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1 septembre 2020 2 01 /09 /septembre /2020 09:17

Au buffet donné par la famille de feu Lissouba PASCAL LE GRAND que je nomme ainsi en allusion à Tsaty Mabiala Pascal le petit, un traître court sur pattes, que j'ai vu pour la première fois, j'ai eu confirmation de la bouche de Pascal (Junior), le fils de l'illustre disparu, que le natif de Tsinguidi était bien du clan Makanda comme je l'avais appris. Nous avons pu échanger quelques phrases :

"Je suis venu accompagner le membre de mon clan jusqu'à sa dernière demeure, lui ai-je dit.

- Vous êtes du clan Makanda ? M'a-t-il demandé.

- Oui. Je suis le Lion De Makanda..."

 

J'ai expliqué à Pascal (Junior) que son père et moi avions la même femme ancêtre et que le professeur Lissouba PASCAL LE GRAND avait strictement le même ADN mitochondrial que moi. C'est à ce titre que j'estimais déjà faire partie de l'intimité familiale (clanique) - très importante dans nos traditions ataviques.

 

Il m'a présenté une dame qui l'aidait à perfectionner son nzebi et a même pu prononcer une phrase en nzebi que j'ai bien comprise, le nzebi étant très proche du tsangui, la langue de ma mère. En substance, il me dit en nzebi qu'il avait mangé du poisson (tsui)...

 

Pour revenir sur le film de l'événement, nous avons quitté Lyon à 8 heures 30 en voiture pour arriver à 12 heures 45 à Perpignan, ce qui nous a laissé le temps de visiter les parages de la cathédrale Saint Jean de Perpignan. Je signalerai au passage l'accueil fait à Pascal le petit quand il est arrivé à l'église. Faye Monama n'a pas hésité à le traiter de tous les noms. Pas qu'à l'entrée, d'ailleurs. Je n'ai pas totalement terminé l'office religieux car j'étouffais sous mon masque - ce qui m'a obligé d'aller prendre de l'air.

 

 ll faut remercier Alliot-Marie, le maire de Perpignan, qui a tenu à donner un caractère solennel à l'événement en mettant à la disposition de la famille des policiers municipaux pour encadrer les obsèques. Tout s'est bien passé si on écarte le fait que Tsaty Mabiala et l'ambassadeur Adolphe Adada se sont fait chahuter par les jeunes. Comme la famille avait annoncé un enterrement dans l'intimité familiale, nous n'avions pas l'adresse du cimetière où allait être inhumé le professeur président Lissouba PASCAL LE GRAND.  Le maire de Perpignan a fait escorter par des motards de la police la dépouille de Lissouba PASCAL LE GRAND Jusqu'à sa dernière demeure.

 

Notre stratégie était simple : se positionner de façon à suivre le corbillard jusqu'au cimetière. C'est ainsi que nous avons pu pénétrer dans le cimetière Sud de Perpignan situé à une bonne distance de la ville, de sorte que son accès à pieds est difficile sans voiture. Nombreux n'ont donc pas assisté à la mise en terre du cercueil en zinc qui contenait la dépouille de feu le professeur, le seul président élu du Congo, Lissouba PASCAL LE GRAND. Hélas, il ne m'est pas possible de vous fournir la moindre image de son enterrement, la famille ayant expressément interdit de filmer la cérémonie.

 

A la fin de l'enterrement, j'ai pu présenter personnellement mes condoléances à l'honorable Jeremy Lissouba à qui j'ai exposé la nécessité d'un congrès de l'UPADS car il fallait renouveler ses instances, le parti ayant perdu son président - d'autant que Tsaty Mabiala Pascal le petit, si on n'y prêtait attention, pourrait provoquer la mort de ce grand parti. Or, il n'est pas si facile de créer un grand parti sans l'aura d'une grande personnalité. Pour preuve, Denis Sassou Nguesso, en dépit de tous ses milliards de dollars, n'a jamais osé créer son propre parti, préférant surfer sur l'aura du président Marien Ngouabi, fondateur du PCT, un parti qu'il maintient en vie à coups de millions de francs CFA.

 

Pascal le petit l'illégitime premier secrétaire de l'UPADS ne peut plus faire l'économie d'un Congrès de ce parti qui doit renouveler ses instances. Aussi, illustre soit-il, un mort ne peut pas rester le président d'un parti. Tsaty Mabiala doit organiser le Congrès du parti aux trois palmiers qu'il repousse sous des faux prétextes. Cette fois-ci, il ne pourra pas trouver des atermoiements. Il ne lui reste plus que le choix de doter l'UPADS d'un nouveau président. Il essayera certainement de se hisser à la présidence du parti en propulsant un de ses sous-fifres au poste de premier secrétaire. C'est lors de ce Congrès décisif qu'il faudra lui barrer le passage si l'on ne veut pas la dislocation de l'UPADS pour ne pas dire sa mort politique et peut-être physique. Ce Congrès a donc une importance capitale : on jouera le destin de l'héritage d'un grand homme, à savoir, le professeur Président Lissouba PASCAL LE GRAND sur la maintenance ou non de Pascal le petit à la tête de l'UPADS ou pas.

 

Il serait dangereux, politiquement criminel de laisser un homme vomi par les militants et sympathisants de l'UPADS, comme Pascal le petit à la tête d'un si grand parti. Tsaty Mabiala, l'imposteur, l'illégitime, le traître qui vote les textes du PCTue à l'assemblée nationale, l'encenseur de Denis Sassou Nguesso, l'homme des crimes de masse, l'homme des masses affamées, le dictateur infatigable, ayant épuisé son mandat, doit partir du sommet des trois palmiers. Le rat palmiste à tête de taupe du PCTue a vécu...

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA, 

 

LION DE MAKANDA, 

 

MWAN' MINDZUMB'

 

 

 

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26 août 2020 3 26 /08 /août /2020 17:49

Nous venons de perdre il y a quelques jours le président qui préférait qu'on l'appelle professeur que président car il était avant tout un scientifique avant d'être un chef d'État. IL S'APPELAIT LISSOUBA PASCAL LE GRAND, un homme féru de sciences et de technologie qui voulait transformer son pays mais Denis Sassou Nguesso ne lui a pas laissé le temps du premier jour où il prit le pouvoir jusqu'au jour où forcé, il le quitta.

 

Nous n'avons pas encore séché nos larmes, nos cœurs saignant toujours qu'une rumeur prétendant qu'il allait avoir une sépulture au Congo enflait provoquant ici et là une polémique auprès des Congolais. Est même apparu un testament verbal dans lequel le professeur Lissouba PASCAL LE GRAND aurait émis le souhait d'être enterré provisoirement en France en attendant une meilleure opportunité politique pour que sa dépouille regagne son Congo natal.

 

Où sera enterré le professeur président Lissouba PASCAL LE GRAND ? D'aucuns faisaient courir le bruit qu'on avait vu une file de 4x4 en direction de Tsinguidi, son village natal : le régime de Brazzaville aurait envoyé une délégation préparer sa tombe. Comment celui qui avait terminé sa vie en exil à cause du coup d'État de Denis Sassou Nguesso pouvait-il être enterré par ce dernier ? On prête à Sassou des pratiques fétichistes, notamment des mutilations rituelles. Les militants et membres de l'UPADS redoutaient de telles pratiques avilissantes sur le grand homme. Nous sommes en France. La famille a prépondérance sur le lieu de l'enterrement d'une personne fût-elle une personnalité publique. Cependant, lorsqu'il s'agit d'un chef d'État soutenu par des millions de Congolais comme le professeur, la famille commettrait un sacrilège en ne tenant pas compte de leur avis qui est de ne pas voir la dépouille de Lissouba PASCAL LE GRAND être profanée par l'homme qui lui usurpa le pouvoir. Lissouba n'appartient pas seulement à sa famille. C'est le sort de personnes à l'envergure messianique de dépasser la petite appartenance ethnique. CHACUN DE NOUS ESTIME RÉCLAMER UNE INFIME PORTION DU GRAND SAVANT QUE NOUS AVONS PORTÉ AU SOMMET DE L'ÉTAT.

 

En glanant des informations au plus près de la famille, nous venons d'apprendre que la famille Lissouba organise une veillée ce dimanche à Perpignan pour organiser l'enterrement le lundi - espérant peut-être que certains seront handicapés par des horaires de travail. Certains auraient voulu l'organiser à Paris mais il serait incompréhensible qu'il n'y ait pas une veillée à Perpignan. Nous ignorons cependant si elle aura lieu à la demeure de l'illustre disparu ou dans une grande salle. Il est certain que nous serons nombreux à Perpignan, la ville d'Elliot Marie. Lundi, après une messe à la CATHÉDRALE DE PERPIGNAN à 14 heures, l'enterrement se fera après la messe. Nous avons recoupé plusieurs sources. Ces dates nous revenues partout.

 

Certes, le contexte ne se prête pas à de grands rassemblements mais nous braverons la mort pour rendre un dernier hommage au grand homme, le seul président démocratiquement élu qui fit l'unanimité aux quatre points cardinaux du Congo. Que la famille ne rêve pas : il n'y aura pas d'enterrement dans l'intimité. On pourrait juste tolérer qu'on respecte des règles de distanciation sociale. On peut imaginer que l'on se recueille à tour de rôle. Nous trouverons bien une formule convenable à tous pour respecter le contexte particulier du moment.

 

Qu'on s'entende bien : EN CE QUI CONCERNE LISSOUBA PASCAL, IL Y A SA MICRO-FAMILLE ET SA GRANDE FAMILLE POLITIQUE ET SA TRÈS GRANDE FAMILLE NATIONALE. N'en déplaise à la famille : IL Y A BELLE LURETTE QUE LISSOUBA PASCAL N'EST PLUS À VOUS SEULE. Un monument national, qui peut s'en attribuer la propriété ? Nous viendrons à Perpignan. Nous braverons la mort s'il le faut. La famille de De Gaulle voulait un enterrement dans l'intimité. CE FUT UNE INTIMITÉ DE CINQUANTE MILLE FRANÇAIS À COLLOMBEY-LES DEUX ÉGLISES...

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA, 

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB'

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24 août 2020 1 24 /08 /août /2020 10:12

Cette fois-ci, ce n'est pas une rumeur : le professeur président Pascal Lissouba est bien décédé. Il y a dix jours, le seul président du Congo démocratiquement élu a été admis à l'hôpital, en France à Perpignan. Aujourd'hui, les médecins viennent de débrancher le respirateur artificiel pour le laisser mourir en paix, IL Y A À PEINE MOINS D'UNE HEURE. Quand tout le monde le croyait mort, il était encore vivant. Il vient de rendre l'âme il y a près d'une heure. Quand les médecins débranchent un appareil respiratoire, c'est que tout est fini, qu'il n'y a plus d'espoir. La mort s'en suit rapidement.

 

Notre douleur est encore saignante pour qu'on puisse écrire de grands textes sur le GRAND HOMME. Ce temps viendra un peu plus tard. PASCAL LE GRAND, membre du clan Makanda, est allé rejoindre nos ancêtres. Que ceux-ci l'accueillent avec joie et honneurs. Il nous quitte à 88 ans avec une vie bien remplie.

 

Nous avons puisé nos informations au plus près de la famille en nous renseignant auprès des proches. Il y a eu trop de fausses rumeurs sur  cet homme comme si certains souhaitaient sa mort, notamment, celui qui s'est emparé frauduleusement de son parti politique, l'UPADS. Désormais, il n'y a plus un PASCAL LE GRAND pour cacher la traîtrise et la médiocrité d'un Pascal le petit...

 

Nous présentons nos plus tristes condoléances à la famille de l'illustre disparu. Le Congo vient de perdre un génie et un démocrate. Son souvenir vivra éternellement en nous. Que son âme repose en paix à jamais.

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,

LION DE MAKANDA, 

MWAN' MINDZUMB'

 

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22 août 2020 6 22 /08 /août /2020 22:53

Le parasitisme est un phénomène naturel qui observe qu'un être vivant, le parasite, vit aux dépens d'un autre être vivant appelé l'hôte. Il est différent de la symbiose qui veut que deux êtres vivants se rendent réciproquement des services en collaborant pour leur survie. La troisième voie de la nature est celle de la relation de la proie et du prédateur, la base de tout écosystème. Le parasitisme concerne aussi les sociétés voire les continents et les races.

 

Dans cet article, nous allons démontrer que le tribalisme mbochi que l'on observe au Congo, notre pays, est du parasitisme social d'une ethnie sur un pays, soit l'ensemble des autres ethnies qui composent le Congo. Ne vous fiez pas aux discours ou à la propagande d'État. Observez juste les phénomènes sociaux.

 

L'accession de Denis Sassou Nguesso au pouvoir pour la seconde fois a consacré la prise du pouvoir de l'ethnie Mbochi qui est devenue une ethnie prédatrice qui détruit le Congo, le pays dont elle est le parasite. Oui, l'ethnie-Etat Mbochi est le parasite de notre pays le Congo qui est son hôte. Et nous allons le prouver :

 

1) le parasite ne produit rien - c'est même la raison de son parasitisme ; c'est l'hôte qui produit tout pour la survie du parasite qui s'accroche à son hôte pour survivre. Les Mbochis ne produisent rien de bon pour le Congo ; c'est notre pays au travers de notre État parasité qui fournit toutes les ressources financières qui nourrissent les Mbochis.

 

2) Les Mbochis sont comme un virus qui a occupé le noyau de notre pays représenté par l'État en devenant l'ethnie-Etat. Cette position lui permet d'accéder à toutes les ressources du Congo qu'ils consomment et détournent à leur seul profit. Au Congo, les Mbochis prospèrent ; les autres ethnies se meurent.

 

3) Un parasite ruine son hôte quitte à mourir avec lui car il ne peut le quitter et vivre par lui-même. L'ethnie-État Mbochi ne quittera plus jamais le pouvoir et peu importe que le Congo soit totalement ruiné jusqu'à la mort de notre pays : les Mbochis au pouvoir (du parasitisme) sont prêts à mourir avec le Congo dont ils mangeront la dépouille. Les Mbochis ne veulent plus quitter le pouvoir quand bien même ils sont conscients qu'ils détruisent un pays.

 

4) Un parasite ne sait pas survivre en dehors de sa proie. Les Mbochis sont incapables de se passer des privilèges de l'État car sans l'État, ils ne sont rien. C'est la pire ethnie de tout le Congo - peut-être même la pire ethnie de toute l'Afrique.

 

Observez qu'ils occupent tous les postes de décision importants - même les petits postes - SANS EN POSSÉDER LES CAPACITÉS DE LES EXERCER. Ils ne créent pas de la richesse pour notre pays et pour notre peuple mais détruisent celle que le Congo rapporte, du moins celle que les puissances étrangères laissent au Congo - en volant l'argent public, en détruisant le tissu économique et en terrorisant les populations incapables de se révolter.

 

Les Mbochis ne sont ni les plus intelligents, ni les plus vertueux de notre pays. Au contraire ! Ce sont les plus incompétents, les plus nuls, les plus kleptomanes qui sont propulsés en avant pour la ruine du pays. Si au Denis Sassou Nguesso s'appuyait sur ce que l'ethnie Mbochi a de plus intelligent, de plus vertueux, pour le bien-être de tout le Congo, on aurait pu s'en sortir mais ce n'est pas le cas. Or, ce sont les plus médiocres de tous les Mbochis qui sont promus aux postes les plus importants. Il en résulte, le vol, les détournements, les meurtres gratuits, l'arbitraire - et cela en toute impunité. Oui, les Mbochis ruinent le Congo en toute impunité. Ils tuent des innocents, pillent les ressources du pays - en bénéficiant de l'impunité absolue. Quoi qu'il dise, Denis Sassou Nguesso n'a pas l'intention de punir ses propres parents - puisqu'il est lui-même le premier des parasites qui ruinent le Congo. 

 

5) On​​​ s'étonne que le Congo n'ait rien : ni eau potable, ni électricité, ni écoles d'ingénieurs, ni écoles d'architecture, ni industries, ni hôpitaux, bref, rien. C'EST QUE LE PARASITE S'EN FOUT DU BIEN-ÊTRE DE L'HÔTE. Peu importe que l'économie congolaise soit totalement par terre. Peu importe que le pays se meurt. Les Mbochis comme tous les parasites - ne se préoccupent que de l'avenir des Mbochis.

 

Cette analyse est scientifique. N'importe qui partant de la définition du parasitisme peut conclure comme moi que le tribalisme mbochi est du parasitisme social.

 

Vous me direz : "LDM, que peuvent faire le Congo et les Congolais ? N'y a-t-il donc rien à faire ?" Je vous répondrai qu'il y a bien une solution : IL FAUT QUE TOUTES LES AUTRES ETHNIES DU CONGO ENTRENT EN RÉSISTANCE CONTRE L'ETHNIE PARASITE MBOCHI POUR S'EN SORTIR. Il n'y a pas un autre moyen de stopper le parasitisme mbochi. Si toutes les ethnies du Congo ne se liguent pas contre l'ethnie parasite Mbochi, les crocodiles de l'Alima détruiront le Congo - c'est peut-être déjà le cas. Si rien n'est fait par absence de leadership politique, par peur ou par lâcheté, dans quelques années, il ne restera plus rien du Congo car notre pays sera totalement ruiné.

 

Un jour, ceux qui tomberont sur cet article comprendront trop tard ce que je dis ici. Quand la pire portion d'un pays parasite celui-ci, il est perdu. La lâcheté de notre peuple finira par nous coûter très cher - si ce n'est déjà le cas.

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB'

 

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23 juillet 2020 4 23 /07 /juillet /2020 16:50

Tsaty Mabiala Pascal le petit n'est plus premier secrétaire de L'UPADS au regard des textes du parti qui fixent la durée du mandat du premier secrétaire. Il y a belle lurette que son mandat est terminé. C'est donc illégalement qu'il est premier fonctionnaire d'État chef de l'opposition - avec rang de ministre. En plaçant un homme qui est un usurpateur à la tête de l'opposition, Sassou sait que le rat palmiste Tsaty Mabiala ne peut qu'être affaibli à ce poste.

 

Denis Sassou Nguesso a préféré la taupe du PCTue à Guy Brice Parfait Kolélas comme chef de l'opposition. Pascal le petit est plus malléable, lui qui a cassé l'UPADS pour faire plaisir à son maître Sassou qu'il encense désormais partout il passe au point où on se demande si c'est un membre du PCTue qui parle. Le traître belge vote et pousse les députés et les sénateurs du parti aux trois palmiers de voter comme lui les textes du parti congolais des tricheurs tueurs. En quoi est-il opposant au régime ? Désormais, il n'y a pas plus meilleur ambassadeur du parti des crocodiles du PCTue que Tsaty Mabiala. La bouche pleine de pétrocfas, Pascal le petit ne cache plus son allégeance à Denis Sassou Nguesso. Ventre plein, bouche laudatrice !

 

Nous avons appris que le prétexte selon lequel Pascal le petit n'avait pas les moyens d'organiser le Congrès du parti est un mensonge grotesque. Pourquoi ? Parce que huit députés et huit sénateurs de L'UPADS verseraient chaque mois 300000 francs CFA dans la caisse du parti - ce qui fait près de 5000000 de francs CFA par mois. Au bout d'une année, cela fait près de 60 millions de francs CFA, ce qui est LARGEMENT suffisant pour organiser un Congrès.

 

Nous venons ici de faire la preuve que c'est volontairement que Tsaty Mabiala Pascal le petit n'organise pas le Congrès. Il a peur d'être éjecté du sommet des trois palmiers. Cela se comprend aisément. On n'organise pas sa propre éjection à la tête d'un parti qui vous nourrit grassement !

 

Nous accusons les cadres de L'UPADS, le Bureau national, le secrétariat national, bref toutes les institutions du parti du professeur Lissouba Pascal le GRAND de HAUTE TRAHISON. Le fait qu'elles se taisent et ne disent rien, laissant Pascal le petit conduire le parti à la dérive vaut complicité. Il est plus que temps que ceux qui aiment le professeur Lissouba Pascal le GRAND prennent leurs responsabilités.

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA, 

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB'

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22 juillet 2020 3 22 /07 /juillet /2020 00:38

L'assassinat de George Floyd aux États-Unis a renforcé le mouvement Black lives matter dans le monde. Il est curieux que Kemi Seba s'en prenne à ce mouvement et à ce slogan en disant qu'il n'est pas de ceux qui disent : " hé, les Blancs ! Nos vies comptent ! " et qu'il y voit une quête d'amour - alors que pour lui, la lutte des Kamites, c'est plutôt une question de respect.

 

J'apprécie Kemi Seba pour son combat visant à orienter la jeunesse africaine vers la défense de la liberté, de l'identité, de l'africanité en vue d'une indépendance réelle de l'Afrique vis-à-vis des puissances impérialistes et de leurs valets locaux. Cependant, je ne comprends pas cette prise de position qui interprète mal le point de vue qui affirme : "Black lives matter". Comment expliquer le racisme et la violence contre les Noirs qui s'en suit ? Par l'idéologie de la supériorité de la race blanche à l'égard des autres races  -notamment la nôtre - prônée par les extrémistes occidentaux. Elle considère que le nègre est un esclave, un animal, une vie qui ne compte pas et que molester ou tuer un Noir n'a pas d'importance. Les criminels et les racistes sont renforcés dans cette posture par la justice occidentale qui souvent ne les condamne pas ; ce qui vaut encouragement.

 

Dire que les vies noires comptent, c'est prendre le contre-pied de cette idéologie qui institue le racisme comme étant quelque chose de pas répréhensible du tout. Dire que les vies noires comptent, ce n'est pas demander à être aimés mais à être au contraire considérés et respectés. En effet, ce qui compte, qu'on l'aime ou qu'on ne l'aime pas, on le traite avec considération, avec respect - dans les lois en vigueur et on sait que la loi n'est pas une question de sentiment.

 

Les policiers blancs n'ont pas le même égard envers les criminels blancs et les criminels noirs : les Blancs sont souvent traités avec humanisme, sans violence - alors qu'on tire sur un Noir désarmé, parfois dans le dos. Et voir que de tels criminels se prétendent policiers, garants de l'ordre est révoltant.

 

Kemi Seba aime la lumière et les lampions médiatiques. Il essaie certainement de capter la lumière en allant dans le sens contraire d'un mouvement qui met le projecteur sur une autre cible que lui. En prétendant que ce courant n'est pas le bon parce qu'il ne conduira pas au respect des Noirs. Au contraire ! Le mouvement Black lives matter conduira les Noirs à se défendre car lorsqu'on a été pendant des siècles traité plus bas que l'animal et que le complexe d'infériorité a pénétré au plus profond de la conscience noire, affirmer son importance est le début d'un processus qui conduit à l'autodéfense, à une plus grande revendication, au fait qu'on ne laissera plus rien passer. L'humanité des Noirs a été niée et tant que cela ne sera pas combattu, qui peut respecter les Noirs ? La fierté de l'homme noir, sa dignité doivent être affirmées aux yeux de ceux qui nous méprisent. C'est la première étape qui conduit à l'autodéfense. Cela ne m'étonne pas que de nombreux Afro-Américains aient pris les armes après la mort de George Floyd.

 

Un jour, le mouvement Black lives matter atteindra l'Afrique - si ce n'est déjà le cas. On verra les BENA NTEMO se lever et se dresser en face de ceux qui les méprisent et les rabaissent pour défendre leurs vies. En effet, si vous acceptez l'idée que vos vies ne comptent pas, comment pouvez-vous les défendre ? C'est parce qu'ils estiment que Black lives matter que les Noirs se sont révoltés en Haïti. Quand on affirme que l'on compte, on commence d'abord à compter à ses propres yeux avant de compter à ceux des autres.

 

Si les racistes américains ne font pas attention au mouvement Black lives matter, il faut redouter qu'un jour, l'Amérique bascule dans une guerre civile. RETENEZ CE QUE J'ÉCRIS AUJOURD'HUI : c'est une pensée prophétique...

 

Quand les Afro-Américains se mettront à se défendre face à l'injustice, à l'arbitraire et à la violence gratuite, le slogan "Black lives matter" ne sera plus qu'une idée mais une idéologie vivante. A ce moment-là, Kemi Seba comprendra que le respect commence l'affirmation que celui qui est en face de vous n'est pas du tout un inférieur.

 

Que Kemi Seba poursuive son combat - sans attaquer un mouvement de plus grande ampleur que le sien. Si la rivière était jalouse du fleuve, elle se jetterait directement dans la mer. Kemi Seba est une rivière. Black lives matter, un fleuve. La cause noire universelle, un océan dans lequel toutes les luttes kamites doivent se jeter. L'ennemi, ce n'est pas ton frère qui combat le même ennemi que toi, pour la même raison, par ailleurs.

 

Les policiers blancs aux États-Unis ne tirent pas sur les Blancs parce qu'ils les aiment mais parce qu'ils estiment qu'une vie blanche compte autant que les leurs. Ce n'est pas une question d'amour, ni d'intérêt mais simplement d'idéologie de suprématie blanche. Tuer sauvagement un Blanc sans raison enverrait un message que les autres Blancs ne comprendraient pas car la suprématie est une guerre de races, de peuples. Or, dans une guerre, on ne tire pas sur ceux qui sont dans le même camp que vous.

 

Bien que les Noirs soient ceux qui constituent l'humanité primordiale, les autres races leur refusent encore le titre d'humains. C'est la grande bataille de notre histoire : réaffirmer notre humanité - sans nier celle des autres. C'est pourquoi il est important que "black lives matter" car si le prétexte de notre infériorisation disparaît, il n'y aura plus de Nègre devant un Blanc mais un homme devant un autre. Qu'on nous aime ou pas n'aura plus importance.

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB'

 

 

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18 juillet 2020 6 18 /07 /juillet /2020 23:37

En ce moment, l'état de santé du Général Jean Marie Michel Mokoko est très critique. La diaspora et les mokokophiles ont pris à cœur d'exiger qu'il vienne se faire soigner à l'étranger. On assiste à des marches de soutien en France et en Europe. Cependant, Denis Sassou Nguesso qui a déclaré que Mokoko n'était qu'un prisonnier de droit commun n'entend pas céder au bruit des sirènes. Pour le monstre de l'Alima, le Général du peuple doit rester en prison. Et y mourir... 

 

La question que nous avons tous soulevée était la suivante : qu'est-il arrivé au Général Jean Marie Michel Mokoko ? Pourquoi sa santé s'est-elle brusquement détériorée ? Cyr Makosso de ZIANA TV a affirmé que l'officier du peuple souffrait du Covid-19 tandis qu'un ancien ministre qui est allé lui rendre visite a évoqué un cas de palu sévère. Il nous est bien entendu difficile de confirmer ces deux hypothèses.

 

Récemment, il nous a été communiqué une troisième hypothèse : celle d'un empoisonnement. Un ami résidant au Congo nous a informé sur la façon dont le PCTue a procédé pour empoisonner le Général Jean Marie Michel Mokoko. Le régime a commencé par le mettre en confiance. Un  prêtre aumônier venait prier avec lui dans sa cellule. Avouez qu'il ne viendrait à l'idée de personne de se méfier d'un prêtre. Eh bien, vous auriez tort ! Au Congo, la religion, comme la médecine, fait de la politique ! Il ne faut pas se fier à la soutane. Le régime peut même vous envoyer un faux prêtre. Quand ils veulent vous avoir, les crocodiles du PCTue ne reculent devant rien.

 

Après avoir gagné la confiance du Général Mokoko, un jour, de beau matin, le prêtre se serait présenté pour une prière. Le Général du peuple l'aurait reçu avec bienveillance. Quand vous priez, vous fermez les yeux, n'est-ce pas ? Quand le Général a fermé les yeux pour prier, quelqu'un lui aurait aspergé un liquide sur le visage. Mokoko s'est débattu avant de s'évanouir. Qui l'aurait empoisonné ? Le prêtre aumônier ? Quelqu'un d'autre ? Nous n'avons pas la réponse à cette question.

 

Voilà comment s'ouvre une troisième explication de la détérioration de la santé du Général Jean Marie Michel Mokoko. Le régime attend que le poison pénètre en profondeur. Nous espérons nous tromper. Souhaitons qu'il ne s'agisse que d'un cas de palu mais connaissant la rancune tenace de Denis Sassou Nguesso à l'égard de cet arrogant Général qui l'a traité de voleur en public - alors qu'il lui doit beaucoup, il n'est pas étonnant qu'il ait décidé de le liquider. Sinon, pourquoi refuse-t-il de le libérer ou de le laisser aller se faire soigner à l'étranger ?

 

Denis Sassou Nguesso sait qu'évacuer le Général Jean Marie Michel Mokoko, c'est prendre le risque de ne plus le voir revenir au Congo ; c'est en fait, une libération qui ne dit pas son nom. Et un Mokoko en liberté empêcherait Denis Sassou Nguesso de dormir de son doux sommeil. PERSONNE NE LAISSE LA HAINE SORTIR DE PRISON. ELLE FINIRAIT PAR VOUS SAUTER AU VISAGE. Denis Sassou Nguesso, peu le savent, est un lecteur assidu du Prince de Machiavel...

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB'

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8 juillet 2020 3 08 /07 /juillet /2020 09:45
Le Général Jean Marie Michel Mokoko, en haut, à droite, parmi les vainqueurs du coup d'État de 1997

Un chercheur congolais estimait que le mot passion avait une origine linguistique kongo et non latine. En effet, quand on parle de la passion comme dans la passion du Christ, on parle en fait de la souffrance du Christ - et cela concerne  juste l'intervalle qui va de son arrestation à sa mort en passant par sa crucifixion. Or, le mot "passi" en kikongo veut justement dire souffrance. C'est pourquoi je parle de la passion de Mokoko dans le titre de mon article. J'ai jugé utile de répondre à mon ami Patrick Éric Mampouya qui a écrit un pamphlet dans lequel il jette l'opprobre sur tout le monde, y compris s la famille du Général Jean Marie Michel Mokoko - sauf sur lui-même installé sur le fauteuil du juge. J'ai d'abord ajouté que dans cette affaire, il fallait dire : "honte à nous" et non : "honte à vous", Patrick Éric Mampouya est aussi coupable que nous tous d'avoir laissé le Général Mokoko croupir en prison. Il aurait pu tel Zorro chercher à délivrer tout seul le Général du peuple qu'on ne le lui aurait pas reproché. Ensuite, j'ai tenu à poursuivre dans mon élan en écrivant ceci : 

 

"Patrick Eric Mampouya, MDR ! Dans cette affaire, tu m'excuseras de te dire, qu'à mes yeux, tout le monde est coupable - MÊME le Général Mokoko - pour ne pas avoir d'abord compté ses forces avant d'affronter un autre Général dans les urnes. Il était un membre de ce système et le connaissait de l'intérieur. Nous croyions à l'époque que l'homme allait bénéficier d'une partie de la force publique qui allait se ranger derrière lui - pour un éventuel conflit armé. Nous nous sommes trompés ! L'armée a été fidèle à la dictature et infidèle à la démocratie : elle est toujours du côté de celui qui paye...

 

Pourquoi le peuple avait-il fait le choix d'un soldat en face de Sassou ? Parce qu'il estimait que seul un autre officier pouvait combattre un pouvoir MILITAIRE installé par un officier en s'appuyant sur la légitimité qui lui viendrait du peuple.  Mokoko savait que le pouvoir au Congo était au bout du canon et non dans les urnes - prétexte. Même en gagnant dans les urnes, on n'a pas le pouvoir dans notre pays qui est pour le moment de nature militaire. Comment le Général J3M pouvait-il l'ignorer ? QUI LUI AURAIT REPROCHÉ DE BATTRE SASSOU PAR LES ARMES QUAND IL L'AVAIT BATTU DANS LES URNES ? J3M avait la légitimité MILITAIRE de prendre les armes pour asseoir sa légitimité POLITIQUE. Personne ne le lui aurait reproché - surtout pas notre peuple !  Ouattara s'était préparé MILITAIREMENT avant même de participer à l'élection présidentielle. Pourtant, le pouvoir en Côte d'Ivoire n'était pas de nature militaire. A fortiori, on se doit de prendre les armes quand on a en face une dictature militaire.

 

ON NE JOUE PAS À LA DÉMOCRATIE À L'OCCIDENTALE QUAND UNE KALACHNIKOV EST BRAQUÉE SUR LE FRONT DU PEUPLE ! C'est d'ailleurs ce qui à mon avis explique que notre peuple pris en otage par le monstre de l'Alima ne bouge pas le petit doigt de la révolte. AU CONGO, L'AUTRE NOM DU POUVOIR EST : BRAQUAGE. Et tu sais comment il faut se comporter face à des braqueurs si tu veux survivre. IL N'Y A PAS DE HONTE À AVOIR QUAND ON VEUT SURVIVRE - SURTOUT SI ON N'A QUE SA PETITE VIE TROUÉE PAR LA MISÈRE...

 

Dans une logique de braquage, et la dictature est un braquage de tout un peuple, il n'y a pas de honte à survivre.

 

Il en va des sauveurs en religion comme des sauveurs en politique : il faut avoir au préalable des troupes armées jusqu'aux dents. En réalité, le VRAI Jésus était à la tête de 15000 hommes armés tous prêts à être crucifiés par les Romains en cas d'échec. Autrement, les versets suivants n'ont pas de sens :

"Que celui qui n'a pas d'épée vende son manteau" 

ou

Celui qui me suit doit être prêt à porter sa croix". Ici, la croix n'a rien d'un objet religieux.

 

Dans l'ancien Israël, les Macchabées ont livré la guerre contre les envahisseurs romains au nom de dieu à la tête de troupes armées. Josué était un Général avec une armée pour conquérir Canaan. Face à une épée, même le dieu des Juifs est obligé d'envoyer une autre épée - là où sa parole aurait suffi...

 

Le Général Mokoko fut surnommé Moïse le Sauveur. Pour un Général, le bâton de sauveur est une armée bardée de mitrailleuses.  Rien d'autre. Autrement, il faut accepter de porter la croix. Et c'est ce qui lui arrive en ce moment. L'homme est entré dans sa passion depuis le jour où il fut arbitrairement arrêté. Aujourd'hui, la maladie le persécute en plus du reste. Nous nous plaignons tous de cette situation. Cependant, il est coupable de ne pas avoir joué pleinement son destin. Ses amis d'hier devenus ennemis d'aujourd'hui l'accusent d'avoir fomenté un coup d'État imaginaire. A mes yeux, il n'est coupable QUE de ne pas avoir perpétré un VRAI putsch, UN PUTSCH LÉGITIME ! Il arrive des moments dans l'histoire où la légitimité doit être servie par la force. La force brute. 

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB'

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5 juillet 2020 7 05 /07 /juillet /2020 11:25

Dans le contexte du Covid-19, le moindre malaise, la moindre fièvre, la rumeur tire des déductions rapides tendant vers la maladie du moment. La santé du Général Jean Marie Michel Mokoko est préoccupante en ce moment. La question est : de quoi souffre-t-il ? A cette préoccupation de l'esprit, la réponse ne peut venir que des médecins de l'hôpital militaire de Brazzaville. A sept mille kilomètres, nous ne pouvons avoir que des rumeurs. Il y a cependant deux sources que je note ici comme deux réponses qui se font concurrence : 

 

1) il y a celle qui prétend que le Général Jean Marie Michel Mokoko souffre du palu qui lui a causé un malaise provoquant une bruyante réaction de ses soutiens, admirateurs et fanatiques qui craignent pour la vie de leur champion qu'ils prennent pour le vrai président du Congo ;

 

2) la seconde, lancée par Cyr Makosso de ZIANA TV dont le sérieux journalistique est certifié, évoque que le Général du peuple serait porteur asymptomatique du coronavirus chinois. Deux tests l'auraient formellement diagnostiqué. S'il n'était pas sûr de cette information, il ne l'aurait pas rendue public.

 

Ceux qui soutiennent la première hypothèse crient au montage, au complot. A l'un d'eux, j'ai demandé des arguments qui pourraient expliquer que la thèse du Covid-19 soit un montage du pouvoir qui chercherait à éliminer le Général Mokoko. Il m'a été rétorqué que les militaires du régime n'étaient pas protégés quand ils sont venus chercher le Général Jean Marie Michel Mokoko et que s'il s'agissait Covid-19, ils auraient dû être protégés. Cet argument pèche par le fait qu'il eût fallu que la prison ait été capable d'effectuer des tests du Covid-19 au préalable pour conclure que le Général Mokoko était atteint de cette pathologie. Ce n'est qu'à l'hôpital militaire que ce test a pu être effectué - s'il l'a été : nous pensons que le bilan pouvait l'inclure, vu le contexte actuel. Le second argument est un peu plus sérieux s'il est avéré car une personnalité politique qui lui aurait rendu visite à l'hôpital militaire aurait rapporté que le Général du peuple avait fait une crise de palu. Même sans politiser la maladie - ce qui n'est pas exclu, il est possible que le palu et le Covid-19 coexistent ou que les symptômes de l'un s'apparentent à ceux de l'autre. Ce n'est pas par hasard que le professeur Raoult utilise un vieux médicament contre le paludisme pour traiter le Covid-19.

 

Toutefois, certains y voient une conspiration dans le contexte du Covid-19 qui serait utilisé par le régime de Brazzaville qui profiterait de la pandémie pour expédier ad patres le Général Jean Marie Michel Mokoko. La dictature de Brazzaville aurait décidé de liquider Mokoko sans susciter de vagues. En effet, qui sortirait manifester s'il apprenait que le Général Jean Marie Michel Mokoko est mort du Covid-19 ? Personne. Quand on rétorque que Cyr Makosso a affirmé qu'un second test avait été effectué par une chancellerie occidentale, la réponse là encore est toujours dans le maintien de la thèse conspirationniste : " Les Français n'aiment pas le Général Mokoko. Ils peuvent très bien s'entendre avec la dictature des crocodiles de l'Alima pour éliminer Mokoko".

 

Devant l'absence d'une communication claire et médicalement assermentée du régime de Brazzaville dont nous connaissons le penchant mensonger, la thèse de la maladie politique contestera celle de la maladie naturelle. Mokoko n'est pas un patient comme un autre...

 

Il existe un dernier scénario non dramatique, celui-là : pour ne pas perdre la face, Denis Sassou Nguesso pourrait jouer sur la fragilité de la santé du Général Jean Marie Michel Mokoko pour le sortir de prison et commuer sa peine de prison dure en mise en résidence surveillée. Les docteurs en agitation politique du PCTue peuvent avoir proposé ce scénario au monstre de l'Alima. Nous n'avons rien d'autre à faire que de suivre le déroulement de cette affaire qui mêle santé d'un Général et politique. Par ailleurs, nous avons de nombreux exemples qui attestent qu'au Congo, il arrive à la médecine de faire de la ... politique !

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB'

 

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4 juillet 2020 6 04 /07 /juillet /2020 23:59

Nous sommes fixés sur l'état de santé du Général Jean Marie Michel Mokoko après une valse de rumeurs. Un journaliste sérieux vient de jeter une bombe informationnelle sur les réseaux sociaux : on connaît de quoi souffre le Général Jean Marie Michel Mokoko et ce n'est pas du paludisme comme me l'a dit un ami, hier : la situation est un peu plus sérieuse pour justifier l'agitation de la dictature de Brazzaville.

 

Après lecture de son post qui annonce que le Général Jean Marie Michel Mokoko est testé positif au Covid-19, j'ai discuté avec Cyr Makosso qui m'a certifié que de source sûre, cette information était vraie. Deux tests, dont un effectué par une chancellerie étrangère, auraient abouti au même résultat. L'heure n'est plus à se demander comment il a pu être contaminé : le coronavirus chinois ne s'arrête pas devant une porte de prison. Il s'agit de se demander si le régime des barbarosaures venus des berges de l'Alima fera tout pour sauver le Général Jean Marie Michel Mokoko : il fait partie, vu son âge, de personnes à risque et il se murmure que l'homme à une santé fragile, fragilité accentuée par l'âge...

 

Le régime des crocodiles du PCTue aménage une chambre à la clinique Leyono pour recevoir le Général Jean Marie Michel Mokoko malade asymptomatique du Covid-19. Aux dernières nouvelles, cette clinique n'est pas équipée pour soigner les patients atteints du Covid-19. Par ailleurs, les quelques respirateurs à peine achetés par Madame Jacqueline Lydia Mikolo, ministre de la santé, ont déjà disparu ! Comme les cartons de CVO reçus gracieusement de Madagascar. Au Congo, c'est une mode de faire disparaitre tout ce qui entre dans notre pays et qui a un peu de valeur...

 

Le Général du peuple aurait pu être soigné à l'hôpital militaire de Brazzaville un peu mieux loti ou évacué à l'étranger comme certains caciques du régime. Cependant, nous connaissons la haine que le ndzokousaure voue au Général Jean Marie Michel Mokoko. La clinique Leyono est un mouroir plutôt qu'autre chose. On pourrait espérer qu'il reçoive un traitement à base de CVO malgache ou à base de la solution du professeur Raoult mais de nombreux observateurs craignent qu'il n'en soit rien. Denis Sassou Nguesso ne veut pas entendre parler de magnanimité à l'égard du Général Mokoko. Il faut espérer que le monstre de l'Alima fasse montre d'un peu d'humanisme à l'égard de celui qui est passé de serviteur à adversaire politique. Il ne peut pas laisser mourir Mokoko dans une clinique alors qu'il peut le soigner.

 

La peine de mort a été abolie au Congo. La prison ne peut pas être une peine de mort déguisée. Il faut soigner le soldat Mokoko. En disant cela, je dis : il faut sauver le soldat J3M. Le monde entier regarde ce que fera la bête de l'Alima. La haine n'est pas une politique et celui qui profite du pouvoir pour assouvir sa haine n'est pas digne d'être considéré comme un homme d'État...

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB'

 

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