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30 juillet 2015 4 30 /07 /juillet /2015 13:09
DIALOGUE ALTERNATIF/VIDEO : LES CONCLUSIONS
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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 13:53

 

Une certaine rumeur fait état de la présence de membres de la Garde Républicaine dirigée par le Général Nianga Mbouala à Diata où ils entoureraient le siège de l'UPADS. Cette manoeuvre d'intimidation, si elle se vérifie, n'est pas digne de Denis Sassou Nguesso qui prétend qu'au Congo, les organisations sont libres de se retrouver - surtout dans un espace privé et de discuter librement.

Certes, la Garde Républicaine est libre de circuler sur toute l'étendue du territoire mais décider d'encercler le siège d'un parti au prétexte de procéder à des contrôles d'identité n'honore pas cette unité dont la fonction est de protéger le monstre d'Edou dans son palais royal ; pour le reste, il y a la police et la gendarmerie. Nous leur demandons de ne pas faire preuve d'un zèle inutile car l'opposition n'a pas perturbé le monologue de Sibiti, encore que Denis Sassou Nguesso aurait pu le tenir à Oyo - pour servir du ngoki frais de l'Alima aux participants.

Lorsque que Denis Sassou Nguesso affirme avoir le coeur chaud et l'esprit froid, il faut qu'il apprenne désormais à refroidir son coeur avec sa bière NDZOKOU pour ne pas céder à l'animal qui rugit en lui, une bête qui lui réclame chaque seconde les larmes et le sang des autres. Sassou sait qu'il est observé par la communauté internationale et ce genre de comportement ne fait que l'enfoncer un peu plus dans la bataille de l'opinion. Oui, Denis Sassou Nguesso a bel et bien perdu la bataille de l'opinion, la bataille de l'image, bref, la bataille de la communication. Et s'il persiste dans sa cécité politique, il déclenchera la bataille politique dans la RUE et la perdra. FACE A DENIS SASSOU NGUESSO, IL NE NOUS RESTE PLUS QU'UNE SEULE BATAILLE A REMPORTER : LA BATAILLE POLITIQUE.  NOUS Y TRAVAILLONS...

 

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29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 11:46
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28 juillet 2015 2 28 /07 /juillet /2015 21:47

On nous l'a annoncé au téléphone ; nous avons fini par retrouver le post de l'ancien ministre André Okombi Salissa sur Facebook. Dans ce message, il affirme en substance que si Denis Sassou Nguesso actait son coup d'Etat constitutionnel, le FROCAD, la CADD et la société civile, certainement inspirés par l'idée de l'organisation d'un dialogue alternatif, promettent d'opposer au gouvernement putschiste un gouvernement alternatif qui se targue d'être reconnu par avance par la communauté internationale avec le pouvoir de déchoir et de nommer les ambassadeurs et les représentants du Congo dans les institutions internationales. Il y a des chances que la communauté nationale reconnaisse le gouvernement alternatif mais rien n'est gagné d'avance dans un monde où les puissances du monde se préoccupent avant tout de leurs intérêts. Si un tel conflit congolo-congolais survenait, il est aisé de voir que si l'on juge par la manipulation des forces, Denis Sassou Nguesso n'aurait aucun mal à mettre en déroute le gouvernement alternatif, plongeant le pays dans un bain de sang comme à son habitude. Option néanmoins risquée car il s'ouvre grandes, les portes de la CPI !

Cette idée n'est pas à proprement parler un gouvernement de transition qui est une solution que nous voulons consensuelle - parce que fermeture de la dictature sassouiste oblige mais, si les participants au dialogue alternatif envisagent déjà le pire, c'est qu'au niveau de la stratégie visant à  arrêter Denis Sassou Nguesso dans son offensive putschiste, l'opposition s'avoue d'avance vaincue pour se résoudre à la solution d'un gouvernement alternatif avec présomption de reconnaissance internationale. Il s'agit avant tout d'arrêter Denis Sassou Nguesso, de l'empêcher d'ourdir son ultime coup d'Etat. Il nous faut gagner la bataille de la rue en l'organisant et en la pilotant. Ce moyen serait beaucoup plus efficace comme nous l'avons observé au Burkina Faso. Ensuite, avec l'appui du peuple, le camp adverse ayant été évincé, il sera plus facile de gouverner au lieu d'avoir deux gouvernements, l'un nommant et défaisant les ambassadeurs et les représentants du Congo à l'étranger, l'autre bloquant les vivres à ces nouveaux nommés - puisqu'ils auront entre leurs mains les caisses de l'Etat.

La bataille internationale s'annonce rude car SA Monstrousité Eléphantissime pourrait se gargariser de tenir son autorité du peuple par voie de référendum - même illégal. Le souverain primaire est libre de se placer au-dessus de la loi - telle pourrait être l'argument fatal de l'enfant terrible d'Oyo. Cependant, dans la pratique, même pour Denis Sassou Nguesso, la chose ne sera pas aussi aisée : si Denis Sassou Nguesso s'en remet à un référendum, il devra l'organiser pendant qu'il a encore la possibilité de le faire. Or, après l'avoir organisé, il ne peut plus se prévaloir d'être président. Dans le cas d'un NON massif ou d'un d'OUI truqué, Sassou ne peut plus diriger le pays. Il pourra au nom de la continuité de l'Etat chercher à s'imposer dans la mesure où aucune élection n'a pas encore eu lieu, afin de diriger la constituante mais rien n'est moins sûr ! Ce droit pourrait lui être contesté puisqu'il ne sera plus président après août 2016. Référendum ou pas. Le pays risque de se retrouver dans une situation d'ingouvernabilité. Le référendum est une option somme toute risquée car ce coup d'Etat constitutionnel n'ouvre pas sur des certitudes quant à la revendication et à la distribution légitimes de l'autorité d'Etat.

Nous avons déjà envisagé la meilleure façon pour Sassou d'en sortir par le haut : il s'agit pour lui de déclarer clairement qu'il a ouvert une parenthèse dictatoriale et qu'il aimerait la refermer ; ce qui autoriserait la mise en place d'une transition qui décidera d'une élection libre et transparente afin de mettre en place un président démocratiquement élu et des institutions qui puiseraient leur légitimité du peuple, le souverain primaire. L'idée d'un gouvernement alternatif qui tirerait une prétendue légitimité de l'illégitimité d'un autre ne peut que conduire à un conflit ouvert et à une crise sociale : la voie du consensus voudrait que le peuple se détermine pour en choisir un seul. A la réflexion, la communauté nationale peut bien choisir la troisième voie, la nôtre, celle d'une transition démocratique avec un Conseil National de Transition négocié dans lequel se retrouverait des personnalités de la société civile aux mains propres qui auraient la responsabilité d'organiser de véritables élections libres et transparentes.

Une chose est certaine, par son post sur les réseaux sociaux, André Okombi Salissa ouvre un avenir conflictuel au Congo par la promesse d'un bras de fer entre deux gouvernements qui ne tiennent nullement tous les deux leur pouvoir du peuple, la communauté internationale n'ayant pas vocation à se substituer au peuple congolais qui seul peut décider d'une transition démocratique. Cela constituerait un cas d'ingérence manifeste.

Denis Sassou doit savoir que son référendum sur le changement de la constitution est nul et non avenu car non prévu par l'actuelle constitution du 20 janvier 2002. Par contre, il peut sortir honorablement en reconnaissant qu'il a pris le pouvoir par la force, par putsch, qu'il n'avait pas le droit d'abroger la constitution du 15 mars 1992 et que pour faire amende honorable, il se retirait sans organiser les élections afin de permettre à un Conseil National de Transition de prendre le relai afin d'organiser des élections présidentielles crédibles parce que transparentes, plurielles et démocratiques, les Congolais ayant été au préalable rétablis dans leur droit de vote. Ensuite, on examinerait la question institutionnelle en s'arc-boutant sur l'autorité légitime du nouveau président démocratiquement élu.

Si la dictature du PCT coexiste avec celle du FROCAD-CADD et compagnies, le Congo cesse d'être un Etat de droit pour de bon. Denis Sassou Nguesso ouvre à nouveau les portes de l'enfer pour notre pays en faisant feu de tout bois. La troisième voie est celle de la transition concertée animée par des personnalités aux mains propres pour garantir à notre pays sa démocratie confisquée depuis 1997. C'est la nôtre...

P.S. : Voici un commentaire que je viens de poster sur les réseaux sociaux pour étayer ma pensée :

"Je suis de l'avis de Menia Oko car il s'agit d'empêcher le référendum et non de réagir juste après coup, c'est-à-dire, une fois que le NGANDO SUPREME a commis son coup d'Etat, mon cher J.r. Beedjins ! Je le dis dans mon article : on ne crée pas de la légitimité en ajoutant de l'illégitimité à l'illégitimité, du désordre au désordre, un coup d'Etat au coup d'Etat, un gouvernement illégal à un autre gouvernement illégal. Non, il faut partir du fait que Denis Sassou Nguesso a interrompu un processus démocratique par un coup d'Etat pour ensuite l'emballer dans du papier démocratique mais à l'intérieur, c'était toujours de la dictature issue d'un coup d'Etat. IL FAUT PARTIR DE CETTE BASE. Autrement, on fait fausse route et on ne réussira pas à vaincre le dernier MOKILIMBEMBE DE L'ALIMA. Ceux qui sont rassemblés à Diata au siège de l'UPADS, toutes ces intelligences, ont mieux à nous proposer... "

                  LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

RESPECT DES INSTITUTIONS : OKOMBI SALISSA ANNONCE LA FUTURE EPREUVE DE FORCE
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27 juillet 2015 1 27 /07 /juillet /2015 12:07

Nous mettons en ligne la première vidéo disponible sur Youtube sur le dialogue alternatif des forces de l'opposition qui a été ouvert ce 26 juillet 2015 pour une durée de quatre jours. Même s'il ne s'agit que d'une supputation, nos réseaux évoquent de possibles infiltrations du dialogue par les forces du complot contre notre peuple mais nous savons d'avance qu'elles seront neutralisées et qu'il sortira de ce dialogue alternatif un message fort qui répondra à l'initiative de coup d'Etat constitution ourdie par le PCT et son gourou Denis Sassou Nguesso, drogué du pouvoir.

 

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26 juillet 2015 7 26 /07 /juillet /2015 21:17

En observant que Paul-Marie Mpouélé, coordonnateur du FROCAD, n'était pas présent sur les première photos prises au dialogue de ce dimanche, nous avons eu des informations confuses auprès de nos informateurs que nous tenons à rectifier. Monsieur Tsonguissa Moulangou a confirmé la présence de Paul-Marie Mpouélé au dialogue qu'il préside par ailleurs, un dialogue qui durera quatre jours. Nous nous excusons pour cette méprise auprès de nos lecteurs. Comme quoi, il ne faut pas toujours se fier aux apprences. C'est Alphonse NSIMBA NDIMBANI, président du FPU (Front des Patriotes Unis) qui est par contre en fuite à cause des incidents de Pointe-Noire pour lesquels la DST le recherche. Il a publié une vidéo dans laquelle il confirme par ailleurs qu'il est en cavale. Dans cette même vidéo, nous apprenons que même Bertin Pandi Ngouari est porté disparu après l'arrestation de son fils Pathurel âgé de 22 ans. Il serait aussi, selon nos informations, menacé d'arrestation arbitraire.

Le régime de Brazzaville s'en prend à ceux qui disent NON au changement de la constitution, les arrête et a même dressé les listes de personnes à incarcérer. Nous dénonçons la violation de la liberté d'expression et de la liberté de circulation ainsi que les arrestations arbitraires de personnes qui ne demandent que le respect de la constitution dont la défense a été garantie par Denis Sassou Nguesso lui-même lors de son serment d'investiture. Encore une fois, sa Monstruosité Eléphantissime prouve qu'il n'a pas de parole puisqu'il affirmait péremptoirement que les Congolais avaient le droit de donner librement leur opinion sur le changement ou non de la constitution. Alors, comment expliquer cette traque de personnalités politiques qui ne font que défendre librement leur point de vue comme ceux qui soutiennent Denis Sassou Nguesso ?

Monsieur Denis Sassou Nguesso, nous sommes au courant de ce que vous faites. Sachez que vous risquez d'accélérer votre chute si vous continuez ainsi. Retenez bien ceci : " IL Y A UN TEMPS POUR POURSUIVRE ET UN AUTRE POUR ETRE POURSUIVI..." 

Nous tenons à dire ici que monsieur Denis Sassou Nguesso n'est pas un démocrate pour qu'on s'évertue à discuter ou à dialoguer avec lui : IL FAUDRA LE DESINTOXIQUER DU POUVOIR. De toute façon, les forces qu'il réveille vont finir par se retourner contre lui. CE COUP-CI, CHER MONSTRE DE L'ALIMA, LE PEUPLE CONGOLAIS NE CEDERA PAS !

Comment peut-on faire du chantage à monsieur Bertin Pandi Ngouari en menaçant de tuer son fils s'il ne se rendait pas à la DST ? Que reproche-t-on à Bertin Pandi Ngouari et à son fils Pathurel ? Ce n'est pas normal de chercher à arrêter les gens sans motifs judiciaires établis ! De toute façon, nous sommes au courant de tout ce que vous tramez, chers crocodiles du PCT : chacun de vous rendra des comptes au moment opportun...

A NSIMBA, PATHUREL, PANDI NGOUARI ET LES AUTRES, TENEZ BON ! NOTRE CAUSE EST JUSTE NOUS FINIRONS PAR TRIOMPHER ! DE TOUTE FACON, LA FACON DONT LES CHOSES SE PRESENTENT, IL Y AURA UNE CONFRONTATION DANS LA RUE ENTRE LE PEUPLE ET LA DICTATURE DE DENIS SASSOU NGUESSO. C'EST LUI QUI IMPOSE LA LUTTE ET MEME LE LIEU DE BATAILLE : LA RUE ! LE POUVOIR DU PEUPLE, NE L'OUBLIEZ PAS, EST DANS LA RUE. AUSSI, DES QU'IL LANCERA LES HOSTILITES, ENVAHISSEZ LA RUE ! SI SA MILICE TIRE, SASSOU ET SES GENERAUX FINIRONT LEURS JOURS A LA CPI.

                                    LION DE MAKANDA, MBUTA MUNTU

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26 juillet 2015 7 26 /07 /juillet /2015 19:50

Comme vous le savez, en réaction au dialogue-monologue du corrupteur Denis Sassou Nguesso, l'opposition a tenu à organiser le sien - en dépit des empêchements du régime de Nguélé (Brazzaville). Nous n'avons pas encore les conclusions dudit dialogue des forces légalistes de ce dimanche à Brazzaville au siège de l'UPADS, le palais des Congrès leur étant réfusé par le pouvoir. Par forces légalistes, nous entendons les personnalités et structures politiques qui défendent la légalité républicaine et constitutionnelle, contrairement aux forces du complot qui soutiennent le coup d'Etat constitutionnel que Denis Sassou voudrait perpétrer au nez à à la barbe du peuple congolais. 

Cette rencontre prouve que si l'on vous interdit les lieux officiels construits avec l'argent public, si vous le désirez, vous pouvez toujours vous réunir. Cet acte de bravoure a tout le chic pour contraire l'enfent terrible d'Edou. Voici juste quelques photos  de certains participants glanées ici et là sur les réseaux sociaux :

 

LE DIALOGUE DE CE DIMANCHE : QUELQUES IMAGES...
LE DIALOGUE DE CE DIMANCHE : QUELQUES IMAGES...
LE DIALOGUE DE CE DIMANCHE : QUELQUES IMAGES...
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LE DIALOGUE DE CE DIMANCHE : QUELQUES IMAGES...
LE DIALOGUE DE CE DIMANCHE : QUELQUES IMAGES...
LE DIALOGUE DE CE DIMANCHE : QUELQUES IMAGES...
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25 juillet 2015 6 25 /07 /juillet /2015 19:41

Lorsque les choses sont analysées avec pertinence, on finit par faire des prédictions. Ce qui me lisent savent que j'avais prédit depuis très longtemps, bien avant tout le monde, les troubles que fomenterait le régime de monsieur Denis Sassou Nguesso dont l'ultime tentative en cas d'échec de son coup d'Etat constitutionel sera de rendre le pays ingouvernable afin d'empêcher l'organisation de l'élection présidentielle au travers d'un état d'urgence avec des couvre-feux permanents. Ce qui lui permettra de gagner du temps. Il faudra faire barrage à tous ces plans machiavéliques. Sassou a un autre ennemi que son GOLEM-CONSTITUTION : LE TEMPS. Plus on s'approchera de 2016, plus son camp ressentira la pression du peuple et excitera Sa Monstruosité Eléphantissime à montrer ses muscles et ses dents. Il a prévenu :  " on attend qu'ils remontent à la surface..." Une des manières les plus habiles pour créer des troubles dans le pays serait de faire croire à un coup d'Etat contre son régime. Il l'a déjà fait dans le passé contre des personnalités comme Thystère Tchicaya qu'il avait fait emprisonner à Brazzaville.

Nous avons assisté à des provocations comme l'opération "MBATA YA MOKOLO SASSOU", des opposants molestés à la sortie des meetings, des arrestations arbitraires, des discours à évocation traumatisante tournés autour du sang et des larmes des autres, et ceci sous l'excitation de son camp ethnique : " Otsombé ,zua yé, boma yé !", le terrorisme de masse lors du petit Hiroshima du 4 mars 2012, le massacre d'innocents chez le colonel Marcel Ntsourou accusé à tort et à travers dans l'affaire du terrorisme d'Etat au travers des explosions du 4 mars 2012, un message clair à son camp du genre : "si vous ne me soutenez pas, je vous massacre - même vous, mes propres parents du nord". Un tel choc aurait provoqué des émeutes mais nos compatriotes des quartiers nord de Brazzaville sont restés muets, se morfondant en silence sur leur sort. Du côté de ses ennemis politiques, le message envoyé était le suivant : "si j'ai massacré mes propres parents, vous, je n'aurai aucune pitié de vous ! Je boirai vos larmes et votre sang !"

A ceux qui ne me croient pas, je vous révèle que j'étais au courant que Sassou allait raser certains quartiers nord pour récupérer des terrains afin de créer des zones commerciales, des zones d'habitations modernes, les survivants étant déplacés ailleurs. Nous voyons bien Sassou construire à quelques-uns des maisons à Nkombo. C'est vrai que moi aussi, j'ai eu du mal à croire à une telle barbarie à l'égard de populations qui soutiennent son régime mais de même qu'il y eut un 11 septembre 2001 exploité par le gouvernement Bush-fils, de même il se produisit au Congo le drame du 4 mars 2012. Les 3 millions de francs cfa ont servi à canaliser la frustration des masses et quelques maisons construites à la hâte, ont fait le reste...

Nous apprenons l'apparition d'une nouvelle forme de hooliganisme à l'Antibalaka avec machettes et des groupes de jeunes saccageant tout sur leur passage à Pointe-Noire dans des quartiers comme MAKAYABOU. Les Antibalakas au moins réagissaient à la sauvagerie des islamistes de la Séléka mais ces jeunes dont ignore les motivations agissent pourquoi ? Ils menaceraient clairement les populations selon l'Agence d'information d'Afrique Centrale (ADIAC) de son Excellence Henri Lopes, désormais opposant assumé au changement de la constitution. Cela s'apparente à une opération commandée. La radio et la télé foufou n'en parlent pas aux dires de nos observateurs.

Notre peuple est mature. Il ne cédera pas à la provocation. Il est possible de maîtriser quelques jeunes indisciplinés : il suffit de mettre la police devant ses responsabilités. Si celui qui doit assurer l'ordre ordonne, cautionne ou crée le désordre, c'est un crime de haute trahison. Il faudra un jour juger les responsables des forces publiques pour avoir corroboré des crimes de masse comme les 353 massacrés du Beach. Si ces jeunes ont d'autres motivations, nous finirons aussi par le savoir : en effet, on peut pas se fier à 100% à une revue qui est financée par le régime des crocodiles du PCT. Il y a "crocodilerie" sous information...

CONGO/POINTE-NOIRE : APPARITION DU HOOLIGANISME ANTIBALAKIEN
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25 juillet 2015 6 25 /07 /juillet /2015 12:38

Le contexte politique congolais pue le coup d'Etat constitutionnel, vu que Denis Sassou Nguesso semble ne pas vouloir tirer sa révérence en 2016 comme le prévoit la constitution du 20 janvier 2002. A ce propos, les Congolais épris de démocratie et de transparence électorale ont pu bénéficier du soutien de l'Hexagone. Nombreux sont les Congolais qui ont redouté que la position française à propos du respect des textes constitutionnels en Afrique ait évolué lorsque le chef d'Etat français et son premier ministre ont fait état de recherche du consensus, un concept sur lequel Denis Sassou Nguesso a bondi pour imposer à Sibiti, SON "consensus" au cours d'un dialogue-prétexte orienté diktat sous corruption.

Son Excellence, l'ancien ambassadeur Marcel Makomé, a voulu en avoir le coeur net. Il a écrit au président français pour demander un éclaircissement. La réponse qu'il a reçue de la Présidence de la république française est très explicite et très licite : La France n'a pas changé de point de vue au sujet du respect des textes constitutionnels et de l'observation des échéances électorales. François Hollande a démontré qu'il était un homme cohérent, constant et irréversible dans ses prises de position. Le peuple congolais doit se dire que pour une fois, le gouvernement français semble en phase avec lui : nous sommes au xxième siècle ; le monde doit changer - même si les intérêts le poussent à conserver les rapports du siècle passé.

CONSTITUTION : SON EXCELLENCE MARCEL MAKOME NOUS RASSURE CAR HOLLANDE N'A PAS CHANGE DE POINT DE VUE !
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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 23:30

Ce dimanche les forces intérieures attachées à la démocratie et au respect de la constitution tiennent le VRAI DIALOGUE inter-congolais au Palais des Congrès à Brazzaville. Sans influence aucune, juste arc-bouté sur le respect des lois de la république et non de leur violation, sans corrupteur, ni corrompus. Du vrai dialogue des fils du Congo qui ne sont pas des traîtres à la nation ne sortira qu'un gagnant : Le CONGO ! Contrairement au monologue de Sibiti qui a vu le triomphe d'une volonté droguée du pouvoir dicter sa LOI à coups de millions de francs cfa...

Il est temps que le Congo ait la place de l'excellence au travers de l'attention accordée à toutes les filles et tous les filles de la nation, dans la paix, la justice sociale, la reconnaissance de la compétence et l'égalité des droits et des devoirs. LE TEMPS DU CONGO NE PEUT ETRE QUE CELUI DE LA JUSTICE ET DU DROIT TRIOMPHANT DANS L'AMOUR ET LE RESPECT DE LA VIE HUMAINE. 

Nous sommes de tout coeur avec vous dans cette initiative. Montrez à Sassou quel est le vrai sens du mot : CONSENSUS. Ne cédez ni à la provocation, ni à l'intimidation ! Les morts, les vivants et les âmes à venir du Congo vous regardent. SACHEZ QUE VOUS N'ETES PAS SEULS !

 

                                              LION DE MAKANDA

URGENT/CONGO : LE VRAI DIALOGUE SANS CORRUPTEUR, NI CORROMPUS, AURA LIEU CE DIMANCHE !
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