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6 juillet 2016 3 06 /07 /juillet /2016 18:56
IL FAUT SAUVER LE SOLDAT MOKOKO AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD

En regardant ce selfie de maître Ibouanga, j'ai éprouvé de la peine. L'image du Général Jean Marie Michel Mokoko amaigri parce que certainement mal nourri ou peut-être déjà empoisonné m'a donné les larmes aux yeux. Son regard trahit le manque de sommeil ou du moins un sommeil de mauvaise qualité. C'est un homme visiblement fatigué, éprouvé dans sa chair par les conditions carcérales les pires au monde et peut-être par la maladie. Sassou a emprisonné l'espoir d'un peuple. Oui, au Congo, de façon générale, l'espoir est en taule. Seul le crime est en liberté.

Le Général Mokoko est un soldat. Un homme paré à supporter tous types de tortures, un esprit capable d'endurer n'importe quel environnement. On aurait pu croire que son rang ferait qu'il soit logé à une meilleure enseigne mais c'est sans compter sur l'esprit revanchard de Denis Sassou Nguesso qui veut briser l'homme qui a eu le toupet de le battre à une élection présidentielle en le critiquant au passage. Le Général Jean Marie Michel Mokoko frise les soixante-dix ans. Il n'est plus dans la force de l'âge. Tout pour lui se joue certainement au mental. Hélas, plus il  passera du temps dans ce nid à germes pathogènes qu'est la prison, plus son espérance de vie se réduira. Les prisons au Congo sont des mouroirs à petit feu. On y entre humain ; on en sort zombie.

A croire le symbole du Christ, tout semble dire que personne ne peut sauver un Messie sur cette terre face aux pesanteurs méphitiques du MAL. Le Général Mokoko a été abandonné par les signataires de la Charte de la Victoire laquelle prévoyait qu'à l'arrestation d'un des signataires de ladite charte, tous les autres se constituaient prisonniers. De même que le Messie fut abandonné par ses disciples, de même le Général Jean Marie Michel Mokoko est abandonné par la plateforme FROCAD-IDC impuissante.

Loin de moi l'esprit de fanatisme, moi qui n'ai qu'un seul parti : le peuple. Un peuple au nom duquel on rend la justice en république. Une vraie république. Nous, au Congo, nous sommes en dictature. Quoi que l'on reproche à cet homme, à tort ou à raison, l'assassiner à petit feu est un crime contre l'humanité. Le Lion De Makanda est un fils de la nature, de la grande forêt équatoriale qui lui a communiqué le goût de la liberté. La liberté, le premier trésor de l'existence, de la vie, de l'homme. Même la démocratie est fille de la liberté car elle n'est que liberté de choisir et garantie des droits et des devoirs qui s'en suivent. Toute dictature est un viol de la liberté, de la vie par les forces de mort.

Si le Général Jean Marie Michel Mokoko ne s'était pas présenté au scrutin présidentiel du 20 mars 2016, sa vie serait bien différente aujourd'hui. Il a entendu l'appel du peuple, un peuple qui se tait aujourd'hui, impuissant face à une redoutable machine de mort. Quiconque manifeste de l'intérêt pour le pouvoir suprême au Congo se dresse en rival de Denis Sassou Nguesso, lui, le seul mastodonte, le seul attritré à être le roi du Congo.

 Que les soldats de la république regardent cet homme, un des leurs, un frère d'armes, dont le seul tort pour le moment est d'avoir été plébiscité par une grande partie des électeurs. Qu'ils le regardent droit dans les yeux et qu'ils se disent qu'il leur revient de sauver le soldat Mokoko, de le sortir des griffes de la mort. Non, ce n'est pas au peuple de le faire, son rôle est de choisir. Il l'a fait. Son choix a été floué. Par la force des armes. La solution n'est plus au niveau du peuple à moins qu'on veuille que les mercenaires étrangers face une boucherie de nos compatriotes comme ils le font au Pool. Il a dit que celui qui tue par l'épée meurt par l'épée - même si de nombreux criminels meurent de mort naturelle. Nous croyons que ce qui est né par les armes ne peut périr que par les armes.

Les faits nous le disent chaque jour que Denis Sassou Nguesso détruit notre pays. Qu'enfin la force soit au service du peuple et de la liberté. Nous avons la faiblesse de croire qu'au fond de nos soldats, même des miliciens de Sassou, il reste encore un peu de grandeur humaine, de courage et de sens de la justice.

Soldats du Congo, ceux qui vous ont mis au monde vous regardent. A vous de mériter le droit et l'honneur d'être considérés comme des soldats de la république, des soldats du peuple et non des bourreaux du peuple qui vous a donné la vie - parce que vous obéissez aveuglément à un monstre. Quel drame de voir un soldat tourner son arme contre son propre peuple. Nous, le peuple, vous demandons de délivrer le Congo, vous qui protégez le crime et le vice au pouvoir.

 

                    LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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6 juillet 2016 3 06 /07 /juillet /2016 12:48
DESOBEISSANCE MILITAIRE À PARTIR DU 8 JUILLET 2016

COMMENTAIRE : Ceci est un article tiré d'un commentaire certainement posté par un soldat ou un officier congolais que nous avons tenu à publier pour que son message soit accessible à tous. Si l'armée redevient une armée républicaine au service du peuple, l'éléphant perdra ses défenses. Nous savions qu'avec l'accumulation des excès, l'armée n'allait pas tarder à réagir - d'autant qu'elle est délaissée et désarmée au profit de milices et de mercenaires étrangers.

Quoi qu'il en soit, c'est un texte qui marque une évolution des mentalités au sein de notre armée confinée au rôle d'agence de sécurité au seul service d'un homme, d'un monstre, d'un bourreau de notre peuple : Denis Sassou Nguesso.

Au passage, nous saluons le fait que Pascal Tsaty Mabiala ait été viré de la tête du FROCAD. Il ne reste plus qu'aux militants de l'UPADS de terminer le travail : la base de l'UPADS qui a voté contre le tueur infatigable de l'Alima ne peut pas avoir à la direction de son parti un homme qui reconnaît un hold-up électoral, un homme qui méprise leurs votes. Il nous semble que la rupture entre Pascal le petit et le parti aux trois palmiers est inévitable. Nul besoinpour cela d'attendre un Congrès car il s'agit d'un acte de HAUTE TRAHISON DU PARTI ET DE LA NATION.

 

                                  TRES LARGE DIFFUSION.

 

      LION DE MAKANDA, MWAN MINDZUMB', MBUTA MUNTU  

 

 

DESOBEISSANCE MILITAIRE À PARTIR DU 8 JUILLET 2016

 

Déclaration militaire.

Officiers supérieurs et subalternes, sous-Officiers et Hommes de troupes, j’aimerais m’adresser à vous tous, en vous rappelant que nous sommes les forces armées congolaises et non privées.

 

Au regard de tous ce que traverse actuellement notre pays, l’injustice et le désordre qui gagnent les rangs de notre armée.

 

Aujourd’hui, le général Sassou nous prend pour des minables hommes en faisant appel aux troupes étrangères afin de tuer notre peuple. Un peuple sans défense et sans recours.

 

Hier encore, il a démis des officiers supérieurs comme le colonel Ntsourou, le Général Mokoko, le Général Andely et j’en passe.

 

Jusqu’à quand allons-nous assister à l’injustice d’un plan qui ne veut que la conservation du pouvoir sous son pied ?

 

Nous ne sommes pas dans une monarchie ou un royaume, nous avons fait le serment de défendre notre peuple et de sauvegarder l’intégrité de notre paix menacée par la présence de troupes mercenaires sur invitation du général Denis Sassou-Nguesso.

 

En marge de la désobéissance civile, chers frères d’armes, la constitution de notre pays nous oblige à résister face à des comportements néfastes. Nous en sommes capables et nous devons le prouver aux yeux du monde que nous sommes une armée nationale et non politique.

Les politiques et le peuple ont montré leur volonté démocratique et certains sont embastillés.

 

Chers frères d’armes, je vous invite tous à une désobéissance militaire sans fin jusqu’au départ des troupes mercenaires de notre territoire et la libération du Général Jean Marie Michel Mokoko.

 

Que tous ceux qui ont des armes lourdes ou légères, à partir du 8 juillet 2016, de 2h à 5h, que tous les militaires où qu’ils se trouvent, dans toutes les villes du Congo, ouvrent le feu pour demander le départ de ces troupes criminelles.

 

Il n’y a que les cadavres qui n’ont pas le courage d’agir. J’invite le peuple à rester chez lui pendant une semaine à partir de cette date car les forces armées congolaises mèneront une opération de désobéissance militaire tous les jours jusqu’à obtenir notre exigence.

 

Nous ne pouvons accepter que le groupement para commando soit totalement désarmé en faveur de civils dirigés par le député Mouagni Aimé Hydevert.

 

Vaillantes Forces Armées Congolaises, le peuple déterminé compte sur nous.

 

Vive la Désobéissance militaire !

 

Vive les FAC !

 

Vive la République du Congo !
 

 

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5 juillet 2016 2 05 /07 /juillet /2016 17:37
ASSISES NATIONALES DU CONGO : COMMUNIQUE DE PRESSE
ASSISES NATIONALES DU CONGO : COMMUNIQUE DE PRESSE
ASSISES NATIONALES DU CONGO : COMMUNIQUE DE PRESSE
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3 juillet 2016 7 03 /07 /juillet /2016 22:33
UPADS : LE PETIT PASCAL GLISSE D'OPPOSANT A TRAITRE ET DE TRAITRE A COLLABO

Il faut être clair et dire les choses comme elles sont : le petit Pascal qui veut faire oublier le GRAND PASCAL à l'UPADS - parce qu'il ne lui arrive pas à la cheville - est passé de pseudo-opposant à traître et de traître à collabo. Ses derniers propos montrent en effet qu'il s'est totalement désolidarisé de la ligne de l'IDC-FROCAD défendue par le professeur Charles Zacharie Bowao pour prêter le flanc au régime Denis Sassou Nguesso avec lequel il collabore pour ses propres intérêts et ceux de la Bête dont il est le serviteur obligé. Tsaty Mabiala en appelant au dialogue avec le régime dicatorial qui assassine les Congolais est devenu un collabo. Un collabo est un traître qui participe sciemment à la réalisation des objectifs de l'ennemi ou de l'oppresseur contre son propre peuple - dans son intérêt et celui de l'ennemi de sa mère-patrie. Oui, bien sûr, les Tsaty Mabiala du Congo sont nombreux ; je vous le concède.

En reconnaissant le coup d'Etat électoral de monsieur 8%, monsieur Pascal Tsaty Mabiala est passé de pseudo opposant à traître de la nation. Et sa tentative de justification ne rime à rien car on n'apaise pas un peuple floué de ses droits en reconnaissant le non respect de ses droits et de sa volonté. Voici ce qu'il déclare dans son dernier discours :

 « La direction nationale de notre parti en toute responsabilité (sic) et en toute conscience prenait acte des résultats annoncés par la Cour constitutionnelle et demandait à ses militants de s’abstenir de tout acte attentatoire à la paix ».

En prenant le soin de se cacher derrière la direction nationale de son parti, Pascal le petit prenait son courage à deux mains pour assumer qu'il reconnaissait et une cour constitutionnelle inconstitutionnelle et des faux résultats au scrutin présidentiel du 20 mars 2016. Ce n'est pas normal de la part d'un candidat à l'élection présidentielle qui sait que les résultats du scrutin du 20 mars 2016 ont été truqués, conduisant à un coup d'Etat électoral après le coup d'Etat constitutionnel. Non seulement Pascal le petit reconnaissait le coup d'Etat électoral de monsieur Denis Sassou Ngueso mais il appelait aussi sa base à le reconnaître en respectant le statu quo. En effet, lorsqu'on demande à ses militants de s'abstenir de tout acte attentoire à la paix, l'écureuil de Loudima les appelle à reconnaître sans broncher la violation du verdict des urnes.

Djibril a rompu et avec le FROCAD et avec l'IDC, une plateforme qui ne reconnaît pas la fausse victoire de Denis Sassou Nguesso. En toute conscience, parce que la sienne était achetée, Tsaty Mabiala alias Djibril, prêtait le flanc et acceptait de s'incliner face à monsieur Denis Sassou Nguesso qui a entubé la pute qu'il est contre des espèces sonnantes et trébuchantes. La direction de l'UPADS le suivait dans sa traîtrise et appelait les militants du plus grand parti du Congo à faire la même chose. Quelle honte !

Il est une chose de vouloir la paix et une autre de cautionner un hold-up électoral. Reconnaître une victoire volée revient à insulter le peuple et cela ne garantit en rien la paix. Sassou ne s'est pas gêné de bombarder le Pool en dépit de la reconnaissance de son coup d'Etat par Tsaty Mabiala et Parfait Kolélas. Les arrestations des opposants sont légion et les assassinats d'innocents continuent...

En déclarant ce qui suit, on peut aisément comprendre que Pascal le petit a lâché la plateforme FROCAD-IDC pour tendre son cul poilu au PCT pour se faire mettre dans le derrière. C'est la soumission volontaire de la pute obligée de vendre ses charmes pour survivre :

« S’agissant du Frocad, dont l’UPADS est membre, il est apparu la difficulté réelle d’asseoir une organisation structurée et solidement implantée en raison sans doute de cet esprit du provisoire qui a présidé à sa création et qui nous a poursuivi tout au long de notre existence. Il a cruellement manqué la solidarité tant espérée entre les candidats. Ensuite l’occupation géographique du terrain pendant la campagne électorale telle que préconisée par les candidats n’a pas obéï à l’objectif de cette stratégie. Il faut être honnête de reconnaître que le Frocad et l’IDC ont bon an mal an rempli leur mission même si le résultat n’est pas au rendez-vous et cela pour d’autres raisons que nous n’avons pas prévues »

C'est lui Pascal Tsaty Mabiala, le premier à avoir lâché la plateforme FROCAD-IDC qui parle de "difficulté", de "manque de solidarité entre candidats", de "manque d'organisation". Et comment peut-on comprendre ses propos quand il estime que la plateforme FROCAD-IDC n'a pas atteint ses objectifs - alors que deux de ses membres se sont retrouvés au second tour ? Il faut ajouter que l'UPADS sous la traîtrise de Tsaty Mabiala Pascal le petit ne prend plus ses décisions en accord avec le FROCAD qu'il préside pourtant et l'IDC. Le traître Djibril a pris ses distances avec l'opposition intérieure malmenée par le PCt tandis que le professeur Charles Zacharie Bowao refuse de cautionner le viol de la volonté du peuple. Le FROCAD doit tirer les conséquences de la trahison du peuple congolais et révoquer Pascal Tsaty Mabiala. Le petit Pascal n'a plus vocation et à présider le secrétariat de l'UPADS et à diriger le FROCAD. Accepter un tel pseudo-opposant traître à la tête de ces deux institutions revient à faire acte de complicité.

Pascal le petit aurait pu s'arrêter là. Cependant, en incitant à aller au dialogue sous la houlette d'un usurpateur, il devient le complice et le collabo de Denis Sassou Nguesso - ce qu'il a toujours été par ailleurs. Voici ce qu'il a le toupet de dire :

« Notre pays a une forte tradition de dialogue avec ce point d’orgue qu’a constitué la Conférence nationale souveraine de 1991 qui, il faut le reconnaître, a éloigné le spectre de guerre civile qui rôdait autour de nous en ces années–là. A cet égard, l’Upads estime que le président de la République devrait créer les conditions d’apaisement et faciliter la tenue du dialogue que demande l’opposition et avec elle sans doute, la majorité silencieuse »

C'est une erreur de croire qu'en soutenant le monstre de l'Alima, on éloigne le spectre de laguerre civile qui commencera au nord du pays. C'est en faisant acte de justice envers la volonté du peuple qu'on éloigne le spectre de la guerre civile. 

Denis Sassou Nguesso n'est plus un président de la république, vu qu'il a été battu dans les urnes. En lui reconnaissant un pouvoir qu'il n'a plus, Pascal Tsaty Mabiala s'incline en sa qualité de corrompu devant Denis Sassou Nguesso dont il veut défendre les objectifs en appelant au dialogue. Par nature, un dictateur ne dialogue pas : il impose sa volonté par dessus TOUT. Pascal Tsaty Mabiala s'est couché les fesses en l'air ; il appelle tout le monde de faire pareil. Or, c'est un acte de lâcheté quand ce n'est pas la signature d'un corrompu. Cela, Pascal le petit le sait très bien.

Pascal Tsaty Mabiala a infiltré l'UPADS qui est devenue un parti vassal du PCT. Il a trahi les idéaux de ce parti fondé par le professeur Pascal Lissouba et a craché sur la volonté du peuple congolais en sa qualité de cheval de Troie de Denis Sassou Nguesso. Le pseudo-opposant qu'il est a lâché la plateforme FROCAD-IDC. En appelant au dialogue sous la conduite d'un usurpateur multirécidiviste, d'un gangster d'Etat, il montre à la face de tous les Congolais qu'il est devenu un collabo de Denis Sassou Nguesso.

Pour tenir ses engagements, il doit rester à la tête de l'UPADS, coûte que coûte. C'est le deal qu'il a avec Sassou Voilà pourquoi il rejette l'idée d'un conseil national qui devait se tenir en juin ajourné sine die aux calendes grecs. Les militants envisagent une pétition pour évincer le faux opposant traître et collabo mais cela ne suffira pas. Tsaty Mabiala a verouillé le parti aux trois palmiers qui ne donnent plus des noix de palme.

Avant de chasser Denis Sassou Nguesso, les Congolais doivent se débarrasser de Pascal Tsaty Mabiala pour récupérer la machine UPADS. Pascal le petit est un écureuil qui a caché les régimes de noix de palme des trois palmiers afin de s'en gaver seul, en donnant quelques noix à Boungouandza et aux autres. Pour libérer les palmiers et les rendre à nouveau fertiles et productifs, il faut chasser la taupe du PCT.

 

                LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

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29 juin 2016 3 29 /06 /juin /2016 11:34
FONDS SOUVERAIN DU CONGO : ONDONGO AVOUE QUE L'ARGENT A ETE DEPENSE

Nous nous rappelons avoir incité le "gouvernement" du Congo à créer un Fonds Souverain national à l'instar de celui du Gabon qui venait d'être créé. Vous pouvez si vous le désirez faire une recherche à propos sur notre blog pour retrouver l'article en question. Le gouvernement a suivi. Nous ignorons à combien s'élevait le montant dans la cagnotte du fonds souverain avant qu'on ne puise dans la réserve (curieux que le montant d'un Fonds public ne soit pas connu par le grand public). Certains estiment qu'il contenait plus de 1000 milliards de francs cfa mais ce n'est qu'une rumeur. Il semble cependant qu'il y ait beaucoup de liquidités sur ce compte souverain dont la nature et la gestion échappent au peuple congolais. En dehors du régime, personne ne sait où Sassou cache ce pactole. Cet argent devait être préservé pour les générations futures et pour préparer l'après-pétrole. Un démon est passé. La crise s'est installée. Et le gouvernement a regardé du côté du Fonds de réserve pour les générations futures. Une main noire cupide passa. Et puis plus rien dans la caisse - même s'ils disent qu'il reste quelque chose...

Je vous rappelle ce que Denis Sassou Nguesso a dit sur le financement des infrastructures dans notre pays : "les infrastructures ont toujours été financées par de l'endettement...". Cette vidéo existe en ligne. Vous pouvez la retrouver. Que monsieur Gilbert Ondongo ne nous dise pas que l'Etat a changé de politique pour que désormais les infrastructures en cours - donc déjà budgétisées - soient financées avec l'argent des générations futures - alors qu'on s'est au préalable endetté pour les réaliser ! Etrange. Les investissements en cours étaient déjà financés. Comment expliquer qu'il faille à nouveau les refinancer - d'autant que les retombées sur le peuple ne se font pas assez ressentir ? Il y a un truc qui ne colle pas.

De grâce, qu'on arrête des dépenses de prestige qui ne visent que la gloire du monstre de l'Alima ; cet argent peut être mieux employé pour l'intérêt du peuple. Avant d'utiliser l'argent public, il faut d'abord en prouver l'intérêt public. Quand Ondongo parle de rythme de développement et d'ambitions, il ne démontre en rien en quoi les petites bricoles du régime dictatorial profitent à notre peuple dans son ensemble. Le développement profite à tous et non à quelques-uns et il doit venir vous trouver devant votre porte. Dans un pays où l'eau courante et l'électricité manquent ainsi que la nivaquine, on ne peut pas parler de "développement" parce que le président construit des palais présidentiels qui ne servent à rien aux quatre coins du pays. Je ne vous parle même de la tomate que nous importons...

Souvenez-vous de la vague réponse de Denis Sassou Nguesso à la question d'un journaliste qui voulait savoir où était passé l'argent des générations futures. Gilbert Ondongo, ancien ministre des finances de Denis Sassou Nguesso a répondu à la question selon un ami. Il affirme que le régime illégal de Brazzaville a puisé dans le Fonds de réserve pour payer les salaires des fonctionnaires et les bourses des étudiants. L'ancien argentier de Denis Sassou Nguesso reconnaît qu'au Congo, les dépenses sont désormais largement supérieures aux recettes - d'où la nécessité de faire une ponction dans le Fonds de réserve des générations futures : cela indique que l'Etat congolais a de plus en plus de mal à emprunter auprès de ses anciens débiteurs et il serait important de savoir depuis quand Sassou a commencé à piocher dans la cagnotte. Combien d'argent s'y trouvait ? Combien a été pris ? Combien reste-t-il ? Où se trouve ce pognon ? Qui s'en occupe personnellement ? Qu'est-ce qui nous prouve qu'il a vraiment été utilisé dans l'intérêt des Congolais ? Monsieur Gilbert Ondongo, bien que plus précis que son maître Denis Sassou Nguesso, n'a pas apporté ces détails. Les générations futures dans notre pays sont soi-disant sacrifiées au profit des générations présentes - alors qu'en réalité l'argent du pays est détourné pour acheter des villas cossues en Espagne, en France, au Portugal quand il ne finit pas dans les paradis fiscaux.

Il faudra que la dictature nous justifie comment un tout petit pays comme le Congo peut avoir une masse salariale de 410 milliards par an. Monsieur Gilbert Ondongo - même s'il n'est plus aujourd'hui ministre des finances doit un jour rendre des comptes car il sait ce qu'il en est de l'argent du contribuable et du citoyen congolais. Il a longtemps été au coeur du système puisque rien ne fonctionne et ne se fait sans argent. Par conséquent, où qu'il se cache, il faudra aller le chercher. Et il n'est pas le seul : TOUS les anciens ministres de finances du Congo - sans exception doivent rendre des comptes - sans oublier le dernier en exercice. La transition démocratique y veillera au moment opportun.

Denis Sassou Nguesso a été obligé de remplacer Gilbert Ondongo au ministère des finances car ce corrompu ne pouvait plus y être maintenu mais il était au coeur  du dispositif du détournement de l'argent public dont des millions d'euros ont été retrouvés dans sa villa au Portugal. Sa longévité à ce poste fera de lui un interlocuteur privilégié. Il sait où est caché l'argent du pays ; il sait qui prenait quoi. Nous irons le chercher même dans la jungle amazonienne. Ceci est une promesse faite au nom du peuple. Finira bientôt le temps des compromis, des compromissions et de l'impunité.

Le Congo peut faire des économies sur les exorbitants salaires du gangster en chef, des ministres et en réduisant le train de vie ruineux de l'Etat. Il n'y a que des coupures drastiques sur les petits salaires de fonctionnaires ; on peut réduire les salaires des ministres, des Généraux et de certains hauts cadres qui amassent des millions à ne rien faire. Certaines caisses noires doivent même disparaître. Toutes ces missions qui ne servent qu'à sortir l'argent du Trésor doivent s'arrêter. On aurait pu croire qu'une dictature compenserait son manque de légitimité par une meilleure gestion mais c'est sans compter sur l'incompétence, la cupidité et l'immoralité des membres qui la composent.

Il y a une solution à cette crise, une solution simple : QUE CHAQUE VOLEUR DU REGIME RENDE LA MOITIE DE L'ARGENT VOLE A L'ETAT. Et là, je me montre bon seigneur en évitant d'exiger TOUT L'ARGENT DEROBE AU PEUPLE CONGOLAIS. A quoi leur sert-il de garder tous ces milliards de dollars dans les banques étrangères quand ils savent que les Mindélés prendront tout ce magot dès qu'ils perdront le pouvoir ? Qu'ils fassent amende honorable pour une fois...

Le Congo est un pays passoire où les étrangers constatent que l'Etat, en fait, se contente de participer au pillage du pays en accompagnant les multinationales - sans prendre la peine de contrôler quoi que ce soit. Ils se mettent eux aussi allègrement à s'enrichir très vite et trouvent que le Congo est un pays merveilleux. C'est pour cela que l'on voit des Camerounais, des Sénégalais, des Chinois, des Libanais, des Français, etc, se mêler de nos affaires quand ils sont chassés du Congo - alors qu'ils négligent les affaires de leurs pays respectifs où il y a aussi des dictateurs. C'est un indicateur qui ne trompe pas...

Si un certain gangster en chef, un gangster d'Etat se croit à l'abri de ses crimes, crimes de sang, crimes économiques, crimes en tous genres, derrière un bouclier nommé "Constitution", qu'il sache que nous changerons la Constitution pour en faire non pas un bouclier protecteur pour le criminel mais une cage de prison pour tous ceux qui ont trahi la nation. IL SUFFIRA DE CHANGER LA CONSTITUTION. Ce n'est pas très compliqué à réaliser...

Ceci montre bien que la crise couve au Congo qui mange désormais les os gardés aux frais pour les générations futures. La seule question qui vaille être posée est la suivante : dans quel état retrouverons-nous le Congo à la fin de cette tragédie politique ? Nous discutons tous les jours avec des fils et filles du Congo qui sont prêts à revenir au pays relever le défi du développement et du bien-être de notre peuple. Je ne parle pas d'affairistes mais de passionnés, d'amoureux du Congo qui veulent investir et s'investir dans la transformation du paysage national du nord au sud...

 

                  LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

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24 juin 2016 5 24 /06 /juin /2016 21:19
DAVY ALBANO : DU PCT, PARTI COUPEUR DES TETES, AU PCT, PARTI CONGOLAIS DES TERRORISTES

Par Davy ALBANO, ce 22/06/2016


Du PCT, Parti Coupeur des Têtes, au PCT, Parti Congolais des Terroristes


Lorsque Néron dans sa folie brûla Rome, il s’était, dans sa lâcheté,  empressé d’accuser  des pauvres chrétiens innocents. Il s’en était suivi une violence meurtrière contre ces pauvres sans défense, car qui pouvait s’opposer à César ?
Lorsque Denis Sassou Nguesso et ses comparses tuèrent Marien Ngouabi, le manque de courage leur fit accuser des pauvres innocents : « Bakongo ba bomi Marien ». L’ancien président Massamba Débat, le Cardinal Emile Biayenda et d’autres innocents furent froidement assassinés sans procès.
Lorsque qu’ils ont voulu se débarrasser du Colonel Marcel Ntsourou, malgré sa remise en liberté par une cour de justice qui trouva son dossier vide, un montage odieux fut mis en place ce dimanche-là pour le neutraliser, comme s’il existait une permanence du Procureur pendant les week-ends pour diligenter un mandat de perquisition de grand matin le  lundi qui suivait. Comme toujours il y eut la mort de plusieurs innocents dont les corps ne furent jamais rendus à leurs parents car embarqués dans un avion pour Oyo. 
Lorsqu’ils voulurent proclamer à 3 heures du matin les résultats de leur hold-up électoral, des commissariats de police et des communes furent incendiés afin d’en accuser des boucs émissaires tous trouvés. Thierry Moungalla qui annonçait le matin un communiqué selon lequel qu’une enquête venait d’être ouverte, est vite revenu le soir pour désigner les Ninjas du pasteur Ntoumi comme responsables de ces attaques. Comme toujours il y eut des victimes innocentes suivi de bombardements à l’arme lourde sur les populations dans la région du Pool…  Mais Moungalla n’a jamais expliqué pourquoi il n y a pas eu des policiers morts, ni des nombreux prisonniers que referment les cachots des commissariats attaqués et brulés.
Ainsi, on veut nous faire avaler que ce sont les opposants qui auraient incendié les locaux de la représentation diplomatique du Congo à Paris qui n'a d'ambassade que de nom, car depuis le départ de Lopes, je me demande si quelqu’un d’autre y a été accrédité. Qui ne reconnaîtrait pas dans cet attentat  le mode opératoire made in PCT ?  Moungalla et Soudan ont vite fait de trouver comme coupables les opposants alors que ceux-ci n’ont nullement l’ADN du terrorisme. Sinon il y a longtemps que les dignitaires du pouvoir se sentiraient en insécurité. Or eux, ils ont le sauf conduit pour tuer devant les populations du sud foncièrement chrétiennes qui hésitent toujours à faire du mal à autrui. 
Le système PCT est un système basé sur le terrorisme d’Etat, parce que sans foi ni loi. Souvenez-vous des attentats de l’aéroport MAYA-MAYA et cinéma STAR dans les années 80 pour mettre hors-jeu Tchystère Tchicaya, de l’attentat de l’avion UTA au-dessus du Ténéré… A beau mentir qui vient de loin.

 

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24 juin 2016 5 24 /06 /juin /2016 20:49

        SASSOU, LE MOUTON DE LA FRANCE, DOIT DEGAGER 


Par Taguy Lambert AMBENDE KIHOULOU


« Le malheur de l’Afrique c’est d’avoir rencontré la France : Aimé Césaire »


La situation actuelle du pays doit interpeller tout Congolais, du nord au sud, de l’est à l’ouest, car il n’est plus acceptable que ce mouton, soutenu par l’exécutif français corrompu que représentent Hollande et Valls, continue à emmerder les Congolais. L’arrestation de Moïse, le Général Jean-Marie Michel MOKOKO est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. 
Un Député français de droite m’avait dit en 1997 à la chute du président Pascal Lissouba : « nous avons remis Sassou en scelle parce qu’il défend mieux les intérêts de la France. Bon courage pour la libération ». Ceci veut dire ce que ça veut dire ! A nous-mêmes donc Congolais de bouter ce mouton dehors. Arrêtons de rêver et de croire que la France fera quelque chose pour résoudre la crise congolaise. En revanche, si nous arrivons à nous libérer de nous-mêmes face à l’emprise de ce tyran soutenu par la France comme les Algériens, la France nous respectera et les rapports changeront entre les deux pays. Les discours et les communiqués de presse ne servent plus à rien, chers compatriotes. 
A Monsieur Bowao et tous les leaders de l’opposition républicaine, voici, pour moi, les deux axes dans lesquels le combat doit s’intensifier jusqu’à la chute du tyran :

  • Désobéissance civile et grève illimitée dans tout le pays ;
  • Sabotage des intérêts français surtout à Pointe-Noire (cibles : Total, Bouygues, Bolloré, etc.) : les jeunes patriotes s’en occuperont à travers des actions commando ciblées ;
  • Et enfin, s’il existe encore quelques Officiers républicains et dignes de ce nom, rejoindre les rangs du résistant et brillant Pasteur Frédéric Bitsanmou NTOUMI.

Vive la libération du Congo !
Vive le peuple Congolais !
Vive le Général Jean-Marie Michel MOKOKO !


Sassouffit.

 

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24 juin 2016 5 24 /06 /juin /2016 16:00

Dans un précédent article, nous nous interrogions sur la surprenante visite d'Ali Bongo Ondimba à Oyo - la toute première du genre. La thèse initiale relative à l'octroi d'un acte de naissance doit être complétée par un aspect sécuritaire et politique entre les deux gangsters en chef des Etats respectifs du Gabon et du Congo. Le côté sécuritaire au Congo concerne l'affaire qui a conduit à l'arrestation du Général Jean Marie Michel Mokoko tandis que le côté politique a trait au probable financement des opposants d'Ali Bongo Ondimba par Denis Sassou Nguesso.

Nous apprenons que Denis Sassou Nguesso dispose d'un système sophistiqué d'écoutes téléphoniques à Oyo où toutes les communications sont passées au peigne fin, peut-être le même que celui que possédait Kadhafi. Nous comprenons pourquoi nos compatriotes se méfient de parler de politique au téléphone. Ce système d'écoutes généralisées de tous nos compatriotes sur toute l'étendue du territoire national est illégal. Si vous réfléchissez bien, avec un tel système sophistiqué, même après la mort de Denis Sassou Nguesso, le club d'Ollombo a les moyens de conserver le pouvoir puisqu'il a l'argent, les armes et au moins deux systèmes d'écoutes ultramodernes qui filtreraient tous les appels téléphoniques du Congo. Le système de Brazzaville couvrirait plutôt une surveillance vidéo de la capitale tandis qu'à Oyo le régime du PCT procéderait aux écoutes de toutes les communications sur le territoire national. Il ne faudra pas un jour oublier de les démanteler.

Un Général français conseille d'utiliser WhatsApp qui crypte les communications. Nous conseillons à nos compatriotes au pays qui le peuvent d'utiliser cet outil pour communiquer quand cela s'avère important. Les échanges cryptés sont la solution pour échapper à tout type de surveillance et d'écoutes. Dans l'avenir, la cryptographie aura un grand rôle à jouer pour échapper à des systèmes sophistiqués comme ceux de la NSA.

Nous avons eu vent de la rencontre Sassou-Ali à Oyo vue par les Gabonais, un point de vue repris par la LC. Sassou aurait présenté à Ali Bongo des enregistrements concernant les conversations téléphoniques du Général Mokoko avec des "éléments étrangers" basés au Gabon. Il semblerait qu'un hypothétique coup d'Etat était en préparation - après une insurrection populaire qui aurait permis au commando de Libreville d'agir. S'en serait suivie une transition de dix-huit puis une élection présidentielle. Nous mettons tout cela au conditionnel.

Ali Bongo aurait reconnu la présence du supposé chef des mercenaires à Libreville dans le cadre de ses activités pétrolières pour l'entreprise Total - aussi nie-t-il le complot ou l'atteinte à la sûreté de l'Etat congolais. Seraient aussi incriminés dans cette affaire pour être entrés en contact avec les "éléments étrangers" Benoît Koukébéné, Loïc Le Floch Prigent et le professeur Charles Zacharie Bowao.

Sassou accuse André Okombi Salissa d'avoir cautionné le coup d'Etat que préparait le Général Jean Marie Michel Mokoko avec l'aide des mercenaires étrangers- notamment français tandis que "TOUT BOUGE" serait lui soutenu par les Américains. Lui au moins a pu s'enfuir avec avec la complicité des membres de son réseau.  Ce serait sur la base de ces enregistrements et non de la vidéo de 2007 que le Général Jean Marie Michel Mokoko aurait été mis aux arrêts. Sassou en a profité pour écarter les proches de J3M qui travaillaient à la Garde Républicaine pour s'appuyer sur des Angolais.

Ali Bongo Ondimba pour sa part accuserait Denis Sassou Nguesso de soutenir ses opposants, notamment Jean Ping fortement financé par le monstre de l'Alima - ce qui inquiète l'entourage d'Ali Bongo. Nous rappelons que l'élection présidentielle se déroulera au Gabon au mois d'août. Ali Bongo Ondimba doit surmonter une forte discorde au sein de son parti. Il s'efforce aussi 

Depuis un moment, Denis Sassou Nguesso craint des troubles au sein de l'armée qui s'agite en sourdine. Le chef d'Etat Major Okoi qui n'a plus de réel pouvoir aurait reçu une grosse enveloppe - peut-être une façon de le tenir tranquille.

Le nord se divise doucement. Denis Sassou Nguesso surveille les éléments proches de Mokoko, notamment ceux originaires de Makoua auxquels s'ajoutent ceux qui soutiennent André Okombi Salissa.  Les officiers supérieurs de Sassou redoutent des troubles au sein de l'armée ; d'où un très grand renfort de miliciens pour parer au cas où. Certains soldats qui portent le béret de la garde républicaine sont aux ordres du Général Jean François Ndenguet.

La présence de monsieur Gakosso, pseudo ministre des Affaires Etrangères, en France aurait un lien avec les enregistrements illicites d'Oyo. C'est peut-être ce qui explique que la France ait lâché le Général Jean Marie Michel Mokoko. Encore une fois, tout ceci nous vous le communiquons sous le sceau de la rumeur car nous n'avons aucun élément matériel. Espérons que le Général Jean Marie Michel Mokoko aura un procès équitable pour que la dictature de Brazzaville sorte tous les éléments à charge en sa possession.

La situation au Congo Brazzaville est explosive et se prête parfaitement à un coup d'Etat. Denis Sassou Nguesso devrait se méfier des membres du Club d'Ollombo. La menace ne viendra pas forcément hors du système ; elle pourrait venir de proches en qui l'éléphantosaure a toute confiance.

 

              LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

LES DESSOUS DE LA VISITE D'ALI BONGO A OYO : L'EXISTENCE D'UN SYSTEME D'ECOUTES ILLEGALES...
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22 juin 2016 3 22 /06 /juin /2016 10:40
CONGO/DICTATURE : LA RECONNAISSANCE SILENCIEUSE MAIS ACTANTE DE LA FRANCE

Qu'on ne se gargarise pas sur le sac de l'ambassade du Congo. Un pur acte de révolte ou peut-être de sabotage du régime lui-même qui chercherait à incriminer les "Combattants". Laissons l'enquête se faire. Là-bas, c'est le Congo ; la France n'est pas concernée. C'est un territoire qui nous appartient, un petit Congo pourri au milieu d'une vieille démocratie. Oui, la dictature de Sassou ne tombera pas mais l'action vaut mieux que l'inaction et la paralysie d'une ambassade sans ambassadeur officiel n'est pas rien. En guerre comme à la guerre. Denis Sassou Nguesso ne nous fait pas de cadeaux ; pourquoi lui en ferons-nous ?

Pendant que les Congolais subissent la folle volonté de Denis Sassou Nguesso, les relations entre la France et le Congo se portent bien. Qu'on se le dise, la France a reconnu sans l'avouer le putsch de Denis Sassou Nguesso. A Brazzaville, il a été demandé par l'ex-ambassadeur de France au Congo Jean-Pierre Vidon au Général Jean Marie Mokoko de reconnaître la fausse victoire de Denis Sassou Nguesso. Cela ne peut se lire que comme la volonté de la France. S'il avait dit oui, le Général Jean Marie Michel Mokoko ne serait pas aujourd'hui en prison. Jean-Pierre Vidon incarne la volonté et la voix de la France. A l'extérieur, en France, Jean Marc Ayrault reçoit Gakosso, son homologue congolais - c'est un acte officiel qui signe une reconnaissance tacite. Pour la France, l'Etat au Congo, c'est l'Etat-Sassou.

Nous vous apprenons que Justin Koumba, le président de l'illégale assemblée nationale est à Paris flanqué de ses deux gardes du corps. Et il n'est pas le seul. Il se pourrait même que lui-même Denis Sassou Nguesso soit reçu à nouveau par François Hollande. Donc, c'est faux de dire que la France n'octroie pas de visas aux caciques du régime venu des bords de l'Alima.

Qui ne dit mot consent. Qui consent en silence le montre par ses actions. La France soutient Denis Sassou Nguesso car elle estime qu'elle n'a pas encore trouvé le bon remplaçant. Quand le Général Mokoko a affirmé avoir été lâché par la France, il avait raison. Sassou est l'homme de la France et ce que les Congolais ignorent c'est que le lobby français pro-Sassou a fait croire à François Hollande que le départ de Denis Sassou Nguesso plongerait le Congo dans la guerre civile. L'Hexagone ne pouvait se permettre l'ouverture d'un autre foyer de tension en Afrique centrale après la RCA. Il y a de trop importants investissements français dans la sous-région. François Hollande a donné son feu vert pour le référendum. Total et Bolloré ont gagné. Au nom du père, du fric et des intérêts de la France. Tel est le credo. Les nègres comptent peu car seules leurs richesses intéressent la Métropole. Jules Ferry avait déjà dit à l'assemblée nationale française que les Droits de l'Homme ne concernaient pas les nègres. Pas assez Hommes certainement selon son entendement.

La France veut que Denis Sassou Nguesso rassemble et apaise le troupeau congolais au lieu de le terrifier et de le terroriser. Elle veut pomper ses ressources en paix. Tant que notre pays se trouvera sous le carcan français, nous n'aurons jamais la paix et la liberté. Elle nous empêchera toujours de devenir une nation unie. L'unité nationale et la démocratie ouvriraient la voie à des revendications qui réduiraient l'impact de la France sur notre pays et par incidence sa libre jouissance de nos ressources stratégiques : pétrole, bois, or, potasse, diamant, etc. La puissance de la France se joue et se fait au détriment de nos malheurs. La vérité doit être dite pour que les yeux de notre peuple s'ouvrent.

