Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
24 octobre 2007 3 24 /10 /octobre /2007 10:30
aigle-copie-1.jpgSur le site officieux du Congo-Brazzaville, on peut lire que Brice P(H)ortefeux ira, le 24 octobre 2007, expliquer la logique des tests ADN à son atlesse royal Sassou Nguesso. De quoi s'inquiète le président ? Toute sa progéniture possède des passeports diplomatiques qui leur permettent de se rendre librement en France où chacun d'eux possède une villa. L'intérêt doit être ailleurs : on apprend en effet qu'un nouvel accord entre le Congo et la France devrait être signé. Vous devez savoir que c'est Sassou qui a enlevé aux étudiants congolais le droit de travailler en France prévu initialement dans un accord bilatéral. Il n'y a aucun doute que dans le nouvel accord qu'il s'apprête à signer avec Hortefeux, le Congo ne sera pas gagnant de quoi que ce soit. Donc l'intérêt du déplacement pour Brice qui va avoir l'honneur d'être reçu par les moustiques congolais qui n'y vont pas  à la "piqûre choise", c'est de donner un cours de génétique élémentaire emmitouflée de droit à notre roi Sassou. Si on appliquait les tests ADN à la descendance du président Denis Sassou Nguesso, combien d'enfants véritables aurait-il ? C'est la devinette du jour... Cependant, l'intérêt du président, on le sait, n'est pas d'avoir des "enfants génétiquement choisis" mais de vivre au sein de vos couples au travers de ses enfants et de vous prouver qu'il est, le roi Sassou Ier,  comme tout bon roi qui se respecte nanti du droit de cuissage absolu. Il ne manquerait plus que vous l'empêchiez de tirer vos femmes, tiens ! Voici le texte extrait du site de monsieur Sassou :


Le ministre français chargé de l’Immigration, Brice Hortefeux foulera le sol congolais le 24 octobre prochain. L’annonce a été faite le 15 octobre à Brazzaville par l’ambassadeur de France au Congo, Nicolas Normand, au terme d’une audience avec le Président de la République Denis Sassou-Nguesso. M. Hortefeux viendra expliquer aux autorités congolaises la nouvelle politique française en matière d’immigration, notamment avec les tests ADN.

CSA du 17/10/2007

«J’ai informé le Président Sassou-Nguesso de l’état actuel de la législation française en lui expliquant que beaucoup de précautions ont été prises. Par exemple, les tests ADN ne s’appliqueront qu’entre la mère et l’enfant pour éviter qu’un père découvre par l’occasion qu’il n’est pas le père biologique de son enfant. D’autre part, ce sera uniquement sur une base volontaire, c’est-à-dire, qu’il faudra que la mère demande un test au cas où l’administration française considère que l’acte d’état civil est un faux document», a indiqué M. Normand.

Pour le diplomate français, avec la loi sur l’immigration choisie, il y a la possibilité de visas de travail qui donnent une possibilité aux étrangers de venir travailler en France. «C’est le bon côté de l’immigration dite choisie, il vaut mieux l’appeler immigration concertée. M. Hortefeux viendra signer ici un accord sur l’immigration concertée, la gestion concertée des flux migratoires», a-t-il expliqué.

Lors de sa visite à Paris en juillet dernier, le Chef de l’Etat congolais et son homologue français, Nicolas Sarkozy ont parlé de l’augmentation de l’enveloppe de coopération française en République du Congo, tenant compte des priorités du Congo en matière d’infrastructures, notamment le Port autonome de Pointe-Noire (PAPN), le Chemin de fer Congo océan (CFCO), les transports fluviaux, le Centre hospitalier et universitaire (CHU) de Brazzaville, l’eau et l’assainissement à Brazzaville, etc.

«Nous sommes en train de discuter avec la partie congolaise. Je voulais que le Président soit informé du nouveau Document cadre de partenariat (DCP) pour les cinq années à venir, afin de mieux préciser et d’augmenter les moyens que nous avions consacrés à la coopération française», a signifié M. Normand.

Partager cet article
Repost0
19 octobre 2007 5 19 /10 /octobre /2007 08:04
Rupture-sarkozy.JPGLu dans la Presse:   Le divorce est consommé entre Cécilia Maria Sara Isabel Ciganer et Nicolas sarkozy
NANCY (France), 19 octobre 2007 (AFP) - Cécilia Sarkozy, dont le divorce avec le président français Nicolas Sarkozy a été annoncé jeudi, a déclaré au quotidien régional L'Est Républicain à paraître vendredi qu'ils avaient "tout essayé" pour relancer leur couple mais que ce n'était "plus possible". Racontant avoir "rencontré quelqu'un" en 2005, être "tombée amoureuse", puis être "partie" du foyer conjugal, Cécilia Sarkozy a admis être "rentrée à la maison il y a un an" pour "essayer de reconstruire quelque chose", mais sans y parvenir. "Ce qui m'arrive est arrivé à des millions de gens: un jour, vous n'avez plus votre place dans le couple. Le couple n'est plus la chose essentielle de votre vie, ça ne fonctionne plus, ça ne marche plus", a expliqué l'ancienne "première dame". "Nous avons essayé de reconstruire, de rebâtir, de faire passer la famille avant le reste, cette famille recomposée dont tous les Français ont parlé, de la faire passer en priorité, mais ce n'était plus possible. On a tout essayé, j'ai tout essayé. Simplement, ce n'était plus possible", a-t-elle poursuivi. Au-delà des difficultés personnelles du couple, commentées dans les médias, Cécilia Sarkozy a déclaré vouloir se "retirer de la vie publique" car celle-ci "ne (lui) correspond pas", elle-même se décrivant comme "quelqu'un qui aime l'ombre, la sérénité, la tranquillité". "J'avais un mari qui était un homme public, je l'ai toujours su, je l'ai accompagné pendant vingt ans. Ce combat a abouti à un endroit, quelque part où je trouve qu'il est formidable. (...) Mais moi, je pense que ce n'est pas ma place. Ce n'est plus ma place", a-t-elle affirmé."Pendant un an, j'ai essayé de m'engager professionnellement, personnellement, mais ça n'allait pas tous les jours", a confié Cécilia Sarkozy, expliquant ses absences répétées à des cérémonies nationales ou internationales par sa volonté de "ne pas (se) montrer, ne pas (s)'exposer, (se) protéger". Ces absences avaient été beaucoup commentées, ainsi lorsqu'elle n'était pas allée voter le jour du second tour de l'élection présidentielle, le 6 mai, ou lorsqu'elle avait quitté de manière impromptu le sommet du G8 à Heiligendamm en Allemagne, le 6 juin. Si elle s'est dite "très fière" de son ex-mari le soir de son élection à l'Elysée, Cécilia a nié avoir "jamais voulu faire d'ingérence en quoi que ce soit" dans ses fonctions. "Tout ce qui est nominations, décisions, je ferme la porte du bureau", a-t-elle déclaré. "Nicolas", dont elle n'a prononcé le prénom qu'à une seule reprise durant cette interview fleuve, "n'a absolument pas besoin de ce genre de conseils", a précisé l'ancienne épouse du président, se décrivant au mieux comme un "garde-fou" pour lui. C'est également Nicolas Sarkozy qui a pris la décision, "sans (lui) en parler parce qu'il a pensé que c'était bien ou mieux pour" elle, de ne pas la faire auditionner par des parlementaires français sur la libération des infirmières bulgares en Libye, a avancé Cécilia Sarkozy. Cécilia Maria Sara Isabel Ciganer, 49 ans, s'est mariée à Nicolas Sarkozy en 1996, après plusieurs années de vie commune. Dès 1988, elle est devenue sa collaboratrice à l'Assemblée nationale. En 2002, elle a pris une place prépondérante dans son cabinet de ministre de l'Intérieur, sans figurer sur l'organigramme officiel. Installée dans un bureau contigu au sien, elle a participé à toutes ses réunions. Elle l'a suivi au ministère des Finances en 2004 comme conseiller technique puis comme chef de cabinet quand il est devenu président de l'UMP. L'Elysée a annoncé jeudi le divorce  "par consentement mutuel" de Nicolas et Cécilia Sarkozy, qui ont eu un enfant ensemble. Leur avocat commun, Maître Michèle Cahen, a confirmé sur la radio Europe 1 qu'un juge avait prononcé le divorce. 
 
