Voici un échange que j'ai eu avec le professeur Marion Michel Madzimba Ehouango qui s'intéresse aux traditions africaines comme moi que je reprends ici pour ceux qui ne peuvent accéder à ce commentaire sur les réseaux sociaux mais qui lisent mon blog :
Grand-frère, Marion Michel Madzimba Ehouango, c'est en effet le poste le plus important si on l'associe à l'éducation. Ministère de la culture et de l'éducation, avec ministre d'Etat pour donner à celui qui aura ce poste le pouvoir de refondre l'éducation et d'y introduire dès l'école maternelle la culture de nos ancêtres qui est à quelques nuances près la même chez tous les Bantous qu'ils soient en Afrique centrale, en Afrique australe ou dans le sud du continent : on estime que les migrations des Bantous que nous sommes commencent vers l'an 1000 de notre ère mais il est probable qu'elles commencent bien avant. Nous sommes donc disséminés sur de nombreuses parties de l'Afrique...
Si nous parvenons à changer la culture de nos enfants par l'éducation, nous créons un autre Congo et nous sauvons du même coup notre pays du tribalisme qui le tue doucement. La puissance de l'ancien monde se trouvait dans la notion de clan qui n'avait rien à voir avec l'ethnie ou la tribu selon l'époque où l'on pose le problème : c'est que l'ethnie (ou la tribu) détermine juste la dimension linguistique. Est Vili celui qui parle la langue vili - alors qu'être Makanda dépasse cette notion linguistique et va au-delà de l'espace restreint national. Je m'explique : Il y a des Makanda qui parlent le vili et qui s'appellent dikand' ou d'autres langues comme le lumbu, le tsangui, etc, mais qui ne s'identifient pas en tant que tels juste à leurs langues ; cette considération nouvelle ethnique vient de la colonisation avec l'apparition des villes : avant les indépendances, l'état civil introduit par les Français notait juste l'ethnie - au lieu de noter le clan, donnant ainsi plus d'importance à la langue parlée. Les actes de naissance de tous ceux qui sont nés avant l'indépendance portent la mention de la coutume avec inscription du nom l'ethnie - puisque la nation congolaise n'existait pas encore.
On retrouve les membres du clan Makanda au Gabon, peut-être en RDC et partout où une femme Makanda ou Dikand a eu des enfants. Elle transmet son clan à ses enfants et ils avaient dans la tradition l'obligation quasi-religieuse de donner le gîte et le couvert, bref, tous les atouts de la survie à tout autre Makanda qui se présentait comme tel. Si une femme Mindzumb' de l'ethnie de mon père épousa dans le passé un Bembé, ses enfants sont des Mindzumb' et traditionnellement, tous les membres du clan Mindzumb' sont mes pères : ils sont donc obligés de m'assister en cas de besoin.
La clanité ne dépend donc pas de la langue parlée mais du partage de l'ADN mitonchondrial en matriarcat et du sang de l'ancêtre masculin commun en patriarcat. En 1997, après le coup d'Etat de notre mastodonte national, quand ma sœur entra avec sa famille au Gabon, au première village frontalier, elle entendit une femme qui disait en punu : " Les Congolais sont arrivés ! Les voleurs sont arrivés ! " Quelle ne fut sa surprise de voir ma soeur lui répondre en punu qu'ils n'étaient pas des voleurs. Elle fut étonné de voir que cette Congolaise parlait sa langue. Quand ma sœur dit qu'elle était Makanda, elle se mit à pleurer : " Les anciens nous avaient raconté qu'une partie des nôtres étaient restée au Congo..", dit-elle. Le chef du village, un Gabonais qui était Makanda, reçut ma sœur et sa famille comme des membres de sa famille. On leur trouva le gîte et on leur servit le couvert - avec permission d'aller dans les forêts et dans les champs. On voit comment la clanité explose les frontières et rattache inconsciemment à une époque où les lois claniques avaient droit de cité.
Même chez les Makouas, par le lien matrimonial via le matriarcat, je peux trouver des Makandas perdus au nord. La puissance de nos traditions ancestrales avant l'arrivée des Blancs renvoyait à une dimension quasi-religieuse. Le rattachement clanique constituait notre carte d'identité traditionnelle. Sur le plan traditionnel punu, culture dans laquelle j'ai grandi, je suis : Loundou Dou Ibouang' Ipoudi I Mandziombo, mussi Makand', mwan' Mindzumb'. On y retrouve mon nom LOUNDOU selon la tradition tsanguie, ma filiation paternelle jusqu'à la troisième génération car il y a mon père IBOUANGA, mon grand-père IPOUDI et mon arrière grand-père MADZIOMBO, le clan de ma mère MAKANDA OU DIKANDA et celui de mon père MINDZOUMBA. Les Makanda me reçoivent comme un des leurs et les Mindzumb' comme un fils. Cela suffit pour que je voyage en paix du Congo au Gabon ou ailleurs avant la colonisation...
Ne s'arrêtant pas juste à la famille immédiate, la prohibition de l'inceste s'étendait au clan poussant ainsi à des alliances matrimoniales extra-clano-ethniques qui maillaient toute l'Afrique puisqu'on ne pouvait pas épouser une femme de son propre clan. Pourquoi ? Parce que c'était comme devenir parents deux fois là où une seule fois suffit. C'est ainsi que s'explique en partie la paix et l'harmonie dans lesquelles vivaient nos ancêtres. Si par l'alliance clanique, le maillage raccorde tous les hommes, les uns aux autres, le conflit est étouffé car tout différend devient un problème familial. Il faut ajouter un autre argument de taille qui va dans le sens de l'harmonie sociale : si pour l'Occident, le mariage est une alliance entre un homme et une femme, dans l'ancien monde traditionnel, c'était plus qu'une alliance entre deux familles car c'était surtout une alliance entre deux clans - de sorte que les Mindzumbas épousaient les Makandas ou que les Makandas épousaient les Boumouélis, etc. Cette vision des choses renforçait l'harmonie sociale. Nos ancêtres purent ainsi vivre des millénaires dans la paix...
Nous éduquons nos enfants pour qu'ils ressemblent à des étrangers, à ceux-là mêmes qui nous ont colonisés, massacrés comme le montre le récent rapport De Brazza et qui ont détruit notre culture et nos sociétés comme si le Créateur s'était trompé en nous faisant tels que nous sommes - alors qu'éduquer signifie en toute vérité : faire en sorte que nos enfants ressemblent à nos ancêtres. Où a-t-on vu une girafe ou un buffle éduquer ses petits girafons pour qu'ils ressemblent à ceux du lion ? Il nous faut sortir du déracinement culturel, de la servitude mentale et religieuse, condition sine qua none pour sortir de toute domination étrangère. C'est notre combat numéro un et cette domination étrangère est multiforme : religieuse, culturelle, éducative, scientifique, économique, politique, bref, totale...
NE NKOSSI, NGOMBULU ZA MAKANDA
LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU
Pourquoi a-t-on assassiné un homme qui ne menaçait pas la dictature des barbares primitifs de l'ethnie-Etat du Congo car innocent, il ne faisait que son noble métier d'avocat en voulant défendre feu le colonel Marcel Ntsourou - son client - assassiné en prison à Brazzaville ? Après avoir été arrêté sous un prétexte fallacieux et torturé, Maître Hervé Ambroise Malonga, ancien bâtonnier, avait révélé avoir été empoisonné dans une salle obscure de la présidence de la république par un homme masqué qui lui avait administré un poison lent en imbibant ses lèvres et son cou avec un chiffon qui contenait ledit poison. La vidéo est toujours en ligne. Nous nous attendions à son décès - dans la mesure où la dictature des barbarosaures primitifs de l'Alima lui avait interdit la sortie du territoire pour qu'il vienne se faire soigner en France. Il était donc condamné et contre ce poison, il n'avait aucune défense possible, lui qui défendait les autres. Défendre un homme haï par le monstre d'Edou devient un crime qui peut conduire à la mort. La mort de Maître Hervé Ambroise Malonga est un exemple patent. Que tous les avocats qui font légalement leur travail le sache. surtout si vous êtes un Mukongo, l'ennemi juré de l'avenir des Mbochis. D'une manière générale, exercer son métier en ayant un sens de la justice et de la probité morale devient dangereux en face de barbarosaures primitifs en col blanc qui n'ont aucune limite dans l'exercice du MAL ABSOLU. Appartenir au camp de ceux qui veulent le BIEN du Congo devient un crime passible de mort car au royaume d'Oyo-Congo, le MAL, C'EST LE BIEN ET LE BIEN, C'EST LE MAL dans une inversion des valeurs. Voilà comment les criminels du PCTue ont transformé notre pays en enfer où seul le MAL ABSOLU a droit de cité...
Que l'on expose ensuite sa dépouille au palais de justice comme on expose une proie, une bête abattue dont la mort vous rend fiers - en tant que gangsters d'ethnie-Etat - est une insulte à la dignité humaine. Assassiner et ensuite rendre les honneurs à celui qui a été réduit au silence est une marque de fabrique du régime qui massacre nos compatriotes : une moquerie, une ironie publique.
Au Congo, les parents de l'illustre disparu ne peuvent même pas demander une autopsie pour chercher à savoir pourquoi maître malonga est mort. D'habitude, lorsque le régime organise de tels honneurs hypocrites, c'est pour éviter que la famille du cujus ne constate les effets du poison sur l'organisme. Dans ce cas, l'ethnie-Etat s'occupe de l'enterrement. De la sorte, les parents ne verront pas le corps défiguré par le poison et ne pourront pas constater s'il y a eu des prélèvements rituels d'organes. Et il y a des gens pour soutenir un tel régime. Au nom de l'avenir des Mbochis. Marien Ngouabi avait vu juste en affirmant que lorsqu'on élève des primitifs si haut, ils deviennent si dangereux.
Nous dénonçons l'exposition publique au palais de l'injustice de Brazzaville de la dépouille de maître Hervé Ambroise Malonga assassiné pour avoir juste fait son travail. Le Congo vient d'interdire certains partis. Si le ministère de l'injustice ne tolère plus que la plaidoirie d'avocats mbochis, qu'il le dise de sorte à ce que nous économisions des vies. Le métier d'avocat étant un métier libéral qui peut s'exercer partout dans le monde, nous invitons les avocats kongos à quitter le pays pour aller plaider ailleurs où une vraie justice existe. Leurs vies sont en danger parce que KONGOS.
NE NKOSSI ZA MAKANDA,
LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU
Cela fait un moment que je n'ai pas nourri mes lecteurs spirituels d'un article. Il n'est pas possible d'amener les enchaînés spirituels chrétiens de notre pays vers la lumière de la vérité sans démontrer le mensonge qui se trouve dans la Bible qui n'est en rien un livre saint mais un livre de mensonge, un livre de falsifications - après que les papes et prêtres catholiques romains aient fait disparaître les originaux des sources plagiées. Sachez qu'à l'époque ancienne, il n'existait pas de nombreux manuscrits d'un texte : on pouvait les trouver tous pour faire les disparaître tous ou pour en produire une copie modifiée. Ce n'est pas par hasard que Théodose ordonna l'incendie de la bibliothèque d'Alexandrie. Les copistes pouvaient les recopier, les modifier, s'en approprier avant de faire disparaître les originaux. Cependant, même en examinant le texte biblique actuel, on peut retrouver des traces qui conduisent vers la Vérité que ne cherchent plus les croyants aveugles - alors qu'il leur a été ordonné de chercher la vérité. Le prophète Simon Kimbangou avait conseillé de lire la Bible pour attraper les voleurs spirituels. C'est dans cet esprit que nous lisons la Bible, une œuvre humaine, qui a enchaîné l'esprit de nos frères et compatriotes.
1) Il est désormais établi que l'Exode des Hébreux de l'Egypte à Canaan n'a jamais eu lieu car aucune trace d'un peuple n'a été trouvée dans le désert du Sinaï par les archéologues. C'est un mythe, un pieux mensonge juif comme tant d'autres qui remplissent la Bible. Un événement de cette ampleur n'aurait pas manqué de se retrouver dans l'histoire officielle car 600000 adultes qui quittaient l'Egypte ne pouvaient pas passer inaperçus d'autant que la population de toute l'Egypte de cette époque était autour de deux millions pour les spécialistes et un million de gens qui sortent d'Egypte, ça se remarque. Les Israélites étaient des habitants de Canaan qui adoraient Yavhé et sa femme Ashéra et qui plaçaient El au sommet de leur panthéon - en tant que dieu national. En fait, ils n'ont jamais quitté leur pays pour l'Egypte.
Oui, vous l'ignorez mais il est connu que le dieu Yahvé avait une épouse nommée Ashéra que les copistes ont traduit en Astarté. On rendait un culte à Yahvé et à son épouse Ashéra. Le nom Ashéra de la déesse cananéenne se trouve toujours dans la Bible hébraïque mais le lien entre Yahvé et elle a été supprimé. Vous comprenez que ce Yavhé ait des enfants avec son épouse, des fils de Dieu, les bnei Elohim. Ce n'est donc pas une religion monothéiste au départ comme on voudrait vous le faire croire. D'ailleurs, tout l'Ancien Testament en témoigne... depuis la Genèse !
2) Il a été démontré par le travail des archéologues juifs que la conquête de Josué n'a jamais eu lieu. Il est écrit que les Hébreux détruisirent la ville d'Hatsor. En fait, il est historiquement prouvé que c'est le pharaon égyptien Séthi 1er qui brûla la cité d'Hatsor et non les Hébreux. Les guerres de Josué n'ont pas eu lieu et sont des mensonges que les archéologues juifs dénoncent aujourd'hui. Or, un livre qui contient de tels mensonges ne peut être un livre saint...
3) Vers - 1300 ou - 1200 avant notre ère, Canaan était une province égyptienne. Or, c'est l'époque supposée de l'exode. En témoignent les vestiges de mines qu'ils exploitaient et par les ruines des garnisons de leurs soldats. Comment les soi-disant Hébreux pouvaient-ils fuir les Egyptiens pour se retrouver encore face à eux à Canaan ? Les Juifs eux-mêmes reconnaissent aujourd'hui qu'il s'agit de mythes. Vous pouvez lire Israël Finkelstein ou Shlomo Sand, des Juifs qui vous disent que l'Exode n'a jamais eu lieu.
4) L'existence du roi David et de son fils Salomon n'est pas attestée historiquement tandis que celle d'Achab, de son fils Omri et de sa femme Omri est historiquement établie par les écrits des autres peuples. Il n'a été trouvé nulle part de temple de Salomon. Le seul temple qui a été déblayé sous les ruines se trouve à Megguido, temple construit par Achab.
5) Jérusalem n'a pris de l'importance qu'après la conquête du royaume du nord appelé Israël par les Assyriens en - 722 avant notre ère quand ses populations se réfugièrent au royaume de Juda. Ceux qui échappèrent à la déportation vinrent se réfugier à Jérusalem. C'est à ce moment-là que la cité fondée par les Jébusiens prit de l'importance.
6) Les recherches menées sur les poteries indiquent qu'autour de l'an 1000 avant notre ère, les Cananéens vivaient sur le territoire actuellement occupé par les Khazars qui se disent Juifs alors qu'ils ne le sont pas. C'est à peu près à cette époque que les Juifs prétendent que le roi David aurait vécu - alors que les preuves historiques manquent en dehors de la Bible. La seule chose qui est historiquement prouvée, c'est la présence des Philistins venus de Mycène : la description du casque et des armes de Goliath en sont les indicateurs car seuls les Grecs portaient de telles armes et armures.
7) En 962 avant notre ère, le pharaon Shéshonq envahit la terre de Canaan et occupa son territoire. Même la Bible rapporte ce fait historique. Canaan devint une province égyptienne...
8) Les Cananéens du royaume du nord ou Israël adoptèrent les moeurs babyloniens et se fondirent parmi eux à Babylone. Le royaume du sud ou Juda fut conquis en 587 avant notre ère. Cependant, à Babylone, les prêtres juifs décidèrent de ne pas perdre leur identité en conservant leur culture religieuse et leurs coutumes. Ils adoptèrent néanmoins de nombreux éléments de la culture babylonienne qui était elle-même sous l'influence des Chaldéens. C'est à Babylone que les Juifs adoptèrent la semaine de sept jours et les noms des mois babyloniens ainsi que la croyance aux anges. La semaine égyptienne était composée de dix jours et le mois de trois semaines, soit trente jours lunaires. La création se fit alors en sept jours - avec un jour de repos comme le préconisaient les Babyloniens.
9) On sait que les Juifs et les Grecs reçurent l'écriture des Phéniciens, un sous-groupe des Cananéens à peu près à la même époque. Ils commencèrent à l'utiliser mais dans un sens pratique. Diodore de Sicile parle de Cadmon qui aurait apporté l'écriture aux grecs. Quand vous observez les alphabets grec et hébreu, vous ne pouvez que conclure à ce qu'elles ont une même origine.
10) C'est sous le roi Josias que les premiers textes juifs furent inventés - notamment une sorte de proto-Deutéronome. Au retour de l'exil, Ezra ou Esdras en rédigea une bonne partie de ce que nous connaissons aujourd'hui.
11) En l'an 70 de notre ère après la destruction du seul temple d'Hérode par les Romains, les rabbins se retrouvèrent en conclave à Yamni ou Yabné pour sélectionner les textes qui composent la Torah actuelle. Les chrétiens choisiront les leurs en 325 au concile de Nicée - sous la haute autorité de l'empereur romain Constantinus dit Constantin. On écartera de nombreux textes gnostiques...
12) La Bible contrairement aux idées reçues n'est pas du tout le plus vieux document "sacré" du monde car on peut dater l'époque à laquelle les Juifs reçurent l'écriture des Phéniciens, notamment de Cadmos, à la même époque que les Grecs que les Israélites rencontrèrent en 333 avant notre ère. Il y a des écrits égyptiens comme le livre dit des morts qui est beaucoup plus ancien. On peut citer des écrits de l'Inde comme le Manava Satsra Dharma, ou l'Agrouchada Parikchaï qui existaient avant les écrits bibliques.
13) Une autre idée reçue est que la Bible a fait connaître à l'humanité le Dieu unique. C'est tout à fait faux. Les Juifs pratiquent comme nous l'avons démontré dans un autre article la monolâtrie, une forme de polythéisme, leur dieu qui ne s'occupe particulièrement pas des autres peuples existant au milieu d'autres dieux et allant à la guerre comme l'Eternel des armées comme les dieux des autres peuples. Les Babyloniens se battaient au nom d'Assur, leur dieu, qui leur donnait la victoire - même si Marduk devint à un moment donné le dieu national tandis que les Perses se battaient au nom d'Ahura-Mazda.
Vous pouvez ajouter Michée 4 : 5 à ce sujet parmi d'autres versets. Nous, fils de la Lumière originelle, sommes monothéistes depuis le commencement du monde car nous croyons en Nzambi Ya Mpungu et en aucun autre Dieu. Les Juifs plaçaient leur dieu national au dessus de leurs dieux secondaires et des dieux des autres peuples - ce qui est normal puisque les autres peuples en faisaient autant. Dans le monothéisme, cela n'est pas nécessaire car il n'y a qu'un seul Dieu : Nzambi ya Mpungu Tulendo. Ceux qui pourraient objecter le shmah juif indique un monothéisme doivent savoir que le mot ehad signifie un et aussi seul. De toute façon, il y a un dieu national que les Juifs adoraient mais il y avait d'autres dieux comme Baal ou Ashéra que le peuple adorait.
Yahvé n'est pas le seul dieu à avoir conclu une alliance avec un peuple. En 2025 avant notre ère, soit huit siècles avant la supposée existence de Moïse, un dieu nommé Assur conclut une alliance avec un peuple nommé les Assyriens, un peuple jusque là inconnu qui habitait la haute vallée du Tigre. La monolâtrie n'était pas propre aux Juifs comme nous l'avons montré dans un précédent article. Il est admis que les Juifs copièrent la monolâtrie auprès des Babyloniens qui la pratiquaient au milieu d'autres dieux dans une forme particulière de polythéisme avec un chef des dieux.
14) Il y a une autre fausse idée reçue totalement mensongère qui veut que les Juifs au travers de leur Torah - œuvre de compilation piochée en Egypte, Assyrie, Canaan, Babylone, Inde - donnèrent à l'humanité la première morale universelle. Prenons un exemple pour expliciter qu'il y a eu des mauvaises interprétations de la Bible, là où les Juifs savent que certaines lois ne concernaient que les Juifs entre eux et rien d'autres.
Quand on traduit : "Tu aimeras ton prochain comme toi-même", il y a une mésinterprétation du mot hébreu réa qui désigne en fait le compagnon et non le prochain. Les juifs d'aujourd'hui ne se sentent pas obligés d'aimer les autres êtres humains car pour eux les Goyims ne sont pas des humains mais des animaux. Vous pouvez le voir en œuvre aujourd'hui quand ils massacrent des Palestiniens non armés. Dans Lévitique 19 : 18, le mot hébreu réa veut dire : "frère", "compatriote", "fils de ton peuple". Les Juifs trouvent donc que les autres peuples sont idiots de croire que cela s'applique aussi à eux. C'est le même mot, réa, qui est employé dans le dixième Commandement : " Tu ne convoiteras pas la femme de ton compagnon et tu ne désireras pas la maison de ton compagnon, son champ, son serviteur, sa servante, son bœuf, son âne, bref, tout ce qui est à ton compagnon " (Deutéronome 5, 21). Ce commandement ne fait que préciser et compléter l'impératif énoncé plus haut de façon lapidaire, « Tu ne voleras pas ». Sous-entendu : " ton compagnon " - ce qui fait que les banquiers juifs s'autorisent à voler les non-Juifs depuis des siècles. Les même interdictions dans le livre dit des morts sont plus universels car la Maat renvoie à un équilibre universel. Spinoza qui avait été excommunié de la synagogue d'Amsterdam l'avait bien compris ! La religion juive est une religion fermée quoi qu'en pense le philosophe Bergson. C'est donc une terrible méprise de voir de nombreux Africains croire que le dieu d'Israël est aussi leur dieu ! Cela ne peut qu'attirer le malheur sur l'Afrique...
15) Les Juifs ont emprunté l'idée de la résurrection des morts aux Perses pendant leur exil, tout comme l'idée du salut car ils n'ont pas du tout connu l'exil en Egypte - même si des colonies de juifs ont habité en terre égyptienne. Dans leur religion originelle, il n'y a pas de résurrection des morts. Quant à l'idée de l'immortalité de l'âme, les Juifs l'ont empruntée aux Grecs qui l'ont eux-mêmes empruntée aux Égyptiens car avant leur rencontre avec les Égyptiens, cette doctrine leur est inconnue.
17) Il est aberrant de croire que les pseudo-Juifs ont une quelconque mission pour l'humanité qu'ils veulent asservir car disent-ils quand le messie viendra, chaque Juif aura près de 3000 esclaves Goyims. Leur religion est exclusive. Ils ne veulent pas se mélanger aux autres nations nations par le mariage, ni manger leur nourriture. Les premiers Grecs qui les rencontrèrent les qualifièrent de misoxènes car ils haïssent les étrangers. Évoquer le dieu d'Israël dans nos prières est une grave et dangereuse erreur, vu que l'on renforce la divinité d'un peuple raciste. D'ailleurs, ils ne suivent plus la Torah mais le Talmud. Leur messie ne viendra que pour eux, lui qui leur livrera l'humanité en servitude. C'est pourquoi ils désirent qu'il se hâte de venir. Heureusement qu'il ne viendra pas car c'est une fausse croyance, juste une espérance qui somme toute est satanique. Les lois de la Torah ne sont là que pour assurer la cohésion d'un peuple qui doit se prémunir des autres peuples.
18) Les Juifs sont polythéistes comme le démontre Exode 15 : 11 où il est fait allusion aux elim ou aux dieux. Voici en substance le fameux verset :
" QUI EST COMME TOI PARMI LES DIEUX, YAHVE ?"
On traduira Yavhé en fait Yevah par Eternel pour mieux masquer ce polythéisme des Juifs au temps d'Esras ou Ezra - comme si les autres dieux ne l'étaient pas. Les Africains, je le répète, sont les seuls vrais monothéistes sur cette terre. Comme ils sont habitués au mensonge, en lisant cet article, ils essayeront de tordre le cou à ce verset qui n'est que l'un des versets qui attestent du polythéiste des anciens Hébreux ou mieux des Aryens qui arrivèrent en terre de Canaan après que les Assyriens aient installé des colonies en terre de Canaan à partir de 722 avant notre ère.
Ce verset dit clairement que Yahvé n'est pas le seul dieux et qu'il y en a d'autres mais les Juifs pensent que leur dieu national est supérieur aux autres dieux et ce n'est que normal et surtout, qu'il est aussi supérieur à leurs autres dieux comme Baal, El, Ashéra, Moloch, Rempan, etc. Notons que dieu au singulier en hébreu se dit "El" et son pluriel est Elim. C'est bien le terre "ELIM" (en jaune dans l'image ci-dessous) ou dieux qui est utilisé dans ce verset. On ne peut donc pas nous dire que c'est une mauvaise traduction. Je lis l'hébreu que j'ai appris tout seul sous la conduite de l'esprit.
19) Les tables de la loi sont un mensonge car en quelle langue Dieu écrivit-il ces fameuses tables de la loi ? Nous vous signalons que nous sommes censés être à l'époque où aurait vécu le soi-disant Moïse, soit en - 1300 avant notre ère et à cette époque, l'écriture hébreue n'existe pas encore. Si Dieu l'avait fait, il eût fallu des siècles avant de lire ces tables. C'est la preuve que les tables de la loi sont une pure invention d'Ezra-Esdras. C'est une pure invention des scribes car le peuple juif est un peuple de menteurs - jusqu'à nos jours. Si on ne prend pas la peine d'interroger en profondeur leurs écrits, on ne peut pas se rendre compte de leur manipulation - surtout s'ils vous demandent de croire leurs propos - aveuglément.
20) Hérodote au V è siècle avant notre ère n'a jamais entendu parler d'un peuple juif, ni du temple de Salomon car il n'en parle pas dans son œuvre. Il a pourtant visité en historien-ethnologue la Perse, l'Egypte, la Phénicie, même le Liban aux portes d'Israël. Cela montre qu'à ce moment-là, il s'agit juste d'un peuple insignifiant au point de vue historique.
21) C'est autour de 620 avant notre ère que le roi Josias décide de faire rédiger un livre saint pour que le royaume de Juda ne subisse pas le sort de son voisin du nord qui fut totalement rasé de la carte par les Assyriens. Quand Juda sera vaincu à son tour par les Babyloniens, son peuple pourra résister à la déportation - en s'accrochant à son dieu local Yahvé ou Yevhah. Pour maintenir la toute-puissance de Yahvé, sous le roi Josias, on inventa l'idée que les maux et les défaites subis par Israël et Juda étaient des punitions : leur dieu local et personnel utilisait les autres peuples pour punir leurs infidélités - ce qui permettait de conserver la toute-puissance de Yahvé... Les Babyloniens aussi croyaient que c'était le dieu Marduk lui-même qui avait permis à Cyrus de s'emparer de la Babylone. Cette façon de penser n'était donc pas propre aux Juifs. Quant aux Perses, ils attribuaient leur succès à Ahura-Mazda, leur dieu national. Dans cette situation idéologique de dieux guerriers, les vaincus pouvaient adopter le dieu des vainqueurs comme nous l'apprend 2 Chroniques 28 : 23, verset qui dit que le roi de Jérusalem Achaz abandonna son dieu local Yavhé pour celui des rois d'Aram, c'est-à-dire, de Syrie :
Les Juifs sont revenus dans leur pays mais se sont rendus compte que leur dieu n'était pas le plus puissant de tous les dieux comme on le constate au Psaume 44 : 10-24 car ils sont toujours vaincus malgré leurs sacrifices et le respect des ordonnances. Il y a danger car le peuple risquait d'abandonner le dieu local à cause du doute :
Ceci est la preuve que le dieu d'Israël n'est pas le Dieu créateur et ils vont finir par s'en rendre compte et changer d'idéologie religieuse...
Maintenant, tirons les bonnes conclusions, si l'exil n'a pas eu lieu, alors, il n'y a pas eu non plus d'exode comme l'affirment les historiens et les archéologues khazars ou pseudo-Juifs d'aujourd'hui comme Shlomo Sand, et le récit de Moïse et tout le tralala des dix commandements est faux, Dieu n'ayant jamais parlé aux Hébreux, les fameux commandements ayant été tirés dans la confession négative du Livre égyptien dit des morts. Les anciens Juifs, nonobstant les messages des prophètes, n'étaient pas monothéistes mais polythéiste avec un dieu national, un elohim local, Yavhé parmi tant d'autres locaux comme Baal, Ashéra-Astarté, Moloch, Remphan, etc. Dieu n'a rien à voir avec cette religion - quoi qu'elle prétende...
Vous pouvez vérifier que dans les deux livres des Rois, il n'est pas question des Lois de Moïse. Elles ont été introduites par Ezéchiel et Jérémie. Lisez les livres de ces deux prophètes pour vous en convaincre. Le temps me manque pour vous en donner les preuves. Après avoir découvert la pureté de la religion zarathoustrienne, des Juifs se proclamèrent prophètes pour changer la vieille religion des Hébreux de Canaan faite de sacrifices humains en les remplaçant par le rachat des vies et en exigeant qu'on immole des animaux à la place des êtres humains, notamment des enfants. C'est sous le roi Josias qu'intervint la première tentative de destruction de ces pratiques religieuses odieuses et sataniques. Cependant, il n'y parvint qu'en partie...
Qu'on se dise que d'Egypte à Canaan ou l'actuelle Palestine, il n'est pas nécessaire de passer quarante ans dans le désert pour l'atteindre - si jamais nécessité avait été ressentie de quitter le pays des Pharaons. La construction des textes de l'ancien testament vient du plagiat des textes égyptiens, babyloniens, cananéens par les Aryens qui vinrent à Canaan au nombre desquels les Philistins qui venaient de Mycène en Grèce. Si l'histoire de l'exil est fausse et mensongère, celle de Josué l'est aussi et par conséquent, celle du messie ne tient plus la route car les propos sur le Shiloh n'ont plus de sens. Et nous savons que le messie ne viendra pas en Israël - même si les Rotschild trouvent un magicien pour jouer ce rôle. De toute façon, les faux Juifs khazars ne le recevront pas comme Messie. Si David et Salomon n'ont pas pu être historiquement situés et qu'il n'est plus possible de dire qui est de la tribu de Juda ou non, personne ne peut prétendre à être aujourd'hui le messie. Hélas, c'est un mensonge bien ancré dans les esprits qui fait que même appelle 100000 ans, on continuera à attendre le Messie car ils diront que mille ans sont comme un jour pour Dieu - comme si Dieu leur avait dit comment il envisageait le temps...
Les Africains sont endoctrinés parce qu'il faut du temps et de la volonté pour aller chercher la vérité afin de se libérer du mensonge et, dans le désespoir absolu, la religion est un refuge. Je reproche aux religions étrangères de détruire notre créativité : au lieu de chercher des solutions quand surviennent les problèmes, on lance des millier de prières qui ne changent rien. Le créateur ne nous a pas doté d'un cerveau pour rien. Ce monde va droit à la catastrophe et nous les premiers si on ne sort pas de cette idéologie religieuse néfaste introduite par les étrangers sur la terre d'Afrique en 1482.
Mon objectif est de lutter contre la fausse religion afin de sortir notre peuple des églises de sommeil. Cependant, je sais que le combat sera difficile, combat qu'il faudra un jour aller livrer sur place car je possède désormais toutes les armes pour prouver aux nôtres que notre ancestralité était la meilleure sur le plan spirituel. On reconnaît l'arbre au fruit et ceux de nos traditions s'appellent : PAIX, HARMONIE, PARTAGE, SOLIDARITE, RESPECT DE LA VIE HUMAINE, etc. Dès l'introduction du christianisme à Kongo Dia Ntotila, nous eûmes les fruits suivants : guerres, esclavage, perte d'identité, destruction de l'empire kongo, acculturation, etc, tous des fruits très amers et pleins de toxicité létale...
NE NKOSSI, NGOMBULU ZA MAKANDA,
LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU
Téléfoufou est la pire des télévisions du monde au point où nous ne la regardons même pas car elle nous énerve : elle ne parle que de Sassou dans un culte permanent de la personnalité et la plupart de ses reportages ne concerne que le nord du pays : danses, musiques, reportages, etc, déjà que les journalistes sont tous presque originaires de cette portion congrue du Congo - comme si la partie sud du pays comptait pour du beurre, elle qui possède les plus grandes villes du Congo comme Brazzaville, Pointe-Noire, Dolisie, Nkayi, etc. Or, on voit plus Oyo à Téléfoufou que Pointe-Noire. Figurez-vous qu'elle est désormais gratuite auprès de notre fournisseur d'accès internet. Il nous arrive d'y jeter un coup d'œil. Le constat reste le même : tout ce que fait Sassou et son régime dictatorial est tourné vers le nord du pays et ceux qui profitent du moindre projet sont ses proches quand ce n'est pas Oyo et ses environs...
Hier, le perroquet royal Thierry Moungalla, porte-parole de la propagande du régime d'Oyo-Congo, nous a appris que Denis Sassou alias Nguesso a décidé d'attribuer des puits de pétrole congolais à Orion Oil Limited, une société appartenant à son parent mbochi Lucien Ebata - en l'annonçant publiquement sans vergogne, au prétexte de faire toute la lumière sur cette affaire. Si la Bête de l'Alima voulait faire la lumière, elle aurait dû dire à notre peuple comment ce contrat a-t-il été cédé à Lucien Ebata et dans quelles conditions d'attribution. Voici en substance le contenu de ce qu'il a dit à la fin du conseil des ministres :
" I/- Ministère des Hydrocarbures 1/ - Projet de loi portant approbation du contrat de partage de production Mengho-Kundji-Bindi II, signé le 6 juin 2018 entre la République du Congo, la Société nationale des pétroles du Congo et la société Orion Oil Limited Prenant la parole, M. Jean-Marc Thystère Tchicaya, ministre des Hydrocarbures, a rappelé que ce permis, initialement octroyé à la SNPC courant 2007, a débouché sur la réattribution à cette même société, par le décret n°2017-421 du 13 novembre 2017, d’un permis d’exploitation d’hydrocarbures liquides et gazeux, dit Mengho-Kundji-Bindi ou MKB II. Un contrat de partage de production a été signé le 6 juin 2018, et ce, entre la République du Congo, la SNPC (titulaire et opérateur du permis à 60/o) et la société Orion Oil Ltd, société de droit britannique associée et co-opérateur à hauteur de 40%), en vue de la réalisation de travaux pétroliers dans la zone du permis ... "
On pourrait croire que c'est une bonne chose que nos ressources soient entre les mains de nationaux mais il faut que l'on comprenne que les accords signés entre le Congo, la SNPC et Orion Oil Limited ne sont qu'au final des accords signés entre Sassou et Lucien Ebata, en toute opacité. Cette collusion qui vise à privatiser le pétrole congolais relève de la Haute Trahison. Si Orion Oil n'appartenait pas à un proche de Sassou, jamais cette société n'aurait obtenu ce marché. Et il faut se demander s'il y a eu un appel d'offres. Le pétrole est une ressource stratégique nationale. On ne peut donc pas l'attribuer à la légère. Pourquoi un permis initialement attribué à la SNPC est réattribué par décret au bénéfice d'une société privée qui va siphonner 40% des revenus d'exploitation ? Pourquoi établir un contrat de partage entre l'Etat et la société de monsieur Lucien Ebata ? Qu'est-ce qui a motivé le choix de la société Orion Oil Ltd ? Voilà des questions auxquelles ces pilleurs d'Etat devraient répondre...
Lucien Ebata n'est pas le seul à avoir obtenu des puits de pétrole de la part du monstre d'Edou ; un autre proche de Denis Sassou alias Nguesso est déjà dans ce domaine en la personne de Denis Gokana. Sassou privatise les ressources nationales en les cédant à ses parents. Willy Etoka s'est déjà approprié des orangeraies de Loudima et des palmeraies du nord. Tout est passe entre les mains des proches de Sassou : le pétrole, les forêts, le bois, les orangeraies, les palmeraies d'Etat, etc.
Nous ne croyons pas que le roi Sassou qui s'est approprié tout le Congo n'ait rien à gagner dans ces transactions : il doit en tirer profit dans l'ombre. Le FMI devrait se pencher sur ces contrats qui sont des collusions entre famille et Etat en examinant les conditions de privatisation des ressources nationales. Le Congo peut très bien exploiter lui-même son propre pétrole comme le font certains pays. Pourquoi attribuer des concessions pétrolières à des proches de Sassou, tous Mbochis ? A l'heure de la crise qui secoue notre pays, de tels comportements doivent être dénoncés. Or, personne ne s'en offusque.
Le fils Thystère est fier de signer des contrats qui attribuent le pétrole du Kouilou à des proches de Sassou, une ressource qui ne profite même pas à cette région. Du pétrole, le Kouilou et Pointe-Noire n'en reçoivent que la pollution. Rien d'autre.
Nous dénonçons ce pillage de nos ressources par Denis Sassou Nguesso qui passe par ses proches comme prête-nom et l'intention d'auditer la SNPC n'est qu'une diversion pendant que Sassou attribue des concessions pétrolières à ses parents et à des proches tous Mbochis.
Tous ceux qui participent à ce complot seront jugés demain pour HAUTE TRAHISON. Dans quelles conditions sont attribuées ces concessions de pétrole ? Y a-t-il appel d'offres ? Pourquoi juste des proches de Sassou en profitent, de préférence ses parents mbochis ? D'où viennent les fonds de la société Orion Oil Limited ? Qui sont les actionnaires de cette société dirigée par Lucien Ebata ? Pourquoi la SNPC n'exploite pas elle-même les gisements pétroliers pour le compte du Congo ? Quel est par ailleurs statut de la SNPC ? N'y a-t-il pas collusion à attribuer des concessions de pétrole à des proches du roi Denis Sassou alias Nguesso ?
Le baril de pétrole remonte en ce moment à environ 75 dollars. C'est le moment choisi par Denis Sassou Nguesso pour attribuer des concessions de pétrole à Orion Oil Limited, une société dont Thierry Moungalla se contente juste de dire que son siège se trouve à Londres comme pour donner l'impression que la société appartient à des Anglais - alors qu'elle appartient à un proche de Denis Sassou Nguesso : Lucien Ebata.
Demain, il faudra songer à reprendre toutes ces concessions pétrolières pour les remettre dans le giron de l'Etat car c'est autant de ressources qui n'entrent pas dans les caisses de l'Etat. Le Congo peut très bien lui-même exploiter son pétrole. La société SNPC doit être reconfigurée ou dissoute. Attendez, ce qu'un Lucien Ebata fait, tout un Etat ne peut donc pas le faire ? C'est à cette question que vous vous rendez compte de la conspiration qui a pour objectif de ruiner le Congo en le dépouillant de ses richesses. Une société soi-disant comme la SNPC ne sert à rien si elle ne peut pas exploiter les gisements pétroliers pour le compte du Congo : on doit la supprimer après avoir jugé tous ses cadres dirigeants. Nous soupçonnons que Lucien Ebata cache en fait Denis Sassou Nguesso - comme principal pilleur des ressources du Congo...
NKOSSI, NGOMBULU ZA MAKANDA,
LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU