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22 février 2017 3 22 /02 /février /2017 17:36
LE COLONEL MARCEL NTSOUROU A BIEN EXFILTRÉ DES DOCUMENTS

Qu'on se le dise, le mensonge peut se donner une certaine structuration, une certaine cohérence qui peut faire illusion si on n'y prend garde. Il est toujours bon de tordre le cou à certains arguments dont la cohérence apparente ne vise qu'à disculper le régime de Brazzaville des violations de la loi dans notre pays : il n'est pas interdit que l'on sache qu'un prisonnier reçoive une visite contrôlée en prison ; elle fait l'objet d'une demande et dans un strict contrôle (fouilles, temps limité, etc). Dans le cas d'un prisonnier politique comme Marcel Ntsourou, on se demande si la visite de son ancien avocat ait pu permettre qu'il sorte de sa cellule. Et il n'est pas interdit à un ancien avocat d'un condamné de lui rendre visite. Autant de détails flous que le porte-parole du régime assassin de Brazzaville, Thierry Moungalla, a "léziné" de donner comme à son habitude. Si le prétexte de l'arrestation arbitraire et illégale de maître Essou est le fait qu'il ait pu rendre une visite en prison à feu le colonel Marcel Ntsourou, la rumeur veut que son incarcération à la DGST soit due à autre chose comme le fait de savoir s'il n'a rien reçu du défunt colonel Marcel Ntsourou mort selon Toto Ngakala peu après sa visite au pénitencier central de Brazzaville. Le régime dictatorial des crocodiles du PCT redoute que le défunt colonel Marcel Ntsourou ait pu lui remettre des documents compromettants - notamment ceux relatifs à l'affaire imprescriptible des disparus parce que massacrés du Beach - puisqu'il s'agit en l'occurrence d'un crime contre l'humanité. Les criminels du régime savent qu'ils ne sont pas à l'abri des attaques de la justice internationale.

Les craintes des docteurs en agitation politique du PCT étaient fondées : en effet, des documents exfiltrés du Congo vers l'étranger  par le Colonel Marcel Ntsourou apparaissent désormais en ligne - notamment sur les réseaux sociaux.  Il semblerait qu'il ait donné comme condition de leur publication sa mort.  Certains les appellent ses "confessions ", d'autres, de façon exagérée, son "testament" (politique du moins). Ils commencent à circuler sur les réseaux sociaux, notamment sous la forme d'un support audio. Pour l'instant,  rien de nouveau,  de décisif qui permettrait de confondre le régime dans l'affaire des massacrés du Beach - comme le lieu où les corps des disparus du Beach ont été enterrés.  Nous constatons juste qu'il explique comment le ministre de l'injustice de l'époque Aimé Emmanuel N-Yoka a monté une cabale pour faire de lui le bouc émissaire centrale qui a fini par ruiner sa vie. Aucune révélation pour le moment.

Nous savons que cette affaire a de multiples incidences en France comme au Congo mais pour le moment, nous ne pouvons en dire plus - sinon que la diaspora est active et ne lâche pas son étreinte sur l'Etat assassin venu des berges de l'Alima.

Maitre Essou serait encore vivant - alors que certaines rumeurs le prétendaient décédé ou dans le coma : même si le régime à la torture facile, assassiner un avocat pour le simple motif d'une visite à un prisonnier politique est un peu mince, un peu trop fort de piment.  Ce n'est pas nécessaire de s'acharner sur lui car le colonel Marcel Ntsourou a transmis ses révélations par d'autres canaux.

Nous connaissons tous la bonne excuse des exécutants : "je n'ai fait que mon travail ; je n'ai fait qu'obéir aux ordres". Ceux qui obéissent aux ordres du système ne font pas tous leur travail car certains commettent des crimes et deviennent ipso facto des criminels. LE CRIME, NOTAMMENT L'ASSASSINAT PAR PROCURATION, N'EST UN TRAVAIL MAIS UN DELIT ENTRAINANT DES POURSUITES PENALES. ET CEUX-LA RENDRONT DES COMPTES AU PEUPLE. Personne n'est obligé de violer la loi parce qu'on le lui a ordonné - surtout en l'absence de tout document écrit et signé du commanditaire. Nous le disons parce que Denis Sassou Nguesso ne donne jamais d'ordres criminels par écrit : il le fait toujours de façon orale pour ne pas se mouiller et souvent, il profite de ses séjours à l'étranger pour le faire.  Le subalterne peut encore refuser d'exécuter un ordre  inique.  Que tous sachent qu'il y a le temps du crime et le temps de la justice, d'abord celle des hommes avant celle de Dieu.

Pour la petite digression, nul besoin, cher Thierry Moungalla, d'attendre l'accord de la famille pour demander une autopsie : c'est une nécessité de l'enquête ordonnée par l'accusateur et condamnateur par procuration, monsieur Toto Ngakala. L'avis de la famille dans le cas d'un prisonnier politique décédé en prison est purement consultatif. Il faut juste que la famille, notamment la mère du de cujus, authentifie le corps. A moins qu'on veuille lui dissimuler quelque chose. Certains ont par ailleurs émis des doutes sur la photo du défunt colonel Marcel Ntsourou sur son lit de mort en prétendant qu'elle était ancienne... (J'ai enfin réussi à mettre en forme cet article)

LION DE MAKANDA, MWAN MINDZUMB, MBUTA MUNTU

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20 février 2017 1 20 /02 /février /2017 10:51
QUESTION : DE QUOI EST MORT LE COLONEL MARCEL NTSOUROU ?

Disons-le, tout de suite : le colonel Marcel Ntsourou n'était pas un saint. C'était un soldat qui a tué et qui est mort en soldat de la main qu'il a servie. Toute une leçon pour ceux qui servent aveuglement Denis Sassou Nguesso. Son rôle dans la reconquête de l'Etat et du pouvoir par Denis Sassou Nguesso va sans dire. A Pointe-Noire, de nombreux Congolais ont subi des violences, des spoliations de biens et d'entreprises de sa part. Cela dit, il ne revenait à personne de l'assassiner : il avait des comptes à rendre au peuple congolais et à lui seul. Comme tous les autres par ailleurs. Peu importe la forme que prendra un jour cette obligation de comptes à rendre, un tribunal spécial décidera des sentences à distribuer aux uns et aux autres. On ne peut parler de réconciliation entre le bourreau et la victime que lorsque la justice est passée et elle passera un jour. Une réconciliation qui absout le bourreau est une insulte à la victime, surtout quand elle est représentée par TOUT un peuple. Même Toto Ngakala sera jugé, lui qui doit savoir que le peuple congolais veut savoir de quoi est mort le colonel Marcel Ntsourou en prison. OUI, MEME LES JUGES SERONT JUGES. SURTOUT, LES JUGES - PARCE QU'ILS AVAIENT L'OPPORTUNITE DE RENDRE JUSTICE AU PEUPLE, ECOURTANT DE LA SORTE SES SOUFFRANCES.

L'Etat nous doit une explication scientifique et médicale dans la mort du colonel Marcel Ntsourou. Ce n'est pas avec une simple enquête qu'il sera possible de savoir de quoi est mort le colonel Marcel Ntsourou. Interroger son neveu qui partageait la cellule avec lui ne suffira pas : il faut une véritable autopsie faite par des médecins indépendants - si possible. Le malaise n'est qu'un symptôme qui peut cacher une torture, un empoisonnement, par exemple. Et ainsi caractérisé, il ne veut rien dire sur le plan médical : quelle est la cause du malaise ?

Au Congo, il devient un peu trop facile de conclure à l'AVC ou accident vasculaire cérébral à chaque décès inexpliqué. L'arrêt cardiaque est une conséquence de la mort. A chaque décès, le coeur s'arrête mais la cause n'est pas toujours l'accident vasculaire cérébral. C'est trop facile de tirer de telles déductions - juste de l'observation empirique. Il faut une autopsie pour caractériser l'AVC : il y va des vaisseaux et du cerveau. Or, les Congolais, - sans examen, sans autopsie, tirent un peu trop vite les conclusions. Oui, on peut mourir d'un accident vasculaire cérébral mais toute mort n'est pas provoquée par un accident vasculaire cérébral. Les vaisseaux sanguins et le cerveau sont cachés dans le corps. Comment parvenez-vous à tirer de pareilles conclusions ? Hélas, si la médecine n'est pas performante pour les vivants, ce n'est pas des morts qu'elle va se préoccuper dans notre pays !

Aussi étrange que cela paraisse, ce n'est pas ce genre de questions qui préoccupent le système Sassou-PCT. On voit un millier de miliciens garder une dépouille pour empêcher la famille de récupérer le corps. Bien entendu, cela encourage les spéculations de fétichisme, de prélèvements d'organes, etc. Un mort est inoffensif. Il ne peut plus nuire à personne. Il est donc incompréhensible d'apprendre que toute une garnison s'est mobilisée pour protéger une dépouille. De quoi ? De qui ? La famille, notamment la mère du colonel Marcel Ntsourou a le droit de voir POUR RECONNAITRE son défunt fils. C'est grotesque et inhumain de ne pas le lui accorder.

Le colonel Marcel Ntsourou injustement condamné en qualité de bouc émissaire dans l'affaire du petit Hiroshima du 4 mars 2012 a droit à des funérailles dignes de ce nom. D'ores et déjà nous tenons l'Etat responsable et coupable dans sa mort car en prison, il était sous la responsabilité de celui-ci. Qu'il ait été empoisonné, qu'il ait pu mourir par négligence, c'est toujours l'Etat le responsable. La famille du colonel Marcel Ntsourou devrait poursuivre l'Etat congolais devant des tribunaux internationaux. Si la mort d Marcel Ntsourou n'a absolument aucune incidence judiciaire sur le comportement de l'Etat congolais, il faut craindre que d'autres décès de prisonniers politiques se produisent en prison, décès provoqués ou non. Il faut tenir compte de nombreux facteurs : l'âge de certains détenus comme le Général Jean Marie Michel Mokoko ou Modeste Boukadia, leur état de santé parfois délicat, les conditions d'emprisonnement, les maltraitances et tortures. Sans oublier les cas d'empoisonnement.

Le régime de Denis Sassou Nguesso multiplie les excès. Il arrivera un jour que se produise l'excès de trop. Ce système tient par la force, la corruption, l'intimidation, la menace, l'emprisonnement, la torture, l'assassinat, bref l'injustice et l'arbitraire. Il s'agit d'une violence qui n'a pas de répondant de la même nature. NOUS SOMMES EN TANT QUE PEUPLE PEUT-ETRE AUSSI COUPABLE DE MANQUE DE COURAGE COLLECTIF. Sassou frappe, le peuple encaisse - sans rétorquer de la même façon. Sassou tue, le peuple meurt et pleure en même temps. il coule du sang comme il coule des larmes. Cependant, aucun édifice ne s'est maintenu indéfiniment par la force, l'injustice, l'arbitraire et les massacres. Même Rome qui crucifiait des milliers de gens pour semer la terreur est tombée. Il y a un début et une fin à tout. Nos petites complicités, lâchetés et corruptions prolongent le système Sassou mais tout cela prendre fin un jour. Nous ramasserons notre pays en miettes et en lambeaux, tout sera à reconstruire mais il n'y a aucun doute à avoir : Denis Sassou Nguesso et le PCT disparaîtront un jour. Une bonne fois pour toutes. Ce n'est qu'une question de temps et l'entropie travaille pour nous.

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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17 février 2017 5 17 /02 /février /2017 12:40
PRISONNIER POLITIQUE : DECES DU COLONEL MARCEL NTSOUROU, CE 17 FEVRIER 2017

Il était un élément central d'un régime dictatorial pour avoir combattu pour lui, pour avoir veillé à sa conservation - avant de se voir rejeté par le système qu'il avait contribué à réinstaller au sommet de l'Etat en 1997. Hélas, ceux qui vivent par la dictature - en cas de rébellion - finissent tôt ou tard à mourir de la dictature. Manger avec le diable ne vous garantit pas d'échapper à l'enfer puisque vous y êtes déjà - QUE TOUS LES SERVITEURS DU MONSTRE D'EDOU LE TIENNENT POUR UNE VERITE. S'il vous demande le sacrifice suprême dans le Pool pour sa seule gloire, demain, il n'hésitera pas à vous assassiner si vous tentez de vous opposer à lui. Son pouvoir ne tient que par la force et par la peur qu'il distille au sein du peuple au quoitidien au travers de sa soldatesque, de ses bébés noirs et de ses bébés blancs. Tuer et terroriser constituent SA seule politique. Au Congo, Denis Sassou Nguesso est un monarque absolu. Personne n'a le droit de s'opposer à lui, l'homme qui possède l'impunité constitutionnelle absolue pendant et après le pouvoir - si jamais il devait le quitter de sa propre volonté. Il va désormais assouvir sa soif de larmes et du sang des autres. Dans le Pool, plus de cent vingt-huit villages ont déjà détruits. La furie mortifère de Denis Sassou Nguesso peut s'exercer sur ses ennemis - sans limites. LE CONGO EST UN ABATTOIR A CIEL OUVERT, DENIS SASSOU NGUESSO EN EST LE BOUCHER EN CHEF. Notre pays va vivre les heures les plus sombres de son histoire dès lors que Denis Sassou Nguesso peut tout se permettre sans être inquiété. Cependant, le ressentiment grandit même au sein de l'armée qui sait que le colonel Marcel Ntsourou quoi qu'on non irréprochable n'avait rien à voir avec le drame du 4 mars 2012. Il en est le bouc émissaire qui en a payé le prix à la place des vrais coupables.

Ceux qui me lisent témoigneront que j'avais prédit qu'au regard de tous les secrets d'Etat qu'il connaissait et détenait, le colonel Marcel Ntsourou n'avait aucune chance de sortir vivant de prison où il avait été jeté après un faux procès sur l'affaire du petit Hiroshima du 4 mars 2012 à Brazzaville. Le colonel Marcel Ntsourou aurait vomi du sang avant de mourir et certains prétendent que les murs de sa cellule étaient badigeonnés de poison. Clément Miérassa sur Facebook, Zenga Mambu et même RFI ont annoncé la mort de l'ancienne deuxième personnalité du Conseil National de Sécurité, l'homme qui régissait la sécurité du pays en l'absence de Jean Dominique Okemba. Nous présentons nos tristes condoléances à la famille de l'illustre disparu. C'est triste de mourir en prison - surtout pour un serviteur du régime comme Marcel Ntsourou. Sa famille est en droit de poursuivre l'Etat congolais pour non-assistance à personne en danger ou pour négligence.

Le colonel Marcel Ntsourou dont le décès a été confirmé officiellement par le procureur André Oko Gakala dans un communiqué serait mort ce matin d'un AVC mais c'est encore prématuré de le dire avant que la cause du décès ne soit confirmée officiellement par l'ethnie-Etat : nous savons néanmoins qu'il est mort à l'hôpital militaire de Brazzaville. C'est son avocat maître Eric Yvon Ibouanga qui aurait alerté RFI. Cependant, les rumeurs au Congo sont si proches de la vérité qu'on se doit de les prendre au sérieux. Si tel était le cas, la cause de la mort importe peu car rien ne pourrait le corroborer - sans une véritable autopsie médicale. Nous espérons juste que l'homme a réussi à laisser son testament politique sur tout ce qu'il savait. Il serait bien triste qu'il disparaisse sans avoir pris le soin de planquer des preuves de crimes contre l'humanité dont il avait connaissance, crimes d'Etat commis par le régime des crocodiles du PCT et son gangster en chef Denis Sassou Nguesso.

Si le colonel Marcel Ntsourou est en vie, la dictature de Brazzaville n'a qu'à donner une preuve de vie de ce prisonnier politique. Il vaut mieux un démenti qui prouve qu'il est en vie qu'une rétention d'information qui permettrait au pouvoir de nous faire croire qu'il serait toujours en vie.

Il est désormais clair que tous ceux qui sont en prison au Congo pour des raisons politiques comme le Général Jean Marie Michel Mokoko, Modeste Boukadia, Paulin Makaya, André Okombi Salissa, Jean Ngouabi, etc, sont en danger de mort.

Ntsourou ne parlera plus jamais, lui qui avait promis de s'exprimer devant les tribunaux français à propos de l'affaire des massacrés du Beach et de toutes les autres affaires dont il avait le secret. Il a livré sa dernière bataille contre la mort et l'a perdue car personne ne gagne devant la mort. Nous estimons pour notre part qu'il a été assassiné soit directement, soit parce qu'on l'aura laissé mourir à petit feu, faute de soins. Denis Sassou Nguesso en le condamnant à perpétuité l'avait en quelque sorte condamné à mort. Il était hors de question pour Sassou que le colonel Marcel Ntsourou sorte vivant de prison...

Pour généraliser, nous tous qui combattons pour la restauration de la démocratie dans notre pays sommes en danger de mort. Si le dictateur va jusqu'à abattre ceux qui ont servi sa dictature, quel sort réserve-t-il à ceux qui le combattent sans jamais avoir changé de cap ? Le colonel Marcel Ntsourou emporte certainement une bonne partie de ses secrets outre-tombe.

Le peuple congolais ne peut pas se résigner à regarder Denis Sassou Nguesso et son ethnie-Etat détruire le pays et tuer ses enfants. Il faut se soulever à Djambala, à Makoua, à Brazzaville, à Pointe-Noire, partout. Il faut une riposte à la hauteur de la situation historique si vous ne voulez pas que le Général Jean Marie Michel Mokoko meure  en prison ou qu'André Okombi Salissa, Modeste Boukadia et les autres soient aussi assassinés. En prison, les prisonniers politiques sont tous en danger de mort - parce que l'endroit est un mouroir, un nid à microbes et à cause de la volonté du régime du PCT à éliminer ceux qui s'opposent à lui. Même si la nourriture vient de l'extérieur, elle passe entre les mains des gardiens et on ne sait pas ce qui peut y être ajouté avant qu'elle n'entre dans la bouche des prisonniers politiques. La dictature est une machine qui broie ses propres serviteurs qui osent se rebeller tout en oppressant le peuple. Nous n'avons pas un autre choix que de nous rassembler pour la faire tomber.

 

          LION DE MAKANDA, MWAN MINDZUMB', MBUTA MUNTU

PRISONNIER POLITIQUE : DECES DU COLONEL MARCEL NTSOUROU, CE 17 FEVRIER 2017
PRISONNIER POLITIQUE : DECES DU COLONEL MARCEL NTSOUROU, CE 17 FEVRIER 2017
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16 février 2017 4 16 /02 /février /2017 14:36
EMMANUEL MACRON A RAISON DE CONSIDERER LA COLONISATION COMME UN CRIME CONTRE L'HUMANITE

Nous sommes en France en pleine précampagne électorale présidentielle. Il s'agit aussi de séduire ou de s'attirer les voix des millions d'AfroFrançais ou les Français originaires d'autres pays, notamment, d'ex- toujours colonies françaises ou pas. L'élection présidentielle peut se jouer ou se joue à quelques millions de voix. Chaque voix compte donc.

En début de semaine, le candidat Emmanuel Macron s'est rendu en Algérie où il a considéré la colonisation de "crime contre l'humanité" et  de "véritable barbarie". Le contexte électoral ne peut être négligé car de nombreux Algériens sont Français - ainsi que de nombreux Maghrébins. Il est opportun de jouer au démagogue car c'est le prix à payer pour s'attirer les voix de millions d'AfroFrançais.

Emmanuel Macron est soit un révolutionnaire, soit un opportuniste mais il est déjà aux yeux de ses concurrents à la course à l'Elysée un traître à sa propre nation pour avoir dénoncé les pratiques qui ont fait et qui continuent de faire de la France une grande puissance car sans ses ex-toujours colonies, la Métropole n'est rien. C'est un révolutionnaire parce qu'il dit et voit ce qu'est la colonisation, cette violence barbare d'un peuple dit civilisé qui vient violer la tranquillité de nations qui vivaient en paix - sans rien demander à personne. Le benjamin à l'élection présidentielle est un opportuniste si sa déclaration vise juste à engranger les voix des AfroFrançais qui sont des millions. Et ça peut faire la différence. 

Emmanuel Macron est un produit de la Finance. C'est un libéral, un caméléon sans couleur et programme fixes qui n'arrête pas de nous étonner. Sorti de nulle part, nous voyons tous comment les médias essaient de l'installer sur le fauteuil présidentiel à l'Elysée. Ne lui faisons pas confiance aveuglement car entre les intérêts de la France et ceux des Rotschilds et autres banquiers, il faudra qu'il nous prouve qu'il y aura de la place pour les intérêts de l'Afrique. Une Afrique libre et démocratique.

La colonisation a prolongé l'esclavage par déportation en sévissant comme un esclavage de l'intérieur : travail forcé, massacres, pillage des ressources, spoliation des terres, destruction de la culture et de l'identité des nations colonisées, etc, nous sommes en face d'une véritable violation des droits de l'homme qui se prolonge par une ingérence sournoise et des chaînes financières symbolisées par le franc cfa. La France soutient les dictateurs parce qu'ils sont les instruments par lesquels elle prolonge le fait colonial.

Si certains candidats ont du mal à reconnaître le crime contre l'humanité qu'est la colonisation, c'est parce qu'elle se poursuit jusqu'à nos jours. Nous ne sommes pas totalement libres et souverains. La France, en l'occurrence, continue à nous étouffer pour le malheur de millions d'Africains. Pour un Africain, devenir Français ne doit pas seulement signifier de profiter de certains avantages - s'il en est - liés à cette condition mais aussi d'agir pour véritablement faire de la France un VERITABLE PAYS DES DROITS DE L'HOMME. Nous avons pour mission de changer les choses dans nos pays. Nous sommes toujours en quelque sorte des esclaves : il n'y a qu-à voir comment on nous traître. Ce qui est arrivé à Théo pourrait arriver à n'importe quel Africain résidant en France, Français ou pas.

La lutte contre la colonisation doit se dérouler aussi et surtout en France car l'Hexagone continue la poursuite de la colonisation. Nos voix doivent désormais oeuvrer à la décolonisation et à la démocratisation de l'Afrique. Nous avons vocation en qualité d'Africains à gérer nous-mêmes nos destins nationaux. Il faudra même à la longue se débarrasser des frontières artificielles instituées par les Occidentaux. Le panafricanisme doit commencer ici en France et en Europe, maintenant. C'est ensemble que nous pouvons faire l'histoire. Divisés, nous n'aboutirons à rien.

Un individu qui viendrait en France par effraction occuper un domaine privé en asservissant ou en massacrant les propriétaires est passible de la cour d'assises et de la prison à perpétuité. A fortiori, on ne peut que déduire que si à l'échelle individuelle, c'est un crime, au niveau de nations et de peuples qui n'avaient demandé qu'à vivre en paix, un véritable crime contre l'humanité - imprescriptible et une véritable barbarie qui remet en cause le caractère de "nation civilisée" ou de pays des droits de l'homme qu'on accole à la France. Même François Fillon qui critique la repentance permanente de certains candidats à l'élection présidentielle a déclaré lors de son passage à l'île de la Réunion :

"Que cela soit la colonisation ou que cela soit l'esclavage. L'esclavage est le crime le plus abominable qui n'est jamais été commis par l'humanité".

Quand François Fillon attaque Emmanuel Macron, lui dont la droiture est mise à mal par le PenelopeGate, nous nous demandons comment un homme à la mémoire courte peut se permettre de juger un candidat qui dit la vérité - alors que lui n'a pas cessé de mentir depuis le début de cette affaire.  Voici ce que l'on peut lire sur le site de huffingtonpost.fr :

Déjà en octobre 2016 sur France 2, François Fillon, à l'époque candidat à la primaire de la droite, avait été interpellé par un syndicaliste guadeloupéen, Elie Domota, qui lui reprochait des propos complaisants à l'égard de la colonisation. "Bien sûr que la colonisation est aujourd'hui, avec les critères qui sont les nôtres, un crime. Bien sûr". 

On peut comprendre que le Front National ne s'embarrasse pas de repentance parce qu'il s'agit à la limite d'un parti raciste mais qu'un homme comme François Fillon qui plaide l'honnêteté, l'éthique, la probité morale s'insurge contre une vérité universelle, cela doit nous interpeller. Nous avons intérêt à nous rassembler afin de peser de façon intéressée dans cette élection de manière à desserrer l'étau de la puissance française sur ses ex-toujours colonies françaises. Nous réitérons notre invitation du 4 mars 2017 - afin que nos voix ne soient plus des voix jetées en l'air. Nous avons vocation à choisir le candidat le plus apte à sortir l'Afrique des dictatures et de la néocolonisation qui se poursuit au travers des gouverneurs noirs comme Denis Sassou Nguesso. Notre carte électorale française est une arme politique.

 

ENSEMBLE, NOUS LE POUVONS.

TOGETHER, WE CAN.

 

           LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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10 février 2017 5 10 /02 /février /2017 11:01
FRANCE : COMMENT INFLUENCER LES RESULTATS DES PROCHAINES ELECTIONS PRESIDENTIELLES DANS L'INTERET DE LA DEMOCRATISATION DE L'AFRIQUE ?

Vivre dans une démocratie et réaliser tous les avantages de développement que ce système politique procure aux citoyens de ce pays doit inspirer à toute fille et tout fils originaire de l'Afrique ou dont les parents en proviennent l'envie de voir les choses changer dans son pays d'origine ou dans le pays d'origine de ses parents. Après tout, les Africains ne sont-ils pas des hommes comme les autres ? N'avons-nous pas en Afrique, droit au bien-être, à l'éducation, au progrès, à la démocratie ? Hélas, le spectacle auquel de nombreux pays africains nous ont habitué laisse à désirer : rivalités ethniques, absence d'alternance politique, violences, misère, guerres, pandémies, pas d'industrialisation du tout, famine, pauvreté extrême, etc. Politiquement parlant, en Afrique, la dictature est la règle et la démocratie l'exception. Nous avons tous à coeur de vouloir changer cette situation qui maintient l'Afrique au Moyen-Age - alors que nous sommes entrés au XXI ième. Il est vrai que nous sommes à des milliers de kilomètres de l'Afrique mais le sort de notre continent ne se décide pas seulement là-bas ; les grandes puissances dont la France fait partie jouent un grand rôle dans la définition du destin de l'Afrique - pas en bien mais en mal - même si tous nos malheurs ne peuvent pas être imputés aux Occidentaux. Cependant, comme nous l'avons démontré, il existe un lien entre les puissances occidentales et les dictatures en Afrique. D'ailleurs, en France, le phénomène Françafrique est désormais connu du monde entier. Indépendance ne signifie pas pour les pays africains totale rupture avec les ex-puissances coloniales qui ont installé des mécanismes de prolongation de la colonisation - comme l'absence de souveraineté monétaire pour les pays de la zone franc, non industrialisation, c'est-à-dire, non transformation de matières premières sur place - pour continuer à acheminer les ressources de l'Afrique vers l'Occident. Il suffirait par exemple que la France cesse d'éditer des francs cfa pour que de nombreux pays africains se trouvent économiquement paralysés. Et ça se poursuit aujourd'hui au XXI ième siècle !

Nombreux sont les Africains résidant dans la Métropole qui en appellent à l'intervention de la France en Afrique pour que cessent les régimes dictatoriaux - peut-être parce qu'ils se disent qu'elle a un rôle à jouer en tant que grande puissance mondiale. Le paradoxe de cette attitude se trouve dans le fait qu'ils ont souvent les preuves tangibles que c'est l'Etat français qui installe et maintient ses dictatures au pouvoir dans de nombreux pays africains - notamment ceux de son pré carré colonial.

Marcher, organiser des meetings, faire des concerts de casseroles, est-ce tout ce que nous pouvons faire pour pousser la France à rompre avec le phénomène tant décrié de la Françafrique ? N'y a-t-il pas une autre façon, un autre angle par lequel prendre le problème ? Si les décisions qui accablent les pays africains enchaînés par la France se prennent à l'Elysée, de façon régalienne, n'existe-t-il pas une possibilité pour que les AfroFrançais du monde entier qui votent là où ils se trouvent fassent en sorte que les choses changent de façon à pousser l'Etat français oeuvrer non pas pour les dictatures mais pour la démocratisation de l'Afrique ? Qu'on se souvienne de la conférence de la Baule du 20 juin 1990. Juste une question : si François Mitterrand n'avait pas été porté au pouvoir avec l'aide de millions d'AfroFrançais, y aurait-il eu le discours historique de la Baule et le début d'un processus de démocratie électorale dans certains pays africains ? Que faut-il faire dès lors que les dictatures sont revenues en force pour le malheur des centaines de millions d'Africains sur notre continent après de brèves parenthèses démocratiques ?

Le champ qui définit les AfroFrançais ne comprend pas seulement ceux qui ayant émigré de l'Afrique vers l'Hexagone ont obtenu par naturalisation ou par réintégration la nationalité française. Nous y intégrons les AfroFrançais nés en France, les ressortissants français de colonies comme Mayotte, la Guyane, les Antilles françaises, etc. Les AfroFrançais sont à ce titre des millions de citoyens. Et il est certain qu'ils ont le poids nécessaire pour impacter une élection en France si de façon consciente et rassemblée, s'ils décident de se liguer en lobby électoral - ce qui n'a jamais été envisagé auparavant.
Combien d'AfroFrançais voudraient bien rentrer en Afrique pour y finir leurs jours mais ne s'y résolvent pas à cause des dictateurs et des dictatures instaurées avec le soutien de l'Etat français ? La Françafrique n'est pas un mythe mais une réalité. La France fait et défait ses gouverneurs noirs pour préserver ses intérêts comme si une Afrique démocratique ne pouvait pas commercer de façon à satisfaire équitablement ces intérêts dans le respect de ceux des pays africains. La France défend bien pourtant ses intérêts face à d'autres nations démocratiques. Pourquoi cela ne serait-il pas possible avec une Afrique démocratisée ? Démocratiser l'Afrique revient finalement à couper le nombril qui la rattache à la France et ses réseaux mafieux de la Françafrique. 
Les AfroFrançais ont le pouvoir d'exiger une autre politique intérieure et extérieure de la France juste en usant de leur droit de vote de façon étudiée en exigeant que les affaires africaines sortent du droit régalien de l'Elysée et passent à la lumière du filtre de l'assemblée nationale française. 
Des voix afrofrançaises pour la démocratisation de l'Afrique, c'est le pari que monsieur Benjamin Belloum et le Lion De Makanda ont décidé de relever parce qu'il faut bien que des individus commencent par lancer une initiative stratégique à laquelle tous ceux qui veulent changer les choses en Afrique en commençant par les changer en France sont invités à participer.  
C'est la première fois que des fils d'Afrique avec la nationalité française ou en passe de l'obtenir demain se rassemblent pour décider volontairement d'influencer les élections françaises en mettant en commun leur volonté de voir le continent africain démocratisé, une exigence qui sera la condition sine qua none de l'obtention de leurs suffrages. Voter en étant membre d'un parti français de gauche ou de droite ne change en rien les choses sur le continent africain (voire en France) : il faut une nouvelle façon de voter conditionnée par la fin des dictatures en Afrique. Candidats à l'élection présidentielle française, vous voulez nos voix ? Alors, mettez fin à votre soutien aux dictateurs africains et oeuvrez à la démocratisation de l'Afrique.
Nous mettrons en place une structure nouvelle qui fera du lobbying et dont le travail pourrait, s'il se poursuit convenablement, aboutir un jour à l'avènement d'un Obama français à l'Elysée. Les places sont limitées. Nous vous demandons de prendre contact dès à présent car la salle de l'Alocodrome ne saurait nous contenir tous.  Le 4 mars 2017 sera une journée historique pour l'Afrique. De même que les pères des indépendances africaines se sont rassemblées, de même nous nous rassemblons pour la démocratisation de l'Afrique. Nous invitons tous les Africains de quelque origine que ce soit, tous les AfroFrançais, à venir mettre en place le lobby afrofrançais VADA (Voix Afrofrançaises pour la Démocratisation de l'Afrique). Ce mouvement a vocation à s'étendre et à gagner les Etats-Unis ou la Grande-Bretagne. C'est une ère nouvelle qui doit commencer pour l'Afrique et elle doit partir de France comme ce fut le cas pour les indépendances africaines, indépendances partielles.
Les AfroFrançais ont le pouvoir d'élire des députés, des sénateurs, des maires et le président de la république française. Il est temps de mettre cette faculté au service de la démocratisation de l'Afrique - au lieu de se contenter de manifester et de battre le pavé. Ceux qui doivent recevoir nos voix sont ceux qui cesseront de soutenir les dictateurs et les dictatures en Afrique et qui s'engageront par écrit pour la démocratisation de l'Afrique. 
Ensemble au travers d'un
élan panafricain, nous ne sommes plus que des voix mais surtout une FORCE POLITIQUE qui aura vocation à marchander ses votes.

ENSEMBLE, NOUS LE POUVONS.

TOGETHER, WE CAN. 


LION DE MAKANDA, MWAN MINDZUMB, MBUTA MUNTU

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7 février 2017 2 07 /02 /février /2017 19:19
AFFAIRE THEO : C'EST UN SCANDALE RACISTE MAIS PERSONNE NE LE  DIT

Imaginez un flic noir qui enfoncerait sa matraque dans le cul d'un jeune  Français bien blanc,  de sorte à  lui provoquer une grave infirmité du rectum et du colon - après lui avoir passé à tabac à quatre.  La France entière s'insurgerait et les manifestations monstres envahiraient les rues de l'Hexagone. On peut imaginer le tollé médiatique s'il s'agissait d'un jeune juif français. Cependant, la probabilité de tels événements est très faible, proche de zéro pour un Français de souche bien blanc. Si le président François Hollande est obligé de sortir rendre une petite visite à Théo, c'est parce que l'affaire est très grave pour l'image de la France. De telles personnes dépositaires de l'autorité publique font honte aux policiers non racistes qui font leur travail dans le respect du droit et de la déontologie professionnelle. Ils n'ont pas tout simplement leur place au sein de la police car les maintenir en qualité de policiers serait une grave insulte à la république. L'image de la France en sortira fortement écornée. La sentence de la justice doit être à la hauteur du crime. Un raciste n'a pas de place au sein de n'importe quelle police du monde. Nous surveillerons de près la décision de justice dans cette affaire où un viol a été perpétré sur une personne - parce qu'elle est noire. Nous sommes en face du racisme exercé par des personnes dépositaires de l'autorité publique. C'est honteux et abject de voir de tels comportements sadiques et criminels. Etre dépositaire de l'autorité publique ne vous place pas au dessus de la loi.

Quand des policiers français racistes agressent un jeune africain,  un jeune Français originaire du Congo, personne ne voit le caractère raciste de cette agression barbare en bande organisée perpétrée par des policiers détenteurs de l'autorité publique, des racistes qui intègrent la police pour assouvir leur penchant raciste, leur haine du nègre en toute impunité. Théo est ainsi agressé sauvagement parce que noir. Autrement, ce comportement inhumain est incompréhensible. Le caractère raciste de l'agression ne fait aucun doute. Quand Marine Le Pen soutient à  tort et à travers les policiers racistes qui ont mutilé Théo, je me demande comment un AfroFrançais peut voter pour cette femme qui démontre par cette posture absurde que ces policiers sont des membres du Front National. Il est une chose de défendre le travail difficile du policier mais il est une autre de défendre des policiers racistes, indignes dépositaires de l'autorité publique, qui ont intégré la police pour casser du nègre et non pour protéger les citoyens. Si on doit soutenir la police à tort et à travers comme le fait Marine Le Pen, alors, la France ne peut plus être considérée comme un pays civilisé mais comme un pays barbare.

Pendant que Théo souffre le martyr à l'hôpital, les flics sont libres et juste suspendus - même celui qui est accusé de viol. Je suis outré d'entendre l'avocat des policiers parler d'''accident" alors qu'il s'agit d'un acte volontaire.  La police des polices enquête souvent à décharge et non à charge. Il faut savoir que de nombreux policiers français encartent au Front National de Marine Le Pen. Ne croyez pas lorsqu'ils font acte de contrition : ils n'en foutent qu'un jeune nègre soit à l'hôpital ; leur attendrissement après coup ne vise qu'à échapper à la justice et souvent, ils échappent à la justice. Cependant, là, la gravité des faits forcera la justice à une sentence exemplaire sinon Aulnay-sous-bois s'embrasera. De tels racistes nous choquent déjà de se pavaner libres après leurs actes de torture que ne pas les virer de la police ou emprisonner le violeur représenterait un énorme déni de justice.

A Aulnay-sous-bois,  depuis trois jours, les jeunes se  révoltent. C'est à cause du caractère raciste de cette affaire qui bien  que médiatisée n'est pas encore considérée comme un acte à caractère raciste. La police doit être équipée de caméras lors de contrôles qui sont surtout  effectués au faciès. (Aujourd'hui, 8 février date à laquelle je complète cet article, une dame a enfin osé parler d'actes racistes).

Des jeunes révoltés sont arrêtés à Aulnay-sous-bois sont jugés en comparution immédiate tandis que les policiers racistes courent tranquillement les rues. C'est un vrai monde à l'envers. Une justice rapide pour des gamins déchaînés contre l'injustice et une lenteur judiciaire dans la liberté pour des policiers racistes qui courent toujours les rues.

Les Noirs sont abattus comme du bétail par des policiers blancs aux États-Unis. Même au pays supposé des droits de l'homme (blanc), méprisés, on ne les respecte pas : ils subissent violences et discriminations. Il est temps que les Noirs créent une organisation de défense du droit de l'homme noir avec un impact certain sur les élections afin de porter aux affaires publiques des candidats qui prennent en compte leurs droits  et le respect de leur intégrité physique. Avec une telle organisation,  les Africains pourraient même provoquer un effondrement économique de pays où le racisme est banalisé.  Imaginez  que tous les Africains optent pour un boycott ou pour des grèves. En frappant au portefeuille ou en devenant une force politique au travers d'un puissant lobby politique, on pourrait arrêter le racisme ou du moins le réduire.  Il est  temps que les Africains arrêtent de tendre l'autre joue.

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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4 février 2017 6 04 /02 /février /2017 12:06
A LEON INJUSTE IBOMBOLO  ÉPINARD : BLOQUER LES RÉSEAUX SOCIAUX NE STOPPERA PAS LA MARCHE DE LA VÉRITÉ

La dictature du monstre de l'Alima peut embastiller tous les opposants qu'il veut. Elle ne peut hélas emprisonner la vérité que nous répandons sur internet et sur les réseaux sociaux. S'il pouvait emprisonner les réseaux sociaux et internet, TOTO NGAKALA le ferait pour détention illégale et ventilation de l'arme lourde de la vérité à la place du mensonge. Nous sommes en train de réussir là où la politique des truands et des pourritiques a échoué. Ceux qui croient que la bataille politique ne peut être livrée qu'au pays ont aujourd'hui la preuve qu'on peut bien la livrer en dehors du pays et faire toussoter ou trembler le grand ndzokou. Cependant, qu'on ne s'y trompe pas : nous viendrons chez nous pour terminer le travail sur place. Nous sommes des ensemenceurs : nous semons la vérité, la liberté, la liberté et la démocratie dans l'esprit du peuple. Nous ne pouvons que venir moissonner sur place.

Récemment, le cabinet du chef d'Etat Major Général de la "Faiblesse Publique" nationale, pour paraphraser ASIE SAVON POURRI DE MARSEILLE, a dû lancer un communiqué pour apporter un démenti non argumenté sur des vidéos qui circulent sur les réseaux sociaux, des vidéos qui affectent le moral de la soldatesque de Denis Sassou Nguesso qui ne veut plus se rendre dans le Pool, refusant un sacrifice suprême injustifié. Le régime des crocodiles du PCT se demande comment désactiver cette menace informationnelle qui frappe sournoisement le pouvoir tous les jours que Dieu fait. Le Lion De Makanda a fait des lionceaux puissants qui lui font honneur. Ils doivent juste apprendre à corser un peu l'analyse car l'information brute ne suffit pas.

Monsieur le sinistre du gouverne(qui)ment Léon Injuste Ibombolo Epinard, votre message teinté de menaces sur le blocage des réseau sociaux nous a beaucoup amusé. Avez-vous oublié que le 20 mars 2016, lors du premier tour de l'élection présidentielle, que les réseaux sociaux et internet avaient été interrompus ? Pourtant, nous avons reçu du pays les formulaires signés dans les bureaux de vote. Vous pouvez bloquer les réseaux sociaux mais ils ne disparaîtront pas pour autant et les informations continueront à circuler en réseau fermé ou en réseau ouvert (internet).

Injuste Léon To Lia Kitoko Ibombolo Épinard peut tout faire mais les réseaux sociaux ne peuvent pas être stoppés. C'est trop tard. Même le 20 mars 2016 quand tout a été bloqué, nous avons reçu les données électorales. Nous demandons à Léon de Juste continuer à Ko lia Kitoko Ibombolo Épinard. Pour notre part, nous continuerons à nourrir le peuple Juste avec la vérité car même Léon Ibombolo ne se nourrit pas Juste d'épinards : il a aussi besoin de manger un peu de vérité. N'ayez pas peur de prendre un peu de vérité au petit déjeuner.

On m'accuse, paraît-il, de mener une "guerre" médiatique. Si c'est une guerre médiatique, que le pouvoir réponde médiatiquement, en utilisant les mêmes canaux, les mêmes armes car bloquer les réseaux sociaux ou internet, c'est tout simplement fuir le champ de bataille informationnel et nous ne voyons pas un aussi puissant gouverne(qui)ment laisser vacant le champ de bataille livré aux lions et aux lionceaux de l'information : en effet, le blocage n'arrêtera pas la guerre médiatique. Au contraire. Non, le régime doit relever le défi de la vérité en prouvant que nous mentons, que nous désinformons le grand public. Ce n'est pas la fuite la solution, monsieur Injuste Léon Ibombolo Epinard. Il est compréhensible que vous tentiez des manoeuvres dilatoires car vous savez que ceux qui nous informent sont des proches du pouvoir révulsés et révoltés par l'injustice. Cependant, même si vous bloquez les réseaux sociaux, - ce qui s'avère impossible par ailleurs, vous ne pourrez bloquer le téléphone portable, les lettres ou même internet car vous ne pouvez vous en passer. Si vous remportez la bataille de la force et du terrorisme, nous avons déjà remporté la guerre de la VERITE informationnelle. Téléfoufou n'est pas crédible. Même Denis Sassou Nguesso lui-même consulte les réseaux sociaux car il sait que ses conseillers lui mentent mais que les réseaux sociaux disent la vérité. 

Chers compatriotes, continuez à distribuer la vérité car la vérité affranchit du mensonge et ouvre la voie à la lutte physique. La vérité est comme la vie, elle s'insinue et s'infiltre partout. Il est impossible de l'arrêter.

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU 

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1 février 2017 3 01 /02 /février /2017 21:57
RDC : DECES DE L'OPPOSANT POLITIQUE ETIENNE TSHISEKEDI

Rival de Mobutu et de Kabila, l’opposant n’avait jamais cessé de rêver diriger le plus grand pays d’Afrique francophone. Il est décédé d’une embolie pulmonaire à Bruxelles à 84 ans, le 1er février.
Jusqu’au bout de sa vie, Etienne Tshisekedi a cultivé son image de mythe politique. L’infatigable opposant, bien que vieillissant et malade, n’a jamais cessé de considérer qu’il était le seul être légitime pour diriger le plus grand pays d’Afrique francophone. Son visage rond et fermé comme une statue de cire, surmonté d’une éternelle casquette gavroche, était devenu une icône, celle de la résistance et de l’espoir d’une alternance politique pacifique que n’a encore jamais connu la République démocratique du Congo (RDC). Il s’est éteint dans un hôpital de Bruxelles le 1er février, d’une embolie pulmonaire, à 84 ans.


Source : http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/02/01/etienne-tshisekedi-l-opposant-historique-de-rdc-est-mort_5073043_3212.html

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1 février 2017 3 01 /02 /février /2017 16:52

Il est rare que le Chef d'Etat Major Général de l'armée congolaise monte au créneau pour apporter un démenti à propos d'une vidéo. Pourtant, hier, un communiqué a été lu sur téléfoufou calomniant des vidéos circulant sur les réseaux sociaux. Une vidéo peut saper le moral des troupes car nous apprenons de nombreux soldats préfèrent se cacher que d'aller au front. La psychose peut facilement s'installer si le haut commandement militaire ne réagit pas. Et nous apprenons que le grand ndzokou n'est pas très content et pour cause !

Aux abois, la soldatesque de Denis Sassou Nguesso a été obligée de dénoncer les vidéos qui circulent sur les réseaux sociaux comme étant des montages et qu'il n'y aurait pas eu de mercenaires de l'ethnie-Etat tombés dans le Pool près de Mindouli dans une embuscade. Même certains opposants crient à la manipulation, au montage. Cependant, il faut s'interroger et se demander ce qu'est un montage vidéo et comment on le réalise. Un montage vidéo suppose tout de même à la base des vrais supports vidéos (images et audios) qui ensuite vont être montés pour faire une nouvelle vidéo. On peut additionner en sectionnant des parties, on peut rajouter du son en mettant en off les voix de départ sur des images préalables.

Nous mettons en ligne une des vidéos qui circulent sur les réseaux sociaux en la passant à l'analyse. S'il y a montage, il ne peut provenir que de la source de ces vidéos, c'est-à-dire, du pouvoir mais on ne fait pas un montage qui peut saper le moral des troupes et la balancer sur les réseaux sociaux sans raison et là, on n'arrive pas à comprendre ce qui s'est passé. C'est peut-être de guerre lasse que quelqu'un a jeté toutes ces petites vidéos en pâture sur les réseaux sociaux. Nous allons montrer que dans celle-ci des détails permettent de douter de sa qualité de montage. Si le gouvernement congolais veut se spécialiser dans le tournage de film de guerres, il faudra nous le dire.

Nous mettons en ligne une vidéo repiquée sur Facebook (la qualité s'en ressent) en l'examinant de près dans les échanges et en scrutant les images. Celle-ci comme les autres est un plan séquence tourné en une seule fois sans interruption et certainement pas avec un téléphone portable comme celle que nous avons publiée avant. Que contient-elle ?

1) Elle renseigne dès la 00: 25 que les mercenaires de Denis Sassou Nguesso cherche à infiltrer les ninjas-nsiloulous du pasteur Ntumi. On parle d'une mauvaise infiltration ou d'une infiltration ratée. Nous savons désormais que la tactique pour atteindre "kinzinza kia nzambi", c'est l'infiltration. Nous nous demandons comment cela sera possible si on ne localise pas le pasteur Ntumi avant.

2) A 00:59, il fait état du capitaine Dzobo. Les Congolais peuvent donc vérifier s'il existe et s'il est bien vivant ou non puisque dans la vidéo il est mort calciné. Si la famille du capitaine Dzobo ne l'a pas encore revu depuis un moment, voici la preuve que l'homme est bien passé de l'autre côté - pour une guerre qui n'a aucun sens.

3) A 01 : 30, un soldat identifie un certain Kakou qui avait reçu la permission de se rendre à Brazzaville de sa part le matin même. Cela peut aussi être une piste vérifiable. Ces propos ne sont pas tenus pour amuser la galerie. Ceux qui parlent d'absence d'émotion doivent se dire qu'il s'agit de soldats qui tuent et qui sont prêts à mourir. Leur réaction face à la mort n'est pas celle du commun des mortels - même s'ils ne sont pas dénués de sentiments frisant la faiblesse humaine. Cette information peut même permettre à certains soldats qui étaient au courant de l"information de nous fournir une date précise..

4) A 01 : 40, on fouille les poches d'un défunt soldat en prononçant le mot ninja : quelqu'un dit que les ninjas (nsiloulous) lui ont peut-être déjà fait les poches. Faire des poches à des collègues d'armes morts me déçoit beaucoup car cela dénote d'une immoralité au sein de l'armée ou ce qui nous tient lieu de faiblesse publique comme l'a souligné Asié Savon De Marseille. De telles propos dans un prétendu montage, on se demande bien pourquoi car ce sont autant d'indices perceptibles et analysables pour voir s'il s'agit de fait ou non.

5) A 01 : 55 : le corps du chef Niéré est identifié. Faire un montage en donnant ce genre de détail est une imprudence ou un acte impulsif. Nous pensons que le chef Niéré ne doit pas être un inconnu au sein de l'armée congolaise. Se faire passer pour mort quand on est vivant, c'est que ceux qui le disent souhaitent votre mort. A moins de l'être vraiment. S'il est vivant, il doit protester énergiquement.

6) A 02 : 10, il est fait état du sergent Alino. Encore un détail qui n'est pas anodin dans un prétendu montage.

7) A 02 : 15, le cadavre du soldat Itoua est identifié. Il est vrai que des soldats au nom d'Itoua sont nombreux mais tous ne sont pas dans le Pool. La famille de celui-ci peut se manifester et nous dire de quoi il ressort.

Nous sommes donc bien dans le Pool. Les soldats en mission appartiennent bien à la faiblesse publique politique. Sur certaines images, on voit du sang dégouliner d'un corps. Il y a un véhicule en feu qui a visiblement explosé. Il y a bien un corps calciné. Si tout ceci est un montage, alors qu'on me dise d'où proviennent les images, les sons, comment le montage a été effectué. Il ne s'agit pas juste de dire que c'est un montage car cela ne suffit pas. Nous venons de vous donner des éléments vérifiables. Si le capitaine Dzobo, le sergent Alino, le chef Niéré, le soldat Kakou existent, qu'ils viennent à la télévision et s'expriment car de telles informations peuvent être réfutées. Il y va de la crédibilité d'un Etat, d'une armée.

Dans cette vidéo, il y a le visage d'un soldat qui est parfaitement identifiable : quelqu'un pourrait bien le reconnaître. Il s'agit de se demander pourquoi ces soldats auraient fait une telle vidéo avec force détails pour ensuite la déverser sur les réseaux sociaux.

Les familles du chef Niéré ou du captaine Dzobo verront peut-être cet article. Nous avons toute raison de croire que cette vidéo est vraie et non un montage à partir d'une quelconque source. Nous avons des noms, des cadavres avec leur nombre exact (onze) et les images, des noms de lieu (Brazzaville) et de groupe armé (Ninja), la mission (réparation d'un véhicule en panne). Que la dictature militaire du PCT nous explique le montage. Nous le défions à nous prouver que tout ceci n'a pas de fond réel et quelqu'un a inventé toutes ces informations. Nous comprenons qu'il ne faille pas affoler les troupes pour que les chefs Niéré, les capitaine Dzobo et compagnies du Congo aillent toujours se faire trucider dans le Pool mais là, parler de montage avec toutes ces précisions, c'est un peu fort de whisky.

Soldats du Congo, ne vous laissez plus abuser. Refusez d'aller mourir pour un pouvoir qui ruine l'avenir de vos enfants. Nul n'a le droit de mourir pour une cause injustifiée. Même pas au nom d'un pouvoir clanique.

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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FAIBLESSE PUBLIQUE CONGOLAISE : LES VIDEOS QUI CIRCULENT NE SONT PAS DES MONTAGES
FAIBLESSE PUBLIQUE CONGOLAISE : LES VIDEOS QUI CIRCULENT NE SONT PAS DES MONTAGES
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31 janvier 2017 2 31 /01 /janvier /2017 19:38
FRANCE/AFFAIRE MBAOU : D'APRES LE GOUVERNEMENT FRANCAIS, "LE GENERAL DE GAULLE ÉTAIT UN GRAND TERRORISTE " PAR DAVY ALBANO

FRANCE/AFFAIRE MBAOU : D'APRES LE GOUVERNEMENT FRANCAIS, "LE GENERAL DE GAULLE ÉTAIT UN GRAND TERRORISTE "
 
HITLER occupa le territoire français pendant la 2ième guerre mondiale et confisqua les libertés du peuple gaulois.
SASSOU occupe le territoire congolais à l’issue de sa guerre de 1997 et confisque les libertés du peuple congolais.
Le Général DE GAULLE s'enfuit en Angleterre et termine sa course au Congo Brazzaville qu'il déclare unilatéralement "CAPITALE de la France libre".
Le Général MBAOU  s'enfuit du Congo et se réfugie en France à Paris, ville considérée comme "CAPITALE des droits de l'homme".
Le Général DE GAULLE organisa sa résistance depuis Brazzaville pour libérer sa mère patrie la France du joug nazi. Cette résistance ne fut nullement considérée comme action terroriste contre HITLER, l'imposteur de la démocratie française.
Le Général MBAOU, par contre, après son arrestation et libération, organise sa résistance depuis Paris pour libérer sa mère patrie le Congo de la tyrannie de SASSOU.
Curieusement cette résistance est considérée par le gouvernement français  comme du terrorisme contre SASSOU l'imposteur de la démocratie congolaise.
De GAULLE à Brazzaville fut choyé, MALGRÉ SON SÉJOUR SANS VISA, multipliant déclarations sur déclarations contre le pouvoir Nazi d'HITLER sans être inquiété. Il réquisitionna des mercenaires nègres dans toutes ses colonies pour l'aider à bouter l'envahisseur Nazi.
MBAOU, à Paris, échappe de justesse à la mort lors d'un attentat dont l'enquête piétine...
Coup de théâtre, la France coloniale qui a honte de valider ouvertement le pouvoir de Brazzaville, sinon par à coups, trouve en ces vaillants généraux (MBAOU et MAHAMAT) l'étoffe de TERRORISTES parce que comme De GAULLE, ils prennent cause et effet pour leurs peuples contre les sous-préfets SASSOU et DEBY !
Le gouvernement français en déclarant ces braves combattants de terroristes fait tomber un pan du voile derrière lequel il se cache depuis la nuit des temps, en soutenant des dictatures acquises à ses intérêts. 
Combattre une dictature ne peut en aucun cas être assimilé  à du terrorisme. C'est à juste titre résister  contre l'absence de droit et l'injustice. Autrement, nous sommes forcés de découvrir tous, selon la révélation de la France  que LEUR GENERAL DE GAULLE ÉTAIT UN GRAND TERRORISTE car il s'était  opposé à son époque à HITLER et son nazisme. 
Une question : pourquoi les Français s'étaient-ils donc opposés à leurs rois, allant jusqu'à les guillotiner ? Que signifie leur REVOLUTION ? Franchement, j'en perds mon latin : voilà des dictateurs qui, dépouillant leurs peuples, ont amassé des fortunes immenses sur le territoire français avec complaisance, et on ne dit rien. De l'autre coté, on s'échine à geler les quelques maigres moyens des pauvres généraux qui luttent pour le droit et la justice dans leur pays ! Quelle bassesse !
D'ici peu, je ne serai pas surpris d'entendre la France déclarer ouvertement que le pasteur NTUMI est un terroriste, du fait qu'il résiste contre le dictateur SASSOU qui pourtant pilonne, tue, viole et brûle des villages entiers dans la région du Pool.
Nous savons tous que le malheur des anciennes Colonies Françaises d'Afrique (CFA), vient du fait de cette fameuse monnaie appelée Franc CFA nous tient en esclavage depuis les pseudo-indépendances. La Françafrique, ce système scélérat qui régit les accords bidons signés par nos pseudo pères des indépendances, nous maintient la tête IMMERGÉE sans aucune chance d'EMERGER. Nos dictateurs sous-préfets sont les intermédiaires par lesquels la France applique son hégémonie. Quant à  l'OIF, sous le vocable "FRANCOPHONIE", ce n'est que du folklore.

 

                                                DAVY ALBANO

 

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