COMMENTAIRE : Le Général résistant OLUMA NIAMA revient à la charge concernant la mégestion de l'hôpital des armées de Pointe-Noire et la suspension de son ancien Directeur des Affaires Financières (DAF) aujourd'hui, semble-t-il limogé - selon la rumeur. Il apporte des précisions qui complètent son précédent article. C'est un homme du sérail qui en assez de voir encore et encore les conséquences de l'ethnodiscrimination faire du mal - même aux hôpitaux militaires. Il exige qu'Oko Ngakala s'autosaisisse de cette affaire de détournements des finances de l'hôpital des armées de Pointe-Noire.
Bien que le commandant de la zone de Pointe-Noire ait limogé la brebis galeuse, le réseau mafieux au sein de l'armée ethnisée continuera à sévir.
La preuve des détournements selon le général résistant OLUMA NIAMA se trouve dans l'accumulation des biens mobiliers et immobiliers ainsi que dans le nombre de concubines de nos malfrats. A défaut d'une justice civile, le Général résistant en appelle dans cette affaire grave à un tribunal militaire.
NE NKOSSI ZA MAKANDA,
LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB'
MBUTA MUNTU
" Bonjour, mon parent. Je reviens vers vous pour "dépecer" et mettre à nu les mafias tribales dans les Fac du pouvoir.
Après la suspension ad hoc de l'ancien DAF (fusible de son chef à l'Hôpital) par le commandant de zone de Pointe-Noire, le sadique général Ollesongo, neveu de Sassou nguesso, la rumeur dans la troupe veut nous faire croire à la justesse de ses décisions en destituant enfin l'impétueux, arrogant et voleur colonel - directeur de l'hôpital régional des armées de Pointe-Noire. Une note officielle suivra.
Tout ça c'est de la poudre aux yeux ; même s'il s'en va demain, la justice doit rattraper tous ces ripoux en tenue militaire. C'est un vrai voleur. Et tout Pointe-Noire le sait.
Regardez, comment pourra-t-il justifier sa luxueuse villa étage avec son salaire depuis qu'il est directeur ?
Où trouve-t-il l'argent pour gérer les femmes et maîtresses, sans oublier sa cohorte d'enfants dont certains à l'étranger ?
Si le Daf est puni pour ses mauvaises pratiques administratives, alors son chef doit être solidaire avec lui, non ?
Et si ces détournements sont avérés, alors à quand le temps de la justice pour tous les voleurs ?
Il ne suffit pas d'être relevé de son poste pour être en paix ; c'était de l'argent public, donc Oko Ngakala au nom de l'Etat doit s'autosaisir de ce genre de dossier dans l'armée, au mieux un procureur militaire doit s'en saisir.
Ces milieux militaires sont dans des mafias graves. Exigeons la justice surtout dans les Fac où les parents du "coin" ethnique restent encore les premiers choix dans les nominations au poste.
Regardez seulement qui succèdera au voleur et impuni directeur de HRA à Pointe-Noire, bien que dans cet hôpital d'autres médecins spécialistes, colonels et anciens dans le métier, peuvent aussi être nommés mais, comme on dit : ce n'est pas leur tour.
Dans les Fac, on peut détourner l'argent public sans soucis. Si vous êtes repéré, vous ne risquez que votre poste. Pas de justice car tous le système se protège en bloc. De peur d'ouvrir une faille.
Leur chef, le Général Ibata, lui-même n'est pas aussi propre dans tout ça ; il préfère placer ses hommes de main pour mieux couvrir les combines du passé et s'assurer un quotidien paisible. Voilà "les combines" dans les Fac à Pointe-Noire".
Défions les courageux d'aller sur le terrain vérifier tout ce qui est dit.
Demandez qu'on vous présente sa villa de Loandjili en étage (vérifiez cela à travers les chauffeurs de taxis à Pointe-Noire) et faites vos calculs par rapport à ses revenus officiels, moins les dépenses déclarées, vous comprendriez tout ce qui est caché.
Regardez bien aussi son probable remplaçant : il portera la marque frontale du réseau tribal et des pratiques d'enrichissement rapide.
Voilà les nouvelles à rendre publiques maintenant dans l'intérêt de la bonne gouvernance et au nom de la cohésion nationale pour le Congo de demain car le tribalisme d'Etat actuel continue sa marche solitaire vers le chaos collectif, malheureusement.
Nota Bene : toujours dans les échos des nominations dans les rangs des fac : Normalement dans les hôpitaux militaires, ne peut devenir médecin-chef, directeur de l'hôpital, qu'un médecin officier supérieur, spécialiste (donc possédant un doctorat de médecine + 4/5 ans d'expérience en tant que spécialiste). Et s'ils sont à plusieurs dans le même hôpital, l'ancienneté au grade ou d'autres critères administratifs peuvent peser dans le choix retenu.
Mais là déjà, le choix qui circule ne remplirait pas ces critères, sauf " l'avantage d'être de la tribu-Etat " et proche des cercles du pouvoir. A quand une répartition géographique rotative des postes dans l'armée ?
C'est comme-ci il n'y a pas d'autres cadres capables de faire leurs preuves .
On veut que de l'Hôpital central des armées de Brazzaville, à l'HRA de Pointe-Noire et toutes les infirmeries des FAC au Congo, qu'on arrête le partage tribal des fonctions de commandement s'ils sont vraiment dans l'unité nationale car vraiment partout il n'y a que la même tribu. DÉNONÇONS haut et fort, et traduisons en justice cette pègre en uniforme.
A bientôt. "
Général résistant, Oluma Niama