Journal d'actualités sur le Congo-Brazzaville administré par le LION DE MAKANDA (LDM) pour les démocrates patriotes du Congo-Brazzaville œuvrant pour le retour de la démocratie perdue en 1997. Nous nous battons par amour avec les mots comme armes et le Web comme fusil.
Par Le Lion de Makanda (LDM)
Dans le monde des affaires au Congo, tout chemin ou tout business mène à Denis Sassou Nguesso (sa signature vaut beaucoup d'argent, beaucoup de profits). Si le chemin est direct, c'est qu'on fait partie des gros comme TOTAL, ENI ou Bolloré. Autrement, il faut passer par les enfants Kiki, Koko, Caca, Bouya, etc. La collusion entre la famille et les affaires publiques qui ne devraient regarder que l'Etat est flagrante au Congo-Brazzaville et c'est tout simplement un délit passible de HAUTE TRAHISON. Vous allez vous en rendre compte dans cet article de la LC. Les affaires au Congo-Brazzaville ne passent pas par l'assemblée nationale, le sénat ou le Conseil des ministres mais uniquement par la famille Sassou & Nguesso. Nous ne sommes pas en république mais en monarchie. Il est évident que toutes ces sociétés qui entretiennent des affaires louches avec le roi et sa cour ne voient pas d'un bon oeil le retour de la démocratie dans notre pays, une alternance démocratique pouvant signifier la fin des passe-droits. En effet, il faudra réexaminer tous ces contrats - notamment dans le domaine pétrolier, le pétrole étant classé comme une ressource stratégique dans notre pays.
En attendant, les enfants s'affairent à se faire de l'argent facile en servant d'intermédiaires auprès de papa ou de tonton. En effet, on ne fait pas du lobbyisme pour rien. C'est pour toutes ces raisons qu'ils ne veulent pas que papa lâche le "gibier". Nous avons depuis très longtemps écrit un article qui révélait qu'en matière d'affairisme, Denis Sassou Nguesso n'est pas du reste puisqu'il demande un certain pourcentage avant d'apposer sa précieuse signature..
Imaginez ce que notre pays perd au travers de contrats de complaisance par lequels le clan Sassou & Nguesso brade nos ressources.
Qu'allons-nous trouver après le départ de Denis Sassou Nguesso ? En tout cas, beaucoup de surprises déplaisantes comme de nombreux créanciers qui ne se contentant plus de bloquer les comptes du Congo, commencent à saisir ses biens. On commence par un Boeing 757, qui sait par quoi on va terminer. Allez, chers créanciers, servez-vous dans leurs Biens Mal Acquis ! Le Congo ne tire absolument pas profit de l'argent que ce clan vous doit à titre privé travesti en prêts d'Etat...
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