 

Juste une chose à ceux qui soutiennent Denis Sassou Nguesso. Vous avez en ce moment un avant-goût de ce que sera notre pays quand il n'aura plus de pétrole. Notre avenir sans le pétrole sera chaos et souffrance. En trente-deux ans, Denis Sassou Nguesso a-t-il développé le nord du pays ? Non. Ne vous fiez pas de ce qu'il a fait à Oyo, avec quelques maisons modernes et quelques broutilles personnelles. Ces vaches ne vous nourrissent pas. Cela ne résoudra pas vos problèmes car ils sont nombreux et la plus grande majorité d'entre-vous ne profite pas de sa distribution des privilèges. En trente-deux (32) ans de règne avec des centaines voire des milliers de milliers de milliards de francs cfa, Denis Sassou Nguesso a eu assez d'argent pour rendre le nord du pays attractif à tous les Congolais. La plus grande partie du Congo reste sous-peuplée car même nos compatriotes issus du nord ne s'y plaisent pas. A regarder la disposition de la carte du Congo, on aurait pu penser que le nord serait plus peuplé que le sud, question superficie. Or, ce n'est pas le cas. Au final, ne préférez-vous pas venir vivre au sud, auprès de vos compatriotes qui vous reçoivent en frères ? Si tout se passait bien au nord, nous irions tous y vivre car le territoire est plus grand par là-bas. Alors, pourquoi sommes-nous tous confinés au sud du pays ? Il est temps de se poser les bonnes questions. Denis Sassou Nguesso n'a rien fait en trente-deux ans sur cinquante-six de pseudo-indépendance pour sortir le nord de la misère - quand bien même quelques membres de son clan profitent des richesses du pays. 

Vous prenez femmes parmi nous. Nous avons du sang en commun par nos enfants, nos soeurs, nos frères. J'ai une soeur qui s'appelle Okemba dont le père est du nord. Nos destins sont liés. Vous faites une erreur grave en soutenant Denis Sassou Nguesso contre tous vents et marées - alors qu'il s'agit de l'avenir de tous les Congolais - sans exception.

Le Général Jean Marie Michel Mokoko injustement arrêté, un fils du nord, vous n'osez même pas vous soulever ou protester. Rien. Vous suivez l'esprit diabolique d'un homme qui vous fait croire que les sudistes sont vos ennemis. C'est faux et nous vous l'avons démontré le 4 mars 2012 quand Denis Sassou Nguesso a offert des milliers d'entre-vous en offrande à Lucifer - en vous apportant notre aide citoyenne. Sous les présidents originaires du sud, le nord du pays n'a jamais été bombardé comme on bombarde le Pool aujourd'hui.

Ce sont vos fils qui soutiennent le monstre qui détruit notre pays à tous. Et vous jubilez. Sachez que lorsqu'il n'y aura plus de pétrole, que nos forêts seront rasées et que le Congo deviendra sans intérêt pour les maîtres du monde, ils s'en iront.

Que la Droite prenne le pouvoir en France et autorise l'exploitation du pétrole de schiste, voilà qui donnerait une indépendance énergétique interne à la France qui pourra se passer de notre pétrole.

Quel mal y a-t-il à être heureux ensemble ? Nous gagnerons ou nous perdrons ensemble. Mundelé a ko kendé na yé. A zo kossa bisso. Nous ne sommes pas nombreux. A force de nous battre entre nous, les étrangers prennent possession de notre pays. Si nous ne nous ressaisissons pas, nous sombrerons tous.

Si au moins Denis Sassou Nguesso favorisait les meilleurs d'entre-vous qui pousseraient le pays vers le haut, on comprendrait mais il choisit les pires, les médiocres, les voleurs, ceux qui tirent le pays vers le bas. Cet homme veut nous laisser la haine et la guerre civile en héritage, là où les pères de l'indépendance - pour le peu que nous avons, nous ont laissé un pays et l'amour de l'autre.

Nous voulons que le fils du Congo soit maître chez lui. Or, Denis Sassou Nguesso livre le pays aux étrangers. Vous me comprendrez mieux le jour où les bapaya vont venir prendre vos terres, vos lacs et vos cours d'eau parce que nous ne serons pas capables de rembourser les dettes qu'on leur doit. C'est bien de recevoir les privilèges, là où les autres sont privés du moindre droit. C'est bien de travailler quand son voisin ne travaille pas. C'est bien de manger quand son voisin a faim, de rouler en voiture quand l'autre est à pied. Cependant, vous demandez-vous si ce n'est pas mieux que tous aient à manger, par exemple ? Que tous aient du travail selon leurs compétences respectives pour que le pays avance ? Qu'est-ce que cela changerait à votre bonheur personnel, surtout si vous le méritez ?

Nous avons essayé trop longtemps la haine avec ses conséquences néfastes. Essayons l'amour et l'unité nationale. Dites-vous bien que Denis Sassou Nguesso, l'homme qui divise pour mieux nous soumettre tous, n'est qu'un gouverneur noir, un homme au service de la France. S'il le faut, il vous massacrerait tous pour honorer son maître.

Le bonheur n'est pas dans l'égoïsme mais dans le partage. Or, nous avons en partage la haine de l'autre. Ne sommes-nous pas tous les fils d'un même ancêtre bantou ? Mundelé a kaboli bisso et bisso to ndimi yango. Mundelé azo yiba bisso bisso to ndimi yango. Bapaya ba zo sala loi na mboka. Bisso to ndimi yango.

La France n'a pas intérêt à ce que nous soyons unis car nous défendrons mieux nos intérêts. Pour eux, Denis Sassou Nguesso est le meilleur serviteur qu'ils aient jamais eu sinon pourquoi l'auraient-ils laissé au pouvoir si longtemps ? Sachez que Denis Sassou Nguesso n'est pas seulement l'ennemi des sudistes ou du sud mais de tout le Congo et de tous les Congolais. Un jour, même lorsqu'il sera mort, vous vous en rendrez compte mais il sera trop tard.

Maintenant, il est encore temps de sauver la maison Congo. Après, il sera trop tard. Ils prendront tout l'argent que vous avez à l'étranger. Ne menacent-ils pas de saisir vos biens mal acquis sur leurs territoires ? Bo fongola misso. Il est temps de se dire que nous allons tous mourir mais qu'il serait mieux qu'on s'en aille de ce monde en laissant l'amour et le bien-être à notre peuple au lieu de la haine et la misère. Si vous ne faites rien, un jour, je vous le prophétise, nous subirons tous la domination totale des étrangers qui s'approprieront tout notre pays au nom de la dette extérieure du Congo.

Le pétrole n'est pas éternel. Ne regardez pas juste votre présent bien que riche et abondant en biens matériels.

                                     Pensez au futur. Voyez plus loin.

Nous sommes tous leurs esclaves parce que notre pays est un pays esclave. Oui, l'esclavage peut se nouer au niveau de toute une nation - même si quelques-uns parmi les esclaves y trouvent leur compte. On reconnaît un pays esclave quand ses ressources et ses richesses profitent avant tout à une ou d'autres nations qui le tiennent sous dépendance et obéissance - notamment sous forme de contrainte juridique, entre autres. Soit, nous nous en sortons tous, soit nous périrons tous car ils n'ont pas de pitié, eux qui ont vendu nos ancêtres comme du bétail humain. J'espère que je serai compris.

 

                   LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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20 juin 2016 1 20 /06 /juin /2016 10:08
A DAVID : L'OPPOSITION JOUE A LA DEMOCRATIE, LA OU SASSOU LIVRE UNE VERITABLE GUERRE

David, bouéhi. Qu'ont-ils fait à notre peuple pour qu'il ne réagisse pas comme il se devrait ? A-t-il peur ? N'est-il pas assez conscient de ses droits ? Est-il affaibli ? Faible ? Divisé ? Envoûté ? Tétanisé ? Attend-il la bonne occasion pour sortir de sa léthargie ? Attend-il l'homme providentiel ? N'a-t-il pas compris que son inaction mettait en péril l'avenir de tout un pays ? Manque-t-il de meneur d'hommes pour le conduire à la victoire ? Ce qui est en jeu ce ne sont pas nos petites personnes mais l'avenir de tout un peuple et même les 8% qui défendent Denis Sassou Nguesso ne l'ont pas encore compris. S'ils le comprennent, ils le lâcheront. Il n'y a pas assez de richesses au Congo pour satisfaire la cupidité de tous les 8% qui soutiennent Denis Sassou Nguesso.

Une élite de l'opposition doit prendre le contre-pied du système dictatorial qui étouffe le pays pour provoquer le soulèvement populaire. Cette élite doit sortir du peuple et non d'en-haut si on veut qu'elle soit véritablement en symbiose avec celui-ci. Nos opposants intérieurs actuels ont pour la plupart été à mauvaise école et quand on plonge longtemps dans la noirceur, même lorsque qu'on se drape dans la pure blancheur, il reste toujours un peu de noirceur. Et notre problème est de ne pas être capable de produire des leaders qui ne sortent pas du canevas PCT. Tous ceux qui chassent l'éléphant aujourd'hui et qui sont en première ligne doivent quelque chose à la bête qu'ils prétendent éliminer du paysage politique. Il faut reconnaître qu'aller à la chasse avec une dette morale envers la proie est un grand handicap. Je n'ai donc pas été étonné de voir que certains ont jeté la sagaie très tôt. Les Tsaty Mabiala du Congo sont nombreux et il nous faudra d'abord les repérer et les écarter. Je l'ai dit : notre problème est dans la qualité de nos hommes politiques. Cependant, nous ne désespérons pas que l'opposition intérieure se départisse de ses freins pour engager un vrai combat à mort avec ce régime. L'éléphant joue sa vie et l'a mise entièrement dans la balance. Si en face, il n'y a pas la même détermination, le combat est inégal et perdu d'avance.
J'ai la faiblesse de croire que si un homme se lève et prend son destin en main en secouant le peuple, ce dernier va le suivre. Hélas, notre opposition joue à la démocratie, au respect des lois, là où la dictature ne respecte rien et livre une vraie guerre. Si vous n'êtes pas convaincus de ce que je dis, pensez juste au Pool où des hélicoptères de combat bombardent même des vaches.

Il y a des techniques pour provoquer le soulèvement d'un peuple. Hélas, je ne peux pas les décrire ici. Pour avoir été dans la forêt avec l'éléphant, ils connaissent la bête et son système. Ce n'est pas un avantage négligeable. Il faut juste qu'ils arrêtent de faire de la politique administrative là où Denis Sassou Nguesso leur livre une vraie guerre. Et à la guerre, la vraie, il n'y a pas de règles : on triche, on trahit, on tue, on manipule, on ment, on prévoit, on attaque par surprise. Tant que l'opposition actuelle ne comprendra pas cela, l'éléphant aura encore de beaux jours devant lui - sauf si la forêt ne lui donne plus rien pour satisfaire sa gloutonnerie. Comment peut-on être légaliste quand en face l'autre est hors-la-loi avec l'avantage de faire la loi du plus fort ? Certes, il faut puiser la bonne énergie dans la démocratie et la justice mais question méthode, il faut arrêter de respecter la loi, de demander des permissions pour ceci ou cela. Il faut entrer en résistance et la résistance appelle la clandestinité. On parle avec des actions appelées SABOTAGES. On l'a vu en France lors de l'occupation allemande. L'OPPOSITION DOIT CEDER LA PLACE A LA RESISTANCE. POUR CELA, LES LEADERS DOIVENT SORTIR DE LEUR ZONE DE CONFORT ET DE PLAISIR AU QUOTIDIEN.

Il faut, face à un hors-la-LOI qui fait la loi du hors-la--LOI, devenir soi-même un hors-la-LOI pour restaurer la LOIMême Moïse a brisé les tables de la loi que Dieu avait soi-disant écrites de sa main face à la corruption de son peuple qui avait sombré dans le péché. Vous vous rendez compte ? Briser les tables de la loi écrites de la main de Dieu ? N'est-ce pas là un geste de hors-la-loi ? Et ensuite, n'a-t-il pas sévi au sein de son peuple ? L'opposition doit repenser sa stratégie.
Un peuple est comme un enfant qu'il faut amener à l'âge adulte par l'éducation, la culture, la socialisation. Autrement, il reste à l'instinct de troupeau sans maître, totalement désorganisé et incapable de se défendre. Le hic dans notre système commence par la production des leaders de l'opposition qui ont de liens multiples avec la gent qu'elle prétend combattre : affinités ethnique, régionale, villageoise, professionnelle, matrimoniale, amicale, ésotérique, occulte. Certains partagent même des secrets de détournements et de violations de la loi avec ceux qu'ils prétendent combattre. Disons-le de façon proverbiale : ceux qui incarnent les chasseurs ont été longtemps les amis de l'éléphant. Il faut craindre que ce qu'ils nous présentent comme une chasse au mastodonte ne soit en fait qu'un jeu. Par contre, l'éléphant ne joue pas : il écrase tout sur son passage et ne se donne comme seule règle que sa survie au sommet de la chaîne alimentaire sociétale. C'est un jeu du côté de l'opposition qui se rechigne à soulever le peuple mais c'est une boucherie et un massacre du côté de l'éléphant qui est prêt à tout. 
Le Congo, je le crains, risque de sombrer dans la guerre civile quand il n'y aura plus rien à se mettre sous la dent. Et là, même ceux qui soutiennent Denis Sassou Nguesso ne pourront pas rester indifférents. Quand on joue le camp des 8% contre celui des 92%, il arrive un jour qu'on affronte les 100% car les 8% auront compris qu'ils ont été longtemps bernés, manipulés, utilisés comme un bouclier.
Comment susciter une élite qui n'ait pas de connivence avec le régime Sassou&PCT et qui soit prête à défendre le peuple - même au péril de sa vie ? Tu dois avec tes amis amorcer cette réflexion stratégique. Que Dieu te garde. 

 

                  LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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