LE MAL DU CONGO,
C'EST DENIS SASSOU NGUESSO, UN HOMME SOUS INFLUENCE, COUPABLE DE HAUTE TRAHISON POUR BRADAGE DES RESSOURCES DU PAYS A DES PUISSANCES ETRANGERES, DETOURNEMENTS, MEURTRES, VIOLATIONS DES
LIBERTES. NOUS N'AVONS PAS LE CHOIX DE COMBATTRE L'INJUSTICE, JUSTE CELUI DES ARMES ET NOUS N'AVONS QUE DES MOTS ET UNE PLUME CONTRE LA PUISSANCE D'UN ETAT CRIMINEL, ILLEGITIME, VASSAL DE LA
FRANCAFRIQUE...
Mouvimat IBOUANGA LOUNDOU, Le Lion de MAKANDA
Notre objectif : "construire un autre avenir qui regarde le peuple congolais en face pour l'émergence Demain
d'un Nouveau Congo-Brazzaville..."
Il semble que DIASPORA DU NORD soit une association loi 1901 déclarée en préfecture. Si tel est le cas, personne ne peut dire que les autorités qui ont inscrit cette atteinte à la cohésion de la république ne sont pas au courant de cette aberration. Que des individus incultes ignorent le sens du mot diaspora, c'est excusable mais qu'un gouvernement prétende à la même ignorance, qui trouverait cela crédible ? Personne. La préfecture, le ministère de l'intérieur voire l'ethnie-Etat cautionnent ce qui nous semble ici une division du pays en deux pays, du moins en deux États - sans que cela ne soit proclamé officiellement.
Denis Sassou Nguesso doit assumer publiquement s'il a divisé le pays en deux ou pas. Il faut juste que les choses soient actées sur le plan juridique comme l'est l'Association DIASPORA DU NORD. Si nos compatriotes du Nord ne se sentent pas l'âme de partager le même pays que nous - ce qui se voit par ailleurs dans la discrimination d'État que subissent les Congolais originaires du Sud, il faut que Denis Sassou Nguesso prenne son courage à deux mains pour assumer sa haine bestiale des Bakongos.
Comment peut-on prétendre que le Congo est une république UNE et INDIVISIBLE si les Congolais originaires du Nord sont au sud du Congo une DIASPORA, c'est-à-dire, des membres d'un autre pays ? Le Nord du Congo constitue-t-il un autre pays ? Quelle en est la frontière ? Quand a-t-il été créé ? Il faut que ce pays, cette république Nord Congo prenne le courage de se déclarer auprès de L'ONU.
Si Robert Poaty Pangou ou Modeste Boukadia avaient exhibé une pancarte DIASPORA SUD CONGO, nous sommes sûrs et certains que la soldatesque ethnisée du régime des crocodiles du PCTue allait leur tirer une balle entre les deux yeux.
Pour nous, c'est un fait. Le fait qu'il y ait des Congolais étrangers au Congo, notamment au Sud indique que les Nordistes ont déjà créé la république du Nord Congo mais que les Congolais du Sud sont maintenus dans l'ignorance.
Modeste Boukadia a été arrêté parce qu'il exigeait la scission du pays en deux États, l'un au Nord et l'autre au Sud. Voilà que des individus créent une association DIASPORA DU NORD sans encourir la moindre peine. Cette association DIASPORA DU NORD est une atteinte à l'indivisibilité de la république.
Qui peut encore croire en voyant cette image que la république est une et indivisible si des individus viennent publiquement révéler l'existence d'une autre république dans la république ? Le silence des membres du gouvernement ne peut qu'être assimilé à de la complicité. Nous appelons donc l'inamovible ministre de l'intérieur Raymond Zéphyrin MBOULOU à prendre ses responsabilités. Nous savons que l'ethnie-Etat n'est là que pour garantir l'avenir des Mbochis. Cependant, il va falloir assumer : ou le régime actuel a divisé le Congo en deux États ou non.
Si le ministre Raymond Zéphyrin MBOULOU ne dissout pas L'ASSOCIATION DIASPORA DU NORD, nous tirerons une seule conclusion : Denis Sassou Nguesso a d'ores et déjà divisé le Congo en deux pays. Cette affaire sera passible d'être traînée devant les tribunaux internationaux et l'ONU. Ceux qui prendraient l'existence de cette association DIASPORA DU NORD à la légère ont perdu le neurone de détection des problèmes graves.
A l'occasion de son séjour à Pointe-Noire où il est allé inaugurer je ne sais quoi, comme d'habitude, Denis Sassou Nguesso, notre gangster en chef de son ethnie-Etat, s'est arrangé pour se faire recevoir par une foule acquise à sa cause, il y a quelques jours.
Parmi les fanatiques venus l'accueillir, une banderole déployée par des individus a indigné de nombreux compatriotes. Regardez attentivement l'image de cet article. C'est une image qui dit tout, une image qui indique que dans les esprits de nos compatriotes du Nord, ils ont leur propre CONGO, celui qui consacre leur avenir, l'avenir des Mbochis.
"DIASPORA DU NORD". C'est une expression qui ne peut avoir été choisie au hasard : ces Congolais sont à l'étranger chez eux ! Ils auraient pu écrire : "ORIGINAIRES du NORD", ce qui est déjà du communautarisme mais qu'on pourrait comprendre dans un contexte politique.
Pour ceux de nos compatriotes qui peuvent ne pas saisir l'importance de cet article, qu'ils cherchent la définition du mot diaspora. Ils se rendront compte qu'une diaspora est l'ensemble des citoyens d'un pays qui vivent à l'étranger.
Donc voir des Congolais originaires du Nord avec une banderole qui porte la mention "DIASPORA DU NORD" - alors qu'ils sont à Pointe-Noire, capitale économique du Congo, juste pour recevoir le gangster en chef, Denis Sassou Nguesso, c'est grave. On ne me dira pas que le mot diaspora a été choisi au hasard. C'est vrai que cela peut venir de l'analphabétisme des concepteurs de la banderole mais on ne ne me dira pas que tous ces gens ne savent pas ce qu'est une diaspora ! Je comprends que nombreux soient indignés.
J'ai dit que Denis Sassou Nguesso a déjà préparé une scission du pays au point où les Nordistes sentent qu'ils ne font pas partie de la même république que les Congolais du Sud. En effet, si les Nordistes se présentent comme une diaspora, c'est qu'ils sont à l'étranger et non dans leur propre pays.
Sassou a tout préparé car la scission se passera après lui : une capitale du nord à Oyo qui est déjà la capitale implicite du Congo de Sassou, un aéroport, un grand hôpital, des entreprises, l'électricité avec Imboulou.
Denis Sassou Nguesso sait que les injustices qu'il a provoquées vont finir par dégénérer en guerre civile Nord-Sud. Son dernier coup de maître permettra de priver le sud du Congo de sa ressource principale, le pétrole, au travers d'un pipeline, déjà que la plus grande réserve de carburant du Congo se trouve au Nord du Congo.
C'est triste mais la scission a déjà été actée non pas juste par les paroles de Boukadia mais par les ACTES TRÈS PARLANTS de Denis Sassou Nguesso. Cette banderole portant la mention DIASPORA DU NORD" est une atteinte à la cohésion de la république, la preuve de l'inexistence de la nation congolaise.
Quandvousapprenezqu'unhommeseul a fait fuir des membres de la pire des dictatures de ce monde, vous vous dites : " Et si on généralisait l'experience ? Nous tenons là peut-être une technique non violente pour vaincre ce régime !"
UN HOMME PRETENDANT ÊTRE ATTEINT DU CORONAVIRUS CHINOIS A FAIT FUIR LA FILLE DE SASSOU, MAIRE, ET TOUS SES SUBORDONNÉS. Par delà la véracité ou le caractère infondée de cette information, nous avons ici l'illustration que notre CHTue pourrait laisser rentrer chez lui un malade atteint du coronavirus chinois. Des hommes politiques irresponsables. Il ne manquait plus que des hôpitaux irresponsables. Tout est bon pour qu'il ne reste plus que Sassou, sa famille, ses esclaves et ses amis au Congo.
La personne malade qui s'est retrouvée à la mairie ne s'est pas trompée de porte. Elle est allée demandée de l'aide. Et comme réponse, la fille de Sassou prend la fuite avec ses collaborateurs - au lieu d'appeler des médecins. C'est un comportement typique de cette famille royale : elle est prompte à piller les fonds publics mais dès qu'il s'agit de prendre en compte les problèmes du peuple, on prend la fuite.
Désormais, que les malades envahissent les mairies, les préfectures, les palais des nantis et tous les lieux de pouvoir. En effet, s'il suffit d'un malade pour faire fuir les agents d'une mairie, nous avons là une arme pour combattre ce système. Ne mourrez plus chez vous, chers compatriotes : allez mourir dans les mairies, ministères, palais, préfectures. Il vous suffit de dire que vous avez le coronavirus chinois ou EBOLA pour les voir prendre la fuite. Bien employée, la maladie peut devenir une arme de dévastation politique massive.
MALADES DE TOUT LE CONGO, DEVENEZ DES ARMES DE DESTRUCTION MASSIVE DES POLITICIENS EN LES FAISANT FUIR ! OCCUPEZ TOUS LES SYMBOLES DU POUVOIR EN PROCLAMANT QUE VOUS ÊTES ATTEINTS DU CORONAVIRUS OU D'EBOLA ! VOUS POURREZ RÉUSSIR À VAINCRE CETTE DICTATURE DE FAÇON PACIFIQUE !
MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,
LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB'
Un scientifique français a qualifié le comportement de l'"humanité" face au dysfonctionnement climatique, à la pollution et à l'épuisement des ressources, de "folie". Cette folie humaine, en fait, une folie cupide occidentale qui rapporte beaucoup de richesses, a un nom : le Modus Vivendi capitaliste qui se décline désormais en impérialisme car les Occidentaux ont forcé ou convaincu le monde entier que leur modèle économique et leur façon de vivre sont les seuls qui vaillent. Or, si toute la planète consommait les ressources à la vitesse et au gâchis de l'Occident et des grandes puissances, la ruine de la vie sur terre surviendrait en moins d'un quart de siècle.
Ceux qui détruisent la vie sur terre à cause de leur mode de vie sont aussi ceux qui sont les plus grands moralistes. C'est tout simplement indécent que ceux qui détruisent la planète à une vitesse effrénée soient aussi ceux qui prétendent apporter des solutions sans changer un iota dans leur mode de vie et ceux qui donnent des leçons de morale aux autres.
Celui qui parle dans cette vidéo doit nous dire s'il a renoncé à sa voiture, à sa façon de consommer. Critiquer la dévastation industrielle ne suffit pas : c'est sortir du mode de vie occidental qui compte. Celui qui a une voiture, celui qui mange du Nutella participe à la destruction de la planète. La cupidité des uns ne vaut que par la gourmandise des autres qui est souvent du gaspillage. Le profit est la cause principale de la destruction de ce monde. Or, profit et consommation sont liés. Il suffit de réduire la consommation des pays industrialisés de 50% pendant dix ans pour sauver la planète.
Il faut changer de paradigme économique pour sauver la planète. Or, les Occidentaux disent ouvertement qu'ils ne peuvent pas changer leur mode de vie. Moi, les beaux discours enflammés de ces gens-là qui le soir vont boire du chocolat, manger du steak assis dans un meuble en iroko, j'en rigole...
On ne peut pas industrialiser à outrance sans polluer l'air, l'eau ou l'environnement et on ne fait pas de profit maximum sans épuiser à terme les ressources qu'on ne peut accroître indéfiniment, d'autant que la population mondiale augmente. Les fils des Ténèbres le savent. Ils ont une valeur d'ajustement : les "nègres" qui seront bientôt plusieurs milliards d'habitants...
Les politiciens parlent de sauver la planète mais ils n'en ont pas le pouvoir ni la volonté : le pouvoir, ce sont les industriels internationaux qui vont prendre les ressources ici et là qui l'ont, et ils n'en ont pas la volonté de changer le système car ils ont besoin de la TVA et de l'argent produit par la croissance qu'ils ne veulent pas arrêter, d'autant que les États ne peuvent plus utiliser la planche à billets. Les États des grandes puissances poussent les multinationales à faire plus de profits pour réduire le chômage et permettre à ces États de prélever taxes et impôts. Dans ces conditions, comment sauver la planète ou agir sur le climat ?
La théorie de la décroissance est ridicule car inapplicable dans le cadre de la propriété privée de l'entreprise et surtout au regard du mode de production capitaliste : aucune entreprise ne peut être viable si elle ne fait pas de bénéfices. Donc, ceux qui parlent de décroissance ou font semblant en parlant ainsi ou n'ont rien compris au but de l'entreprise. De toute façon, en Occident, peu de gens ont la possibilité de produire eux-mêmes leurs propres besoins pour se permettre de se passer du mode de production capitaliste. Une entreprise n'a pas de sens sans bénéfices. C'est un système qui vend tout ; il ne reste plus aux populations qu'à acheter et pour acheter, il faut travailler pour enrichir quelques individus...
La cupidité des créateurs d'entreprises ne permet pas d'envisager la décroissance. Alors, que va-t-il se passer ? Rien. Les choses vont se poursuivre. Il y aura des guerres pour l'eau, pour la nourriture et peut-être que le continent africain subira une nouvelle colonisation quand l'Europe ou l'Asie deviendra invivable ou quand certaines îles et des parties de certains pays seront sous l'eau. On peut redouter la réduction des populations kamites. Regarde ce qui se passe en Chine : il suffirait d'un virus, d'une arme bactériologique injectée aux Africains au travers d'un vaccin pour exterminer les BENA NTEMO.
Ces gens-là, ces BENA MPIMPA, n'ont pas d'âme, donc pas de pitié, pas de compassion, pas d'empathie pour ceux qu'ils prennent pour des animaux.
Quand on pousse l'analyse très loin, on se dit que nous sommes en danger. Déjà, les dysfonctionnements climatiques posent de nombreux problèmes. Personne n'a aidé les Mozambicains sous l'eau à cause d'une inondation - pendant que le monde entier, y compris un roi africain, a promis un milliard d'euros pour reconstruire Notre Dame de Paris.
Ils polluent, épuisent la planète et vous distrait chaque année avec des COP XX.
Où a-t-on déjà vu le criminel occuper la place du juge pour vous promettre la justice ? Ils ont les moyens d'imposer leur volonté. Nous pouvons marcher, manifester mais rien ne changera. Ils s'en fichent que le climat se dérègle, que l'air, l'eau et l'environnement soient pollués ou que les ressources de la planète s'épuisent. Ce qui compte, c'est le profit !
Qu'on arrête de parler de la visite de Tsaty Mabiala Pascal le petit à l'Union Européenne comme si c'était un grand événement. C'est juste de l'argent jeté par les fenêtres qui aurait pu permettre d'organiser le Congrès de L'UPADS qu'il redoute tant prétextant le manque de moyens.
Si l'Union Européenne a laissé Sassou gérer le Congo à sa guise dans le respect des intérêts des grandes puissances industrielles, pendant 23 ans, cette démarche menée par Tsaty Mabiala Pascal le petit est juste du tourisme politique, une occasion déguisée d'aller rendre visite à son épouse à Bruxelles aux frais de l'ethnie-État congolais.
S'il était pris au sérieux et considéré par l'ethnie-Etat, c'est avec le ndzokousaure lui-même qu'il aurait discuté directement. Le problème se pose au Congo mais c'est à l'étranger qu'il espère le résoudre ! Ça, pour une démarche farfelue !
Celui qui ne peut pas arracher un œuf à la poule va voir le coq. Cependant, quelle réponse peut lui réserver le père de l'oeuf ?
Son plan est déjà mauvais au point où il a été rejeté par le PCTue : il pousse Denis Sassou Nguesso à violer sa fausse constitution pendant deux ans en se maintenant au pouvoir en dehors du cadre légal comme il le fait avec L'UPADS - sans avoir le pouvoir de lui interdire de se présenter à la prochaine élection présidentielle. Cet opposant fonctionnaire d'État qui se maintient illégalement à la tête de L'UPADS n'est pas déjà lui-même crédible : son mandat à la tête de L'UPADS est terminé depuis longtemps. Qu'il organise d'abord le congrès de L'UPADS avant de faire des promenades de santé onéreuses pour rien.
L'Union Européenne ne fera rien. Il n'y aura pas d'ingérence dans les affaires congolaises qui marchent au profit des Européens qui pillent allègrement nos ressources. l'Occident ne regarde que ses propres intérêts. Cela, Tsaty Mabiala Pascal le petit le sait très bien...
Si les Européens ne voulaient plus de Sassou, on le saurait. A chaque fois que les puissances du monde combattent un État, vous pouvez y voir le signe que les choses ne sont pas gérées dans le pays dans leur intérêt. Ce n'est pas un hasard si Boko Haram s'arrête au Cameroun...
Monsieur 4% n'est pas sérieux ; il se sait vomi même dans son propre fief de Loudima par ses propres parents kugnis. Il espère habilement écarter Sassou Nguesso de la prochaine élection présidentielle pour espérer atteindre à son tour ... 8%. Pitoyable ! A voir ce qu'il fait au niveau de L'UPADS : dictature, détournement des fonds, tribalisme ou ethnisme, mensonges, trahison du professeur Lissouba Pascal le grand, conspiration contre le pays en sa qualité d'opposant fonctionnaire d'État, Tsaty Mabiala Pascal le est pire que monsieur Denis Sassou Nguesso.
Oui, l'ombre d'un grand Pascal peut rendre invisible ou négligeable un petit Pascal. Une chose est sûre : Tsaty Mabiala a atteint l'apogée de sa carrière politique en sa qualité d'opposant fonctionnaire d'État, traître du pays qui lui a donné la vie. Jamais il ne sera président de la république. Même s'il léchait le derrière de tous les membres de l'Union Européenne...
Nous n'avons pas fini d'être surpris dans notre pays ! Le Congo a un homme qui possède le saint esprit au sein de son gouvernement - ce qui en fait un "saint". Nous publions ici une vidéo en lingala pour prouver ce que nous disons. Notre saint ministre le proclame ouvertement devant un journaliste. Il avoue même désobéir au ndzokousaure, le gangster en chef de l'État ! Que peut-il redouter si le Saint Esprit est avec lui ?
Nous reproduisons ici un texte que nous avons publié sur les réseaux sociaux pour montrer le côté ridicule de cette prétention :
"Écoutez le ministre "saint" Jean Bruno Itoua qui possède le saint esprit du caprice et de la frime. Le président l'envoie en mission, il refuse à la demande du saint esprit. Sa femme prépare son repas préféré, il ne mange pas parce que le saint esprit de la frime et du caprice le lui défend. Il veut porter un costume, le saint esprit du caprice lui dit non. Il veut recevoir quelqu'un, le saint esprit du caprice et de la frime qui boit le café avec le démon de la franc-maçonnerie lui dit de ne pas le recevoir. Maman Olangue a bien travaillé.
NOTEZ QUE LE SAINT ESPRIT DE "SAINT" JEAN BRUNO ITOUA NE SE GÊNE PAS DE SIÉGER AU CONSEIL DES MINISTRES AVEC TOUS LES DÉMONS DE SASSOU ET DES AUTRES MINISTRES ! N'est-ce pas étonnant ? Comment peut-il supporter toute cette impureté ? Tous ces péchés qui puent la mort de tout un peuple ? Le saint esprit de la frime et du caprice qui l'accompagne partout semble se plaire au milieu de la crasse morale !
Juste une question : monsieur saint Jean Bruno Itoua, quand tu voles dans les caisses de ton ministère pour t'acheter des montres onéreuses, écoutes-tu la voix de l'esprit de KALÛNGA qui te dit de ne pas détourner l'argent du pays ? L'Esprit Saint, le vrai, enseigne dans le sens de la morale et de la sainteté et non dans le caprice. NE PAS PORTER UN COSTUME OU REFUSER DE MANGER POUR UN HOMME QUI NE MEURT PAS DE FAIM EST UN CAPRICE ET NON LE FAIT DE L'ESPRIT DU VRAI CRÉATEUR. Cet esprit du caprice n'est pas le Saint Esprit de VÉRITÉ du VRAI CRÉATEUR qui n'est pas un dieu importé mais NZAMBI YA MPUNGU TULENDO KALÛNGA, de son nom complet.
Quand on est enchaîné par un faux dieu importé, des démons de la franc-maçonnerie, des esprits des Ténèbres des féticheurs ou des marabouts et l'esprit "saint" du mensonge de maman Olangue, on succombe à la séduction des voix imaginaires intérieures.
Dans les Évangiles de la Bible du dieu importé, les choses sont pourtant claires du point de vue du même saint esprit qui s'exprime par la bouche de Jésus : "Nul ne peut servir deux maîtres". Or, saint Jean Bruno Itoua sert Sassou à qui il désobéit pour servir son second maître, le saint esprit. Le ndzokousaure aurait pu prendre ombrage de cette rébellion mais il ne peut rien devant le saint esprit et d'après des rumeurs, saint Jean Bruno Itoua connaîtrait et agirait en secret pour le monstre de l'Alima, en sa qualité de neveu. De sang royal, possédant le saint esprit, saint Jean Bruno Itoua est assuré de rester dans le gouvernement, d'autant qu'il est le gardien de certains secrets du bourreau du peuple congolais.
Seuls des faibles en esprit peuvent être séduits par ce genre de prédication dictée par l'orgueil. CECI EST LA RÉPONSE DE L'ESPRIT DU MAKEDIKA."
VOUS AVEZ SEMÉ LE MENSONGE. NOUS VOUS FERONS RÉCOLTER LA VÉRITÉ...
Pressentant que l'Afrique en général et le Congo en particulier étaient mal préparés à la pandémie annoncée du CORONAVIRUS chinois, j'ai interpellé une première fois madame Jacqueline Lydia MIKOLO en me disant qu'une dame qui est incapable de gérer ne serait-ce que le CH-TUE de Brazzaville en sa qualité de ministre de la santé, n'a pas les épaules assez larges pour gérer une pandémie comme celle du CORONAVIRUS chinois s'il sévissait au milieu de notre peuple. Dans cette affaire de bricolage au quotidien, Jacqueline Lydia MIKOLO n'est pas seule en lice : c'est une incompétence d'équipe, une incompétence gouvernementale, une incompétence d'État doublée d'un mépris de notre peuple. Ce qui peut se comprendre dans un pays où le gangster en chef a transformé son ethnie en ethnie-Etat où seul compte comme l'avait dit le Général Nianga Mbouala Ngatse "L'AVENIR DES MBOCHIS".
On peut donc à juste titre redouter l'apparition du CORONAVIRUS chinois sur le sol congolais. Pour comparaison, on voit les Congolais se débattre seuls face au Chikungunya introduit au Congo au travers des vaches importées par le ndzokousaure. Le moustique tigre a voyagé caché dans les poils des vaches. Il a survécu pendant la durée du voyage en suçant le sang des bovins et, au port de Pointe-Noire, le moustique a quitté les vaches pour le sang plus abondant des Congolais, d'autant que les conditions de reproduction du diptère étaient favorables en zone tropicale.
Ce que je redoutais a déjà commencé à se produire en Afrique. Le CORONAVIRUS chinois a été diagnostiqué sur le sol africain. Qu'il se manifeste au Congo, un pays aux frontières poreuses n'est qu'une question de temps. Madame Jacqueline Lydia MIKOLO n'a pas les compétences requises pour gérer et juguler pareille calamité.
La problématique est simple à comprendre pour un scientifique comme moi : y a-t-il un lien entre le foyer de l'épidémie et le Congo ? Pour simplifier : y a-t-il des Congolais à Wuhan ou des Chinois se déplaçant entre Wuhan et la Chine ou des personnes quelconques se déplaçant entre Wuhan et le Congo qui y séjournent ou qui y ont séjourné récemment ? Il faut pas oublier que le CORONAVIRUS chinois a une période d'incubation. Une personne peut entrer au Congo apparemment en bonne santé et développer la maladie sur place.
La logique indique qu'il faut aussi prendre en compte que des Chinois ou des personnes ayant séjourné à Wuhan peuvent entrer au Congo par les frontières de la RDC ou celles d'un pays voisin. Avec mon imagination fertile, je peux même imaginer qu'une personne lambda ayant séjourné en Chine porteur sain de maladie peut atterrir au Congo de n'importe où. Ça, c'est pour la dynamique du virus qui est aussi celle des migrations humaines puisque le virus voyage dans l'homme.
La question fondamentale est donc celle-ci : quelles sont les précautions que prend le gouvernement congolais par rapport à cette pandémie ? Le CORONAVIRUS chinois (on doit insister sur le fait qu'il ait son foyer en Chine et non en Afrique) voyage enfoui dans l'homme. On aurait tort de croire qu'il s'arrêtera en Côte d'Ivoire ou à l'île Maurice. Nous avons déjà demandé aux ministères concernés par cette affaire de se regrouper autour de madame Jacqueline Lydia MIKOLO pour préparer rapidement un plan de prévention et de lutte contre le CORONAVIRUS chinois. Cette affaire concerne le ministère de l'intérieur, le ministère du tourisme, le ministère des affaires étrangères, le ministère de la santé et d'autres ministères comme celui du commerce ou de l'industrie.
Il va falloir par exemple dire aux Chinois qui veulent quitter le Congo pour la Chine qu'ils ne pourront pas revenir au Congo avant la fin de cette histoire, qu'ils aillent à Wuhan ou pas. On devrait faire attention aux passeports des voyageurs pour déceler ceux qui se sont récemment rendus en Chine pour des raisons de vigilance.
Autant vous dire que je ne crois pas que madame Jacqueline Lydia MIKOLO soit à la hauteur de la tâche, déjà que tout le gouvernement du Congo croule sous des tonnes d'incompétences...
MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,
LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB'
Un dangereux virus nommé CORONAVIRUS est apparu en Chine probablement issu de la volaille, un virus dont la contamination ne se faisait que d'animal à l'homme mais qui désormais passe d'homme à homme.
Peut-être répond-il à la politique de réduction de la population mondiale des maîtres du monde qui sont tous des satanistes.
Tous les pays du monde en parlent et prennent des précautions pour protéger leurs populations. Au Congo, nous ne voyons rien se mettre en place. Nous estimons que madame Lydie MIKOLO, en sa qualité de ministre de la santé doit prendre des décisions importantes. Or, elle n'est même pas capable de mettre en place une campagne d'information des Congolais.
Un important trafic aérien existe entre la Chine et le Congo. Des Chinois et des Congolais vont et viennent entre les deux pays. Ce qui nécessite que des précautions soient prises pour éviter que le CORONAVIRUS ne se retrouve au Congo.
Nous savons que côté immigration, le Congo est une passoire, des étrangers possédant même illégalement le passeport diplomatique de notre pays !
Si le ministère de l'intérieur est incapable de gérer efficacement les flux d'entrées et de sorties, vous pouvez imaginer les dangers encourus par nos compatriotes.
Certes, pour le moment, les Chinois imposent une quarantaine à tous ceux qui vivent ou sont entrés dans les villes concernées par le CORONAVIRUS mais les hommes peuvent toujours trouver le moyen de sortir car il ne s'agit pas de prisons hermétiques ! Le Congo risque de se retrouver tôt ou tard devant ce dangereux virus qui n'aura aucun mal à se propager au milieu des populations.
Pour l'instant, nous ne voyons même pas les autorités donner des consignes alimentaires à notre peuple. Il faut craindre que le poulet aux hormones devienne demain le poulet chinois au CORONAVIRUS - puisque le gangster en chef au sommet de l'État avoue qu'il ignore d'où provient le poulet que les populations qu'il domine consomme. Peut-être le sait-il mais, battant campagne publicitaire pour le bœuf périmé et avarié qu'il vend aux populations de Brazzaville, il est obligé de feindre l'ignorance.
Ministère des affaires étrangères, ministère de l'intérieur, ministère de la santé, ministère du commerce, ministère du tourisme sont tous concernés par cette affaire. Cependant, au pays de l'incompétence triomphante, nous craignons que rien ne soit fait pour sécuriser la vie des Congolais. La dictature des crocodiles du PCTue ne sait pas faire de la prévention. Elle gère le pays en pratiquant un bricolage quotidien.
Nous demandons à madame Lydie MIKOLO, ministre de la santé et ministre de je ne sais plus quoi de prendre des dispositions afin d'éviter l'apparition du CORONAVIRUS dans notre pays. Les vols entre le Congo et la Chine doivent être suspendus. Le ministre de l'intérieur doit faire son travail. L'importation du poulet chinois doit être interdite. Les Chinois revenus récemment de Chine doivent être confinés.
Pour compléter cet article, j'ajoute un texte que j'ai publié sur les réseaux sociaux :
" N'deng Li Ntumpu, c'est le cas de le dire. La Chine risque même d'écouler ses poulets malades chez nous. Il faut que la ministre de la santé fasse son boulot pour une fois - en synergie avec le ministère du commerce, du tourisme, des affaires étrangères et de l'intérieur !
Quelles précautions sont prises par notre pays pour prévenir cette menace gravissime ? Aucune. A-t-on à l'aéroport des appareils de détection de température ? Pouvons-nous contrôler le trafic aérien entre la Chine et le Congo ?
Sassou qui vend aux Congolais du mauvais boeuf périmé sous emballage plastique en faisant croire qu'il vient d'Oyo - alors qu'il vient du Brésil n'a rien à secouer si le CORONAVIRUS provoquait une hécatombe dans notre pays. Regardez sa réaction à l'égard des sinistrés climatiques : il ne fait absolument rien !
Le Congo échoue en matière politique pour une seule raison : en politique, tout dépend de la qualité des hommes, de leur moralité, de l'amour qu'ils ont pour le pays et de leurs compétences. Nous avons hélas la malchance d'avoirs au pouvoir la portion congrue la plus mauvaise de notre pays car ce sont des barbarosaures d'un primitivisme absolu. Avec Denis Sassou Nguesso et son clan, ne vous attendez pas à voir le Congo progresser sur l'échelle du développement. Cette racaille politique qui nous tient en otages ne peut qu'entraîner la perte de notre pays.
Le choix des hommes cooptés a pour bases deux critères : être docile et plus idiot que le gangster en chef au sommet de l'ethnie-Etat. Denis Sassou Nguesso ne peut accepter au sein de son gouvernement un homme plus intègre ou plus intelligent que lui. Il doit être le plus puissant, le plus intelligent de son gouvernement, le plus riche, celui qui a plus d'enfants, plus de vaches, plus de féticheurs, plus de femmes, etc. Dans ce contexte, comment voulez-vous que le Congo avance, que le sort des Congolais s'améliore ? "
MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,
LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB'
Nous l'avons tous remarqué : cela fait des semaines qu'un groupuscule d'amis se réunit sur la place de Paris pour évoquer la question de la transition, chacun y allant de sa petite vidéo sur les réseaux sociaux. Depuis que je suis cette causerie transitionnelle, un certain ingénieur-architecte à la retraite est le premier orateur sérieux qui vient de s'exprimer. Il a pris la mesure du problème en prédisant sa difficulté : en effet, la transition ne sera pas aussi simple à mettre en place qu'une causerie du dimanche autour d'une bière.
Ceux qui me lisent savent que je me suis insurgé contre la tentative de copier l'optique sud-africaine de "vérité et réconciliation", en y ajoutant la justice de sorte qu'on parle de "VÉRITÉ, JUSTICE ET RÉCONCILIATION" car on ne peut réconcilier le bourreau et la victime qu'au travers de la justice.
On oublie de dire qu'il y a en face un système judiciaire ETHNIQUE qui ne s'effacera pas de gaieté de cœur d'autant qu'il est protégé par une milice-force publique ETHNIQUE ! Il faudra un nettoyage transitionnel préalable.
De toute façon, ce qui est regrettable dans ces causeries transitionnelles du dimanche qui doivent satisfaire l'envie de pérorer des uns et des autres, c'est la légèreté avec laquelle on vient exposer la question de la transition sur la place publique.
Godefroy Karanda a été au sein de la diaspora, l'un sinon le premier à évoquer la nécessité de la transition dans notre pays. Dans ces causeries du week-end autour de la question de la transition, on ne parle pas de lui pour de multiples raisons que j'ignore. Pourtant, il faut rendre hommage à monsieur Godefroy Karanda alias Ngankoula Mokondzi, pour avoir été le premier à penser qu'on n'éviterait pas une transition dans notre pays au point de créer une association dénommée : "CONSEIL NATIONAL DE TRANSITION" qui a un plan bien défini pour la transition - sans prendre l'orgueil de venir l'exposer sur la place publique comme si on voulait dévoiler à la dictature ethnocratique du pays ce que l'on ferait demain pour qu'elle prenne ses précautions. Partout, il s'observe que la stratégie voire la réflexion sur une éventuelle transition est toujours couverte du sceau du secret. Léger est celui qui vient dévoiler en public ce que l'on fera demain.
QUELLE EST CETTE ARMÉE QUI DÉVOILE SON PLAN À L'ENNEMI AVANT LA BATAILLE ? N'EST-CE PAS CE QU'IL CONVIENDRAIT D'APPELER UNE TRAHISON ?
Ah, cette intelligentsia congolaise des réseaux sociaux ! Tout se joue par l'apparence, le "m'as-tu vu ?". La question transitionnelle, si le président du CNT n'en parle pas, c'est pour une raison simple : après la vulgarisation de cette idée, il a été question de travailler dans le secret. De toute façon, cette affaire, ceux qui viennent aux causeries transitionnelles du dimanche le savent bien que c'est UNE QUESTION NATIONALE. Il est judicieux de prévoir un processus d'actions pour ne pas être surpris car en politique, les choses vont vite. Les difficultés aussi. Et ce n'est pas une causette du samedi ou du dimanche qui constituera la solution. Il faudra rassembler le pays dans un consensus pour éviter une guerre civile. Et les étapes pour apaiser le pays après la chute supposée du régime ne peuvent pas être jetées en pâture à l'adversaire.
De toute façon, LA BONNE RÉFLEXION DOIT COMMENCER PAR PENSER LA CHUTE DE L'ETHNIE-ETAT avant toute chose car il ne peut y avoir transition que si le régime s'effondre. Or, le ndzokousaure a œuvré pour qu'en cas de secousse politique, la dictature retombe toujours sur ses pieds. En dépit de tout, de toutes les misères, de tous les marasmes, de cette banqueroute qui enfonce le pays, rien n'y fait : LA DICTATURE DES CROCODILES DU PCTue RESTE IMPERTURBABLE CAR NON PERTURBÉE.
Le monstre de l'Alima a prévu qu'en cas de chute, que les "révolutionnaires démocrates" ne trouvent rien dans les caisses. Il faut planifier cette question des "MOYENS" au risque de se retrouver - sans l'avoir mérité, devant la colère du peuple. LE NERF DE LA GUERRE DANS LE CONTEXTE CONGOLAIS, C'EST L'ARGENT ET LA KALACHNIKOV. PAPY NIONGOLOGUE-BOUKOUTOLOGUE-MUYIBILOGUE POSSÈDE LES DEUX ! Que possède-t-on de l'autre côté ? L'arme du faible : LA LOGORRHÉE...
Au président Godefroy Karanda qui n'a même pas fait l'honneur d'être invité à ce concert public du tam-tam transitionnel, je demande de garder son calme : nous savons que cette affaire de transition, si elle a lieu, se jouera au pays et ceux qui chaque week-end inventent un sujet à deviser - pour produire des vidéos - ne seront peut-être même pas de la partie.
On devra dans cette affaire réfléchir et agir à froid et à chaud. Il faudra gérer l'urgence et le long terme tout en détricotant une toile d'araignée qui a tissé sa toile sur toutes les strates de la société qui n'est plus celle de 1992. Le contexte sera totalement différent et l'ingénieur-architecte a la prudente sagesse de dire que la situation ne sera pas de tout repos. Le temps politique n'est pas le temps de la petite conférence en face de copains.
Quand on parle de transition, il faut se préparer à la déferlante des revendications populaires. Avant la justice, il y a les juges qui ne tomberont pas de la lune. S'entremêleront l'objectivité et la subjectivité dans des doses inégales et, dans cette affaire, la subjectivité sera de loin beaucoup plus grande que l'objectivité. Le Congo est encore en proie à la division ethnique. Et on ne surmonte pas aussi facilement une idéologie millénaire bien ancrée dans un pays comme le Congo.
Je rends honneur à Godefroy Karanda pour avoir vu depuis des années la nécessité d'une transition. Certes, personne n'a déposé l'idée de la transition à L'INPI pour un brevet mais il faut savoir associer ceux qui ont réfléchi avant l'heure sur un sujet.
Quoi qu'il en soit, nous laissons parler ceux qui ont soif de jactance, de visibilité par l'image. Oui, nous reconnaissons la classe des faibles que nous sommes tous à ce qu'elle n'a que la parole et rien d'autre - même si ce n'est pas une arme négligeable. Et à ce jeu-là, n'importe qui peut parler, pourvu qu'il ait la faculté de la parole. Cependant, il faut savoir que de l'autre côté du fleuve Alima se tient un ndzokousaure suprême armé jusqu'aux dents, le Général Dabira ayant même dévoilé l'existence d'une armée secrète ethnique...
Pour ma part, je crois qu'il y a des étapes nécessaires pour réussir une transition. La première est certainement une réflexion qui répertorie à l'avance TOUS les problèmes qui pourraient se présenter demain si le régime tombait - en commençant par poser le COMMENT de cette chute.
La transition nécessite un processus politique car elle ne tombera pas du ciel. Elle appelle aussi l'implication et le choix d'une élite intègre qui doit agir en bonne intelligence en face d'une force publique ethnique prête à massacrer le peuple pour garantir comme l'avait dit le Général Nianga Mbouala Ngatse "L'AVENIR DES MBOCHIS". Rien qu'à ce niveau, j'aimerais bien savoir comment nos philosophes du week-end transitionnel vont s'y prendre pour désarmer un fusil ethniquement armé.
Voici, chers compatriotes de la causerie transitionnelle du dimanche, mon souhait : que cette question pratique soit votre prochain sujet au lieu de déblatérer et de caqueter sur des questions théoriques sans épaisseur.
Cela dit, je vous souhaite de trouver par avance les parades à tous les pièges tendus par Denis Sassou Nguesso et son ethnie-Etat, lui qui a sur nous l'avantage de posséder l'appareil d'État et une conspiration bien silencieuse.
MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,
LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB'
Le monde est entre les mains des barbares qui ont construit un monde agréable à voir à l'extérieur en asservissant à leur profit les plus grandes intelligences du monde. Nous nous fixons souvent à l'aspect extérieur pour définir qui est barbare ou qui ne l'est pas. Erreur ! C'est de l'intérieur qu'il faut définir le barbare car la barbarie est un état d'esprit. Le barbare est capable de développer une grande intelligence et de réaliser des prouesses mais il demeure barbare. A l'intérieur, quand vous l'étudiez, vous constatez que c'est un être fondamentalement mauvais, violent, égoïste, aux penchants bestiaux exacerbés.
Au Congo, nous avons nos barbares au service d'autres barbares. Nous devons parler de l'origine de ces barbares primitifs : j'ai été le premier à dévoiler qu'ils descendent des Abbey qui furent déportés dans notre pays en 1910. Pourquoi on ne parle jamais de cette histoire ? Leurs ancêtres furent chassés de Côte d'Ivoire où ils s'étaient installés pour avoir mangé un gouverneur français. Ce fait établit le penchant cannibale de ces énergumènes.
Il est historiquement démontré que lorsque des barbares primitifs habitués à la sauvagerie (inexistence de la moindre règle), à la violence, à la barbarie et a la fourberie rencontrent un peuple civilisé respectant la vie en général et la vie humaine en particulier, un peuple non violent et non belliqueux, les barbares primitifs finissent par prendre le pouvoir et à s'imposer.
On peut illustrer le propos : les barbares akkadiens (sémites) finirent par détruire la belle civilisation des Sumériens qui étaient des Noirs. Les Hyksos finirent par s'emparer de l'Égypte, la terre du KiMunTu. Les Cananéens, des Noirs, furent massacrés par les nomades Hapirous, etc. En Inde, des peuplades leucodermes s'imposèrent sur la civilisation bâtie par des Kamites pétris de haute civilisation et de haute spiritualité venus de l'Éthiopie. A Kongo Dia Ntotila, des barbares venus du Portugal sont venus détruire la civilisation du KiMunTu. Partout, l'histoire montre une seule chose : quand des barbares arrivent, et aujourd'hui, ils ne sont plus forcément primitifs dans leur aspect extérieur, car ces monstres en costume cravate ont soigné leur apparence, ils s'imposent par la force et la violence.
Le barbare renverse souvent les valeurs en se prétendant civilisé mais à la vérité, il reste au dedans de lui un sauvage violent sans respect de ce qu'il y a de plus important sur terre : la vie en général et la vie humaine en particulier.
Les barbares sont toujours dans le paradigme de la violence : violence physique, violence culturelle, violence religieuse, violence économique, violence juridique même. Partout, on assiste sous le règne des barbares à la guerre sous diverses formes : quand elle n'est pas militaire, elle est économique, culturelle, religieuse ou juridique.
Les barbares n'ont qu'une seule idée : réduire les autres en servitude, conquérir la totalité de l'humanité pour l'assujettir. Et au passage, les barbares saccagent la planète et prétendent encore résoudre les problèmes de ce monde alors qu'ils en sont les auteurs.
Si on suivait ce raisonnement jusqu'au bout, on dirait ceci : face aux barbares, il n'y a pas plusieurs solutions sinon devenir barbares comme eux. C'est peut-être à ce prix qu'on sauvera notre pays et qu'on sauvera le monde.
Les barbares triomphent. Il y a même des barbares au pouvoir dans de nombreux pays esclaves d'autres barbares. Les barbares sont fondamentalement matérialistes pour être en quête de la richesse matérielle. La vie, n'importe laquelle, à part la leur, n'a pas d'importance. Ils ont commis des génocides, provoqué des guerres effroyables, détruit des civilisations pour imposer leur barbarie qui est à leurs yeux la seule forme de civilisation.
Au Congo, il faudra un jour prendre le risque de combattre les barbares si nous ne voulons pas disparaître de la surface de la terre. En effet, les barbares vous mettent dans la situation où vous avez à choisir entre la servitude ou le combat pour la liberté. Tant que vous refusez le combat pour la liberté, il ne vous restera que la servitude. On le constate à diverses échelles. Or, l'esclavage, c'est d'abord la mort spirituelle avant de devenir la mort tout court.
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JOURNAL D'ACTUALITES ANIME PAR LE LION DE MAKANDA. SITE WEB DES DEMOCRATES CONGOLAIS COMBATTANT LA DICTATURE SASSOU NGUESSO
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