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6 janvier 2018 6 06 /01 /janvier /2018 17:12
Feu Jean De Dieu MASSAMBA MANDOUKI

Feu Jean De Dieu MASSAMBA MANDOUKI

Nous portons à la connaissance de tous les Congolais, membres et sympathisants du Mouvement Républicain pour La libération du Congo,

 

Le décès  de :  Jean De Dieu MASSAMBA MANDOUKI, dans sa cinquante huitième année, survenu le 29/12/2017 à 7h55 à l’HOPITAL Henri MONDOR,

 

Il était Membre adhérent du MRLC, et restera toujours dans nos pensées.

 

A cet instant, toutes nos prières vont vers la famille du défunt dans l’espérance et la résurrection. 

  

L’ensemble des membres du mouvement, le Bureau Exécutif National se joignent à son Président  Mr  HENRI PEMOT, dans la douleur et la tristesse  pour souhaiter à la famille du défunt,  toutes ses condoléances.  

 

Nous vous prions de trouver ci-joint le le calendrier des obsèques, ainsi que les modalités de notre participation et de notre accompagnement  dans cette épreuve difficile. 

 

Vous remerciant de le diffuser largement autour de vous, 

 

Sincères salutations. 

 

Pour le MRLC,

La Secrétaire Général Adjointe,

Gertrude Bienvenue Malalou Koumba

 

 

 

 

 

Programme relatif aux obsèques de notre regretté frère :

 

 

Samedi 06.01.18. à partir de 20 h 

Veillée à la salle de l’hôtel de Valenton : 1 rue de la Sablonnière  94460 Valenton

Bus J1, J2 

Arrêt les graviers.

 

Mardi 09.01.18

11h00 à 12h, levée de corps à l'hôpital Henri  Mondor

51, avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny 

94000 Créteil

Ligne 8 station Créteil l'Echât 

 

13h30 : messe à l'Eglise sainte Madeleine de Limeil-Brévannes

20 ter avenue de Verdun

94450 Limeil-Brévanne

Bus J1, J2 ou K

Arrêt Mairie de Limeil-Brévannes

 

15h00 : départ pour l'aéroport de Roissy

 

Une petite collation vous sera servie dans la salle de  l'église. 

 

 

 

ACCOMPAGNEMENT ET PARTICIPATION VOLONTAIRES DES MEMBRES DU MRLC

 

 

Merci pour votre présence

 

Contacts : 06.70.47.62.63 // 07.78.84.09.90 //06.46.77.96.44

MRLC : COMMUNIQUE NECROLOGIQUE
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1 janvier 2018 1 01 /01 /janvier /2018 16:27
LION DE MAKANDA : ENTRETIEN AVEC LE DOCTEUR MUNTU MOSSI SUR LES RESEAUX SOCIAUX
Chers compatriotes et chers lecteurs, je vous renouvelle mes meilleurs voeux pour l'année 2018 - bien que l'année sera difficile au Congo pour nos compatriotes mais il faut garder espoir.
 
Voici un entretien que je viens d'avoir avec le docteur en médecine MUNTU MOSSI, un compatriote, sur la question du tribalisme. Estimant la discussion importante, je la mets en ligne. Il est évident que le docteur  MUNTU MOSSI ne s'appelle pas ainsi dans la vraie vie. Ayant toujours pris le soin de protéger mes sources, je l'ai affublé du pseudonyme de MUNTU MOSSI (quelqu'un d'anonyme)...
 
La complexité de la situation congolaise appelle l'examen sur deux dimensions : intérieure et extérieure. Autrement, l'histoire politique de notre pays n'est pas totalement compréhensible. D'ores et déjà, il peut s'affirmer sans ambages que le tribalisme est la contradiction dialectique la plus importante qui mine notre pays de l'intérieur, occasionnant des conflits, des discriminations, un raté dans le choix des personnes et un retard de développement manifeste. Et il n'est pas possible de s'attaquer à un ennemi extérieur si on n'a pas vaincu ses démons intérieurs. 
Lors de mon passage à l'assemblée nationale français, j'avais évoqué l'existence de deux dictatures : l'une du dedans et l'autre du dehors à laquelle celle du dedans est assujettie. Qu'on se souvienne de ce que disait un Cobra lors du coup d'Etat de 1997 quand un journaliste français lui demanda comment Denis Sassou alias Nguesso allait faire pour reconstruire le pays ravagé par un conflit de plusieurs mois. Ce dernier répondit : " Il fera appel à la France. Tout le monde sait que Sassou sans la France n'est rien"... Une réponse pleine de lucidité de ce jeune homme en plein conflit. Une fois son coup d'Etat accompli, la première phrase de Denis Sassou alias Nguesso devant la presse française fut : "IL FAUT RÉCONCILIER LE CONGO AVEC LA FRANCE", comme si le Congo et la France étaient fâchés sous le règne du président Pascal Lissouba. Cette "réconciliation" était en fait une soumission totale du Congo devant la France - ce qui n'était plus le cas avec le professeur Pascal Lissouba, raison pour laquelle il fut par ailleurs renversé...
 
Il faut qu'on s'empare tous de la question du tribalisme si nous ne voulons pas répéter indéfiniment l'histoire. C'est la contradiction principale qui mine le Congo au niveau intérieur et empêche à notre pays de devenir pleinement un Etat de droit. Vous avez tous remarqué que sous le règne de l'idéologie tribalisme, il est difficile d'appliquer la justice car les proches du dictateur en chef jouissent tous au nom de la tribu-ethnie de l'impunité absolue. La justice se transmute en injustice pour des motifs idéologiques. Vous avez  vu comment une courageuse directrice du CHTue a été révoquée pour avoir dénoncé des malversations au sein de cet hôpital. Qui peut croire Toto Ngakala quand il prétend sévir contre ceux qui privent les Congolais de rétroviraux aujourd'hui ? Personne !
 
[1/1 15:06] DOCTEUR MUNTU MOSSI : Avec un homme comme toi, que j’ai toujours considéré comme un savant pour tout le travail que tu fais, le Congo se libérera. Le problème du Congo, ce n'est pas un problème congolo-congolais,  ce n’est pas forcément un problème du tribalisme comme tu as su le développer dans une de tes publications comme tu sais le faire. Le problème du Congo, c’est la France. Sassou bombarde le Pool, donc tue les Congolais, la France ne dis rien, même Macron qui venait d’être élu, n’a jamais parlé du Congo. J’ai donc compris que Sassou a un lobbying tellement fort, que notre salut viendra à 80 pour cent de la France. Tant que Total donc la France ne lâcheront pas Sassou, nous allons continuer à souffrir Qu’est-ce que tu en penses ?
 
[1/1 15:20] LION DE MAKANDA : Docteur, imagine le spectre du tribalisme vaincu, tous les Congolais unis comme un seul homme. Si la tyrannie intérieure disparaît, on peut affronter la tyrannie extérieure française. C'est une guerre à deux fronts : le tribalisme ou rivalité politique intérieure et le colonialisme français qui se poursuit tandis que nous ne regardons qu'à l'intérieur. Unis, nous pouvons en imposer à la France. C'est pour cela, qu'elle a entretenu le tribalisme. Essaie de voir la chose sur les deux facettes et tu me comprendras. 
 
[1/1 15:24] LION DE MAKANDA : Le tribalisme est une idéologie néfaste qui pousse une ethnie-Etat à ne se préoccuper que de conservation du pouvoir, négligeant ipso facto le développement économique. C'est un gâchis de temps. On peut parier que nous ne réussirons jamais la voie démocratique sans vaincre le tribalisme. Sans le soutien idéologique et physique des nordistes, que vaudrait la dictature de Sassou ? Rien ! D'où l'intérêt de casser le tribalisme. Nous devons passer des privilèges ethno-tribaux aux droits de tous.
 
[1/1 15:27] LION DE MAKANDA : Il faut prendre le temps symbolique de l'unité de toutes les ethnies que l'on pourrait matérialiser dans une espèce de Sénat des Sages gardiens de la tradition. Quand j'ai émis cette idée, Sassou l'a récupérée mais sans l'esprit qui va avec, il s'est contenté de corrompre les chefs traditionnels.
 
[1/1 15:29] LION DE MAKANDA :  Avec de l'argent et des 4x4... Dans une forme de corruption constitutionnalisée. 
 
[1/1 15:30] LION DE MAKANDA : Le Ghana avance pour avoir concilié tradition et modernité.
 
[1/1 15:30] LION DE MAKANDA : Ce pays est en paix. Plus aucun coup d'Etat !
 
[1/1 15:31] LION DE MAKANDA : Or, personne ne veut entendre parler de tribalisme. Et c'est là, la preuve qu'il est agissant...
 
[1/1 15:31] DOCTEUR MUNTU MOSSI : Je ne mets pas en doute le lion, ta réflexion sur le tribalisme, il faut en effet combattre le tribalisme pour éviter un régime clanique. Je disais simplement que pour faire partir Sassou du pouvoir, il faut qu’il soit lâché par les multinationales françaises, donc la France. Le problème du tribalisme n’est qu’une question subsidiaire.  N’oublie pas que lors des élections de 2016, la partie méridionale de notre pays a plus voté JMM alors que c’est un ressortissant de la partie septentrionale. Une fois le "dégagisme" de Sassou-Nguesso constaté, oui, on peut pendant la période transitoire régler au plus vite le  fléau qui est le tribalisme. Ce n’est qu'un avis d’un observateur.
 
[1/1 15:36] LION DE MAKANDA : Dégager Sassou ne suffira pas. Le tribalisme est une idéologie et une idéologie est toujours COLLECTIVE. La fin du règne de Sassou ne mettra pas fin pour autant à l'idéologie tribaliste.  Quant aux multinationales, pour qu'elles lâchent Sassou, il faut que leurs intérêts soient sur la balance. Je ne peux en dire plus ici. Nos vies valent moins que leurs intérêts. Or, si on traite la question du tribalisme, on affaiblit le monstre de l'Alima en le dépouillant de son bouclier. Est-il donc aussi difficile d'accorder les mêmes droits et les mêmes devoirs à tous nos concitoyens ?
 
[1/1 15:38] LION DE MAKANDA : En France, ils ont triomphé en mettant en branle le principe de l'égalité - qui a stoppé les velléités divisionnistes des Corses et des Bretons, etc.
 
[1/1 15:38] LION DE MAKANDA : Souviens-toi de l'échec du référendum corse quand les Corses ont choisi de rester dans la république que de céder à l'aventure nationaliste, lui préférant une autonomie...
 
[1/1 15:40] LION DE MAKANDA : Même en Europe, une espèce de tribalisme existe. Sociologiquement, je peux évoquer le cas catalan. La Catalogne veut quitter l'Espagne ; ce qui montre que les conflits identitaires n'ont pas disparu même au sein de la vieille Europe...
 
[1/1 15:41] LION DE MAKANDA : Mais c'est la force de la loi qui sauve l'Europe de la pression des différences identitaires. L'Union Soviétique a bel et bien explosé en plusieurs Etats...
 
[1/1 15:41] LION DE MAKANDA : Et qu'est donc la loi sans l'égalité des droits et des devoirs ? Rien du tout sinon UNE DICTATURE !
 
[1/1 15:42] LION DE MAKANDA : Nous avons une justice faible. Pourquoi ? À CAUSE DU TRIBALISME !
 
[1/1 15:43] LION DE MAKANDA : Donc on en revient algorithmiquement à ce facteur...
 
[1/1 15:44] LION DE MAKANDA : Dépouillée du tribalisme, une justice implacable est possible et avec elle, les droits et devoirs reprennent du sens.
 
[1/1 15:45] DOCTEUR MUNTU MOSSI : L’homme du nord en général et le Mbochi en particulier a été convaincu par des rhétoriques utilisées par Sassou comme quoi, il est le seul rempart pour protéger l’homme du nord, que si, il n’est pas là, le nord du pays disparaîtra de la carte du Congo.
Aujourd’hui, on le constate bien, nos compatriotes du nord sont très complaisants envers Sassou et son pouvoir. Ils sont prêts à se sacrifier pour lui, tant qu’il a la bénédiction des Français. Si par malheur, il tombe, les choses pourraient changer progressivement .
 
[1/1 15:50] LION DE MAKANDA : On peut parier : si Sassou tombe, le Nord gardera la main sur le pouvoir. Ton hypothèse reste valable mais le vrai soutien que les Mbochis et le Nord accordent à Sassou vient à mon humble avis des privilèges qu'ils leur accorde et de l'impunité Tribale dont ils jouissent. Si on réussit à garantir des droits à tous, ce soutien saute. Pourquoi paye-t-il d'abord les soldats ? Parce que autrement, ils le lâcheraient !
 
[1/1 15:51]LION DE MAKANDA : Et si l'armée Tribale le lâche, il saute.
 
[1/1 15:53] LION DE MAKANDA : Docteur, nous devons avoir de la rigueur dans un esprit de vérité, autrement, on tournera en rond, vu que tout Congolais par son père a une ethnie de référence. Ce qui fait que l'idéologie du tribalisme sera toujours agissante...
 
[1/1 15:55] LION DE MAKANDA : Nous avons vécu la même chose sous Lissouba bien qu'élu démocratiquement.
 
[1/1 15:56] LION DE MAKANDA : Le défunt Moungounga Kombo Nguila n'a pas hésité à dire : " c'est notre tour, c'est notre pouvoir" !
 
[1/1 15:57] LION DE MAKANDA : Comment tu veux résoudre ce mal si le diagnostic médical est erroné ?
 
[1/1 15:58] LION DE MAKANDA : Ensuite, unis on peut affronter les multinationales et la France.
 
[1/1 15:59] LION DE MAKANDA : Même avec la démocratie, le mal a persisté.
 
[1/1 16:02] LION DE MAKANDA : Et ce mal n'a qu'un remède : remplacer une idéologie par une autre en faisant vivre des concepts politiques sur le terreau du droit en leur donnant corps dans la vie réelle des populations.
 
[1/1 16:03] LION DE MAKANDA : Cette idéologie vient de la résistance de nos traditions à la modernité.
 
[1/1 16:04] LION DE MAKANDA : On doit donc associer les traditions au système politique à venir de façon à neutraliser l'idéologie du tribalisme.
 
[1/1 16:05] DOCTEUR MUNTU MOSSI  : Justement à l’heure actuelle, cette armée clanique n’est pas prête à le faire tomber, qu’est-ce qu’on fait ? Le lion, et très cher frère, les problèmes du Congo sont un véritable casse tête, Sassou nous fait du mal, il nous épuise physiquement et moralement, c’est dramatique, mais le plus dur reste à venir. Après la chute de Sassou, les chantiers et les défis à relever seront pittoresques. L’éducation, la santé, le social, la politique. Il n’y a plus dans notre pays, les vrais cadres. Aujourd’hui, je me permets de te demander avec tout le respect que je te dois, de commencer à préparer nos enfants qui sont ici en Europe, États-Unis Canada et ailleurs de se préparer pour prendre les commandes du pays car il n’y a plus de vrais cadres  là-bas. Tu dois réfléchir sur un éventuel article là dessus car tu trouveras des mots dans cette orientation. Ça été un plaisir de discuter avec toi, j’espère que cette nouvelle année qui commence, nous permettra de nous voir  et aussi de faire la fête car on en a besoin. Salut mon grand.
 
[1/1 16:15] LION DE MAKANDA : Je compte faire avec ta permission de cette discussion un article. Bien sûr, je ne mettrai pas ton nom. Mon rêve est de créer une université libre à XXX. Oui, on sait que la tâche est immense mais on peut y arriver. L'idée c'est de ramener les membres de la diaspora au pays en leur appliquant un principe d'intéressement. Tu n'accepteras pas d'aller travailler si le pays n'accorde pas de valeur à ton travail, même toi, docteur. Il faut que ton travail soit valorisé. Je rêve d'une ville moderne où vous serez logés avec tout le confort. J'ai discuté de cette idée avec Madame Itoua lors de son passage à Lyon qui a répondu que les Congolais de la diaspora ne sont pas des super-Congolais. Tu vois ? Nous qui n'avons même pas le droit de vote ! Ces gens peuvent pourtant construire de telles demeures car nous avons tout pour ça. En tout cas, il faudra des idéalistes pour abandonner leurs salaires européens. On pourrait compter sur les retraités. Mais sociologiquement, il faudra une vraie stratégie d'intéressement.
 
[1/1 16:18] LION DE MAKANDA : Il faut une valorisation salariale car pourquoi payer si cher des Généraux dont le métier consiste à ordonner des massacres et mal payer ceux qui sauvent des vies ? Ensuite, il faut un environnement viable et moderne pour qu'ils n'aient pas envie de retourner en Europe car ils sont Français, Anglais, Américains, etc. Il faut prendre le temps de créer une nouvelle génération compétente par un transfert intelligent des compétences. Il y a des ingénieurs, des professionnels dans tous les corps de métiers. Il faut créer des centres de formation et des écoles d'ingénieurs - en embauchant si nécessaire des ingénieurs occidentaux, le temps d'avoir des compétences congolaises propres.
 
[1/1 16:19] LION DE MAKANDA : On doit réfléchir. Moi, il y a longtemps que j'y ai pensé.
 
[1/1 16:21] LION DE MAKANDA : J'hésite de mettre mes idées en ligne car Sassou les galvaude.
 
[1/1 16:21] DOCTEUR MUNTU MOSSI : Ok, le lion, tu peux faire un article, je pourrai que le lire avec la même passion. Je te laisse passer ce premier janvier en famille, je t’appelle demain soir après le boulot. Bien évidemment, tu trouveras un autre nom à la place du mien, je profite de cette occasion pour te dire que, XXXXXX , je pars à Pointe-Noire pour 8 jours.
 
[1/1 16:21] LION DE MAKANDA : Ok. Bonne soirée.
 
 
LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU
 
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1 janvier 2018 1 01 /01 /janvier /2018 16:00
DUMISS' KIFUMB' : POURQUOI TSATY MABIALA NE MERITE PAS LE TITRE DE CHEF DE L'OPPOSITION
Pour arriver à ses fins après avoir vendu l'UPADS, voici le chemin démoniaque parcouru par Tsaty MABIALA.
 
Après l'élimination physique et politique de certains cadres de l'UPADS qui lui faisaient de l'ombre, il a infiltré le Frocad qui est alors dirigé par Mpouelet et passe toute sa campagne présidentielle à critiquer Mokoko et Okombi qui faisaient bien partie du Frocad comme lui mais peine perdue pour le petit Pascal, les militants de l'UPADS vont choisir Mokoko pour certains et Okombi pour d'autres, résultat : Tsaty Mabiala, qui croit avoir le plus grand parti, n'obtiendra que 4% loin derrière Mokoko qu'il critiquait de n'avoir aucun appareil politique. 
 
Pour espérer être mieux entendu des autres membres de l'opposition, Tsaty Mabiala récupère la tête du Frocad  et écarte Mpouelet qui pour lui n'a aucun parti politique.
 
Profitant de ses nouvelles responsabilités de président du Frocad, il participe au complot pour l'arrestation de ceux qui lui faisaient de l'ombre. C'est ainsi que Mokoko sera arrêté,  pendant que Kolélas et Okombi sont sous surveillance.
 
Tsaty Mabiala, après la reconnaissance de la victoire de Sassou, reçoit la mission d'affaiblir le Frocad et, voyant Kolélas créer un autre Mouvement YUKI, tout le monde se souviendra que Tsaty fera intégrer l'UPADS dans le mouvement YUKI ; les images en témoignent. Tsaty MABIALA s'organise avec le pouvoir pour affaiblir le YUKI mais il n'y parvient pas et trouve une stratégie avec son ami Mboulou, ministre de l'intérieur,  pour disqualifier Kolélas des élections législatives et locales. Analysant la situation sur le terrain et craignant le soulèvement des militants de Kolélas, Tsaty Mabiala réussira à disqualifier le mouvement YUKI qui avait déjà participé à l'élection présidentielle mais interdit aux élections législatives et locales pour éviter qu'il ne gagne plus de députés que l'UPADS à qui le PCT ne cédait que 8 sièges.
 
Le mouvement YUKI bien qu'étant interdit a pu présenter des candidats comme indépendants et il a, malheureusement pour Tsaty Mabiala, obtenu 8 députés comme l'UPADS, le grand parti géré par le petit Pascal. On peut donc dire que les vrais députés élus sont ceux de YUKI.
 
Aujourd'hui Tsaty Mabiala est nommé chef de l'opposition par le ministre de l'intérieur en conseil de Ministres pour services rendus. Aucun dirigeant de l'opposition n'a présenté des félicitations à cet assoiffé de pouvoir.
 
Tout le monde se rappelle de la radiation de Mouamba Clément pour avoir participé au dialogue qui se tenait chez lui à Sibiti alors que lui, Tsaty, pouvait aller à Ewo participer au dialogue par Jet privé affrété par le pouvoir.
 
L'UPADS est devenue tout au moins de ce qui reste du parti, son paillasson pour s'enrichir. Il suffit de voir sur la toile comment sa fille Tessia se mêle des affaires du parti pour défendre les intérêts familiaux avec son vieux blanc de mari chargé de blanchir les pétros-cfa qu'il va récupérer à Brazzaville...
 
DUMISS' KIFUMB'
 
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31 décembre 2017 7 31 /12 /décembre /2017 14:07
MESSAGE DE FIN D'ANNEE 2017 DU LION DE MAKANDA AU PEUPLE CONGOLAIS

Chers compatriotes,

Chers lecteurs,

Chers abonnés à ma NewsLetter,

depuis que la libération de la parole est une opération réussie, nous n'écrivons plus beaucoup car nous passons notre temps plus à lire, à organiser des manuscrits très anciens et très importants pour des usages ultérieurs. BrazzaNews pour les faits divers, Zenga-Mambu, Congo-Liberty, Ziana Tv, BrazzaParisInfos et tant d'autres informent les Congolais sur ce qu'il se passe au Congo. Nous pouvons donc nous contenter d'écrire lorsque nous en ressentons la nécessité.

Cette année 2017 s'achève sur un accord sur le génocide du Pool transmuté en guerre du Pool puisque Sassou et le pasteur Ntumi signent des accords controversés par des personnes interposées. ETRANGE : LE POUVOIR VIENT DE NEGOCIER AVEC UN HOMME TAXE DE TERRORISTE ! Il y a forcément anguille sous roche. Les populations du Pool ne sont pas encore revenues chez elles, elles dont les villages ont été complètement détruits par pur tribalisme et par pur haine des Bakongos. Et il y a toujours dans nos prisons des hommes arrêtés juste au motif politique. La faillite du pays tourne à la banqueroute et la banqueroute nous conduit doucement au déclin du peuple congolais...

Nous croyons que notre problème est la dictature instaurée par Denis Sassou Nguesso - alors que celle-ci n'existerait pas sans le tribalisme qui la soutient depuis trent-trois ans. Tant que rien ne sera dit ou fait à ce propos, rien ne changera au Congo et peu importe que le pays regorge de richesses ; la majorité de la population sera toujours marginalisée.

Il y a des vérités inavouables : Denis Sassou Nguesso et les siens ne peuvent pas avouer qu'ils veulent garder le pouvoir au nord, de sorte qu'il ne tombe pas entre les mains des sudistes, leurs ennemis ataviques. Ils ne vous le disent pas mais les faits vous le montrent. La force publique, l'administration, la politique, bref tous les postes de décisions, vous pouvez voir quels sont ceux qui les occupent et à quel titre. Il ne pourra être question de démocratie que lorsque nous aurons vaincu le tribalisme. Or, personne n'y prend garde. A la mort de Denis Sassou alias Nguesso, si vous ne faites rien contre le triibalisme, vous verrez un autre Mbochi à la tête de l'Etat. A ce moment-là, vous comprendrez ce que je vous dis.

La crise congolaise n'est pas d'abord une crise économique mais une crise politique car l'Etat est devenu ce que j'appelle ETHNIE-ETAT, un pouvoir idéologiquement détenu par une ethnie et par delà elle, par toute une région qui en dépit de tout, refuse la chute du monarque à l'impunité absolue avec droit de tuer Denis Sassou alias Nguesso. Avec l'impunité des membres de l'ethnie-Etat s'expliquent tous les vices comme les détournements, la corruption, la mal-gestion des affaires publiques, les assassinats, le génocide des Bakongos, etc. La baisse du prix du baril du pétrole n'est qu'un prétexte : il y a des pays qui n'ont pas de pétrole et qui se portent mieux que nous. Le baril de pétrole a caracolé à des prix dépassant les cent dollars ; l'ethnie-Etat n'a pas du tout industrialisé ou diversifié l'économie congolaise. Des centaines voire des milliers de milliards de pétros-cfa ont été détournés, le moindre petit projet étant financé par la dette. Il est évident que l'ethnie-Etat ne va pas afficher la politique du tribalisme sans l'édulcorer par des complices de toutes les ethnies. Des personnalités comme Tsaty Mabiala Pascal, le petit, nous ne le prouvent en jouant le rôle d'une opposition molle et de façade, tant qu'elles tirent leur épingle des miettes des miettes car il il y a les miettes que Total et les multinationales laissent au Congo, et les miettes de ces miettes que l'ethnie-Etat donne aux complices - collabos de toutes ethnies pour masquer le triabalisme ambiant qui est la logique qui entraîne le pays vers la décadence, le déclin et la mort de tout un peuple.

 

Chers compatriotes,

sans l'appui de son ethnie Mbochi qui compose l'essentiel de la milice de l'ethnie-Etat et sans le soutien des cadres de son ethnie, Denis Sassou Nguesso ne serait plus au pouvoir. Aujourd'hui, tous ceux qui vivent du tribalisme, instrument de conservation politique et garantie de l'impunité, savent que perdre le pouvoir, c'est s'exposer à rendre des comptes pour des crimes de sang et des crimes économiques qui relèvent pour certains de la Haute Trahison d'un peuple tout entier. Et lorsqu'on évoque la question du tribalisme qui est le cœur de nos problèmes, de faux intellectuels se lèvent, font des vidéos et s'arrachent des cheveux. Si au sud, nous croyons à la démocratie, il est clair qu'au nord du pays, tel n'est pas le cas. Et dans ces circonstances, nous sommes condamnés à voir un homme du nord diriger notre pays pour le malheur de tout un pays. A moins que l'on prenne conscience de ce mal et qu'on le combatte sans merci.

Il n'y a pas eu un seul mot sur le tribalisme dans le discours de Sassou. Et pour cause ! C'est ce qui explique son maintien au sommet de l'Etat en dépit de tous les échecs répétés depuis trente-trois ans !

Il est évident que dès qu'on parle de "Mbochis", de "nord", certains esprits se révulsent. Ils s'opposent à la vérité car ils nient l'idéologie du tribalisme. Oui, tous les Mbochis ne sont pas concernés par le pouvoir, oui, les nordistes aussi souffrent mais pourquoi les Mbochis et les nordistes ne se lèvent-ils pas en masse pour réclamer la démocratie comme les autres ? Doit-on comprendre que ladite démocratie ne profitera qu'aux Sudistes, de leur point de vue ? Certes, quelques intellectuels du nord se lèvent contre les frasques de Sassou mais question alternance, on les a tous vus soutenir le Général Mokoko pour que le pouvoir reste au nord. Donc, pour eux, alternance, oui, pour eux mais tant que l'alternance se joue au nord. C'est cet esprit qui tue le pays et, tant qu'on ne posera pas le problème du tribalisme sur la table, tant que le fanatisme ethnique prévaudra, le Congo ne sera jamais un pays de paix et de démocratie.

Oui, je l'entends bien, et je l'ai dit et répété, le tribalisme est une idéologie politique qui n'a pas commencé avec Sassou mais qui a été exacerbé par lui au point où le plus incompétent des  Mbochis se voyait nommé à des postes de décision - sans le mériter. Et comme le dit Max Weber :  " Ceux qui vivent d'un système, défendent le système" , tant pis s'il est le pire de tous et tant pis pour ceux qui n'en profitent pas.

Nous sommes exposés au tribalisme car quel que soit celui qui accédera au pouvoir au Congo, il sortira par son père ou par sa mère d'une ethnie. Et ses proches ethniques voudront toujours transformer les droits de tous en privilèges de quelques-uns. Dire cela, c'est dire la vérité car, dans ce contexte, même dans la meilleure des élections démocratiques, élire un président de la république reviendrait à porter une ethnie entière ou une région au sommet de l'Etat. Et cela a toujours été vécu ainsi depuis 1960.

 

Alors, comment vaincre le tribalisme ? Il s'agit d'abord d'en prendre conscience et de le mettre hors-jeu par la loi. Or, jusqu'à présent, cet aspect est négligé. Nous ne nions pas nos affinités ataviques mais nous devons faire en sorte qu'elles ne viennent pas brouiller notre vie républicaine, notre vivre ensemble avec mise en commun des richesses de tous le pays. Le tribalisme doit être combattu légalement. Il faut un équilibre qui fasse qu'aucune ethnie ne prédomine au sein des institutions nationales. Comment expliquer par exemple la  pléthore des Mbochis au sein de la SNPC qui gère notre pétrole ? Les Mbochis ont-ils fait la preuve d'être les seuls compétents en la matière ?

Certains refusent de parler de tribalisme de peur d'être indexés et souvent celui qui dénonce ce mal est accusé de tribaliste. Le tribalisme est un fait. Et il explique qu'on ne cherche plus à développer un pays mais juste à conserver le pouvoir dans un camp. 

Il faut commencer par distribuer les mêmes droits et à exiger les mêmes devoirs à tous. L'extrémiste mbochi Okombi "Salissant" a eu des propos très équivoques quand il s'agissait de mettre en cause les siens. Il s'est caché derrière une fixation - alors qu'il sait bien que ce ne sont que des faits : LES MBOCHIS QUI ONT RUINE LE PAYS, JE NE PARLE PAS DE TOUS LES MBOCHIS, ONT TOUJOURS BENEFICIE DE LIMPUNITE ABSOLUE DANS NOTRE PAYS. Et d'ailleurs, Okombi a eu des propos très salissants à l'égard de Ntumi quant aux miliciens de l'ethnie-Etat tombés dans le Pool - comme si les milliers de vies Kongos et les centaines de villages détruits ne comptaient pas.

L'accord signé entre Ntumi et Sassou n'empêchera pas le massacre des populations Kongos car le génocide n'est pas terminé : les troupes de Denis Sassou alias Nguesso vont entrer dans le Pool par la RDC pour prendre le pasteur Ntumi et ses hommes en étau. Sassou est un soldat et cette fois-ci, il veut une victoire militaire. L'accord lui permettra de gagner du temps. Si cet accord avait un sens, il aurait permis que les organisations internationales aillent visiter ce qu'il se passe dans le Pool. Le second indicateur sera le retour des populations. Ce qui ne change rien au cas Ntumi toujours poursuivi par l'injustice de notre pays - alors que de nombreux criminels de l'ethnie-Etat courent fièrement les rues.

 

Mes chers compatriotes,

il faut crever l'abcès du tribalisme si nous ne voulons pas sombrer demain dans une somalisation et une rwandisation du Congo. Au nord, ils sont prêts à conserver le pouvoir par la force, par les armes. Je l'écris ici. Vous le verrez à la mort de Sassou si les choses n'ont pas changé avant.

En votant massivement le Général Mokoko à la dernière élection présidentielle, alors que dans les régions nord, on a exclusivement voté pour les candidats originaires du nord, nos compatriotes du sud ont démontré qu'ils n'ont pas la même vision de la démocratie que nos frères du nord. Demain, quand éclatera une guerre pour la conquête du pouvoir, vous comprendrez ce que je dis ici.

 

Mes chers compatriotes,

je vous dois la vérité. Et cette vérité est dure mais c'est la vérité. Tant qu'il y aura du tribalisme, le Congo, notre pays, demeurera un pays sous dictature, un pays sous-développé car l'idéologie tribaliste vend le pays aux étrangers, ce qui compte pour elle étant juste la conservation du pouvoir dans un camp.

 

Mes chers compatriotes,

l'année qui va commencer demain ne changera rien si nous ne changeons pas nous-mêmes. La crise, c'est le résultat du tribalisme et non juste une simple question de baisse du baril du pétrole. Si notre pays avait bien géré les surplus que nous avons accumulés pendant des années, on ne subirait pas de plein fouet la chute drastique des cours du pétrole.

 

En 2018, les mêmes personnes coupables des mêmes causes produiront les mêmes effets.

 

En 2018, je vous invite tous à combattre le tribalisme, cette idéologie néfaste qui conduit inexorablement à la guerre comme on l'a vu tout le long de l'histoire. Avec une injustice mbochisée jusqu'à l'os, les criminels et les gangsters d'Etat n'ont rien à redouter et vous verrez que la lutte contre la corruption sera vaine.

 

QUE 2018 DEVIENNE POUR TOUS LES CONGOLAIS LA PREMIERE ANNEE DE LUTTE GENERALE CONTRE LE TRIBALISME. Le tribalisme conduit à la dictature, le dictateur se sachant soutenu par une ethnie et par une région. Nous ne pouvons parler de démocratie sans résoudre la question du tribalisme qui est en soi la première de toutes les injustices dans notre pays.

 

En dépit de tout, je vous souhaite une courageuse année 2018 placée sous le sceau de la lutte contre le tribalisme jamais nommé et jamais combattu.

 

VIVE, LE CONGO LIBRE DE TOUT TRIBALISME !

BONNE ET COURAGEUSE ANNEE 2018 !

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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29 décembre 2017 5 29 /12 /décembre /2017 23:22
LIBERIA : NOUS SOUHAITONS BONNE CHANCE A GEORGE WEAH

C'est un homme au grand cœur qui vient de remporter l'élection présidentielle au Liberia, le pays formé par d'anciens esclaves libérés. Voir les larmes de celui qui est le seul ballon d'or africain a ému le monde entier. C'est un joueur, un compétiteur qui aime gagner. Il va devoir jouer en qualité de président de la république le match le plus important et le plus difficile de sa vie. Il porte les espoirs d'un peuple, leurs attentes. Cela ne sera pas facile à satisfaire. Après deux échecs, la troisième fois a été la bonne : George Weah a été élu président de la république du Liberia. Le terrain de jeu, c'est désormais un pays et il faudra combler tout le monde. La tâche est énorme. Nous espérons qu'il saura s'entourer pour prouver à ceux qui doutaient de lui qu'il est possible de faire des grandes choses sans sortir de grandes universités ou sans être un politicien professionnel.

On le présente comme un enfant du Ghetto - comme s'il fallait être un gosse de riche pour être président de la république. Naître dans le Ghetto n'empêche pas d'en sortir et d'avoir un grand destin. Il a montré de l'habileté et du génie avec ses pieds ; désormais, c'est avec son cerveau qu'il devra faire des merveilles. En dépit de tout, qu'il reste un homme au grand cœur pour aider les populations pauvres du Liberia. Nous lui souhaitons good luck, bonne chance. Le peuple lui a fait confiance. Il s'agit de ne pas le décevoir ; c'est une mission très difficile. Il a réussi sa carrière de footballeur. Nous lui souhaitons de réussir celle d'homme d'Etat. Mister George est devenu King George. Il aura fort à faire pour gagner ce match-ci qui se joue sur le terrain politique...

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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29 décembre 2017 5 29 /12 /décembre /2017 22:12

Monsieur Mouyeni Ivolo, vous avez le droit de traiter le petit Pascal Tsaty de tous les noms d'oiseaux. Mais sachez que c'est tout le bureau de l'UPADS qui est complice de cette ignoble situation. Juste après les fausses élections présidentielles, les militants et les sympathisants de l'UPADS ont dénoncé l'ambiguïté des propos du petit Pascal à l'égard du PCT et de son tyran de chef : Sassou. Le bureau politique de l'UPADS n'en a pas tenu compte parce qu'ils attendaient tous que Sassou les invite à la mangeoire.

Le peuple souffre, le peuple se meurt, le peuple crie au secours et personne ne se lève pour trouver le moyen d'arrêter ce malheur. Tout ce qui intéresse les dirigeants de l'UPADS c'est le leadership, les honneurs et l'argent.

Le petit Pascal est un affidé du PCT. C'est un traître, un petit monsieur insignifiant qui n'a pas d'amour propre et qui baisse son froc pour quelques pétros-CFA. Le bureau politique qui l'a laissé à la tête du parti est aussi responsable de ce désastre.

Le petit Pascal est bakuni, c'est un rat palmiste de Loudima, ok. Mais ce qui met le pays à feu et à sang c'est la cupidité, le manque d'amour pour notre patrie et le non respect des biens publics. Le nord est cleptomane et criminel, le sud est cupide et traître. Lissouba a fait confiance aux Niboleks, il a perdu le pouvoir. L'UPADS que Lissouba vous a légué était le seul parti qui pouvait écraser le PCT et faire plier le monstre d'oyo. Sassou en avait peur. Il a compris que le seul moyen pour lui d'asseoir son pouvoir criminel était de désunir l'UPADS avec les pétros-CFA.

Connaissant la perfidie de Sassou, le bureau politique de l'UPADS ne devrait tolérer aucune faille de la part de ses dirigeants. Si aujourd'hui les Congolais souffrent, c'est parce qu'en face de Sassou il n'y a pas eu une opposition unie, ferme dans ses positions, convictions et propositions.

Les massacres du Pool, les assassinats gratuits, les humiliations, les viols, les braquages, les disparitions, les embastillements, la pédophilie, le chômage, sont les conséquences de l'absence d'une vraie opposition. Madame Munari et Mr Bowao qui essaient de dénoncer les crimes de Sassou et ses acolytes sont torpillés tout le temps. Le laxisme et la traîtrise de l'UPADS ont participé à ce désastre. Alors, monsieur Mouyeni Ivolo, si vous êtes premier secrétaire Ile-de-France de l'UPADS, assumez aussi votre part de responsabilité dans le malheur du peuple congolais.


N. Malanda, sympathisante de l'UPADS

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28 décembre 2017 4 28 /12 /décembre /2017 20:51

Ah, si le professeur, le mussi Makanda, LISSOUBA PASCAL LE GRAND, l'homme épris de dignité et de hauteur politique pouvait parler ! Son parti, l'UPADS, créé pour la conquête du pouvoir et qui l'a conquis au premier coup, est devenu un parti vassal du PCT au pouvoir au Congo-Brazzaville. Et cela, à cause d'un homme qui toute honte bue ne se bat pas pour la conquête du pouvoir, pour la défense du peuple ou de la démocratie mais juste pour la satisfaction de sa cupidité. Tsaty Mabiala Pascal, le petit, est un traître dont la mission est la destruction du grand parti créé par le professeur LISSOUBA PASCAL LE GRAND.

Nous sommes tous au courant de la nomination de Tsaty Mabiala Pascal, le petit, en qualité de chef de l'opposition par la dictature des crocodiles du PCT, son parti d'origine dont il est issu et qui lui a confié la mission de faire la taupe pour casser l'UPADS. Des voix s'élèvent au sein du parti pour défendre les idéaux qui guidaient le professeur LISSOUBA PASCAL LE GRAND. Nous nous en faisons ici l'écho car il est impossible de restaurer la démocratie sans grand parti : notez que Denis Sassou Nguesso a vassalisé tous les grands partis politiques du Congo - pour s'assurer de ne pas avoir une opposition capable d'organiser la reconquête du pouvoir et la réhabilitation de la démocratie. UPADS, MCCDI, RDPS, RDD, ETC, TOUS VASSALISES ET SATELLISES AU PCT POUR QUE PERSONNE NE SOIT CAPABLE D'ORGANISER UNE INSURRECTION POPULAIRE.

Mouyeni Ivolo, premier secrétaire Ile-de-France de l'UPADS, répond aux questions des militants en déployant force pédagogie avec illustrations pour démontrer qu'on ne nomme pas le chef de l'opposition car l'opposition ferait partie du système en étant assujettie au régime au pouvoir. Cela réduit le degré de liberté à s'opposer car l'opposition devient juste un associé du pouvoir pour créer l'illusion de la démocratie. Il dénonce que nommer un chef de l'opposition est un acte de corruption. Et il est clair : si Tsaty Mabiala, Pascal, le petit, accepte cette décision, il sera un affidé du pouvoir, un corrompu notoire, un corrompu officiel. Au journal télévisé de Téléfoufou, le journaliste Ambenza Mokia d'Oyo est allé même plus loin en affirmant que le chef de l'opposition avait vocation à entrer au gouvernement - pour assumer clairement son appartenance au système car dans cette position de ministre, il recevrait ses directives du gangster en chef de l'Etat barbare devant le monde entier. Et nous savons que le cupide Tsaty Mabiala, dans sa petitesse, ne refusera ni le rôle de chef de l'opposition avec des droits non constitutionnels, ni le poste de ministre si Denis Sassou Nguesso  l'invitait à la table devant la marmite de la haute trahison du peuple congolais.

Monsieur 4% est allé à même école que monsieur OUI POUR SANG : les deux démontrent que l'on peut se maintenir au sommet d'un grand parti ou au sommet d'un Etat en méprisant les militants et le peuple. Quand Tsaty Mabiala Pascal, le petit est né, un démon passa et proclama : " Un traître est né ! " Cet instrument du mal ne peut que s'associer et finir par s'afficher ostensiblement avec le monstre de l'Alima...

Les propos de Mouyeni ne vont pas faire plaisir au fan club de Tsaty Mabiala, le rat palmiste de Loudima, notamment à ses filles dont une mariée à un vieux Français n'a pas hésité à l'insulter. Nous sommes au courant que Denis Sassou alias Nguesso a trouvé du travail à une fille de Tsaty Mabiala à l'hôpital d'Oyo et à une autre en banque. Elles ne peuvent que défendre la trahison de leur père. Tsaty Mabiala Pascal, le petit, a perdu de vue qu'un parti n'existe que pour la conquête du pouvoir. Le rat palmiste, monsieur 4%, sait qu'il n'est pas à la hauteur. Il ne pouvait réussir que sa perfide mission de détruire l'UPADS de l'intérieur.

Un grand parti est une chance historique. Ce n'est pas donné à n'importe qui de créer un grand parti. Si Tsaty Mabiala détruisait l'UPADS du professeur LISSOUBA PASCAL LE GRAND, qui aurait l'aura et le charisme pour recréer un grand parti comme l'UPADS ? Le fils de Marie Bouanga avait dit qu'il nous laissait en héritage l'UPADS, un héritage qu'un rat palmiste bakugni est sur le point de détruire à jamais en étalant sa collusion avec les bourreaux du peuple congolais en plein jour...

 

VIVE LE CONGO  LIBRE DE TOUS LES TRAITRES !

 

VIVE L'ESPRIT INCORRUPTIBLE DU PROFESSEUR LISSOUBA PASCAL LE GRAND !

 

QUE LES DEMOCRATES SE LEVENT CAR DEMAIN, IL SERA TROP TARD !

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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26 décembre 2017 2 26 /12 /décembre /2017 22:44

Nous avons sonné l'hallali pour que des voix se fassent entendre et organisent la résistance contre la dictature au sein de l'Union PAnafricaine pour la Démocratie Sociale, en sigle UPADS - en l'honneur de son fondateur LISSOUBA PASCAL, LE GRAND, une dictature incarnée par un membre du PCT en la personne de Tsaty Mabiala Pascal, le petit, un esprit diabolique qui a ruiné un grand parti pour l'assujettir au PCT.  L'actuel illégitime premier secrétaire de l'UPADS Tsaty Mabiala fut par le passé un membre éminent du PCT dont il dirigea l'école du parti. Et à voir, ses méthodes, aussi semblables que celles de Denis Sassou Nguesso, il ne fait aucun doute : TSATY MABIALA EST LA TAUPE - RAT PALMISTE AU SOMMET DES TROIS PALMIERS PLACE PAR LE PCT COMME UN CHEVAL DE TROIE.

En les personnes de Jean Louvosso et de monsieur Likibi, La résistance des militants et sympathisants de l'UPADs à Pointe-Noire s'organise remarquablement et doit faire des émules sur toute l'étendue du territoire. Tsaty Mabiala, le rat palmiste de Loudima n'est plus premier secrétaire depuis juin 2017. Il n'a plus vocation qu'à gérer les affaires courantes jusqu'à la tenue du prochain Congrès du parti qui verra l'élection d'un autre premier secrétaire et d'un autre secrétariat. Profitant du silence du sage de Tsinguidi, le Grand PASCAL LISSOUBA, la taupe du PCT a écarté tous les cadres du parti qui pouvaient lui barrer le chemin. Avec monsieur 4%, l'UPADS a perdu son âme. Ses militants et sympathisants sont égarés et désabusés au point où ils ont vomi monsieur le rat palmiste à tête de taupe, Tsaty Mabiala Pascal, le petit.

Jean Louvosso, président de la coordination de Pointe-Noire, estime que Tsaty Mabiala n'a pas légalement, à la lecture des textes statutaires du parti, le pouvoir de le démettre de ses fonctions. Et, il faut ajouter que depuis juin 2017, son mandat terminé, Tsaty Mabiala Pascal, le petit, n'a plus la légitimité pour changer les coordinations car tout le monde attend le Congrès du parti pour rendre compte de la gestion de l'UPADs pendant ces quatre années écoulées.

Il faut que tous les militants et sympathisants de l'UPADS où qu'ils soient, se lèvent pour faire triompher la démocratie interne au sein de ce grand parti - afin que tous les militants et sympathisants de ce grand parti retrouvent espoir et se mettent en marche pour la conquête du pouvoir. L'UPADS est un parti de pouvoir. Pascal le petit en a fait une tête sans corps et sans âme soumise au PCT pour des intérêts propres à cet énergumène, il en a fait un parti vassal à la dictature de Denis Sassou Nguesso.

Que les militants et sympathisants de l'UPADS se rappellent les grandes heures de la noblesse de ce parti sous la conduite d'un grand monsieur, LISSOUBA PASCAL, LE GRAND. Il s'agit de se lever pour rendre honneur au professeur fondateur de ce parti, il s'agit de récupérer un héritage commun, important et historiquement nécessaire à la restauration de la démocratie. Nous l'avons dit : sans grands partis, la démocratie ne peut pas vivre car elle n'est pas viable. AVEC LE GRAND PASCAL, NOUS AVONS EU UN GRAND PARTI AUX TROIS PALMIERS FLORISSANTS ; avec Pascal le petit, l'UPADS est devenu un petit parti incapable de dépasser 4% à l'élection présidentielle.

Il a su rester digne dans les épreuves, dans la maladie. Il a conservé son âme. Il nous laisse un parti politique avec un projet qui est toujours valable pour sortir le Congo de l'âge des ténèbres dans lequel il est plongé. Qui peut ressentir la douleur qui perce de ce lourd silence lissoubien ? Nous vous demandons de stopper le rat palmiste de Loudima qui vit à l'ombre de l'éléphant de l'Alima. Il faut évincer Tstaty Mabiala. Le Congo le veut. Le peuple le demande. Lissouba le mérite. Si nous ne somme même pas capables de chasser un rat palmiste, comment pouvons-nous prétendre capturer ou faire tomber un éléphant ?

Vive, le Congo libre et libéré de tous les rats palmistes, ndzokous et crocodiles, hyènes et vautours de toutes les ethnies !

Vive, l'UPADS !

Vive, le professeur LISSOUBA PASCAL, LE GRAND, seul président élu du Congo !

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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23 décembre 2017 6 23 /12 /décembre /2017 18:47
PAIX DANS LE POOL : UN ACCORD SANS ARBITRE NEUTRE ET SANS LES PROTAGONISTES EST NUL ET NON AVENU

Denis Sassou Nguesso a déclenché une guerre génocidaire dans le Pool au nom d'une opération de police qui a basculé en génocide des paisibles populations Kongos. Il est normal que les originaires du Pool et tous les Congolais appellent à un cessez-le-feu et aspirent au retour des habitants du Pool dans leurs villages qui doivent être reconstruits par le gouvernement. Nous rappelons que le pasteur Ntumi et son entourage immédiat font l'objet de poursuites judiciaires qui n'ont pas du tout été levées et que cela entretient un climat de suspicion - au lieu de renforcer la confiance, les Ninjas-Nsiloulous qui commettront l'erreur de se rendre pouvant subir le sort des disparus -parce que massacrés du BEACH de Brazzaville.

Dans un premier temps, Denis Sassou Nguesso et son régime ont estimé que Ntumi était un terroriste et que l'on ne pouvait pas dialoguer avec un terroriste. Or, si on ne peut pas dialoguer avec un prétendu terroriste, comment peut-on signer un accord de paix avec lui ? Cela ressemble à un piège. Et ils ne semblent pas avoir changé d'avis à ce sujet, Sassou ayant bien signifié que ceux qui emprunteront le couloir seront sujets d'arrestation pour rendre des comptes à l'injustice du pays (vous pouvez réécouter sa déclaration aux sages du Pool).

Après avoir croupi en prison, monsieur Gustave Ntondo a été libéré et forcé de signer un accord censé engager le régime dictatorial de Denis Sassou alias Nguesso et le pasteur Ntumi. Cependant, nous estimons que cet accord est nul et non avenu parce que :

- bien que conseiller du révérend pasteur Ntumi, Gustave Ntondo n'a pas reçu mandat de le représenter de façon officielle avec une notification certifiée du président du Conseil National des Républicains ;

- il n'y a pas entre les deux protagonistes (Sassou et Ntumi) un arbitre impartial, le régime ne pouvant qu'imposer son point de vue vis-à-vis d'un homme qui a une arme pointée sur sa tête. Ntondo n'a pas signé ce document dans un contexte de liberté car il se remarque dans le document que le point de vue du pasteur Ntumi n'a pas été pris en compte - notamment son exigence de voir tous les prisonniers politiques être libérés ;

- on ne peut pas comprendre pourquoi Denis Sassou Nguesso lui-même ne signe pas cet accord et ce n'est même pas le ministre de l'intérieur Mboulou qui signe ce document mais un certain Nde, simple conseiller du ministre Mboulou - cela montre que le régime n'accorde aucun crédit à ce torchon ;

- un document signé le 2 décembre 2017 par le pasteur Ntumi, document faisant office de mandat que nous avons reçu, indique que monsieur Gustave Ntondo n'est pas la personne la mieux habilitée à représenter le pasteur Ntumi qui lui préfère monsieur Gaston Samba Nitou et une certaine dame nommée Lydie Pandou ;

- les deux protagonistes Denis Sassou alias Nguesso et le pasteur Ntumi n'ont pas apposé leurs signatures respectives sur ce document. Or, la fin des hostilités dépend de ces deux personnes. Il n'est pas exclu que cet accord soit ratifié à l'étranger, hors du Congo si les deux partis décidaient de le ratifier.

On doit comprendre le contexte actuel pour la dictature de Brazzaville : les fêtes de fin d'année approchent. Sans un semblant d'accord avec les Ninjas-Nsiloulous du pasteur Ntumi, le ravitaillement de la capitale par voie ferrée et par route pourrait être perturbé. Il faut donc rapidement signer un accord en le bâclant et en faisant en sorte qu'il tourne juste à l'avantage du régime qui gardera ses troupes occupantes dans le Pool. 

Juridiquement, ce document du 23 décembre 2017 paraphé à Kinkala n'engage ni l'Etat privé du Congo du gangster en chef Denis Sassou alias Nguesso, ni le pasteur Ntumi mais c'est juste un document visant à manipuler le FMI - pour qu'il pense que la situation du Pool a été pacifiée. Nous notons que Denis Sassou alias Nguesso s'arme de plus bel - ce qui indique qu'il prépare une offensive d'envergure. Que vaut ce document ? Juridiquement rien, son objectif étant de mettre en confiance les Ninjas-Nsiloulous afin qu'ils fassent reddition et abandonnent le pasteur Ntumi à son sort en l'isolant. Ce document est une insulte aux populations du Pool qui souffrent avec des enfants malnutris et non scolarisés depuis plus d'un an.

Dans la mesure où le pasteur Ntumi a vécu pendant vingt ans en bonne intelligence avec les populations du Pool, le problème n'est pas à son niveau mais à celui de la Bête immonde de l'Alima qui doit retirer toutes ses troupes pour permettre à toutes les populations du Pool de rentrer chez elles. Ce n'est qu'à cette condition que la crédibilité de la dictature de l'Alima pourra augmenter d'un pour cent dans nos esprits.

Le Pool, c'est le Congo. Il ne peut y avoir un accord qui exclut les Congolais, les députés et le régime. Ce torchon tout au profit du régime du gang des barbares de l'Alima et leurs serviteurs ne doit faire illusion devant personne. Les Congolais doivent exiger avec tout accord le retrait total des forces d'occupation qui terrorisent cette région et qu'un accord ne peut être signé que si les populations du Pool ont repris une vie normale. Aucune opération de police pour appliquer une décision de justice ne peut s'accompagner d'un génocide.

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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23 décembre 2017 6 23 /12 /décembre /2017 17:22

Depuis le mois de juin 2017, un Congrès de l'UPADS aurait dû normalement être tenu pour doter le parti d'un nouveau premier secrétaire et de nouvelles instances. Au lieu de cela, Tsaty Mabiala Pascal le petit s'accroche de toutes ses petites griffes de rat palmiste au sommet des trois palmiers. Nous apprenons qu'il fait la chasse à certains militants et cadres du parti qui réclament la légalité statutaire. Tsaty Mabiala n'est donc plus premier secrétaire de l'UPADS. Il n'a plus le droit d'engager le parti du professeur LISSOUBA à une quelconque manœuvre politicienne.

Espérant entrer dans un gouvernement d'union nationale, Tsaty Mabiala, monsieur 4%, s'accroche comme un forcené à un fauteuil de premier secrétaire en toute illégitimité. Pour organiser le Congrès du parti, il ne faut pas grand' chose. Cependant, Pascal, le petit rat palmiste de Loudima, utilise les mêmes méthodes que son maître Denis Sassou Nguesso : mépriser les militants et bafouer le droit.

Nous appelons tous les militants et sympathisants de l'UPADS à un sursaut démocratique au nom du président LISSOUBA PASCAL, LE GRAND qui a créé ce parti pour le bien du peuple congolais - tandis que Pascal le petit en a fait juste un moyen de marchandage politique à son seul profit.

La libération des grands partis politiques congolais entre les maîtres de traîtres comme Tsaty Mabiala est un prélude de la restauration démocratique du pays. En effet, il ne peut y avoir de démocratie sans grands partis politiques rompus à la cause de la liberté et de la démocratie.

Tsaty Mabiala Pascal, le petit, n'a plus vocation à prendre des décisions au nom du parti fondé par le professeur LISSOUBA PASCAL, LE GRAND. Sa révocation de monsieur LOUVOSSO à Pointe-Noire est donc nulle et non avenue.

Nous demandons à tous les militants de l'UPADS au pays de se constituer en force pour chasser Tsaty Mabiala et le faire dégringoler du sommet des trois palmiers. Cet homme est arrivé au sommet de ce grand parti par la ruse. Il a reçu mission de le détruire et il n'a pour cette vile besogne rencontré aucune résistance. Il est plus que temps de l'arrêter dans sa sale besogne...

Membres de l'UPADS, militants et démocrates de la première heure, il est temps de vous réveiller et d'honorer la grande personne du professeur PASCAL, LE GRAND LISSOUBA. Vous devez rendre la vie impossible à Tsaty Mabiala jusqu'à ce qu'il organise un Congrès auquel il ne sera pas candidat car il a déjà épuisé ses deux mandats et est même allé au-delà.

Chers militants de l'UPADS, dans son sage silence, le professeur Lissouba vous regarde. Ne le décevez pas. Il faut chasser le rat palmiste Tsaty Mabiala Pascal, le petit, du sommet de l'UPADS. Le temps des traîtres est terminé. Il faut redonner à l'UPADS son rayonnement et sa gloire d'antan. Entrez en résistance. RESISTEZ  ! CHASSEZ TSATY MABIALA COMME ON CHASSE UN MBENDE A LOUDIMA ! Vous ne pouvez pas exiger la démocratie à l'échelle nationale quand vous n'êtes même pas capables de l'imposer au sein d'un parti. Comme on dit en bakugni : " MUMBEYO KUDILA MU MIOKO ". Prenez votre destin en main ! Faites bloc autour de l'honorable Foutou pour pousser Tsaty Mabiala à organiser le Congrès qui libèrera le parti de son emprise diabolique.

 

Vive le président LISSOUBA PASCAL, LE GRAND !

 

Vive l'UPADS !

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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