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18 mars 2016 5 18 /03 /mars /2016 13:12

Denis Sassou Nguesso et son régime ont lancé une campagne d'intimidation des paisibles populations de notre pays dans le but de les dissuader à aller voter. Nous avons appris que de nombreuses personnes ont déjà quitté Brazzaville - notamment Bacongo et les quartiers avoisinants - à cause de tirs au pont du Djoué et de la présence d'hélicoptères de combat au dessus de Bacongo ; ce qui réduit l'électorat de l'opposition. Quant à Pointe-Noire, les mercenaires du régime ont planté leurs tentes dans les quartiers Mpaka et Mvoungou. De nombreuses personnes n'oseront pas sortir  pour aller voter. A ces concitoyens-là, nous demandons de faire preuve de courage. Ne laissez pas passer cette occasion. C'est un risque à prendre, que de se rendre aux urnes car autrement, vous aurez encore à supporter le monstre de l'Alima encore au moins dix ans - avec toutes les conséquences néfastes que cela implique à tous les niveaux. Il vaut mieux courir le risque d'aller voter que de prendre la fuite : c'est l'avenir de nos enfants qu'il s'agit de préserver, de sauver. On ne peut pas prendre la poudre d'escampette à chaque campagne d'intimidation. RESISTEZ AU DIABLE ET IL FUIRA LOIN DE VOUS.

Il ne suffit plus à Sassou de programmer la fraude ; celle de l'ile Mbamou ayant été dénoncée par une télé d'en-face avec un bureau de vote clandestin où des rdiciens ayant reçu des cartes d'électeurs pourraient voter plusieurs fois sous de nombreuses fausses identités. Voilà que nous apprenons de plusieurs sources que le régime du Parti Congolais des Tricheurs a intimé l'ordre aux sociétés de télécommunication  ou de couper l'internet mobile permettant aux smartphones d'accéder au web ou du moins de réduire sérieusement le débit de la bande passante. C'est une ingérence dans les affaires politiques d'un pays qui leur a ouvert son marché télécom. Déjà que la téléphonie appauvrit énormément nos concitoyens qui auraient pu se contenter de s'acheter à manger au lieu juste de s'offrir du crédit téléphonique qui coûte très cher comparé aux tarifs appliqués en Afrique de l'ouest, par exemple.

Nous venons d'apprendre d'un spécialiste que le régime a coupé le point de présence de Matombi. MTN, WARID et compagnies n'ont qu'à bien se tenir : dans la mesure où ces sociétés ont pris le parti du bourreau de notre peuple, elles devront en assumer les conséquences. Les compagnies qui s'immiscent dans nos affaires intérieures n'ont rien à faire au Congo. Et cela est valable pour toutes les entreprises présentes au Congo.

Les Congolais ne doivent pas céder à cette campagne d'intimidation visant à les terroriser afin qu'ils ne se rendent pas aux urnes. Allez massivement voter. Je sais qu'il y aura toujours une petite portion de Congolais qui pourront encore lire ce message IL FAUT ALLER VOTER. NE LAISSEZ PAS LES PARTISANS DU REGIME DECIDER A VOTRE PLACE DU DESTIN DU PAYS. Vous devez aller voter. Les choses s'organisent. Voici le message que je viens de recevoir :

" BIENTÔT, UNE RADIO FM SUR ET POINTE-NOIRE POUR DIFFUSER LES MESSAGES DU PEUPLE POUR LE PEUPLE. POUR DES RAISONS DE SÉCURITÉ ELLE NE DIFFUSERA QUE QUELQUES MINUTES, LE TEMPS DE PASSER L'INFO, CECI EN RÉPONSE A LA COUPURE DE L'INTERNET MOBILE ET A LA CONFISCATION DES MÉDIAS ÉTAT PAR UNE SEULE PERSONNE. UN NUMÉRO DE TÉLÉPHONE SERA COMMUNIQUE QUE VOUS ALLEZ POUVOIR JOINDRE POUR PASSER VOS MESSAGES. LES INSULTES ET LES MESSAGES A CARACTÈRE TRIBAL SERONT BANNIS AINSI QUE L'INCITATION A LA HAINE. "

Il faudra sanctionner les compagnies de télécommunication qui font le jeu de la dictature.Vous payez des services ; ils vous sont dus. Il semble qu'il y ait eu une réduction significative du débit internet. Si la coupure n'est pas encore totale, elle le deviendra certainement le 19 ou le 20 mars 2016. C'est un cas d'ingérence flagrante dans les affaires de notre pays qui ne concernent en rien les sociétés privées de télécomunication. Quand on vient s'enrichir sur le dos d'un peuple, on a au moins le devoir de le respecter !

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

 
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17 mars 2016 4 17 /03 /mars /2016 13:21
Joseph Kignoumbi Kia Mboungou, l'éternel second à l'élection présidentielle depuis le retour de Denis Sassou Nguesso aux affaires louches de la république.

Joseph Kignoumbi Kia Mboungou, l'éternel second à l'élection présidentielle depuis le retour de Denis Sassou Nguesso aux affaires louches de la république.

Nous venons de suivre Joseph Kignoumbi Kia Mboungou, candidat indépendant à l'élection présidentielle du 20 mars 2016 au Congo, sur Africa24. Cela nous a permis d'avoir un petit aperçu de son projet de société qui propose de GOUVERNER AUTREMENT le Congo s'il était élu à la présidence de la république.

Gouverner autrement pour lui signifie par exemple : plus de nord et de sud. Joseph Kignoumbi Kia Mboungou se propose de devenir le président de tous les Congolais. Pour cela, il va s'appuyer sur la méritocratie. La formation des jeunes qui vont nous remplacer demain est une de ses priorités  Quand les journalistes lui disent : " Les jeunes veulent du travail. Que faire ? " Il répond : " La fonction publique est en panne. Le privé étranger et national doit venir à la rescousse. il faut encourager, former et facilter pour que se créent des emplois ".  

Joseph Kignoumbi Kia Mboungou pense qu'il faut résoudre les problèmes d'électricité et d'eau pour faciliter l'industrialisation. La construction du barrage de Sounda est une nécessité nationale. Des efforts ont été faits mais insuffisants en matière d'énergie. Joseph Kignoumbi Kia Mboungou prend l'exemple du département de la Lékoumou dont il est issu, lui, le député de Sibiti. Le courant à Sibiti ne fonctionne que de 18 h à 22 heures - ce qui est insuffisant pour développer les PME dans le département de la Lékoumou, pour ne parler que de celui-ci. 

Gouverner autrement. Qu'entend-il par cela ? Il affirme que les moyens de l'Etat doivent  être bien orientés. Pour ce qui est des métiers agropastoraux, il pense que si le problème est bien présenté, notamment concernant les projets viables, les jeunes pourront accepter de s'orienter vers de nouveaux métiers hors bureaucratie. il faut réorienter la formation technique et professionnelle à cet effet.

Comment sortir de la dépendance au pétrole ? Il répond : les moyens de l'Etat doivent servir à la diversification de l'économie. Le président de l'association LA CHAINE propose la création d'une banque de financement de projets.

Monsieur Kignoumbi Kia Mboungou estime que les fermes de l'Etat ont montré leurs limites  et  qu'il faut intéresser les individus à l'agriculture car un individu qui sait qu'il a pris des risques en investissant sera plus rigoureux dans l'atteinte de ses objectifs.

A propos de la corruption, il répond : " y a-t-il une volonté politique pour lutter contre la corruption ? "  Il affirme qu'il faudra qu'une loi soit prise qui oblige tout homme appelé à de hautes fonctions publiques, à déclarer ses biens et ses revenus. Il a proposé le vote d'une telle loi mais cela lui a été refusé. Néanmoins, il insiste sur le fait que nommés à une fonction, les hommes politiques doivent déclarer leurs biens. L'impunité ne prévaudra plus. La loi ne sera pas rétroactive pour l'apaisement et à ce propos, nous ne sommes pas d'accord avec lui...

Quant à son positionnment politique, monsieur Joseph Kignoumbi Kia Mbougnou répond : " Je suis de l'opposition : en 2002, je commence le combat de l'opposition en me présentant à l'élection présidentielle ; je suis battu. En 2009, je suis encore battu car les conditions d'une élection transparente n'étaient pas réunies. J'ai voulu servir de médiateur entre le pouvoir et l'opposition lors de la crise référendaire..."

Le député Joseph Kignoumbi Kia Mboungou estime qu'il faut prohiber la campagne monétisée au cours de laquelle les candidats à un scrutin proposent de l'argent au peuple par une loi. Avec lui président de la république, la priorité sera donnée au Congo pour une vraie cohésion nationale. Les jeunes seront au centre de ses préoccupations.

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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17 mars 2016 4 17 /03 /mars /2016 00:14

Lorsque mon ami Isidore Aya Tongo affirmait dans une vidéo que si Denis Sassou Nguesso s'en prenait au Général Jean Marie Michel Mokoko : " A chaque Makoua, son Mbochi ", on croyait qu'il ne s'agissait que du délire d'un intellectuel perdu dans la passion ethnique d'un soutien aveugle à un compatriote d'ethnie Makoua en proie à des tracasseries politiques. Cependant, quand la menace est formulée en public, de façon à ce que les représailles ne soient plus celles d'un intellectuel qui s'est égaré sur le chemin de la résistance politique mais  celles de toute l'ethnie Makoua rassemblée publiquement au cours d'un meeting, nous redoutons comme en 1997, que les hostilités politiques descendent du nord vers le sud.

Le Général Jean Marie Michel Mokoko avait lui-même fait remarquer qu'au nord du Congo, les habitants étaient des guerriers et que si on les cherchait, ils n'hésitaient pas une seconde à relever le défi de la violence physique. Si l'ethnie Mbochi défend mordicus Denis Sassou Nguesso - à tort et à travers, voici clairement exprimé le soutien des Makouas à leur fils qui ne cherche qu'à conduire son pays vers la réhabilitation de la politique - de sorte qu'elle redevienne la recherche des solutions propices à toute la cité.

Il y a un risque de conflit sévère dans notre pays après le 20 mars 2016. Nous ne le souhaitons pas mais l'option de la réponse à la violence par la violence n'est plus une simple vue de l'esprit de mon ami Isidore Aya Tonga mais bien le point de vue de toute une ethnie qui campe désormais derrière le fils du terroir.

Il semble inévitable que la proclamation des résultats du scrutin du 20 mars 2016 sera source de conflit. J'ai appris aujourd'hui d'un proche du pouvoir, un colonel, que la fraude est bien préparée : certaines personnes pourront voter cinq fois. On procède déjà à l'achat des consciences avant l'élection effective avec la complicité des chefs de quartier qui sont tous membres du Parti Congolais des Tricheurs.

Avec deux proclamations de résultat du même scrutin, il est à peu près certain que nous aurons deux annonnces différentes. Et pourquoi pas la proclamation de deux vainqueurs et comme il n'y a qu'un fauteuil pour un et non un fauteuil pour deux, il est à peu près prévisible que le Congo entrera dans un conflit politique qui pourrait se solder par les armes ou au couteau si chaque Makoua - comme l'a menacé mon ami Isidore Aya Tonga - s'en prenait à "son" Mbochi. Il est à peu près certain que les Makouas déterreront la hache de guerre contre les Mbochis si on versait une goutte du sang précieux du Général Jean Marie Michel "MOISE" Mokoko...

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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15 mars 2016 2 15 /03 /mars /2016 22:22

Nous ne vous rappellerons jamais assez pourquoi Denis Sassou Nguesso a choisi le mois funeste de mars - dieu de la guerre - comme mois du scrutin présidentiel anticipé de cette année 2016. Le gangster d'Etat numéro un aurait pu choisir le mois d'avril, par exemple, ou celui de mai avec une durée de campagne plus conséquente. Remarquez que Denis Sassou Nguesso bat campagne en utilisant les moyens de l'Etat ; ce qui est illégal et invalidant si nous étions dans une véritable démocratie. Un ami m'a fait remarquer tous les événements dramatiques qui ont eu lieu en mars :

- 10 mars : nomination de monsieur Denis Sassou Nguesso au poste de ministre de      la Défense ;

- 18 mars 1977 : assassinat du président Marien Ngouabi par un commando qui est        resté inconnu, un assassinat dont le commanditaire n'a jamais été trouvé ;

- 22 mars 1977 : assassinat du cardinal Emile Biayenda ;

- 25 mars 1977 : assassinant du président Alphonse Massamba-Débat ;

- 10 mars : naissance d'Edith Sassou Nguesso :

- 10 mars 2002 : élection présidentielle après les guerres et les génocides de 97, 98,      99, 2000 et 2002 ;

- 14 mars : mort d'Edith Sassou Nguesso ; 

- 4 mars 2012 : petit Hiroshima au travers des explosions des quartiers nord de             Brazzaville ;

- 18 mars 2016 : fin de la campagne - comme un clin d'oeil à l'assassinat du président    Marien Ngouabi ;

- enfin 20 mars 2016 : élection présidentielle dans des conditions douteuses puisque la CNEI n'est pas du tout indépendante et que les listes électorales ne sont pas du tout fiables, obligeant les autres candidats à mettre sur pied leur propre Commission Technique Electorale.

Mars est donc un mois spirituellement chargé - enfin, surtout négativement par la violence et la mort. Ce n'est donc pas le hasard qui a dicté son choix. Bref, ceci n'est qu'une parenthèse. Le message que Denis Sassou Nguesso envoie est simple à comprendre : " Je suis préparé à répandre la violence pour imposer ma volonté..."

Ne nous focalisons pas sur les petits accrocs de campagne de Denis Sassou Nguesso. C'est vrai qu'il a eu une réception de chien à Mossendjo, qu'il a marqué une pause pour honorer la mémoire de sa fille chérie Edith Lucie Bongo née Sassou Nguesso - prouvant que les morts du 4 mars 2012 n'ont pas la moindre importance à ses yeux - ou que la pluie a interrompu sa campagne à Dolisie. Nous savons tous que Denis Sassou Nguesso va tricher et les possibilités de fraude ne sont pas infinis. Déjà, il faut noter que de nombreux Congolais n'ont pas été inscrits sur les listes électorales - notamment ceux susceptibles de ne pas voter pour le monstre de l'Alima. Qu'à cela ne tienne, rien ne garantit que les inscrits vont voter pour Denis Sassou Nguesso. Aussi, convient-il de se demander : comment le Parti Congolais des tricheurs compte-t-il organiser la fraude pour proclamer son champion vainqueur ?

1) Il y a évidemment les faux électeurs que l'on a fait venir de chez nos voisins d'en-face nuitamment par pirogues, bateaux et hélicoptères, des clandestins qui seront munis de cartes électorales et de cartes d'identité congolaises. Ceux-là auront l'insigne mission de voter pour Denis Sassou Nguesso contre de l'argent ou le droit d'un séjour dans notre pays. De nombreux étrangers ont aussi reçu la nationalité congolaise à cet effet : Ouest-Africains, Libanais, etc. La vigilance doit donc être de mise. l'IDC-FRODAC doit veiller à avoir des représentants de chaque candidats dans les 5000 bureaux de vote ;

2) Rien ne garantissant que cela soit suffisant, on prévoit de faire entrer des personnes dans les salles de vote avec des bulletins déjà cochés sur le candidat N°1 Denis Sassou Nguesso - pour s'assurer qu'ils aient bien voté pour le monstre d'Edou. La rémunération avec des faux billets se fera une fois le forfait commis ;

3) Le PCT pourrait ouvrir des bureaux de vote clandestins dans les quartiers et les zones favorables au régime ;

4) Le vote des militaires qui interviendra avant celui des civils sera aussi une occasion de fraude : on pourra multiplier les votes falsifiés en faveur de Denis Sassou Nguesso.

Si cela ne suffit pas à faire élire Denis Sassou Nguesso, il restera le pouvoir de proclamation du ministère de l'intérieur en connivence avec la pseudo CNEI (Commission Nationale electorale Indépendante). Le tueur infatigable sera déclaré vainqueur avec un peu plus de 53% des voix.

La présence à Brazzaville de son Excellence Michel Kafando dont nous connaissons la droiture pour l'avoir vu à l'oeuvre au Burkina-Faso et pour avoir rencontré l'homme à Paris - n'y fera rien. Au moins, il exige que les votes des Congolais soient pris en compte. Le régime aux ordres de Sassou veut une fois de plus voler les suffrages des Congolais pour poursuivre l'oeuvre de démolition nationale au travers du vol, de l'incompétence et de la multiplication des antivaleurs.

Que faire ? Etre vigilant pour que personne ne rentre avec des bulletins préremplis dans les salles de vote. Une fouille à l'entrée pourrait s'avérer nécessaire. Il faudra éviter la présence intimidante de soldats en arme dans les salles car rien ne le justifie. Les bulletins doivent uniques doivent etre signés par les représentants de tous les candidats pour éviter qu'ils ne viennent de l'extérieur. Nous souhaitons que le dépouillement se fasse rapidement, soit filmé et soit proclamé sans atermoiements.

A l'allure où vont les choses, si on n'y prend garde, le Congo se dirige droit vers une crise à l'ivoirienne avec deux proclamations de résultats et deux présidents - avec des risques probables d'instabilité et de violence. La solution la plus sage serait une remise à plat, une fermeture de la dictature sassouiste au travers d'une transition réparatrice qui préparerait une véritable élection présidentielle. Il faudra bien qu'on le veuille ou non réviser la pseudo constitution de monsieur Denis Sassou Nguesso qui prolonge la dictature en rendant l'impunité d'un criminel légitime. De toute façon, Denis Sassou Nguesso ne cèdera jamais son fauteuil de premier gangster d'Etat - sans qu'on le force un peu...

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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14 mars 2016 1 14 /03 /mars /2016 20:51
ECHOS DE CAMPAGNE/MOSSENDJO : QUAND DES CHIENS ACCUEILLENT SASSOU A L'AEROPORT !

COMMENTAIRE : Voilà un écho de campagne qui mérite largement d'être partagé car il vient de la terre des Makanda, la terre des lions qui, fatigués des mensonges de l'éléphant qui trompe énormément, ont préféré lui réserver l'accueil qu'il mérite. Le ndzokou de l'Alima n'a pas été reçu par les hommes mais par la gent canine ! Des Chiens étaient les seuls qui lui ont rendu un digne accueil à l'aéroport de Mossendjo. Oui, Denis Sassou Nguesso a reçu un accueil de chien au sens propre plutôt blague de mauvais goût ! 

Mossendjo n'a rien reçu de Sassou - même pas une route bitumée reliant la ville natale de ma mère à Dolisie. Ils ont fait preuve de génie, mes cadets, en réservant à Denis Sassou Ndzokou un accueil digne du mastodonte qu'il est : on lui a offert une chasse à l'éléphant par des chiens portant des T-Shirts à son effigie - question de le reconnaître dans le cortège qui l'accompagne ! Allez, Milou, simba ndzokou !

L'éléphant de l'Alima n'aurait vécu la scène que onze petites minutes mais il s'en souviendra certainement toute sa vie. Déjà que pendant le coup d'Etat référendaire, les habitants de Mossendjo, la Rebelle, n'ont pas daigné aller voter avec zéro votant, voilà qu'ils organisent une battue à l'éléphant qui a préféré prendre le large. Ils ont du chien, les fils de la ville natale de ma mère. Oui, ils sont peut-être pauvres en tout mais ils sont riches en imagination !  Et surtout, fiers comme des lions ! Ce sont des lions qui ont du chien ! Du chien, à faire fuir un éléphant ! Et je parle au sens propre et non sale du mot "chien"...

A la prochaine escale, réservez-lui un accueil avec des moutons habillés à son effigie qui pourront lui dire au revoir en bêlant : "  Mêêêêh ". Franchement, c'est fort comme accueil ! Même les meilleurs scénaristes d'Hollywood n'auraient jamais trouvé un truc pareil ! J'en piaffe encore ! Ouarf ! Ouarf ! Wououh ! Wouaf !

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MUKUTU BALA, MBUTA MUNTU

 

                                                               *

Poursuivant sa campagne malgré l’absence d’engouement des populations visitées, Sassou s’est rendu à Mossendjo hier, dans le département du Niari. Il y a trouvé un comité d’accueil pour le moins atypique. On aurait dit des extraterrestres. Il a été accueilli par une horde de chiens habillés à son effigie. Si, si, vous avez très bien lu. Des chiens, yimbua, ouarf ! ouarf !

 
Nous connaissions les habitants du Niari pour avoir toutes les qualités de la planète mais nous ignorions leur sens de l’humour plutôt caustique. Ces braves citoyens ont eu l’ingénieuse idée de regrouper les chiens errants de la ville , d’autres ont ramené leurs propres animaux de compagnie. Il les ont habillés avec des T-shirts à l’effigie de Sassou et les ont exhibés à l’arrivée du dictateur infatigable.

 
Outré par cette impertinence, comme un chien battu (même si pour le coup c’est lui qui a été battu par nos amis à 4 pattes), le cobra royal, las et conscient que la population de Mossendjo ne pouvait plus écouter ses mensonges, a entrepris de se replier avec sa suite et ses 6 hélicoptères affrêtés aux frais de l’Etat. Sa présence sur le territoire de Mossendjo n’aura en tout duré que 11 minutes…

 
Tout cela s’est produit malgré la présence du Président de l’Assemblée Nationale Justin Koumba, du ministre Pierre Mabiala ainsi que de l’homme d’affaire Pierre Ndouna, tous, fils de la contrée qui se sont déplacés avec un cortège de 400 figurants. Les fameux militants portatifs auxquels le PCT nous a habitué…

 
Depuis le commencement de cette campagne présidentielle, où qu’il aille, Sassou est confronté à la dure réalité d’une fin de règne : le désaveu et le mépris de la population. Les carottes sont définitivement cuites pour Sassou. #Sassoufit !

 
                                                            Edo Ganga

SOURCE : http://brazzanews.fr/?p=16090

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13 mars 2016 7 13 /03 /mars /2016 21:18

Voici un extrait du discours du Général Jean Marie Michel Mokoko prononcé à Dolisie. Le discours est osé. Il ne va pas se faire des amis du côté du tyran infatigable. C'est une leçon de commandement, une véritable définition du chef que le  Général Jean Marie Michel Mokoko donne à Denis Sassou Nguesso. L'extrait commence par ce que ne doit pas être le chef : " Un dirigeant n'a pas le droit d'être reconnu par les populations comme un voleur". L'homme dit ensuite que jamais on a entendu qu'il a volé partout où il est passé. Avec une pincée d'humour, il enfonce doucement le clou : "Un chef doit être une référence pour l'ensemble des gens qu'il dirige. Un chef doit être un miroir qui renvoie un reflet qui est admiré, qui est estimé par l'ensemble de la population. un chef doit pour être respecté, doit être un modèle sur lequel les autres prennent exemple..."  C'est vrai que du côté de Sassou, on prend aussi exemple sur le voleur infatigable qui a érigé les antivaleurs comme principes de mal gouvernance. Là où l'homme d'Etat doit éclater dans toute sa splendeur, ce sont les ténèbres qui ont pris le pouvoir. Aussi, tous les gredins et tous les voleurs de toute la planète se sont donnés rendez-vous dans notre pays pour se repaître de la dépouille CONGO.

Que le Général Jean Marie Michel Mokoko sache qu'il n'est pas seul : une armée de vertueux viendra pour l'accompagner dans la rude tâche qui l'attend s'il va jusqu'au bout de sa mission...

Le Général EXEMPLAIRE donne une leçon au lieutenant "VROUM", je vous pique tout le pognon du Trésor. Le vol, le meurtre, le tribalisme, l'injustice, l'arbitraire ont longtemps pris le pouvoir dans notre pays. Il est temps que la vertu prenne en mains le destin de notre peuple.

Cet homme, ce Général, ce Mokoko parle sous onction. Il affirme ce que nous avons toujours espéré voir se manifester dans un homme d'Etat. Je vais vous le dire simplement mais une fois pour toutes : LE GENERAL JEAN MARIE MICHEL MOKOKO A DEJA PRIS LE POUVOIR. Pourquoi ? Parce que le pouvoir est comme un sacerdoce. Celui qui se vêt de l'habit d'autorité dans la vertu finit par imposer à tous qu'il est le chef, le meneur d'hommes. Mokoko est dans sa Majesté non pas un simple homme mais une incarnation des voeux du peuple. LA VOLONTE DU PEUPLE A PRIS CORPS DANS CET HOMME. Mokoko le Magnifique a déjà pris le pouvoir. Il se dresse dans la stature parfaite du commandeur, du chef. MEME L'ARMEE FINIRA PAR LUI RENDRE LES HONNEURS. A ce moment-là, tout sera terminé. Cet homme est sans peur et sans reproches. C'est un soldat, un VRAI GENERAL qui se dresse avec sérénité face à un LIEUTENANT qui a sapé les bases de notre pays jusqu'au point névralgique de la décadence.

Retenez ce que je vous dis : Quoi que Sassou fasse, il a perdu le pouvoir. Ceux qui me lisent savent que j'ai écrit qu'il fallait que cet homme se lève au sein de l'armée - même un simple soldat. C'est un Général BRAVOURE qui a entendu le cri de détresse de son peuple.

Les crocodiles du PCT résisteront mais au final, ils seront vaincus. Il y a un temps pour le vice et un autre pour la vertu. Il était prévisible que le temps des lions finirait par arriver. LE LION MOKOKO EST DANS LA PLACE AU MILIEU DES CROCODILES ET DES ELEPHANTS. Enfin, un adversaire politique à la hauteur du mastodonte de l'Alima...

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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12 mars 2016 6 12 /03 /mars /2016 18:15

Le méga-meeting du candidat Jean Marie Michel Mokoko de Pointe-Noire vient de s'achever. Des photos et peut-être une vidéo m'ont été promises par mail. Mon ami qui s'y trouvait a estimé que ce meeting était un moment inoubliable et historique. Il n'a pas trouvé les mots pour me décrire l'événement. Il a dit : "Les mots me manquent. Comment dire ? C'était diabolique !" Il n'a retenu qu'un chose : le Général a demandé au peuple d'aller voter très tôt le matin du 20 mars 2016 car les résultats seraient proclamés dès dix-sept (17) heures. Le régime des crocodiles de l'Alima est averti.

Le Général Jean Marie Michel Mokoko a été escorté par une immense foule depuis Mvou-Mvou jusqu'au rond-point Lumumba, lieu du meeting. Il a donc pris un bain de foule car il n'a rien à craindre - contrairement au GRAND NDZOKOU qui se déplace avec des mercenaires puissamment armés. Au règne de la terreur instauré par le monstre de l'Alima pourrait se substituer le règne de la confiance réciproque entre le peuple et le chef de l'Etat dans notre pays...

L'IDC-FROCAD a mis en place sa propre Commission Technique des Elections pour faire sa propre comptabilité à la sortie des urnes, la CNEI de monsieur Bouka ne leur paraissant pas indépendante du tout de la dictature de Brazzaville. Cette Commission électorale a été intronisée par le professeur Zacharie Bowao il y a quelques jours. Michel Ngakala peut toujours crier à l'illégalité de la CTE mise en place par l'IDC-FROCAD. Cependant, la CNEI du Parti Congolais des Tricheurs n'étant pas indépendante, cette institution ne vaut rien. Ce qui compte dans cette affaire, c'est de proclamer les résultats. LES VRAIS RESULTATS.

A l'image de ce que disent nos musiciens locaux peu scrupuleux qui parlent de "coller la petite", Le Général Jean Marie Michel Mokoko vient de lancer l'opération "COLLER LES RESULTATS". Ca promet !

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

Quelques images du méga-meeting de Pointe-Noire de ce jour organisé par le Général Jean Marie Michel Mokoko
Quelques images du méga-meeting de Pointe-Noire de ce jour organisé par le Général Jean Marie Michel Mokoko
Quelques images du méga-meeting de Pointe-Noire de ce jour organisé par le Général Jean Marie Michel Mokoko

Quelques images du méga-meeting de Pointe-Noire de ce jour organisé par le Général Jean Marie Michel Mokoko

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12 mars 2016 6 12 /03 /mars /2016 16:27

COMMENTAIRE : Afin de permettre à notre peuple de se prononcer en connaissance de cause, pour ne pas dire de projet, nous nous efforçons de mettre en ligne les projets de société de tous les candidats en lice pour le scrutin présidentiel du 20 mars 2016 au Congo-Brazzaville. 

Le candidat de l'UPADS, Pascal Tsaty Mabiala, est en campagne pour présenter son projet de société pour l'émergence d'un " CONGO NOUVEAU ET MODERNE DANS UNE AFRIQUE NOUVELLE ET INTEGREE ", un progamme détaillé de soixante-sept pages que vous pourrez télécharger à la fin de cet article, la longueur dudit projet ne nous ayant pas permis de le publier directement.

Nous mettons en ligne les photos de campagne du candidat de l'UPADS, Pascal Tsaty Mabiala, dans la Cuvette-ouest et dans la Sangha. 

Il nous reste encore quelques projets de société à mettre en ligne avant de les passer au crible de la critique constructive.

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

                                                               *

CAMPAGNE ELECTORALE POUR LA PRESIDENTIELLE DE 2016 AU CONGO-BRAZZAVILLE PASCAL TSATY-MABIALA DANS LA CUVETTE OUEST ET LA SANGHA


Parti de Brazzaville le mardi 8 mars 2016 à 14 heures, le cortège de Monsieur Pascal TSATYMABIALA, candidat de l’UPADS à la Présidentielle du 20 mars prochain, a mis le cap sur Ewo, chef-lieu de la Cuvette Ouest, où le dauphin du Pr Pascal LISSOUBA a organisé un méga-meeting à la Place rouge de la localité le mercredi 9 mars, avant de poursuivre son périple sur Ouesso et Sembé, dans la Sangha.
Il est midi le 9 mars, à la Place rouge d’Ewo, sous un soleil de plomb, quand une foule nombreuse venue des six quartiers de la ville est venue écouter religieusement le message d’espoir de leur candidat favori. Son adresse à la population, axée sur son programme politique, s’articule autour de cinq priorités : l’école, la santé, l’emploi, la décentralisation et la diversification de l’économie.
Dans son développement point par point, le candidat de l’UPADS a insisté sur l’éducation de qualité à offrir à la jeunesse congolaise en vue de préparer une élite capable de contribuer efficacement à l’émergence du Congo car, a-t-il martelé, les oeuvres de l’esprit constituent les plus grandes richesses d’une Nation.
S’agissant de la santé, Pascal TSATY-MABIALA entend renforcer les capacités des hôpitaux de référence dans les chefs-lieux de départements et d’installer des structures sanitaires performantes dans les chefs-lieux des districts. Dans cette perspective, la formation des personnels de santé s’impose avec acuité.
Par ailleurs, le Congo est un pays africain gangrené par un taux de chômage excessif de 40% de sa population active. Le candidat entend y remédier en créant des emplois par l’implantation des écoles de métiers qui offriront à la jeunesse une formation qualifiante susceptible de déboucher sur la création des PMI et des PME. Cette initiative sera renforcée par la diversification de l’économie.
Le Congo doit en effet cesser de ne compter que sur une économie de rente basée sur les recettes pétrolières et l’exportation du bois brut.
Quant à la décentralisation, Pascal TSATY-MABIALA se propose de surmonter la mainmise de l’Etat jacobin soutenue par la municipalisation accélérée, programme initiée depuis 2002 par le Président sortant, Denis SASSOU NGUESSO. Un programme de « modernisation du pays » qui, du reste, n’offre pas les perspectives d’un développement durable et intégré. Le candidat de l’UPADS se propose ainsi de redonner aux collectivités locales des pouvoirs plus étendues, afin de détourner la pression des cadres vis-à-vis du pouvoir central.
Les principaux axes de ce discours qui n’exclut pas les questions liées à la réforme de l’armée et au renforcement du climat de paix et de sécurité dans le pays, ont été développés également dans la Sangha, plus précisément à Sembé, dans la matinée, et à Ouesso, dans l’après-midi du jeudi 10 mars 2016.
Conscient d’avoir convaincu par ses propos rassurants les larges masses qui l’ont ovationné, le candidat de l’UPADS dont le programme politique est intitulé « Un Congo nouveau et moderne dans une Afrique nouvelle et intégrée » a repris son bâton de pèlerin pour Brazzaville où il devrait poursuivre sa campagne dans les différents arrondissements, le vendredi 11 mars, avant de se rendre à Pointe-Noire et dans les autres départements du Sud très prochainement.

L'EQUIPE DE CAMPAGNE

Photos de la campagne électorale de Pascal Tsaty Mabiala dans la Cuvette-Ouest et la Sangha
Photos de la campagne électorale de Pascal Tsaty Mabiala dans la Cuvette-Ouest et la Sangha
Photos de la campagne électorale de Pascal Tsaty Mabiala dans la Cuvette-Ouest et la Sangha
Photos de la campagne électorale de Pascal Tsaty Mabiala dans la Cuvette-Ouest et la Sangha
Photos de la campagne électorale de Pascal Tsaty Mabiala dans la Cuvette-Ouest et la Sangha
Photos de la campagne électorale de Pascal Tsaty Mabiala dans la Cuvette-Ouest et la Sangha
Photos de la campagne électorale de Pascal Tsaty Mabiala dans la Cuvette-Ouest et la Sangha

Photos de la campagne électorale de Pascal Tsaty Mabiala dans la Cuvette-Ouest et la Sangha

Le programme détaillé du candidat de l'UPADS intitulé l'EMERGENCE DU NOUVEAU CONGO, Pascal Tsaty Mabiala en pdf

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12 mars 2016 6 12 /03 /mars /2016 11:19
MEETING DU GENERAL MOKOKO A POINTE-NOIRE : UNE EFFERVESCENCE POPULAIRE EN VUE

Je viens de recevoir un coup de fil du Congo m'informant que le meeting du Général Jean Marie Mokoko qui a lieu aujourd'hui à Pointe-Noire provoque une affluence extraordinaire. Les habitants de Pointe-Noire et du Kouilou ont répondu en masse à l'appel du Général du peuple au rond point Lumumba. Deux amis vont me donner plus de détails ce soir.

Nous apprenons à l'instant que le Général Jean Marie Michel Mokoko vient de quitter Dolisie pour Pointe-Noire. Pour éviter que les Zulu Bad du régime ne le bloquent, des jeunes se dirigent vers le péage de Mont Ngo Kamba. Nous sommes au courant de l'incident de Sibiti. Cela ne grandira pas Denis Sassou Nguesso de s'acharner sur ses challengers.

Nous espérons que ce méga-meeting se passera bien et que le régime des crocodiles du PCT fera preuve de fair play. Quand Sassou se déplace aux frais de l'Etat juste en faisant "vroum", personne ne vient perturber ses meetings avec public payé. Alors, à quoi bon envoyer des commandos de mercenaires après le Général ou interdire à Anguios Engambé, candidat comme Sassou - de tenir son meeting dans le nord du pays ? Il faut que Sassou laisse les autres candidats battre campagne sans les perturber. C'est d'une petitesse qu'il en devient ridicule. Ce n'est pas en interdisant aux autres candidats de se déplacer pour battre campagne que les populations vont voter pour Denis Sassou Nguesso. Les docteurs en agitation politique du PCT font de mauvais calculs...

Mes amis sont arrivés au lieu du meeting : le rond-point Lumumba est bondé de monde. Ils se demandent comment le Général Jean Marie Michel Mokoko fera pour se frayer un passage...

Voici deux petites vidéos : une lors de son passage à Dolisie et l'autre prise à Pointe-Noire en attendant d'autres images du méga meeting.

Nous aurons de plus amples informations un peu plus tard.

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

Ambiance de campagne de J3M à Dolisie

En attendant l'arrivée du Général Jean Marie Michel Mokoko à Pointe-Noire, un aperçu de l'ambiance.

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10 mars 2016 4 10 /03 /mars /2016 12:42

C'est vrai que j'appréhende que le pouvoir soit entre les mains d'un soldat, d'un homme d'arme, vu ce que le mastodonte de l'Alima a causé comme dégât tout le long  de l'histoire politique de notre pays. Cependant, ayant entendu le Général Jean Marie Michel Mokoko, sans discréditer les autres candidats et ce qu'ils auront à nous proposer, quelque chose a été touché au plus profond de moi. IL FAUT PEUT-ETRE UN SOLDAT POUR CORRIGER LES ERREURS D'UN AUTRE SOLDAT. Qui sait ? Il y a quelque chose de grand dans cet homme, il y a comme une sorte de bénédiction dans ce fils du Congo - ce qui ne veut pas dire que les autres n'ont pas aussi l'onction mais, je vous l'avoue, chers compatriotes, en écoutant cet homme calmement, posément décliner son programme, j'ai eu une petite larme aux yeux. C'est vrai que j'ai toujours su qu'il y avait un homme de très grande lumière près de Sassou qui attendait son heure. Son silence pendant toutes ces années lui a certainement permis de survivre pour attendre la bonne heure où il pourrait inviter son peuple aux noces du destin.

En écoutant le Général Jean Marie  Michel Mokoko, j'ai eu le pressentiment d'avoir en face de moi un homme inspiré par une onction de sagesse, un être qui avait tout pour incarner la stature parfaite d'un homme d'Etat. Considérer son mandat comme une "TRANSITION", vu l'immensité du nettoyage structurel à entreprendre est la meilleure attitude. Aussi, vu la parfaite harmonie de vue de cet homme avec ma vision de la politique de notre pays, comment ne pas formuler le voeu que le peuple lui donne sa chance ?

Le destin politique d'un pays n'est jamais écrit d'avance. TOUT HOMME POLITIQUE QUI ARRIVE AU SOMMET DE L'ETAT FAIT COURIR UN RISQUE A SON PAYS. Néanmoins, il serait souhaitable de prendre le risque de confier le destin du pays à cet homme afin qu'il prépare le chemin des autres après lui. On pourrait simplement, si le peuple en avait le pouvoir, confier tout bonnement au Général Jean Marie Michel Mokoko de conduire une transition de cinq ans.

Je ne présume pas de la qualité des autres candidats mais cet homme, ce Général, ce Mokoko, pourrait être l'homme providentiel du Congo, comme un MANDELA à la congolaise. Une sorte d'homme du moment qui pourrait ouvrir une nouvelle ère politique dans notre pays. Quand il évoque l'idée des Etats Généraux de la Nation pour que le peuple lui-même participe à l'élaboration de la feuille de route, oui, je sens en moi, qu'il est peut-être celui dont la destinée est de corriger les erreurs d'un autre Lieutenant qui s'est bombardé Général. Cependant, je suis un homme équilibré. J'attends de voir ce que les autres proposeront. Je ne me trompe pas souvent. Je peux dire que le Destin du Congo aurait beaucoup à gagner si celui qu'on appelle "le Général du Peuple" tenait parole. Il y a en lui une force intérieure, une assurance, une droiture qui présagent qu'il a toutes les vertus, tous les attributs pour RASSEMBLER, RASSURER afin d'APAISER notre peuple.

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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