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31 janvier 2017 2 31 /01 /janvier /2017 10:22
NOUS DEMANDONS AUX AFROFRANCAIS UNE IMPLICATION ETUDIEE A LA PROCHAINE ELECTION PRESIDENTIELLE

Quand le Général Mbaou est passé hier sur France 24, nous avons été surpris de découvrir que son compte bancaire bloqué par le ministère des finances et le ministère de l'intérieur de la France n'a que 1000 euros. Réfléchissez : qui peut organiser des activités subversives ou insurrectionnelles avec une aussi modique somme ? Personne ! Vous aurez tous compris que l'Etat français viole le principe de la non ingérence en protégeant Denis Sassou Nguesso car les preuves de "terrorisme" manquent contre le Général Ferdinand Mbaou mais il est très facile de comprendre que la France a agi sous injonction de Denis Sassou Nguesso, un dictateur qui vient ordonner à un Etat de violer les lois d'une veille démocratie (ou ce qui en reste) !

Il y a une parfaite symbiose entre la dictature des crocodiles de Mpila et son maître extérieur élyséen. Il est erroné de croire que les serviteurs ne peuvent en imposer aux maîtres. L'intérêt du maître est celui du serviteur et celui du serviteur, devient aussi celui du maître. Ainsi se constate la symbiose. L'Hexagone est sous influence de la dictature de Mpila car ce n'est pas la première fois que le régime du PCT demande à ce que l'on nuise à un citoyen congolais au pays de Voltaire : des jeunes congolais ont été arrêtés en France à la demande de Denis Sassou Nguesso.

La France se mêle ouvertement des problèmes qui ne la regardent pas, non ingérence prise en compte : c'est notre combat de restaurer la démocratie dans notre pays, c'est notre lutte de combattre la dictature par tous les moyens. A quel titre le gouvernement français veut nous empêcher de lutter contre une dictature qui oppresse notre peuple ? La seule réponse est qu'elle le fait au titre d'ordonnateur de Denis Sassou Nguesso qui est son "gouverneur" noir.

Ceux qui en appellent à la France pour sortir le Congo de l'impasse dictatoriale, de la parenthèse de larmes et de sang qui a du mal à se refermer dans notre pays, doivent réaliser que l'appel à l'aide ou les imprécations à l'endroit de la France ne donneront pas les résultats escomptés. Il faut procéder autrement et les AfroFrançais ont les moyens d'agir simultanément et sur la politique intérieure et sur la politique extérieure de la France.

J'ai lancé, le 9 janvier 2016, à l'assemblée nationale française, l'idée du vote intelligent lors des élections internes en France. Il s'agit de faire tomber tous ceux qui soutiennent les dictateurs dans nos pays. Si vous vous emparez de cette arme politique légale, vous pouvez changer les choses en France et par ricochet en Afrique. Et si les choses changent dans la Métropole de façon à modifier la politique extérieure de la France et ses rapports sulfureux avec les dictateurs et les dictatures, vous verrez peu à peu les hommes politiques français cesser de soutenir des monstres comme Denis Sassou Nguesso. Le coeur de la souffrance est là où se trouvent nos racines mais celui qui tient les chaînes et le fouet réside à l'Elysée. Nous avons mission de ne plus voter juste en nous souciant de la politique intérieure de la France qui en réalité ne change pas, qu'il s'agit de la Gauche ou de la Droite car les politiciens obéissent aux deux cents familles qui possèdent ce pays. En politique, il n'y a en fait qu'un seul parti en Métropole : les intérêts de la France. Or, ces intérêts sont en grande partie composée du pillage et de la mainmise que les multinationales françaises exercent sur les ex-toujours colonies françaises - comme le témoigne l'usage du franc cfa. La stratégie doit être celle de procéder par élimination des alliés des dictateurs pendant les élections présidentielles, législatives, sénatoriales, etc.

AFROFRANCAIS DE TOUTES LES ORIGINES, DE TOUS LES PAYS D'AFRIQUE, UNISSEZ-VOUS !

De même que Karl Marx lança ce mot d'ordre à la classe ouvrière, de même aujourd'hui le Lion De Makanda vous appelle à vous unir pour faire tomber tous ceux qui soutiennent les dictateurs dans nos pays d'origine. Vous n'êtes certainement pas assez nombreux pour  déterminer l'ensemble d'une élection mais VOUS ETES ASSEZ NOMBREUX POUR FAIRE PENCHER LA BALANCE D'UN COTE OU DE L'AUTRE. Combien êtes-vous en France ? Des millions. Si les AfroFrançais d'origine maghrébine entendaient aussi ce cri de ralliement, nous avoir un pouvoir de décision conséquent pour faire et défaire les rois en France. Nous n'avons pas tous les mêmes opinions ou la même conception de la politique mais je sais que les Lybiens qui voient ce qu'est devenu leur pays ne peuvent rester indifférents à ce qui se passe en France.

Les partis traditionnels français sont en pleine déliquescence. De nouveaux esprits émergent mais souvent soumis au grand capital financier. Nous devons désormais "monnayer" nos voix et non les jeter à la poubelle des urnes électorales.

Nous avons apprécié la campagne de madame Gertrude Malalou Koumba et Donald Emperator dans le métro parisien - contre Manuel Valls. Il s'agit désormais de faire des marches, des meetings contre des candidats comme Fillon-Ulysse déjà empêtré des les filets du PénélopeGate.

Merci à tous ceux qui à la lecture de notre article se sont levés pour aller barrer le chemin à Manuel Valls, ami du dictateur Denis Sassou Nguesso. Le parti socialiste sort divisé de sa primaire et ne gagnera certainement pas la prochaine élection présidentielle.

Nous souhaitons que le temps d'une élection présidentielle en France que les AfroFrançais portent leurs votes sur Mélenchon pour éviter de soutenir les agents des partis traditionnels complices des dictateurs africains. Si les AfroFrançais avaient barré la route de la marche de Nicolas Sarkozy vers l'Elysée, nous n'aurions peut-être pas assisté à la destruction de la Lybie. Si Jacques Chirac n'avait pas porté son soutien à Denis Sassou Nguesso, la démocratie congolaise naissante aurait peut-être pu être sauvée. Si les Américains savaient que Bush entrainerait leur pays dans une déstabilisation de l'Irak et du monde islamique, ils n'auraient pas voté pour lui. Le comportement de l'actuel président américain Donald Trump doit déjà faire réfléchir les Américains lors de leurs prochains votes. il se pourrait que les Américains fassent perdre la majorité au Congrès aux Républicains. Wait and see.

La présidence d'un Etat est le coeur des décisions qui ont un retentissement planétaire. Le pouvoir, c'est le pouvoir de décision sur des millions de vies voir des milliards d'êtres humains. Ce n'est donc pas un choix anodin. Nous exhortons les AfroFrançais à l'union, au vote intelligent voire stratégique. Le droit de vote est une arme légale. Vos voix réunies dans les urnes sont une force de destruction massive politique. Vous avez le pouvoir d'affaiblir et d'élever. Vous avez le pouvoir de faire er de défaire les rois. Combien sont les AfroFrançais ? En tout cas, assez pour faire battre un Valls à la primaire socialiste ou pour faire battre François Fillon lors de la prochaine élection présidentielle. AfroFrançais de toutes les origines, unissez-vous et défendez l'Afrique, mère de l'humanité !

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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28 janvier 2017 6 28 /01 /janvier /2017 23:11

Lorsqu'on ne sait pas pourquoi on meurt, il faut au moins savoir pourquoi les autres vous tuent et qu'est-ce qui les motive tant. Ceux qui savent qu'ils se battent pour une cause juste sont généralement plus motivés que ceux qui se battent sans conviction et à qui on exige le sacrifice suprême, c'est-à-dire, la mort - sans véritable raison de mourir. Ceux-là aussi tuent sans savoir vraiment pourquoi ils le font comme des automates, juste parce que le monarque absolu le leur a demandé.

Dans un huis clos absolu, un drame se joue dans le Pool. Une tragédie qui n'intéresse personne, vu que la négraille canarde la négraille, le nègre égorge le nègre. C'est une absurdité dans laquelle plongent têtes baissées les enfants de notre pays. C'est triste mais c'est pourtant la réalité. Les Africains semblent si faciles à manipuler au point où ils n'hésitent pas à se livrer combat sans véritable raison. Nous vivons ce que j'ai conceptualisé comme une négro-colonisation de l'intérieur tout en subissant toujours la dictature du dehors, celle de la France qui gèle les fonds d'un digne fils du Congo désireux de délivrer son peuple : le Général Ferdinand Mbaou.

Nous mettons en ligne une vidéo filmée par un membre de la soldatesque de Denis Sassou Nguesso dans le Pool, un homme qui doit être un haut gradé, eu égard aux ordres qu'il adresse aux autres mercenaires. C'est un soldat de la milice privée de Denis Sassou Nguesso qui a envoyé cette vidéo qui circule sur les réseaux sociaux car elle sort toute chaude du champ de bataille. DANS UNE DES VIDEOS, ON VOIT DES MILICIENS FAIRE LES POCHES A D'AUTRES MILICIENS DECEDES.

La traque à l'ombre de Dieu ou Kinzinza kia Nzambi a tourné à l'embuscade vers Mindouli. C'est désormais la tactique de la guérilla que le pasteur Ntumi et ses hommes ont adoptée. Profitant de leur meilleure connaissance du terrain, ils surgissent de nulle part, tuent et prennent la fuite en emportant les armes et les munitions.

Les mercenaires qui composent la soldatesque du monstre de l'Alima s'expriment essentiellement en lingala, une des langues nationales du Congo - ce qui permet de comprendre qu'ils appartiennent à l'ethnie-Etat. D'autres vidéos faisant état de massacres de civils par décapitation circulent mais nous ne pouvons hélas les publier. Nous les conservons néanmoins dans notre base de données.

Denis Sassou Nguesso a toujours fait en sorte que des Congolais massacrent des Congolais. Les jeunes Mbochis envoyés dans le Pool savent-ils au moins pourquoi on les envoie en enfer ? Savent-ils pourquoi ils doivent mourir - alors que Denis Sassou Nguesso ne sait même pas qui ils sont ? Si votre propre supérieur hiérarchique qui vous filme vous appelle "yo" - ce qui montre qu'il ne vous connaît même pas, ce n'est pas Denis Sassou Nguesso qui sait qui vous êtes, lui qui est tout content que vous donniez votre vie pour sauver son pouvoir diabolique. Au nom de l'ethnie-Etat.

Les hommes de Ntumi se trouvent dans une situation de légitime défense. Ils n'ont pas le choix : ils doivent se défendre. Nous déplorons la mort des uns et des autres car il s'agit de part et d'autre des fils de notre pays, des vies issues de la terre du Congo. Ceux qui traquent l'"ombre de Dieu" dans le Pool doivent se dire que l'ennemi du peuple congolais, c'est l'homme qui oppose les citoyens de ce pays, les divisant par la politique de l'ethnie-Etat et les poussant à s'entre-tuer.  

D'un côté, la résistance des Ninjas-Nsiloulous par des actions de guérilla et de l'autre, le massacre de civils innocents par la soldatesque de l'ethnie-Etat, certainement par pure vengeance. L'homme qui fait couler le sang et les larmes des  autres et des siens s'est drapé dans une impunité absolue, une impunité constitutionnelle. Il ne risque donc rien en vous ordonnant de tuer ou de mourir pour lui mais VOUS, vous risquez bien vos vies et ce n'est pas un jeu.

Peuple congolais, fils du Congo, quand comprendrez-vous que le véritable ennemi du Congo, l'homme qui fait boire le sang de vos enfants à la terre des ancêtres, c'est Denis Sassou Nguesso ?

Personne n'est obligé de se soumettre volontairement à une obéissance aveugle. Certes, un soldat doit obéir aux ordres mais pas à n'importe quel ordre. Pour ne pas basculer dans la barbarie et garder sa dignité d'être humain, il doit apprendre à désobéir. L'homme qui filme cette scène doit dans son for intérieur déplorer cette situation mais il doit manger et nourrir sa famille.

Il ne sert à rien d'invoquer Jésus qui n'a rien à voir avec la mégalomanie d'un seul homme ; il faut désobéir refuser de se sacrifier pour une dictature qui conduit notre pays droit dans l'abîme. Il y a un temps pour le sommeil et l'illusion et il y a un autre pour le réveil et la prise de conscience. Nous y travaillons. Vous finirez par réaliser que Denis Sassou Nguesso est notre ennemi commun car il détruit notre pays et l'avenir de nos enfants à tous. C'est juste une question de temps. Il arrive un moment où même le pire des aveugles voit avec les yeux de l'esprit. CONGO, LAMUKA, VUMBUKA, REVEILLE-TOI, WAKE UP !

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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27 janvier 2017 5 27 /01 /janvier /2017 15:26
GEL DES FONDS DU GENERAL MBAOU : QUI PEUT ENCORE DOUTER QUE LA FRANCE SOUTIENT DENIS SASSOU NGUESSO ?

La France accuse le Général Mbaou de terrorisme - pour qu'il tombe sous le coup de la loi - en prétendant que notre soldat loyaliste entretient des troupes au Sénégal et au Nigéria ainsi qu'un réseau en France dans une intention putschiste au Congo - ce qui a entraîné le gel de ses fonds et ressources. L'examen minutieux des missives non signés adressés au Général Mbaou pour nous mais colonel pour l'Etat français, documents notifiant le gel de ses fonds et ressources, nous conduit à conclure que la France soutient ouvertement la dictature de Denis Sassou Nguesso en accusant de "terrorisme" toute personne qui s'efforce de se doter des moyens de renverser la Bête d'Edou. En fait, la France s'accommode très bien avec la dictature d'Etat qui sert ses intérêts - même des Généraux tchadiens domiciliés en font aussi les frais, preuve qu'Idriss Déby Itno est leur serviteur. D'ores et déjà, ce courrier montre que le Général Ferdinand Mbaou, l'homme qui a échappé à une tentative d'assassinat sur le sol français (une affaire qui n'a pas encore été élucidée), a été mis sur écoute et les mouvements financiers sur ses comptes bancaires passés au peigne fin à l'insu de son plein gré. Si vous voulez savoir si vous avez été mis sur écoute, il vous suffit de taper *#06# sur votre téléphone (ne pas oublier le *). Vous verrez apparaître votre numéro IMEI suivi d'un / et de 00 ou 0X, X étant le nombre de fois de mise sur écoute.

Pourtant, la France a laissé Denis Sassou Nguesso organiser son coup d'Etat de 1997 sur le sol français où il passa un long séjour avant de regagner le Congo. Le courrier confidentiel de Sassou à l'ex-ambassadeur de France à Brazzaville, monsieur André, montre que cet homme est en connivence avec la France dont il défend les intérêts. La France estime que le simulacre électoral de mars 2016 a été avalisé par la cour constitutionnelle et qu'il n'y a rien à voir. Circulez et laissez le dictateur Sassou tranquille. Pour nous, tout putsch contre un putschiste travaille pour la restauration de la démocratie partout où cela est nécessaire, la seule option respectable étant l'usage de la force comme l'a prouvé la fuite du dictateur Yahya Jammey en Gambie.

Tous ceux qui comme nous combattent la dictature du PCT doivent se sentir et se savoir surveillés, épiés car la France se doit de protéger son gouverneur noir Denis Sassou Nguesso. Tous ceux qui cherchent à alerter le gouvernement français sur le cas du Congo doivent arrêter de rêver : la France encourage, soutient, subventionne et protège la dictature des crocodiles du PCT dans notre pays. Il faut donc que les AfroFrançais cherchent à influencer la politique extérieure de la France - en faisant battre les amis des dictateurs lors des élections présidentielles et législatives. Nous vous exhortons à aller massivement voter pour Hamon ce dimanche - afin d'écarter Manuel Valls de la course à l'élection présidentielle comme vous avez fait pour Nicolas Sarkozy. François Fillon-Ulysse est pris les pieds dans le tapis de Pénélope et cela peut lui coûter son élection à la magistrature suprême. Pour ma part, je vous suggère de voter massivement pour monsieur Mélenchon - afin de donner plus de valeur à ses idées fortement ancrées à gauche. Les Français de souche votent de manière à influencer la politique intérieure - notamment la politique migratoire de la France - ce qui fait le jeu du Front National. Nous devons nous pencher sur la politique extérieure de ce pays, vu que nous souhaitons le changement dans nos pays d'origine plongés sous dictature avec la complicité de l'Hexagone.

Qu'est-ce qui caractérise le terrorisme pour que le combat contre la dictature y fasse partie ? Qui pourrait un instant croire que le Général De Gaulle était un terroriste quand depuis Londres il organisait la résistance armée contre le nazisme incarné par les SS d'Adolf Hitler pour libérer la France, son pays ? Depuis quand les terroristes sont-ils des défenseurs de peuple en butte contre la dictature ? L'article L562-1 du code monétaire et financier prévoit " le gel de tout ou partie des fonds, instruments financiers et ressources économiques […] qui appartiennent à des personnes physiques ou morales qui commettent, ou tentent de commettre, des actes de terrorisme ". Dans le cas du Général Ferdinand Mbaou, nous souhaiterions que le ministère de l'intérieur français commence par caractériser son intention de terrorisme quand il s'agit en fait de restaurer la démocratie et comme il est impossible de la terrasser par les urnes, il ne reste plus que le recours à la force. Le problème ici revient à caractériser le terrorisme. Le régime de Denis Sassou Nguesso pratique le terrorisme d'Etat. Comment comprendre que la France empêche que l'on lutte contre une telle barbarie ? Qui pourrait encore douter une seconde que le pays des prétendus droits de l'homme est paradoxalement celui qui protège le mieux les dictatures ? Voici une définition du terrorisme :

" Ensemble d'actes de violence (attentats, prises d'otages, etc.) commis par une organisation pour créer un climat d'insécurité, pour exercer un chantage sur un gouvernement, pour satisfaire une haine à l'égard d'une communauté, d'un pays, d'un système. " (Dictionnaire Larousse).

Qui peut rationnellement croire  que le combat du Général Ferdinand Mbaou entre dans cette définition ? Il est ici non pas question de création de climat d'insécurité ou de chantage, encore moins de satisfaction de la  haine à l'égard d'une communauté, d'un pays ou d'un système mais de LIBERATION DU PEUPLE CONGOLAIS. Le Général Ferdinand Mbaou est plutôt dans la stature du Général De Gaulle s'étant réfugié à l'étranger pour organiser la libération de son pays. D'autres définitions comme celle trouvée sur le site la Toupie ferait même du Général Mbaou un soldat qui lutte contre le terrorisme d'Etat. Et à cet effet, nous lisons le distinguo qui suit :

On distingue le terrorisme de la résistance (ou guerre des partisans) qui met en avant un objectif légitime en revendiquant le droit à l'autodétermination des peuples et la lutte contre l'oppression ou contre un envahisseur. Exemple : La Résistance en France pendant l'Occupation allemande, au cours de la Seconde Guerre mondiale.  (source : http://www.toupie.org/Dictionnaire/Terrorisme.htm) 

Si cela est possible, nous conseillons au Général Ferdinand Mbaou de quitter la France et d'aller s'installer ailleurs, par exemple, en Grande Bretagne, là où le Général de Gaulle alla se réfugier pour porter l'estocade à l'occupation nazie. Nous avons besoin d'un officier loyaliste pour conduire l'insurrection armée légitime dans notre pays. La lutte strictement politique ne sied que là où la lutte des idées est la règle. Si le pouvoir se prend et s'exerce par la force, il n'y a que la force qui peut restaurer l'état démocratique de la nation.

Voilà un homme qui partage la même analyse que nous en estimant que Denis Sassou Nguesso a pris le pouvoir par la force et qu'il ne partira que par la force. De toute façon, la force ne respecte que la force. Nous soutenons ouvertement et sans réserves le Général Ferdinand Mbaou dans ses initiatives car lui au moins est pris au sérieux par l'employeur de Denis Sassou Nguesso, la France. Voilà l'exemple que devraient suivre tous ces milliardaires congolais qui ont les moyens de combattre le régime dictatorial venu des berges de l'Alima par la force mais qui ne font rien. Au lieu d'acheter des villas à vos maîtresses, suivez l'exemple du Général Mbaou en organisant une force de libération nationale. Le temps des joutes purement politiques viendra. Pour le moment, le temps est à la résistance armée. Toute autre démarche est une plaisanterie. Nous avons un pays à sauver des griffes d'une dictature prédatrice féroce. Dans dix ans, il sera trop tard. Le Congo ne sera plus qu'un pays riche en ressources mais fortement endetté.

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

GEL DES FONDS DU GENERAL MBAOU : QUI PEUT ENCORE DOUTER QUE LA FRANCE SOUTIENT DENIS SASSOU NGUESSO ?
GEL DES FONDS DU GENERAL MBAOU : QUI PEUT ENCORE DOUTER QUE LA FRANCE SOUTIENT DENIS SASSOU NGUESSO ?
GEL DES FONDS DU GENERAL MBAOU : QUI PEUT ENCORE DOUTER QUE LA FRANCE SOUTIENT DENIS SASSOU NGUESSO ?
GEL DES FONDS DU GENERAL MBAOU : QUI PEUT ENCORE DOUTER QUE LA FRANCE SOUTIENT DENIS SASSOU NGUESSO ?
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23 janvier 2017 1 23 /01 /janvier /2017 20:51

Nous attendions de le voir présenté à l'injustice qui rend (in)justice dans notre pays pour apprécier s'il était torturé ou non. Tout semble indiquer que le député André Okombi Salissa tient encore debout et se permet même de sourire, maître de ses facultés : il n'était donc pas à l'article de la mort comme le prétendait la rumeur sur les réseaux sociaux. On ne peut pas le toucher avant qu'il n'ait été présenté au juge injuste du royaume. Ce n'est que derrière les barreaux qu'il faudra redouter le pire. Cela prendra des années avant qu'André Okombi Salissa ne soit jugé. L'injustice prend toujours son temps pour rendre (in)justice.

Les images témoignent de l'humiliation des menottes qui ne sont pas du tout nécessaires et surtout non indiquées pour le statut de la personne car immunité levée ou non, André Okombi Salissa reste un député, un représentant du peuple et on doit à ce titre - quoi qu'on lui assène comme fausses accusations - lui accorder le respect dû à son rang. Qu'il soit accompagné par des policiers ou des militaires cagoulés est d'un très mauvais goût : pourquoi certains policiers ou soldats du royaume seraient-ils cagoulés dans un tribunal ? Qu'ont-ils à redouter ?  A cacher ? Leur nationalité véritable lisible sur leurs visages ? Toto Ngakala, distributeur de l'injustice par procuration, devrait répondre à ces questions. Des mercenaires étrangers masqués dans un tribunal, c'est tout simplement une insulte à la justice. Ces tortionnaires ont-ils peur d'être reconnus ? Ce sont de telles images qui ternissent encore un peu plus l'injustice qui rend injustice dans notre pays, le Congo-Brazzaville, terre du kimuntu.

Comment peut-on expliquer qu'André Okombi Salissa soit présenté à ses juges-bourreaux sans la présence de ses avocats restés dehors ? Quel est ce pays où le fait d'être un avocat originaire d'un autre pays devient un délit ? Quand nous apprenons que maître Boucounta Diallo, d'origine et de nationalité sénégalaise, n'a pas été reconnu comme avocat d'André Okombi Salissa avant d'être entraîné de force à la DGST, nous sommes outrés par de tels agissements qui n'honorent pas notre pays.

Court sur pattes, sur idées et sur émotions, André Toto Ngakala ne mérite plus d'occuper son poste d'"injusticier" par procuration du royaume - même s'il s'agit d'une nomination politique. Un homme qui rend la justice doit être maître de ses émotions et non pas toujours substituer la menace et l'intimidation au droit. Si Denis Sassou Nguesso voulait exprimer la dictature de l'injustice sur le droit, il ne pouvait pas choisir quelqu'un d'autre que Toto Ngakala mais il y a une fin à tout et même l'injustice ne supporte plus une telle incompétence qui ne sait même pas simuler quelque peu la connaissance du droit.

Nous suivons cette nouvelle affaire avec beaucoup d'attention car André Okombi Salissa est bel et bien un prisonnier politique. Au delà de cette image d'une démocratie menottée, ce sont tous ceux qui ont servi ou qui servent le monstre de l'Alima qui doivent réaliser que Denis Sassou Nguesso n'a pas de coeur et qu'il ne témoigne d'aucune reconnaissance même à l'égard de ceux qui ont pris les armes et tué pour le ramener au pouvoir. la Bête de l'Alima, le grand ndzokou ne supporte pas que ceux qui l'ont servi se rebellent contre sa majestueuse personne. Il y aura beaucoup d'autres qui feront face à l'injustice après André Okombi Salissa et le statut de député ou de représentant du peuple n'est même pas un bouclier.

Nous félicitons monsieur Cidoine Moukoukou, secrétaire chargé à la communication de l'UPADS pour avoir refusé de lire le communiqué du rat pamiste Pascal Tsaty Mabiala validant le jugement du député André Okombi Salissa, laissant ce sale boulot à monsieur Patrick Kihoussa - avant même que la culpabilité du député AOS ne soit prouvée et que son immunité parlementaire ne soit levée. Pascal Tsaty Mabiala, qui a souhaité que l'on rende une justice équitable à un député arrêté avant même qu'on ne lève son immunité parlementaire - doit en prendre de la graine : le fait de servir bassement et aveuglement Denis Sassou Nguesso ne met personne à l'abri de son courroux. On ne doit jamais prendre le risque d'affronter Denis Sassou Nguesso, l'homme qui sacrifie même ses propres serviteurs pour assouvir sa soif de puissance quand les larmes et le sang des autres ne suffisent pas. Surtout pas pour lui contester son fauteuil de gangster en chef du royaume : le pouvoir est à lui et la soumission au reste du peuple. Avec Sassou, les bons sujets sont ceux qui baissent le froc comme Tsaty Mabiala - mais même avec ça, personne n'est à l'abri d'un coup de trompe d'éléphant dans le fion. Affaire à suivre...

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

PRISONNIER POLITIQUE : LE DEPUTE OKOMBI SALISSA INJUSTE JUSTICIABLE FACE A L'INJUSTICE
PRISONNIER POLITIQUE : LE DEPUTE OKOMBI SALISSA INJUSTE JUSTICIABLE FACE A L'INJUSTICE
PRISONNIER POLITIQUE : LE DEPUTE OKOMBI SALISSA INJUSTE JUSTICIABLE FACE A L'INJUSTICE
PRISONNIER POLITIQUE : LE DEPUTE OKOMBI SALISSA INJUSTE JUSTICIABLE FACE A L'INJUSTICE
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20 janvier 2017 5 20 /01 /janvier /2017 19:44
JUPADS-NIARI : MOTION DE FIDELITE ET DE LOYAUTE AU PROFESSEUR PASCAL LISSOUBA, PRESIDENT FONDATEUR DE L’U.PA.D.S

MOTION DE FIDELITE ET DE LOYAUTE AU PROFESSEUR PASCAL LISSOUBA, PRESIDENT FONDATEUR DE L’U.PA.D.S

Considérant que l’Union Panafricaine pour la Démocratie Sociale (U.PA.D.S) est une œuvre bâtie par le Professeur Pascal LISSOUBA pour servir toutes les générations de notre pays ;

Considérant que la Jeunesse est l’un des maillons sur lesquels notre Président fondateur s’était appuyé pour arriver au pouvoir en 1992 ;

Considérant que la J.U.PA.D.S est indissociable de l’U.PA.D.S et travaille à la pérennisation de l’œuvre de notre Président fondateur ;

Nous, Jeunes de l’U.PA.D.S du Département du Niari, réunis en Assemblée Générale à Dolisie le 14 janvier 2017 :

1. Témoignons notre fidélité et notre loyauté au Professeur Pascal LISSOUBA, Président fondateur de l’U.PA.D.S ;

2. Demandons à tous les .jeunes du Parti, en général, et aux Jeunes du Niari en particulier de préserver l’héritage que le Président Pascal LISSOUBA nous a laissé afin que triomphent la démocratie, la justice sociale et la paix.

 

Fait à Dolisie, le 14 janvier 2017

L’Assemblée Générale de la J.U.PA.D.S-Niari

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19 janvier 2017 4 19 /01 /janvier /2017 23:15
UPADS : POUR SE MAINTENIR AU SOMMET DU PARTI, TSATY MABIALA RISQUE DE NE PAS ORGANISER LE CONGRES 2017

 

Le 7 Avril 2016, le secrétariat national de l’UPADS, en prenant « acte » des résultats de l'élection présidentielle, a reconnu la victoire du président Denis Sassou Nguesso choisissant de se mettre en porte-à-faux avec tous les Congolais qui ont cru au changement.

Les militants du parti, en particulier, ont perçu cette décision comme une haute trahison et il a fallu que Pascal Tsaty Mabiala et les siens puissent faire une tournée dans le pays pour motiver cette prise de décision scélérate. Monsieur 4% n’a pas réussi à convaincre la base de l’UPADS qui ne lui fait plus confiance.

Autour de ces multiples rencontres les militants ont réaffirmé la nécessité de rester à l’opposition, de rassembler tous les militants et d’élever le débat au sein du parti privilégiant les idées.

Ces recommandations ont été ensuite confirmées à Dolisie par le conseil National de l’UPADS. Apparemment, le tronc du palmier n'est pas aussi pourri que sa tête...

Depuis lors, plusieurs membres du secrétariat National ce sont inscrits dans cette dynamique de rassemblement. C’est dans ce contexte que Yedikissa Dhadie Joseph, conseiller municipal de BOKO-SONGHO, une fois arrivé en France, a rencontré les militants de l'UPADS afin de partager la vision de la direction politique du parti. À cette occasion, il a également mis une attention particulière sur la jeunesse qui pour lui représente l’avenir et c’est pourquoi, il a demandé à tous les jeunes Congolais d’intégrer les structures de l’UPADS en vue de se former et produire un travail de haute qualité intellectuelle. Pour parfaire les différentes interventions, il a produit une analyse politico-économique de la gestion du pétrole au Congo Brazzaville (le document se trouve sur le site de l’UPADS). Ainsi, les militants de l’Europe, qui sont réputés hostiles au secrétariat national, ont apprécié les initiatives de ce camarade qu’ils considèrent avoir le statut d’un homme d’Etat, une personnalité qui devrait se positionner pour prendre la tête du parti en se présentant au poste de premier secrétaire du parti lors du prochain Congrès de l’UPADS.

Dans cette même optique, l’Honorable Guillaume Foutou a commencé une tournée dans le grand Niari pour expliquer à tous militants la nécessité de continuer à militer au sein parti en privilégiant l’unité et la solidarité pour consolider le progrès. Il veut incarner également une orientation nouvelle dans laquelle la jeunesse devra intégrer un rôle majeur. En effet le député prône l’alternance générationnelle qui pourrait apporter un nouveau son de cloche à l’UPADS et au Congo. L’Honorable Guillaume Foutou représente aussi une alternance acceptable à Pascal Tsaty Mabiala, fossoyeur de l’œuvre de Pascal le Grand dont nous invitons la progéniture à défendre l’héritage de leur père comme le font les rejetons Kolélas – même si nous déplorons certaines connivences avec le système. Pour la petite anecdote, les enfants du président Marien Ngouabi doivent aussi s’intéresser au PCT, le parti laissé par leur père que Denis Sassou Nguesso a dévoyé en le transformant en parti de courtisans. Cela ne veut en rien dire que les partis qui sont des ouvrages publics soient héritables. Cependant, il serait bon que les descendants défendent la mémoire ou les idées de leur ascendant – afin que leur œuvre politique ne soit pas dénaturée au détriment du peuple.

A part ces deux élus, plusieurs autres membres du secrétariat national ont commencé à travailler dans ce sens pour rehausser le niveau du parti. Nous leur souhaitons d’aller jusqu’au bout de leur démarche – s’ils ne veulent pas que Pascal le petit détruise l’œuvre du professeur Lissouba Pascal, le Grand.

Ainsi, dans ce contexte ainsi défini où Pascal Tsaty Mabiala semble avoir été vomi par ses militants, Yedikissa et Foutou peuvent-ils être une alternative crédible au poste de premier secrétaire ? Assurément, oui car il faut que l’alternance s’exprime aussi au sein de l’UPADS au lieu de n’être exigée qu’au sommet de l’Etat. Avec 4% à la dernière élection présidentielle, Pascal Tsaty Mabiala a perdu toute légitimité à représenter les militants du parti qui l’ont renié à cause de ses collusions avec la dictature du PCT et de Denis Sassou Nguesso.

En effet, en Juin, devra se tenir le congrès du parti et les militants devront choisir de reconduire Tsaty Mabiala au poste de premier secrétaire ou de changer la direction politique. La température indique que Pascal Tsaty Mabiala, l’homme qui utilise l’UPADS comme tremplin pour un enrichissement personnel, est plus proche de la sortie qu’autre chose.

Après avoir obtenu à peine 4 % des suffrages exprimés aux élections présidentielles, Pascal Tsaty Mabiala a démontré ne pas avoir les compétences nécessaires pour prendre le pouvoir au sommet de l’ETat et c’est pourquoi les militants seraient en train de se préparer pour lui donner un « coup KO » .

Etant conscient de cela, le premier secrétaire aurait envisagé de ne pas organiser le Congrès car le parti, qui a construit un siège et participé à toutes les élections, n’aurait plus l’argent. Ce qui n’est pas vérifié du tout. C’est un subterfuge pour continuer son boukoutage au sommet des trois palmiers dont il est le gérant.

Par la même occasion, Il n’est pas exclu que Tsaty Mabiala utilise sa fibre PCT pour arrêter ou pour écarter tous les potentiels concurrents. A regarder de près, cet homme utilise les mêmes ficelles que Denis Sassou Nguesso pour se maintenir au sommet de l’UPADS : corruption, violence, menaces, arrestations commandées, etc.

En effet à Dolisie, certaines cellules proches de monsieur Sayi (élément inconditionnel et cerveau penseur machiavélique du Premier Secrétaire Tsaty Mabiala) auraient déjà essayé d’atteindre physiquement l’Honorable Foutou, successeur potentiel du rat palmiste Tsaty Mabiala au sommet des trois palmiers mais fort heureusement, elles auraient échoué dans leur volonté machiavélique.

Pascal Tsaty Mabiala pourrait reporter tout simplement le congrès 2017 de l’UPADS en 2019 comme Kabila avec les élections en RDC – question de gagner du temps. Selon cette hypothèse, il ne serait pas envisageable d’organiser un Congrès tant que la situation sécuritaire dans le Pool n’est pas réglée et que tous les prisonniers politiques ne soient pas libérés. Ce qui n’a absolument aucun rapport, le Congrès du parti n’impactant en rien sur la situation dans le Pool tout comme dans le maintien ou la libération des prisonniers politiques - surtout quand l'on apprend que Pascal Tsaty Mabiala aurait voté la levée de l'immunité parlementaire d'André Okombi Salissa. La taupe du PCT qui a infiltré le parti aux trois palmiers doit être éjectée du sommet du parti.

Une chose est sûre : à six mois du Congrès, aucune communication n’a été faite de façon officielle pour se préparer pour le Congrès et la question de l’organisation devient de plus en plus urgente.

Pascal TsatyMabiala, va-t-il organiser le Congrès en 2017 ? L’avenir proche nous le dira…

P. BOUANGA MADINGOU, MILITANT DE L'UPADS

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18 janvier 2017 3 18 /01 /janvier /2017 22:22
Le dictateur Yahya Jammeh

Le dictateur Yahya Jammeh

Pour que la démocratie électorale devienne un fait ordinaire en Afrique, il faut que tous les chefs d'Etat acceptent l'alternance politique au lieu de s'accrocher à leur fauteuil présidentiel - quitte à tripatouiller les résultats ou carrément à les nier quand ils ne bricolent pas tout simplement les chartes constitutionnelles à leur guise. Plus facile à dire qu'à faire. De quoi se demander comment la démocratie a réussi à prendre racines ailleurs - alors que les passions humaines sont les mêmes ici ou là, l'homme noir n'étant pas le seul assoiffé du pouvoir. Il n'y a pas plus de soif du pouvoir en Afrique qu'ailleurs ; la seule différence, c'est la rigueur et la solidité des institutions et la volonté des peuples à ne plus tolérer la dictature.

La volonté de puissance d'un Sassou rappelle celle d'un Hitler. Nous ne sommes pas moins humains que ceux qui se sont faits à l'alternance démocratique et aux droits du citoyen. Après tout, il n'y a pas très longtemps que des rois de droit divin ont été évincés en Europe. Gardons espoir car l'espoir est permis. Sans le savoir et le vouloir, les dictatures forgent notre volonté démocratique. L'exercice du MAL permet à l'entendement humain d'entrevoir la vraie nature du BIEN. Sans le savoir, la dictature travaille pour la démocratie par la dialectique attraction des contraires.

Le cas Yahya Jammeh, président sortant de la Gambie, est typique d'une volonté manifeste de nier le droit pour se maintenir au pouvoir contre la volonté du peuple comme l'a fait Denis Sassou Nguesso au Congo Brazzaville. En effet, battu loyalement et de façon transparente, l'homme qui un temps a reconnu sa défaite, refuse de quitter le pouvoir. Face à un dictateur, quand la réponse intérieure n'est pas possible pour instaurer ou restaurer la démocratie sur son piédestal, peut-être qu'il faudra désormais envisager des actions venues de l'extérieur, des actions militaires si nécessaires là où le droit a du mal à s'imposer de façon pacifique.

Nous suivons de près les manoeuvres politiques sur fond de pressions militaires qui se déroulent à la frontière de la Gambie, pays où monsieur Yahya Jammeh, battu à l'élection présidentielle, refuse de céder le fauteuil présidentiel. Si pour une fois, au niveau sous-régional, sans intervention des puissances du monde, un dictateur était déraciné de force au sommet de l'Etat, cela constituerait un précédent. Yahya Jammeh dont le mandat s'achève demain 19 janvier 2017, a mis la Gambie en état d'urgence - pendant que de nombreux Gambiens ont fui leur pays pour le Sénégal. Le Sénégal a massé des troupes à la frontières tandis que le Nigéria a envoyé des troupes, des avions de guerre et un navire qui croise au large des côtes gambiennes. C'est la première fois que l'Afrique s'apprête à user de la force pour chasser un dictateur - sans demander l'aide de l'Europe ou des Etats-Unis. C'est un important précédent.

Si Yahya Jammeh doit prendre ses jambes à son coup, nous assisterons à un tournant en Afrique. Pour l'instant, l'homme n'a fait que quitter Banjul pour son village natal. Il est vrai qu'il ne s'agirait là que d'un phénomène sous-régional mais il faut bien que les choses commencent par changer quelque part. Ensuite, il faut espérer une contamination ou une contagion continentale du phénomène. Il faudra bien apporter de l'aide à la démocratie en danger en Afrique car ce mal est le père de tous les maux du continent. Qui dit dictature dit sous-développement. Il arrivera bien un moment où les puissances du monde comprendront que lutter contre les dictatures est la meilleure réponse à apporter à l'immigration. On ne peut d'un côté nous refuser la démocratie et de l'autre se plaindre quand des flux migratoires déferlent sur l'Europe. Tout comme la pauvreté, l'immigration est une conséquence de la dictature. Même les plus forts ne gagnent pas sur tous les tableaux. On ne peut pas éternellement se cacher derrière le droit de non ingérence politique quand on fait de l'ingérence économique. Si on reconnaît à tout être humain le droit au bonheur, alors l'indifférence des puissances du monde est inhumanité. Cela ne dédouane pas les Africains à se sortir eux-mêmes d'affaire. Attendons de voir ce qui se passera en Gambie. L'adage : " Aide-toi et le ciel t'aidera " peut très bien s'appliquer à l'échelle de tout un continent...

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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15 janvier 2017 7 15 /01 /janvier /2017 13:16
CONGO/ARRESTATIONS ARBITRAIRES : BLANCHARD OBA DANS LE VISEUR DE TONTON SASSOU ?

Personne n'est à l'abri de se faire embastiller quand Denis Sassou Nguesso est en mode schizophrénie parce qu'il voit des chasseurs de ndzokou partout. Même pas son neveu Blanchard Oba coupable d'avoir soutenu, paraît-il, André Okombi Salissa et peut-être aussi le Général Jean Marie Michel Mokoko. Tous ceux qui incarnent l'opposition intérieure - même molle ou ramollie à coups de traîtrise par des billets de banque, ont vocation à aller croupir en prison chez Obara à la DGST quand ils ne jouent pas le jeu selon les règles de Sassou (en fait, une seule règle : soutien indéféctible au tyran de l'oyocratie). Abou Sassou Baba et les quarante voleurs du PCTue instillent et distillent la peur dans tout le pays pour conserver le pouvoir. On embastille à qui mieux mieux sous tous les prétextes fallacieux : une tentative d'évasion de prison totalement impossible, une arme jamais trouvée chez vous, une atteinte à la sûreté d'un Etat pas sûr du tout, un mot plus haut que l'autre, parce que Sassou a rêvé de vous lui volant son pouvoir ou touchant le popotin de Koko, etc.

Quand on se présente à une élection contre le monstre d'Edou, l'homme le plus riche de la terre parce qu'il a fait d'un Trésor Public National son Trésor perso, on le défie car on cherche à lui voler SON pouvoir - pour ne pas dire SON royaume perso. N'a-t-il pas dit : " le pays est à tout le monde mais le pouvoir est à moi seul" ? Blanchard Oba est coupable d'avoir brisé le pacte familial, lui qui est du sang royal bien amer du monstre de l'Alima, lui qui reconnaît bénéficier de sa sollicitude. La sécurité du régime de Mpila est branchée en mode hystérie depuis que l'ombre de Dieu ou Kinzinza kia nzambi est insaisissable.

Que Pascal, le petit, qui fait un discours de fin d'année sans citer le nom de Pascal le GRAND, se méfie du grand ndzokou. Si Jupiter-Sassou est même prêt à manger ses propres enfants, les Titans, pour garder son royaume, les rats palmistes ne doivent pas se réjouir. Le Youki doit aussi préparer son tsouki de la poudre d'escampette pendant qu'il est encore temps : on lui a déjà inventé une connexion avec l'ombre de Dieu alias pasteur Ntumi. Or, Sassou, c'est le Lucky Luke de la dictature qui tire très vite sur les ombres qui lui font de l'ombre. Plus loin l'ombre détale, mieux ça vaut. André Okombi Salissa a eu tort de ne pas quitter le Congo pendant qu'il le pouvait encore. Si le professeur Marion Madzimba Ehouango a pu s'enfuir, Tout Bouge aurait pu quitter le Congo. Quoi qu'il en soit, il en faut bien du courage pour être un vrai opposant au Congo à ses risques et périls. Surtout à ses périls...

Pour revenir à Blanchard Oba qui n'a rien à se reprocher car il est l'exception qui montre que même dans la famille Sassou & Nguesso, on n'a pas tous perdu la raison, il est à peu près sûr que Jean Dominique Okemba et Jean François Ndenguet  ne pousseront pas le bouchon du zèle trop loin. Il y a assez d'arrestations arbitraires comme ça. Et puis, même les monstres ont le sens de la famille. Et la famille, Sassou y tient beaucoup : c'est même la seule chose exemptée de tout contrôle, de toute sanction.

André Okombi Salissa était un candidat qui faisait vraiment de l'ombre à la Bête d'Edou et ce dernier a dit en privé qu'il appréciait peu que les gens qu'il avait faits et enrichis comme Guy Brice Parfait Kolélas et André Okombi Salissa osent chercher à lui piquer son pouvoir. C'est un crime de lèse-reconnaissance. Quant à Blanchard Oba, il n'est pas dangereux pour Denis Sassou Nguesso car il ne rêve pas de prendre la place de son oncle - même s'il sait que ce dernier est un dictateur. On ne va arrêter tous les opposants non plus. Sinon comment Denis Sassou Nguesso ferait-il pour continuer à jouer à la démocrature ?

 

LION DE MAKANDA MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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12 janvier 2017 4 12 /01 /janvier /2017 23:20
IMAGE/OKOMBI SALISSA : L'IMMUNITE PARLEMENTAIRE MENOTTEE

Cette image d'André Okombi Salissa qui circule sur les réseaux sociaux provient à coup sûr du régime dictatorial de Brazzaville. Peut-être un montage mais rien ne permet d'en juger tellement la qualité de l'image est mauvaise. Il fallait taire la rumeur d'un André Okombi Salissa dans le coma. Cette image montre un homme calme, physiquement intègre et qui semble en pleine possession de son intégrité psychique mais elle ne prouve rien. Nous ne savons pas quand elle a été prise et la mauvaise qualité de l'image ne permet pas d'en tirer beaucoup d'enseignements. Et entre cette photo et maintenant, il a pu se passer beaucoup de choses - même si nous savons que ses deux soeurs lui ont rendu visite. Néanmoins, sur le plan symbolique, Congolais, regardez la démocratie enchaînée, l'immunité parlementaire menottée, bafouée, humiliée mais elle a le courage de regarder le crime en face. Une image qui exprime la dictature dans toute son horreur car rien n'est respecté, ni sacralisé - même pas le statut de représentant du peuple. Déjà que la vie humaine ne vaut que si elle est dans une attitude de servitude volontaire au monstre de l'Alima.

Certains prétendent que l'image est fausse, Photoshop, le célèbre logiciel de retouche d'images, étant peut-être passé par là mais le symbole ne change pas du tout. Nous demandons à monsieur Toto Ngakala de prouver le bon état physique du député. Nous exigeons des preuves plus crédibles de bonne intégrité physique et psychique de monsieur André Okombi Salissa. Il s'agit tout de même d'un député en pleine possession de son immunité parlementaire. Par ailleurs, l'assemblée nationale n'ayant pas levé son immunité, nous exigeons sa relaxe pure et simple. Son arrestation entache la crédibilité de tout l'Etat, de toute la république - même bananière. Si on parle selon la rigueur et la vérité, il ne peut en être autrement. C'est une honte nationale. La preuve est faite que tous ceux qui croient que Sassou peut être combattu par la loi qu'il ne respecte pas se trompent. Il est un type de feu qui ne peut se combattre que par le feu. Jouer l'opposition légale dans ces conditions n'a plus de sens. Si la force est le seule langage parlé par la dictature du PCT, il est temps de parler le même langage que ces gangsters qui ont fait rapt sur l'Etat et la république. Nous l'avons dit le 9 janvier 2016 à l'assemblée nationale : Denis Sassou Nguesso est venu par les armes ; il ne partira que par les armes. La force ne respecte que la force. Dénoncer permet de brider la violence en rendant ces crimes visibles aux yeux du monde entier ; ce qui en réduit la portée sans l'arrêter. Ils savent que ces crimes feront l'objet de poursuites pénales internationales. C'est une question de temps. Il y a un temps pour l'injustice et un autre pour la justice.

Les cadets (Karanda, Mobebissi, etc) ont raison de dire ceci : A quoi vous servent vos milliards, chers faux opposants milliardaires, si vous ne pouvez combattre Denis Sassou Nguesso en usant des mêmes méthodes que lui ? Le colon est venu avec la violence ; nous nous sommes réfugiés dans la prière - comme si Dieu pouvait enrayer les fusils ou les canons de l'oppresseur. Conséquence, l'esclavage a duré presque cinq siècles (en Mauritanie, il continue à sévir). La dictature utilise la violence, le non respect des lois, du droit, de l'Etat et de de la république, on veut jouer les légalistes, on se drape dans la loi que la dictature ne respecte pas. La réponse apportée par l'opposition intérieure est inappropriée et inadaptée car à la violence illégitime, il faut répondre par la violence légitime. ILS N'ONT PAS UNE ARME PLUS GRANDE QUE NOTRE PEUR. AUSSI, IL FAUT COMMENCER PAR COMBATTRE NOTRE PROPRE PEUR QUE NOUS POUVONS VAINCRE EN LUI OPPOSANT LE COURAGE DE TOUT UN PEUPLE. A chaque fois que l'esclave a vaincu sa peur, il a ébranlé la tyrannie de celui qui se proclamait son "maître" par la force. Ceux qui meurent pour une cause juste continuent à vivre dans la liberté gagnée sur leur sang versé. Il est des morts qui ont valeur d'éternité. Même l'éternité n'est pas gratuite : encore faille-t-il la gagner. Chacun doit porter sa croix. Le temps n'est plus ni aux mots ni à la loi mais à la force juste qui répond à la violence injuste pour rétablir la loi enchaînée, rétablir la loi dans son bon droit. Même en terre de vieille démocratie, c'est par la force que la royauté a été abolie.

Nous publions cette image qui paraît vraisemblable pour que tous les Congolais comprennent que l'arbitraire a franchi un nouveau pallier.  On croyait que Denis Sassou Nguesso faisait au moins semblant de respecter les députés, les représentants du peuple. A présent, chaque député doit se dire que si ça lui chante, la Bête d'Edou peut l'arrêter. Juste pour son bon plaisir. La dictature nous livre un combat à mort. Non, le peuple doit vivre. C'est la dictature qui doit mourir !

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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12 janvier 2017 4 12 /01 /janvier /2017 18:48
COMMUNIQUE NECROLOGIQUE : MR STEPHEN NZOULOU ALIAS CLIFF ANNONCE LE DECES DE SA MERE AUX USA

Ceci est un avis nécrologique à l'attention de la famille, des amis et connaissances de monsieur Stephen Nzoulou, originaire du Congo-Brazzaville, connu par les intimes sous le pseudo de Cliff qui réside depuis des années aux Etats-Unis. Il nous annonce avec regret le décès de sa mère qui vivait auprès de lui aux USA depuis une dizaine d'années. Cliff est un frère, un ami de longue date dont nous partageons en ce moment même la douleur. L'homme a vécu en Europe de l'Est avant de se retrouver aux Etats-Unis en passant par la France, notamment  à Lyon. Nous attendons de nouvelles informations (photos, nom et prénom de la défunte, date du décès, etc) pour compléter cet article. J'ai pu avoir vent de cette triste nouvelle par un ami commun qui habite Paris.

Mon cher Cliff, mes sincères condoléances. Je m'associe à ta douleur. Tu ne manqueras certainement pas de m'apporter de plus amples informations, à savoir si la défunte maman va être enterrée au Congo ou pas. Tu peux me contacter par le menu Contact du blog, par Facebook ou par mail. Pour l'instant, nous souhaitons que  l'âme de notre mère repose en paix. 

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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