerre dans des sachets ne prouve en rien à qui elles appartiennent ni d'où elles proviennent. Hélas, au Congo, la justice s'est encanaillée en injustice. Nous sommes en face d'un terrorisme d'Etat sous inquisition judiciaire comme seule forme de justice.
Le fait d'exhiber des armes de guerre dans un palais de justice ne prouve en rien le lieu de leur provenance. Quel est donc ce système d'information défaillant qui attend près de vingt ans pour trouver des armes chez l'épouse d'André Okombi Salissa au point d'attendre qu'elle ne soit pas là pour les exhiber ? Entre E et E', il peut très bien y avoir eu introduction de l'objet qui constituera l'objet du délit. Dans une démocratie véritable où le droit vaut quelque chose, une pareille comédie ne passerait pas mais au Congo, Denis Sassou Nguesso a assassiné - même la honte. Tout scrupule bu, Oko Ngakala, inquisiteur par procuration, alias "Coller la petite chaudasse par le derrière", ne se gêne pas de lancer une accusation grotesque tout en osant invoquer la présomption d'innocence. On voit comment elle est traitée dans le Pool, la présomption d'innocence ; à coups de missiles.
Nous savons que le prochain sur la liste, c'est Guy Brice Parfait Kolélas car Denis Sassou Nguesso prépare déjà la prochaine élection présidentielle qui aura lieu dans moins de cinq ans. La stratégie est simple : éliminer tous les adversaires qui font de l'ombre au grand Ndzokou de l'Alima. Exit, le Général Jean Marie Michel Mokoko, Paulin Makaya, et aujourd'hui André Okombi Salissa - qui ne pourra même plus se présenter à la prochaine farce législative. Nous sommes dans une république royale bananière tenue par un gangster d'Etat qui a transformé la justice en injustice sous inquisition. Tous ceux qui gênent le roi deviennent des ennemis d'Etat à abattre. Guy Brice Parfait Kolélas est averti.
Il ne nous reste plus qu'une conclusion à tirer : soit on s'aplatit devant Denis Sassou Nguesso - servitude volontaire oblige, soit, on l'affronte lorsqu'on refuse de le servir. Nos politiciens de l'intérieur sont avertis que personne n'est à l'abri d'une arrestation sauvage - sous n'importe quel prétexte comme le sont Modeste Boukadia, Paulin Makaya, le Général JMMM et tant d'autres qui croupissent à la DST ou à la DGST. Le pouvoir de Denis Sassou Nguesso ne tient plus que par la force. C'est par la force qu'il doit tomber. Il est venu par les armes, il ne partira que par les armes. Toute autre solution est illusoire et utopique car non réaliste.
LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU