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3 mars 2016 4 03 /03 /mars /2016 21:18
Le candidat J3M a raison de demander le report du scrutin présidentiel du 20 mars 2016 mais nous savons que Sassou n'y fera rien. Reculer n'appartient pas à son mode de fonctionnement. C'est au peuple de donner une leçon à Denis Sassou Nguesso, le tueur infatigable. Entre une élection truquée et une victoire que l'on veut voler aux autres candidats, il y a la conscience et la réaction d'un peuple. Que chaque Congolais arrête de tricher avec sa conscience qui condamne le devenir de ses enfants. On ne tue pas l'avenir d'un peuple pour 2000 francs cfa. Qu'importent les faux électeurs, les fausses cartes : il suffit que les électeurs d'où qu'ils viennent aient une vraie conscience. A nos frères d'en-face, n'oubliez pas MBATA YA MOKOLO SASSOU. La conscience ne sait pas se mentir à elle-même car elle a été créée à l'image de la VERITE. Sachez que nos petites lâchetés d'aujourd'hui font le lit des drames de demain. Vous trichez avec vous-même ; vous survivrez. Hélas, vous êtes complice du meurtre de votre peuple, du péril de vos propres enfants et de vos petits-enfants. Entre un soutien identitaire ou épidermique à un dictateur et une compromission à 2000 francs cfa, il y a de la marge : si votre avenir se réduit à votre faim du moment, alors, le Congo est perdu - alors qu'il aurait pu être sauvé par une banane ou un avocat et non par un monstre égoïste... LION DE MAKANDA MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

Le candidat J3M a raison de demander le report du scrutin présidentiel du 20 mars 2016 mais nous savons que Sassou n'y fera rien. Reculer n'appartient pas à son mode de fonctionnement. C'est au peuple de donner une leçon à Denis Sassou Nguesso, le tueur infatigable. Entre une élection truquée et une victoire que l'on veut voler aux autres candidats, il y a la conscience et la réaction d'un peuple. Que chaque Congolais arrête de tricher avec sa conscience qui condamne le devenir de ses enfants. On ne tue pas l'avenir d'un peuple pour 2000 francs cfa. Qu'importent les faux électeurs, les fausses cartes : il suffit que les électeurs d'où qu'ils viennent aient une vraie conscience. A nos frères d'en-face, n'oubliez pas MBATA YA MOKOLO SASSOU. La conscience ne sait pas se mentir à elle-même car elle a été créée à l'image de la VERITE. Sachez que nos petites lâchetés d'aujourd'hui font le lit des drames de demain. Vous trichez avec vous-même ; vous survivrez. Hélas, vous êtes complice du meurtre de votre peuple, du péril de vos propres enfants et de vos petits-enfants. Entre un soutien identitaire ou épidermique à un dictateur et une compromission à 2000 francs cfa, il y a de la marge : si votre avenir se réduit à votre faim du moment, alors, le Congo est perdu - alors qu'il aurait pu être sauvé par une banane ou un avocat et non par un monstre égoïste... LION DE MAKANDA MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

À la veille du lancement de la campagne électorale, le général Jean-Marie Michel Mokoko, l'un des neuf candidats à la présidentielle du 20 mars au Congo a exigé jeudi le report du scrutin, dénonçant une « gouvernance électorale opaque ».

D’une voix tremblotante mais sereine, le général Jean-Marie Michel Mokoko a fait, le 3 mars, le procès du processus électoral en cours au Congo-Brazzaville.

Lors d’un point de presse organisé depuis la capitale congolaise, à la veille du lancement de la campagne électorale, l’ancien chef d’état-major, candidat à la présidentielle du 20 mars, a entre autres dénoncé une opération « raccourcie » de révision des listes électorales « ne permettant pas l’enrôlement exhaustif des électeurs », une loi électorale « précipitamment adoptée » par l’Assemblée nationale et une commission électorale qui demeure un « organe d’accompagnement du gouvernement ».

« Gouvernance opaque »

En conséquence, « l’organisation de l’élection présidentielle du 20 mars 2016 se fait dans le cadre d’une gouvernance électorale opaque qui ne lui garantit ni la transparence ni la crédibilité », a clamé le général Mokoko.

Se prévalant de sa qualité de candidat validé par le Conseil constitutionnel, il s’est alors estimé légitime « à exiger le report de ce scrutin susceptible d’affecter la paix sociale et la concorde nationale ».

Pas d’appel au boycott

Le candidat indépendant voudrait ainsi réclamer « [son] droit légitime de m’engager dans une compétition dans laquelle les règles de jeu ne devraient pas être frappées du sceau de la non transparence et de l’insincérité ».

Mais le général Mokoko ne compte pas pour autant se retirer de la course présidentielle. « Si le gouvernement reste sourd » à sa requête, il n’appellera pas au boycott, a-t-il assuré, promettant, dans ce cas, de « [continuer] à appeler le peuple à prendre ses responsabilités ». « Car le peuple a droit à ce que le scrutin soit sincère et son vote pris en compte », a-t-il conclu.

Sourcehttp://www.jeuneafrique.com/307219/politique/presidentielle-au-congo-le-candidat-mokoko-exige-le-report-du-scrutin-prevu-le-20-mars/

LE GENERAL JEAN MARIE MICHEL MOKOKO EXIGE LE REPORT DU SCRUTIN DU 20 MARS 2016
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3 mars 2016 4 03 /03 /mars /2016 16:27
CORRESPONDANCE/DOLISIE : CONSPUE PAR LES JEUNES, SASSOU QUITTE PRECIPITAMMENT LA VILLE

Denis Sassou Nguesso est déjà en pré-campagne au travers de déplacements dans tout le pays sous de nombreux prétextes : premières pierres, inaugurations, etc. Le dictateur féroce et tueur infatigable empêche tout mouvement de la part des ses concurrents mais ne s'interdit rien pendant ce temps ! Il parcourt le nord, l'est, l'ouest et le sud du pays aux frais du contribuable. Cependant, désormais, il n'est plus le bienvenu partout. Ses mercenaires de toutes les nations peuvent toujours contraindre le peuple à le recevoir mais jusqu'à quand ? 

C'est un mail reçu à 16 heures 41 d'un ami qui vit à Dolisie qui nous informe du départ précipité de Denis Sassou Nguesso de la capitale de la région du Niari à 9 heures - alors que son ordre protocolaire de visites n'était pas totalement entamé. Voici ce qu'il nous révèle de façon succinte mais tout aussi emblématique d'un désamour entre un tyran et ses victimes  :

"Bonjour. 
Triste record d'un périple de pré-campagne ! La visite du candidat Sassou Nguesso s'est achevée précipitamment, l'énergumène ayant été conspué par des jeunes et des "bandes" dites organisées. Le lycée d'excellence n'a plus été visité par Sassou qui s'en est allé à 9 heures - alors que les fameux sages se préparaient à être reçus. 
MABIALA, KOUMBA et les élus ont prouvé leurs limites dans la mobilisation..."

Il arrive un moment où le peuple refuse d'être mobilisé contre son gré. Ceci ressemble fort bien à une fuite, du moins un départ précipité injustifié. Bref, une fuite, quand même. Personne n'ose encore croire que ce "mariage" forcé entre le tyran et le peuple de notre pays est un vrai mariage d'amour ; c'est plutôt un viol politique sous séquestration et violences physiques et maltraitance de notre peuple qui dure depuis près de quarante ans. 

Le peuple est mécontent et le montre désormais et il faudra que cela devienne la règle partout où passera le tueur infatigable Denis Sassou Nguesso. Les 1000 francs cfa et autres tentations ne prennent plus - comme appâts de mobilisation, les populations comprenant de plus en plus qu'elles sont corrompues avec leur propre argent public, leur propre argent.

Denis Sassou Nguesso sait au fond de lui qu'il est l'homme le plus haï de ses compatriotes sur toute l'étendue du pays mais bien entendu, il s'en fiche car il l'a dit à ses proches : ce qui compte, ce n'est pas le peuple mais le pouvoir. Il va bien falloir lui montrer que LE POUVOIR ET LE PEUPLE SONT UNE ET MEME CHOSE CAR LE POUVOIR VERITABLE, C'EST LE PEUPLE ET LE PEUPLE, C'EST LE POUVOIR VERITABLE...

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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3 mars 2016 4 03 /03 /mars /2016 12:43

Observez bien les photos ci-dessous : vous y reconnaîtrez la soldatesque du tueur infatigable, des légions de la mort venue des bords de l'Alima dans le but de terroriser de pauvres paisibles citoyens sans défense, des mercenaires vêtus en bérets rouges - dans les rues de nos villes et de nos campagnes. Non, la tenue militaire ne fait pas le soldat comme l'habit ne fait pas le moine.

Ne suffit-il pas de contraindre les populations à venir de force accueillir le monarque absolu Denis Sassou Nguesso - lors de ses déplacements ? Faille-t-il encore que les soldats envahisssent les rues de nos villes sans raison apparente ? A la veille d'une campagne électorale, ce n'est pas très sérieux, monsieur Denis Sassou Nguesso ! Vous prétendez être populaire, être aimé de vos compatriotes. Si tel est le cas, que redoutez-vous encore ? La sécurité est une chose mais le terrorisme - même visuel en est une autre.

Une arme, une kalachnikov, est un instrument de mort. Se pointer avec est perçu comme une menace de mort. Un vrai Etat soumet par le respect des lois et non par les armes. Nous vous l'avons dit : le Congo vit sous une dictature militaire et la seule réponse valable que peut respecter la force, c'est la FORCE. Nous sommes au regret de vous le rappeler. Ce que l'arme a pris ne peut être repris que par les armes. Le monde a été obligé de combattre Hitler militairement. C'est la nature d'une attaque qui dicte la nature de la riposte. Ainsi va ce monde depuis la création du premier couteau de pierre.

Monsieur Sassou, vous exercez un chantage permanent sur ce peuple sous forme de terrorisme depuis trop longtemps. En fait, le seul obstacle entre le peuple et la véritable paix, c'est vous ! Votre religion ? La kalachnikov. Votre prière ? Faire tirer à bout portant dans le dos - même sur des enfants ! Nous voulons que tout cela s'arrête. Il y a un temps pour tout. Manipuler les esprits en brandissant une arme sur la tête de chaque Congolais est un vil chantage digne d'un Hitler. Qu'on se le dise : on ne gouverne pas un pays, la kalachnikov sur la tempe du peuple ! C'est odieux et indigne d'un être humain. Attendez, monsieur Sassou, avez-vous encore une once d'humanité en vous ? Le pouvoir n'est-il pas pour vous comme cette folie qui transforme l'homme en animal ? Vous avez tué l'homme en vous ; aussi cherchez-vous à assassiner l'homme en chaque Congolais. Si la bête tue l'homme en nous, il n'y a plus de place que pour la barbarie, la sauvagerie. Non, nous ne sommes pas des sauvages, des barbares comme vous. Nous sommes le fruit du travail du kimuntu sur des dizaines de milliers d'années. Nous refusons de retourner à l'âge de cro-magnon.

Il y a des images qui sont choquantes quand le contexte ne s'y prête pas. La présence de soldats en armes au milieu des populations ne se justifient qu'en période coloniale ou en temps de guerre. Nous ne sommes pas en guerre contre un autre Etat ; le Congo est en paix et Denis Sassou Nguesso lui-même n'arrête pas de le claironner. Alors, comment expliquer des images qui donnent l'impression d'une invasion du Congo par un pays étranger ? Sauf à se trouver en situation de colonisation ou d'invasion armée, rien ne justifie la présence des mercenaires du tueur infatigable au milieu de notre peuple. La place du soldat est dans la caserne et nulle part ailleurs.

Nous apprenons qu'à Dolisie, les mercenaires vêtus en tenues de soldats poursuivent les paysans jusque dans leurs champs ! Comme la ration du soldat manque, on se rattrape sur la banane du pauvre paysan... Cette soldatesque sans la moindre culture militaire tue même des enfants. Cette situation ne peut plus durer. La présence des mercenaires rwandais me dit-on est devenue manifeste à Brazzaville. Ils ne se cachent plus. Terroriser les populations en créant une fausse insécurité psychologique est minable. Les militaires ne peuvent et ne doivent pas contraindre les populations à voter pour Denis Sassou Nguesso. Le Congo et les Congolais doivent tout faire pour se débarrasser de la vermine Sassou. Nous prendrons le temps d'épurer l'armée et la force publique de tous les voyous et de tous les mercenaires qui terrorisent notre peuple.

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

INTIMIDATIONS MILITAIRES : SASSOU DOIT CESSER DE SE COMPORTER COMME UN COLONISATEUR DU CONGO !
INTIMIDATIONS MILITAIRES : SASSOU DOIT CESSER DE SE COMPORTER COMME UN COLONISATEUR DU CONGO !
INTIMIDATIONS MILITAIRES : SASSOU DOIT CESSER DE SE COMPORTER COMME UN COLONISATEUR DU CONGO !
INTIMIDATIONS MILITAIRES : SASSOU DOIT CESSER DE SE COMPORTER COMME UN COLONISATEUR DU CONGO !
INTIMIDATIONS MILITAIRES : SASSOU DOIT CESSER DE SE COMPORTER COMME UN COLONISATEUR DU CONGO !
INTIMIDATIONS MILITAIRES : SASSOU DOIT CESSER DE SE COMPORTER COMME UN COLONISATEUR DU CONGO !
INTIMIDATIONS MILITAIRES : SASSOU DOIT CESSER DE SE COMPORTER COMME UN COLONISATEUR DU CONGO !
INTIMIDATIONS MILITAIRES : SASSOU DOIT CESSER DE SE COMPORTER COMME UN COLONISATEUR DU CONGO !
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1 mars 2016 2 01 /03 /mars /2016 15:16
CONGO/ELECTION PRESIDENTIELLE : L'OPPOSITION SIGNE UNE CHARTE DE LA VICTOIRE

Lorsque cinq candidats à l'élection présidentielle du 20 mars 2016, à savoir, Claudine Munari, Pascal Tsaty Mabiala, André Okombi Salissa, Guy Brice Parfait Kolélas et le Général Jean Marie Michel Mokoko, décident de signer une chartre avant l'élection, ce 29 février 2016, cela ressemble fort bien à ce que je préconisais en évoquant une "alliance de gouvernement" quand j'avais lancé l'idée du candidat unique, une idée qui a succombé à la charge de l'ambition collective mais rien n'est pas encore perdu, les candidatures multiples pouvant très bien barrer la voie de notre éléphantosaure national en lui privant de voix aux quatre points cardinaux.

Les opposants à Denis Sassou Nguesso ont au moins trois choses en commun  : 1) ils sont pour la fin de la dictature et pour la restauration de la démocratie 2) ils sont pour l'alternance démocratique 3) ils savent que tous ne peuvent pas être président de la république au même moment, vu qu'il n'y a qu'un fauteuil présidentiel ; par contre, ils peuvent nouer alliance pour se partager le pouvoir et ce ne sont pas les postes importants qui manquent. Aussi, ils peuvent opter de s'entendre au lieu de se combattre comme je l'avais suggéré, peut-être pas encore pour une alliance de gouvernement mais pour une "charte de la victoire"...

Franchement, dans le contexte d'une élection transparente et juste, Denis Sassou Nguesso ne peut pas gagner au premier tour et pour être franc, il ne passerait même pas le premier tour. Vu la qualité des candidats, le dictateur infatigable ne peut pas gagner au premier tour - même s'il multipliait les slogans et distribuait de l'argent à tous les électeurs comme Ali Baba le ferait. Le dictateur infatigable doit faire appel au tricheur infatigable.

Nous souhaitons qu'il n'y ait pas d'atermoiement lors du dépouillement des résultats du premier tour de l'élection présidentielle, dépouillement que les représentants des candidats doivent filmer et expédier sur les réseaux sociaux pour éviter la fraude. Il n'est pas interdit de filmer le dépouillement des bulletins de vote C'est même une preuve de transparence électorale. Filmez avec vos smartphones vos votes, filmez le dépouillement. Si les soldats osent emporter les urnes, protestez et résistez. ce coup-ci, le peuple doit protéger ses suffrages.

Même si on vous pointait une kalachnikov à la tempe pendant que vous êtes dans l'isoloir, ne cédez pas : personne n'osera tirer sur vous dans un bureau de vote car c'est du bluff, rien que du bluff. Il est évident que la présence des soldats armés dans les salles de vote peut être intimidante mais personne ne peut vous obliger à voter pour un homme qui vous fait boire sa merde pour vous envoûter. Résistez à la peur et imposez votre volonté. Votre voix, c'est votre liberté. Personne ne peut vous la voler. Votre voix, c'est votre liberté. Personne ne peut vous priver de la jouissance ou de l'exercice de votre liberté. Cette fois-ci, faites entendre votre voix. Surmontez la peur, les intimidations et envoyez un tueur infatigable à la retraite. Qu'il triche, qu'il s'autoproclame vainqueur sans gagner mais qu'il ne soit pas un bourreau que vous aurez choisi contre votre plein gré, un pistolet à la tempe. Aucun soldat ne peut tirer sur vous dans une salle de vote ; ça signerait son arrêt de mort, la fin du vote et le début de l'insurrection populaire.

Pour revenir à la charte, il faut dire que l'essentiel s'y trouve comme la mutualisation des ressources, le soutien du candidat qui arrivera au second tour, la solidarité en cas d'ennuis  d'un membre, la refonte du programme du vainqueur en factorisant les autres programmes, etc. L'article 3 de la charte consacre l'alliance de conquête du pouvoir au travers du soutien d'un des signataires de ladite charte qui accèderait au second tour. Voilà qui est innovant au regard des élections de 2002 et de 2009.

Que cette charte soit un véritable porte-bonheur pour ceux qui ont compris qu'il fallait battre Denis Sassou Nguesso à son propre jeu en le rendant jeu propre notamment au travers du dispositif de sécurisation de l'alection (article 4). Rien ne vaut une alliance. Il faudra avoir à coeur de la respecter jusqu'au bout.

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

CONGO/ELECTION PRESIDENTIELLE : L'OPPOSITION SIGNE UNE CHARTE DE LA VICTOIRE
CONGO/ELECTION PRESIDENTIELLE : L'OPPOSITION SIGNE UNE CHARTE DE LA VICTOIRE
CONGO/ELECTION PRESIDENTIELLE : L'OPPOSITION SIGNE UNE CHARTE DE LA VICTOIRE
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29 février 2016 1 29 /02 /février /2016 14:58

L'Eglise, une vieille institution de plus de 2000 ans, a façonné l'homme de l'intérieur pour le modeler à l'image du Christ et rendre ce monde meilleur qu'il ne l'était à l'époque de la barbarie toute-puissante, tandis que la politique a formaté l'homme de l'extérieur - parfois en l'asservissant - pour créer un monde grandiose à l'image mégalomane des tyrans, des rois et des hommes d'Etat. D'un côté, la recherche de l'intemporalité, de l'universalité, du salut de l'âme en travaillant sur l'esprit, de l'autre le souci du salut de la chair en jouant sur le monde matériel par l'asservissement des chairs à une seule volonté humaine.

Rome a réalisé à l'époque de l'empereur Constantin le parfait mariage entre l'Eglise et l'Etat. Les deux institutions se sont par la suite séparées au nom du principe de la laïcité. Désormais, chacune réclame une emprise totale sur le même objet : le peuple pris comme corps ou comme âmes ; ce qui parfois veut dire la même chose. Quand l'Eglise s'est opposée à l'Etat, elle en a fait les frais dans l'histoire. Si l'Eglise ne se contente que du salut des âmes, l'Etat veut tout posséder : les corps, les âmes et même l'Eglise comme le fit Constantin. L'Etat a l'emprise sur les chairs et ce faisant, il a une voix royale pour atteindre et dominer les âmes. Comme il ne peut y avoir deux souverains sur un même sujet, en dictature, l'Etat veut soumettre l'Eglise pour qu'elle oriente les  âmes à ne servir que le temporel. EN DICTATURE, L'EGLISE DOIT ETRE AU SERVICE DU MONARQUE OU DISPARAITRE CAR ELLE PEUT POUSSER LES OUAILLES A CHASSER LE TYRAN. LE POUVOIR EST EN REALITE UN CONTROLE DE L'ESPRIT, UNE DOMINATION DE TOUT UN PEUPLE ET, QUI TIENT L'ESPRIT EN ENCHAINANT LES CHAIRS A SA VOLONTE, POSSEDE LE REEL POUVOIR.


Denis Sassou Nguesso l'a bien compris, lui qui travaille ou à tuer les prélats quand ils lui résistent ou à les corrompre quand ils s'adonnent volontiers à oublier leur soutane. Le tueur infatigable de l'Alima a éliminé le cardinal Emile Biayenda, forçant le Vatican à ne plus établir de cardinal sur l'église du Congo. Monseigneur Ernest Nkombo a commis l'erreur de passer de la quête intemporelle (Eglise) à la quête temporelle (Etat). On ne peut faire de l'ombre à la GRANDE TENEBRE. Denis Sassou Nguesso l'a expédié auprès du Seigneur. Cependant, il n'en a pas fini avec l'Eglise qui possède encore au Congo des âmes vertueuses qui recherchent à s'élever au dessus des pesanteurs de la chair, pesanteurs qui ploient l'esprit aux tentations de Mammon. Certes, un prêtre est un homme dans toute la splendeur de la tentation de la chair mais il aspire à plus que les biens de ce monde car ce monde passera même si certains évêques tombent dans la tentation en servant Mammon. Que le Père céleste leur pardonne : la chair est faible car la faiblesse est envies, besoins, diktat de la chair sur l'esprit. Nous vivons dans un monde à la tentation démultipliée.


Revenons au tueur infatigable des berges de l'Alima, à la bête immonde d'Edou assoiffée de tous les pouvoirs temporels et intemporels : après le cardinal Emile Biayenda, Monseigneur Ernest Nkombo, à qui le TOUR ? Quel membre du clergé sera-t-il sacrifié ? Pour son pouvoir, Denis Sassou Nguesso est prêt à sacrifier même le pape.
Le sanguinaire met en garde un homme de l'Eglise. Sassou veut des évêques corrompus qui prêchent pour sa cause. Un évêque qui n'incite pas les chrétiens à soutenir la candidature de Sassou se met en danger. Voilà pourquoi les évêques qui ne résistent pas à la main tendue de Sassou tremblent devant les billets de banque. Ils vont nuitamment chez Sassou comme des Judas qui se rendent au Sanhédrin de Satan.


Nous attirons l'attention du Vatican, de l'opinion nationale et internationale sur les menaces de mort qui pèseraient sur certains dignitaires de l'Eglise catholique au Congo. L'intégrité morale de certains membres de l'épiscopat congolais fait peur aux assassins du PCT qui n'hésiteront pas à verser le sang d'un évêque. ils l'ont déjà fait par le passé ; ils sont prêts à recommencer. 


Selon les informations qui nous proviennent de l'entourage même de Sassou, le nom de l'ancien président de la conférence épiscopale du Congo serait en tête de liste de ceux qui font peur à l'entourage immédiat de Denis Sassou Nguesso. Le groupe de Jean Dominique Okemba n'hésitera pas à donner un visa de départ à l'évêque de Kinkala - s'il continue à déranger Sassou par son incorruptibilité. Il doit apprendre à demander et à profiter de la manne sassouiste de la corruption. Dans la mesure où ce n'est pas le cas, Sassou le soupçonne d'être proche de l'opposition. Il reconnaît que cet évêque est bien coté. 


Chers chrétiens, du nord au sud, d'est en ouest,  accepteriez-vous que les sanguinaires sassouistes versent une fois encore le sang d'un pasteur  innocent ?


Si l'évêque ne se préoccupe pas de la situation de son peuple, que ferait-il d'autre pour annoncer le message du Christ ? Si Jésus avait dit aux pharisiens qu'il n'était pas venu pour les riches mais pour les pauvres - il faut comprendre que le salut n'est pas une préoccupation matérielle et terrestre. Aussi, il faut séparer ce qui est à César et ce qui est à Dieu. 
Certains ont même dit au sein de l'entourage de Jean Dominique Okemba : " il paiera comme Nkombo". Nous mettons en garde la clique à JDO et tous les assassins à la solde du régime : ATTENTION, NE TOUCHEZ PAS A NOTRE EVEQUE...

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

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28 février 2016 7 28 /02 /février /2016 20:07
Bientôt le pétrole à 20 dollars ? Les Saoudiens contre le reste du monde

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Énergie

Le roi Salmane d'Arabie saoudite et le président nigérian Muhammadu Buhari se sont engagés mardi à Ryad à travailler à la stabilisation du marché pétrolier./AFP
Le roi Salmane d'Arabie saoudite et le président nigérian Muhammadu Buhari.

Ryad a annoncé par la voix de son ministre du Pétrole que le royaume saoudien pourrait laisser s'effondrer le pétrole jusqu'à 20 dollars le baril afin de tuer le pétrole de schiste américain.

Le ministre saoudien du pétrole a provoqué une nouvelle tempête sur les cours du pétrole hier. Ali Al Naimi a en effet exclu toute baisse de la production de l'Arabie saoudite à court terme. Des déclarations qu'il a tenues à Houston au Texas au cours d'une réunion du secteur pétrolier et qui ont provoqué une nouvelle glissade des cours du brut. Par ses propos, Ali Al Naimi a clairement torpillé l'accord de Doha signé le 16 février dernier entre l'Arabie saoudite elle-même et la Russie afin de geler leur production de pétrole. Cette entente avait pour but sinon de provoquer une remontée des cours, au moins d'enrayer la baisse du pétrole qui plombe les économies des pays producteurs. Dans cette démarche, les deux puissances étaient accompagnées du Qatar et du Venezuela. Mais visiblement Ryad n'entend pas se sentir lié par un tel accord. Le ministre du Pétrole saoudien a assuré que son royaume pouvait tout à fait supporter un baril à vingt dollars à la différence des autres pays producteurs comme la Russie mais surtout les États-Unis qui se sont engouffrés dans la production de pétrole de schiste. Plus cher à extraire, ce dernier n'est absolument pas rentable aux cours mondiaux actuels.

L'Iran joue son propre jeu

Le pétrole américain a besoin d'un prix plancher de 40 dollars uniquement pour couvrir les coûts d'extraction. Or hier, les cours du brut ont encore perdu 1,51 % pour retomber à 30,75 dollars (ndr : le prix du baril a plongé sous les 30 dollars après le 25 février 2016, date de la rédactionde cet article). Ryad tente de plomber pour longtemps le pétrole de schiste américain en inondant le marché mondial de son or noir bon marché.

De son côté Teheran a qualifié de «plaisanterie» la proposition de Ryad de geler la production de pétrole car elle y voit une volonté d'entraver ses exportations de brut.

L'Iran entend bien faire profiter son économie de la manne pétrolière fraîchement retrouvée depuis la levée des sanctions internationales. Le régime des molahs compte revenir à son niveau d'exportation de brut d'avant les sanctions. Teheran a ainsi annoncé une augmentation immédiate de sa production de 500 000 barils par jour et de 500 000 barils supplémentaires d'ici à fin 2016 soit un total d'un million de barils de plus sur le marché mondial qui est déjà en surproduction.

Le déséquilibre entre l'offre et la demande de pétrole ne se résorbera pas avant 2017 selon l'Agence internationale de l'Énergie (AIE) notamment à cause de l'arrivée du pétrole iranien mais également irakien. En effet, Bagdad tente aussi de retrouver son niveau de production d'avant crise afin de restaurer des marges de manœuvre budgétaire.

Dans ce contexte, les cours du pétrole devraient rester bas jusqu'à la fin de l'année avant d'amorcer une timide remontée en 2017. Une vraie bombe à retardement pour les banques nord-américaines qui ont massivement financé le secteur pétrolier et qui voient les entreprises emprunteurs au bord de la faillite.


Les Bourses replongent

Cette nouvelle glissade des cours du pétrole a encore inquiété les marchés financiers hier. Les principales Bourses de la planète ont ainsi plongé dans le rouge en raison des craintes de ralentissement économique notamment en Chine. Le CAC 40 a ainsi perdu près de 2 % hier (-1,96 %) alors que Dow Jones abandonnait 1 % plusieurs heures à mi-séance. Francfort dévissait plus sévèrement avec une chute de 2,64 % alors que Madrid reculait de 3,07 %.

SOURCE : http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/25/2283962-bientot-petrole-20-dollars-saoudiens-contre-reste-monde.html?ref=yfp

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28 février 2016 7 28 /02 /février /2016 14:22

Au Congo, Denis Sassou Nguesso, le tueur infatigable, l'homme des masses affamées, est demi-dieu. Rien ne lui est impossible. La rumeur veut qu'il projette de reporter l'élection présidentielle du 20 mars 2016. Ceci ne correspond nullement au caractère de l'homme que nous avons étudié depuis près de vingt ans. Sassou ressemble au pion du jeu d'échecs qui ne sait qu'avancer et qui jamais ne recule. C'est un soldat qui avance au culot et à la force de sa kalachnikov. Il ne peut changer une stratégie mortifère qui gagne depuis des dizaines d'années. 

D'aucuns avancent des préoccupations pécuniaires ; ce qui ne tient pas debout puisque tout le pays a cotisé pour qu'il soit tueur infatigable à vie - sans jamais être poursuivi ; d'autres avancent des pressions de la communauté européenne qui a refusé d'envoyer des observateurs mais là aussi, Sassou et le Parti Congolais des Tricheurs ont pris acte. Quant à la frange qui croit que Sassou veut revoir sa stratégie à cause de la candidature de Jean Marie Michel Mokoko, nous disons que le report ne résoudra rien - puisque J3M est candidat... Ceci ressemble à une campagne de divertissement pour que ses opposants baissent leur garde et ne battent pas campagne comme il le faut. Cependant, attendons de voir.

Il serait souhaitable d'éviter le report du scrutin. Au moment où André Okombi Salissa vient de présenter son logo de campagne au public, où les équipes de campagne affûtent les projets de leurs champions, le Congo n'a pas besoin de report de l'élection présidentielle : Denis Sassou Nguesso l'a voulu ainsi ; les autres l'ont pris à son propre jeu. Il faut donc qu'il ait le courage de jouer au nzango-lokuta jusqu'au bout. Tout le gotha politique doit se lever pour l'en dissuader s'il lui prenait l'envie folle de retarder l'échéance électorale. Denis Sassou Nguesso a des jours devant lui jusqu'au 18 mars 2016 pour reformer la CNEI, revoir le fichier électoral, etc. Ses enfants et ses neveux battent déjà campagne pour lui avec l'argent détourné des caisses du Trésor public. Alors, où est le problème ?

Si l'Union Européenne avait l'intention de stopper Denis Sassou Nguesso, cela se saurait. Seul importe à Sassou le soutien de la France au travers de François Hollande ; or, il l'a. Donc tout va bien pour lui. Je ne vais pas reprendre ici les raisons pour lesquelles les Occidentaux préfèrent faire affaire avec des dictateurs ; il vous suffit de lire les articles ci-dessous.

Toutes les comédies - même les plus distrayantes - ont une fin. Un jeu nommé "QUI TUE ET TRICHE GAGNE" dure depuis plus de quarante ans et a  fini par lasser le peuple qui ne veut plus jouer avec la mort au travers des larmes et du sang des autres. Sassou est un joueur. Il avance dans le déroulement de son propre jeu. Rien ne pourra l'arrêter - dans la mesure où le début de campagne est une date funeste placée sous le signe de la mort et du dieu de la guerre.

Nous estimons qu'il faut jouer cette dernière partie d'échecs politiques - sans tuer et sans tricher. Aussi, le peuple doit devenir maître du jeu pour changer la règle du jeu. C'est la seule condition si nous voulons le changement.

Nous l'avons déjà dit sur les réseaux sociaux ; nous le répétons ici : entre une élection truquée et une victoire volée, il y a la conscience et la réaction d'un peuple. Rien ne garantit que les victimes du 4 mars 2012, entre autres, voteront pour Sassou. Pas plus que les habitants d'Oyo. Le Parti Congolais des Tricheurs est passé maître de la corruption et de la tricherie mais qu'il sache que les promesses de votes contre des espèces sonnantes et trébuchantes ne séduisent plus personne.

Le baril de pétrole est descendu en dessous de 30 $. Et les observateurs se disent qu'il continuera à baisser. ENI revoit déjà ses coûts techniques de 30% et demande à renégocier son contrat "gagnant-gagnant" en "gagnant-perdant", avec le Congo comme perdant. Même BP envisage de licencier 4000 personnes car les coûts de production Offshore se situent entre 20 et 25 $ le baril de pétrole. L'argent qui fait la force de Denis Sassou Nguesso lui fera de plus en plus défaut si la chute du baril se poursuit et elle va se poursuivre dans la mesure où l'OPEP ne projette pas de baisser sa production. Les indicateurs de la faillite économique sont déjà visibles dans notre pays.

Notre pays coule à pic. Franchement que Martin Mbéri arrête de nous distraire : pour foutre un pays en l'air, on n'a pas besoin d'expérience et pour l'incompétence, il n'y a pas d'homme providentiel. Denis Sassou Nguesso n'est donc pas indispensable à la tête de l'Etat congolais. La bouche de Martin Mbéri dit des mots mais au fond de lui, il sait que même ses propres oreilles ne le croient pas...

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

URGENT : VA-T-ON ASSISTER AU REPORT DE L'ELECTION PRESIDENTIELLE DU 20 MARS 2016 ?
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26 février 2016 5 26 /02 /février /2016 14:24
CONGO/FAC : RUPTURE DE RATIONNEMENT SAUF POUR LA GARDE REPUBLICAINE

La baisse du prix du baril du pétrole finira par affecter l'économie congolaise et par devers elle, toute la société - si ce n'est déjà le cas ; cela nous le savons tous mais nous attendions des signes, des indicateurs factuels qui nous permettraient d'en mesurer l'ampleur, l'amplitude, la portée. Pendant que nous apprenons que neuf candidats ont été retenus pour participer à l'élection présidentielle du 20 mars 2016,  à savoir

- Jean Marie Michel Mokoko ;

- André Okombi Salissa;

- Denis Sassou Nguesso ;

- Pascal Tsaty Mabiala ;

- Claudine Munari ;

- Anguios Engambé ;

- Guy Brice Parfait Kolélas ;

- Mbouissy Ngouari ;

- Kignoumbi Kia Mboungou,

des informations peu reluisantes nous parviennent aussi des réseaux sociaux comme le retrait de 2000 francs cfa sur les salaires des fonctionnaires - sans accord préalable avec les syndicats - par le ministre des finances Gilbert Ondongo - certains compatriotes émettant l'hypothèse que l'indu ainsi floué aux fonctionnaires servirait à financer la campagne de monsieur Denis Sassou Nguesso. Le fait que la diète soit entrée dans les casernes militaires qui manqueraient désormais de rationnement alimentaire - sauf à la garde républicaine - pourrait aussi répondre à la même logique. C'est peut-être la manière de l'armée de contribuer à la campagne du candidat Sassou : l'argent économisé sur l'alimentation des soldats va aller grossir le budget de campagne auquel toute la république a finalement contribué - puisque même les pauvres Vilis de Madingo-Kayes ont cotisé  des pièces de menue monnaie dans des seaux remis au ministre Colinet Makosso.

Il est à peu près certain que ni les fonctionnaires, ni les soldats ne se plaindront car ils doivent tous leur destin, leur situation à la "grandeur" d'âme de monsieur Denis Sassou Nguesso - qui est le monarque adoré de ces dames et de ces messieurs. MOURIR DE FAIM POUR QU'OTSOMBE GARDE LE POUVOIR VOUS CONDUIT DIRECTEMENT AU PARADIS !

Nous vous avons révélé comment l'économie pâtissait de la crise pétrolière mondiale avec des chantiers en berne, des opérateurs économiques non payés ; voilà que celle-ci atteint les citoyens congolais à l'estomac en les privant de leur moungouélé qui n'arrête pas de maigrir - notamment les soldats dans les casernes qui ne seraient plus nourris par l'armée depuis quelques jours.

Les fonctionnaires ont l'habitude de se faire escroquer. Que vont donc faire les soldats affamés ? Se plaindre auprès de l'Etat-Major ? Du ministère des finances ? Non, pas du tout ! Ils vont certainement racketter le peuple. En effet, même nos vaillants soldats, à force de boire l'eau envoûtée par la merde du monarque, n'oseront pas se plaindre. Notons cependant que nous avons eu vent des désertions des jeunes nordistes enrôlés dans l'armée tribale maltraités à Tsambitso par les mercenaires du monstre Denis Sassou Nguesso.

Du chemin sans avenir, nous entrons dan la route de la diète et de la faim pour tous. Ceci pourrait peut-être rappeler à notre peuple que l'on ne mange pas des routes, des ponts, des immeubles - ce que Karl Marx désignait par du CAPITAL MORT. Le peuple a été nourri à la "Nouvelle Espérance" et à la promesse de l'avenir cul-de-sac. Il s'agit à présent de le nourrir avec du vent - puisque lespétrocfas se raréfient.

NOTRE AVENIR POLITIQUE AVEC DENIS SASSOU NGUESSO S'IL SE MAINTIENT AU SOMMET DE L'ETAT : L'EMERGENCE DE LA FAIM POUR TOUS D'ICI 2025. PEUT-ETRE MEME AVANT...

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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25 février 2016 4 25 /02 /février /2016 14:50
On devrait ajouter un couvert pour la Chine qui a pris part au banquet !

On devrait ajouter un couvert pour la Chine qui a pris part au banquet !

Grand-frère, bonjour.  Merci pour ton commentaire si instructif. Si la dette du Congo est due à une fantaisie, c'est une fantaisie criminelle qui pénalise notre pays pour des dizaines d'années, voire des centaines d'années. Je crois que nos politichiens n'ont pas conscience du drame dans lequel ils plongent notre pays en hypothéquant notre avenir - notamment par le pétrole qui sert à gager la dette publique, dette publique qui ne sert pas à développer le pays car l'argent passe principalement dans les poches des "politichiens". Ils ne pensent qu'à eux et ne font pas fi de l'avenir puisque seul leur importe le présent et le luxe dans lequel ils pataugent. Entre leur égoïsme et le bien-être de tous, ils ont choisi leur égoïsme. Ils passeront ; la souffrance de notre peuple demeurera. Ils s'en fichent, vu que leurs rejetons ne connaîtront pas la souffrance et la misère, dans la mesure où ils ont accumulé des milliards de francs cfa pour les mettre à l'abri du besoin.

Rembourser notre dette par les cargaisons de pétrole garantit le développement de l'Occident ; je l'ai expliqué à la fin de ce commentaire.
Tu as été un Haut Fonctionnaire de notre pays aujourd'hui à la retraite ; tu as encore des réseaux qui te permettent d'accéder à certaines informations - d'autant plus que tu peux accéder à internet. Avoir l'information est déjà un exploit dans notre pays, raison pour laquelle nous la partageons pour faire évoluer la conscience collective et tu peux mesurer le travail abattu ; ce qui va bientôt me permettre de m'occuper d'autre chose, vu que la relève est assurée. Je dois m'occuper de ce pour quoi je suis ici bas. J'ai laissé de côté cet aspect pour ce combat. Hélas, il y a un travail plus important à faire pour l'avenir. J'ai été puni dans la chair pour l'avoir laissé de côté. Le temps arrive où je dois honorer mes engagements pris auprès de mon "employeur". Tu comprendras tout ceci plus tard. Ne Mpungu Tulendo te gardera en vie pour que tu assistes à cela. RETIENS-LE...
Le peuple va être surpris, frappé par la réaction des créanciers du Congo : il subira les mesures de rétorsion qui seront imposées à notre Etat (désormais privé car privatisé depuis longtemps par Denis Sassou Nguesso). Le FMI et la Banque Mondiale ne se préoccupent pas des peuples mais juste des intérêts de leurs actionnaires et tu dois savoir qu'ils font la plus grande partie de leurs profits auprès des dictatures africaines. L'argent, les miettes qu'on nous verse, on le présente comme des dons mais c'est faux : ce sont des prêts à des taux préférentiels. Quand l'argent est détourné, où repart-il ? En Europe ! Hélas, la dette demeure ! Ils nous prêtent l'argent que nos dictateurs détournent et ramènent en Occident. Ils récupèrent de la main du dictateur ce qu'ils font semblant de donner aux peuples. Ils gagnent deux fois. Une fois en récupérant l'argent et deux fois, en se faisant payer la dette ! 
Quand le clan Sassou & Nguesso détourne les miettes que les multinationales nous laissent, l'argent repart en Europe par des achats de villas, de voitures et de vêtements de luxe, des dépôts bancaires, etc. En fait, les dictatures africaines sont une bénédiction pour les hommes d'affaires occidentaux car ils peuvent piller nos richesses et nous plonger encore dans des dettes interminables qui nous maintiennent dans la servitude. Les puissances du monde nous exposent à subir les dictatures pour mieux freiner notre développement. C'est triste mais c'est la réalité. 
Au regard de la réussite économique chinoise, les Européens ont juré de ne pas commettre la même erreur deux fois avec l'Afrique car le développement de la Chine nuit gravement aux intérêts occidentaux - même si les hommes d'affaires européens produisent à moindre coût en Chine pour revendre très cher en Europe (or, les coûts de production ne cessent d'augmenter en Chine, poussant certains industriels à rapatrier la production en Europe...). Le problème est que la Chine s'industrialise et concurrence l'Europe et les Etats-Unis : prends juste le cas du téléphone portable, vu que la Chine produit une marque qui n'a rien à envier à Apple et à Samsung. 
Si l'Afrique se développe et s'émancipe de l'Occident, ils savent que c'est la FIN DE L'EUROPE ! La France ne peut pas survivre si le franc cfa disparaît et si ses multinationales n'ont plus accès à nos matières premières bon marché. Tu sais tout cela mais combien l'ignorent ? En entretenant les dictatures en Afrique, l'Europe entretient le sous-développement de ce continent, seule façon pour elle de maintenir son train de vie fait de gaspillage et de superflu (appelé "nouveauté") dans l'abondance. Et la meilleure façon de maintenir le continent la tête dans le sable est de gâcher, de gaspiller l'argent à des projets futiles : on doit tout faire sauf industrialiser l'Afrique - notamment subtropicale car le danger serait que nous parvenions à exploiter nos propres ressources par nous-mêmes. Prenons le pétrole, par exemple : tout est produit en Occident avec le pétrole dont seulement 20% est utilisé pour faire rouler les voitures et cela peu de gens le savent. Engrais, vêtements, voitures, ordinateurs, téléphones, matériaux de construction, etc, de nombreux produits dépendent du pétrole. Si l'Afrique exploite elle-même son pétrole, de l'extraction jusqu'à la transformation du produit fini, c'est la mort de l'industrie occidentale. Il faut donc empêcher à tous prix le développement, c'est-à-dire, l'industrialisation de l'Afrique. Et pour que cela soit possible, il faut des dictateurs peu regardants qui ne se préoccupent que de la conservation de leur pouvoir. Les puissances du monde ne se soucient nullement du sort de l'Afrique dont ils projettent de réduire la population par tous les moyens : aliments empoisonnés, vaccinations, virus, appauvrissement généralisé. A ceux qui doutent, je rappelle juste que les Indiens d'Amérique ont été décimés avec des couvertures imbibées par le virus de la variole contre lequel ils n'avaient pas de défense immunitaire...

Ceci est la seule manière logique de comprendre la dictature. En effet, l'Occident a les moyens de stopper la dictature en Afrique - juste en bloquant la signature des dictateurs qui ne peuvent plus engager la moindre action au nom de leur Etat. La France peut paralyser Sassou en bloquant juste le franc cfa. Elle ne le fait pas ! Pourquoi ? Parce que Denis Sassou Nguesso défend ses intérêts - plus que ceux du Congo ! Denis Sassou Nguesso va organiser son coup d'Etat électoral après le coup d'Etat référendaire et vous verrez la France faire semblant de bouder mais au final, elle reconnaîtra la victoire de son serviteur. A moins qu'elle ait trouvé un autre serviteur...
Les dictateurs contrôlent les peuples et l'Occident contrôle l'Afrique en contrôlant et manipulant les dictateurs. POUR L'EUROPE, TENIR LES DICTATURES, C'EST MAINTENIR L'AFRIQUE EN SERVITUDE. Tant que nos dictatures seront au service des puissances du monde, l'Afrique restera pauvre et dominée. Les indépendances ne sont que la poursuite de l'oeuvre de colonisation avec un gouverneur noir. Le "président" est assis dans le fauteuil du gouverneur au palais du gouverneur colonial pour la poursuite de l'oeuvre coloniale. Ceux qui n'ont pas vu la vidéo de mon passage à l'assemblée nationale au mois de janvier peuvent la visionner pour comprendre le lien entre la dictature du dehors (puissances du monde - notamment, la France) et la dictature du dedans au Congo incarnée par Denis Sassou Nguesso et le Parti Congolais des Tricheurs.

Jésus a dit que la Vérité affranchit. Si nous sommes encore liés par les chaînes de l'esprit, c'est que nous n'avons pas encore conduit nos peuples sur le sentier étroit de la VERITE. C'est un combat difficile qui se gagnera par le travail persistant de l'esprit.
Ton cadet,
                  LION DE MAKANDA, MWAN MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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24 février 2016 3 24 /02 /février /2016 13:01
CONGO/DETTE : A QUOI A DONC SERVI L'INITIATIVE PPTE SI LA DETTE FLAMBE A NOUVEAU ?
CONGO/DETTE : A QUOI A DONC SERVI L'INITIATIVE PPTE SI LA DETTE FLAMBE A NOUVEAU ?

COMMENTAIRE : Nous surveillons à la fois la situation politique et conjoncture économique de notre pays. La dimension politique est dramatique parce que nous vivons une dictature qui dure depuis près de vingt ans avec monsieur "Petit" Sassou Nguesso et en matière économique, il s'agit de surveiller l'évolution de la dette, le prix du baril de pétrole, notre ressource principale, les efforts de diversification de l'économie et la progression de la pauvreté. Nous redoutons une grave crise tant politique qu'économique. En effet, lorsque l'endettement devient le seul moyen de survie d'un pays, il faut redouter que celui-ci ne fasse l'objet de coupes drastiques du FMI et de la Banque Mondiale. Un pays comme le Congo ne pourra pas compter éternellement sur la générosité chinoise, la Chine ayant ses propres problèmes à résoudre. Le peuple souffre déjà, lui qui court derrière le gaz et le carburant quand les plus pauvres ne courent pas simplement après un morceau de moungouélé. Pour éviter la faillite, nous allons finir par nous livrer pieds et poings liés au FMI et à la Banque Mondiale. Le Congo n'aura pas un autre choix si nous ne parvenons plus à payer les dettes personnelles de "Petit" Sassou Nguesso. Oui, Denis Sassou Nguesso est un nain politique qui manque tellement d'inspiration qu'il mérite d'être appelé "PETIT" SASSOU NGUESSO !

Un article du Point nous indique qu'en dépit du bénéfice de l'option PPTE qui a fait baisser la dette du Congo par un simple jeu d'ardoise magique, celle-ci a repris sa course en avant en passant de 34,14 en 2012 à 51,56 en 2015. Et elle n'est pas prête de s'arrêter.

Le Congo doit diversifier son économie au lieu de ne compter que sur le pétrole. La rente pétrolière a une rentabilité fluctuante. Et il faut ajouter que la ressource fissile n'est pas éternelle. Elle finira par s'épuiser un jour plongeant le pays dans un marasme économique. La chute conséquente du prix du baril de pétrole affaiblit fortement notre économie et cela se ressent déjà à plusieurs niveaux. On ne pourra pas indéfiniment continuer à construire des babioles infrastructurelles à la gloire de notre roi : si les créanciers perdent toute confiance en notre pays, il deviendra de plus en en plus difficile de s'endetter - même en gageant le pétrole. Le sort aurait pu nous épargner les soucis économiques, déjà que nous vivons une situation politique catastrophique. Hélas, les malheurs s'additionnent, vu que le Congo n'a pas les moyens économiques qui lui auraient permis de maîtriser sa politique économique. Les Chinois finiront par devenir les nouveaux maîtres du Congo. Après les Français qui nous tiennent par la laisse du franc cfa...

Denis Sassou Nguesso fait tout pour le moment, question de sauver les apparences avec quelques édifices publics - sans jamais penser à doter le pays d'un tissu industriel important mais nous savons que cela ne pourra pas durer indéfinement. Nous finirons par regretter pourquoi nous n'avons pas profité d'industrialiser le pays quand tout allait bien. En fait, cet énergumène, ce "Petit" Sassou Nguesso, se maintient au sommet de l'Etat pour une seule raison : il n'a pas fini son travail de démolition commencée depuis 33 ans ! Lorsque la cupidité, qui a pour rejetons la corruption, le détournement, la concussion et le vice, devient la seule politique d'une nation, la faillite est la seule chose prévisible. Et lorsque viendra la faillite, le Congo entrera en guerre civile...

 

LION DE MAKANDA, MWAN MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

Afrique - Dette publique : attention, danger !

DATA. Les performances économiques de l'Afrique en impressionnent plus d'un. Pourtant, une menace se profile à l'horizon : celle de l'endettement. État des lieux. 

Le niveau moyen des dettes de l'Afrique subsaharienne est passé de 25,2 % du PIB en 2010 à 34,5 % en 2015. De quoi se rappeler les années 90 ?
 
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Les pays africains risquent-ils une nouvelle crise de la dette ? Depuis quelques mois, nombreux sont ceux qui tirent la sonnette d'alarme. Preuves à l'appui, les indicateurs économiques de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI). Les chiffres sont éloquents : le niveau moyen des dettes de l'Afrique subsaharienne est passé de 25,2 % du PIB en 2010 à 34,5 % en 2015. Pour la même année, l'endettement public est estimé à 44 % du PIB, alors qu'il était de 31 % trois ans plus tôt, hors Nigeria et Afrique du Sud. Les plus inquiets se remémorent les années 1990 où bon nombre de pays africains ont eu recours à des politiques de restructuration drastique pour éponger leurs dettes.

 

Parmi les mauvais élèves, la République du Congo : sa dette publique atteint 51,6 % aujourd'hui, alors qu'elle avait été ramenée à 34 % en 2012 grâce au PPTE (initiatives pays pauvres très endettés, permettant un abaissement du déficit public pour le rendre « soutenable »). Même cas de figure pour le Ghana, qui passe de 49 % en 2012 à 69,6 % en 2015 et la Zambie qui atteint 32 % contre 25,5 % il y a trois ans.

 

Même si les dettes restent nettement inférieures à celles contractées par les pays européens, ces emprunts pèsent sur les budgets des pays africains. Noël Tshiani, haut fonctionnaire à la Banque mondiale, cite l'exemple de la République démocratique du Congo : « Le niveau d'endettement est élevé pour ce pays ayant tout à reconstruire et dont 88 % de la population vit en dessous du seuil minimum de pauvreté et près de 80 % de la population active se trouve au chômage. » Seules les dettes de l'Afrique du Sud, du Rwanda ou encore de l'Éthiopie restent stables.

Vers une crise de la dette ?

Le premier facteur de risque provient de la baisse du coût de nombreuses matières premières. Le prix du baril de pétrole atteint difficilement les 30 dollars et le cuivre connaît une baisse de 33 % par rapport à 2015. Résultat : les déficits risquent de se creuser d'ici à l'année prochaine, selon Standard & Poor's. L'agence de notation a notamment alerté le Gabon, le Congo-Brazzaville et l'Angola, et a placé le Nigeria sous surveillance. « Les pays africains sont extrêmement dépendants des recettes provenant de quelques matières premières. Ce sont les conséquences d'une faible diversification de l'économie », commente Noël Tshiani.

Deuxième inquiétude : le taux de croissance. « La croissance d'un pays lui permettra de subvenir à ses obligations, à condition qu'elle soit suffisamment positive pour accroître sa capacité à rembourser », explique l'économiste. Mais, selon les indicateurs de la Banque mondiale, le continent connaît son taux le plus faible depuis 2009 : celui-ci se limite à 3,7 % en 2015 au lieu des 4,6 % affichés en 2014. En cause : les instabilités politiques et sécuritaires bloquent une partie des investisseurs.

 

Le dernier facteur de risque est lié à la forte dépréciation de certaines monnaies. Pour l'année 2015, le cedi ghanéen, le rand sud-africain, le dollar zimbabwéen ou encore le kwanza angolais se sont effondrés.

Quelles perspectives ?

Face aux asymétries monétaires, les pays d'Afrique sont encouragés à étudier les avantages de l'émission internationale d'obligations d'État pour obtenir un financement stable. « Le Kenya et d'autres pays ont cependant démontré que les marchés obligataires en monnaie locale étaient susceptibles de recueillir des capitaux pour des projets d'équipement, bien que le volume des émissions soit encore faible », déclare le haut fonctionnaire.

Second point rassurant : l'endettement des pays en développement reste en dessous du seuil de 40 % fixé par le FMI. Une majeure partie des pays d'Afrique dépend d'emprunts à taux concessionnels, à savoir des taux très bas. « Ces prêts peuvent aller de 0 à 5 % de taux d'intérêt et être assortis de périodes de remboursement allant jusqu'à 50 ans », conclut Noël Tshiani. Ainsi, pas de lourds remboursements avant la prochaine décennie, ce qui laisse le temps aux pays d'Afrique d'élaborer des stratégies de croissance et de muscler leur fiscalité de façon rigoureuse et transparente.

Sourcehttp://afrique.lepoint.fr/economie/afrique-dette-publique-attention-danger-23-02-2016-2020585_2258.php

CONGO/DETTE : A QUOI A DONC SERVI L'INITIATIVE PPTE SI LA DETTE FLAMBE A NOUVEAU ?
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