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26 janvier 2021 2 26 /01 /janvier /2021 23:14

Il n'y a pas si longtemps, avec des jeunes, nous sommes allés assister à l'enterrement du membre du clan Makanda, en la personne du président professeur Lissouba Pascal le Grand, à Perpignan, en France. LE CLAN MAKANDA EST L'UN DES RARES CLANS À AVOIR DONNÉ AU CONGO UN SAVANT ET UN PRÉSIDENT. Ce fut aussi la première fois de ma vie où j'ai rencontré Tsaty Mabiala Pascal le petit, court sur pattes comme un petit moungouélé amer et malicieux comme un mbendé de Loudima.

 

Le professeur était jusqu'à sa mort - le président de I'UPADS - ce qui arrangeait Pascal le petit : le professeur étant très malade et ayant atteint un âge avancé, en tenant le secrétariat, Tsaty Mabiala Pascal le petit tenait en fait le parti car il n'avait en fait personne au-dessus de lui pour empêcher qu'il détruise l'héritage que le mussi MAKANDA a laissé aux Congolais.

 

La donne a néanmoins changé après la mort du professeur  Lissouba Pascal le Grand   : l'UPADS est désormais le seul parti au monde avec un président décédé. Nous en appelons à l'arbitrage du ministre de l'intérieur de l'empereur Denis Sassou Nguesso en la personne de Raymond Zéphyrin Mboulou. Il doit faire respecter la loi qui ne peut pas bafouée aussi vulgairement. L'UPADS, nous l'avons prouvé, possède les moyens financiers permettant d'organiser un Congrès ! Il y a les cotisations mensuelles des députés et sénateurs auxquelles on pourrait ajouter l'argent de l'exploitation du bus du parti.

 

Le Congo a une Constitution, quoi qu'on en dise et une loi qui regit les partis politiques. Il n'est inscrit ni dans la Constitution, ni dans la loi des partis qu'un parti pouvait avoir un mort en qualité de président. L'UPADS N'EST PLUS UN PARTI EN CONFORMITÉ AVEC LES LOIS DE LA RÉPUBLIQUE et ce n'est pas parce que la taupe du PCTue en a fait un parti satellite du parti venu du septentrion qu'il faut lui laisser violer les lois de la république ! L'UPADS doit se conformer aux lois nationales comme les autres partis. IL EST TEMPS QUE L'UPADS SE DOTE D'UN PRÉSIDENT DE PARTI CONFORMÉMENT À SES PROPRES TEXTES ET AUX LOIS DE LA RÉPUBLIQUE. Mboulou doit obliger Tsaty Mabiala Pascal le petit à organiser un congrès pour régulariser sa situation dans un délai raisonnable - par exemple avant la prochaine élection présidentielle du mois de mars. 

 

Jeudi, 28 janvier 2021, le Conseil National de l'UPADS se réunit en session à Brazzaville ; la question du Congrès et celle de la participation à l'élection présidentielle sont inscrites au point 9 du projet de l'ordre du jour. Nous voulons que le Conseil National du parti aux trois palmiers examine la question du Congrès et arrête une date où le prochain Congrès de L'UPADS sera organisé.

 

Si Mboulou tolère cette situation plus longtemps, nous en tirerons les conséquences, à savoir, un laxisme qui ne peut que corroborer la thèse du favoritisme dont bénéficie Pascal le petit pour services rendus à l'empereur béninois Denis Sassou Nguesso. Par ailleurs, nous avons appris que le monstre d'Edou souhaiterait que monsieur 4% se présente à la prochaine élection présidentielle, Pascal le petit n'étant pas trop motivé, vu son petit score de la précédente élection présidentielle, pour une autre humiliation électorale.

 

Nous demandons aux membres du Bureau politique de ne pas céder sur la question du Congrès en laissant le rat palmiste qui squatte le sommet des trois différer l'organisation du Congrès car l'UPADS ne peut pas être le seul parti au monde dont le président soit un mort. Nul n'a jamais dirigé un parti outre-tombe. Raymond Zéphyrin Mboulou doit prendre ses responsabilités. Même si Pascal le petit a pris goût au pouvoir qui lui rapporte beaucoup d'argent facile, cela ne peut justifier qu'il maintienne L'UPADS dans l'illégalité, lui qui est un secrétaire national illégitime depuis des années. Autant dire que la fonction de fonctionnaire de l'ethnie-Etat chef de l'opposition factice est aussi un poste occupé illégalement.

 

Nous sommes au courant que pour la session du Conseil National du 28 au 29 janvier 2021, Tsaty Mabiala  Pascal le petit aurait corrompu les membres du Bureau politique et du Conseil National. Nous verrons ce qu'il en est vraiment en lisant le communiqué final de cette réunion. Cette session  doit aboutir à l'organisation d'un Congrès, occasion de se débarrasser de la taupe du PCTue qui a reconnu son impuissance politique, un aveu qui l'a totalement disqualifié en tant que leader de l'opposition qu'il dirige en tant que fonctionnaire de l'ethnie-Etat.

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB'

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24 janvier 2021 7 24 /01 /janvier /2021 16:23

COMMENTAIRE : Voici un texte que j'ai reçu du pays que je publie avec un léger retard qui m'a permis de constater que le Pool risque d'être encore une fois la variable d'ajustement du pouvoir dictatorial de l'empereur Denis Sassou Nguesso. En effet, une étrange armée révolutionnaire est apparue à Linzolo. On se demande qui est derrière celle-ci mais on soupçonne les mêmes forces qui ont toujours couvert les hold-up électoraux en divertissant les Congolais par le sang des Bakongos.

 

Nous souhaitons que l'empereur Denis Sassou Nguesso comprenne qu'il n'est pas nécessaire de faire couler du sang innocent pour conserver son pouvoir impérial. Le contexte est déjà assez difficile avec le coronavirus qu'il ne nous paraît pas nécessaire de surjouer la tragédie au risque d'en faire une folie. Nous nous doutons qu'empêtrés dans la pandémie du sras-Cov2, la France et le monde ne se préoccuperont pas du cas congolais mais ce qui se passe en RCA devrait faire réfléchir notre monarque absolu.

 

Denis Sassou Nguesso va organiser les élections comme je l'avais parié contre un ami : il a besoin de cette illégitime "légitimité" pour oindre sa dictature avec la poudre de perlimpinpin qui tombe de la VRAIE démocratie.

 

Nombreux pensent qu'il faut boycotter les élections présidentielles car y participer, c'est valider et justifier la dictature de l'empereur Denis Sassou Nguesso. Quoi qu'il en soit, même si personne ne se présentait du côté des protagonistes connus, le ndzokousaure est capable de se fabriquer de faux candidats qui lui donneraient la réplique. Le jeu est pipé quoi que l'on fasse : c'est un. étau parfait que Denis Sassou Nguesso exerce sur notre peuple.

 

Le seul scénario innovant serait de présenter un seul candidat devant le monstre de l'Alima mais cette idée que nous avons déjà proposée ne sied pas aux multiples ambitions qui m'ont dit : "Il faut prendre des voix à Sassou, partout". De toutes les façons, cela ne servira pas à grand' chose car les Mbochis disent : "SASSOU OU RIEN" ! C'est dire que la bête de l'Alima est la seule option pour éviter le rien qui n'est que le présage du chaos. Choix cornélien pour les Congolais : soit, ils acceptent l'empereur, soit les Mbochis rendent le pays ingouvernable ! 

 

Dans un pays où les nordistes tiennent toutes les strates de notre société, il est difficile d'envisager la moindre alternance politique au sommet de l'État - surtout quand le faux opposant Tsaty Mabiala Pascal le petit a avoué son impuissance à la face du monde.

 

La seule chose qui menace ce régime, ce sont ses propres excès. Un troisième confinement planétaire qui réduirait encore un peu plus la consommation de pétrole pourrait être préjudiciable à l'ethnie-Etat de l'empereur ndzokousaure.

 

Ironiquement, Laurent Ndzaba a manifesté son indignation quand sur un site il a lu que les Mbochis étaient devenus le groupe le plus important du Congo. Qu'à cela ne tienne : si les Mbochis et nordistes sont devenus plus importants que le reste des Congolais, dans l'assurance d'un vote ethno-régional pour Denis Sassou Nguesso, pourquoi le monstre de l'Alima aurait-il encore besoin de tricher ou de falsifier les résultats de l'élection présidentielle ? Et toc ! Il faut redouter la crise à venir qui pourrait mettre le régime à sec. En effet, personne n'a jamais réussi à tenir en laisse une soldatesque sans solde. Seul l'avenir nous dira ce qu'il en sera. Il est possible que l'empereur Denis Sassou Nguesso use de la stratégie géopolitique d'association de plus d'ethnies dans le boukoutage - afin d'atténuer la grogne future qui éclatera quand l'ethnie-Etat ne pourra plus faire face à ses obligations. La faiblesse du système économique est désormais le talon d'Achille du régime des crocodiles du PCTue venus des bords de l'Alima. A moins que la Covid-19 ne vienne accélérer la déconfiture économique, conséquence de la mauvaise gestion des affaires du pays par des barbarosaures primitifs en col blanc...  

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB'

 

"Bonjour LDM.

Voici le scénario de ce qui va se passer pour les élections de mars 2021 auto-gagnées par le crocodile de l'Alima. 
Les confinements du 25 décembre et du 1er janvier étaient des ballons d'essai pour tester la réaction de la population.  Vu que la recommandation du pouvoir a été respectée, ce pouvoir sait en retour que ce peuple se vengera le 21 mars en observant un confinement volontaire dans le but de boycotter l'élection présidentielle.  C'est effectivement ce que le pouvoir de Brazza espère pour librement tricher.

 

Nous pensons que sous le prétexte de la Covid-19, la possibilité de battre campagne sera éludée. Rappelons qu'il a pris un décret qui demande à sa milice de voter par anticipation pour être disponible le jour J et au motif d'assurer la sécurité.


Quand à Kolélas, Mathias Dzon et autres, ils joueront le rôle des "porteurs d'eau" pour accompagner le monarque. Le problème est que la machine PCT s'est emballée comme un train sans système de freinage. L'avenir des mbochis après avoir conduit le pays dans le mur malgré les cris d'alarme de quelques personnes encore lucides - vogue vers la destruction totale du pays car il n'y a aucun moyen de rebrousser chemin ou de changer de cap. La dictature est toujours une course folle vers le chaos. 


Il y a un réel problème de conservation du pouvoir pour les parents septentrionaux. Kolélas prépare quant à lui, le lit de la destruction complète du Pool car les ressortissants de cette région sont des fanatiques messianiques. Ils sont obnubilés par le faux charisme tribal de Kolélas. Il semblerait donc que l'option Ntumi pour continuer le génocide du Pool ne marchera pas. Mais ils ont plus d'un tour dans le sac."

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24 janvier 2021 7 24 /01 /janvier /2021 14:26

Je m'insurge ici contre le mépris subi par des Congolais de la part d'un étranger - en l'occurrence, UN MALIEN, en tant que Congolais et en tant que Vili car il se trouve que j'ai du sang vili. Pourquoi ? Parce que la terre est TOUT pour un peuple. Quand on vous prend vos terres, vous n'êtes plus rien ; quand des étrangers vous prennent vos terres, l'ordre des choses s'inverse : VOUS DEVENEZ LES ÉTRANGERS DANS VOTRE PROPRE PAYS ET LES ÉTRANGERS DEVIENNENT LES VRAIS HABITANTS ET PROPRIÉTAIRES DU PAYS. ET, AU FIL DU TEMPS, VOS ANCÊTRES PASSENT À L'OUBLI. VOUS AVEC.

 

La bataille pour la terre, c'est la bataille même de la vie pour la conservation de la vie. MÊME UNE FOURMI DÉFEND SON TERRITOIRE ! Tous les animaux défendent par ailleurs leurs territoires.

 

Sans terre, il n'y a plus de vie, juste de la servitude. Quand les étrangers prennent un pays, ils dépossèdent les fils du ntsi de leurs terres les transformant en parias. LE VRAI HABITANT D'UN PAYS EST CELUI QUI EN POSSÈDE LA TERRE ! C'est pour cela qu'il faut vendre la terre avec discernement. En disant ceci, je m'adresse aux Mfumu ntoto et à notre ethnie-Etat...

 

J'avais écrit qu'un jour, les Congolais deviendront étrangers chez eux, ma parole prophétique a longtemps été vérifiée. Et ce que je dénonce ici en est une des manifestations.

 

C'est une chose inimaginable au Mali : qui peut croire que les Maliens et leur État laisseraient un Congolais détruire 300 maisons de Maliens dans un village malien ? Pourtant, la chose est possible au Congo ! Un Malien se présente comme propriétaire de terres vilies et s'arroge le droit de détruire 300 maisons - sans que les familles ne s'y opposent. Quelle lâcheté ! Si vos maisons ont été détruites et que vous êtes toujours vivants, il n'y a que trois hypothèses :

- vous n'étiez pas là quand les bulldozers dépêchés par le Malien sont passés raser le travail de toute une vie, l'héritage de vos enfants ;

- ou vous êtes sortis des maisons en lâches car si vous étiez restés dans vos maisons, jamais les bulldozers n'auraient osé les détruire.

- on vous a fait sortir de force de vos maisons et vous n'avez opposé aucune résistance car si vous aviez résisté vaillamment, personne n'aurait pu vous sortir de vos maisons.

Qoui qu'il en soit, dans cette affaire, des questions restent sans réponse comme celles-ci : comment le Malien Nangadou a-t-il fait pour devenir propriétaire de tout un village vili ? Qui lui a vendu la terre de vos ancêtres ? Depuis quand étiez-vous sur ce domaine ? Quand a-t-il été vendu ?

 

Je suis en colère que 300 familles, soit près de 1500 personnes, laissent un étranger détruire leurs maisons au point où ils sont obligés de dormir à la belle étoile ! Bon sang ! Même si nous avons un étranger à la tête du pays, ce n'est pas une raison pour laisser un étranger faire la loi dans vos villages ! Comment ce Malien est-il devenu propriétaire de vastes domaines dans un village vili ? Qui lui a vendu ces terres ? Un Vili cupide ? Voilà, ce que je dénonce depuis longtemps : le fait que les Mfumu ntoto bradent les terres de notre pays à des étrangers - SANS EN MESURER LES CONSÉQUENCES ! Il y a des choses plus importantes que l'argent ; la terre en est une. Ces cupides de Mfumu ntoto ont une grande responsabilité. Cette institution doit disparaitre car la terre du Congo - notamment celle de nos terroirs, ne peut pas appartenir à quelques individus. Les paysans doivent tirer les leçons de cette histoire et renier l'autorité des Mfumu ntoto réhabilitée par la conférence nationale  du début des années 90, une erreur que l'État congolais doit rectifier.

 

Nous demandons par ailleurs à monsieur Denis Sassou Nguesso, l'empereur du Congo, de rectifier l'insulte subie par les habitants de Mboukou Libouali : le Malien doit être condamné à dédommager les habitants de ce village et surtout, vu le crime contre l'humanité qu'il a commis, lui signifier la perte des domaines qu'il a acquis frauduleusement. Notre pays doit appliquer aux étrangers le même traitement que nous aurions pu subir chez eux. On voit comment les Libanais, les Chinois, les Ouest-Africains font la loi dans notre pays. SI L'EMPEREUR DENIS SASSOU NGUESSO AVAIT UN PEU D'HONNEUR, IL AURAIT COMPRIS QUE C'EST SON POUVOIR IMPÉRIAL QUE LES ÉTRANGERS NE RESPECTENT PAS ! S'IL ÉTAIT CRAINT ET RESPECTÉ PAR LES ÉTRANGERS, JAMAIS ILS N'OSERAIENT FAIRE CE QU'ILS FONT AU CONGO.

 

Certes, un empereur d'origine étrangère ne peut que favoriser des étrangers mais il y a des limites : les étrangers ne doivent jamais avoir plus d'autorité que celui-ci. D'accord : il ne s'agit que de Vilis et non de Mbochis, l'ethnie d'adoption de Denis Sassou Nguesso mais il a épousé une femme de père Vili ! Comment Antoinette Sassou Nguesso née Tchibota peut-elle être insensible à une injustice subie par les membres de son ethnie paternelle ? 

 

L'élection présidentielle arrive. Il faudra qu'après avoir subi une humiliation de cette sorte que les Vilis se déplacent pour aller voter Denis Sassou Nguesso - contre 2000 francs CFA et un t-shirt ! Il ne faudra pas prendre le risque d'attraper la Covid-19 pour aller plébisciter un dictateur ! Nous savons tous que pour l'empereur, une élection présidentielle n'est qu'une formalité, une farce, une comédie. En protestation contre toutes les injustices que les Vilis subissent sur leurs terres, s'ils doivent forcément sortir pour aller voter, alors qu'ils votent pour le seul candidat un peu potable, le moins souillé de tous. 

 

Nous demandons aux paysans vilis ayant perdu leurs maisons de prendre leurs responsabilités 

1) en reconstruisant leurs maisons à  leurs emplacements initiaux ;

 

2) qu'ils attaquent et détruisent tout engin qui oserait venir sur les terres de leurs ancêtres détruire leurs maisons, leurs villages ou leurs plantations ;

 

3) qu'ils empêchent que le Malien construise un immeuble ou envisage quelque activité sur la terre de leurs ancêtres et cela, PAR TOUS LES MOYENS ;

 

4) s'ils savent où le Malien habite, qu'ils aillent exercer la vendetta en détruisant sa maison comme il a détruit les leurs ;

 

5) ils doivent s'en prendre au Mfumu ntoto qui a vendu la terre de leurs ancêtres en le chassant, lui et sa famille, s'il habite le village.

 

Il faut que les Vilis comprennent qu'ils sont victimes de leur lâcheté et de la cupidité de leurs Mfumu ntoto qui vont jusqu'à vendre des domaines entiers contenant des villages à des étrangers ! C'est inacceptable ! Ils doivent se montrer plus courageux car se plaindre sans réagir est le propre du lâche. CELA A TROP DURÉ : IL VOUS FAUT RÉAGIR ! Contre la cupidité des Mfumu ntoto, ils ne sont pas non plus démunis : COMMENT UN INDIVIDU OU UNE FAMILLE PEUVENT-ILS SE PROCLAMER PROPRIÉTAIRES DE LA TERRE DE TOUS ? Un nfumu ntoto n'est pas un dieu : il n'a pas créé la terre pour s'en réclamer seul propriétaire. Il faut lutter contre la dictature des Mfumu ntoto. LA TERRE NE LEUR APPARTIENT PAS !

 

Il faut désormais éviter que des étrangers deviennent propriétaires de la terre du Congo car si vous vous mettez à vendre toutes les terres du Congo - même celles de nos villages  - à des étrangers, où habiteront demain vos propres enfants ? Les terres de nos terroirs ne doivent plus être vendues à des étrangers. Pour cela, la dictature de Mfumu ntoto doit s'arrêter. Remarquez qu'au nord, on n'assiste pas à pareils scandales. JAMAIS LES MBOCHIS NE VENDRAIENT UN DE LEURS VILLAGES À UN ÉTRANGER ET JAMAIS ILS N'ACCEPTERAIENT QU'UN MALIEN DÉMOLISSE DES CENTAINES DE MAISON À EDOU OU À OYO ! Et ils ont raison de ne pas laisser des étrangers s'approprier la terre de leurs ancêtres !

 

Les Vilis doivent changer et mieux défendre ce qui est leur patrimoine. Ils doivent se battre pour leurs intérêts. C'est parce que les étrangers ont constaté leur lâcheté qu'ils se permettent de les chasser des terres de leurs ancêtres.

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB'

 

 

 

 

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7 décembre 2020 1 07 /12 /décembre /2020 00:00

Après une consultation de son peuple au travers de ses institutions, de ses organes politiques et de la société civile, consultation commencée en novembre 2020 qui a accouché de tout un programme de réformes profondes de son pays, le président de la république démocratique du Congo, son Excellence Félix Antoine Tshisekedi, vient d'annoncer sa rupture avec le FCC de Joseph Kabila pour blocages institutionnels répétitifs à de simples fins politiciennes.

 

Le pouvoir vient de rappeler qu'il ne peut y avoir deux timoniers à la barre d'un État. Le fils Tshisekedi va nommer un informateur dont la mission sera de glaner une nouvelle majorité - pour éviter la case dissolution de l'Assemblée nationale. Sans nul doute, il aura une nouvelle majorité car au regard du soutien populaire constaté ce 6 décembre 2020, dans toute la RDC, les députés du FCC sont sur des sièges éjectables.

 

Il ne reste plus que trois années de mandat à "Fatshi Béton" comme le surnomment ses admirateurs. Si le fils d'Étienne Tshisekedi veut réussir, c'est maintenant qu'il doit agir. Ceux qui l'ont sous-estimé comprennent aujourd'hui qu'en politique, seuls priment les objectifs qui conduisent à la réalisation de grandes ambitions portées par un individu qui veut laisser sa trace dans l'histoire de son pays.

 

Nous attendons de voir comment vont réagir les caciques du FCC qui savent qu'ils sont entre le marteau d'une nouvelle alliance et l'enclume de la dissolution du parlement. Je prends le pari de l'éclatement du FCC dont une centaine de députés auraient déjà rejoint le camp des soutiens du chef de l'État de la RDC, Félix Antoine Tshisekedi.

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB', 

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16 octobre 2020 5 16 /10 /octobre /2020 09:26

Bonjour, Laurent. Il est révoltant de voir un peuple subir l'injustice, l'arbitraire, la négation de ses droits, sans qu'il puisse oser se soulever, se rebeller - même quand la souffrance atteint un tel paroxysme ! Certes les dictatures ont pour eux l'usage de la violence  et de la coercition légitimes mais que peuvent-elles faire face à des peuples déchaînés, survoltés ? Il n'y a rien pour tenir des peuples qui se révoltent dans leur totalité. Aussi, ont-ils toujours été divisés. Et, d'entrée de jeu, je fais remarquer que les colonisateurs n'avaient pas pour but de faire de nos tribus ou de nos ethnies des nations. Au contraire ! Ils ont créé des divisions plus marquées avec l'état civil. Avant, l'identité était clanique et non tribal avec ceci que le clan traversait et commentait toutes les tribus. J'ai eu une agréable surprise d'être contacté par un MINDZUMBA BEMBÉ à Mouyondzi !

 

Tu te demandes pourquoi notre peuple ne réagit pas à toutes ses souffrances, de sorte à renverser la table de la dictature. Comment pourrait-on expliquer cela ? Je vois que tu t'arrêtes au niveau de l'indignation. Peut-être que le temps te manque pour creuser ton questionnement. C'est déjà une bonne démarche de s'interroger car celui qui ne s'interroge pas ne peut pas chercher les réponses concomitantes aux questions. 

 

Les réponses sont à rechercher à plusieurs niveaux : 
1)- Comment se constitue une nation unie et solidaire ? 
2)- Quels sont les facteurs psychologiques  (intériorité) et environnementaux (extériorité) qui conduisent un peuple à prendre conscience (ne pas négliger cette étape) et à défendre ses droits ?

 

Les deux registres sont liés. Je m'explique : si une nation n'existe pas mais qu'il existe juste un ersatz de "république" extraverti, la deuxième question ne se pose même pas. En effet, l'addition de plusieurs ethnies pour servir une ou des puissances étrangères ne fait pas une nation. Je pense même que le Congo n'est pas l'addition de plusieurs ethnies mais la SUPERPOSITION de plusieurs ethnies, chaque ethnie cherchant à dominer sur les autres.

 

On ne peut pas envisager la deuxième question sans avoir résolu les problèmes posés par la première.

 

Si d'aventure, la question 1 n'était plus un problème, se poserait celui de la conscience de ses droits. Contrairement à ce que l'on pense, nous le voyons chez nous, ce n'est pas aussi facile de prendre conscience de ses droits. En effet, une nation est une donnée impersonnelle, abstraite et qu'un tout au niveau humain ne peut pas s'administrer au niveau du tout : même la cellule s'administre au niveau de l'ADN avec l'ARN comme exécutant fidèle du plan de bonne gestion de l'ensemble - en toute solidarité car l'organisme humain est un tout intégré. Les sociétés humaines doivent s'aliéner pour se gouverner et là commencent nos problèmes : ceux qui atteignent le niveau de l'administration du TOUT SOCIÉTAL ont tendance à réduire les droits des autres quand ils ne les nient pas totalement. 

 

Les droits qu'une société concède sont d'abord MENTAUX, ABSTRAITS au départ. En effet, ce sont d'abord des mots, des concepts qu'il faut traduire dans la réalité, dans les faits, dans la résolution des problèmes de tous les jours. 

 

On n'a pas son bon droit dans la poche comme une pièce de cent francs CFA ou dans l'assiette comme un morceau de ngoulou mou mako pour le défendre contre les voleurs ! Le droit est un élément de nature psychologique avant tout. Il faut une éducation pour qu'une telle idée germe dans le cerveau et qu'on ait envie de la défendre comme les nôtres défendent les idées religieuses que les pasteurs des églises de sommeil et de mensonge fourrent chaque dimanche dans le cerveau des nôtres. Sans cette étape d'intériorisation, les nôtres ne peuvent pas se battre pour changer les données extérieures ! Voilà ce que j'en pense !

 

Voici l'indicateur principal qui nous renseignera sur le niveau de la question 1 : TANT QUE L'ETHNIE SERA AU-DESSUS DE LA NATION ET QUE NOUS AURONS UN NON ETAT PARCE QUE JUSTE UNE ETHNIE-ETAT, C'EST QU'IL NOUS FAUDRA D'ABORD RÉSOUDRE CE POINT.

 

Néanmoins, on peut aussi résoudre la question 1 en commençant par la résolution de la question 2 : il faut introduire une sorte d'éducation de la conscience du droit et de la nécessité de le défendre depuis l'enfance jusqu'à l'université et même en faire une question d'éducation de l'enfant ! On doit armer les nôtres du droit, du devoir de défendre la liberté dès la tendre enfance. Nous avions un déficit dans le subconscient quand les étrangers vinrent chez nous : NOUS N'AVIONS AUCUNE EXPÉRIENCE DE LA VIOLENCE DE L'HISTOIRE ET DE LA DICTATURE DES SOUVERAINS CAR LES NTOTILA DE MBANZA KONGO ÉTAIENT DES SAGES. Dans un tel environnement, on ne pose pas les questions du droit, de la liberté, de l'égalité. On n'est donc pas enclin à prendre une posture défensive. Ce terreau a facilité la conquête de nos ancêtres. Ils ont fait confiance aux étrangers comme ils faisaient confiance au Ntotila.

 

Pour résoudre nos faiblesses, il faut posséder le pouvoir politique ou surfer sur le pouvoir religieux ou sur le pouvoir culturo-éducatif. Le travail est ardu. Les moissonneurs manquent par ailleurs. Si toi et moi n'avions pas pris des risques pour conscientiser nos compatriotes, le peu d'éveil auquel nous assistons n'existerait même pas !

 

Je n'écris plus beaucoup car désormais, il y a beaucoup à lire. Cependant, il faille encore transformer le démocrate émotionnel en démocrate politique. Là aussi, il y a du boulot. Tu es plus jeune que moi. J'ai beaucoup donné. Je vous laisse le soin de terminer le travail.

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,
LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB'

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10 octobre 2020 6 10 /10 /octobre /2020 20:42

 

Toutes les nations de la terre investissent sur leur jeunesse car la jeunesse, c'est l'avenir du pays. C'est la relève de ceux qui décident du sort des nations, la jeunesse. Il incombe aux hommes politiques de former leur jeunesse. Pour cela, rien de mieux que les études ou les formations. Quand un pays comme le Congo n'a pas pris la peine de bâtir des écoles d'ingénieurs, d'architecture, quand même la qualité de notre université laisse à désirer, notre pays se voit obligé de former des étudiants à l'étranger. C'est une grande responsabilité d'enlever des enfants à leurs familles et de les envoyer à l'étranger - parfois dans des pays où il est si dur de survivre sans moyens pécuniaires. Notre État doit prendre ses responsabilités et soutenir nos jeunes jusqu'à la fin des études ou des formations de nos jeunes. C'est pour cela que des contrats bilatéraux sont signés entre États pour garantir que les choses se passent bien. Hélas, nous observons que notre pays le Congo a du mal à honorer sa part des contrats. Former sa jeunesse pour garantir un bel avenir au pays a un coût. LE CONGO DOIT EN PAYER LE PRIX ! Autrement, comment le Congo peut-il devenir un pays émergent d'ici à 2025 ?

 

Des étudiants congolais envoyés à l'étranger par notre pays sont en perdition partout. C'est un déshonneur national. Le message de 216 étudiants congolais au Maroc m'a ému. J'ai donc décidé d'interpeller le chef de l'État de notre pays.

 

Monsieur Denis Sassou Nguesso, vous avez signé des contrats bilatéraux avec des pays tiers pour que nos étudiants se retrouvent au Maroc, à Cuba, en Russie, au Togo, etc. Vous avez signé sur l'honneur fournir à nos étudiants de quoi leur permettre de mener leurs études jusqu'au bout. NOTRE ÉTAT S'EST ENGAGÉ POUR CELA. IL Y VA DE SA DIGNITÉ ET DE LA VÔTRE. Pour le bien du Congo car la jeunesse, c'est l'avenir du pays.

 

Comment expliquez-vous qu'on mette à la porte nos étudiants au Maroc, entre autres ? C'est certainement au ministre de l'enseignement supérieur, monsieur Itoua, de répondre à cette question. Un budget a dû être voté pour nos étudiants. Et ce qui est budgétisé est mis à côté. A lui de répondre à cette question : où est passé le pognon qui doit permettre de mener les études et formations de nos jeunes jusqu'au bout ? Il doit s'expliquer devant la nation. Il y va de sa responsabilité. 

 

Monsieur Denis Sassou Nguesso, comment expliquez-vous qu'il vous est plus facile d'investir un milliard de francs CFA soit 150 millions d'euros en Chine pour reconstruire une école primaire que de financer les études de vos propres étudiants ? Est-ce parce que vous ne vous sentez pas assez Congolais, pas assez proche des Congolais ?

 

Dans l'affaire de nos étudiants qui sont rudoyés en Chine, qui vont être jetés à la rue au Maroc, les chefs d'État de ces pays ne peuvent que vous sous-estimer, monsieur Denis Sassou Nguesso car ils se disent que votre parole, vos engagements ne valent rien. Je ne doute pas que vous ayez le sens de l'honneur : j'en ai personnellement la preuve que vous en êtes capable. Je peux comprendre que la situation économique du pays ne soit pas au beau fixe - surtout que le coronavirus déstabilise l'économie mondiale mais, il y a un mais, comment expliquez-vous que vous parvenez facilement à mobiliser de l'argent pour des projets farfelus et que vous vous désintéressez de l'avenir du Congo ? Est-ce parce que juste votre avenir et celui des Mbochis vous importent ? Et Dieu sait que les jeunes Mbochis sont les plus nombreux parmi ces étudiants...

 

Monsieur Denis Sassou Nguesso, nos jeunes compatriotes ne seront pas reçus par l'ambassadeur du Congo au Maroc quand ils seront chassés des campus marocains. A l'heure de la Covid-19, vous ne pouvez pas laisser traîner deux cent seize jeunes Congolais dans les rues du Maroc. L'hiver et le froid arrivent. Cela constituerait de votre part un CRIME. Il ne vous reste que deux possibilités : soit vous payez leur dû aux universités maricaines, soit vous les rapatriez au pays. Choisir une autre option ferait de vous un monstre aux yeux des Congolais et de la communauté internationale. Nous avons la faiblesse de croire qu'au-dedans de vous, il reste encore un peu de nature humaine que la monstruosité qui caractérise les dictateurs aura laissée. Nous faisons le pari que vous réveillerez cette petite partie encore humaine de votre très haute personnalité...

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,
LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB'

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2 octobre 2020 5 02 /10 /octobre /2020 10:53

Nous déplorons l'assassinat de feue Merveille BAZONZILA par des miliciens kulunas mbochis en tenue de gendarmes à Nkayi pour non port de cache-nez pour ne pas dire masque. C'est même un double crime crapuleux puisque la défunte était enceinte de trois mois.

 

Attendez, vous me direz : "LDM, comment pouvez-vous être sûr que les assassins de feue Merveille Bazonzila et de son enfant dans son ventre étaient Mbochis ?" Je vous répondrai que les seuls qui bénéficient de l'impunité absolue LÉGITIME au Congo sont les Mbochis. Vous verrez la preuve de ce que je vous dis en ce que personne ne sera poursuivi dans cette affaire. D'ailleurs, la presse officielle avec Téléfoufou comme antenne principale n'en parle pas. Pourquoi ? Parce que Denis Sassou Nguesso l'a interdit. Pour preuve supplémentaire, madame Lydia MIKOLO, ministre de la femme soumise et de la séduction n'ose en dire un mot ! Ça se passe à Nkayi, chez elle, la terre qui constitue son ADN mais elle reste motus et bouche cousue pour ne pas risquer ses deux ministères. Merveille Bazonzila pourrait même être membre de sa famille que cela ne changerait rien : elle ne l'ouvrira pas. Même pas pour mentir. Certainement trop occupée à ridiculiser le Congo avec l'installation de son nouveau directeur général du CHTue, un nouveau Canadien venu s'enrichir sur le dos de la maladie et de la mort de nos compatriotes avant de se barrer comme l'autre après avoir détourné l'argent du Congo. Il va certainement aussi constater que le régime trafique des organes humains et s'adonne à des pratiques sataniques sur les cadavres.

 

23 ans, ce n'est pas un âge pour mourir. Certainement pas de la main d'un drogué kuluna en tenue de gendarme. Merveille Bazonzila ne connaîtra pas la joie d'être mère, le bonheur d'allaiter son enfant. Cette petite commerçante de rue ne s'attendait pas à mourir le 29 septembre 2020.

 

IL FAUT QUE LES CRIMES GRATUITS S'ARRÊTENT DANS NOTRE PAYS. QUE DENIS SASSOU NGUESSO DONNE DU TRAVAIL AUX KULUNAS MBOCHIS DÉSŒUVRÉS, ON LE SUBIT CAR IL A LE POUVOIR MAIS QU'IL LEUR INCITE À TUER DES SUDISTES DE SANG FROID, C'EST UNE PROGRAMMATION DE GÉNOCIDE.

 

Dans leur cadre du niveau du système de santé totalement chaotique du Congo, nul besoin d'un étranger pour ne rien faire ! En matière d'échec, il n'est pas nécessaire d'ajouter le mépris de ses propres concitoyens en leur préférant des Blancs et comme par hasard toujours CANADIENS - comme si les Canadiens avaient plus de mérite que les Français ou les Suisses !

 

PERSONNE NE PEUT RÉUSSIR LÀ OÙ DENIS SASSOU NGUESSO VEUT QUE TOUS ÉCHOUENT. Là où un Canadien a échoué, un autre Canadien échouera. On peut être sûr que le meilleur entraîneur à la tête de la pire des équipes de football jouant sur le pire des terrains ne peut que perdre. Au Congo, il est très facile de devenir prophète.

 

On aurait pensé que madame Lydia MIKOLO, ministre de la femme soumise et silencieuse, notre gourgandine nationale, aurait pu l'ouvrir  au moins ce coup-ci pour dire que la vérification du port du masque par une personne X n'est pas prétexte à déchaîner le penchant CRIMINEL et ASSASSIN du Mbochi lambda déguisé en gendarme !

 

En vérité, la commerçante ambulante enceinte de son enfant a été assassinée pour ne pas avoir donné de l'argent aux kulunas mbochis déguisés en gendarmes qui ne sont pas à Nkayi pour garantir l'ordre mais pour semer le désordre et le chaos, terroriser, arnaquer les populations et tuer pour leur bon plaisir...

 

A présent que les habitants de Nkayi ont décidé de ne plus porter le masque, que va faire notre ministre de la santé pour ramener les populations à le porter à nouveau ? Ah, j'oubliais ! Qui est au Congo notre ministre de la santé ? Encore madame la ministre de la femme soumise et silencieuse qui compte sur ses dessous et son string léopard pour rester au gouvernement : LYDIA MIKOLO, L'INAMOVIBLE ! On osait espérer que ce beau visage rond à la jeunesse éternelle aurait pu se montrer meilleure ministre de la femme que ministre de la santé. Eh bien, elle est doublement incompétente ! On voit bien qu'elle n'est pas au gouvernement pour ses compétences mais juste pour le travail formidable de ses lèvres pulpeuses...

 

Ce crime, ce meurtre, un de plus mais certainement pas le dernier, doit faire l'objet de poursuites judiciaires. Nous exhortons les parents de feue Merveille Bazonzila à porter plainte. Tant que cette affaire ne sera pas jugée, nous demandons aux habitants de Nkayi de ne plus tolérer un seul gendarme kuluna dans leur ville. La mort de feue Merveille Bazonzila et de son enfant ne doit pas rester impunie.

 

Par ailleurs, nous demandons au régime dictatorial, à l'ethnie-Etat de notre pays, de localiser la police et la gendarmerie : nous exigeons que le métier de policier et de gendarme soit exercé par les enfants du coin. On imagine mal des gendarmes bembés connaissant Merveille Bazonzila et sa famille la bastonner à mort comme l'ont fait les CRIMINELS KULUNAS MBOCHIS en tenue de gendarmes. Il est temps que la barbarie mbochie s'arrête dans notre pays.

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB'

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30 septembre 2020 3 30 /09 /septembre /2020 23:33

Je pense qu'il est aisé de comprendre qu'un sociologue traditionaliste comme moi ne peut être contre la tribu ou l'ethnie. Ce sont des identités ataviques contenant des richesses morales et pratiques que l'on doit exploiter. Le problème est le suivant : peut-on fondre toutes les ethnies en une nation AU-DESSUS de l'ethnie ? La réponse est oui. Avec quelle recette ? La justice sociale, l'égalité des chances, la distribution des rôles selon les vertus et les compétences.

 

J'ai même élaboré la théorie de la tradi-république. En effet, nous ne pouvons plus renoncer à la modernité pour vivre totalement comme nos ancêtres. C'est une évidence. Nous n'avons pas non plus renoncé totalement à nos identités traditionnelles. Il faut donc réussir à associer les deux aspirations dans la politique. J'ai énoncé les éléments d'une démocratie à la dimension de nos personnalités actuelles hybrides pour réussir le développement. Le texte de cette théorie se trouve dans un article portant le titre de tradi-république. Je me définis comme un tradi-républicain, un courant de pensée qui n'est pas encore bien connu.

 

La rencontre entre la modernité et nos traditions n'a pas été harmonieuse. Il fallait au préalable la penser. Les pères de l'indépendance n'avaient pas le temps : ils étaient pressés de remplacer le colon pour vivre comme lui. La question ethno-tribale a été oubliée. Elle nous rappelle à son existence jusqu'aujourd'hui. Or, nous nous refusons à reconnaître le problème du tribalisme. Ignoré, il ne peut être résolu. Non résolu, il divise le pays et fait de la politique juste LE POUVOIR D'UNE ETHNO-TRIBU SUR D'AUTRES. Dès que l'on soulève la question, nombreux croient que l'on soulève la hache pour tuer la tribu. Comment réussirons-nous à faire ce que le Mundélé n'a pas réussi ? Comment ? Il faut au contraire donner une dimension politique à l'erhno-tribu pour réussir la république. J'ai déjà détaillé la recette de la cuisine politique qui peut faire de l'ethnie, de l'État, des traditions et de la modernité un plat consistant.

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,
LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB'

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24 septembre 2020 4 24 /09 /septembre /2020 12:43

Le développement d'un pays est d'abord l'affaire d'une hauteur morale, une affaire de dirigeants libres et non soumis aux puissances étrangères. Comment peut-on développer un pays si on ne l'aime pas ? Comment peut-on défendre les intérêts d'un pays si ceux de la franc-maçonnerie passent avant ceux-ci ? Comment peut-on développer un pays quand on ne se voit pas en vrai chef d'État mais juste en chef de tribu ? Comment peut-on développer un pays auquel personne ne croit ?

 

Nous avons déjà dit que même si juridiquement, pour des raisons de définition des zones d'influence, le Congo existe pour la France et les grandes puissances, pour le soi-disant peuple congolais, il n'existe pas encore. Pourquoi ? Parce qu'il n'y a pas eu une véritable fusion spirituelle de toutes les ethnies de notre pays pour constituer une VRAIE nation. Les ethnies ont été regroupées pour servir les intérêts coloniaux. C'est toujours le cas aujourd'hui. On est plus Mbochi, Lari, Vili, Téké, Bembé, etc, que Congolais. Tant que l'identité ethno-tribale passera avant l'identité nationale, il n'y aura pas de nation congolaise. On vivra toujours, QUEL QUE SOIT LE CHEF D'ÉTAT, sous l'ethnodiscrimination d'une Ethnie-Etat soumise à des puissances étrangères. Les Français n'ont pas rassemblé les ethnies dans les grandes villes pour créer une nation. Au contraire, ils ont créé des divisions au travers de l'état civil.

 

Je vous explique la situation. Avant l'arrivée des Occidentaux, quel est l'élément principal qui déterminait notre identité ? Réponse : le CLAN. OR, LE CLAN ÉTAIT TRANS-ETHNIQUE ET NON ETHNIQUE. Ainsi exprimé, mon propos sociologique n'est pas très clair. Patience, vous allez comprendre. Le clan est l'attribut du mussi ou du mushi, c'est-à-dire, la référence à l'ancêtre commun(e) RÉELLE et non imaginaire comme le prétendent les ethnologues occidentaux. Vous pouvez être d'ethnie Vili, Téké, Punu, Tsangui, Nzebi, Bembé, Mbochi, Kugni, Tala et être mussi MAKANDA. Le clan ne dépend pas de votre ethnie qui se définit d'abord par une langue parlée, un espace et une culture. Le clan est aussi transpatial car on retrouve des Makanda au Gabon et dans d'autres pays. Quand les Occidentaux créent l'identité ethnique, l'ethnie seule devient l'élément d'identification et d'agrégation. On est d'abord Vili, Mbochi, Lari, Téké, Yaka. Même si deux personnes sont du même clan, ils deviennent distants du point de vue ethnique. On a surclassé l'identité clanique. Les MAKANDA maris peuvent très bien massacrer les Makanda Bembés et vice-versa. C'est cette identité créée par les Français qui sera à l'origine des guerres tribales et qui sape l'unité du Congo jusqu'à nos jours. En exemple, Denis Sassou Nguesso se comporte plus en Mbochi qu'en Congolais. Il déteste particulièrement l'ethnie Lari en causant de façon récurrente des troubles dans le Pool, la zone géographique de l'ethnie Lari. 

 

La politique veut résoudre les problèmes extérieurs de l'homme : l'eau, l'électricité, l'énergie, les routes, la santé, l'alimentation, l'habitat, le travail, l'éducation, la vestimentation, la sécurité et la défense, le commerce et l'échange, etc. Hélas, comme c'est de l'intérieur de l'homme, de l'entité morale intérieure que viennent les solutions qui améliorent les conditions extérieures de notre environnement collectif, il faut d'abord polir l'homme intérieur afin de lui donner une haute conscience avant d'espérer aboutir au bien-être de tous, au VRAI développement. Cela ne peut se faire qu'au travers de la culture et de la religion. 

 

Comment produire un homme intègre, désintéressé, impartial, juste, altruiste, humaniste, à haute dignité, soucieux du bien-être de tous ? Et comment porter cet oiseau rare au pouvoir, déjà qu'il n'est pas facile à déceler ? Là, il y a un sérieux problème : chez nous tout est extraverti, c'est-à-dire, tourné vers l'étranger, culture, religion, éducation, économie, même la politique. Bref, le développement avec le type de Congolais actuel n'est  pas possible !

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB'

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22 septembre 2020 2 22 /09 /septembre /2020 12:27

On pourrait croire qu'un homme imbu de sa personne et à l'ego démesuré qui carbure à la gloire comme Denis Sassou Nguesso se préoccupe de ce qu'il laissera comme souvenir impérissable à son peuple - et nous pensons à des souvenirs positifs et non aux violences, aux tortures, aux assassinats, à l'arbitraire qu'on s'efforcera vite d'oublier. Il se pourrait que l'on se souvienne plus du monstre de l'Alima à l'étranger qu'au Congo où les rues éponymes pourraient être débaptisées. Le Bénin se souviendra de lui à cause du marché d'Atankpo, les Chinois de l'école luxueuse Denis Sassou Nguesso si un tremblement de terre ne la détruit pas encore. Vous me direz qu'il laissera des œuvres architecturales dans notre pays. Je vous répondrai que toutes les chinoiseries architecturales au rabais que son neveu Jean Jacques Bouya a bricolées sont déjà emportées par les éléments du vivant même de l'enfant terrible d'Edou - alors même que certains édifices coloniaux tiennent encore la route.

 

Il est à peu près certain que Denis Sassou Nguesso sortira de la mémoire collective comme Mobutu ou Bokassa. On peut concéder qu'à Oyo, on se souviendra de lui. Pas si sûr ! Attendez que le barrage d'Imboulou rende l'âme et replonge Oyo dans le noir, que les industries locales qu'il a installées avec l'argent public volé déposent le bilan. Il est presque prévisible qu'à sa mort, les populations d'Oyo se partageront son cheptel et qu'il n'en restera plus rien. Aux sceptiques, je dirai : que sont devenues les initiatives industrielles de Mobutu à Ngadolite ? Même l'aéroport est à nouveau le repère des lézards et des rats. Nous espérons que l'aéroport d'Ollombo ne subira pas le même sort. La question "que restera-t-il du règne de Sassou ?" est légitime. Même la route Sembé - Souanké qui a à peine cinq ans se délabre sous le coup de boutoir des éléments. Encore quelques pluies de plus et l'université Marien Ngouabi finira dans le fleuve Congo !

 

Nous avons appris que Denis Sassou Nguesso songeait à l'électrification générale du Congo. C'est peut-être une blague mais ce projet, s'il le menait à bien, pourrait être celui qui laisserait une trace de lui dans la mémoire collective des Congolais. Hélas, je sais qu'il ne le fera pas car s'il l'avait vraiment voulu, au lieu de gaspiller 300 millions de dollars empruntés, il aurait pu les investir sur le barrage des gorges de Sounda ! Cependant, je crois que le tribalisme est passé par là, les Mbochis ayant dit : "Tant que nous serons au pouvoir, les Bakongos n'auront jamais le barrage de Sounda !" Comme si ce barrage allait juste alimenter le sud du pays où vivent également les Mbochis, les Nordistes et tous Congolais de toutes ethnies confondues ! S'il était réalisé, non seulement le Congo deviendrait énergétiquement autonome mais qu'il pourrait même exporter de l'électricité au lieu d'en acheter chez nos voisins d'en face. J'ai une fois discuté avec un très proche parent du ndzokousaure de l'Alima à qui j'ai dit ceci :

 

"S'il (Sassou) avait juste électrifié tout le pays pendant son long règne..." Sa réponse ne s'est pas fait attendre en lingala, mot pour mot :

 

- "MBE TO KOMA MOSSIKA !"

 

Cet homme avait compris que l'électrification générale du pays aurait boosté l'économie du pays en rendant tous les projets POSSIBLES ! En effet, l'électricité est nécessaire pour industrialiser un pays. C'est, à mon humble avis, la première condition du développement avec les routes et tous les supports logistiques. Chacun peut aisément admettre qu'en 33 ans au pouvoir le chef de l'État qui a le plus long règne dans notre pays a largement eu le temps de mener un tel projet à terme. Hélas, il ne l'a pas fait parce qu'il ne l'a pas voulu. Il a juste pensé à construire le barrage d'Imboulou pour électrifier Oyo et ses environs pour soutenir ses propres projets industriels. Il est temps que Denis Sassou Nguesso agisse comme un chef d'État et non juste comme un chef d'ethnie. Le barrage de Sounda a tous les atouts pour résoudre la crise énergétique au Congo en apportant l'électricité à tous les Congolais. Voilà un projet qui glorifierait vraiment Sassou pour une fois. Quand on aime la gloire, on ne se contente pas de quelques éléphants blancs ou de statues géantes à l'effigie de sa défunte fille : ON RÉALISE DES PROJETS GLORIEUX PROFITABLES A TOUS SES CONCITOYENS ! Denis Sassou Nguesso n'est même pas capable de doter tous les élèves du Congo de tables-bancs pour s'asseoir - préférant laisser le bois du Congo aller à l'étranger pour permettre aux petits Occidentaux ou aux petits Chinois de s'asseoir.

 

Un homme d'État voit grand, global, durable. Autrement, c'est un simple gangster d'État. Nous pensons que Denis Sassou Nguesso a atteint le bel âge où on s'élève au-dessus des petites idées tribales que ses proches lui soufflent à l'oreille. Il est de doter les Congolais d'un vrai barrage hydroélectrique qui ouvrirait la voie à l'industrialisation de tout le pays ouvrant ipso facto de façon très large les portes du développement.

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB'

 

 

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