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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 11:18

BlaiseCompaore.jpgL'Afrique s'essaie à la démocratie occidentale, passage obligé après l'acceptation de la république qui nous a été imposée après des indépendances souvent données gracieusement. Comme c'est douloureux ! On oublie souvent que la démocratie est née en guillotinant la royauté. Hier, avant-hier et aujourd'hui, entre le pouvoir absolu (dictature) et la liberté, c'est une lutte féroce, à mort. Hélas, nous Africains, en avons-nous conscience ? Dans de nombreux pays africains, la guerre des nerfs est engagée entre les dictatures " démocratiquement élues " et l'alternance politique qui signifierait un changement à la tête de l'exécutif - c'est-à-dire, à tous les niveaux de décision étatiques. Ce ne sont pas seulement les dictateurs qui tremblent mais tous ceux qui vivent de la dictature. Quand on abat un arbre, ce sont toutes les autres plantes parasites qui vivent de sa sève qui tremblent. Peut-être plus que l'arbre lui-même. En effet, dans de nombreuses constitutions, les chefs d'Etat actuels doivent s'en aller : Congo, Burkina, etc. Cependant, ces vieux croutons au pouvoir depuis des dizaines d'années ont pris goût au pouvoir et ne veulent pas s'en aller ! Ce n'est pas si facile de quitter le fauteuil de l'impunité absolue et de l'argent facile ! C'est tout simplement magique : il suffit d'ordonner pour tout avoir, argent, femmes, palaces, vaches, banques, poissons-chats, etc. TOUT ! Mieux qu'un rêve...

A Washington en évoquant l'idée d'un référendum organisé au Congo, probablement en 2015, le plus vieil assassin politique encore en activité, Denis Sassou Nguesso, a indiqué la solution pour que les dictatures "démocratiquement élues" s'éternisent au pouvoir. Blaise Compaoré qui a tué son ami le président Thomas Sankara pour le pouvoir s'en est inspiré et veut lui emboîter le pas, lui qui annonce en réponse à Barack Obama : " il n'y a pas d'institutions fortes sans hommes forts ". Il fallait trouver l'argument ; les mammouths au pouvoir en Afrique l'ont rêvé, Denis Sassou Nguesso allant jusqu'à s'envisager premier ministre à vie mais c'est Blaise Compaoré qui a trouvé la parade et il veut être le premier à expérimenter l'idée.

Attendez, le pouvoir appartient au peuple, n'est-ce pas ? C'est une idée proclamée mais personne parmi les dictateurs pourtant ne veut qu'elle prenne vraiment corps car autrement, l'Afrique deviendrait un champ de bataille entre dictateurs et populations. Cependant, là aussi, il existe une parade : puisqu'il revient au pouvoir en place de proclamer les résultats, il suffira de dire que le peuple a perdu et que la dictature a gagné. Qu'on passe par le référendum ! Même pas peur ! Compaoré, Sassou et les autres estiment que le seul moyen de vaincre les textes constitutionnels, c'est d'en appeler au peuple, ce peuple qu'on peut facilement berner sans qu'il ne se lève pour revendiquer ses droits, son pouvoir. Pourquoi ? Parce que les dictateurs peuvent toujours user du bouclier militaire et policier pour se prémunir de la fougue du peuple si elle se manifestait. Si les forces armées défendent les dictateurs, qui défendra les peuples désarmés ? DOIT-ON UN JOUR SE RESOUDRE A LANCER DES ARMES AUX PEUPLES - COMME LES AMERICAINS LE FONT POUR LES KURDES CONFRONTES A DAESH A KOBANE - POUR LEUR PERMETTRE DE SE DEFENDRE CONTRE LES DICTATURES ?

Denis Sassou Nguesso avait vu juste depuis le début en l'avouant de façon crue dans son livre "Le fleuve, le manguier et la souris" : le pouvoir rend fou. Surtout en Afrique où n'existent pas de garde-fous. Au point où personne n'ose plus le laisser à quelqu'un d'autre. Comment laisser fuir un gibier pris dans le filet de la volonté d'un seul homme ? Qui se passerait de la griserie, de l'ivresse du pouvoir absolu ? De ce nectar des dieux ? De tout cet argent facile ? Non, ils ne partiront pas ! Sassou aurait dit à ses nkanis qu'il préfèrerait subir le sort de Khadafi que de lâcher le pouvoir. Mungabé a même prétendu que c'est Dieu lui-même qui lui avait donné le pouvoir, lui qui le prit entre les mains des Anglais et des Occidentaux et s'opposa pour que le peuple le lui reprenne au travers d'un vote démocratique.

L'Afrique se trouve à un tournant de sa jeune histoire démocratique car il y a un problème éléphantesque à surmonter : désormais, les dictatures n'ont plus à prendre les armes pour demeurer au pouvoir ; il leur suffit de passer par des urnes truquées. On tire avec des bulletins de vote qui ne tuent personne pour battre le peuple à son propre jeu. Après tout, l'Etat n'est-il pas le maître du jeu électoral ? Et qui est au sommet de l'Etat ? N'est- ce pas le dictateur ? N'est-il pas là pour imposer sa volonté ? De toute façon, même au Congo, la démocratie bien partie en 1992 était mal engagée à partir du moment où le premier président démocratiquement élu Pascal Lissouba prononça cette phrase emblématique : " ON N'ORGANISE PAS DES ELECTIONS POUR LES PERDRE..." Oui, en Afrique le pouvoir possède une fâcheuse tendance à dérouter l'esprit même des hommes les plus lucides. Cependant, posons-nous la question suivante : et si tout ceci n'existait que parce que les peuples africains sont faibles et facilement manipulables ?  Si tel n'est pas le cas, comment expliquer que la démocratie - même élective ne marche pas en Afrique ? Surtout noire ?

Dans la mesure où les urnes deviennent le lieu où se jouent la misère et la libération des peuples, une seule question intéresse toute l'Afrique : comment démocratiser les urnes trouées de nos républiques bananières et surtout, comment garantir la proclamation des résultats crédibles ? Ailleurs, ils ne se battent plus pour les questions de mode de gouvernance mais plutôt au travers du choc des projets politiques entre les partis. Tant que l'Afrique se contentera de regarder à la façon de prendre et de conserver le pouvoir, tant que nous ne chercherons qu'à arracher l'os du pouvoir entre les mains des dictatures, ils ont auront le champ libre pour piller nos richesses. Un proverbe dit : " Des chiens qui se battent pour un os ne lèvent jamais la tête pour voir ce qui est sur le point de leur tomber dessus "...

                            LION DE MAKANDA MWAN' MINZUMB'

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21 octobre 2014 2 21 /10 /octobre /2014 13:48

Christophe-de-Margerie-Sassou-Nguesso.jpgChristophe de Margerie, Président Directeur Général du groupe pétrolier Total est mort dans un accident d'avion (crash) à l'aéroport de Vnoukovo à Moscou en Russie à l'âge de soixante-trois (63) ans ce lundi 20 octobre 2014, peu avant minuit en heure locale.

Cet homme était un grand ami de monsieur Denis Sassou Nguesso ; la rumeur prétend qu'il aurait facilité la réception de ce dictateur auprès du président français François Hollande qui réchignait à le recevoir.

Sur les circonstances de sa mort, nous avons des interrogations : comment a-t-on pu donner l'ordre au jet privé de Total de décoller alors que la piste n'était pas libre puisque s'y trouvait un chasse-neige qu'il a heurté dont le conducteur - selon la Russie était sous l'emprise de l'alcool ? Comment a-t-on pu autoriser le décollage du jet privé alors que la neige réduisait la visibilité ? Dans cette affaire les enquêteurs français ne manqueront pas de nous apporter plus de détails car la présence du véhicule de type chasse-neige sur la piste dénote du manque de respect du code de l'aéronautique : une piste doit être totalement dégagée avant tout décollage d'aéronef.

On parle d'une visite de Vladimir Poutine au Congo pour y rencontrer notre ndzokou national. La Russie essaie de faire son trou dans l'exploitation du brut congolais - à ce qu'il paraît. Cependant, Poutine et Sassou auront beaucoup de sujets à débattre en dehors de ce dernier  : il y a les armes, les véhicules blindés et le gazoduc Pointe-Noire - Oyo, entre autres.

L'air de la ville de Pointe-Noire est pollué par les torchères qui brûlent du gaz dans l'atmosphère afin de favoriser la remontée du pétrole, un gaz qui peut servir autrement au lieu de contribuer à la destruction de la couche d'ozone. Il n'est même plus possible de boire l'eau de pluie qui est aussi devenue impropre à la consommation à cause des particules qui se trouvent dans l'air. Christophe de Margerie préférait favoriser la réinsertion de chimpanzés dans les forêts de Congouati dans le Kouilou au lieu de construire des écoles, des hôpitaux ou fournir de l'eau potable aux habitants de cette région dont le littoral est souillé par les déjections pétrolières et dont les nappes phréatiques sont aussi touchées car on y exploite désormais du pétrole onshore. La pêche maritime y est aussi plus difficile car le littoral pollué a fait fuir le poisson et au large, les Chinois piquent tout notre poisson en pêchant 24 heures sur 24. Les petites pirogues de nos concitoyens ne font pas le poids face aux navires sophistiqués chinois. Hélas, Total n'est pas au Congo pour faire de l'humanitaire et cela ne changera pas car son successeur poursuivra la politique d'indépendance énergétique de la France instaurée par De Gaulle et Foccart.

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20 octobre 2014 1 20 /10 /octobre /2014 15:01

Pendant qu'Al Qaïda s'affaiblit et perd de la vitesse, le monde a été surpris de voir surgir un autre groupe avec une nouvelle stratégie sur fond d'idéologie khalifienne. Non, cette fois-ci, il y a bien quelque chose de nouveau dans la construction des nations, quelque chose qu'on croyait avoir disparu parce que relevant du Moyen-Age où des seigneurs se faisaient la guerre pour agrandir leur comté avant l'apparition de l'Etat qui est venu servir d'arbitre.

Nous savons que l'islam a sa guerre d'influence intestine entre chiites et sunnites. Nous avons l'habitude de voir l'Occident monter une partie du peuple pour en renverser une autre au sein d'une même nation : il suffit de les armer, de les manipuler et de leur dire : "Allez renverser Assad, faites tomber Khadafi, etc..." El Baghdadi, l'Irakien avec El Chachani, le Tchétchène, en chef de guerre vient d'innover dans l'art de faire la guerre non pour autrui mais pour sa propre gloire dissimulée derrière celle de l'islam : pourquoi ne pas se la jouer solo au nom de l'idéologie religieuse en ne cherchant plus à renverser un Etat mais en se fabriquant le sien taillardé du milieu des nations ? Pourquoi toujours rechercher la reconnaissance auprès des puissances du monde qui ne roulent que pour elles-mêmes au travers de leurs intérêts qui est de prendre la substance du monde, la richesse des nations qui échoit entre quelques mains cupides ? Et si on se taillait un Etat ? Un khalifat au nom de l'islam ? Avec les armes de l'Occident sans leur demander leur avis ? Ils ont osé. L'Etat Islamique est né entre l'Irak et la Syrie avec une volonté expansionniste.

Désormais, les puissances occidentales déboussolées ne savent plus quoi faire afin de protéger leurs intérêts : on ne peut plus envoyer les soldats américains ou anglais mourir en Irak ou en Syrie car c'est politiquement suicidaire parce qu'il vaut mieux que des musulmans se battent et s'entretuent entre eux pour le triomphe de la volonté des adorateurs du profit ; on se doit d'aider ceux qui veulent combattre DAESH ou l'Etat islamique mais DAESH ressemble à une coalition de musulmans venus du monde entier au nom du triomphe de l'islam. Si Al-Baghdadi l'emporte à Kobané, il aura encore plus de puissance et attirera encore plus de combattants du monde entier. Il a le pétrole, les armes, l'armée et la foi qui conduit les volontés conquérantes. Face à l'Occident se dresse le glaive noir du coran qui veut redessiner le Moyen-Orient en foulant au pied les frontières artificielles érigées par les puissances occidentales.

Devant à l'avancée fulgurante de DAESH qui renverse tout sur son passage, les Américains vont jusqu'à armer les groupes qu'ils classaient hier comme terroristes. Logique du profit oblige. Qui est Al-Baghdadi ? Voici ce que l'on peut lire sur Wikipédia :

" Ibrahim Awad Ibrahim Ali al-Badri, dit Abou Bakr al-Baghdadi al-Husseini al-QurashiDr. Ibrahim Awad Ibrahim Ali al-SamarraiAbou Du'a ou plus récemment « calife » Ibrahim, né probablement à Samarra en Irak en 1971, est un djihadiste irakien, chef de l'État islamique. Il est le successeur présumé de Hamid Daoud Muhammad Khalil al-Zawi, alias Abou Omar al-Baghdadi, à la tête de l'État islamique d'Irak ".

Voilà donc l'homme qui a décidé de se tailler un Etat sans demander son reste aux puissances du monde. Il semble porté par une puissance noire comme le drapeau de son Etat car les armées prennent la fuite devant les soldats d'Allah qui récupèrent chars, armes lourdes et munitions. A présent, ses légions s'ingénuent à piloter des avions de guerre abandonnés par l'armée irakienne avec pour instructeurs les anciens soldats de Saddam Hussein. Certes, les Kurdes de Kobané résistent mais avec l'aide du feu du ciel de la bannière étoilée.

Des fous de Dieu affrontent le monde dit civilisé pour imposer leur loi, LEUR ISLAM, et ils sont prêts à tuer ou à mourir pour atteindre leur objectif. Même la Turquie est sur ses gardes, elle qui laisse détruire la résistance kurde de l'autre côté de la frontière. Par calcul...

Le monde appartient aux audacieux. La foi est audace. Si mon peuple se dressait un seul jour contre l'infâmie de la dictature de Denis Sassou Nguesso, un jour, un seul, avec juste la foi de la liberté, la foi de reprendre ce qui lui appartient, nous serons plus forts que ces djihadistes qui rêvent de dompter la terre entière. Même le feu de l'enfer n'arrête pas des âmes déterminées jusqu'à la mort. Où est la force qui conduit les peuples vers le soleil de la liberté ? Qui embrasera la volonté de mon peuple pour qu'il s'extirpe du piège tendu par les puissances de l'argent ?

Au nom d'une folie incontrôlée, des hommes osent braver les puissances du monde - juste armés de la foi auveugle dans un coran qu'ils ont réécrit, réinterprété à leur manière selon leur passion et leur rejet de l'ordre des choses établies par autrui. Nous, nous n'avons besoin que de notre liberté retrouvée pour vaincre un système, une dictature, un dictateur. Au nom de la gloire, ils combattent ; nous n'avons besoin que de nous lever au nom de la dignité. Ils prouvent que ce que l'on croit figé à jamais peut être remanié, redistribué. Nous n'avons pas besoin d'aller au-delà du réveil de la liberté pour nous sortir de cette parenthèse de sang et de misère qui nous étrangle depuis 1997. Si quelques fous d'Allah défient le monde au nom d'une idéologie, nous pouvons vaincre une dictature au nom de la liberté, de la dignité humaine et s'il le faut, nous devons combattre la terre entière. ENSEMBLE, NOUS SOMMES LE POUVOIR. ET LE POUVOIR A DANS SON ESSENCE LA VERTU D'IMPOSER SA VOLONTE.

Al-Baghdadi veut instaurer un règne par la force, bâtir un Etat en écartelant des peuples. Au nom de l'islam. Nous, Congolais, nous n'avons besoin que d'un jour, d'un seul, pour reprendre ensemble ce qui nous revient. AUCUNE DICTATURE NE PEUT VAINCRE LA DETERMINATION D'UN PEUPLE QUI NE VEUT PLUS ETRE ESCLAVE. Si eux le font à tort, nous pouvons aussi à raison le faire et construire un avenir qui regarde le peuple congolais en face au lieu de lui tourner le dos. Al-Baghdadi est un fou d'Allah. Nous n'avons juste qu'à devenir les fous de la liberté et de la démocratie. juste pour un jour : LE JOUR DE LA GRANDE COLERE, LE JOUR DE LA LIBERTE...

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19 octobre 2014 7 19 /10 /octobre /2014 12:51

J'ai été - au travers de l'article : " Ebola : J'accuse..." - parmi ceux qui les premiers ont lancé l'alerte sur cette étrange maladie qu'est Ebola qui sévit en Afrique de l'Ouest - sans que l'on nous dise comment le virus qui est apparu d'abord en RDC s'est retrouvé curieusement en Afrique de l'ouest. Nous sommes actuellement dans un étonnement plein de suspicion : le Canada au travers du laboratoire WINNIPEG prétend avoir réussi à fabriquer - en si peu de temps - un vaccin contre Ebola - alors qu'il n'existe pas de vaccin contre le VIH qu'on ne soigne par ailleurs qu'en Europe et surtout que l'on néglige le développement d'un sérum pour soigner les malades actuels qu'on laisse mourir comme des animaux au Libéria et en Sierra Leone. Huit cents doses de vaccin vont être distribuées - sans que l'on sache ce qu'elles contiennent vraiment ni quand et comment elles ont été testées. NON, LE NEGRE N'EST PAS UN COBAYE POUR QU'ON SE PERMETTE DE TESTER SUR EUX N'IMPORTE QUEL POISON PARCE QUE L'ON VEUT FAIRE DU PROFIT.

 

Quand l'organisation Mondiale de la Santé (OMS) propose deux vaccins expérimentaux contre Ebola, nous mettons cette vaccination avec les prédictions de sept millions de morts qu'elle a faites préalablement car nous ne voyons pas comment cette maladie se répandrait aussi rapidement si elle ne bénéficie pas d'un coup de main de firmes et organisations criminelles comme les grandes firmes pharmaceutiques.

Comment peut-on concevoir si rapidement un vaccin dont le premier - celui de WINNIPEG serait disponible à la fin de l'année 2014 et l'autre développé par le laboratoire GlaxoSmithKline (GSK) en 2016 ? LA THESE QU'ON INJECTERAIT LA MALADIE AU TRAVERS DU VACCIN N'EST PAS A PRENDRE A LA LEGERE ; ELLE EST MEME PLAUSIBLE.

Comment expliquer qu'un virus aussi dangereux que le virus Ebola ait pu être aussi facilement dompté ? On prétend travailler sur une souche rendue inoffensive trouvée chez les singes mais on peut se poser une question : QU'EST-CE QUI LE PROUVE ? Réagissant sous la peur que les médias occidentaux accentuent, les pauvres ouest-Africains vont accepter qu'on leur inocule la maladie. C'est tout simplement un nouveau crime contre l'humanité qui se prépare...

NOUS DEMANDONS AU GOUVERNEMENT CONGOLAIS DE FAIRE ATTENTION ET DE NE PAS VALIDER N'IMPORTE QUEL PROJET AU PRETEXTE QU'IL PROVIENDRAIT DE L'OMS QUI TRAVAILLE EN CONNIVENCE AVEC LES GRANDS FIRMES PHARMACEUTIQUES. NOS VIES VALENT PLUS QUE LEURS PROFITS.

Et il est encore plus curieux d'apprendre que l'Union Africaine serait prête à tolérer que des vaccins dont l'efficacité clinique n'a pas été prouvée puissent être inoculés à des innocents qui vont ensuite, nous sommes sûrs, développer la maladie et déclencher des épidémies mortelles dans des grandes villes.

Il est encore plus étonnant d'entendre parler de flambée de l'épidémie - alors que les zones où sévissent cette maladie sont circonscrites. Les médias sont sous influence des grands laboratoires et des grandes firmes multinationales qui ne pensent qu'à leurs profits. IL FAUT ARRETER DE PRENDRE LES NOIRS POUR DES PRIMATES SUR LESQUELS ON SE PERMETTRAIT DES EXPERIENCES DE DESTRUCTION MASSIVE. QUE L'EUROPE ET L'AMERIQUE APPLIQUENT D'ABORD A LEURS PROPRES PEUPLES CE GENRE DE VACCINS EXPERIMENTAUX A L'EFFICACITE CLINIQUE NON PROUVEE SELON LES SPECIALISTES : S'IL N'Y A RIEN A CRAINDRE, ALORS IL N'Y AURA AUCUN MAL A PRESCRIRE LE VACCIN CONTRE EBOLA A DES CANADIENS ET A DES AMERICAINS. Souvenez-vous que le président Obama lui-même avait justifié le refus de traitements expérimentaux contre Ebola aux Africains parce que non testés et non homologués - alors qu'il n'y voyait aucun inconvénient à ce qu'on les prescrive à des Américains. Eh bien, qu'il en soit aussi de même pour les vaccins ! Commencez par les tester vous-mêmes s'il n'y a rien à redouter !

Les Etats africains doivent devenir plus prudents et ne plus se laisser abuser par les Occidentaux. l'OMS oeuvre en complicité avec les puissances du monde, les puissances du profit qui ne pensent qu'à l'argent, l'homme étant pour elles une marchandise comme une autre - surtout les NOIRS...

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18 octobre 2014 6 18 /10 /octobre /2014 19:12

 

COMMENTAIRE : Je vous conseille de lire attentivement cet article trouvé sur le site : www.almanar.com.lb (source : http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=197646&cid=21&fromval=1&frid=21&seccatid=416&s1=1). Derrière Ebola se cache en fait la recherche de solutions d'implantation économique à lire monsieur Nana Kwame, un citoyen américain d'origine ghanéenne installé au Ghana. LE VIRUS EBOLA SERAIT INOCULE VOLONTAIREMENT PAR LES MEMBRES DE LA CROIX ROUGE OU DE MEDECINS SANS FRONTIERES A DES LIBERIENS ET DES SIERRA-LEONAIS EN VUE DE PERMETTRE L'IMPLANTATION DES ETATS-UNIS DANS LA REGION POUR DES BUTS ECONOMIQUES (PETROLE, DIAMANT).

Juste une question : que se passe-t-il lorsqu'un Libérien a une fièvre provoquée par le paludisme ? La Croix Rouge va-t-elle l'attraper, le parquer et lui inoculer n'importe quoi ? La hausse de la température ou fièvre peut être provoquée par n'importe quelle autre infection qu'Ebola. Or, on observe une stigmatisation dès qu'une personne présente des symptômes de fièvre. L'Afrique a urgemment besoin d'une indépendance médicale si elle ne veut pas devenir une proie et pour les multinationales et pour les grands groupes pharmaceutiques qui ne visent que l'enrichissement - quitte à nous terroriser par tous les moyens.

Dans la seconde vidéo, vous apprendrez du géopoliticien belge Luc Michel que les Américains ont acheté de vastes étendues de forêts en RDC dans lesquelles ils font des expériences sur des armes biologiques - pas étonnant donc qu'Ebola apparaissent d'abord dans ce pays ; il leur suffit de relâcher une bête hors de celles-ci pour qu'elle contamine les populations qui la captureraient. Tout cela devrait être interdit.  Hélas, face à la corruption de nos Etats, nous ne sommes pas au bout de nos peines...

Ils sont capables de tout : peut-être pas de totalement dépeupler l'Afrique mais de provoquer une peur qui leur permettrait d'atteindre leur objectif d'obtention de matières premières bon marché. Les Occidentaux ne peuvent pas se passer des richesses du sous-sol africain.  Aussi, liquider quelques milliers ou millions de nègres pour atteindre cet objectif...

Nous demandons au gouvernement de notre pays le Congo-Brazzaville de faire très attention avec ce que la Croix Rouge et l'OMS nous proposent : il convient d'abord de bien examiner la nature des produits qu'ils nous apportent au lieu de faire confiance aveuglément à ces institutions qui sont d'abord et avant tout au service des puissances occidentales dont le maître-mot est le profit et non la préservation de la vie humaine - surtout pas celle de pauvres nègres toujours considérés comme une race d'esclaves...


                                 Large diffusion, s'il vous plaît, les amis !

 

                                                                                           *

 

 

L’immense arnaque de la pandémie ouest-africaine de la «fièvre Ebola»
 

L’auteur de l’article traduit ci-dessous est un citoyen US d’origine ghanéenne, installé au Ghana depuis un certain temps où il est chef d’entreprise (un bar-restaurant). Il a écrit ce texte sur son compte Facebook le 9 octobre dernier. Suite à une prise de contact personnelle, M. Kwame explique qu’il a écrit ce texte depuis les USA, où il est en visite chez sa famille.

Ce texte est devenu « viral » sur l’Internet anglophone et nous avons décidé de vous le retranscrire ici.

Par Nana Kwame, le 9 octobre 2014

Les gens du monde occidental doivent savoir ce qui se passe ici en Afrique de l’Ouest. ILS VOUS MENTENT!!! Le virus « Ebola » en tant que tel n’existe PAS sur place et n’est PAS en train de « se propager ». La Croix-Rouge a apporté une maladie à quatre pays spécifiques pour quatre raisons spécifiques et elle n’est attrapée que par ceux qui reçoivent un traitement et des injections des mains de la Croix-Rouge. C’est pourquoi des Libériens et des Nigérians ont commencé à virer la Croix-Rouge de leurs pays et à rapporter la vérité dans les informations. Restez avec moi:

 

LES RAISONS

La plupart des gens bondissent sur l’idée de « dépopulation », une chose qui est assurément à l’esprit de l’Occident quand il s’agit de l’Afrique. Mais je vous assure que l’Afrique ne pourra JAMAIS être dépeuplée en tuant 160 personnes par jour alors qu’il y a des milliers de naissances quotidiennes. Les vraies raisons sont donc beaucoup plus concrètes.

 

Raison 1

Cette maladie inoculée par vaccination qui se fait appeler «Ebola » a été introduite en Afrique de l’Ouest dans l’objectif ultime de déployer des troupes sur le sol du Nigéria, du Libéria et de la Sierra Leone
Si vous vous en souvenez nous (les USA, ndlr) étions en train d’essayer d’entrer au Nigéria à cause de « Boko Haram ». FOUTAISES. Mais c’est tombé à l’eau quand les Nigérians ont commencé à raconter la vérité. Il n’y a PAS DE FILLES QUI MANQUENT. Le soutien international s’est fait la malle, et il a fallu trouver une nouvelle raison pour déployer des troupes au Nigeria pour y voler les nouvelles réserves pétrolières qui viennent d’y être découvertes.

 

Raison 2

La Sierra Leone est le plus grand fournisseur de diamants au monde. Les mineurs ont été en grève depuis quatre mois, refusant de produire des diamants à cause d’horribles conditions de travail et de salaires de misère.

L’Occident ne paiera pas un salaire décent pour ces ressources parce que l’idée c’est de faire que ces gens ne puissent s’offrir que des sacs de riz et recevoir de l’aide étrangère afin de rester des esclaves corvéables à merci, pour toujours.

Il fallait aussi trouver une raison pour débarquer des troupes sur le sol de la Sierra Leone pour forcer la fin des grèves des mineurs de diamants. Ce n’est pas la première fois que cela s’est fait. Quand les mineurs refusent de travailler la troupe est sonnée et même s’ils doivent tous les tuer et tous les remplacer, leur seul désir est de voir à nouveau les diamants s’écouler hors du pays.

Bien sûr, lancer des campagnes multiples pour envahir chacun de ces pays serait BEAUCOUP trop louche. Mais un truc comme « Ebola » donne l’accès à toute une région d’un seul coup…

Raison 3

En plus de voler le pétrole nigérian et de forcer la Sierra Leone à retourner au fond des mines, des troupes ont aussi été envoyées pour FORCER la vaccination sur ces Africains qui ne sont pas assez stupides pour la prendre volontairement. 3000 soldats sont envoyés pour s’assurer que ce « poison » continue de se répandre, parce qu’encore une fois il ne se répand qu’à travers la vaccination. 

Tandis que de plus en plus d’articles d’information sont publiés comme celui-ci provenant du Liberia, (Daily Observer) (traduit en français par La Conscience du peuple),  informant les populations des mensonges et des manipulations US, de plus en plus d’Africains refusent d’aller voir la Croix-Rouge.

Les soldats vont contraindre ces gens à la vaccination pour assurer l’apparence visible d’une pandémie d’Ebola. Et en plus ils protègeront la Croix-Rouge de ces Libériens et Nigérians qui ont de plein droit commencé à les expulser de leur pays.

 

Raison 4

3000 soldats… Le virus Ebola craint-il les balles ? Absurde.

Dernière raison mais pas la moindre, l’APPARENCE de cette « pandémie» d’Ebola (si jamais les citoyens US ne comprenaient pas l’arnaque) servira à effrayer d’innombrables millions de personnes pour qu’ils prennent le « vaccin anti-Ebola » qui en réalité EST LA PANDÉMIE. Ils ont déjà commencé avec des histoires affirmant qu’il ait été ramené aux USA et ait fait son apparition à Dallas, que des médecins blancs ont été guéris mais que les Noirs infectés n’ont pas accès au traitement.

Tout ce que cela va faire c'est de POUSSER les Noirs à VOULOIR le vaccin, parce qu’il apparaît que « l’antidote » est refusé aux Noirs. Ils vont sortir en masse pour l’obtenir et il y aura de sérieux problèmes. Avec toutes les révélations que nous avons eues à propos des vaccins cette année vous auriez pensé que nous aurions appris la leçon. Tout ce que je peux faire c’est l’espérer, parce qu’ils comptent largement sur notre ignorance pour faire aboutir leurs agendas. Posez-vous la question, si le virus Ebola se propageait vraiment par le contact entre personnes, plutôt que par une propagation contrôlée effectuée par vaccination – alors POURQUOI le CDC (Center for Disease Control, centre anti-épidémie US, ndlr) et le gouvernement US continueraient-ils à autoriser des vols vers et depuis ces pays sans aucun contrôle ? 

Nous devons commencer à réfléchir et à partager l’information globalement parce qu’ils ne nous donnent pas la réelle perspective que vivent les gens ici en Afrique de l’Ouest. Ils mentent pour leur propre profit et il n’y a pas assez de voix là dehors avec la plateforme nécessaire pour aider à partager notre réalité.

Des centaines de milliers ont été tués, paralysés et handicapés par ces «nouveaux » vaccins tout autour du monde et nous commençons enfin à en prendre conscience. Maintenant qu’allons-nous FAIRE avec toute cette information ?

 

Willisummer

                                                          Global Presse

POUR LA VIDEO CI-DESSOUS, ACTIVEZ LE SOUS-TITRAGE EN BAS A DROITE.

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17 octobre 2014 5 17 /10 /octobre /2014 11:51

La progression du virus Ebola en Afrique de l'ouest et le fait qu'il parvienne même à franchir les frontières continentales dans le corps de personnes affectées inquiète désormais l'occident. Il n'y a qu'à constater la psychose qui fait trembler les Etats-Unis obligeant le président Obama à réagir. C'était prévisible et, à présent que l'occident ne se sent plus à l'abri, un certain débat commence à poindre à l'horizon.

Merci à la soeur Louise ABIA de m'avoir permis de visionner les vidéos que j'ai trouvées sur la page Facebook "Ebola ou l'extermination programmée des Noirs Africains". Cette thèse n'est pas à exclure puisqu'il existe parmi les malthusiens ceux qui travaillent àr la réduction de la population mondiale comme le dit si bien Jacques Cheminade dans une vidéo et ceux qui développent l'idéologie dangereuse de "L'AFRIQUE SANS LES AFRICAINS" à entendre parler le docteur Guy K. Alovor.

Il est vrai que la guerre biologique est interdite de nos jours mais personne ne sait ce que les tenants d'une réduction de la population mondiale peuvent faire en utilisant des virus au travers de vaccins, de sérums ou autres. Pour les sceptiques qui croient les européens incapables de contaminer volontairement des populations non occidentales pour les exterminer, je ne donnerai que l'exemple des couvertures contaminées au virus de la variole que le général britannique Amherst remit aux Amérindiens de la tribu des Delaware pour les exterminer en 1764 (http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_biologique). Voici par ailleurs ce que l'on peut lire sur Wikipédia à propos de la guerre biologique qui pourrait détruire des milliers, des millions voire des milliards d'êtres humains :

" La guerre biologique est proscrite par l'ONU parce qu'une attaque réussie pourrait vraisemblablement engendrer des milliers, des millions, voire des milliards de morts et qu'elle pourrait détruire des sociétés et des marchés économiques "...

En constatant que le monde occidental ne tentait de sauver que des vies blanches atteintes du virus Ebola, j'ai dénoncé une absence d'éthique confinant à la discrimination raciale devant la maladie, une violation du serment d'Hippocrate qui veut qu'une vie en danger soit équivalente à une autre vie en danger et que les médecins se doivent de sauver TOUS les malades ou d'essayer de tout faire pour, vu que les traitements expérimentaux existent en Europe. Je suis même allé jusqu'à m'interroger sur la présence de tous ces occidentaux en Afrique de l'ouest quand on sait qu'ils ne sont pas là pour soigner véritablement les malades. J'ai écrit un article intitulé : "Ebola : J'accuse...". Désormais, on entend des voix s'élever pour dénoncer des politiques, des attitudes et des comportements vis-à-vis du continent noir qui souffre encore d'un certain racisme. Depuis 1976, on sait soigner Ebola selon Jacques Cheminade : il suffit par exemple d'injecter du sang d'un malade guéri naturellement d'Ebola à un autre malade, les anticorps contenus dans celui-ci faisant le reste.

Je me pose une question : comment font-ils ce genre de projection qui veut que des millions d'Africains vont mourir - alors même qu'on s'efforce de contenir la maladie ? Quelle en est le mode d'infection ? D'où vient véritablement le virus ? Peut-on prouver qu'il s'agit d'une souche africaine qui n'a point été génétiquement modifiée par l'homme étant donné que des grands laboratoires viennent prélever des virus dans nos forêts - sans oublier l'armée américaine qui possède des équipes de virologues très réputés ?

L'Afrique souffre d'une absence de souveraineté sanitaire comme l'observe le docteur Guy K. Alovor. Conséquence : n'importe qui peut quitter un pays développé et venir faire n'importe quoi sur le continent - sans que les Africains aient la moindre possibilité de contrôle. Ceux qui viennent prélever le sang des gens qui guérissent naturellement, ce sont les humanitaires occidentaux qui le font d'abord pour l'argent car du côté des compétences du personnel qui débarque, il n'y a du côté de l'Afrique aucun moyen de vérifier ni les compétences des humanitaires, ni la composition des médicaments que ces humanitaires prescrivent. Ce sang va dans les laboratoires occidentaux. J'ajouterai la même chose pour les vaccins qui sont envoyés en Afrique. Le docteur  Guy K. Alovor dit qu'on devrait d'abord vérifier ce que nous recevons de l'Europe, médicaments comme ressources humaines. Hélas, avons-nous les moyens de le faire ? Un médecin pour un malade est comme un sauveur ; on lui livre son corps et il en fait ce qu'il veut. Quant à ces chercheurs qui viennent recueillir des virus dans nos forêts pour aller ensuite les transformer dans les laboratoires P4, cela devrait être interdit : voilà des millénaires que nous, Africains, consommons les chairs de certains animaux ; alors comment expliquer que désormais leur chair devient une cause d'infection ? La preuve la forme de virus trouvé aux Etats-Unis qui décima des singes importés dans des cages n'était pas mortelle pour l'homme - sinon Ebola aurait fait des carnages aux Etats-Unis.

La peur de consommer la viande de brousse gagne progressivement l'Afrique et nous allons nous retrouver devant un grave problème de pénurie de protéines animales...

Nous pensons que nous pouvons, nous Africains, trouver nous-mêmes des solutions - surtout que ceux qui viennent en Afrique nele font pas pour tenter de guérir nos malades. Nous n'avons besoin de personne dès lors que nous achètons les tenues appropriées et que nous suivons les protocoles nécessaires. Ils viennent recueillir le sang des malades qui guérissent d'Ebola pour aller renforcer ces souches afin qu'elles deviennent encore plus virulentes. Qui sait ?Qu'est-ce qui nous fait croire que la souche d'Ebola active en Afrique de l'ouest provient bien d'un animal de cette zone ? Avons-nous en Afrique l'indépendance sanitaire nécessaire pour le déterminer ? Le continent africain est à la merci de l'occident depuis des siècles pour sa survie et les choses ne sont pas prêtes de changer : pas de souverainteté politique véritable, pas de souveraineté économique, monétaire, éducative, culturelle, sanitaire et j'en passe. Nous sommes trop dépendants de l'Europe sur de nombreux plans et nos hommes politiques ne font rien pour réduire cette dépendance - au moins celle qui concerne l'aspect sanitaire.

Quant à mon pays le Congo, je suis inquiet : l'Europe finira par suspendre les vols qui en direction des pays affectés. En attendant, elle contrôle tous ceux qui reviennent de ces pays avec des thermomètres au laser pour la prise de température. Il faut une bonne prévention - surtout si nous n'avons aucun moyen de soigner ou de guérir une maladie mais avec la corruption et la porosité de nos frontières, je sais que rien n'est fait dans nos aéroports... 

 

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16 octobre 2014 4 16 /10 /octobre /2014 10:02

mampouya-ndenguet.jpgPatrick Eric Mampouya, administrateur d'un blog éponyme, membre du comité de pilotage pour le respect de l'ordre constitutionnel, a été arrêté ce matin à son domicile à six heures. Clément Miérassa nous apprend que son logement a été passé au peigne fin et une amie m'apprend que son bureau a été perquisitionné et qu'il se trouverait au commissariat central de police de la ville de Brazzaville en garde-à-vue pour y subir un interrogatoire à 13 heures 30 par un policier dépêché certainement par Jean-François Ndenguet.


Patrick Eric Mampouya est cosignataire avec Clément Miérassa, Lucien Okana et Moubié Moundzara d'un communiqué de presse demandant l'annulation des élections sénatoriales.


Nous demandons au gouvernement congolais de justifier une arrestation qui pour l'heure nous paraît totalement arbitraire. Ces méthodes d'intimidation de citoyens ne peuvent pas continuer. Nous rappelons au chef de l'Etat qu'il a lui-même évoqué publiquement que nul ne pouvait être arrêté au Congo-Brazzaville pour ses opinions. Alors, qu'on nous dise ce que le général Jean-François Ndenguet reproche encore une fois à Patrick Eric Mampouya qui a décidé de revenir vivre au Congo après un long séjour en France.


Une arrestation suivie d'une perquisition doit être justifiée par une décision de justice sinon elle peut être qualifiée de kidnapping, d'enlèvement, de violation de la liberté de circuler, de violation des droits de l'homme, etc. Hélas, nous savons que Jean-François Ndenguet réinvente lui-même les lois en vigueur au Congo au gré de son appréciation personnelle ; c'est ainsi qu'il se proclame "gardien de la loi selon ses humeurs". C'est aussi cela la dictature...

URGENT : " PATRICK ERIC MAMPOUYA A ETE LIBERE. IL NE MANQUERA PAS DE NOUS EXPLIQUER CE QUI LUI EST ARRIVE..."

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15 octobre 2014 3 15 /10 /octobre /2014 14:54

COMMENTAIRE : Voici une correspondance que nous venons à peine de recevoir de la part d'un ami. Il s'agirait du viol de deux nièces du Général Norbert DABIRA par un lieutenant de la GRB proche du Général Jean-François Ndenguet, directeur général de la police nationale, lieutenant malheureusement non identifié, au célébrissime commissariat de Ouendzé Madzandza. Il est connu que nous avons une police qui ne respecte ni l'éthique, ni la déontologie du métier avec une tendance délictueuse très prononcée : tortures, vols organisés, viols, braquages, enlèvements, chantages, bavures, assassinats, intimidations, mépris total de la loi comme dans les affaires Sadio Kanté, Elie Smith, etc. Ce qui est caractéristique dans cette affaire, c'est que l'on viole deux filles d'un policier travaillant, semble-t-il, dans ledit commissariat.

Le fait que nous évoquons une rumeur tient en deux observations : nous vivons à l'étranger pour vérifier nous-même l'information qui renvoie à des faits qui se seraient déroulés à Brazzaville et deuxièment, il n'y a pas d'information officielle corroborant ce que nous recevons par notre réseau (on peut comprendre pourquoi dans la mesure où une fois encore la police nationale est discréditée au travers du comportement d'un de ses membres, la GRB étant une structure officiellement reconnue).

                                        *

" Te confirme le viol de deux nièces du Général Norbert DABIRA dans la nuit du 11 au 12 octobre 2014. 
 
Scénario : les viols se déroulent au commissariat de Ouendzé ya madzandza, le siège de la GRB, une '' milice '' qui ne dit pas son nom de NDENGUET. Lieu de tous les crimes et complots (tortures, assassinats, vols, viols, braquages). Ils ne répondent que de NDENGUET. 

Date : la nuit du 11 au 12 octobre 2014 
 

 
L'oncle ou le père de ces deux jeunes filles mineures, agacé des déviances des filles, lui-même policier, décide avec la complicité d'un agent de la police dudit commissariat, un proche, de les ''grimacer'' comme on le dit vulgairement ici. L'objectif était de les garder une nuit au commissariat pour les discipliner. Agées de 15 à 16 ans, l'une porte le nom de DABIRA, les filles passent la nuit au commissariat sous la surveillance du proche de leur père. 
 
 

Le matin, une nouvelle équipe arrive avec pour consigne de libérer les deux jeunes filles le matin, parce que le père devrait arriver incessamment. 
 
Le lieutenant dont nous n'avons pu identifier nommément, proche du Général NDENGUET, instruit son subalterne de faire monter les filles à son bureau successivement. Ce qui fut fait. En réalité, les filles seront violées tour à tour par le Lieutenant responsable de la GRB, milice de NDENGUET. 
 
A l'arrivée du père des filles, une fois au domicile, les deux jeunes mineures vont dénoncer le viol dont elles ont été victimes. Ulcéré et encouragé par l'entourage, le père, neveu du Général DABIRA saisit la justice en la personne de madame NGUENONI née YOKA Stella Michelle, la fille du Ministre YOKA Emmanuel. En sa qualité de Procureur Adjoint, madame NGUENONI née YOKA Stella Michelle scandalisée interpella le Lieutenant violeur et le mis en détention. Alerté, comme à son habitude, NDENGUET Jean-François téléphona au Procureur pour lui demander de ne pas ébruiter cette affaire, parce que trop sensible. Madame la Procureure se retrouva quelques heures après au domicile de NDENGUET qui lui suggéra un scénario digne d'Hollywood. Selon NDENGUET, ces deux viols seraient une machination : il avance l'hypothèse de conflits entre deux officiers. Pas du tout convaincue et remontée, madame la Procureure a décidé de garder le Lieutenant en détention. Le bras de fer est engagé. Bras de fer amplifié depuis le retour du Général DABIRA de ses vacances lorsqu'il a appris le forfait. Il est de notoriété publique que SASSOU, OKEMBA et NDENGUET sont remontés contre DABIRA depuis son interpellation et sa mise en examen à Paris dans le cadre de l'affaire des ''Disparus du Beach''. Ils sont convaincus que DABIRA s'est ''mis à table'' et révélé les acteurs véritables de ce crime d'Etat, crime contre l'humanité. 
 
Ces viols perpétrés contre les deux jeunes filles liées à la famille du Général Norbert DABIRA peuvent avoir un lien avec le vol perpétré chez le journaliste de la chaîne ESTV Alain SHUNGU, chaîne privée du sulfureux Didier ELONGO proche de Jean Jacques BOUYA. Pour mémoire, Alain SHUNGU, correspondant de la chaîne RFI pendant la guerre de 1997 était très proche du pouvoir de Brazzaville et du DGPN Jean François NDENGUET. Originaire de la RDC, il a suivi avec son défunt ami MOKABI DAWA l'affaire des disparus du Beach. Le vol à son domicile des matériels HI FI et de son ordinateur ne serait-il pas lié à l'affaire des disparus du Beach ? NDENGUET se serait t-il lancé dans des expéditions punitives et d'intimidations (Sadio Kanté, Elie Smith), aujourd'hui le Général Norbert DABIRA et Alain SHUNGU ? (Affaire à suivre) ". 

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14 octobre 2014 2 14 /10 /octobre /2014 19:19

ChloePetiteEtSonDefuntPapa.jpgL'affaire Eugène Boussoukou s'achève avec un jour d'avance contrairement à ce que la cour d'assises de Lyon nous avait annoncé, les témoignages des parties civiles, les plaidoieries des avocats de celles-ci et de la défense s'étant achevées plus tôt que prévues. Parmi les parties civiles, on distingue : le père et la soeur du défunt Joseph et Georgette Boussoukou qui n'ont pas pu faire le voyage le premier à cause de son âge avancé 84 ans, la seconde, faute de visa, représentés par deux avocats pris en charge par l'Etat congolais que nous remercions au passage, deux avocats qui ont produit des plaidoieries de qualité, la fille du défunt encore mineure représentée par son avocate et l'oncle maternel du défunt monsieur Ibouanga Tombet.

ChloéUnpeuGrandeEtSonDéfuntPapaLa petite Chloé, qui passe son bac à quinze ans et demi, a interpellé avec dignité le meurtrier de son père en lui demandant de repartir chez elle à Narbonne avec la vérité car rien ne saura plus remplacer son père. Elle a même eu la grandeur d'âme de pardonner au meurtrier de ce dernier qui avait sollicité des excuses - alors qu'il avait repris tranquillement le cours de sa vie après un assassinat crapuleux commis de sang froid - sans que la victime ait la moindre possibilité de se défendre. L'oncle maternel a quant à lui demandé le respect de la mémoire du défunt, la vérité et l'arme du crime. Hélas, monsieur Aram Kachaturian n'a pas pu donner plus de réponses pour éclairer les zones d'ombre de ce dossier, sa parole prévalant seule face au silence éternel du mort quand bien même certains faits parlaient pour lui.

Nous avons été déçus que le meurtrier ne s'en tire qu'avec quinze ans de réclusion criminelle assortis de l'obligation de quitter le territoire français après la peine. Encore faille-t-il qu'il ne se perde pas dans la nature à sa sortie de prison ; l'homme a un frère et une soeur en France. Monsieur Aram Kachaturian a dix jours pour faire appel.

Le procès au civil qui a suivi se termine avec une indemnisation des parties civiles dont nous ne révélons pas les montants pour des raisons de discrétion, ces sommes ne remplaçant pas une vie ou n'en étant pas l'équivalent - surtout que la partie adverse a encore quelques jours (dix) pour faire appel. Pour ceux qui voudront en savoir un peu plus sur cette sordide affaire au cours de laquelle la générosité est récompensée par des coups de couteau assassins, prière de lire l'article en dessous écrit hier.

Il a été difficile d'établir la préméditation malgré le crime avéré ; dans ces conditions, il était difficile de demander la réclusion criminelle à perpétuité sans oublier que l'arme du crime n'a pas été retrouvée et qu'il n'a pas été établi en dépit des informations contenues dans le dossier que monsieur Aram Kachaturian avait passé plusieurs nuits auprès du défunt. Face à une stratégie du silence de la part de l'accusé lorsqu'on lui posait des questions pointues, il n'a pas été facile d'établir certains faits. Cette affaire aurait pu être mieux élucidée si tous les témoins avaient comparu. Le meurtrier s'en tire plutôt bien puisque les jurés suivent les réquisitions de l'avocate générale en ne le condamnant qu'à quinze ans de réclusion criminelle.

Chloé 2014 OctobreCette histoire tragique ressemble à un film policier imaginé par un scénariste de talent : il s'agit d'une affaire qui a été vite bouclée suite aux aveux de monsieur Kachaturian, un parfait inconnu qui répond à la générosité d'un homme qui connaissait les difficultés de la condition d'immigré - parce que lui-même issu de l'immigration - par des coups de couteau assassins. Il suffit d'une mauvaise rencontre, un jour, un soir, pour perdre la vie et réduire à néant tous les projets d'un homme qui laisse deux enfants Cédric et Chloé. Tout serait parti d'un inconnu qui aurait demandé à quelqu'un d'autre une simple cigarette. C'est une histoire invraisemblable. On aurait pu intituler ce film : " LA GENEROSITE ASSASSINEE ".

L'association DCB (Diaspora Congo-Brazzaville) était représentée par une de ses membres qui se reconnaîtra.

Nous voyons l'aboutissement d'une affaire qui a débuté en février 2013 apr une disparition. Nous avons apporté en notre qualité de citoyen congolais notre concours pour que le meurtrier soit condamné. Que notre frère Eugène Boussoukou que j'aurai pu ne pas connaître mais que la destinée voulait que je rencontre repose en paix. Aram Kachaturian pourra réfléchir sur son crime pendant des années en prison. S'il est expulsé en direction de la Russie, Dieu seul sait ce qui l'attend là-bas...


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13 octobre 2014 1 13 /10 /octobre /2014 20:06

EugèneBoussoukouCourtLe procès aux Assises du défunt compatriote Eugène Boussoukou dont j'ai reçu la fille Chloé et l'oncle paternel chez moi a débuté aujourd'hui à la cour d'appel de Lyon dans le vieux Lyon, près de Fourvière.

La défense de la victime était représenté par trois avocats ; celle du prévenu par une avocate apparemment d'origine arménienne comme le prévenu.

La première journée a consisté à désigner les six jurés et leurs deux suppléants, à entendre les experts et les représentants de la force publique pour ensuite procéder à l'interrogation de monsieur Aram Kachaturian qui a reconnu le meurtre confondu par son ADN et ses documents retrouvés rue Antoine Charrial à Villeurbanne chez le défunt.

Parmi les experts on notera un psychiatre qui a dépeint le profil du meurtrier que nous nommons ainsi puisqu'il a reconnu les faits, le médecin légiste, un commandant et un capitaine de police. Pour le psychiatre, monsieur Aram Kachaturian ne présente pas de troubles psychotiques mais probablement des problèmes d'alcool. A ce propos, monsieur Kachaturian avouera à la fin qu'il avait bu une moitié de bouteille de vodka avant de rencontrer le défunt - alors qu'au départ, il ne faisait état que de quelques bières...

Le prévenu présente un visage dur, une tête rasé à la manière des soldats, des yeux vitreux creux noirs de tueur qui ne laissent transpirer aucun regret - même si peut-être sous le conseil de son avocat, il fera  mine de s'excuser à la fin de l'audience de la première journée, une bouche aux lèvres fines de parfait Al Capone, un menton carré dur de véritable coriace, une poitrine qui semble dénoter la pratique d'un sport (monsieur Kachaturian affirmera pratiquer la gymnastique...), le tout donnant l'aspect d'un homme cruel. 

Ce procès est prévu jusqu'à mercredi prochain. Demain, nous aurons le témoignage de la fille du défunt Chloé, de son oncle maternel ainsi que les plaidoieries de l'avocate générale et des avocats de la défense.

Sur le prévenu : il a d'abord prétendu être né le 13 février 1974 mais confondu par un dossier envoyé par la police russe comportant des photos de lui à plusieurs âges, il admettra être né le 13 février 1980. Ce sera le premier mensonge mais non le dernier car toute la journée a été émaillé de contradictions poussant son avocate à anticiper une plaidoierie de fortune. Ensuite, il prétend être Arménien de Bakou en Azerbaïdjan et parlerait trois langues : l'arménien, l'azéri et le russe. Les informations fournies par la police russe à Interpol indiquent qu'il s'agit d'un homme qui a été poursuivi en Russie pour meurtre, vol, viol, banditisme, hooliganisme. Aurait-il fui la Russie pour éviter des poursuites pénales ? Nous ne le saurons peut-être jamais. Chose curieuse, au procès, il ne s'exprime qu'en russe avec une traductrice - alors qu'il semble comprendre le français et avoue en parler un tout petit peu. Quant à la langue au travers de laquelle il communiquait avec le défunt, il prétend qu'ils utilisaient l'anglais et quelques signes explicites. La petite Chloé est formelle : son père ne connaissait pas l'anglais. Cet homme qu'on prétend peu éduqué semble pourtant très instruit avec une certaine connaissance des techniques de combat. Le fait que l'on ignore tout de sa profession ouvre la piste de nombreuses supputations...

Il prétend avoir rencontré le défunt Eugène Boussoukou au début du mois de février en lui demandant une cigarette, le défunt lui aurait alors proposé de prendre un verre dans un bar dans lequel une dame accompagnée d'un Blanc les aurait croisés avant que la situation ne dégénère les poussant à quitter les lieux pour se rendre au domicile de feu Eugène Boussoukou. Sans domicile fixe, il aurait passé une nuit chez monsieur Boussoukou avant d'être menacé avec un couteau par le défunt qui avait 2.14 gramme d'alcool par litre de sang. Il a prétendu avoir arraché le couteau des mains d'Eugène avant de l'égorger, l'aurait vu perdre tout son sang pour le couvrir ensuite d'une couette pour finalement sortir de l'appartement oubliant ses documents de demandeur d'asile et sa carte TECELY de transport en commun lyonnais.

La déposition du médecin légiste sera riche en enseignements : La mort du défunt remonterait au 5 ou au 6 février 2013 tandis que le corps ne sera retrouvé par la police que le 10 mars 2013 ; or comme le fera noter un des avocats du défunt, Aram Kachaturian n'a pas cherché de logement social pendant quelques jours au début du mois de février - alors qu'il ne dérogeait pas à la règle depuis le mois de décembre 2012. Aram Kachaturian sera arrêté le 15 mars 2013.

Monsieur Kachaturian a égorgé le défunt en l'immobilisant par derrière avant de dégager sa gorge qu'il a tranchée de trois coups de couteaux sadiques, risquant même de faire tomber la tête tellement il s'était appliqué avec force brisant les cervicaux. Les coups horizontaux révèlent qu'ils ont été portés par un droitier - alors que monsieur Kachaturian rétorque qu'il les aurait portés de face - ce que le médecin légiste a réfuté. En tout, on a dénombré huit plaies et sept coups de couteaux, les quatre autres s'expliquant par la résistance qu'opposait le défunt pour ne pas se faire trancher la gorge et qui l'auraient atteint à la tête et dont l'un aurait même percé son oreille gauche. L'objet du crime n'a par ailleurs pas été trouvé car il serait étonnant qu'un simple petit couteau de cuisine fasse tant de dégâts. Le médecin légiste indique que le défunt ne présentait aucune blessure de défense aux mains ou aux bras - c'est-à-dire qu'il n'a même pas eu le temps de se défendre. Il est même à se demander s'il y a vraiment eu bagarre vu que le défunt était assez éméché.

Son avocate essaie de porter deux types d'arguments : des arguments de nature traumatique et l'absence de préméditation. Le traumatisme viendrait de l'assassinat de son père, de la mort de sa mère et de la violence subie par une soeur, aucun de ces faits n'étant étayés par aucune preuve matérielle : il est courant qu'un demandeur d'asile invente des faits pour rendre sa déposition plus crédible. En effet, toutes les déclarations de monsieur Kachaturian ne demandent qu'à être crues sur parole. Le psychiatre a noté des problèmes d'alcool qui ont d'ailleurs provoqué une cirrhose du foie chez monsieur Aram Kachaturian.

Des questions ont été posées auxquelles monsieur Kachaturian n'a pas vraiment donné de réponse : il prétend que le défunt était allé prendre un couteau à la cuisine. Pourquoi n'est-il pas tout simplement sorti puisque la porte n'était pas fermée à clef ? Comment le défunt pouvait-il porter une veste à l'envers ? Pourquoi a-t-on retrouvé ses documents sous le fauteuil comme s'il les avait dissimulés ? Pourquoi sa carte TECELY était-elle au-dessus de la porte ? Où a-t-il pris la couette pour couvrir le corps du défunt s'il ne connaissait pas l'appartenant puisqu'il prétend n'y avoir passé qu'une nuit ? Il prétend ne pas avoir prémédité la mort du défunt, alors pourquoi tant de violence après l'avoir prétendument désarmé ? Comment a-t-on retrouvé son adn sur une fourchette dans l'évier alors qu'il n'avait passsé qu'une nuit, les assiettes du repas de la veille se trouvant au salon sur la table basse et qu'il prétend avoir lavé le couteau du crime avant de le ranger ? Le juge lui a demandé : " Pourquoi ne vous êtes-vous pas rendu à la police après ce meurtre ? " Il a répondu par : "Je ne sais pas" à plusieurs reprises...

Demain s'annonce une autre journée éprouvante car même si au départ le prévenu n'était pas entré avec l'intention de tuer Eugène Boussoukou, on peut dire qu'en le mettant à la porte Eugène avait réveillé en lui l'instinct du tueur, peut-être de l'homme de guerre qui n'a aucun scrupule à ôter une vie innocente de sang froid...

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