Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
2 juin 2016 4 02 /06 /juin /2016 13:11
DIALOGUE : OUI, SI C'EST POUR DIRE A SASSOU DE PARTIR AU MOIS D'AOUT 2016 !

Et ils remettent ça ! Ils veulent dialoguer pour imposer à ceux qui leur résistent leurs quatre volontés ! Dialogue-t-on avec un terroriste ? Sachez qu'on ne dialogue avec un usurpateur que sur la restitution du trône, du pouvoir et, surtout, ce n'est pas lui, l'usurpateur, qui peut conduire un tel dialogue, ni en formuler les objectifs. Avec un voleur, on exige la récupération de l'objet volé - avant de l'entendre. Qu'on ne s'y trompe pas : Denis Sassou Nguesso veut dialoguer à ses conditions en menant la danse pour se faire reconnaître comme le roi du Congo. Ce dialogue ne doit pas être accepté. La forme et le contenu du dialogue sont bien définis par le contexte politique actuel. Dialoguons sur le départ de Denis Sassou Nguesso dont le mandat s'arrête en août 2016. Après, il n'est plus du tout un chef d'Etat selon la constitution du 20 janvier 2002, la seule toujours en vigueur. Tout le reste ne relève que de la farce politique qu'on veut nous faire avaler de force. Ce coup-ci, c'est NON, NO, NIET, KAANI, VE, TE, TO BOYI, BETO ME MANGA !

Si l'opposition va au dialogue aux conditions du régime de Mpila, cela équivaudra à valider et à reconnaître le pouvoir du monstre d'Edou qui embastille, torture et tue - sans craindre quoi que ce soit. A Sibiti, Sassou a démontré qu'il pouvait ne dialoguer qu'avec ses serviteurs pour nous faire avaler un cobra ; donc, il n'a pas besoin de dialoguer avec l'opposition mais cherche LA reconnaissance de son pouvoir frauduleux. Nous nous inscrivons en faux contre ceux qui disent que mieux vaut un dialogue que la guerre. Non, il n'y a pas que le dialogue ; il y a aussi le silence et la détermination - surtout lorsqu'on est les vainqueurs par les urnes. La guerre ? Sassou la fait déjà contre notre peuple depuis plus de trente-deux ans. C'est donc faux de croire que nous sommes en paix. Que ceux qui ne sont pas Congolais arrêtent de se mêler à tort et à travers des problèmes du Congo : nous ne nous mêlons pas des problèmes des autres pays et nous sommes capables de trouver des solutions par nous-mêmes.

Combien de fois devrions-nous dire à nos compatriotes que Sassou est le pion de la France ? Et cela depuis les années 70 ? Comment ne voyez-vous pas que la France a choisi de conserver le tueur infatigable à son poste de gouverneur noir du Congo ? Sinon pourquoi Jean Yves Ollivier et l'ambassadeur de France au Congo seraient venus demander au Général Jean Marie Michel Mokoko de reconnaître le pouvoir de l'usurpateur et tricheur Denis Sassou Nguesso ? Jean Yves Ollivier et l'ancien ambassadeur de France au Congo agissent bien entendu au nom de la France car leur seule préoccupation est de garantir intacts les intérêts de leur pays au Congo. Cela peut aisément se comprendre. Eux défendent les intérêts de la France ; nous, nous défendons ceux du peuple congolais qui a désormais compris l'envers du décor de notre dictature de l'intérieur qui est aux ordres de la dictature de l'extérieur.

Denis Sassou Nguesso a des problèmes de reconnaissance au niveau international dans un climat intérieur de faillite économique. Or, si l'opposition avalise son coup d'Etat en reconnaissant sa fausse autorité qui est en fait autoritarisme, il redeviendra fréquentable car il dira : " Vous voyez que ceux qui m'ont battu lors du scrutin présidentiel du 20 mars 2016 me reconnaissent comme leur roi. Donc, tout est en ordre ! "  N'ALLEZ PAS LUI DONNER UN POUVOIR QU'IL N'A PAS. DE TOUTE FACON, N'A-T-IL PAS MONTRE AU MONDE ENTIER QU'IL N'A BESOIN DE PERSONNE POUR SE HISSER ET SE MAINTENIR AU SOMMET DE L'ETAT ? LE DIALOGUE DANS CES CONDITIONS SERAIT LA PIRE DES TRAITRISES A L'EGARD DE NOTRE PEUPLE QUI A VOMI DENIS SASSOU NGUESSO LE 20 MARS 2016.

On ne dialogue pas pour dialoguer. On ne dialogue pas pour se faire avoir. On ne dialogue pas avec un usurpateur. Le faire reviendrait à commettre une erreur grave. Surtout à un moment où la faillite a fait son nid dans la maison Congo. Non, attendons août quand finira son mandat pour lui demander de partir. Avec Sassou, un usurpateur, un dictateur de la pire des espèces, il ne faut pas dialoguer mais ordonner. Denis Sassou Nguesso n'a plus d'ordre à donner à personne. Quiconque voudra parler dialogue avec Sassou d'autre chose que son départ du sommet de l'Etat sera considéré comme un traître à la nation.

Quant à mes compatriotes qui croient que la France voudra jouer aux droits de l'homme en Afrique au détriment de ses intérêts, réveillez-vous ! Combien de fois devrons-nous vous dire que vous avez le pouvoir de changer le régime en France de façon à influer positivement sur votre pays ? C'est d'ailleurs le cas pour tous les Africains. Il faut voter MELENCHON à la prochaine élection présidentielle française. Nous demandons à tous les Africains, de toutes nations, de tous pays, de voter Mélenchon. Même si nous savons bien qu'en matière d'intérêts la France n'a qu'un parti politique, le profit, il vaut mieux choisir le moindre mal et le seul que je trouve à même de nous donner une lueur d'espoir, c'est monsieur Mélenchon. Cela dit, nous ne devons compter d'abord que sur nous-mêmes pour chasser le dictateur qui ne se maintient au pouvoir que parce que nous sommes faibles. Il faut donc que le peuple s'affermisse. Je ne peux pas en dire plus ici.

Que Claudine Munari,  le Général Jean Marie Michel Mokoko, André Okombi Salissa, Charles Zacharie Bowao et tous ceux qui à l'IDC-FROCAD sont restés fermes, tiennent bon. Ne dialoguez que sur le départ de Sassou. Ne réanimez pas le ndzokou qui a perdu tout pouvoir. Pensez à nos morts, à nos prisonniers politiques, à ce peuple à qui on fait boire de l'eau souillée à la merde de Sassou, à ces enfants qui n'auront pas d'avenir parce qu'ils meurent de faim faute de lait maternel, à tous ces jeunes qui meurent d'avc comme si on pouvait mourir sans que le coeur ne cesse de battre. Vous avez décidé de résister à la Bête d'Edou ; il faut tenir jusqu'au bout. Ce siècle est celui des grands bouleversements de l'Afrique. Il faut penser à l'histoire et non à nos petites personnes. L'éléphant est sur le point de s'écrouler. On ne dialogue pas pour le réanimer : il faut lui donner le coup de grâce, un coup de grâce politique...

 

                LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

Partager cet article
Repost0
31 mai 2016 2 31 /05 /mai /2016 21:20
BLOCAGE DE L'ARGENT MAL ACQUIS DES DICTATEURS : LA SUISSE DOIT PRENDRE DES MESURES IMMEDIATES

Nombreux sont mes amis et les membres de mon réseau à m'envoyer l'article du Point que l'on peut trouver à l'url suivante : http://www.sen360.fr/afrique/economie/le-1er-juillet-la-suisse-bloque-l-039-argent-des-dictateurs-36923.html qui annonce un durcissement de la loi helvète à l'égard de l'argent volé aux Etats par les dictateurs comme Denis Sassou Nguesso à partir du 1er juillet 2016. La Suisse promet de bloquer et de restituer les valeurs patrimoniales d'origine illicite à compter du 1er juillet 2016 aux pays tiers sous condition de changement de régime. La justice helvétique pourra séquestrer les avoirs d'un dictateur avant sa chute (ce qui indique qu'elle le faisait à sa chute).

Il y a lieu de se réjouir mais du fait que la LVP ou loi sur les valeurs patrimoniales entre en vigueur le 1er juillet 2016, les dictateurs et leurs acolytes ont un mois pour vider leurs comptes suisses et, si vous avez déjà fait un virement, vous savez que dans le monde bancaire, nul besoin d'un mois pour déplacer des milliards de francs suisses. La décision aurait pu s'appliquer de façon immédiate. Quand on est convaincu qu'il s'agit d'argent sale, pourquoi attendre aussi longtemps pour appliquer la loi ? Les Helvètes savent que l'argent que les dictateurs déposent dans leurs banques est de l'argent détourné, de l'argent mal acquis. Laisser tout un mois à ces voleurs, qui n'hésiteront pas à s'entourer de grosses pointures du barreau pour vider leurs comptes, est scandaleux. Cette mesure pour se montrer véritablement efficace doit s'étendre à toutes les banques, à tous les paradis fiscaux. De toutes façons, nous savons tous, qu'une fois le pouvoir perdu, les banques bloquent les comptes des dictateurs et s'approprient cet argent. L'argent de Sassou n'est pas en Suisse mais en Chine et dans les paradis fiscaux mais si une telle démarche judiciaire faisait tache d'huile, il a beaucoup à perdre. De plus, Denis Sassou Nguesso a sa propre banque comme l'a révélé Mathias Dzon.

Cette situation tombe mal au moment où la faillite couve au Congo. Si les fonds cachés à l'étranger sont bloqués, cela peut affaiblir de plus bel la dictature des crocodiles du Parti Congolais des Tricheurs. Nous avons eu vent que la fausse monnaie est légion dans notre pays pour combler le manque de la vraie...

Nous attendons que la France imite la Suisse pour donner à cette LVP une valeur plus universelle. Pourquoi la France n'agirait-elle pas aussi de cette manière ? Cependant, nous avons quelques doutes quant à l'adoption d'une telle loi en France qui fait bon accueil aux dictateurs du monde entier. Quand on voit l'affaires des Biens Mal Acquis prendre son temps, on se dit qu'il n'y a pas urgence pour les juges français...

Néanmoins, ceci illustre bien qu'il ne suffit que d'une loi pour que les Européens s'approprient l'argent des dictateurs africains entre autres. Il est évident que si restitution il y a, elle ne peut se faire qu'auprès d'un gouvernement démocratique. Donc, cela ne sera pas si facile de recouvrer tout ces milliards d'euros ou de francs suisses. Nous vous l'avons dit : si les Occidentaux voulaient vraiment stopper les dictatures dans nos pays, elles n'ont qu'à agir sur le plan judiciaire : si la signature De Denis Sassou Nguesso n'est plus valable nulle part, il négociera son départ avec les puissances du monde.

Il y a une chose qui m'étonne : si l'Iran a subi un embargo pétrolier, pourquoi le Congo n'en subit-il pas un ? L'Irak aussi a connu un tel embargo. Si une telle mesure n'est pas appliquée dans notre pays le Congo, la raison en est simple : nous n'avons pas la propriété de notre pétrole qui appartient à la France là où l'Iran et l'Irak avaient procédé à des nationalisations. Nous disons à la France que si elle continue à soutenir le dictateur Denis Sassou Nguesso, nous serons dans l'obligation de nationaliser toutes les compagnies pétrolières dans notre pays - quoi que cela déclenche. De toute façon, la chute actuelle du cours du baril de pétrole et la faillite étatique qui en découle présage de ce que sera notre destin lorsque nous n'aurons plus de pétrole. Donc, il nous faut prendre des décisions austères pour préserver l'avenir s'il y a encore quelque chose à sauver...

Même le buffle sait jusqu'à quelle hauteur il doit brouter l'herbe tendre de la savane pour ne pas nuire à la croissance de celle-ci. Le pétrole nous apporte des malheurs parce que nous n'en contrôlons ni la production, ni l'exportation, ni la commercialisation. Tout cela doit changer à l'avenir. Et ce qui est valable pour le pétrole l'est pour tout le reste de nos matières premières. A défaut d'avoir la mainmise sur la monnaie, nous devons au moins réguler NOUS-MEMES nos propres ressources. Nous ne sommes pas sujets de notre économie. C'est une situation qui indique que le Congo est encore une colonie. Si nous voulons vraiment parler démocratie, il nous faudra d'abord devenir véritablement indépendants. Si nous voulons devenir véritablement indépendants, il nous faudra passer MAITRES de notre économie. C'est aussi simple que cela : IL NE PEUT Y AVOIR D'INDEPENDANCE POLITIQUE - SANS INDEPENDANCE ECONOMIQUE. Une paysanne qui possède des tomates qu'elle ne mange pas ou qu'elle ne récolte ou ne commercialise est une esclave qui travaille pour un seigneur. Le fait que le Congo est dépossédé de ses ressources est un indicateur que nous n'avons pas entre nos mains notre destin économique et si notre économie nous échappe, cela ne doit pas nous étonner que notre politique nous échappe aussi. Si vous me lisez et comprenez vraiment ce texte, vous déduirez pourquoi la démocratie a du mal à prendre dans notre pays.

N'ayons pas peur de le dire : le Congo n'est pas encore sorti de l'emprise de la colonisation et ceux qui nous maintiennent en servitude n'ont absolument pas intérêt à ce que cela change. Comme je l'ai dit à l'assemblée nationale, il y a une dictature du dehors et une dictature du dedans qui est au service de la première.

Les banques suisses saisiront l'argent des dictateurs et l'utiliseront à leurs propre fins. Nos dictateurs n'ont rien compris : leur argent n'est pas en sécurité en Europe. De toute façon, les dictatures africaines enrichissent l'Occident et les puissances du monde : on vous laisse des miettes ; vous les prenez et venez les rendre à ceux qui pillent vos pays. Ce n'est que normal que les puissances du monde concluent que vous n'avez pas besoin de cet argent. Alors, pourquoi ne pas le prendre, le spolier à des voleurs ? Si ce n'est pas malheureux, comme le disent mes amis Ivoiriens...

                      LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

Partager cet article
Repost0
29 mai 2016 7 29 /05 /mai /2016 10:46

Il est bon de sortir certaines données des réseaux sociaux qui sont des milieux fermés pour les jeter en pâture sur internet accessible à tout le monde. Avant de poursuivre mon propos, juste une petite anecdote sur la mouambe qui est allée rejoindre le PCT pour servir de sauce-graine aux "crocodiles" politiques du Parti Congolais des Tricheurs, boukouteurs de ngokis à souhait. C'est une illustration du fait que l'UPADS est infestée de traîtres à tous les étages du parti - en commençant par le premier des traîtres, Pascal Tsaty Mabiala à qui nous conseillons de suivre l'exemple de Clément Mouambe. Djibril peut déjà aller encarter au PCT si ce n'est pas déjà fait.

A ceux qui ne savent pas ce qu'est un traître, il faut comprendre qu'un traître prétend être opposé à quelque chose, à un individu, à une structure, à un ordre ou un désordre établi mais dans le secret, il sert la cause qu'il prétend combattre, il est aux ordres du camp qu'il feint de faire tomber. Depuis le début de la politique jusqu'à nos jours, l'usage des espions et des taupes est légion. Un lecteur de Machiavel comme Denis Sassou Nguesso le sait et en use pour demeurer au sommet de l'Etat en sa qualité de gangster illégitime d'Etat avec impunité absolue et droit de tuer car il est à lui tout seul une arme de destruction massive. Tous les grands partis politiques du Congo sont des satellites du PCT...

Clément Mouambe, le franc-maçon, avait-il besoin d'adhérer au PCT - alors qu'il est déjà pseudo-premier ministre d'un pseudo gouvernement au service d'un gangster d'Etat - sans légitimité ? Que le ciel soit clément envers Clément Mouambe quand viendra la chute de l'éléphant que même certains de ses ministres prédisent avant la fin de l'année. L'éléphant va tomber. Il s'agit juste de savoir comment et quand. C'est une question de manière et de temps. C'est la séparation du pays entre le camp de ceux qui comme le pseudo-ministre Léon Juste Ibombo disent : "Le Congo est à nous" et celui de ceux qui sont étrangers dans leur propre pays qui fait durer la chute. L'éléphant ne tombera pas seul : il entraînera dans sa chute aux enfers tous les bonobos pornocrates qui partagent ses orgies noires maçonniques. Comme Ibombolo pense que Sassou ne finira pas l'année, il faut se dire qu'il cherchera à vite s'enrichir pour mieux servir sa libido...

Revenons à notre mouton-bonobo. C'est un échange entre le pseudo-ministre de la communication Léon Juste Ibombo et une demoiselle de vingt-deux ans Aliyana Malonga que nous mettons en ligne. Les captures d'écran et les fautes d'orthographe - y compris celles du pseudo-ministre - plaident pour des documents authentiques non retouchés.

Vraiment, j'aimerais que Denis Sassou Nguesso lise ce que son "serviteur" Ibombolo pense de lui. Si le monstre d'Edou peut passer outre les frasques sexuelles de ses ministres parce qu'il n'est pas lui-même irréprochable pour leur jeter la première pierre, nous apportons ici la preuve que même les nouveaux bonobos pornocrates amateurs de chair fraîche ne croient pas en lui. Léon Juste Ibombo pourra toujours dire que ce n'est pas lui mais quand nous apprenons qu'il a demandé à mademoiselle Aliyana de créer des faux profils sur Facebook pour insulter Denis Sassou Nguesso, cela paraît surréaliste qu'il soit pseudo-ministre aujourd'hui auprès de Denis Sassou Nguesso. Ibombolo a raison de dire qu'il profite d'une opportunité d'enrichissement parce que croit-il que le pays est à "eux" - ce qui conforte l'implacable castification des Congolais en deux classes : ceux qui possèdent le pays et ceux à qui il a été dépouillé. Voilà le fossé mental devenu abysse physique par la différence des moyens entre les voleurs et les spoliés qu'il faudra résoudre.

En espérant que madame Ibombo, pauvre épouse cocufiée, lira ce message, nous souhaitons à celle que son époux appelle la "nonne" un bon dimanche au nom du Seigneur. Au pseudo-ministre opportuniste Léon Juste Ibombo, nous souhaitons un bon conseil des pseudo-ministres en présence du pseudo-président. Sans nul doute, Denis Sassou Nguesso ne manquera pas de le féliciter pour son nombrilisme avéré car le comportement sexuel d'un homme un indicateur de son état mental. Franchement, j'ai pitié de mon pays qui vit sous une escroquerie politique depuis près de vingt ans.

Je l'ai dit et je le redis : la connaissance des hommes est la première grande qualité qu'un grand chef doit avoir. Hélas, nous avons à la tête du pays un nain politique - même si Denis Sassou Nguesso est un grand assassin ayant fait du crime le seul moyen de conserver son pouvoir illégitime...

 

                    LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

QUAND UN PSEUDO-MINISTRE DU GOUVERNEMENT MOUAMBE ESTIME QUE SASSOU NE FINIRA PAS L'ANNEE AU POUVOIR
QUAND UN PSEUDO-MINISTRE DU GOUVERNEMENT MOUAMBE ESTIME QUE SASSOU NE FINIRA PAS L'ANNEE AU POUVOIR
QUAND UN PSEUDO-MINISTRE DU GOUVERNEMENT MOUAMBE ESTIME QUE SASSOU NE FINIRA PAS L'ANNEE AU POUVOIR
QUAND UN PSEUDO-MINISTRE DU GOUVERNEMENT MOUAMBE ESTIME QUE SASSOU NE FINIRA PAS L'ANNEE AU POUVOIR
Partager cet article
Repost0
27 mai 2016 5 27 /05 /mai /2016 20:54
FRANCOIS OSSELE EST LE GENERAL QUI DIRIGE L'OPERATION MOUEBARA II

Au prétexte d'arrêter le pasteur Bintsamou Frédéric alias Ntumi, Denis Sassou Nguesso parachève l'opération Mouébara I par l'opération Mouébara II dirigée par le Général François Osselé, un nom qu'il faudra ajouter sur la liste des génocidaires envoyée à la Haye. Toute goutte de sang versée au Congo et toute larme injustement arrachée à l'oeil de nos compatriotes demandent désormais justice. Nous avons appris qu'ils étaient désormais 900 mercenaires à la poursuite du pasteur Ntumi dans le Pool. Que tous ceux qui participent au massacre des populations innocentes du Pool se disent qu'ils finiront tous par être arrêtés, jugés et condamnés. Il est hors de question de pardonner à des assassins. Les vies qu'ils prennent gratuitement dans le Pool et ailleurs valent plus que les leurs car eux ne sont que des criminels qui ont perdu toute essence humaine. Ce sont des bêtes sauvages que l'on doit enfermer à vie...

Nous saluons au passage le courage, le professionalisme et le nationalisme du Général Guy Blanchard Okoï jugé moins "déterminé" que le Général François Osselé par les assassins du régime - pour avoir refusé de conduire le crime contre l'humanité qui se perpétue dans le Pool. Il doit poursuivre sa logique jusqu'au bout en prenant le parti de la défense de notre peuple. C'est le chef d'état major ; il a un rôle important à jouer avant que le monstre d'Edou ne décide de l'écarter ou l'éliminer. Peut-être physiquement. Le Général Guy Blanchard Okoï n'a plus d'ordre à recevoir de Denis Sassou Nguesso alias monsieur 8% qui n'est plus à l'heure actuelle un chef d'Etat. C'est par la terreur qu'il inspire que Sassou se fait encore obéir par ses serviteurs. Pour combien de temps encore ? Cest la mère des questions...

 

                 LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

FRANCOIS OSSELE EST LE GENERAL QUI DIRIGE L'OPERATION MOUEBARA II
Partager cet article
Repost0
27 mai 2016 5 27 /05 /mai /2016 15:41
Partager cet article
Repost0
27 mai 2016 5 27 /05 /mai /2016 09:43

En sa qualité de premier secrétaire de l'UPADS, monsieur Pascal Tsaty Mabiala nous doit des explications : comment peut-il programmer une réunion du Secrétariat National le 25 mai 2016 et ne pas y assister lui-même ? N'est-ce pas symptomatique d'une fuite ? D'aucuns disent qu'il est venu planquer son magot en Europe en profitant au passage de venir roucouler auprès de sa deuxième femme. A chaque fois, c'est le pauvre Boungouandza qui a le mauvais rôle. Jugez donc par les points inscrits à l'ordre du jour de ladite réunion qui comportait un volet orientations du premier secrétaire  portant sur l'élaboration des dossiers à soumettre aux sessions du Bureau Politique et du Conseil National, un volet qui ne peut qu'exiger la présence du grand dribbleur Tsaty Mabiala, un point qui a par ailleurs disparu de l'ordre du jour :

- rapport d'activités ;

- rapport financier ;

- budget du parti exercice 2016 (deuxième semestre) ;

- programme d'activités du parti exercice 2016 (deuxième semestre) ;

- le bilan de la participation de l'UPADS à l'élection présidentielle.

Croyez-vous que le colonel Boungouandza soit celui qui est le plus habilité à évoquer ces questions ou qu'il faille que Pascal Tsaty Mabiala y réponde ? Qui a commandité les activités pour en faire le rapport ? N'est-ce pas Pascal Tsaty Mabiala ? Qui a décidé des dépenses du parti ? N'est-ce pas la taupe du PCT au sein de l'UPADS ? Qui doit faire le bilan de la participation de l'UPADS à l'élection présidentielle ? N'est-ce pas le candidat du parti et son équipe de campagne ? Alors, comment expliquer que le Secrétariat National de l'UPADS tienne une réunion aussi importante sans son premier secrétaire absent ? Comment peut-on valider une telle réunion sans la présence du premier concerné ?  Nous sommes en face d'un délit de fuite. Pour ne pas brûler au feu, Pascal Tsaty Mabiala a préféré s'envoler pour l'Europe, pendant que le pauvre Boungouandza se fait manipuler...

Pascal Tsaty Mabiala a bien programmé son voyage en Europe en tenant compte de cette réunion, sciemment ; cela va de soi - lorsqu'on a du bon sens. Pourquoi ne pas avoir annulé la réunion du Secrétariat National pour attendre le retour du petit Pascal qui fout la honte au GRAND PASCAL ? C'est Tsaty Mabiala qui agit en traître et en fuyard comme à son habitude : lorsqu'il s'agit de rendre des comptes, vroum, monsieur prend son avion pour l'étranger aller titiller les tétons de sa seconde épouse. Tout ça n'est pas très sérieux comme le fait qu'il aurait fait arrêter son directeur de campagne pour avoir voulu déposer un recours auprès de la cour constitutionnelle concernant le scrutin présidentiel du 20 mars 2016.

Il plaît à Tsaty Mabiala de s'acharner sur Benoît Koukébéné pour le discréditer mais quand il s'agit de dire où est passé l'argent du parti, combien a coûté  la participation de l'UPADS à l'élection présidentielle, Tsaty Mabiala alias Djibril dribble son Secrétariat National, laisse Boungouandza se débrouiller pendant qu'il va satisfaire sa libido en Europe - tout en mettant au frais l'argent volé à l'UPADS, le parti aux trois palmiers. Quand il s'agit de jouer les mauvais rôles comme décider des suspensions au sein du parti ou évoquer des dépenses, en bonne taupe, Pascal Tsaty Mabiala laisse sa place au colonel Boungouandza. Décidément, tout ce qui produit la mouambe ne fonctionne pas très bien ces temps-ci - surtout quand il y a une taupe du PCT à la cuisine...

 

             LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

POURQUOI TSATY MABIALA A-T-IL ESQUIVE LA REUNION QU'IL A CONVOQUEE LE 25 MAI ?
POURQUOI TSATY MABIALA A-T-IL ESQUIVE LA REUNION QU'IL A CONVOQUEE LE 25 MAI ?
Partager cet article
Repost0
24 mai 2016 2 24 /05 /mai /2016 21:05
LE TRAITRE TSATY MABIALA SERAIT A BRUXELLES AUPRES DE SA SECONDE EPOUSE

Si on pouvait résumer cet énergumène en quelques mots, on dirait que c'est l'ambition, presque une intelligence malsaine et déplacée, au service de l'ego et non de l'intérêt général qu'il utilise en fait comme un tremplin. En ce sens, lui, l'homme qui a dirigé l'école du Parti Congolais des Tricheurs, est de la même trempe, de la même graine, de la même semence que Denis Sassou Nguesso, l'ego le plus démesuré et le plus criminel du Congo. Oui, il est né pour s'entendre avec le monstre d'Edou. C'est un serpent qui a tout fait pour s'emparer d'une belle mécanique politique, l'UPADS, afin de la mettre au service d'un tyran. A cause de la traîtrise et de la félonie de Pascal Tsaty Mabiala qui s'est mis au service des forces du mal, Denis Sassou Nguesso a pu s'écrier un jour : " J'ai cassé l'UPADS ! ". En effet, pour jouer au jeu de la démocrature, Denis Sassou Nguesso avait besoin d'une opposition aux ordres, bref, une fausse opposition. Pascal Tsaty Mabiala ne fait pas de la politique pour défendre un haut idéal national : il ne court qu'après l'enrichissement personnel. Il n'a pas encore expliqué aux militants de l'Union Panafricaine pour la Démocratie sociale où est passé l'argent de la vente illégale du siège de l'UPADS. Il faudra un jour saisir tous ses biens pour recouvrer l'argent dérobé au parti du professeur Pascal Lissouba...

Pascal Tsaty Mabiala alias Djibril a trahi l'UPADS, le parti fondé par le professeur Pascal Lissouba (abandon des idéaux du professeur Pascal Lissouba, autoritarisme, travail fractionnel, vente illicite du siège du parti, détournement des fonds du parti, tribalisme et dénivellement du parti vers le bas, etc), il a trahi le FROCAD dont il est le président et l'alliance IDC-FROCAD en les lâchant pour ne servir que ses propres intérêts travestis en intérêts des militants du parti aux trois palmiers, il a trahi le peuple congolais en reconnaissant le coup d'Etat de monsieur 8% au scrutin du 20 mars 2016. En fait, il négocie déjà sa part de députés avec le parti qui a assassiné son fondateur en lui coupant la carotide. Cela méritait bien des vacances en Europe, à Bruxelles auprès de sa seconde épouse : il a besoin de souffler loin du Congo, question de se relâcher un peu - avant de nouvelles trahisons toujours plus grosses les unes que les autres. Vous verrez que Denis Sassou Nguesso fera tout pour qu'il conserve sa place de député - à moins que la vigilance populaire et le rejet des militants ne lui fassent mordre la poussière.

Pendant que les autres opposants - en fait, les vrais  opposants intérieurs à la dictature du lieutenant Denis Sassou Nguesso autobombardé Général d'armée - ont du mal à sortir de Brazzaville (on m'a expliqué toutes les difficultés que monsieur Mafimba a eues pour sortir du Congo), pendant que le pasteur Ntumi se bat pour sa vie, traqué par les mercenaires de la dictature, pendant que le Général Jean Marie Michel Mokoko est en résidence surveillée, pendant qu'André Okombi Salissa est aussi en danger, nous avons appris que Pascal Tsaty Mabiala, l'homme qui a allègrement foulé au pied la charte de la victoire signée par les cinq candidats de l'IDC-FROCAD, après avoir pactisé avec le diable au travers des ordres transmis par Sassou par l'entremise d'Okombi Tsalissan, est venu décompresser en Europe. Hier, nous avons appris que l'avion dans lequel il était à bord avait atterri à Paris et qu'il avait pour projet d'aller roucouler auprès de sa seconde épouse à Bruxelles. Nous avons mis le réseau en alerte pour avoir son adresse en Belgique où il possède une villa.

Cet homme doit quitter la tête du parti aux trois palmiers. Nous estimons à l'heure actuelle après analyse que le colonel Boungouandza est le plus à même de diriger le parti qui représente l'héritage politique du président Pascal Lissouba pour les générations futures : l'UPADS. La démocratie commence par la démocratie interne au sein des partis. Nous ne réussirons pas à restaurer la démocratie dans notre pays si les chefaillons de nos structures politiques sont en fait des dictateurs en puissance. Un nouveau congo implique des hommes nouveaux, une nouvelle vision de la politique et de la vie des partis, une nouvelle façon de faire de la politique qui doit privilégier la satisfaction de l'intérêt collectif avant celle de l'intérêt individuel. Il faut que les ego parlent le langage de la satisfaction des intérêts du peuple. Autrement, de tels égoïstes comme Pascal Tsaty Mabiala doivent quitter le monde de la politique.

 

                   LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

Partager cet article
Repost0
22 mai 2016 7 22 /05 /mai /2016 19:59
Où se trouve actuellement le Général à la barbe hirsute ? Qui peut nous dire où se trouve Nianga Mbouala ?

Où se trouve actuellement le Général à la barbe hirsute ? Qui peut nous dire où se trouve Nianga Mbouala ?

Vous êtes des milliers à nous lire au quotidien. C'est une grande responsabilité. Notre intention est toujours d'être au plus près de la vérité et de ne jamais propager - volontairement - des informations erronées. Si nous le pouvons et si cela est possible, nous vérifions les informations qu'on nous envoie ou que nous lisons. Cependant, nous ne pouvons pas tout vérifier car concernant le Congo, nous nous trouvons à plus de sept mille kilomètres, dans l'Hexagone, en Europe. Il nous faut hélas parfois répercuter des rumeurs afin de provoquer la manifestation de la vérité. Les flammes de la rumeur ne peuvent être éteintes que par l'eau de la vérité dont il faut parfois provoquer la manifestation. Si Téléfoufou faisait convenablement son travail, de nombreuses rumeurs seraient étouffées dans l'oeuf mais nous savons tous que les médias dans notre pays sont des caisses de propagande du régime dictatorial.

Une rumeur est une information dont on ne peut ni en certifier la véracité, ni en établir la fausseté. Nous attendons une réaction des gens du pouvoir, des Nsiloulous et de nos compatriotes qui vivent aux voisinages de Mindouli pour infirmer ou confirmer la rumeur que nous avons lue sur les réseaux sociaux. Nous avons même pris peine de joindre au téléphone BLD qui nous a appris qu'il tenait ses informations du QG des hommes du pasteur Ntumi - sans nous donner plus de détails sur ses informateurs.

Voici la teneur de la rumeur que nous vous livrons parce que nous croyons qu'il n'y a pas de fumée sans feu :

Dans sa chasse à l'homme contre le pasteur Ntumi et ses proches qui tourne au génocide dans le Pool, un sérieux accrochage aurait eu lieu vers Mindouli. Plusieurs officiers de la soldatesque du régime sanguinaire de Denis Sassou Nguesso auraient perdu la vie. Un certain Mubenda aurait eu les deux jambes coupées par un certain Ntombari. Si Mubenda a encore l'usage de ses deux jambes, nous ne tarderons pas à le savoir. Le Général Jean François Ndenguet aurait été touché lors de l'accrochage. Il serait hospitalisé à COGEMO. Ceux qui travaillent dans cet hôpital peuvent apporter leur lumière sinon le Général Jean François Ndenguet n'hésitera pas à apparaître bon pied, bon oeil pour faire taire les rumeurs. Quant au Général Nianga Mbouala dont le fils aurait trouvé la mort sous le feu des Nsiloulous, il se pourrait qu'il soit otage des hommes du pasteur Ntumi. Nous aurons tout le plaisir de voir apparaître l'homme à la barbe hirsute pour apporter un démenti cinglant à tout ceci.

Encore une fois, il ne s'agit pas de faits avérés, d'où l'utilisation expresse du conditionnel. C'est une rumeur qui est peut-être exagérée par rapport à la réalité mais nous attendons qu'on nous dise et apporte les preuves du contraire. Merci d'avance.

 

                  LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

.

CONGO/GENOCIDE/POOL/MINDOULI : LE GENERAL NIANGA MBOUALA SERAIT-IL OTAGE DE NTUMI ?

P.S. : Selon une autre source qui aurait tiré ses informations du milieu médical (la source évoque une information certifiée à 99%), il semblerait que le Général Jean François Ndenguet soit bien hospitalisé mais pour des raisons de santé. Bien que s'agissant d'un homme public, nous ne pouvons vous en dire plus pour le moment, le temps de confronter les sources contradictoires. Certains observateurs disent qu'il n'est pas dans les habitudes de monsieur "Manière"  (Ndengué) d'aller au front. Quant au Général Nianga Mbouala dont nous n'avons pas encore eu de nouvelles, il est escorté dans un véhicule blindé israélien et souvent accompagné d'une cinquantaine de personnes. Les conditions d'une plausible arrestation restent encore à cerner. Selon une source, deux hélicoptères de l'armée auraient été détruits par les Nsiloulous. A vérifier.

Partager cet article
Repost0
22 mai 2016 7 22 /05 /mai /2016 11:33
A MOSSINGUE : IL N'Y A DE DEMOCRATIE DANS LE MONDE DU PROFIT

Monsieur MOSSINGUE, merci pour cet éclairage en commentaire qui m'a inspiré ce texte. Ce n'est pas vraiment la question de la politique intérieure du Vénézuela qui m'intéresse mais les incidences de la chute du prix du baril sur les économies basées sur le pétrole dont notre pays fait partie. En observant ce qui se passe dans des économies plus solides que la nôtre, on peut deviner ce qui se déroule souterrainement au Congo au niveau macroéconomique - même si pour le petit peuple, cela ne fait pas de différence car il vit presque avec rien. Tout régime, même la dictature la plus féroce, doit avoir les moyens de mener sa politique. Sans argent, il n'y a pas de politique moderne. Aussi, celui qui tient l'argent, tient la politique. Mais il se tient dans l'ombre - sans faire de bruit car l'argent n'aime pas le vacarme - sauf quand le serviteur politique n'obéit plus au maître financier. Un exemple simple : par le franc cfa qu'il fabrique, la France tient toujours dans ses rets ses anciennes colonies. C'est en cela que l'économie est déterminante sur la politique. Les causes économiques finissent pas déferler en conséquences politiques. Ainsi, l'économie fait la politique chaque jour que Dieu fait. 
Si Denis Sassou Nguesso résiste sur le plan politique, il faudra voir comment il fera pour résister au séisme économique si ce dernier se poursuit encore au moins deux ans. Pour illustration, voilà des années que j'observe la politique française et j'ai déduit que les projets politiques même dans des pays dits démocratiques s'arrêtent et s'agenouillent face au fait économique qui n'a que faire de la démocratie. En entreprise, dans les banques, à la bourse, bref en économie en général, il n'y a pas de démocratie : on perd ou on gagne de l'argent. Point ! Le reste, c'est pour distraire ce qui n'ont pas compris le jeu. Tout fonctionne sur la base de la subordination et du profit. Le reste n'est qu'une affaire d'échelle. Le monde de la finance qui manipule l'économie ressemble à une grande chaîne alimentaire dans laquelle les gros mangent les petits, les plus malins dévorent les moins malins. Il est de bon ton que les leaders économiques fassent et contrôlent les hommes politiques à tous les niveaux de l'Etat et des institutions internationales. C'est cela la loi de ce monde qui est totalement au service de Mammon comme l'a constaté Yeshua, il y a plus de deux mille ans. La cupidité mène le règne humain comme la gloutonnerie mène le règne animal. L'homme moderne est un animal économique ou plutôt une bête financière. De toute façon, les capitalistes savent qu'ils ont gagné la guerre contre la liberté et contre la démocratie. C'est juste au niveau des peuples qu'on perpétue l'illusion qu'il y a encore quelque chose à défendre, des droits à gagner. Sans remise en question de tout le système, ce monde poursuit sa course folle vers la quête de la domination absolue.
La démocratie, qu'est-elle donc sinon un divertissement des peuples à qui on jette des restes en Europe pour qu'ils ne fassent pas la révolution tous les matins ? Avant, le souverain était un monarque de droit divin. La révolution française le décapita. Les maîtres du monde décidèrent qu'il fallait désormais laisser la plèbe choisir son maître : le droit de vote était né. Le roi choisi par le peuple devint le président. Les maîtres du monde octroyèrent un peu de moyens aux Etats pour que la comédie prenne. En Grèce, la crise économique nous a montré le côté cynique des banques qui pourtant furent sauvées par les Etats lors de la crise économique précédente, celle des subprimes qui n'a d'ailleurs pas encore été entièrement résorbée. Comme le crocodile ramené dans la rivière par la vache, voilà qu'à peine debout, la banque veut continuer à ruiner et à asservir l'Etat.

"Mon ennemi, c'est la finance..." Aujourd'hui, celui qui a prononcé cette phrase sert la finance, quitte à imposer les lois du patronat français en passant par le 49.3 à l'assemblée nationale au peuple français qui n'en veut pas. François Hollande n'a pas eu le choix : il est contraint, vaincu, de servir la finance, son maître, celle qui est en fait le vrai pouvoir. Les gouvernements à qui on a enlevé le droit de battre la monnaie n'ont plus les moyens de tenir leurs promesses politiques. Ils échouent tous en France. Gauche comme Droite.

Vous avez raison de voir une intrigue de la bourgeoisie et un plan insidieux mondial dans ce qui se passe au Vénézuela et ailleurs. Cependant, lorqu'un Etat s'affaiblit tout seul, il ne faut pas donner tort à la bourgeoisie qui lui assène le coup fatal. Le président Maduro et son gouvernement ne peuvent pas être exonérés de leur mauvaise gestion de la chose publique.
Je m'intéresse à ce qui se passe au Vénézuela pour en transposer le schéma sur le Congo - même si le pays de Chavez n'est pas celui du roi Sassou. En réaction au boycott économique des bourgeois, Maduro a décidé de nationaliser certaines entreprises privées du Vénézuela. Reste à savoir s'il y parviendra. Il faut aussi dire qu'il y a eu mauvaise gestion du denier public vénézuélien. L'Arabie Saoudite seule est derrière la crise du pétrole afin de ruiner les compagnies américaines qui exploitent le gaz de schiste. Pourquoi les Saoudiens ne baissent-ils pas leur production pétrolière - alors même que le marché pétrolier est saturé ? Parce qu'ils gagnent de l'argent - même avec un baril à 30 dollars tout en espérant ruiner les compagnies américaines. J'ai dû écrire un texte dessus. Les Américains n'importent plus assez de pétrole ; ce qui a provoqué la chute du prix du baril. Les Saoudiens ont conçu un plan simple : pour exploiter le gaz de schiste et le pétrole offshore, il faut entre 30 et 50 dollars le baril. En Arabie saoudite, juste 10 dollars par baril du fait que le pétrole est en surface. En faisant baisser les prix, elle casserait les entreprises américaines qui feraient faillite et le prix du baril de pétrole remonterait mais elle est aussi empêtrée dans les conséquences de sa stratégie au point de vendre 5% de sa société pétrolière en bourse pour avoir des liquidités. Cette affaire est terrible mais dans le monde de l'argent, comme je l'ai toujours dit, il n'y a de démocratie. 
Quand on ouvre un livre d'histoire, on se rend compte, en ce qui concerne l'occident et l'orient, que la guerre est le fait dominant : invasions, conquêtes, guerres de religions, guerres coloniales, guerres impériales. Bref, la violence physique directement appliquée sur l'homme est le fil d'Ariane qui nous permet de suivre l'histoire écrite par le vainqueur. Cependant, la guerre a changé de forme ou plutôt elle se déploie différemment en se déroulant sur le plan économique. Wisigoths, Saxons, Celtes, Romains, Huns, Phéniciens, Sumériens, Akkadiens, etc, se combattent toujours mais sur le plan économique. CEUX QUI TIENNENT LA FINANCE ET L'ECONOMIE VOIRE LA POLITIQUE N'ONT-ILS PAS LEURS GENES VIOLENTS ? NE SONT-ILS PAR LEURS DESCENDANTS ? Au dessus du fleuve, les eaux paraissent calmes mais en profondeur, la guerre fait rage. Les Américains pratiquent même l'espionnage économique. Les nations démocratiques sont font la guerre économique, une guerre plus "civilisée" mais une guerre quand même qui conduira au nouvel ordre mondial. En économie, combien savent que le monde est toujours en guerre, une guerre permanente ? Même l'idéologie religieuse est une guerre contre la volonté, contre la liberté et, tout ceci dans le but d'asservir l'humanité. Ils veulent à tout prix parquer le troupeau humain sous un même berger. Ce faisant, ils conduisent l'humanité droit à sa perte. Pour les intérêts économiques, on saccage la planète, on détruit les forêts et des écosystèmes, on souille les océans, on empoisonne la nourriture, l'eau, l'environnement, on provoque des guerres pour vendre des armes - alors qu'avant on fabriquait des armes pour faire la guerre. Objet de profit, l'arme devient un commerce qui n'est rentable que si on vend la guerre mais l'occident préfère désormais l'exporter, la déplacer ailleurs. La guerre est un business rentable comme un autre. Ce monde ressemble à un train fou qui court droit dans un précipice. Et nous sommes tous dans ce train...

 

                 LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

Partager cet article
Repost0
20 mai 2016 5 20 /05 /mai /2016 12:46

COMMENTAIRE : La situation du Venezuela est explosive. Le spectre de la faim menace la révolution bolivarienne. Imaginez un pays qui a les plus riches réserves de pétrole au monde, plus que l'Arabie Saoudite, un pays dans lequel, hélas, on ne peut plus s'offrir un kilo de pommes de terre ! Le Venezuela connaît désormais des émeutes de la faim : magasins et camions de vivres vandalisés. La violence sévit dans les rues où des voleurs sont transformés en torches humaines ! Comment en est-on arrivé là en dépit de toute cette richesse ? Un cocktail simple : baisse du prix du baril de pétrole + mauvaise gestion. La mauvaise gestion est une façon déguisée, civilisée de parler du détournement de l'argent public et de l'incompétence des dirigeants du pays. 

Ca ne vous rappelle pas un autre pays qui est actuellement en faillite ? Ca fait peur mais on croirait que le Venezuela est devenu un autre Congo-Brazzaville. Violences, pillages à Caracas. Ce n'est pas le titre d'un film mais la réalité, le quotidien des Vénézuéliens. Idem : violences, génocide, arrestations arbitraires, tortures, enlèvements, assassinats au Congo-Brazzaville... 

Le président Maduro a instauré l'état d'urgence qui lui octroie plus de pouvoir. A-t-il compris que, face à un peuple affamé, tout son pouvoir ne vaut pas une graine de maïs ? Depuis janvier le Venezuela vit sous l'état d'urgence économique. L'économie basée sur l'exportation du pétrole souffre de la chute des cours du pétrole. Les coupures d'électricité sont courantes. La semaine de travail des fonctionnaires a été réduite. L'heure a été avancée de trente minutes. Désormais, les Venezuéliens demandent le départ de leur président Maduro. En conclusion, la faim est sur le point d'avoir raison de la révolution bolivarienne. L'héritier de Chavez n'a pas été à la hauteur...

Au Congo où les ministres auraient reçu une enveloppe de 50 millions de francs en attendant une embellie économique, les signes de la faillite sont là. Mêmes causes économiques qu'au Venezuela, mêmes effets économiques. La mauvaise gestion des ressources et des finances est pire au Congo qu'au Venezuela. Après avoir gagé le pétrole et les droits de douanes, voilà que l'Etat rackette les commerçants. Nous savons que les choses vont mal dans le privé et parfois dans le public. On déplore de nombreux mois de salaires impayés. On estime qu'il y a près de 200 milliards de francs cfa de retraites cumulées impayées. Il paraît que même la société qui commercialise l'eau Okiéssi de Sassou est proche du dépôt de bilan. Les sociétés pétrolières compressent leur personnel quand certaines ont du retard dans le paiement des salaires. Pour conjurer l'irréparable Denis Sassou Nguesso a explosé la dette souveraine du Congo. Que va-t-il se passer si l'Etat ne parvient plus à payer les fonctionnaires et les mercenaires qui nous tiennent lieu de force publique ? Nous surveillons ce qui se passe dans des pays comme le Venezuela parce que nous savons que le Congo est en plus mauvaise posture que ces pays - de loin plus riches que lui. Les Venezuéliens chassent du chat, du chien et des pigeons pour survivre. On se demande comment font nos compatriotes au pays pour joindre les deux bouts...

 

             LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

 

Au cours des dernières années, nous avons documenté avec la régularité d'une horloge l'effondrement du Venezuela jusqu’à un statut d'État en faillite, ce qui a été cimenté il y a quelques semaines, quand la nouvelle est tombée que « le Venezuela était officiellement à court d'argent pour imprimer de nouveaux fonds ». À ce moment-là, la meilleure chose qu’ils pouvaient faire était simplement de prendre du recul et de regarder la société locale comme une civilisation tournée sur elle-même, déclenchant ce qui allait se transformer en triste apocalypse du Venezuela lui-même.

Hier soir, nous avons montré à quoi Caracas, ressemblait cette semaine :

Scènes d’apocalypse au Venezuela : « D’innombrables blessés » après que 5000 personnes eurent dévalisé un supermarché à la recherche de nourriture

Comme nous l'écrivions alors, ce sont tout simplement les Venezuéliens affamés qui protestaient que leurs enfants étaient en train de mourir d'un manque de nourriture et de médicaments, et qu'ils ne possédaient pas suffisamment d'eau ou d'électricité. Comme l’a ajouté AgainstCronyCapitalism, c'est un pays avec plus de pétrole que l'Arabie Saoudite et le gouvernement qui a volé tout l'argent, et maintenant ils encerclent des manifestants pacifiques et les menacent avec des bombes (ou de les mettre en prison pour les torturer).

Un pur désespoir a pris place, le crime devient inévitable. Un homme accusé d'agression de personnes dans les rues de Caracas a été entouré par une foule de spectateurs, battu et brûlé vif, une vidéo pixélisée, mais qui reste un élément graphique a été publiée de l'homme brûlant vif alors que maintenant la justice populaire est l'arbitre suprême de qui vit et qui meurt :

« Roberto Fuentes Bernal, 42 ans, aurait été surpris en train d’agresser des passants dans la capitale venezuélienne, et avant que la police arrive sur les lieux, la foule a fait sa propre loi avec ses propres mains. » La vidéo peut être vue ici.

Maintenant, dans le dernier développement choquant, le Venezuela a vu une nouvelle vague de pillage cette semaine qui a entraîné au moins deux morts, un nombre incalculable de blessés, et des millions de dollars de pertes et de dommages.

Selon Panampost, mercredi matin, une foule a pillé le marché de gros de Maracay dans la région centrale du Venezuela. Selon les témoignages des marchands, les files d’attente sans fin que les Venezuéliens affrontaient pour se procurer des produits d'épicerie ne pouvaient pas être organisées ce jour-là.

Au fil du temps, les Venezuéliens désespérés sont devenus de plus en plus anxieux de ne pas pouvoir acheter de la nourriture. Ensuite, ils ont commencé à sauter par-dessus les portes et ont pris d'assaut le supermarché.

« Ils ont pris le lait, les pâtes, la farine, l'huile et le lait en poudre. Il y avait 5000 personnes » a déclaré un témoin à la sortie du Venezuela El Estímulo.

Des gens venant de partout dans l'État tout entier sont venus au supermarché parce qu'il y avait des rumeurs que certains produits ne se trouvant nulle part ailleurs y auraient été vendus.

En raison de la foule massive, les autorités ont été incapables de maintenir l’ordre. « Il y avait 250 personnes pour chaque officier de la Garde nationale ... beaucoup de gens et quelques soldats. Au moins un policier a été battu parce qu'il a essayé d'arrêter la foule », a déclaré une autre source à El Estímulo.

Les autres dispensaires alimentaires gérés par le gouvernement ont également été pillés par le peuple.

Loin du paradis socialiste promis, alors que la foule massive se déplaçait, une porte d'entrée s’est effondrée sous le poids des gens, faisant plusieurs blessés.

L'image ci-dessous montre une ruée humaine sur le riz.

Au cours des deux dernières semaines, plusieurs provinces ont accueilli des scènes de pillage dans les pharmacies, les centres commerciaux, les supermarchés et les camions de livraison de nourriture. Dans plusieurs marchés, les cris de « nous avons faim ! » ont fait écho . Le 27 avril, la Chambre venezuélienne des aliments (CAVIDEA) a rapporté que les producteurs de denrées alimentaires du pays avaient seulement 15 jours de réserve d'inventaire.

PanamPost ajoute que les pillages sont des événements de plus en plus courants au Venezuela, alors que la pénurie alimentaire du pays a donné lieu à un autre incident violent dans un supermarché - cette fois dans le Luvebras Automarket situé dans la province de La Florida de Caracas.

Scènes d’apocalypse au Venezuela : « D’innombrables blessés » après que 5000 personnes eurent dévalisé un supermarché à la recherche de nourriture

Les Venezuéliens ont perdu le contrôle cette semaine quand ils ont donné de petites portions

Les Vidéos postées sur les médias sociaux ont montré des gens désespérés tombant les uns sur les autres en essayant d'obtenir des sacs de riz. Un utilisateur a indiqué que le pillage avait eu lieu parce qu'il est difficile d'obtenir des céréales, et donc les gens « ont cassé les portes et endommagé les infrastructures »

Dans la province centrale de Carabobo, les résidents ont pillé un entrepôt de maïs situé dans la ville côtière de Puerto Cabello. Ils auraient cassé la porte parce que les employés ont donné de petites portions.

« Il n'y a pas de riz, pas de pâtes, pas de farine », a déclaré le résident Glerimar Yohan à La Costa, « seulement la faim. »

* * *

L’effondrement social est inévitable

Avec la mort de l'économie, la seule chose qui reste est de regarder comment la société implose. À cette fin, Oscar Meza, directeur du Centre de documentation pour l'analyse sociale (Cendas-FVM), adéclaré que les mesures de la rareté et de l'inflation en mai vont être les pires à ce jour. « Nous avons officiellement déclaré que le mois de mai était celui où la faim a commencé à se répandre au Venezuela », a déclaré Web Noticias Venezuela... « Quant à Mars, il y a eu une augmentation des prix annuels en raison de l' inflation - une augmentation de 582,9 pour cent pour la nourriture, alors que le niveau de la rareté des produits de base reste à 41,37 pour cent. »

« Nous avons officiellement déclaré que le mois de mai était celui où la faim a commencé à se répandre

au Venezuela », a dit une ONG qui mesure l' inflation et la pénurie

Meza a déclaré que le déclenchement de la crise est dû au manque de pain et d'autres aliments dérivés du blé.

« Les prix sont si élevés que vous ne pouvez pas acheter quoi que ce soit, comme les gens ne peuvent pas acheter du pain, ils ne peuvent pas acheter de la farine. Et vous obtenez un porridge, vous voyez le prix du poulet monter et les familles luttent ... le déjeuner coûte environ 1500 bolivars... Les gens doivent prendre de la nourriture à la maison pour aller travailler, mais maintenant vous ne pouvez plus parce que vous n'avez plus de nourriture à la maison. »

C’est pourquoi, Español Ramón Muchacho, maire de Chacao à Caracas, a déclaré que les rues de la capitale du Venezuela sont remplies de gens qui tuent des animaux pour les mangerMuchacho a rapporté qu'au Venezuela, c’est une « réalité douloureuse » que les gens « chassent les chats, les chiens et les pigeons « pour soulager leur faim. »

Par conséquent, Muchacho a averti que les îles des Caraïbes et la Colombie pourraient subir un afflux de réfugiés en provenance du Venezuela, si les pénuries alimentaires continuent dans le pays.

« Comme la faim se répand, nous avons pu voir de plus en plus de Venezuéliens fuyant par terre ou par mer vers les îles », a dit Muchacho.

Et voilà comment toutes les utopies socialistes finissent toujours.

* * *

Pendant ce temps, alors que la guerre civile semble inévitable, comme signalé précédemment, il y a des factions en lice pour évincer Maduro, même si nous sommes persuadés que le dictateur se heurtera sur la vie chère (littéralement) et forcera sa population à supporter plus de ce cauchemar socialiste. On ne peut qu'espérer que ces scènes choquantes restent reléguées dans les rues des paradis socialistes perdus en mer, bien que les Américains devraient toujours se préparer au pire dans le cas où ils auraient finalement réussi à se frayer un chemin dans le pays.

Source(s) : Crashdebug.fr via Zerohedge.com sur la piste du Contributeur anonyme

http://www.brujitafr.fr/2016/05/scenes-d-apocalypse-au-venezuela-d-innombrables-blesses-apres-que-5000-personnes-eurent-devalise-un-supermarche-a-la-recherche.html

 

Partager cet article
Repost0

PrÉSentation

  • : JOURNAL D'ACTUALITES ANIME PAR LE LION DE MAKANDA. SITE WEB DES DEMOCRATES CONGOLAIS COMBATTANT LA DICTATURE SASSOU NGUESSO
  • : Journal d'actualités sur le Congo-Brazzaville administré par le LION DE MAKANDA (LDM) pour les démocrates patriotes du Congo-Brazzaville œuvrant pour le retour de la démocratie perdue en 1997. Nous nous battons par amour avec les mots comme armes et le Web comme fusil.
  • Contact

STATISTIQUES

 

D.N.C.B. : PLUS DE 15.000.000 DE PAGES LUES ***, PLUS DE 10.000.000 VISITEURS DE UNIQUES, *** PLUS DE 3000 ARTICLES, *** 517 ABONNES A LA NEWSLETTER, *** PLUS DE 2500 COMMENTAIRES... 

Recherche

MESSAGE&RADIO&TV DU JOUR

LDM_SWING.gif

                                               

Archives

VIDEO DU JOUR

 

 



Articles RÉCents

IMAGES

SassouKadhafi.jpgBonobo-copie-1.jpgBedieOuattara.jpg4lions-drinking.jpgBernard-Kouchner-Nicolas-Sarkozy-Mouammar-Kadhafi-1.jpgchemindefer-1-.jpgbrazza_la_poubelle.jpgChristel-Sassou.JPGchiracsassou3.jpgedouoyo1.jpglisb1-1.jpgbrazza-la-poubelle-1.jpgplissouba3.jpgdebrazza.jpg