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2 décembre 2016 5 02 /12 /décembre /2016 22:49
ENI : UNE PLATEFORME PETROLIERE QUI PREND FEU ET UNE RAFFINERIE QUI S'EMBRASE EN ITALIE
ENI : UNE PLATEFORME PETROLIERE QUI PREND FEU ET UNE RAFFINERIE QUI S'EMBRASE EN ITALIE
ENI : UNE PLATEFORME PETROLIERE QUI PREND FEU ET UNE RAFFINERIE QUI S'EMBRASE EN ITALIE

Quand nous avons appris que la plateforme FOUKANDA d'ENI avait pris feu au Congo, le 1er décembre 2016, à 16 heures 45, il nous a été signalé qu'une raffinerie de cette société à Sannazzaro, près de Milan - avait aussi pris feu dans un gigantesque incendie - le même jour vers 16 heures. Soit c'est une coïncidence et une bien suspecte coïncidence, soit les protocoles de sécurité d'ENI craignent. It sucks, comme disent les Américains. Dans un climat de baisse du prix du pétrole, les spéculations vont bon train. Les assurances prendront le relais pour que ces unités reprennent du service. Et si tout ça c'était pour toucher l'argent des assurances ? Se disent certains. A première vue, il s'agit d'accidents. Cependant, la faute de l'homme ne saurait être écartée. A Nguélé, Nous attendons une hypothétique enquête de la dictature mais il ne faut rien y espérer pour ce qui est de FOUKANDA dont l'incendie aurait été maîtrisé.

Certains superstitieux y voient des signes du destin, comme une sorte de sentence fumante du ciel : du feu en Israël, une raffinerie et une plateforme qui s'embrasent. Dieu aurait envoyé l'ange du feu pour rendre justice ! C'est pourtant insuffisant car cela ne nous sortira pas de la dictature et rien n'a vraiment changé en Israël. Si Dieu est tout-puissant, ses méthodes pour rendre justice ne le sont pas - s'il doit user du feu qui ne change pas l'ordre inique des choses dans le monde. Nous attendons plus de sa toute-puissance que de toutes petites flambées de pétrole. Surtout pas avec l'aide de la main,  des imprudences ou des incompétences bien humaines...

Si l'incendie de la plateforme de FOUKANDA est un fait délibéré, c'est très grave car il y a eu mort d'homme, certainement un Congolais. Sans oublier les cinq brûlés. Espérons que le droit du travail de notre pays protégera nos compatriotes en les indemnisant comme il se doit. Une vie humaine n'est pas du simple bétail. Nos vies valent bien plus que leurs profits.

Il y a aussi la pollution dont les retombées sur la ville de Pointe-Noire provoquent des maladies respiratoires voire dermatologiques - si ce ne sont purement et simplement des cas de cancer qui explosent. Notre littoral est souillé. l'Etat semble ne pas s'en préoccuper. Les poissons pêchés au large sentent paraît-il le pétrole. Rien pour le Kouilou sinon les tracas pendant que l'argent du pétrole prend la route d'Oyo. Tous les pétrocfas prennent la route du nord pour aller se cacher à Oyo. Le Kouilou n'a que les inconvénients de l'exploitation pétrolière. Les terres sont devenues improductives dans les villages du Kouilou. L'eau est impropre à la consommation dans certaines zones. Voilà tout ce que les Vilis gagnent du pétrole. Et ils se taisent. Pourtant, Denis Sassou Nguesso est leur beau-fils. Ils n'ont même pas le courage d'aller le voir pour réclamer qu'une partie de l'argent du pétrole revienne au Kouilou pour que cette région puisse faire face aux problèmes environnementaux, à la saleté, aux inondations, aux écoles délabrées, etc. On regarde l'argent prendre la route d'Oyo tous les jours en hélicoptère dans des sacs appelés nguiris - alors que le Kouilou qui produit cette ressource stratégique et essentielle à notre pays ressemble à un dépotoir habité - notamment en ce qui concerne Pointe-Noire ou Viaudo est l'éternel maire. Où sont donc les sages vilis ? Que font-ils ? Sont-ils corrompus ? Sont-ils des poltrons ? Si vous n'arrivez même pas à parler devant Sassou pour évoquer les problèmes du Kouilou, c'est triste ! Avec la crise pétrolière due à la baisse du prix du baril de pétrole, Pointe-Noire paye le prix fort en matière de chômage et de crise économique - en plus des tracas environnementaux. On souffre en silence. On survit. A Oyo, on distribue l'argent dans des cuvettes en public ! Si vous en doutez, les images sont sur DNCB. Cherchez et vous trouverez...

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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30 novembre 2016 3 30 /11 /novembre /2016 17:26

COMMENTAIRE : Nous reprenons ici un article de Congo-Liberty sur la torture au Congo-Brazzaville en le commentant. Après les images insoutenables d'un KALAKALA brûlé et piqué au vif par les mercenaires sanguinaires de Sassou, voici celles du sergent Jugal MAYANGUI, en service à l'intendance militaire, torturé par ceux qui n'ont aucune considération pour la vie humaine. La torture est un retour à l'animalité de ceux qui ont perdu leur humanité et qui ont en mépris tous ceux qui agissent comme des êtres humains - dans le parfait respect de l'ancienne sagesse du kimuntu. Pour infliger des blessures dignes d'un lion ou d'un guépard à son semblable, il faut avoir accumulé beaucoup de haine, de violence, de sauvagerie, de bestialité. Il faut peut-être posséder un gène de la cruauté. Pour torturer, il faut avoir assassiné la compassion et l'empathie.

Il est une chose de recevoir un ordre inique d'un esprit déséquilibré, il en est une autre de déchirer, de lacérer, de poignarder la chair de son semblable - sans au préalable l'avoir diminué, sans lui avoir ôté son essence humaine. Le bourreau qui s'emploie à torturer est un cas pathologique identitaire : il a cessé d'être un homme et a basculé dans l'animalité la plus basse et, d'ailleurs, même l'animal ne tue pas forcément son semblable. Il est des bassesses humaines qui rendent le criminel plus petit que l'insecte le plus répugnant. Pour cela, pour y arriver, il faut d'abord avoir tué l'homme en nous pour le tuer dans l'autre. Seule la bête peut déchiqueter la bête - sans remords, sans arrière-pensée  - cependant, pour se défendre, se reproduire ou pour se nourrir - mais seule une bête humaine peut agresser par pur plaisir, par pure délectation son semblable et le laisser mutilé à jamais. Nous le disons derechef : il n'y a de monstre sur terre que l'homme. L'animal exerce sa violence et sa défense au strict de sa survie - sans gâchis d'énergie et de vies inutiles.

Dans ce contexte où le couteau lacère le dos des supposés proches du pasteur Ntumi ou d'Okombi Salissa, on voir mal un dialogue s'instaurer avec la mort en cravate assise sur le trône du Congo. Celui qui déchiquète en enfonçant le couteau de la lâcheté dans le dos de l'innocent pour faire crier  la chair, versant au passage les larmes et le sang des autres, veut semer la peur en affirmant qu'il ne se situe pas au niveau de l'affect car il n'y a rien d'humain en lui. Aussi, peut-il vous laisser dans la misère la plus nauséabonde - sans se reprocher de rien. Il se pose une question fort simple : comment faire cohabiter humanité, c'est-à-dire, kimuntu, et animalité, barbarie aveugle ou inhumanité ? Cette question finira par s'imposer au fil de la douleur, au fil de la souffrance.

Ils savent que le christianisme est entré dans nos moeurs depuis 1483. Bakongo ba sambelaka, ba ko limbissa. Exploiter la faiblesse de l'homme qui vit en toute dignité humaine, ça ils le font si bien depuis plus de quarante ans. Ils savent que les chrétiens pardonnent à leurs bourreaux. Christ (en fait Paul ou Saul de Tarse) a multiplié le péché en le pardonnant par avance - ce qui est incompréhensible comme Evangile. Paul a permis au péché de proliférer là où le Christ a dit : "Va et ne pèche plus". C'est là tout le problème de la doctrine de l'agneau qui ôte le péché du monde. En faisant crédit du pardon à tous les pécheurs, Christ a permis au péché de proliférer - là où la crainte de l'Eternel le contenait.  Le pardon assuré, la monstruosité devient un jeu, un jeu qui torture pour torturer et qui tue pour tuer. Il ne faut plus pardonner sans juger mais dénoncer, ester en justice, combattre le crime et le criminel. Par tous les moyens. Face à la barbarie, la posture adéquate est la légitime défense. On s'étonne souvent que le Noir ou Khamite moderne soit peu enclin à défendre sa vie ou celle de ses proches. Il faut changer cela. Sur la terre du kimuntu, KMT ou Ta Meri, on opta de défendre la terre sacrée des pharaons sous Ahmessou qui chassa les Hycksos.

Il faut commencer une autre histoire, celle qui marque un arrêt dans la bestialité des gouvernants sur les gouvernés. En regardant en face la monstruosité et en relevant le défi. Nous ne sommes pas sans défense devant l'animalité des barbares qui poignardent et brûlent les chairs de nos frères, de nos compatriotes. Nous appelons à une révolte collective, à une rébellion. Non, nos vies ont de la valeur, de l'importance. Et qui sont-ils pour les sacrifier impunément ?

 

Hier, le bourreau de nos peaux anthracites était blanc. Aujourd'hui, celui qui nous torture et nous assassine - avec une volonté d'extermination - est un fils d'Afrique, une peau bien sombre aux cheveux crépus.

 

Nous ne pouvons pas rester les bras croisés à regarder ce spectacle macabre produit par un Hitler noir venu du bord de l'Alima. Il y va de la légitime défense collective pour contrer la barbarie arbitraire orchestrée par le gangstérisme d'Etat. On vient pour enlever un des vôtres dans le quartier : défendez-le ! Faites un cercle autour des monstres du régime pour leur barrer le moindre passage. Ne pas oublier de porter plainte. Il y a la justice internationale pour pallier à notre injustice nationale. C'est vrai que le Noir est un homme brisé, brisé culturellement, identitairement, économiquement, éducativement. Humainement. Nous ne nous indignons même plus face à la torture de nos frères, aux massacres de notre peuple. Au Congo, le bourreau est un criminel qui se vautre dans l'impunité absolue. Face aux maux, les mots ne suffisent pas, ne suffisent plus. Face à la force aveugle et folle des meurtriers, les phrases ne suffisent plus. Il faut agir, réagir à la violence aveugle d'Etat. Ne pas laisser qu'on empoisonne Modeste Boukadia, ne pas laisser qu'on martyrise Kalakala ou Mayangui, ne pas rester inerte face à l'injustice. Pour cela, il faut placer la vie collective au dessus de notre petite vie, voir plus loin que le présent en privilégiant le futur.

La conservation ethnique du pouvoir ne justifie pas des massacres, des tortures. La dictature peut ne pas basculer du côté du crime. Sassou n'est pas obligé de devenir une arme de destruction massive pour ceux qui n'ont pas une goutte de sang en commun avec lui. Nous ne sommes peut-être pas tous Mbochis mais nous sommes tous Congolais et surtout TOUS HUMAINS. Et aucune vie humaine n'est plus importante que l'autre. En matière d'importance, oeil vaut oeil et vie vaut vie.

 

Sans kimuntu, l'homme n'est qu'un animal, une bête perdue au sein de l'humanité. En fait, plus qu'une bête : une folie ambulante. Qu'importe sa richesse bien ou mal acquise.

Ceux qui n'ont rien compris à l'histoire ont pris les commandes en Afrique. En fait, l'histoire véritable n'est pas celle des individus mais celle de la lutte des peuples, de la lutte des races. L'occident les favorise car ainsi il peut ainsi exercer sur nous une violence par procuration. La violence de nos bourreaux prolonge la barbarie coloniale. Nous nous sommes libérés des colons qui nous fouettaient le dos ; il nous faut  aussi nous libérer de ceux qui ont fait de nos vies des quantités négligeables. OUR PEOPLE MATTERS.

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

La barbarie du tyran Sassou-Nguesso dans toute son horreur « des images de tortures insoutenables »
 
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MAYANGUI Jugal, sergent en service à l’intendance militaire.

Congo-Brazzaville : La torture interdite et pratiquée à grande échelle…

Brazzaville, le 28 novembre 2016. L’Observatoire Congolais des Droits de l’Homme (OCDH) exprime sa profonde indignation et condamne fermement les actes de torture infligés à M. MAYANGUI Jugal, sergent en service à l’intendance militaire.

Le degré suprême de l’inhumanité

En effet, soupçonné de connivence avec M. Frédéric Bitsamou, alias Ntumi, chef du mouvement «Ninja N’siloulou», MAYANGUI Jugal, 37 ans, a été arbitrairement arrêté le 12 novembre 2016 à son domicile (quartier Mayanga) aux environs de 2 heures du matin par des agents de la force publique encagoulés, puis conduit vers une destination inconnue.
Pendant sa détention, il est resté encagoulé et a subi des séances de torture atroces dans le but de lui arracher des aveux. Son corps a été complètement raboté et porte des stigmates d’une violence qui indigne.
« Vous les Bakongo, on va vous exterminer » lui aurait signifié un des militaires pendant qu’ils le torturaient.
Il est réapparu le dimanche 20 novembre dans un état effroyable et conduit à l’hôpital militaire de Brazzaville.

Le 22 novembre, ses parents, ayant été sensibilisés, lui rendirent la première visite. Les 25 et 26 novembre 2016, la sœur aînée de M. MAYANGUI Jugal a répondu à la convocation de la Direction Centrale des Renseignements Militaires (DCRM) pour information. L’entretien a tourné sur la prétendue relation que la victime a avec M. Ntumi.
Rappelons-le, cette convocation était adressée à M. Michel Mampouya, vice-président du collège des présidents de la principale plate-forme politique IDC-FROCAD, le père de MAYANGUI Jugal. Actuellement, M. MAYANGUI Jugal est dans un état critique.
Rien ne peut justifier de telles pratiques. Ce cas supplémentaire témoigne une fois de plus l’usage systématique et à grande échelle de la torture au Congo Brazzaville.
Le Congo a ratifié la Convention des Nations unies contre la torture et devrait prendre les mesures utiles pour éviter et réprimer sa pratique. La réalité en est autre.

L’OCDH rappelle qu’en vertu de ses engagements internationaux en la matière, l’Etat a l’obligation de sanctionner les agents de l’Etat responsables d’actes de torture.
Par conséquent, nous exigeons immédiatement une enquête indépendante et sérieuse pour faire la lumière sur ces actes de barbarie.
Il est absolument essentiel que les personnes qui se sont rendues coupables de ces actes odieux soient jugées et condamnées.
Au cas contraire, les présumés auteurs et notamment leurs chefs hiérarchiques en répondront devant d’autres instances judiciaires d’autres Etats parties, en vertu du principe de compétence universelle en matière de torture.

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Contact OCDH :
ocdh.brazza@gmail.com

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27 novembre 2016 7 27 /11 /novembre /2016 18:06
CONGO/RUMEUR : LA DICTATURE PREPARERAIT UN MEGA PROCES ORCHESTRE PAR OKO NGAKALA...
CONGO/RUMEUR : LA DICTATURE PREPARERAIT UN MEGA PROCES ORCHESTRE PAR OKO NGAKALA...

Après une courte parenthèse démocratique de 1992 à 1997, le Congo est vite retombé en dictature. Le PCT a marché sur des dizaines de milliers de morts pour ramener la Bête d'Edou au sommet de l'Etat. Denis Sassou Nguesso a repris son poste de gouverneur noir d'Etat avec l'aide de Jacques Chirac, président de la république française à cette époque.

Un dictateur n'a qu'un seul vrai projet : conserver à tout prix le pouvoir de nuisance qu'offre le sommet de l'Etat pour un gangster maximo avec impunité absolue. Dans une atmosphère de vraies fausses élections, il faut abattre ou éliminer les adversaires politiques les plus dangereux - lorsque la politique du boycott qui favorisait le tyran ne marche plus. Le 20 mars 2016, Denis Sassou Nguesso, monsieur OUI POUR SANG, le sang des autres ethnies, a été battu par Guy Brice Parfait Kolélas, le Général Jean Marie Michel Mokoko et André Okombi Salissa. La stratégie de battre Denis Sassou Nguesso en jouant son jeu au lieu de le boycotter que nous avons proposée - a montré que lorsqu'on joue le jeu en le rendant jeu propre, on bat à coup sûr un dictateur quand il a en face de lui de vrais adversaires politiques.

Ce que redoute aujourd'hui les crocodiles du PCT, c'est que l'opération d'échec à la présidentielle se répète dans moins de cinq ans et nul ne sait ce qui pourrait se passer dans quelques années - surtout si la crise socio-économique que subit le Congo prend plus d'ampleur : rien ne prédit que le peuple acceptera encore de se laisser voler ses suffrages. Pour le régime dictatorial venu des bords de l'Alima qui veut à tout prix conserver le pouvoir illégitime au sommet de l'Etat du côté de la "hampe", il faut réagir pour éviter la récidive de l'histoire. La solution est simple : mettre hors d'état de concourir tous les adversaires susceptibles de battre Denis Sassou Nguesso dans les urnes à la prochaine élection présidentielle. Nous avons prédit ce scénario et constatons que les choses en prennent le chemin.

Le Général Jean Marie Michel Mokoko est en détention dans les geôles du régime tandis qu'une inculpation grotesque de détention d'armes de guerre pèse sur André Okombi Salissa entré en clandestinité, une clandestinité qui empêche Sassou de dormir. Reste Guy Brice Parfait Kolélas qui pourrait s'il demeure le seul candidat redoutable face à Sassou le battre dans moins de cinq ans en lui envoyant le tsouki du youki dès le premier tour ; il faudra donc aussi éliminer le fiston. Pour l'instant, on retarde la reconnaissance du youki en tant que parti politique mais cela n'est pas en soi un obstacle - puisque Parfait Kolélas peut à nouveau se présenter à l'élection présidentielle en utilisant le CODEHA. Il faut donc trouver une solution radicale qui éliminerait à la fois Parfait Kolélas, le Général Jean Marie Michel Mokoko, André Okombi Salissa, le pasteur Ntumi, le professeur Bowao et bien d'autres.

Un de nos correspondants au Congo nous apprend que le régime venu des bords de l'Alima prépare un méga procès au cours duquel le Général Mokoko, Parfait Kolélas, Okombi Salissa, le pasteur Ntumi, entre autres, seraient accusés d'atteinte à la sûreté de l'Etat, de détention illégale d'armes de guerre et de tentative d'organisation de coup d'Etat en 2007. Les pièces du puzzle sont déjà réunies. Il reste à les mettre en action au cours d'un procès retentissant qui éliminera du coup les adversaires politiques les plus redoutables de Denis Sassou Nguesso. Le monstre de l'Alima souhaite l'arrestation du pasteur Ntumi avant 2017. Tous les moyens ont été mis en oeuvre pour.  Denis Sassou Nguesso est déjà en campagne souterraine pour la prochaine élection présidentielle avec comme pré-projet l'élimination politique ou physique de ses opposants les plus sérieux. Denis Sassou Nguesso, L'homme qui a dit : "le Congo est à tous mais le pouvoir est à moi", apprend vite de ses échecs et prend à coeur de les corriger pour qu'ils ne se reproduisent pas.

Pendant que du côté de la soi-disant opposition, on joue le respect de la loi face à un gangster hors-la loi qui est un vrai terroriste d'Etat, du côté du pouvoir, on utilise l'arme de l'injustice officielle d'Etat pour éliminer les concurrents. Et on ne lésine pas sur les moyens : l'injustice en politique pure et la force devant la force ou en face de la faiblesse. Au Pool, on lance la chasse au Ntumi et à Brazzaville, le chien de chasse par procuration, Oko Ngakala, en accord avec le ministre de l'injustice, Pierre Mabiala, prépare un procès simulacre pour mettre hors-jeu les hommes qui ont battu monsieur 8% (OUI POUR SANG) à la dernière élection présidentielle en le reléguant en quatrième position, sans possibilité d'un deuxième tour. Denis Sassou Nguesso, habitué au boycott, a été obligé de tricher pour se maintenir au sommet de l'Etat. Tant qu'il aura en face de lui une opposition molle qui croira que l'injustice et la force peuvent céder aux bonnes intentions, il aura encore de bons jours de pouvoir de nuisance pour tout notre pays devant lui.

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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22 novembre 2016 2 22 /11 /novembre /2016 23:34
CONGO/MINISTERE DE L'INJUSTICE : ON S'ATTENDAIT A L'ATTAQUE GROTESQUE CONTRE ANDRE OKOMBI SALISSA

Depuis qu'il s'est évanoui dans la nature - alors qu'il était cerné par la soldatesque de monsieur OUI POUR SANG à son domicile, nous nous attendions à une attaque judiciaire injuste de la dictature Sassou & Nguesso contre André Okombi Salissa dont de nombreux proches ont été embastillés ou torturé comme monsieur KALAKALA - pour qu'ils fassent de la délation en disant où se planque "Tout Bouge". La technique de l'accusation avec preuves fabriquées a permis d'arrêter injustement Paulin Makaya et le Général Mokoko, deux opposants dont les procès traînent en longueur - car la ficelle de preuves est trop mince. Nombreux sont les Congolais qui détiennent illégalement des armes dans notre pays mais ceux qui soutiennent le régime des crocodiles du PCT peuvent ne pas respecter la loi. Nous avons déjà posté de nombreuses photos en exemples. Oko Ngakala n'a jamais ouvert d'enquêtes...

Au Congo-Brazzaville, ils sont capables de vous arrêter d'abord pour ensuite inventer les motifs d'inculpation ou inventer les preuves quand vous n'êtes pas là. Et à cela, il faut ajouter les cas d'enlèvements et d'assassinats. Au Congo, plus que la dictature, c'est du gangstérisme d'Etat, plus que du gangstérisme d'Etat, c'est du terrorisme d'Etat, plus que du terrorisme d'Etat, c'est la folie comme arme de massacre de masses au sommet de l'Etat. Il y a le péril de tout un pays qui guette. Même ceux qui soutiennent Denis Sassou Nguesso finiront par mourir pour le système ou par le système. La fortune ne vous préserve pas de la mort, vous le savez bien. Pourquoi avez-vous donc envoyé femmes et enfants à l'étranger ?

Nul ne peut combattre directement une puissante dictature à découvert. La résistance se fait mieux dans la clandestinité. Toute l'opposition congolaise devrait entrer en clandestinité. De nombreux opposants vont finir par être arrêtés sous de mauvais prétextes. Entrer en clandestinité comme nous l'avons conseillé empêche à Denis Sassou Nguesso de dormir. Il voit des démons partout.

Quand André Oko Ngakala exhibe des armes comme saisies au domicile de l'épouse d'André Okombi Salissa, nous sommes étonnés que l'on la dictature venue des bords de l'Alima n'ait rien trouvé au domicile même de l'enfant terrible de Djambala. Il y subit une attaque indirecte dont le but est qu'il sorte de sa cachette car sa clandestinité fait peur au régime.

Raisonnons : le domicile de madame Gisèle Ngoma se trouvait dans un état E. Au passage des soldats du régime, il se trouve dans un état E' différent de E. Entre E et E', il y a le passage des inquisiteurs du ministère de l'injustice qui ont tout le temps d'introduire l'objet qui fera l'accusation. La preuve que madame Gisèle Ngoma ne se trouvait pas chez elle pendant la fausse saisie des armes de guerre est facile à prouver : si elle était sur place, elle aurait été arrêtée. Donc, il s'agit d'une perquisition illégale qui n'a aucune valeur juridique puisque le propriétaire des lieux n'était pas là.

Une arme possède un numéro qui permet de retracer sa provenance. Une arme est tracée. On peut savoir à qui elle a appartenu, si elle a ou non servi. Les protocoles militaires sont assez claires là-dessus. Brandir des armes de guerre dans des sachets ne prouve en rien à qui elles appartiennent ni d'où elles proviennent. Hélas, au Congo, la justice s'est encanaillée en injustice. Nous sommes en face d'un terrorisme d'Etat sous inquisition judiciaire comme seule forme de justice.

Le fait d'exhiber des armes de guerre dans un palais de justice ne prouve en rien le lieu de leur provenance. Quel est donc ce système d'information défaillant qui attend près de vingt ans pour trouver des armes chez l'épouse d'André Okombi Salissa au point d'attendre qu'elle ne soit pas là pour les exhiber ? Entre E et E', il peut très bien y avoir eu introduction de l'objet qui constituera l'objet du délit. Dans une démocratie véritable où le droit vaut quelque chose, une pareille comédie ne passerait pas mais au Congo, Denis Sassou Nguesso a assassiné - même la honte. Tout scrupule bu, Oko Ngakala, inquisiteur par procuration, alias "Coller la petite chaudasse par le derrière", ne se gêne pas de lancer une accusation grotesque tout en osant invoquer la présomption d'innocence. On voit comment elle est traitée dans le Pool, la présomption d'innocence ; à coups de missiles.

Nous savons que le prochain sur la liste, c'est Guy Brice Parfait Kolélas car Denis Sassou Nguesso prépare déjà la prochaine élection présidentielle qui aura lieu dans moins de cinq ans. La stratégie est simple : éliminer tous les adversaires qui font de l'ombre au grand Ndzokou de l'Alima. Exit, le Général Jean Marie Michel Mokoko, Paulin Makaya, et aujourd'hui André Okombi Salissa - qui ne pourra même plus se présenter à la prochaine farce législative. Nous sommes dans une république royale bananière tenue par un gangster d'Etat qui a transformé la justice en injustice sous inquisition. Tous ceux qui gênent le roi deviennent des ennemis d'Etat à abattre. Guy Brice Parfait Kolélas est averti.

Il ne nous reste plus qu'une conclusion à tirer : soit on s'aplatit devant Denis Sassou Nguesso - servitude volontaire oblige, soit, on l'affronte lorsqu'on refuse de le servir. Nos politiciens de l'intérieur sont avertis que personne n'est à l'abri d'une arrestation sauvage - sous n'importe quel prétexte comme le sont Modeste Boukadia, Paulin Makaya, le Général JMMM et tant d'autres qui croupissent à la DST ou à la DGST. Le pouvoir de Denis Sassou Nguesso ne tient plus que par la force. C'est par la force qu'il doit tomber. Il est venu par les armes, il ne partira que par les armes. Toute autre solution est illusoire et utopique car non réaliste.

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

CONGO/MINISTERE DE L'INJUSTICE : ON S'ATTENDAIT A L'ATTAQUE GROTESQUE CONTRE ANDRE OKOMBI SALISSA
CONGO/MINISTERE DE L'INJUSTICE : ON S'ATTENDAIT A L'ATTAQUE GROTESQUE CONTRE ANDRE OKOMBI SALISSA
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20 novembre 2016 7 20 /11 /novembre /2016 21:44
PRIMAIRES DE LA DROITE : LA CHUTE DU FAUCON SARKOZY QUI NE SERA PAS AU SECOND TOUR

Les Français se choisiront un nouveau maître en France en 2017 qui régnera sur l'empire colonial français par la même occasion. En attendant, les partis politiques doivent choisir leurs candidats à la future élection présidentielle. Nous assistons pour le moment aux primaires de la Droite et du Centre qui viennent de voir la chute du faucon Sarkozy dont les discours extrêmes et excessifs avaient un goût de revanche. Nicolas Sarkozy, candidat des médias appartenant à ses amis est arrivé en troisième position après François Fillon largement en tête (44%) et Alain Juppé qui vient de prendre une jupe là où Sarkozy a pris une culotte très courte (21%, la moitié des voix de Fillon). Juppé est second avec 28%, seize points d'écart avec François Fillon. Les sondages ont encore parié à l'arrivée sur le mauvais cheval car tous prédisaient Juppé en tête. Ce n'est pas grave : mieux vaut se prendre une jupe qu'une culotte courte car la jupe vous conduit au second tour des primaires. La crainte, c'est que la jupe se transforme en jupette au second tour... 

On aurait tort de croire que ce qui se passe en France ne nous concerne pas : le prochain chef d'Etat aura le pouvoir de faire ou de défaire les gouverneurs noirs dans les ex-toujours colonies françaises, de faire la guerre à mille lieux de la France contre des peuples qui ne lui ont pas déclaré la guerre. Celui qui est élu en France détiendra le pouvoir de serrer ou de desserrer l'étau de nos chaînes. Roi en France, empereur en Afrique francophone tenue par le franc cfa. Comme tout le monde le sait, les affaires africaines sont un chapitre régalien de l'Elysée car elles ne se traitent pas à l'assemblée comme les autres affaires mais dans les curies élyséennes. Comme la droite fait bon ménage avec les dictatures africaines qui gèrent les pays africains par procuration, c'est Sassou qui jubile. Sa dictature a de beaux jours devant elle. Cependant, personne ne peut maîtriser le destin à 100%. Cependant, si les dictatures et les guerres de conquête ont de beaux jours devant elles, l'immigration aussi...

Le deuxième tour de la primaire de la Droite et du Centre opposera François Fillon à Alain Juppé. Bien sûr, s'il a lieu car d'aucuns voudraient arrêter le processus démocratique au nom d'une fumeuse unité des Républicains. Pas certain que Juppé marche dans la combine que les maîtres de la France veulent concocter pour assurer la victoire d'un tenant de l'establishment. D'ailleurs, il a affirmé qu'il continue le combat. Si Fillon a retourné la situation en sa faveur, Alain Juppé peut aussi espérer un miracle. Les partis républicains savent que la Gauche est laminée et que la menace Le Pen peinte en bleu Marine rôde. Et elle a pris des formes et des forces depuis la victoire de Donald Trump aux Etats-Unis. Impossible n'est plus politique...

Nicolas Sarkozy a-t-il compris que les Français ne veulent plus de lui ? N'est pas De Gaulle qui veut - surtout quand on n'est même pas gaulliste. Il faut savoir lâcher la politique avant qu'elle ne vous lâche. Hélas, la soif de pouvoir habite certains hommes plus que d'autres. L'homme qui reprochait le dérèglement climatique à la hausse de la population africaine n'aura pas l'occasion de mettre en place une quelconque politique de réduction démographique au Nigéria. Les fausses vaccinations se chargent déjà de rendre les femmes noires stériles. Cela lui a suffi d'avoir le sang de Mouammar Kadhafi sur les mains.

L'enjeu caché voudrait qu'élire un candidat de droite à l'élection présidentielle reviendrait presque à élire le prochain président de la France, empereur de l'AEF et de l'AOF. Cependant, les sondages et les manipulations de la presse sous influence ne fonctionnent plus comme auparavant. Il pourrait y avoir une surprise. Dans les décombres de la Gauche en lambeaux a surgi un Macron aux aguêts qui veut aussi croiser le fer avec la rose bleue de Marine Le Pen. Le sort de la prochaine élection présidentielle dans l'Hexagone semble aussi incertain que le destin politique de la France. Si la morgue hautaine d'un Sarkozy ne viendra plus hanter les chaînes de télévision de ses amis Bouygues et compagnies, il est à redouter que le prochain chef d'Etat soit encore de ceux qui déçoivent car le pouvoir le vrai n'est pas dans les promesses mais entre les mains de ceux qui ont le pognon qui réalise les promesses. En clair, le déclin de la France se poursuivra. Nos angoisses françafricaines aussi car la Droite au pouvoir en France, les gouverneurs noirs sur le continent africain dansent. Ils le font déjà même quand le pouvoir est à Gauche. Alors, c'est bonnet blanc, blanc bonnet...

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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19 novembre 2016 6 19 /11 /novembre /2016 19:23
CONGO : NAISSANCE DU FRONT PATRIOTIQUE POUR LA RESTAURATION DE LA DEMOCRATIE

Trop c'est trop !
La vie semble s’arrêter en République du Congo. Tous les indicateurs de la vie nationale sont au plus grand rouge. Aucun secteur d’activités de notre pays n’affiche un visage de sérénité. Ils accusent tous des signes d’essoufflement. Le Congo, notre beau pays présente un paysage fatidique et désastreux.
Le pays n’est qu’un champ de ruines et se trouve en état de total abandon. Le désordre dans nos départements, la faillite dans le secteur économique du pays, la misère qui touche les 98% de la population, la terreur dans le Pool, constituent les traits les plus frappants de l’œuvre grandiose que le règne Sassou a bâtie en République du Congo.
L’œuvre de destruction systématique instituée au cœur de l’activité de l’Etat, a précipité le pays dans un véritable gouffre chaotique sans issue, la corruption, l’anarchie, l’embourgeoisement, l’impunité, l’arbitraire, le totalitarisme, la tyrannie, la rapine, la voracité, la concussion, l’individualisme, l’injustice, l’insouciance, l’exploitation, l’aliénation, l’incurie, le gaspillage, le clientélisme, etc…
Depuis lors, le soleil qui apporte les rayons du bonheur aux habitants de la planète, a cessé de se lever dans les horizons du pays.
Aujourd’hui, plus qu’hier, notre pays, le Congo vit dans une atmosphère de fin de règne. La démission de l’Etat est totale. Le pays est comparable à une jungle, sinon à de l’herbe séchée et broutée.
Le tissu économique est en parfaite décomposition, le chômage bât tous les records et affecte plus de 90% de la population, la tension inflationniste brûle tous les baromètres, l’appareil judiciaire est en état de grippage grave, l’insécurité des personnes et des biens, la faim, la misère, la prostitution sous toutes ses formes, la toxicomanie, les maladies et autres épidémies sont autant des fléaux qui s’abattent sur la vie de la population, au point que le nombre de morts qu’on déplore quotidiennement est enregistré au rythme d’une véritable hécatombe.

Le Congo est un pays où la vie ne sourit plus à personne. La société congolaise, gagnée par le profit et l’individualisme, est en manque d’humanisme cruel. Si bien que les vivants commencent réellement à envier les morts. Mais, tout le monde vit dans l’espoir d’une délivrance qui tarde à venir.
Du coup la misère, entraînant l’extrême pauvreté, le saccage au Pool et la brimade des cadres sélectionnés en clan, déferle un vent important dans son sillage un régime autocratique sans réelle assise d’expression populaire, provoque une mobilisation d’énergies fortes au peuple opprimé qui croit fermement être désormais devant la porte de cette délivrance tant attendue.
Les ambitions obsolètes de la 4ième République qui animent la vie de l’Etat moribond et agonisant, la pression forte du côté du peuple opprimé qui réclame mordicus la tenue du dialogue sincère en vue de hâter l’avènement de nouvelles ambitions d’une démocratie restaurée en lieu et place de celle de la dictature sourdine de monsieur Sassou. Ce dernier s’accroche et est obligé de sacrifier le PCT - Parti Etat pour endosser celui de PCT - Parti enfants (privé).
Cela entraîne une chose qui se répercute sur la scène politique de notre pays, renvoie les échos qui sont généralement interceptés par le peuple en terme de graves bruits de ménage, le Chef de l’Etat opère une démocratie de façade en vue d’assurer la pérennité de son régime.
Dans sa formule actuelle, quoique fort contestée par le peuple, est la seule carte politique valable que Monsieur Sassou exhibe en employant des moyens militaires non conventionnels.
Le Congo est vide de toute sa substance dans son effort de vouloir concilier le réel et l’irréel, le vrai et le faux, le bien et le mal, au point que les véritables sujets de fond sont restés pendants à ce jour en terme de grandes interrogations au cœur de la conscience.
Il est aisé de comprendre la raison fondamentale de la tenue du dialogue, posant un vrai débat de fond. Nous sommes appelés à initier ce débat dans le but de rechercher à cimenter la cohésion nationale dans un océan de culture et de traditions aux sensibilités diverses.
C’est dans cette optique qu’est née le FPRD afin de poursuivre la lutte armée tant que n’auront pas cessé la présence de l’armée dans le Pool et les tracasseries dont sont victimes les Congolais sur le territoire.
Arrivé au pouvoir à la faveur d’un coup d’Etat, celui qu’on croyait être l’homme providentiel qui allait promouvoir les conditions d’une véritable paix sociale dans le pays, s’est révélé immédiatement comme un bon plongeur au service d’un clan et de ses enfants, peu soucieux de l’intérêt supérieur du peuple à qui il va même priver jusqu’aux miettes du juteux gâteau pour lequel il s’était battu à forger son chemin dans le roc. Monsieur Sassou a fait saigner de sa veine droite, toute l’économie du pays pour se constituer une fortune personnelle considérée comme l’une des plus importantes du monde.
La corruption - érigée en système de gouvernement dans un pays qui avait tous les atouts pour promouvoir les conditions d’un réel développement - avait été l’élément essentiel qui allait conduire à la dérive. Si bien que l’importance de la fortune accumulée par la classe dirigeante du pays, grâce à ce système de corruption, est à la hauteur même de l’état de pauvreté dans lequel se trouve la population congolaise. Ainsi, le paradoxe est curieux quand on sait que le Congo est riche, mais que la population est extrêmement pauvre.
Pour couvrir ce système honteux qui allait permettre à la clique au pouvoir de s’enrichir, toute une architecture morale basée sur le sophisme aliénant fut planifiée dans le but de dérouter et d’aveugler les consciences, de manipuler et d’embrouiller les esprits.
C’est dans ce contexte qu’est née le CNRTV avec ses puissants instruments de propagande, distraire en dirigeant le peuple sur des fausses pistes pendant qu’ils se renflouent les poches.
Tout a été fait pour écarter le peuple du festin national auquel il avait droit, ainsi, depuis plusieurs décennies, ils ont fait chanter et danser le peuple congolais pendant qu’eux-mêmes ont la bouche pleine.
Voilà comment tout un peuple est pris en otage et réduit à la misère la plus noire. 
Nous encourageons les généraux et autres officiers pour leur assistance multiforme, pour divers services rendus au Front Patriotique pour la Restauration de la Démocratie. Par ce geste patriotique, nous tendons la main aux autres les invitant à se rallier au mouvement pour qu’ils soient amnistiés après la chute de ce régime.
A cet effet, un appel au front commun est officiellement lancé à tous les Congolais patriotes. La prise de conscience, la détermination de soi et la mobilisation de l’ensemble des congolais s’imposent. Soyons tous unis du nord au sud. Evitons l’esprit du fanatisme aveugle car la famine, la misère et la souffrance n’ont pas de clan tribal.
Le Front Patriotique pour la Restauration de la Démocratie est l’allié sûre de tous les Congolais pour l’unité, la réconciliation nationale et la restauration de la démocratie chèrement acquises pendant la Conférence Nationale.

Le FPRD : Front Patriotique pour la Restauration de la Démocratie    

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18 novembre 2016 5 18 /11 /novembre /2016 18:29

Depuis le 4 avril 2016, les Congolais considèrent leur pays désormais en état de siège, tellement la présence d'hommes armés est généralisée sur toute l'étendue du territoire - surtout dans le sud du pays où vivent les Bakongo poursuivis par la haine féroce de monsieur Denis Sassou Nguesso, gangster en chef de son Etat. Il devient dangereux de se promener la nuit dans certains quartiers à Brazzaville et à Pointe-Noire à cause de la présence permanente de mercenaires armés dans les rues. Le régime dictatorial venu des bords de l'Alima redoute un coup d'Etat d'une force étrangère venue d'un pays limitrophe qui profiterait de la crise du Pool pour envahir le Congo. Monsieur OUI POUR SANG, le sang des autres, a demandé l'aide de ses amis dictateurs (Dos Santos, Kagamé, Nkurunziza, etc) pour faire face à la menace fantôme. Il est très difficile de combattre un ennemi invisible fictif ou réel ; on finit par tomber dans la psychose. Comme tous les serpents venimeux, Denis a peur et préfère l'attaque à la défense. N'est-il pas le cobra royal ?

Pendant que Denis Sassou Nguesso et son épouse sont au Maroc, plus exactement à Marrakech, pour assister à la COP22 qui lui a permis d'inventer un FONDS BLEU qui lui permettra de s'enrichir de plus bel, le Congo est sous état de siège selon nos sources qui viennent de nous envoyer des photos de véhicules remplis de soldats étrangers - notamment angolais... On signale la présence de mercenaires angolais à Pointe-Noire et dans tous les villages du Kouilou où les check-points sont légions. Comment les populations savent-ils qu'il s'agit d'Angolais ? Il suffit de les entendre parler. C'est aussi simple que ça. Quand vous entendez des hommes en armes parler Portugais, vous pouvez imaginer d'où ils viennent.

Nos prédictions s'avèrent souvent justes. Nous vous avons prévenu depuis longtemps que la crise du Pool s'étendra à tout le sud car le monstre de l'Alima poursuit un objectif clair : réduire les populations des Bakongo, tous les Bakongo (le préfixe Ba étant un pluriel, nous ne mettons pas de s à Bakongo mais quand nous écrivons les Kongos, oui). Nous lisons ici et là que de paisibles citoyens sont rackettés à Pointe-Noire et ailleurs quand ils ne sont pas purement et simplement assassinés.  Réfléchissez : le pasteur Ntumi est quelque part, lui qui empêche désormais Sassou de dormir. Si on ne le trouve pas dans le Pool, on ira voir ailleurs - toujours au sud. Ce qui fait que la cachette idéale pour Ntumi se trouve au nord...

Rien à première vue ne justifie la présence de mercenaires angolais dans notre pays - d'autant que le président Dos Santos a affirmé ne plus vouloir se mêler de la politique intérieure du Congo. visiblement, il a menti. Des accords ont été signés entre Denis Sassou Nguesso et Dos Santos, président de l'Angola, entre autres chefs d'Etat, dans le cadre sécuritaire sous-régional. En échec devant le pasteur à la kalachnikov, Denis Sassou Nguesso a demandé de l'aide à ses voisins dictateurs pour se prémunir d'un coup de force. Cependant, le ver est dans le fruit. Ce n'est plus qu'une question de temps pour qu'il pourrisse...

     LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

CONGO/ETAT DE SIEGE : LA PREUVE EN IMAGES QUE LES MERCENAIRES ANGOLAIS SONT DANS LE PAYS
CONGO/ETAT DE SIEGE : LA PREUVE EN IMAGES QUE LES MERCENAIRES ANGOLAIS SONT DANS LE PAYS
CONGO/ETAT DE SIEGE : LA PREUVE EN IMAGES QUE LES MERCENAIRES ANGOLAIS SONT DANS LE PAYS
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18 novembre 2016 5 18 /11 /novembre /2016 13:46
Voici la preuve que le Pool est en crise. Même une vieille dame est obligée de quitter son village en s'aidant d'un bâton. Et Sassou ose dire que tout va bien dans le Pool ?

Voici la preuve que le Pool est en crise. Même une vieille dame est obligée de quitter son village en s'aidant d'un bâton. Et Sassou ose dire que tout va bien dans le Pool ?

Nous avons apprenons de nos réseaux militaires qu'une vaste opération d'envergure est actuellement en cours dans le Pool, en ce moment même, pendant que nous postons ce texte. En langage militaire, cela signifie que d'énormes moyens en hommes, en matériel (hélicoptères, chars, véhicules tous terrains blindés, etc) et en logistique ont été mobilisés pour la chasse au pasteur Ntumi. Il s'agit en un mot de résoudre le problème Ntumi en une fois. Seulement, si nous sommes au courant, Kinzinza Kia Nzambi doit aussi l'être. Ceux qui vont encore trinquer si on trouve pas le pasteur Ntumi, ce sont les paisibles paysans du Pool. A l'heure du téléphone portable, les nouvelles vont vite, très vite - surtout si elles sont données par le haut commandement de l'armée lui-même.

La soldatesque qui fait la "faiblesse publique" d'Etat est en ce moment aux abords de la forêt de Bangou où l'on croit Ntumi retranché avec ses proches. Denis Sassou Nguesso a demandé à ses mercenaires d'y entrer et de traquer Ntumi et les ninjas nsiloulous dans cette jungle qu'ils connaissent mal. Chaque soldat est payé 25000 francs par jour pour risquer sa vie pendant que le seul Général d'armée du Congo boit son scotch de 50 ans d'âge au bord de sa piscine, un scotch qui coûte des millions par bouteille ! A ce prix, on se rend compte combien Sassou accorde de l'importance à ceux qui défendent son pouvoir. Comme vous êtes programmés et condamnés à obéir aveuglement à votre tyran,

Bo kota na nzamba BANGOU soki bo kokoka ! 

Il semble que Ntumi averti de cette offensive n'y soit plus mais attendons que de nouvelles informations nous parviennent. De toute façon, rien ne nous dit que le pasteur Ntumi se trouve dans la forêt de Bangou. Si Denis Sassou Nguesso et ses sbires avaient cette information depuis longtemps, pourquoi avoir passé du temps à massacrer les paysans et à brûler leurs villages ? Si pour avoir une petite information fiable, il faut attendre huit mois, à quoi sert Jean Dominique Okemba et tout l'appareil du renseignement de la dictature Sassou ? En fait, ce qui fait la force de ce régime, c'est la faiblesse de la réaction en face du camp des démocrates.

Nous apprenons qu'un nouveau pont a été détruit ce matin à 3 heures entre Mbandza Ndounga et Linzolo. Ntumi et ses proches résisteront jusqu'au bout. Par tous les moyens. Et empêcher l'ennemi d'avancer ou retarder sa progression est une forme de résistance - même si le peuple en pâtit aussi. Nous souhaitons que les ninjas nsiloulous fassent plus que résister en entrant à Brazzaville - ce qui peut se faire si Ntumi réussit à infiltrer des ninjas nsiloulous à Brazzaville. Pendant que Sassou concentre ses forces dans le Pool, pourquoi ne pas tenter une percée à Brazzaville ? Ntumi doit désormais envisager de renverser Sassou par la force. La force d'Etat devenue faiblesse publique a montré toute son incompétence. Ce pouvoir venu des bords de l'Alima n'est pas si redoutable que ça car qui prendrait au sérieux une armée qui se contente de massacrer de pauvres paysans en les pillant au passage ? Personne.

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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17 novembre 2016 4 17 /11 /novembre /2016 23:28

Depuis le 4 avril 2016, comment décrire ce qui se passe dans le Pool ? Est-ce une "opération de police" contre des "bandits" qui tourne mal ? Une "guerre totale" comme le pense la LC ? Dans ce cas, contre qui ? Tous les habitants du Pool ? Autrement, elle ne serait pas totale ! Quelle intention véritable poursuit Denis Sassou Nguesso dans le Pool ? Et bientôt au-delà - puisque la Bouenza a déjà été bombardée ? Si la cible est Ntumi, comment expliquer les bombardements aveugles et la destruction de tous les villages de cette région dont les maisons sont brûlées comme si on ne voulait pas que les populations reviennent ? Tous les habitants du Pool sont-ils devenus des "bandits" à abattre aux yeux de Denis Sassou Nguesso ? En effet, dans la représentation du monstre de l'Alima, Ntumi est passé de "terroriste" à "bandit" (cf. sa dernière conférence à Maya-Maya). Si on doit tuer un terroriste, on se doit de capturer un bandit. Ce glissement d'échelle n'est pas anodin. Le monstre de l'Alima a bien spécifié que Ntumi ne sera pas tué mais capturé pour être jugé. En attendant, Brazzaville alimentée par le Pool commence à ressentir le coût de cette opération MOUEBARA II sur la vie de tous les jours. Que les conséquences soient l'asphyxie économique de Brazzaville importe peu au régime de Mpila qui fait venir sa nourriture par avion de l'étranger. Denis Sassou Nguesso importe même ses mangues - alors que le pays en produit de très bonnes. De toute façon, ceux qui subissent une crise alimentaire dans ce génocide planifié, ce sont les populations bakongo de Brazzaville forcées de recevoir des parents ayant déserté la région du Pool. Le moungouélé a beaucoup maigri - même si son prix lui a augmenté - et il faut encore le partager à Diata ou à Bacongo avec ceux qui ont réussi à s'extirper du piège tendu par monsieur OUI POUR SANG dans le Pool... 

Nous avons l'habitude de lire la presse internationale qui s'efforce de fournir une information quelque peu neutre - sans parti pris, ce qui est un exercice difficile. Cependant, lorsque des enjeux économiques entrent en ligne de compte, on se soucie plus de profit, de chiffre d'affaires que de vérité. Nommer les choses comme il se doit devient très délicat. Lorsque la presse utilise des mots, elle les choisit à dessein. Souvent, pour éviter des attaques, des procès, elle fait usage d'euphémismes qui édulcorent la réalité. Non, dans le Pool, il n'y a pas guerre car il n'y a pas face à face deux armées qui se combattent selon les règles conventionnelles de genève régissant la guerre - même si on peut noter des actions de guérilla, somme toute de défense, de la part des proches du pasteur Ntumi. Il n'y a pas guerre quand on bombarde et détruit des villages, rasant les maisons, brûlant le reste. Nous avons entendu Denis Sassou Nguesso demander aux populations de ne pas fuir mais d'attendre tranquillement les bombes et les balles perforantes de ses mercenaires. Ici, dans le cas du Pool, on ne peut pas parler de guerre, tellement les moyens des mercenaires publics sont disproportionnés par rapport à ceux des hommes du pasteur Ntumi qu'on ne voit même pas sur le terrain - que la dictature venue des bords de l'Alima est obligée de fabriquer de faux ninjas-nsiloulous ! 

Dans le Pool, il y a un assaillant, avec volonté d'anéantissement : Denis Sassou Nguesso et de l'autre, un homme, un pasteur, forcé de se cacher et de SE DEFENDRE. Ntumi se trouve en situation de légitime défense. Monsieur OUI POUR SANG, le sang des autres, veut raser le Pool, l'effacer de la carte, quel qu'en soit le prix. Ntumi ? Un simple prétexte. Tant que l'opération d'anéantissement régional n'aura pas atteint son objectif, rien ne changera. Ce qui démontre en suffisance que Denis Sassou Nguesso n'est pas pressé de capturer l'homme qui tient dans la main droite une kalachnikov et dans la gauche une Bible. Des rumeurs font état d'ordres de repli donnés alors que Ntumi serait en ligne de mire. C'est une rumeur, disons-le, mais chez nous, la rumeur est la queue de la vérité.

Qui se préoccupe au niveau international de ce génocide contre les Bakongo ? Personne. La France est absorbée dans sa politique intérieure avec probable renouvellement des élites politiques lors de la prochaine élection présidentielle tandis que l'Amérique se demande que va faire Trump nouveau président élu. Et il ne faut pas oublier l'Irak, la Syrie et Daesh avec pour conséquence des tensions terroristes plus fortes. Nous ne pouvons compter sur personne. Le Pool est une poule encerclée par des vautours qui veulent la déchiqueter.  La Bête de l'Alima a du temps devant lui pour atteindre son objectif d'anéantissement du Pool. En attendant, il consolide son pouvoir volé au peuple congolais. Il recherche des solutions pour faire face à la faillite qui guette l'Etat. Distraire le peuple en l'obligeant à s'apitoyer sur le trauma causé dans le Pool pour faire oublier et la crise économique et la crise politique. Voilà, des conséquences bénéfiques au régime - sans compter de l'affaiblissement de la seule force de résistance qui reste au peuple congolais : les FALC ou Forces Armées de Libération du Congo.

 

    LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

PRESSE/POOL : GUERRE TOTALE OU PROJET D'ANEANTISSEMENT TOTAL D'UNE REGION ?
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17 novembre 2016 4 17 /11 /novembre /2016 22:47

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