Partager cet article
Repost0
18 octobre 2007 4 18 /10 /octobre /2007 10:09
arcenciel2-1.jpgAU C.H.U DE BRAZZAVILLE: deux enfants succombent par la faute, semble-t-il, du personnel médical
Mercredi 10 octobre 2007, vers 19h00, deux enfants sont morts,au C.h.u (Centre hospitalier et universitaire) de Brazzaville, par la faute, semble-t-il, du personnel médical. Un troisième se trouve, encore, dans un état critique. Le personnel soignant du C.h.u, en service ce jour-là, aurait exigé le versement
de pots-de-vin aux personnes qui avaient accompagné ces trois enfants, avant de leur procurer les premiers soins. Ils étaient insensibles aux douleurs de ces adolescents qui souffraient de brûlures au deuxième degré. Il faut signaler qu’un incendie avait dévoré leur chambre à coucher, à Moukounzi-Ngouaka, un quartier de Makélékélé, le premier arrondissement de la capitale. Leur tante était absente. A cause des délestages d’électricité, la chambre était plongée dans le noir. Elle l’a éclairée à l’aide d’une bougie, avant de sortir du domicile. Mais, pendant son absence, des étincelles
ont atteint le matelas en mousse où les enfants dormaient. Et le feu a commencé à dévorer la chambre. Des voisins les ont sauvés et les ont transportés à l’hôpital de Makélékélé, d’abord, ensuite, au C.h.u. Que faut-il en penser? En tout cas, il faut conscientiser les porteurs de blouse blanche.

La centrale thermique de Brazzaville a été remise au Ministère de l’énergie et de l’hydraulique
La centrale thermique construite au quartier Mpila, à Brazzaville, est maintenant opérationnelle. Vendredi 12 octobre 2007, elle a été remise, officiellement, au Ministère de l’énergie et de l’hydraulique, par la délégation générale des grands travaux, en présence d’Isidore Mvouba, le premier ministre congolais. Cette centrale, dont les travaux de construction ont été exécutés par l’entreprise belge ABCProcob, compte dix générateurs de 3,2 mégawatts, chacun. Elle a, donc, une capacité de production de 32,5 mégawatts. Ces générateurs fonctionneront, au moyen du gasoil ou du fuel léger, en parallèle avec les réseaux de la S.n.e (Société nationale d’électricité).
Selon le délégué général des grands travaux, le coût total de construction de cette centrale thermique est de 15 milliards de francs Cfa, entièrement financé par l’Etat congolais. Avec cette unité de production d’électricité, on espère, maintenant, que les délestages de courant, imputés aux dysfonctionnements techniques des centrales du Djoué, à Brazzaville, de Moukoukoulou, dans le département de la Bouenza et d’Inga, en RD Congo, ne seront plus fréquents, comme l’a souhaité Bruno Jean-Richard Itoua, le ministre de l’énergie et de l’hydraulique.

Une décharge publique grandit en face du Ministère de la défense !
Il y a une décharge publique qui prospère en face de l’entrée principale du Ministère de la défense, en plein centre-ville, au bord de la route de la Corniche, à Brazzaville. Des gens chargées de collecter les ordures ménagères ont, malheureusement, eu l’idée de déverser ces ordures collectées, en face du Ministère de la défense. Ils ont, donc, transformé cet endroit en décharge publique. Les passants sont obligés de se boucher les narines. De même que les coureurs cyclistes qui ont emprunté cette route, à quatorze reprises, samedi 13 octobre 2007, à l’occasion du Grand prix cycliste Cogelo. L’environnement est devenu malsain à cet endroit. Comment des éboueurs privés peuvent-ils se permettre d’amonceler les ordures, en plein centre-ville, sans être inquiétés? La mairie et les agents du Ministère de la défense ne voient-ils pas cette décharge?

Un grave accident de la route fait 20 blessés dans la Likouala
Une vingtaine de blessés ont été enregistrés dans un grave accident de la circulation, dans le département de la Likouala, dans la partie septentrionale du pays. Le drame s’est produit, samedi 6 octobre 2007, entre les villages Kanio et Matoko, à une dizaine de kilomètres d’Epéna. Le véhicule accidenté reliait Impfondo, le chef-lieu du département, à Epéna, et avait à bord 25 personnes. A la suite d’une crevaison due à l’excès de vitesse, semble-t-il, il s’est, subitement, renversé au moment d’aborder un virage. Quatre personnes, grièvement blessées, ont été évacuées au C.h.u (Centre hospitalier et universitaire) de Brazzaville. On ne déplore aucun décès. Heureusement!
Il faut signaler, également, que trois fillettes de moins de 10 ans et deux bébés figurent parmi les personnes sorties indemnes de cet accident.

Gardiens de domicile ou bandits?
Les contrôles anarchiques ont-ils fait leur réapparition à Bacongo, le deuxième arrondissement de Brazzaville ? Au niveau de l’ancien domicile privé de Bernard Kolélas, vers le marché Total, deux jeunes y font la loi, la nuit. Assurant la garde de ce lieu, semble-t-il, ils ne s’empêchent pas d’interpeller les passants. Mieux, de les rançonner. Samedi 13 octobre 2007, à 19h20, notre confrère Alain Patrick Massamba, qui passait par là, a été interpellé. Ils l’ont menacé. Mais, surpris par les propos courtois de notre confrère, ces deux gars l’ont prié de «penser à eux», selon l’expression consacrée. Il leur a glissé 300 francs. Suffisant pour s’acheter quelques bâtons de cigarettes. C’est ainsi que notre ami a échappé à leurs tracasseries. Cet état de chose incitera-t-il les agents de sécurité à faire un tour dans ce secteur?

Transport aérien: les avions passagers de marque Antonov cloués au sol !

On n’a pas fini de dénoncer le spectacle désolant qu’offrent les Antonov à l’origine d’une succession d’accidents dans le ciel africain. L’accident effroyable et meurtrier survenu à Kinshasa, le 5 octobre, où un Antonov s’est écrasé sur un quartier populaire faisant une cinquantaine de morts et plusieurs blessés, a provoqué un effet de ressaisissement à Brazzaville. Le Ministère des transports et de l’aviation civile a décidé de mettre de l’ordre dans le ciel congolais. Depuis mardi 9 octobre 2007, il a interdit de vol ces tacots, version passagers. Ces avions ont une moyenne d’âge de 30 ans et n’offrent plus de garantie sécuritaire en vol. Les compagnies aériennes utilisant ce type d’aéronefs devront les retourner au bureau Antonov de Kiev, à des fins de visite générale. Conséquence: on constate une affluence dans les aéroports du pays. Des passagers grincent des dents, parce qu’ils ne peuvent pas voyager, faute d’avion disponible, alors qu’ils ont payé déjà leurs titres de voyage.

Les cadres militaires
de la présidence de la République sur les sentiers du droit humanitaire

Des cadres de la Maison militaire du président de la République étaient en séance de travail le 28 septembre dernier, à l’hôtel de ville, pour être rôdés aux principes élémentaires du droit international humanitaire. C’est le C.i.c.r (Comité international de la Croix rouge) qui a organisé ces journées. Cette O.n.g internationale s’est intéressée, cette fois-ci, à la garde présidentielle. La responsable du C.i.c.r, Mme Ariane Tombé, a déclaré que « le C.i.c.r reste convaincu que c’est à travers une large diffusion du droit international et un engagement plus ferme des Etats que ce droit peut être mieux respecté». En ouvrant ces journée, le directeur général de la sécurité présidentielle, le général de division Blaise Adoua, a, quant à lui, souhaité que le droit humanitaire devrait être le garde-fou pour l’humanité. On espère que les instructeurs formés feront bénéficier les connaissances acquises à leurs troupes. Et que les tares qui font la mauvaise réputation de certains militaires disparaîtront peu à peu. 

Les policiers contre
les vendeurs à la criée de journaux ?
Certains policiers exerceraient des pressions sur les vendeurs à la criée des journaux. Ils les chassent et menacent, semble-t-il, ces vendeurs de ravir leurs journaux. Cette façon de faire choque de nombreux Brazzavillois, notamment le président de l’A.c.j.e.p (Association congolaise des journalistes et éditeurs de la presse), AbéNgandziel Nguel. Ce dernier est sorti de sa réserve. Il ne comprend pas pourquoi les policiers s’en prennent aux vendeurs à la criée. Pour lui, la mise en vente des journaux ne peut être interdite au Congo. Le Congo est un pays où les personnes et les biens, y compris les journaux, doivent circuler librement. Le président de l’A.c.j.e.p a rassuré les gérants des kiosques et les vendeurs à la criée des journaux qu’il lutte pour cette libre circulation. Reste que ces vendeurs s’organisent, avec des badges, par exemple, pour protéger leur corporation.

Un accident de la circulation a fait deux
morts sur la route de Kindamba

Deux personnes ont été tuées, dans un accident de la circulation, qui s’est produit, il y a plus d’une semaine, sur la route de Kindamba, dans le département du Pool. Le véhicule accidenté était surchargé. Il transportait des planches. A la suite d’une fausse manoeuvre du chauffeur, semble-t-il, le véhicule s’est renversé. Le chauffeur, arrêté puis placé en détention préventive au commissariat central de police, à Brazzaville, aurait été relâché, finalement, quelques jours plus tard. On ne sait trop pourquoi. Affaire à suivre.

Elle abandonne son bébé et court toujours…
Un bébé de 2 ans, environ, a été trouvé seul, la semaine dernière, au petit marché dit «Mabouaka», situé sur l’avenue Fouékélé, à Bacongo, dans le deuxième arrondissement de Brazzaville. Qui serait sa mère? On ne le sait pas encore, au moment où nous mettons sous presse. C’est pourquoi, la femme qui l’a recueilli a lancé un appel sur une chaîne privée de télévision de la capitale. Peut-être que les parents qui auront constaté la disparition d’un enfant dans le foyer se manifesteront. Le bébé se porterait bien, mais sa mère court toujours. Infanticide, l’autre jour, vers les pompes funèbres municipales et dans la rue Banda, à Poto-Poto, le troisième arrondissement de la capitale, et abandon d’enfant, à Bacongo, cela vient rappeler, une fois encore, que les mères indignes sont légion dans la société congolaise. Il faudrait y réfléchir.

Un homme se fait tabasser
dans un quartier de Brazzaville

Des actes répréhensibles, il y en aura toujours, dans les quartiers. La nuit de mercredi 3 septembre 2007, vers 20h00, un agent de l’imprimerie Saint-Paul a été agressé à Sangolo, un quartier situé après la cité de l’O.m.s (Organisation mondiale de la santé), dans le premier arrondissement, Makélékélé. Un bandit a «labouré» son visage, en lui lançant des pierres. Du sang a coulé. La victime a été transportée dans un hôpital pour des soins. Ce bourreau lui reprocherait d’avoir ravi sa concubine. Mais, appréhendé par les services de police et prié d’en apporter la preuve, il s’est mis à balbutier. Le délinquant a été placé en détention préventive, au commissariat de police de Makélékélé. Cela lui permettrait de réfléchir et de méditer.

Partager cet article
Repost0
17 octobre 2007 3 17 /10 /octobre /2007 13:50
C'est en France, l'information qui brûle toute les lèvres : le couple présidentiel français serait en voie de rupture. Voilà une rupture pas très tranquille car assez médiatisée avec des silences embarrassants du porte-parole de la présidence qui ne veut pas faire des commentaires.
Il semblerait selon le nouvel observateur que ce lundi 15 octobre le premier couple de France se serait rendu devant un juge ; ce qui est assez compliqué pour Nicolas Sarkozy, vu son statut de président qui le rend inapte à se présenter comme justiciable face à une quelconque juridiction. A la télévision, le Nouvel Obs affirme que le divorce aurait été prononcé. Nous attendons donc un communiqué de l'Elysée qui se devra de confirmer ou d'infirmer. Si la chose s'avérait vraie, il y aurait un coeur à prendre au sommet de l'Etat. Rachida Dati, très proche du président, est une très belle femme qui a ses chances (il lui faudra d'abord quitter le gouvernement)...
La dernière fois que l'on a vu le couple Sarkozy ensemble date du 14 juillet 2007. Depuis, Cécilia semble ne pas trop se plaire à l'Elysée. C'est vrai que depuis son escapade aux Etats-Unis avec un autre homme, le couple a donné l'impression de s'être rapproché de nouveau mais il semble que les choses vont assez mal. Un divorce relève certes du domaine privé mais dans le cas d'espèce, il s'agit d'un président qui a décidé d'introduire une rupture avec le passé. S'il divorçait, Nicolas Sarkozy serait le premier président français à le faire.
Bien entendu, les raisons les plus fallacieuses circulent sur le web comme "les paparazzis auraient filmé Cécilia nue sur une plage, Sarkozy aurait eu une liaison avec une journaliste, etc". Tout cela nous importe peu. Ce que nous observons, c'est le changement de la dimension présidentielle qui se "peopolise" avec Sarkozy, alors que ses prédécesseurs restaient dans l'austérité de la profession. Voir un président de la république française rentrer en short avec des baskets à l'Elysée, ça vous change de l'allure solennelle d'un Mitterand ! En matière de rupture, elle doit être totale ou ne doit pas être : nous attendons la rupture avec les méthodes esclavagistes en Afrique... Sarkozy parlait de  "choses d'un autre âge..."
Sarkozy avait dit de Cécilia que c'était la "femme de sa vie" ; on constatera, s'il divorce, qu'il ne sera pas le premier à se tromper à ce sujet. La femme d'une vie ? Comment en être sûr si la vie n'est pas encore terminée avec tout son lot de surprises ?
Vraiment ce mois d'octobre n'est pas de tout repos pour le président français : baisse dans les sondages, une grève en vue demain jeudi, la question sur les tests ADN qui dérange, la France qui est éliminée en demi-finale de la coupe du monde de rugby qu'elle organise.
L'homme qui a inventé l'immigration choisie, la rupture tranquille entre autres, vient de se rendre compte que les ruptures au sommet du monde sont difficilement "tranquilles"... Il  y en a qui vous empêche de dormir, surtout si le lit est trop grand ! Comme nous l'avons écrit pour le couple gabonais : " Question meufs, c'est pas gagné d'avance -même dans les palais !"
Partager cet article
Repost0
14 octobre 2007 7 14 /10 /octobre /2007 23:21
Ce samedi 13 octobre 2007, une marche de protestation contre les dix ans au pouvoir de monsieur Denis Sassou Nguesso a été organisée. D'autres y trouveront à redire question nombre de participants mais ce qui compte, c'est que les Congolais affirment à la face du monde, dans cette capitale mondiale de l'information que les Congolais n'approuvent pas ce régime grossier qui détruit le peuple congolais et le pays tout entier en pillant ses richesses et en affamant ses citoyens. Seuls les Congolais peuvent prendre à bras le corps les problèmes de leur pays avant que les puissances de ce monde daignent lever le petit doigt à cause de toute cette juridiction internationale qui consacre des dictatures au lieu de les combattre. 
Un jour, le peuple congolais aura raison de la dictature royale Sassou mais à quel prix ? Dans nos égoïsmes respectifs, soucieux de notre petit confort douillet de tous les jours dans nos familles, à l'étranger, à l'abri de cette soi-disant démocratie française qui soutient la dictature démocratiquement élue du cobra royal, nous laissons nos frères mourir en n'agissant pas. Souvenez-vous de ce que dit De Gaulle pendant l'occupation : "Se taire, c'est déjà perdre..." Ceci a le mérite de démontrer qu'il existe des Congolais qui s'insurgent contre le représentant personnel de Satan, monsieur Sassou parce que ceux-là ont dans leur coeur, chacun selon sa portion, de l'amour pour notre pays natif, le Congo-Brazzaville.  Si le passé est foutu, perdu, le présent corrompu, nous pouvons néanmoins modifier le futur. C'est le but de ce blog, "demainlecongobrazzaville" dont nous saluons les visiteurs, - près de 30000 à ce jour. Donner une voix aux muets, donner un oeil aux aveugles, telle est notre objectif. Ils savent que nous savons qu'ils savent. Un jour viendra où ils n'auront plus le choix que de défaire ce qu'ils ont fait. Que celui qui peut comprendre comprenne...
Photo-064.jpgPhoto-062.jpgPhoto-061.jpgPhoto-060.jpgPhoto-058.jpgPhoto-057.jpgPhoto-054.jpgPhoto-053.jpgPhoto-052.jpgPhoto-051.jpgPhoto-049.jpgPhoto-048.jpgPhoto-045.jpgPhoto-044.jpgPhoto-043.jpgPhoto-039.jpgPhoto-036.jpgPhoto-033.jpgPhoto-013.jpgPhoto-021.jpgPhoto-022.jpgPhoto-029.jpg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Partager cet article
Repost0
10 octobre 2007 3 10 /10 /octobre /2007 10:45
face_awakens_looks_around.gifQuand un certain Marioni introduit des amendements à la loi Hortefeux sur l'immigration, c'est dire que Sarkozy a décidé de mettre les projecteurs sur ses boucs émissaires préférés : les immigrés. Nous avons déjà assez critiqué les tests ADN et avons été assez étonné de voir que la question du prélèvement se fera sur la mère pour préserver le couple - l'affaire sur le plan éthique impliquait à ce sujet une grave intrusion dans la vie privée du couple si le prélèvement était fait sur le père - ce que nous n'avons pas manqué de signaler. Marioni/Sarkozy (car c'est Sarkozy qui agit derrière Marioni, la marionnette) a aussi voulu interdire les centres d'hébergement aux sans-papiers, que dis-je, aux sans-droits ("sans-papiers" ne veut rien dire : ce n'est pas le papier qui manque...mais les droits) ; ce qui a réveillé l'ire des associations et fondations. Hortefeux/Marioni/Sarkozy a encore reculé car l'embarras était trop palpable. Le dossier de l'immigration reste un dossier sensible - même s'il a l'avantage de dissimuler l'absence d'avancées véritables sur le plan des politiques intérieures du gouvernement : il manque toujours un point de croissance - même plus qu'un point !
Des voix s'élèvent pour dénoncer des méthodes qui rappellent une époque sinistre de la France. Même Villepin et Pasqua s'insurgent. Fillon remet de l'huile sur le feu en parlant de "détail" tandis que Fadela Amara, secrétaire d'Etat, trouve que "c'est dégueulasse" (mieux, c'est merdique !) et en remet une couche. Voilà la loi la plus troublante de la France sur l'immigration pendant que s'inaugure un musée sur l'immigration que Sarkozy n'a pas osé inaugurer, lui, le descendant d'immigré ! C'est que cette question sur l'immigration soulève trop de problèmes, trop de questions.
La France va-t-elle cesser d'être une terre d'immigration ? Pas si sûr puisque l'immigration européenne, non que dis-je, l'immigration blanche - celle qui passe inaperçue - est légale et même les Roumains sont maintenant les bienvenus pour venir faire officiellement la manche qu'on devra bientôt soumettre à la tva et aux cotisations sociales comme tout job normal... La Roumanie pour ceux qui l'ignorent a rejoint le cub select de l'Union Européenne. Avec des restrictions qui finiront par sauter...un jour !
Les autres immigrations, choisie, non choisie, se poursuivent aussi. Remarquez que l'immigration était déjà "choisie" doublement : une fois quand les Ambassades choisissent de vous délivrer un visa (toutes les demandes de visas n'aboutissent pas ; ce qui renvoie à un CHOIX) et deuxio quand les préfectures choisissent de vous délivrer un titre de séjour car l'obtention d'un visa n'est pas la garantie d'un titre de séjour (qui devrait être obligatoire puisque celui qui est en France y séjourne, merde ! Tous les autres droits, sauf celui-là qui est contraire à la réalité du séjour pour quiconque se trouve en France ou ailleurs que chez lui, peuvent être refusés car la carte de séjour -même avec mention "séjour irrégulier" devrait être un droit. Je permets au gouvernement français de piquer cette idée géniale car elle conduit à mieux contrôler l'immigration et même à suivre les immigrés à la trace, la clandestinité ne faisant qu'empirer la question : travail au noir (au noir ? travail pour les Noirs ?), immigration non contrôlée, etc).
Va-t-on bientôt interdire la soupe populaire aux immigrés par décret ? En tout cas, un sans-droit se le demande. Eh oui, il ne reste plus que ce point : pas de droit, pas de logement, pas de soins, pas de nourriture, pas de travail,  comme qui dirait : UN BON IMMIGRE EST UN IMMIGRE MORT...
Partager cet article
Repost0
22 septembre 2007 6 22 /09 /septembre /2007 10:33
drapeaucongoflottant.gifNous voulons entrer en contact avec une ou des associations Congolaise basées en Suisse...
Si vous connaissez des associations Congolaises en Suisse, transmettez-nous leurs coordonnées postales, électroniques ou téléphoniques.
Nous souhaitons élargir les combats judiciaires qui sont menés en France contre le régime cleptomane du Congo Brazzaville à travers toute l'europe....
C'est en Europe que se trouvent tous les conseillers véreux, les officines mafieuses et les banques sans scrupules qui aident le dictateur du Congo à spolier notre pays.
 
Les banques Suisses sont très impliquées dans la spoliation du Congo et nous souhaitons que des associations Congolaises basées en Suisse portent plainte contre ces banques.
Beaucoup d'experts et d'avocats internationaux sont prêts à nous aider, d'autres encore sont prêts à nous fournir toutes les preuves qu'il nous faudrait pour confondre tous ces gangsters à condition que des Congolais déterminés montrent la direction comme l'a fait le FCD (Fédération Congolaise de la Diaspora).
 
A tous ceux qui ne savent pas quoi faire pour sauver le Congo,
A tous ceux qui regardent ailleurs pendant le Congo agonise,
A tous les experts et analystes géniaux de la situation politique du Congo,
A tous les Congolais virtuoses de la plume et du verbe qui veulent faire la révolution dans leurs salons,
 
Passons enfin à l'action et mettons en pratique concrètement toutes les stratégies de lutte démocratique pour sauver le Congo !
 
Une manifestation sera organisée autour du 15 octobre 2007 à Paris.
Nous invitons tous ceux qui souhaitent une évolution démocratique pacifique au Congo Brazzaville de venir nombreux !!!!!!!!!
 
Partager cet article
Repost0
15 septembre 2007 6 15 /09 /septembre /2007 22:15

nicolastsarkozyhl8.jpgEn France, la politique intérieure, voire la politique tout court, accorde une place de choix à la question de l'immigration, de sorte qu'on pourrait tout foirer mais avoir au moins quelques résultats sur le terrain de l'immigration. Ca rassure le peuple français d'apprendre qu'on lutte toutes dents dehors contre l'immigration. Sur ce terrain, les lois se multiplient au gré des gouvernements. Sarkozy a mal débuté en accordant des cadeaux fiscaux à ses amis riches car la croissance semble ne pas être au rendez-vous et il se rend compte que bientôt, tout son pouvoir rhétorique ne suffira plus : il faudra des résultats. Surtout, des sous ! La question de la TVA sociale pour rattraper chez le pauvre ce qu'on a donné au riche est à l'étude et ce n'est pas la question des régimes spéciaux de retraite qui va arranger la question du déficit budgétaire chronique de la France. Et les sondages commencent à baisser pour Napoléon Sarkozy Bonaparte qui est à la fois président de la république et "premier" premier ministre.
Il faut que le regard des Français soit tourné vers l'extérieur et non vers l'intérieur. Alors on innove, on imagine après l'immigration choisie qui ne choisit toujours pas son immigré, l'immigration génétique. Brice Hortefeux, ministre (en latin : serviteur) de son maître, invente une nouvelle forme d'immigration pour contrer le regroupement familial, le plus grand pourvoyeur statistique d'immigrés en France. Il faut, qu'il bosse, notre ministre car il est loin d'atteindre le quota des 25000 immigrés par an défini par Sarkozy ! Eh oui, la chasse à l'immigré est épuisante car comment distinguer le bon du mauvais immigré  parmi ceux qui ont le statut d'immigré inscrit sur la peau ? Il ne suffit pas d'être noir pour être immigré ! Aujourd'hui, on peut être Noir et ministre au gouvernment du même Sarkozy...
Donc, on crée l'immigration génétiquement...choisie ! Le principe est simple : vous voulez faire entrer votre fils en France, l'ambassade de France lui fait passer un test génétique pour voir si le fifils est bien le vôtre. Les épouses infidèles ont du souci à se faire car Sarkozy-Hortefeux (c'est le même individu) veut foutre le bordel dans les familles ! Si un homme découvre que son gosse n'est pas en réalité le sien, il doutera de la filiation des autres et le mariage va tourner vers le divorce. Du coup, on flanque le regroupement familial par terre. C'est pas bête, hein ? Un divorce en effet n'entraîne pas de regroupement familial car la famille n'existe plus. Dans son propre camp, cette disposition juridique qui a été votée dans le silence complet ne fait pas que des satisfaits. On pourrait profiter de regarder si le candidat à l'immigration n'a pas des prédispositions génétiques au diabète ou à une quelconque pathologie qui va encore plomber un peu plus la sécu car le trou de la sécu comme le chômage comme l'absence de croissance comme la faiblesse des exportations, c'est toujours l'immigré ! Cette solution est très réjouissante idéologiquement : c'est bien de ne voir le mal que dans les autres. Ca laisse l'amour propre sauf.
 Sarkozy qui a récemment fait un tour en Hongrie, au pays des ancêtres veut mettre la pression sur les immigrés pour que les Français soient bien distraits. Le bon immigré doit apprendre le français, manger du camembert et bien être le fils ou la fille de son père car comme dans le judaïsme, la mère, c'est toujours sûr ! C'est donc le sang du père qu'on mettra à l'épreuve du feu. Et que se passera-t-il si c'est désormais les mères qui demandent le regroupement familial ? Va-t-on vérifier le sang du père et de la mère ? même si la mère est divorcée ? Qui va payer l'examen médical ? Ca coûte cher, ce genre de gris-gris car ça prend du temps et c'est de la haute technologie ! On constate encore une fois que les solutions de Sarkozy ont toujours sur les bords des problèmes pas faciles à résoudre. Et si mon fils est un fils adoptif ? Cette mesure de l'immigration génétiquement choisie va entraîner un boom dans l'adoption car au moins, ça ne posera pas le problème du gène ! 
Pourquoi Hortefeux-Sarkozy n'interdit-il pas tout simplement le regroupement familial ? Si l'immigration génétiquement choisie échoue, on va s'y diriger tout droit. On inventera alors le regroupement familial à l'envers, dans le pays d'origine au lieu de le faire en France : tout immigré qui voudra vivre avec sa famille restée au pays perdra ses papiers et se verra obligé de rentrer chez lui. C'est plus simple car en règle, l'immigré doit lui-même payer son billet d'avion pour rentrer chez lui ! C'est pas mal d'économiser une place dans le vol d'Air France où les Français protestent de plus en plus à certaines expulsions musclées. Plus personne n'osera demander un regroupement familial. Mais à être méchant, il y a tout de même des limites ! Mohammed ou Mamadou devenus Français qui travaillent à l'usine Renault, pourquoi ne vivraient-ils pas avec leurs femmes et leurs enfants ? Et toc ! Si un bon Français bien blanc vit d'allocation comme l'allocation adulte handicapée (plus de 700 euros)  épousait une femme qu'il a croisée au Maroc pendant ses vacances à Taroudan, dans le ranch de Jacque Chirac, va-t-on lui dire de divorcer ? Et toc ! Donc c'est encore l'immigré qui pour faire venir sa femme et sa famille ne doit pas vivre d'allocations. Donc en guise de solution, les demandes de nationalisation vont progresser car l'immigré n'aura bientôt plus le choix : il sera Français ou ne sera pas. Il faut dissoudre l'immigration dans l'intégration par la voie de la naturalisation. Ca ne chasse pas la couleur noire des rues mais ça a le chic d'améliorer les statistiques....
Dur, dur d'être le méchant ministre de l'immigration car à présent que les immigrés font du parapente sans parapente dans les hôtels de police, les polices ne savent plus ou mettre  de la tête et il ne suffira pas de tirer de force la vieille black de son bain pour faire du chiffre car l'heure en matière d'immigration est à  la "religion du chiffre " !
Le petit immigré qui entrera en France sera tout de suite génétiquement fiché ; ce qui le freinera peut-être à développer un coeur de caïd mais là encore, que Sarkozy-Hortfeux se tienne tranquille : les vendeurs de cannabis et consorts sont bien nés sur le territoire - même s'ils vont chercher la cam au Maroc, chez le roi qui est un "ami de la France".
Vous voulez que je vous dise ? Hortefeux va échouer. Pourquoi ? Parce qu'on ne gagne pas contre un phénomène de la nature. Or, l'immigration en est un. Depuis l'homme du "croque-mignon", on pratique l'immigration. De père en fils. Le Français d'aujourd'hui descend du Celte ou du Gaullois et tout ce monde a immigré !  Si l'on a inventé le passeport et le visa pour réguler le phénomène, rien n'en fait car toute personne capable de s'extirper de la misère établie par l'occident en Afrique, n'hésitera pas une seconde. Et puis les compagnies aériennes doivent faire du bénéf ! Combien y a-t-il réellement de clandestins en France ? Désormais, Mamadou peut entrer en Espagne, balancer son passeport, entrer en France en bus, travailler avec les papiers de Diaité jusqu'au jour où on le contrôlera. D'ici-là, il ne faut pas qu'il ait épousé une Normande ! (Hi, hi !) J'ai peut-être un peu trop d'imagination mais le mari d'une Normande n'est pas expulsable car leur fils Mamadou Brice a besoin de son papa pour qu'il aille travailler pour lui acheter son litre de lait ! A chaque fois que l'on durcit les conditions de survie d'une catégorie de personnes, celle-ci réussit toujours à trouver la parade et toutes les fenêtres de l'intégration ne sont pas fermées. Tant qu'il y aura des grosses en France qu'aucun Français ne veut, il y aura de l'espoir. on se marie, on devient Français, on divorce et on va épouser Bineta au Sénégal en prenant le soin de la choisir très intelligente et de préférence infirmière pour venir lui foutre des gosses bien noirs en France qu'on nourrira avec le pain des Français. Je vous rappelle que Mamadou Sissoko est Français donc la question du pain ne se pose pas...

Partager cet article
Repost0
13 septembre 2007 4 13 /09 /septembre /2007 15:20
Si la tendance actuelle se poursuit, les hommes politiques africains iront acheter leurs palaces aux Etats-Unis car le gouvernement Sarkozy a un oeil un peu trop perçant sur les appartements des politiques africains. Après papa Bongo et son beau-père Sassou, en procès pour recel, un procès dont nous attendons les suites avec impatience et délectation, tandis que les descendants Bokassa essaient de récupérer leur château loué à Jean-Marie Le Pen comme pour mieux nargueur les cons de Noirs qui payent des immeubles dans leur pays, voici que la fille, pascaline Bongo, qui dirige le cabinet, gère le patrimoine familial, administrant les sociétés de Bongo, son père,  se fait aussi rattraper par la règle de droit en France, cette règle qui est si belle car des mots suffisent pour vous piquer votre baraque. Si cette tendance continue, nous allons assister à une dégradation des rapports entre la France et ses esclaves de la Françafrique. En tout cas selon www.rdpg.com, Pascaline Bongo n'aura plus son pied-à-terre à Paris (article tiré sur
http://www.rdpg.org/index.php?option=com_content&task=view&id=3655&Itemid=1) :
_______________________________________________

Pascaline Bongo, la fifille du président gabonais, n’aura plus son propre pied-à-terre à Paris PDF Print E-mail
Ecrit par Administrator   
Thursday, 13 September 2007

 

Pascaline Bongo  (photo) , la fifille de son papa, le président gabonais , elle est également  la mère de Christophe Bongo Ondimba

Tarallo- Bongo. Ouf, un SDF en moins. Papy André Tarallo, l’ancien directeur hydrocarbure d’Elf ne dormira pas à la rue. Le conflit immobilier qui l’oppose au président Omar Bongo sur l’appartement du 55 quai d’Orsay est en train de tourner à son avantage (cf. Bakchich # 43 ).

Pascaline Bongo  , la fifille du président gabonais , n’aura donc pas son propre pied-à-terre à Paris. Petit Papa Omar est bon pour chercher un autre cadeau de mariage .

Mais Dédé Tarallo ne pourra toutefois jouir pleinement de sa victoire. Condamné à une amende de deux millions d’euros dans le cadre du procès Elf, et n’ayant pas règlé son ardoise, le trésor public français a décidé d’hypothéquer la baraque. Ah, l’administration, toujours à se payer sur la bête.

Partager cet article
Repost0
12 septembre 2007 3 12 /09 /septembre /2007 05:12
Ntumi.JPGLa vidéo de Ntumi :   http://www.youtube.com/watch?v=RN-HG8EiRjo
 
Un compatriote nous raconte ce qui vient de se passer à Brazzaville
 
 
 
Bonjour mon frère,
Un bout de temps s'est écoulé sans de tes nouvelles, comment vas-tu? Concernant le Congo Brazzaville, après déjà 7 jours d'absence le président Sassou prétendant dire qu'il a pris un  congé or c'est pour ses soins médicaux en Espagne. Il ne séjourne plus en Espagne, il se trouve au Maroc toujours pour ses soins médicaux. Après les accords signés entre le gouvernement et le pasteur Ntoumi qui devrait rentrer hier prendre les fonctions de secrétaire chargé de la paix  afin de réparer les séquelles de guerre, une délégation devrait aller le chercher à Mabaya accompagnée de Monsieur Milandou entre autres. Ntoumi s'est rendu jusqu'à Mafouta accompagné de 300 miliciens bien gardés avec des lances-roquettes et des fusils mitrailleurs plus de blindés, d'autres gardes avaient déjà occupé  la télévision par contre le gouvernement a dépêché la sécurité d'aller désarmer ceux qui se trouvaient à la télévision et il y a eu échange des tirs et ils ont été  repoussés jusqu'au pont de Dieu et jusqu'à Madibou. On ne comprend plus rien et la nuit d'hier le président Sassou a demandé à Monsieur Bernard Kolelas de le rejoindre en urgence au Maroc.
Nous attendons la suite.

Patrick Eric Mampouya.

--------------------------------------------------------------

Chers blogueurs, je publie toute information utile afin de vous permettre d'être au parfum de ce qui se passe au Congo. Ntumi est aujourd'hui le dernier qui incarne la lutte armée car lui au moins a encore une milice, c'est-à-dire, des arguments que Sassou sait apprécier car la force ne respecte que la force. Ntumi ou Bitsangou Daniel, un homme étrange dont la chevelure trahit une appartenance certaine au matswanisme. On lui découvre des véritables talents d'artiste, notre pasteur flingueur ! D'ici, à ce qu'on découvre aussi qu'il est  jardinier...
Cet homme a des convictions en dépit de tout ce que fait Sassou pour l'amadouer. Et il est prudent. Aussi, je ne crierai pas à sa collaboration prochaine avec le gouvernement car ce n'est pas la première fois que Sassou essaie de le sortir de sa planque poolienne puisqu'une maison de fonction lui avait déjà été allouée par le passé, maison qu'il n'a jamais occupée... En fait, Sassou a toujours peur d'un coup d'Etat lorsqu'il est à l'étranger. Or, à ce propos, il ne reste que deux possibilités si on envisage la voie des armes : ses propres parents ou Ntumi. Sa famille, il l'a tellement amadouée avec le culte des morts que c'est très peu probable. Les Nguesso savent que ce n'est pas si évident de sucéder à Sassou par coup d'Etat car ils ignorent comment le pays pourrait réagir à cet événement. Reste en interne Ntumi qui de temps en temps par ses nsilulus (sa milice) tire des coups de semonce. Ntumi sait que venir à Brazzaville, c'est se couper de son terrain et de ses miliciens. Aussi, me semble-t-il, se fera-t-il encore prier. N'a-t-il pas tout pour jouer le rôle du héros national ? Sassou lui file du blé et de la nourriture sans raison, il est le seul qui possède encore une milice qui de temps à autre, fait des incursions dans la capitale pour mettre un peu d'ambiance. Il a peut-être envie de faire un peu plus de politique mais il sait qu'avec Sassou, dès qu'il aura lâché sa kalachnikov, un souris hybride mélange souris/cobra risque de lui causer une morsure mortelle... Ce n'est pas parce qu'il a signé des documents qu'il est obligé de les respecter. A ce propos, ce n'est pas Sassou qui lui reprochera de ne pas respecter une signature sur un bout de papier, lui qui ne respecte même pas sa propre constitution pourtant taillée sur mesure. Pour exemple, il a nommé un premier ministre et créé un poste de vice-président ; ce qui n'était pas prévu au départ et, pour finir, il a nié la création de la Commission Electorale Indépendante qu'il avait pourtant inscrite au bic rouge dans sa constitution mais nous savons qu'il utilise une encre à base de mensonge. N'est-ce pas le même Sassou qui dissimule son séjour hospitalier en vacances en Espagne et au Maroc. Ntumi - le Christ lui pardonnera - peut en faire autant ! Il lui suffira de composer un bon cantique au Seigneur. Il adore ça...

Comme pour ne pas nous faire démentir, on apprend que Ntumi n'est pas entré à Brazzaville où il aurait préparé un coup d'Etat avorté. Si Sassou avait appelé Kolélas au chevet de son lit d'hôpital, c'est que l'affaire est grave. Il vaut mieux que ce "nouveau parent" soit à mes côtés pour éviter qu'il ne prenne le pouvoir, a dû penser Sassou. Voici le récit trouvé dans CONGOPAGE d'un témoin "oculaire" qui n'a pourtant pas vu Ntumi !
Ntoumi rebrousse chemin aux portes de Brazzaville ce 10 septembre 2007 : témoignage oculaire
mardi11 septembre 2007 |  (41) Commentaires
Ntoumi dans les bras d’un émissaire gabonais (image d’archive)

Attendu ce 10 septembre 2007 à Brazzaville, Frédéric Bintsamou (Bitsangou ?) alias Ntoumi n’a pu fouler le sol de la capitale faute d’un "modus vivendi" avec les autorités gouvernementales. De guerre lasse, le Révérend-Pasteur a repris armes et bagages pour son fief de Loukouo. Témoignage.

Les faits que j’ai vécus

Depuis mercredi dernier une horde de Ninja a été logée au centre sportif et universitaire de Makélékélé. Aujourd’hui ça fait 3 ou 4 nuits que nous dormions mal, inquiets. Ces Ninjas, pas plus d’un millier, reconnaissables à leurs locks et aux foulards violets, induisaient une tension parfois involontaire. Il suffisait que trois se réunissent, pour que le Mauritanien d’à coté ferme son échoppe. On a appris le vendredi soir le viol d’une fille à Bacongo par l’un d’eux, et le samedi le racket d’un taxi. Ce dimanche, le marché Total qui a timidement ouvert ses tables a fini par les refermer vers midi, au lieu de 19 h comme d’habitude. Beaucoup d’habitants de Bacongo ont quitté les maisons pour se réfugier dans la partie Nord de la ville. « Pas moi, car je n’ai pas voulu en rajouter à cette psychose finalement sans fondement. »

Ce lundi midi, mon quartier « Bacs » (Bacongo) adoré ressemblait à une ville morte. Je suis rentré tôt du travail tellement les nouvelles les plus folles fusaient de partout. Sur l’avenue Matsoua, plus aucun bus, aucun taxi, aucun véhicule ne circulait. Que de piétons ! On aurait cru à un départ vers le stade en match décisif du championnat national de Football entre Diable Noire/Etoile.
C’est ainsi que j’ai appris qu’à 14h, le pasteur Ntoumi devait tenir meeting au Centre sportif. Lui même serait à Madibou, en pourparler avec les envoyés du régime.

15h le centre sportif est noir de monde ; un monde fou. Alors là, je commence à me poser des questions. La peur, c’est vrai, a gagné depuis 3 jours les quartiers sud. Mais pourquoi tout ce monde tient-il à assister à ce discours ? Pourquoi tant de gens sont jonchés aux abords de l’avenue de l’OUA, depuis le pont du Djoué pour vivre de leurs yeux l’entrée de Ntoumi à Brazzaville, alors que cet homme fait peur, et ses gens présentés comme ayant "perdu le réseau" ( signifie devenir fou) depuis longtemps à cause de l’accoutumance au chanvre indien. Il y a peu d’enfants, beaucoup de badauds entre 16 et 50 ans. J’y ai vu des handicapés qui ne pourraient même pas fuir en cas de problème. Pour un peuple traumatisé, je ne voyais aucun signe de peur. Curiosité ? Non, cet homme a pourtant inspiré la terreur et la mort, le risque de bombardement etc. Qui peut avoir une curiosité aussi morbide ?

J’ai posé quelques questions, et il me semble avoir compris que le Pool devenu orphelin d’un leader politique est prêt à applaudir le premier fou qui tient tête à ce régime qu’on exècre tant. En posant des questions j’ai réalisé que beaucoup de gens y parlaient lingala dans cette foule. Si ce sont les envoyés du régime, qu’ils lui disent ce qu’ils ont vu. Qu’ils soient francs. Sassou comprendra peut-être que la paix ne tient pas à la cooptation de Kolélas, mais à la satisfaction d’une majorité. C’est loin d’être le cas.

Je vous assure, c’était un mélange de fascination et de torpeur. Une sorte de plaisir de se sentir existé et représenté, mais par un leader avec qui on se sent pas en sécurité.

Hélicoptère

Vers 16h, je tente de rentrer chez moi, et là je suis obligé de traverser la place du meeting. Je crois que la seule fois qu’elle a été si noire de monde, c’était lors du premier meeting de Kolélas à son retour d’exil. Quand on ne savait pas encore qu’il allait y annoncer son ralliement au PCT. Je n’ai pas compté, ni eu une position de hauteur pour évaluer, mais c’était impressionnant en longueur. Et le nombre de personnes arborant le violet de Ntoumi avait considérablement augmenté. Pas de brazzavillois s’étant déguisé par solidarité, mais des rastamen, comme les autres. J’ai compris que les Nsiloulou (un millier au moins) qui logeaient au Centre sportif ne constituaient pas le seul contingent. D’autres venaient soit d’arriver, soit composaient avec la population. Mais ils sont assez distinctif pour être confondus.

Pendant que je traverse la foule, un hélico militaire se fait entendre, puis voir, survolant Bacongo sur l’avenue de l’OUA, puis les abords du fleuve. Il n’en fallait pas plus pour monter la tension d’un cran. Les chefs Ninjas se concertant, j’ai compris que je ne pouvais que rebrousser chemin et attendre du coté de Bifouiti que ça se calme. Sur mon passage du retour j’ai d’ailleurs croisé Willy Matsanga dans une auto, sans doute la seule voiture à circuler jusqu’à cette hauteur. Il y sermonnait les Ninjas en les sommant de ne pas commettre la gaffe de mettre un seul pied dans son fief de Kinsoudi. "Pas de désordre chez moi pour qui veut vivre". L’avertissement semblait clair et compris par les Ninjas.

Echec et mat

A 17h ont apprend que les négociations de Madibou (à 14km de là) ont échoué entre le régime et Ntoumi. Motif, ce dernier est stationné avec sa garde rapprochée à Madibou, plus de 2000 personnes armées jusqu’aux dents et aux fesses, qui ne les abandonneront pour rien au monde. Pour les émissaires de Mpila, seule l’armée peut assurer la sécurité du chef spirituelo-militaro-politique qu’il est, et que ses gars doivent faire comme les premiers contingents venus l’attendre à Brazzaville depuis près d’une semaine, c’est à dire déposer les armes avant le pont du Djoué. Le nouveau Rubicon.

Ntumi qui déteste être au même endroit, qui de plus est identifié par l’armée, abrége les négociations et se retire. Si au départ c’était pour les poursuivre demain, un bruit a couru disant que des troupes ont pris les positions de Ntumi abandonnées dans le Pool. Il donne alors immédiatement l’ordre à ses troupes massées dans Brazzaville, de reprendre le chemin du retour.

Chair de « pool »

A moment là il est 17h30-18h. Je me trouve en aval de l’avenue de l’OUA, dans une maison à deux niveaux. Je vois au loin et de haut, les Ninjas redescendant l’avenue, avec leurs petits bagages de voyage au bras : nattes (éponges pour certains) attachées en balluchon. Je vous assure que j’ai eu la "chair de Pool". Ils devaient être pas moins de 5000. Pour une fois, je pouvais les distinguer très nettement de la foule des curieux car ils occupaient la totalité de la chaussée tandis que les brazzavillois restaient sur le trottoir. Il y avait des hommes et des femmes. Des mamans devrai-je dire, celles qu’on nous présente souvent comme des otages de Ntumi. Elles sont venues dans le cortège 3 jours auparavant, et repartaient avec lui. Si beaucoup de ces dames portaient des treillis militaires, arboraient des locks ou un béret militaire souvent sale et troué, d’autres ressemblaient à d’innocentes jeunes vierges, mais le tissu violet bien en évidence. Une d’entre elle en avait acheté en grande quantité, et revendait au mètre à ses compagnons.

Le défilé même pas encore fini, on m’appelle de Ouenzé : "Alors mon gars, vous venez d’échouer à un coup d’Etat" me lance t-on. Je suis surpris. Au nord de Brazzaville, ils auraient appris que des Ninjas avaient infiltré depuis 1 semaine tous les quartiers de Brazzaville. Il ne restait qu’à Ntoumi de rentrer aujourd’hui avec ses troupes armées, d’assiéger le palais du parlement en faisant du coup le QG du putsch, avant de diffuser sur une chaîne de la RDC un discours déjà enregistré. « Heureusement que le vaillant colonel Cobra délégué aux négociation avait compris le truc » me disait mon pote de Ouenzé en riant.

Waouh. Dans ce pays les rumeurs préparent souvent quelque chose.

Bref, me voici alors au Cyber pour vous le raconter. Il est 20h15 à Brazzaville.
Je vais demander à nos ancêtres de nous protéger. J’espère que ça marchera.

Ntoumi rebroussera t-il chemin ? Le pouvoir acceptera t-il un minimum de sa propre garde (sachant qu’elle déconne souvent) ? On le saura demain.

Correspondance de KAMIT depuis Brazzaville


La version AFP

Congo : l’ex-chef rebelle Ntumi repart dans son fief sans entrer dans Brazzaville

BRAZZAVILLE (AFP) — L’ex-chef rebelle congolais, le pasteur "Ntumi", a regagné lundi son fief du Pool (sud-est du Congo), sans être entré comme prévu dans Brazzaville, où il devait prendre des fonctions officielles, après dix ans à la tête d’une rébellion congolaise.

Mais le gouvernement congolais a indiqué lundi soir à la presse que le "principe" de la prise de fonctions officielles à Brazzaville du pasteur Ntumi était "maintenu" et n’était qu’une question de temps.

Retranché dans son fief du département du Pool (sud-est), Frédéric Bintsamou, alias pasteur Ntumi, devait entrer dans Brazzaville pour prendre ses fonctions de "délégué général chargé de la promotion des valeurs de paix et de la réparation des séquelles de guerres", auquel l’a nommé en mai le président Denis Sassou Nguesso.

"J’ai regagné le Pool" limitrophe de Brazzaville, a-t-il déclaré lundi soir à l’AFP.

"J’étais arrivé non loin du pont du Djoué (qui marque l’entrée sud de la capitale) à 09H00 (08H00 GMT). Puis, les autorités nous ont dit +attendez on va venir vous chercher+", a-t-il expliqué.

Selon lui, une foule importante s’était rassemblée au niveau du pont, mais a été brutalement dispersée dans l’après-midi par un survol d’hélicoptères et par des militaires qui ont ouvert le feu. D’après le pasteur Ntumi, plusieurs personnes ont été blessées.

Selon un journaliste local habitant non loin du pont, dans le quartier de Makélékélé, "des coups de feu nourris a priori en l’air ont semé la panique" en début de soirée.

Désormais, "j’attends des garanties de la communauté internationale" pour entrer dans Brazzaville, a ajouté Ntumi. "On ne peut pas rompre le dialogue" avec le gouvernement, mais "désormais il faudra qu’il y ait des témoins", a-t-il conclu.

Côté gouvernemental, on essayait de calmer le jeu.

"La prise de service n’a pas pu se faire. Ce n’est pas dramatique, le principe est maintenu. Il n’y a pas de problème, il n’y a pas de crise", a déclaré à la presse le ministre congolais de la Communication, Alain Akouala.

"L’arrivée du pasteur Ntumi à Brazza et la prise de ses fonctions n’est qu’une question de temps, de raison, de discernement, de sagesse de part et d’autre", a-t-il ajouté.

Selon le ministre, le pasteur Ntumi n’a pas respecté le programme initialement prévu et le gouvernement a été "pris de court" par son arrivée ces derniers jours au sud de Brazzaville.

Le ministre a également dénoncé la présence avec le pasteur Ntumi - dont les miliciens ninjas et nsiloulous ont combattu l’armée congolaise dans le Pool entre 1998 et 2003 - de "plus de 100 éléments" lourdement armés.

L’échec du retour du pasteur Ntumi est intervenu après d’ultimes négociations qui se sont déroulées tout au long de lundi entre les autorités congolaises et ses représentants.

Ces discussions à huis clos ont eu lieu à la primature entre le Premier ministre congolais Isidore Mvouba, le directeur de cabinet du chef de l’Etat Firmin Ayessa, le haut commandement militaire, l’archevêque de Brazzaville Anatole Milandou, et les représentants du Conseil national des républicains (CNR) du pasteur Ntumi, a constaté un journaliste de l’AFP.

M. Bintsamou doit mettre à la disposition du gouvernement quelque 5.000 de ses éléments qui seront réinsérés dans le cadre du Programme national de démobilisation, désarmement et réinsertion (PNDDR), financé par la Banque mondiale.

Ce Programme concerne en tout 30.000 ex-combattants des diverses guerres civiles ayant déchiré le Congo dans les années 90, dont plus de la moitié ont déjà été démobilisés.



Partager cet article
Repost0

PrÉSentation

  • : JOURNAL D'ACTUALITES ANIME PAR LE LION DE MAKANDA. SITE WEB DES DEMOCRATES CONGOLAIS COMBATTANT LA DICTATURE SASSOU NGUESSO
  • : Journal d'actualités sur le Congo-Brazzaville administré par le LION DE MAKANDA (LDM) pour les démocrates patriotes du Congo-Brazzaville œuvrant pour le retour de la démocratie perdue en 1997. Nous nous battons par amour avec les mots comme armes et le Web comme fusil.
  • Contact

STATISTIQUES

 

D.N.C.B. : PLUS DE 15.000.000 DE PAGES LUES ***, PLUS DE 10.000.000 VISITEURS DE UNIQUES, *** PLUS DE 3000 ARTICLES, *** 517 ABONNES A LA NEWSLETTER, *** PLUS DE 2500 COMMENTAIRES... 

Recherche

MESSAGE&RADIO&TV DU JOUR

LDM_SWING.gif

                                               

Archives

VIDEO DU JOUR

 

 



Articles RÉCents

IMAGES

SassouKadhafi.jpgBonobo-copie-1.jpgBedieOuattara.jpg4lions-drinking.jpgBernard-Kouchner-Nicolas-Sarkozy-Mouammar-Kadhafi-1.jpgchemindefer-1-.jpgbrazza_la_poubelle.jpgChristel-Sassou.JPGchiracsassou3.jpgedouoyo1.jpglisb1-1.jpgbrazza-la-poubelle-1.jpgplissouba3.jpgdebrazza.jpg