Depuis qu'il a subi une tentative d'assassinat, hier, en plein jour, aux environs de quatorze heures, beaucoup de gens colportent des informations sur le Général Ferdinand Mbaou. Au moment, où nous écrivons ces mots, l'accès à l'hôpital où il est soigné est bloqué par la police et la brigade criminelle. Seule sa femme est autorisée à le voir et les bonnes informations ne peuvent que provenir de cette source ou d'une source très proche d'elle. Nous avons même appris que Christophe Moukouéké n'a pas réussi à le voir à l'hôpital. Donc, certaines informations comme sa sortie du bloc opératoire sont apprendre avec des pincettes. Nous nous approchons au plus près de la famille pour vous donner ces informations. Il n'y a eu qu'une balle tirée par le tueur payé pour l'exécuter et non deux car s'il avait reçu deux balles, le Général aurait certainement rejoint ses ancêtres à l'heure qu'il est est...
Qu'en est-il de cette affaire ? Le Général vit au Val-d'Oise. Il est sorti du train et regagnait son domicile à pied. En marchant, il a croisé son assaillant, un homme de race blanche, peut-être originaire du Maghreb. L'homme l'a dépassé et s'est retourné. En soldat averti, le Général Ferdinand Mbaou a entendu le bruit d'une arme et s'est retourné. L'homme a tiré. Il est tombé. Des complices qui attendaient le tueur en voiture l'ont récupéré et ils ont pris la fuite. Les leçons à tirer de cette tentative d'assassinat sont claires : l'homme était filé. Ceux qui l'ont vu descendre du train ont signalé au tueur qu'il arrivait à pied. La voiture a stationné dans un endroit de sorte à faciliter la fuite du tueur à gages en le récupérant très vite.
Il y a deux semaines, sa femme avait remarqué une voiture sans plaque d'immatriculation lisible qui tournait autour de la maison. Elle s'en est inquiétée mais le Général l'a rassurée que ce n'était rien. Cela indique que la filature du Général Mbaou avait commencé il y a au moins deux semaines...
Le Général Ferdinand Mbaou est encore à l'hôpital ; ceux qui postent des commentaires prétendant qu'il est sorti du bloc opératoire doivent arrêter avec la désinformation. Nous aurons de plus amples informations à vous donner. Nous avons la chance d'avoir le frère du Général Ferdinand Mbaou à Lyon ; ce dernier est en contact avec son épouse qui a même été entendue par la police. La sécurité autour de sa salle d'hospitalisation a été renforcée.
Les ennemis de la VRAIE REPUBLIQUE ET DE LA VRAIE DEMOCRATIE font courir le bruit qu'il se trouvait au mauvais endroit et au mauvais moment et aurait reçu une balle perdue lors d'un braquage. C'est faux, archifaux ! C'est une tentative d'assassinat.
La France, amie des dictateurs et des dictatures, n'est plus un pays sûr pour les défenseurs de la démocratie. Nous savons que nous sommes exposés mais nous n'avons pas le choix : s'il faut mourir parce que nous voulons le bien de tous, alors que les forces du MAL nous assassinent tous.
LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU