Apprendre que deux fillettes de deux et cinq ans ont été violées par un Libanais à Pointe-Noire me donne encore un plus le sentiment que tous les lubriques maniaques et tous les criminels notoires de toutes les nations se sont donnés rendez-vous dans notre pays, le Congo, où ils sont assurés de jouir de l'impunité absolue. En ma qualité de citoyen congolais, je vis à l'étranger en respectant les lois du pays hôte qui m'a accueilli. De toute façon, la justice française n'a rien à voir avec l'injustice congolaise corrompue aux ordres de l'ethnie-Etat des barbares primitifs qui ont pris en otage notre pays. Les étrangers ne peuvent pas respecter notre pays s'ils ne redoutent pas sa justice...
Attendez, quel homme sain d'esprit peut concevoir l'idée de violer une petite fille de deux ou cinq ans ? Cela ne peut que dénoter de graves troubles mentaux dépassant le stade de la folie car même un animal est incapable d'une telle pulsion. Nous ne sommes donc pas dans l'animalité mais dans la barbarie doublée de satanisme. Un tel énergumène a-t-il des enfants ? Peut-il imaginer une telle infamie sur sa propre fillette par quelqu'un d'autre ? Comment le gouvernement des barbares primitifs de l'Alima s'accommodent de pareil crime tellement horrible ? Et vous pensez que je peux une seconde respecter de tels monstres incapables de défendre même des enfants sans défense dans notre pays ? Qu'importent leurs grosses maisons ? Leurs milliards mal acquis ou leurs grosses voitures ? A mes yeux, ils ne valent pas plus qu'un moustique...
Il est de règle notoire que l'étranger ne soit jamais en droits ou en devoirs au dessus de la fille ou de la fille du pays hôte ou il réside. Sauf en cas de colonisation ou d'invasion. Au Congo, l'observation empirique montre que les étrangers se permettent tout car ils se croient au dessus de la loi - surtout s'ils sont sémites (Arabes, Juifs) ou caucasiens. Ce sentiment d'impunité leur vient surtout du fait qu'ils se sentent protégés par les autorités qu'ils ont corrompues. Cela va du petit juge au chef de l'Etat lui-même.
A Pointe-Noire, il y a quelques années, un Libanais, Hassan Haddam Hojeij, s'est permis de taser madame Flore Barros pour lui avoir résisté - sans qu'elle soit dédommagée à la hauteur du traumatisme subi. Voilà qu'un autre Libanais, le pédophile Hussein BAYDON, se permet de violer deux petites filles de deux et cinq ans - ce qu'il n'aurait jamais osé faire dans son pays au Liban mais qu'il assouvit sans scrupules au Congo car il méprise les Noirs, les prenant pour des esclaves. J'ai cru voir sur les réseaux sociaux des photos de lui en prison. Cependant, combien de temps va-t-il y rester ?
Je parie qu'il déambulera bientôt libre dans les rues de Pointe-Noire après avoir passé quelques jours en prison. Chaque Libanais est protégé par un officier congolais ou un homme politique véreux avec lequel il est en affaire quand il ne le corrompt pas tout simplement.
Des témoignages me sont parvenus où l'on m'apprenait que des Libanais pourtant dans leur tort poursuivis par des policiers consciencieux prenaient leur téléphone et appelaient des Généraux qui faisaient fouetter des policiers qui essayaient de les rattraper comme ce Libanais qui avait failli écraser un Congolais ou qui avait été pris en flagrant délit de criminalité.
Les Libanais ne payent pas la douane, ont des passeports diplomatiques congolais - sans être Congolais, nous vendent de la viande avariée, tasent nos soeurs, violent nos filles, tiennent presque tous les commerces, etc. Les Libanais entre autres étrangers sont au Congo comme en terrain conquis. Dans un pays qui se respecte et qui fait passer ses citoyens avant les étrangers - ce qui va sans dire, un pédophile de cette nature en prendrait au moins pour vingt-cinq ans, payerait une immense compensation aux familles des deux gamines et serait presto illico renvoyé chez lui après un tel acte ignoble - avec interdiction formelle de remettre les pieds au Congo.
J'ai déjà écrit combien de nombreux pédophiles - y compris des prêtres de l'église romaine - viennent se refaire une nouvelle vie en toute impunité au Congo. On reçoit n'importe qui dans notre pays ! C'est un vrai Etat passoire où les étrangers font la loi sur les nationaux après avoir corrompu les autorités.
Quant à notre justice, cela se comprend bien vite qu'elle n'est pas indépendante pour un sou et qu'elle est totalement aux ordres des barbares primitifs venus des berges de l'Alima, des sauvages en col blanc qui sont eux-mêmes des pervers de haut vol. Sa faiblesse est toute démontrée car elle est plus exercice de l'injustice que manifestation de la justice.
Nous nous adressons à monsieur Denis Sassou alias Nguesso un message simple : comment laissez-vous des étrangers manquer de respect à notre peuple - jusqu'au point de violer des fillettes de deux ans ? En quoi êtes-vous un homme d'Etat si des violeurs sont demain relâchés - après avoir commis de tels crimes ? Nous savons qu'au moment où nous écrivons ces mots que la riche communauté libanaise du Congo fait des pieds et des mains pour libérer un des leurs en passant au dessus de la justice : il leur suffit de corrompre en haut lieu.
Quant à nos concitoyens, comment pouvez-vous laisser de tels crimes odieux se commettre - sans oser vous soulever et chasser tous les Libanais du pays ? J'aurais tant apprécié entendre que des magasins des Libanais ont été saccagés en guise de rétorsion. Ou que des Libanais ont été chassés au centre ville de Brazzaville, de Pointe-Noire ou de certains quartiers où ils ont leurs magasins. C'est à croire que Denis Sassou alias Nguesso vous fait aussi boire dans l'eau du robinet le caca de tous les Libanais. Le viol d'une fillette de deux ans - comme d'une fille de cinq ans - est une abomination qui aurait mérité une indignation nationale. Si vous n'êtes même pas capables de défendre vos propres enfants contre des violeurs, que méritez-vous sinon un dictateur qui ne vous respecte pas ?
Apprendre que les Libanais tiennent le marché des boulangeries - alors que la loi congolaise l'interdit aux étrangers me choque. Quand viendra l'heure de la transition démocratique, nous redonnerons aux Congolais la place qui est la leur pour qu'ils se sentent privilégiés face aux étrangers dans notre pays. Il n'est pas normal de concéder plus de droits à des étrangers qu'à des nationaux au Congo.
Il faudra bien un jour arrêter le cycle de la jungle qu'est devenu notre pays. Il est évident que ceux qui ont pris le pays en otage en criant ! "Congo le bissi" ne voudront jamais quitter les hautes sphères du pouvoir où ils se servent dans les caisses de l'Etat avec Denis Sassou alias Nguesso en marmiton en chef distributeur de la joie pour quelques individus et de la misère pour le plus grand nombre. C'est cela qui donne du sens à ce combat, un combat digne bien que difficile. L'heure du peuple finira bien par sonner un de ces jours...
NKOSSI ZA MAKANDA, LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU