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6 novembre 2015 5 06 /11 /novembre /2015 16:47

Depuis 1997, personne n'a osé porter plainte directement contre le criminator Denis Sassou Nguesso à la Cour Pénale Internationale. Vous me direz qu'il y a l'affaire des disparus du Beach mais on peut vous rétorquer qu'il n'est pas personnellement poursuivi. Quant à l'affaire des Biens Mal Acquis, il ne risque pas du tout de dormir dans une prison française. Juste appréhende-t-il de perdre ses hôtels particuliers mal acquis avec de l'argent public volé. Si la justice française envisage de saisir des biens et des comptes, Denis Sassou Nguesso ne redoute pas du tout d'être arrêté. D'ailleurs, la lenteur du procès a quelque chose de navrant, pour ne pas dire suspect.

C'est désormais chose faite car une plainte vise directement le monarque absolu du Congo - même si la recevabilité de celle-ci n'est pas encore acquise pour le moment à la Cour Pénale Internationale. Nous vous tiendrons au courant des suites données à cette plainte introduite par un courageux compatriote à la CPI.

Denis Sassou Nguesso mérite de se retrouver dans la situation d'Omar El Béchir, président du nord-Soudan, pour répondre de ses crimes contre l'humanité et sa planification d'un génocide contre les populations Kongos lors de l'opération qui porte le nom de sa mère Mouébara. Il est plus que temps d'utiliser l'arme juridique pour combattre la dictature du monstre de l'Alima.

Il est intéressant de savoir que les crimes contre l'humanité ne sont pas prescrits - ce qui empêche aux dictateurs de dormir et de se déplacer librement car ils risquent en cas de crime contre l'humanité reconnu, d'être arrêté, n'importe où et n'importe quand. Même si Denis Sassou Nguesso prévoit de ne pas être extradé dans sa nouvelle Constitution - issu de son putsch référendaire - qui transforme le criminel en innocent et l'accusateur en coupable dans son article 89, il arrivera un jour au Congo un gouvernement démocratique qui remettra de l'ordre dans cette légitimisation du crime, le criminel se transformant en un véritable James 007 de la politique avec permis de tuer sans risque d'être un jour extradé - c'est ce qu'on appelle l'impunité absolue avec assurance de mourir dans son village natal sans redouter de répondre de ses crimes. La lutte contre ce régime a pris une nouvelle tournure, la contestation ayant gagné le Congo. Comme on le dit : l'homme propose, Dieu dispose. Et ne dit-on pas : "VOX POPULI, VOX DEI" ?

Nous avons d'éminents hommes de loi, de bons avocats, à l'étranger - notamment en France. Si cette plainte est recevable, il faudra que l'un de vous se dévoue à défendre la cause du peuple...

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB, MBUTA MUNTU

CPI : LA PREMIERE PLAINTE PORTEE CONTRE DENIS SASSOU NGUESSO DEPUIS 1997
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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 19:22
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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 15:58
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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 15:48
PARIS/SAMEDI 7 NOVEMBRE : LES DIASPORAS DES DEUX CONGO ORGANISENT UNE GRANDE MARCHE
Grande marche des deux Congo pour demander le départ de
Denis Sassou Nguesso
et de
Joseph Kabila
Date : samedi 7 novembre 2015.
De 14h00 à 19h00
14h00 départ : Porte de Clignancourt
Arrivée : Place de la République
Venez nombreux !

 

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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 01:06
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4 novembre 2015 3 04 /11 /novembre /2015 01:05
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3 novembre 2015 2 03 /11 /novembre /2015 21:46
COUP D'ETAT CONSTITUTIONNEL : LA DESOBEISSANCE CIVILE DOIT SE POURSUIVRE !

Avant de commencer mon propos, je tiens à remercier tous ceux qui m'appellent ou m'écrivent à travers le monde. Cela renforce ma détermination car je sais que notre cause est juste et mérite d'être défendue toute une vie, s'il le faut.

Lorsque Jeune Afrique, un journal pro Sassou, écrit que la désobéissance civile a été suspendue pour permettre la négociation, c'est tout simplement de l'intox. On ne négocie pas avec un dictateur qui vous embastille à domicile pendant deux semaines sans le moindre mobile, un homme qui a prouvé que seule sa volonté compte au détriment de celle de tout un peuple qui ne veut plus de lui, un monstre qui ordonne que ses mercenaires tirent sur des jeunes désarmés qui viennent juste manifester pacifiquement leur hostilité à un régime dictatorial qui n'a en fait depuis 1997 aucune légitimité - si on s'en tient à la Constitution du 15 mars 1992 qui proscrivait le coup d'Etat.

Les jeunes doivent poursuivre la désobéissance civile inscrite dans les Constitutions du 15 mars 1992 et du 20 janvier 2002 et la traduire par des actes de sabotage empêchant l'appareil d'Etat de poursuivre son oeuvre de destruction du pays. Il faut que le Congo bascule dans un soulèvement populaire généralisé. Il n'y a rien à négocier. Nous exigeons le respect de la Constitution du 20 janvier 2002. C'est tout. Et cela ne nécessite aucune négociation - juste le retrait du coup d'Etat constitutionnel. 

Denis Sassou Nguesso ne comprend que le langage de la force et ne respecte que la force. Hélas, nous ne pouvons lui opposer une résistance armée qui serait pourtant légitime ; il ne nous reste que la désobéissance civile. La négociation ne concerne en rien le peuple et les humiliations qu'il subit au quotidien. Le sang de nos jeunes est encore chaud pour qu'on puisse oublier les crimes de sang-froid du régime dictatorial du PCT. Que va-t-on négocier ? Denis Sassou Nguesso a-t-il suspendu son putsch constitutionnel pour que l'"opposition" demande au peuple de suspendre la désobéissance civile ? Non, il faut au contraire accroître la pression. 

A partir de la date du 25 octobre 2015, actant le putsch constitutionnel de Denis Sassou Nguesso, l'Etat-voyou, l'Etat assassin, l'Etat corrompu, l'Etat privatisé, est devenu est un Etat illégal, un Etat illégitime. On ne négocie pas avec l'illégalité et l'illégitimité, on ne discute pas avec le gangstérisme politique : on les balaie par tous les moyens. Et le balai de la rue en est le premier moyen. Nous vous le demandons derechef : NE CEDEZ PAS !

Vous les jeunes du Congo, vous les désoeuvrés, les oubliés et les sacrifiés de la république, vous avez du temps et de l'énergie. Utilisez-les pour changer votre devenir. Sabotez les voies ferrées pour interrompre l'exportation de nos ressources par les alliés chinois de Sassou. Agissez de préférence la nuit. Denis Sassou Nguesso ne pourra pas mettre un soldat à chaque mètre du chemin de fer. VENGEZ NOS MORTS, NOS MARTYRS ! Que le sang versé par nos martyrs ne le soit pas pour rien ! Vous recevrez le reste des consignes par téléphone et par d'autres moyens.

Si le FROCAD et l'IDC veulent négocier on ne sait quoi avec le régime des crocodiles du PCT sur votre dos, cela ne vous concerne en rien. Poursuivez votre travail d'investigation sur les ressources physiques et humaines de ce régime.

Ils ont sacrifié votre avenir, jeunes du Congo. Battez-vous pour changer le présent afin de déterminer un meilleur avenir pour vos enfants et vos petits-enfants.

Le Kouilou doit être le fer de lance de la désobéissance civile pour montrer l'exemple aux autres régions car 80% des recettes du pays viennent de cette région mais elle n'en profite pas du tout. Bravo, aux jeunes de Sibiti pour leur courage !

Jeunes du Kouilou, le pétrole est extrait dans votre région ; pourtant, vous n'en bénéficiez pas : vous vivez dans la misère, dans la saleté, sans eau potable, sans espoir, affamés, malades et désoeuvrés. Vous méritez mieux que les 5000 francs cfa que Colinet Makosso vous donne pour vous corrompre. Quant aux emplois, vous les locaux, êtes écartés au bénéfice de ceux qui viennent d'ailleurs par pur tribalisme. Rien n'empêche une décentralisation de l'emploi pour que les locaux soient mieux servis. Votre révolte sera déterminante. Les négociations ne vous concernent en rien : il ne s'agit que du positionnement des hommes politiques autour de la marmite de KoKa-Mbala dont Sassou est le marmiton en chef. Nous sommes au courant qu'il se trame un gouvernement d'union nationale. Tant pis pour ceux qui rejoindront l'Etat illégal ; ils seront balayés avec lui.

Sciemment, le monstre de l'Alima refuse de construire une université à Pointe-Noire, une ville de plus d'un million d'habitants, juste pour vous priver d'éducation cette ville du sud, parce que du sud, car à Brazzaville, sans bourse en première année, nombreux d'entre-vous abandonnent les études. C'est par ailleurs illégal de priver les étudiants de première année de bourse : tout le monde n'a pas de riches parents qui profitent du système inique mis en place par le LEVIATHAN d'Edou.

Quand l'avenir est obstrué par la méchanceté d'un régime despotique et tribal, la résistance et la désobéissance civile deviennent des obligations, non, des LOIS.

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

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3 novembre 2015 2 03 /11 /novembre /2015 15:53
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3 novembre 2015 2 03 /11 /novembre /2015 15:28
CORRESPONDANCE : MA REPONSE A JCB DE LILLE

Cher JCB,

bonjour. Je tiens à vous remercier pour votre mail qui me donne l'occasion de préciser mon interrogation sociologique qui ne doit pas faire peur aux vrais démocrates de notre pays. C'est en pointant du doigt les vrais problèmes que nous pourrons améliorer la donne politique dans notre pays. En effet, si nous faisons un mauvais diagnostic des maux politiques qui entravent le développement et le vivre-ensemble dans notre pays, il est à redouter que les maux persistent encore longtemps. Cinquante-cinq ans, c'est déjà trop !

C'est très dur de constater qu'au nom d'une certaine idéologie séparatiste politiquement instrumentalisée, opposant les Congolais entre eux, une frange de nos compatriotes préfère accepter leurs souffrances en soutenant un dictateur qui ne connaît qu'une seule ethnie : LE POUVOIR. Lors de la contestation contre le coup d'Etat référendaire dans notre pays, je m'attendais à un peu plus de solidarité collective toutes régions confondues car tous les Congolais souffrent sans distinction. Or, il n'en a pas été le cas. Cela prouve qu'une certaine manipulation politique clivant la république fonctionne et pour l'exorciser, il faut parfois aller dans le coeur de la contradiction dialectique. Cependant, je sais que ce qui se déroule à Brazzaville et qui n'a rien à voir avec la dichotomie politique artificielle nord/sud, a ébranlé tout le Congo et que les choses risquent de ne plus être pareilles. La question est : sommes-nous capables de dépasser les méfiances ethniques instrumentalisées par le régime du PCT pour restaurer la démocratie ? C'est en posant clairement la question que l'on peut provoquer une prise de conscience.

La transformation des droits de tous en privilèges ethniques ne peut plus durer. Vous en avez certainement subi les conséquences en essayant de vous implanter au Congo. On ne peut que soigner par la vérité crue les maux causés par une certaine perversion politique. Oui, nous luttons contre des maux multiples. Parfois, il sied de mettre le doigt dans le pus pour être capable de l'extirper. Pour l'instant, l'injustice ethnocentrée est imposée aux Congolais par la force. Jusqu'à quand ? Que se passera-t-il quand le constat de l'impossibilité de la vie commune deviendra une évidence aux yeux de tous ? Allons-nous nous rwandiser, nous antibalakiser en se massacrant les uns les autres ? Cinquante-cinq ans d'espoir non tenu, cinquante-cinq ans de promesses vides, cinquante-cinq ans d'une république qui joue sans cesse à la dictature en se faisant passer pour une démocratie ressemblent à cinquante-cinq ans de mensonges. 

Il est temps de se dire les choses en face. Cette chose artificielle construite par le colon pour le colon - bien que chevauchée par un gouverneur noir - peut-elle encore durer ? Si rien ne change, il est à redouter que la haine l'emporte et dévaste tout sur son passage. Il arrivera et il arrive déjà que ceux qui n'ont rien à perdre osent braver les canons qui les réduisent à mourir de faim. Au Congo, il y a comme la planification d'une castification politique que j'ai tenu à dénoncer et si la vérité est amère comme le sang des jeunes du Kouilou que les mercenaires du régime massacrent, alors je suis amer.

J'ai fait le constat de deux extrémismes qui minent la politique de notre pays depuis son indépendance : celui des tenants du pouvoir au nord et ceux qui aujourd'hui prônent la scission parce qu'il leur paraît impossible de trouver un point de réconciliation républicaine entre les deux bords, héritiers des tenants du pouvoir au sud. Depuis le début, les troubles ont opposé deux camps dans notre pays : le nord et le sud ; ce qui fait croire à ceux qui défendent la scission que seuls deux Etats pourraient résoudre le problème et je redoute que face à l'extrémisme du nord qui redoute la démocratie en pêchant par déficit démographique, préférant par conséquent conquérir le pouvoir au bout du canon et les autres qui aspirent à la démocratie des urnes, que le Congo ne soit politiquement dans un cul-de-sac. Dites-moi : quelle place faisons-nous à la démocratie et à la république quand nous nous retrouvons coincés entre deux formes d'extrémismes nord-sud qui paraissent politiquement irréconciliables ? Une certaine manipulation qui a certainement atteint le subconscient de certains de nos compatriotes empêche à une frange de la population de croire en une république juste, ouverte à tous et ipso facto à la démocratie - au point de préférer soutenir un dictateur qui a ethnisé la force publique afin de conserver ad vitam aeternam le pouvoir.

Les solutions existent mais entre le modèle républicain et la réalité sociale telle que vous l'avez constatée, vous-même, il y a un abysse qui se creuse et se renforce depuis cinquante-cinq ans. Cinquante-cinq ans ! Une durée qui vaut qu'on en discute, qu'on y réfléchisse. Si le modèle est bon, alors l'homme, le politicien congolais est mauvais puisqu'il ne parvient pas à l'appliquer correctement. Si l'homme est bon et le modèle mauvais, il faut changer de modèle et si l'homme et le modèle sont mauvais, il faut éduquer l'homme et changer de modèle. Enfin, pourrons-nous réussir à créer une société harmonieuse dans laquelle l'homme est bon et le modèle adapté à ce dernier. Voilà en substance, ce que j'ai écrit et dénoncé. 

Ce n'est pas de l'amertume mais une gifle reçue de la réalité qui m'a démontré que les vieux démons ethniques n'étaient pas morts et qu'il fallait les combattre à visage découvert - au lieu de faire semblant de ne pas percevoir le problème qui mine notre république.

Justement, j'ai voulu réveiller ceux qui dorment encore et qui ne mesurent pas la gravité de la situation. Les conséquences à l'avenir risquent d'être dramatiques pour tout le pays. Il est peut-être encore temps d'éviter le pire. Qu'est-ce qui nous attend lorsque nous aurons consommé l'échec de la république héritée de la colonisation ? Je vous laisse répondre à cette redoutable question.

Il est à redouter qu'après cinquante-cinq (55) ans, que le mal soit devenu incurable et que la solution ne soit dans l'amputation d'un membre. J'espère avoir essayé de me faire comprendre.

Que pouvez-vous faire pour le Congo, mon cher JCB ? Arrêter avec l'indifférence et rejoindre ceux qui rêvent encore de changer la donne politique. Plus nous serons nombreux, plus nous ferons porter la voix de la restauration de la démocratie perdue en 1997. Il faut rassembler les Lillois et commencer à faire entendre la voix des Congolais à Lille pour que les parisiens cessent de croire que la seule diaspora congolaise est celle de Paris. Il est peut-être encore temps de sauver ce qui nous reste de république. Après, il sera certainement trop tard. Les puissances du monde viendront nous imposer des solutions de l'extérieur.

Patriotiquement,

 
LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

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3 novembre 2015 2 03 /11 /novembre /2015 11:18
UN MESSAGE ENVOYE PAR ANDRE OKOMBI SALISSA

André Okombi Salissa et le Lion De Makanda se suivent mutuellement sur Twitter. Ayant appris que le système dictatorial avait desserré son étau en retirant sa soldatesque de mercenaires qui entourait sa demeure, j'ai voulu en avoir le coeur net. J'ai envoyé un message au député de Lékana qui a confirmé qu'il était bien libre de ses mouvements ainsi que Parfait Kolélas. Des supputations font écho de négociations secrètes mais les deux leaders de l'IDC semblent déterminés à poursuivre leur combat contre la dictature. Il est évident que des pressions se sont exercées sur le pouvoir. La diaspora a aussi reçu dans le message que j'ai reçu sa part de reconnaissance.

André Okombi Salissa et Guy Brice Parfait Kolélas sont libres de leurs mouvements mais nous ignorons quelle tournure va prendre la résistance à la dictature du PCT sur le pays.

Il s'agit à présent temps d'affiner la stratégie du FROCAD et de l'IDC qui semble fortement essoufflée car des messages contradictoires se chevauchent et se croisent sur les réseaux sociaux.

Que va-t-il à présent se passer ? Le FROCAD et l'IDC vont-ils renoncer à motiver le peuple afin qu'il sorte dans les rues ? Quelle forme va prendre la résistance à l'oppression, à la dictature ? Le pouvoir a-t-il réussi à affaiblir l'opposition ? Quelle forme va prendre l'activisme du FROCAD et de l'IDC ? Le pouvoir va-t-il encore leur laisser organiser des meetings ? Et que vont-ils faire : obtempérer ou désobéir ? Dans la mesure où le régime dictatorial semble bénéficier de l'appui de la France, quels sont les ressorts dont disposent le FROCAD et l'IDC au niveau international ? Dans tous les cas, nous appelons le peuple à ne pas faire une croix sur ses propres droits. Le coup d'Etat référendaire ne doit pas être accepté. La désobéissance civile doit se poursuivre et même s'intensifier.

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

UN MESSAGE ENVOYE PAR ANDRE OKOMBI SALISSA
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